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Spécial solidarité

Par et pour les femmes

avril - mai 2020

Martine Lacroix

CHÈRES MEMBRESSES,

Comme annoncer, vous avez entre les mains un Actu’elle

spécial, fait par vous, pour vous.

Il déborde de créativité et de belles réflexions.

On espère vous retrouver bientôt

autour d’un bon café et de belles

activités de groupe.

BONNE LECTURE CONFINEMENT

Je viens de faire ma marche quotidienne ou promenade...

Quel silence moi qui aime le silence c'est magnifique et en même temps bizarre...

Aujourd'hui je n'ai entendu qu'une ou deux voitures alors qu'habituellement j'en entends une dizaine et je n'ai rencontré 5 personnes avant une dizaine...

J’ai le plaisir d'entendre énormément d'oiseaux Au chant différent,je trouve qu'il y en a plus ou peut-être les enten-dons nous plus car beaucoup moins de bruit aux alentours...

Quand je vois le respect des Québécoises un Québécois,je suis de plus en plus fier de faire partie de cette communauté...

Bien sûr les gouvernements s'y sont pris un peu tard et peut-être ne se sont même pas préparé..mais bon vaut mieux tard que jamais .

Ces jours-ci la solidarité est primordiale entre nous...

Bon, bonne journée à vous toutes et un grand courage...

Carole Libion

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QUI Y-T-IL APRÈS LA MORT?

Première hypothèse : il n’y a rien.

Je n’adhère à aucune religion organisée, ni celles du Livre (judaïsme, christia-nisme, islam), ni les autres; je m’exclus de leurs vies éternelles.

L’idée de la réincarnation me plait. Comment serait l’entre-deux vies? Ma fan-taisie est inspirée du Book of the Night With Moon de Diane Duame.* À New-York, ce sont les chat.te.s sorcièr.e.s qui combattent l’entropie [incertitude, désordre, désor-ganisation]. Sous la Gare Centrale, l’entrée vers l’au-delà.

C’est une grande plaine vallonnée, des arbres, des ruisseaux, un ciel lumineux, une brise légère… Les chattes y prennent la forme de leur âme : lionne, panthère, cougar… Je serais une chatte de maison comme toutes celles que j’ai aimées, des Doux-Doux de ma petite enfance à Nocturne avec qui j’ai vécu 13 ans. J’y reverrais ma vie : mes bons coups et mes sottises; mes insis-tances et mes omissions – pourquoi? comment? Après mon examen de conscience, j’aimerais vivre une hystoire d’amoure… J’ai connu « Tu m’aime, et j’aime que tu m’aime; y a pas de problème. » dit avec gentillesse. Ç’aurait était drôle si ça n’avait pas était vrai… J’avais fait une longue liste de ce que j’espérais de ma prochaine amoure – Lise était presque parfaite – mais j’avais oublié « qu’elle m’aime ». Pourquoi j’avais pas pensé à ça?

Marie-Michèle 2020/04/08, Lune ronde

Ce matin j ai rencontré Isabelle Isabelle elle était belle Isabelle Ce matin tout était calme prés de moi Isabelle m a fait de l œil oui a moi Cette mouette est reste prés de moi Pour moi elle était la proche de moi On est resté un instant elle est moi Quel moment magique pour elle et moi Un échange se fait entre elle et moi Autour que nous seulement elle et moi Ce matin j'ai rencontré Isabelle Isabelle était Belle Isabelle

Carole Libion

MERCI

J’espère que vous allez bien malgré le confinement. Puisque nous ne pouvons pas nous réunir, un gros MERCI à Béatrice et à Flavie pour leur beau travail. Et aux bailleurs de fonds (Centraide, ville de Montréal, etc.) qui renouvèlent le financement. Et merci pour tous vos mots d’encouragement dans l’actuelle d’avril : Christine, Julie (vous êtes mon monde meilleur), Hind et Audrey. J’ai hâte de toutes vous retrouver. Xxxxx France Laviolette

Véronique Beauchamp

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LES TEMPS CHANGENT

Les jours passaient. Je ne voyais pas de grands changements à l'horizon. Bien au chaud dans mon petit co-con, ma petite routine, je sortais boire un café, me promener dans un centre d'achat ou aller manger un morceau dans un petit resto. Je prenais ma dose du dehors en allant faire des sorties sans craindre d'attraper quoi que ce soit. Je n'avais pas peur d'approcher mon prochain. Le danger était au loin.

Lorsque j'ai entendu parler pour la première fois du Covid-19, la menace encore une fois était lointaine. Puis le malheur a frappé. La planète entière a été touchée. L'ennemi était à nos portes. Il envahissait nos vies. Les mesures prises par les autorités pour nous protéger étaient difficiles à digérer car elles venaient bousculer le quo-tidien.

Après la peur, c’est l’instinct de survie qui a pris le dessus. Cette force en nous qui permet de déployer des trésors de créativité, de réunir les gens même s’ils sont à distance grâce aux moyens de communication, de dé-montrer les élans de générosité par des gens engagés. Je vois l’espoir dans les yeux de mes pairs. Je vois une vo-lonté de s’en sortir.

Lorsque le Covid-19 prendra fin, je sais que j’aurai changé. Je serai plus consciente des choses qui m’en-tourent, de la fragilité de la vie. Les temps changent alors il faut apprécier chaque moment de la vie et de vivre ces moments comme si c’était les derniers.

Josée Lafontaine

CHÈRES MILITANTES,

Un petit mot pour vous remercier de m’avoir aussi bien accueillie cette année au CÉAF. Mon expérience de sta-giaire a été des plus enrichissantes. Je vais me souvenir très longtemps de votre force, vos sourires, vos rires et votre conviction profonde que nous changerons ce monde pour le rendre plus juste. Merci pour tous les beaux moments partagés à vos côtés. Vos projets sont inspirants, vous avez de quoi être fières ! Je pense beaucoup à vous en ces temps de confinement, prenez soin de vous, bientôt nous pourrons sortir et se retrouver autour d’une bonne soupe ou bien dans les rues de la ville avec une pancarte à la main. Ce sera un honneur pour moi de continuer de militer à vos côtés.

À tout bientôt Xx Béatrice

Pendant ce temps en avril… Pascaline Lauzé Malouin

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RÉFLEXION

Coronavirus versus l'homme.

Coronavirus sur l'homme, l'homme sur la terre

Coronavirus il a besoin de nous comme nous, nous voulons vivre et avons besoin de la terre. Le virus, en voulant vivre, nous détruit petit à petit assez rapide-ment.

Nous en voulant vivre dans notre confort, nous détruisons la terre petit à petit.

Bizarre vous allez dire.

À méditer. Carole Libion

CONFINEMENT TU NE CONFINERAS PAS …

Qui dit confinement dit isolement. A toi qui veut me contrôler en m’imposant de rester chez moi, Sache que tu apprendras â tes dépends, que je suis une battante, une femme d’action, d’introspection, déterminée, rê-veuse et solidaire. Dans mon confinement. J’en profiterai pour faire le ménage dont ça faisait longtemps que je veux faire et qu’à chaque fois je remettais. Je parle du ménage physique de mon appartement. J’ai débuté tranquil-lement â faire le tour de mon palace pour remettre chaque chose à sa place et chaque place à sa chose. Je dois te-nir compte de mes limitations. Quel bonheur de voir rejaillir la luminosité de mon palace qui m’est si cher et d’en-tendre mes bébés illuminer de leur chant majestueux et joyeux mon palace. Je vous dis que mon morale en a pris pour son rhume… AHAHAH mais …

Quelle ne fut pas ma surprise de constater toute la richesse que je possédais et dont j’ignorais l’existence. Je m’explique. Étant une femme d’ouverture d’esprit, j’ai pris le temps de bouquiner en allant à la bibliothèque de mon quartier et j’ai fait connaissance avec un livre qui selon une amie m’amènerait à une conscience davantage positivée. Le livre s’intitule 21 jours sans se plaindre.je dois vous dire que j’y ai pris conscience à la lecture de ce livre, qu’il faut toujours voir le bon côté des choses. Ce n’est pas toujours facile, je vous le concède. Comme tout le monde il m’est arrivé de pèter ma coche d’aplomb à part ça!!!! Je pense être une personne meilleure qui apprécie ce que la vie me donne. Ce qui embellit ma vie, c’est que malgré le confinement, la vie continue car on se réunit de manière virtuelle, ensemble avec toutes la diversité et l’imagination fertile des femmes qui composent les comi-tés de mon centre de femmes, elles me permettent de m’accomplir davantage, de me dépasser, de me découvrir au travers de nos rires et de nos discussions animées.

Je tiens à remercier toutes ces femmes qui font de mes jours un pur bonheur car elles me permettent d’être moi-même, car elles m’acceptent telle que je suis et sans jugement. MERCI À VOUS TOUTES. Une amie très privilégiée de faire partie de votre quotidien. Pascale Thérien

Martine Lacroix

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DONNER UN SENS À LA VIE

C’était une de ces journées ou je me sentais particulièrement triste en ce temps de la pandémie mondiale de la COVID 19. C’est alors que durant l’après-midi, j’ai reçu par la poste l’Actuelle spécial et ça m’a fait chaud au cœur. La lecture et tous les mots d’encouragements m’ont amené un rayon de soleil et m’ont remonté le moral.

Présentement, je me pose beaucoup de questions sur le sens de la VIE. Au fil des siècles, l’humanité a vécu de grands bouleversements. Je pense aux catastrophes naturelles, aux différentes guerres et aux maladies qui sont apparues au fil du temps. La médecine a beaucoup évolué, des médicaments et des vaccins soignent maintenant ces anciennes maladies. Malheureusement, d’autres maladies apparaissent, plus tard dans quelques temps, ils vont trouver ce qui va soigner cette pandémie de la COVID 19.

Tout a changé en si peu de temps, en l’espace de quelques jours. Il y a eu un virage à 180 degrés de notre façon de vivre. Nous étions à l’ère de la mondialisation, il n’y avait plus de frontières, nous pouvions voyager d’un pays à l’autre. Maintenant, partout sur la planète, les frontières se sont fermées, dans les pays, on ferme les diffé-rentes régions. C’était l’ouverture sur le monde, maintenant, il faut trouver d’autres moyens pour rester en contact et solidaires. Nous allons tous en tirer quelques leçons. Avant, nous étions tous pris dans le tourbillon de la vie et nous n’avions pas le temps de voir notre Vie car le temps passait trop vite. Maintenant, on peut s’arrêter. Les gens avec leur créativité, vont trouver des façons de s’entraider et de prendre soin les uns des autres.

Apprendre à ralentir comme on le fait actuellement, à bien respirer et élever notre niveau de conscience, c’est ce que je nous souhaite à tous. J’aime les oiseaux et tant qu’ils vont chanter, je sais que tout ira bien pour les autres et pour moi.

Louise Miller

La vie nous impose un temps d'arrêt. Frida et moi on vous invites à prendre le temps: le temps de dire à vos proches que vous les aimez, le temps d'admirer les fleurs du prin-temps, le temps d'écouter le silence de la ville, de prendre des nouvelles de vos ami.e.s, de vous reposer, de faire des choses que vous remettez à demain. Moi pendant ce temps je vais planifier notre prochaine programmation avec des activités festives pour oublier cette séparation bien involontaire. Santé à toutes xxx

Christine et Frida

« Semaine de l’action bénévole »

Chères bénévoles et militantes Un grand merci pour vos belles implications dans nos luttes et

dans la vie du Centre.

Vous êtes si précieuses.

Prenez

soin de vous

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ERRANCES

J'oublie mon corps et ses limites. Je suis maintenant un point de lumière. Ma conscience est concentrée dans ce point de lumière. Je suis pure énergie. Je peux aller ou je veux et je me déplace à la vitesse de la lumière. J'explore l'infiniment petit ainsi que l'infiniment grand.

Je me trouve actuellement dans les profondeurs de l'océan. C'est grand, très grand. Univers liquide rempli de vie. Beaucoup d'espèces de poissons y vivent. Du plus grand au plus petit, il y en a de toutes les couleurs. Je remonte et je vois le soleil. Les barrières de corail, c'est magnifique. Elles sont de toutes les couleurs. À la sur-face, le ciel et la terre se rejoignent à la ligne d'horizon. Je vois des voiliers toutes voiles dehors qui glissent lentement sur l'eau. Que c'est beau!

Toujours à la vitesse de la lumière, je traverse les continents. Je revois sans cesse les levers et couchers du soleil. Le ciel est paré de toutes les couleurs pas-tels. Flamboyantes couleurs. Je traverse maintenant le centre de la terre, magma en fusion, univers de roches pour en ressortir de l'autre côté. Autres peuples, autres cul-tures et coutumes. Je suis fascinée par la diversité de tout ce qui m'entoure. Je m'éloigne encore, je suis maintenant dans le désert. Vastes étendues, mirages, oa-sis. Les journées sont si chaudes et les nuits si froides.

Je me dirige maintenant sur les plus hauts sommets des montagnes. Panorama magnifique, vastes étendues sauvages. Les forêts, vallées, lacs et rivières se rejoi-gnent.

Je regarde maintenant vers le ciel, les nuages on les dirait des tapis de ouate. Je monte plus haut, toujours plus haut. Je vois les planètes, toutes différentes les unes des autres. J'atteins maintenant le soleil, je continue. Plus loin, il y a d'autres sys-tèmes solaires.

Univers en expansion, univers en rétraction. Immensité. Louise Miller

Montréal vidée de sa foule, que lui reste t-il de son humanité?

Je cherche la réponse dans ce désert de béton… Pascaline Lauzé Malouin

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DU FOND DE MES TRIPES

Soudainement ! On bascule… dans une crise humanitaire très grave. Depuis longtemps, les organismes communautaires et leurs partenaires, nous invitent à une transformation sociale. Les centres de femmes, les orga-nismes de défense de l’environnement, les regroupements de personnes handicapées, les ressources en santé men-tale, les comités de logement demandent des mesures pour améliorer les conditions de pauvreté, de violence, de santé … dans lesquelles vivent une grande partie de la population.

Ces organismes sont aux premières loges : ils entendent en direct les gens raconter leurs difficultés.

Au CÉAF, nous sommes une armée de militantes et de bénévoles bien réseautées et tricotées serrées ! Non à la mondialisation, non au néo-libéralisme, non au démantèlement de notre filet social, non à l’épuisement des sols et des ressources humaines : nous le disons depuis longtemps. Aux dirigeants-es de nous écouter maintenant. Nous avons des solutions, nous sommes créatives et déterminées !

La relance passera par l’égalité, l’équité et le respect. Je le dis du fond de mon cœur et du fond de mon écoeuran-tite aiguë !

Solidaire jusqu’à la fin ! Lise Dugas 6 avril 2020

Martine Lacroix

Bonnes fêtes

Chères membresses

avril-mai

Guylaine Meunier - 2 avril

Irène Duquette - 3 avril

Liliana Alvarez - 8 avril

France Prèvost - 20 avril

France Laviolette - 1 mai

Pascale Thérien - 2 mai France Therrien - 6 mai

Michèle Brun - 8 mai

Célia Rojas-Viger - 8 mai

Louise Miller - 9 mai

Karin Turkington - 11 mai

Bouchra Taibi - 14 mai

Ève Labelle-Véronneau - 15 mai Thao Nguyen - 23 mai

Maud Vallières-Polo - 25 mai

Diane Gauthier - 29 mai

Estuelle Jeudy - 30 mai

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LA CRÉATIVITÉ

Je suis devant ma feuille blanche et j’attends d’avoir un peu d’inspiration pour continuer à écrire. Mainte-nant, c’est le printemps. En ces temps de confinement dû à la COVID 19, il faut trouver les moyens de s’occuper. Pour ma part, j’ai commencé à faire du ménage dans mes boîtes et mes penderies. Nous faisons beaucoup de nourriture et j’ai retrouvé dans mes cartons, d’anciennes recettes que ma mère faisait. J’ai l’intention de faire du ménage dans mes anciennes photos et dans mes albums. Tout s’est accumulé dans mes boîtes, en les retrouvant, je sais que des souvenirs de mes enfants quand elles étaient jeunes vont affluer dans ma mémoire. J’ai commencé à lire des livres qui s’accumulaient depuis des lunes dans ma bibliothèque. J’adore les romans historiques. Je lis et je laisse aller mon imagination.

Ah! Comme elles sont belles les maisons de campagne. Je me souviens quand j’étais enfant, d’avoir déjà vu dans la maison de ma grand-mère, au Lac St-Jean, différents objets qui étaient dans le grenier. Il y avait un métier à tisser, un rouet pour filer la laine. Il y avait même une baratte à beurre. À cette époque, les femmes fabriquaient de belles courtepointes et des tapis de toutes les couleurs avec leur métier à tisser. D’autres tricotaient des chandails, des pantoufles, des bas, des mitaines et de foulards. Elles avaient des doigts de fée pour créer les plus belles pièces d’artisanat. Certaines femmes avaient le don de la couture et elles fabriquaient de beaux vêtements.

Ce printemps, Je veux faire un petit jardin sur mon balcon et d’avoir quelques fleurs. J’imagine de beaux jardins remplis de légumes colorés. À l’automne, si le cœur m’en dit, j’aurai le goût de faire du ketchup rouge et vert ainsi que quelques marinades et confitures. Ça sent tellement bon dans la maison. Dans un autre domaine, d’autres ont le don du dessin, font des aquarelles, des portraits et des paysages. Peinture, fusain, dessins avec toutes les palettes de couleurs. Créer des vitraux de toutes les couleurs et grandeurs, des bijoux faits à la main. Retaper et restaurer des meubles anciens, retrouver les objets d’antiquité qui font partie de notre patrimoine. Se mettre à l’écriture, es-sayer de connaître notre généalogie pour retrouver nos ancêtres et nos racines pour empêcher qu’elles tombent dans l’oubli. Créer des vases et des poteries en terre cuite, des sculptures sur bois, de la céramique. Encourageons nos enfants à dessiner et à faire du bricolage. Les possibilités sont infinies. C’est important de connaître et d’expé-rimenter son potentiel créatif par le biais de différents médiums artistiques, c’est de l’art thérapie et ça fait du bien en ces temps incertains.

Si on se sent angoissés, écouter de la musique, faire du tai-chi, lire un bon livre, prendre un bon bain mousseux à la chandelle, l’important, c’est de prendre soin de soi.

Louise Miller