socialiste la haute fiume la crise...

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ANNEE, 11.20S ABONNEMENTS mois 34 Ir.; 1 an 05 Ir. prn fPU BETON On mène grand bruit autour des mesure, prises pour mettre notre frontière à l'abri d'une agression. L'état-major (à moins que . sait le service du g.ie) a renoncé aux ouvragos du genre de ceux que noe rens connus, et il a proposé, pais fourlificatUntesr'd'utr Évpuentosuyteseleveadue qtd n'a pas fait ses preuves. La plupart des travaux déjà com- esencés se composent de vastes caser- 43. souterrain., fortement enterrées anet solidement maçonné. pour .tre l' sot Li COOTEUSE ILLUSION également souterraines, leur esse, Pour mater la Haute Fiume so« On s'apprête, paraît-il, à réformer la Bourse des valeurs de Paris. Et Fon cite l'opinion do M. Chéron, qui serait décidé à réaliser une organisation moderne de notre marché et à rompre avec, « les vieux errements a. Enfin, on y vient. Regrettons qu'on ait tant tardé. Toutefois, on aurait tort de se réjouir trop tôt ; car vous pensez bien qu'on y met des Timmes et qu'on entend aller tout doucement. M. le syndic des agents de change a été consulté. Il reconnaît lui aussi la nécessité d'agir. Mais d'agir avec « prudence s. Réorganiser est un gros mot ; il préfère, pour sa part, qu'on envisage une série de petites réformes. Soyez persuadés que, dans son esprit, il ne sera nullement question du privilège par trop rigoureux dont on a investi la campa- gaie des agents de &ange. Nous ROUS garderons bien d'affir- mer que cette institution ne présente que des inertménients, bien au contraire, mais pourquoi ne serait-elle pas fondée sur des bases un peu plus démocratiques ? Au reste, M. le syndic ne s'inspire pas d'une doctrine dif- férente quand il déplore que le nombre des groupes à la Bourse ne soit plus grand et quand il condamne l'abus des marchés fermés.. Mats ce que réclame, la gent boursicotière, c'est un allégement sérieux des impôts qui frappent les opéra- tions. Il paraît que, sans ces dégrèvements, la petite épargne continuera d'être malheureuse, et c'est pour eUe pour elle seule, que tant et tant de gros personnages élèvent la voix. Je demande la permission de rester sceptique. Que ces impôts ne soient pas lourds, si bien, ils le sont. Mais duit-on commen- cer par alléger ceux-là ? Là est toute la question. Or, il y a, à la Bourse, des intermédiaires souvent peu recommandables et ce sont ceux-là qui seraient favorisés alors que les travailleurs verraient leurs revendications autrement justifiées repoussées aux calendes grecques. Et puis, ce qui ne laisse pas que d'être intolérable, c'est la pression que la Bourse entend exercer auprès des pouvoirs publics. Voici ce que l'on peut lire dans l'Information finan- cière du 15 octobre « On exprime, par contre, dans les milieux financiers ((s la Bourse), le regret unanime que la commission des finances ait terminé l'examen du budget sans recommander aucun dégrèvement en faveur des valeurs mobilières. u Mais on veut espérer néanmoins, certains membres de ladite commission des finances ayant fait remarquer que rien n'était définitif. Alors, dans ces conditions, la Bourse n'exprimera pas encore sa déception. Elle attendra. De tels excès d'humeur sont assez fréquents. Au début du mois, une véritable avalanche d'offres avait précipité les cours des hauteurs où ils se comMaisaient dans une baisse inquié- tante. Comme il ne s'agissait point, en la circonstance, (le rai- sons ou MêMe de prétextes politiques, l'Information fiisanciére se permet de morigéner les coupables. Elle le fait en ces tet- e Il est à peine besoin de dire que le moindre retour offen- sif du bon sens ferait concevoir combien l'affaissement préci- pité des cours est excessif et irraisonné, et que/ grave préju- dice il porterait à l'économie générale du pays s'il n'y était pas promptement remédié. » Il vient tout naturellement à l'esprit l'idée qu'on ne devrait point tolérer de tels excès. Est-il possible que nous soyons de la sorte à la merci d'une poignée de financiers qui peuvent, En toute indépendance, faire Sur notre marché la pluie ou le beau temps, la baisse ou la hausse selon qu'il leur enprendra fantaisie ou selon que les poussera l'intérêt ? Tant que la Bourse aura ce pouvoir quasi-dielatoriat il sera vain de parler de démocratie en France. Et c'est la rai- son qui ROUS polisse à être, nous aussi, pour une réfoune de la Boarse des valeurs, mais pour une réforme sérieuse. ina/dmel cuit pvfeevelaoi 1:toi latin soin hoi laohnunninz I-L. CHASTANET, IMputé de non, d'une tourniv vr, Europe donne un assaut de jiu-Rou. Coup dceil sur le Budget de la guerre Deux Milliards enterrés Et la Mense If ationale sabotée rosit, d'une part, l'oxygène nains- casera la yie des 'broméss qui s'y en- tasseront, n'autre part, l'eleetrieit4 qui leur perm,tra d'y voir clair et d'exd.ter les opérations ou manu- vres dont elles seront chargées. Le tout .fitera., dit-on, plue de deux hune serait pas PaYer irae ober la sécurité. Mais, pour ce prix, on n'aura que l'apparence de la sécu- rité. J'ai dit' et je ne saurais trop le répéter, que si ces travaux consti- tuent des moyens de défense, ou bien 11/3 seront inelficaees ce qui est le plus probable, bien l'invasion les tournera, soit en prenant la voie ar aria Des dee airs et ceci encore est le plus us ., Pr ainsi 'l'arn l55sttst, du ]" f2" obbi pue SOCIALISTE Rédaction et Administration o 38, Rue Roguelaine TOULOUSE Tél. 0.43 C. C. postaux r 5.277 BUREAUX A PARIS : 28, rue Feydeau (2. Arrondissement) Téléphone o Gutenberg 76-58 61-21 parties de la frontière démunies de ces obstacl.. La Belgique, qui a oses.) d'être pro- tégée par sa neutralété, ne formera notre couverture du Nord que si, elle sassé, en fouit dans la terre des millions et des millions. Or, tout porte à croire qu'elle ne commettra pas, mieux avssée que nous, une faute aussi criminelle. Et alors nos dépenses n'auront servi de Clou. Car le système défensif ne vaut que s'il ne présente pas de lacunes, que s'il est continu et s'il barre toi, tes I. voies d'accès. A la visité, en construisant des ouvrages sur la frontière nord-est après la guerre de 1870, le général Sére de Rivière avait laissé béantes deux trouées rusera faire les points de passage obligatoires de Etinvaeion et, par conséquent, pour .naliser celle-ci, pour la mener là où nous avions le plus grand intérêt à se qu'elle fût conduite, filais ce n'est pas une fissure qui rotors ouverte demain dan notre ligne; c'est toute une large partie de cette ligne qui se trouvera d'avance abandonne°. C'est la route du Nord que none met- tons à la disposition de l'ennemi. Avons-nous Cloue intérêt à ce que l'envahisseur éventuel s'engage par ette voie rersonne ne saurait le soutenir après l'expenience de 1114. Les travaux auxquels unes con- sacrer tant d'argent sont donc un trompe-l'oeil. Ils ne peuvent être autre chose. Si ils peuvent être une source de profits pour certains. Ils seront, en tout eas, daur l'avenir, une cause de douloureuse déception On regrettera d'avoir privé l'aie du milliards mis dans la terre. La forti- fication aura coûté beaucoup sans servir à rien. Et l'aviation, réduite aujourd'hui à la portion congrue, fias Per.'"ger:MeATIVZtl,°,1` Id'eraid dera de rendre et auxquels un état- major prévoyant devrait la prépa- rer. L.t..Col. F MAYEB, AU JOUR LE JOUR Restaurants Américains Il pa,aît QU'en Amérique, da,is les restaurants déganta, les bandit:. font &t'unifié, reraver as poing, dévalisent les belles dineuses et as somment, au besoin, leurs époux ou ce. gui lis iYmplacent. En France,- it est' arrivé quelquefois de recevoir. quelques bons coups de fusil, voire même de mitrailleuses, mais nous ne na. en portons pas plao mal pour cela. Le préptdice matériel a été Parfois aussi prend; mais au mains, après avoir payé, id nous relate la peau, c'était déjd fa de saurs. En Améri- que, il parait qu'on rie leur Iniss.1 même p. cela. Aronez tout de même que, lors- qu'on commande en boutllon bien chanci ou sot grog bouillant pour soigner quelque grippe, il est dém. gréable de se faire refroidir par un endivedu qui n'est même p. de la snaison. t'est même assez venant. Et st. pour terminer un erses, tasse dîner, vous demandes quelques fruits des poires par exemple, pour bien montrer que vous êtes de teao qui en vives un individu qtes vous ne C071.i.l 2 pas vous envoie brutalement six Prnneau., eh bien/ non, plutôt crever des bulles de sa- von dans sa moine. Mais aussi pourquoi les restaura- teurs ne réagtesent-ils point I Ils ont, sur leurs comptoirs, suffisam- ment de canons, dane leurs cuisines esse, de batteries et de marmites et tnéme des gus, dans leurs fruitiers des grenades, dans leurs caves dee boulets, pour répondre aux ireepor- c". oui tee devancent en tirant eux-mêmes des coups de fees,i sur leurs clients. AlAX ALIev0V12 eue 1..evTIRES cm, Le MAROC, ER ALGÉRIE, DAKM n AMÉRIQUE DU SUD sas AVION DRNRAGNIE GENERALE PallefeSTALA Pour avoir la santé DES IIARITUDES TROP REPU.. LIEUES SEBAIIKNT CONTRAIRES A UN BON ETAT DE S.ANTE Les raipszé qduu'enrorepl.eonetédeeib Chicago, 27. octobre. Le vi.mty Apulie, médecin particulier dei roi dato un exposa fait au congres in-; ternational des chirurgiens, que si /e roi d'repagne, qui est Ml do 43 ans, se trouvait actuellement dans des conditions de santé par- sites, il le devait au fait de n'avoir 4arnais cantracté d'habitué. clive- - Mangeur médéné, piètre bu- veur, /e roi n'a jarnais pu s'accou- tumer ni une diete régulière, ni ma. des exercices nulsd'avance. « Vivre scion une règle, déclara- t-il, mm.êche tes gens do prendre .;i; choses comme elles viennent, les .prive d'en tirer le maximum do joie et partant, de se maintenir en meilleure sanW. Le vicomte Aguilsr déclara en terminant que ceux qui vivaient selon une règle stricte devenaient vite nerveux et malades, /orémus les exigences de l'évolution des condi- tions de vie bas obligeaient PabaRtRaRer. La A l'heure où je dois t mettre mon article à la composition, je n'ai aucun renseignement me permettant la moindre, ré- flexion, le moindre commen- taire sur 1m événements de la journée. On sait simplement que M. Daladier a offert l'égalité des portefeuilles entre socialistes et radicaux socialistes u 4 con- tre 4. Mais il y a plus de huit ministères. Les autres seront repartis entre les représentants des au- tres groupes de gauche desti- nés à constituer la majorité. Ce ne sera donc plus l'égalité véritable. C'est bien si l'on veut une part propostionnelle à notre force, à nos moyens parlemen- taires. Ce n'est pas la moitié du tout. Voilà la seule remarque que je puisse exprimer pour l'ins- tant. Elle n'aurait d'ailleurs aucune valeur, et ne constitue- rait aucune réserve, si /es pos- tes offerts constituent les pos- tes de commande dont je par- lais hier en disant que nous serions plus exigeants sur la qualité que sur la quantité. Il faut donc attendre. Je ne dm pas sans impattenee. C'est impossible. Les événements sont si graves et se déroulent si rapidement, mina peu de fiè- vre chez nous tous rst inélum table. Mais attendons du moins avec pleine confiance dans la sagesse et la clairvoyance de nos élus et de /a C. A. P. dont le travail en commun s'il ne pouvait aboutir à un accord se- rad vite repris par tin conseil national convoqué d'urgence. Cet accIdent de la rentrée parlementaire nous a mis dans Une situation que nous avions prévue à échéance plus lointai- ne. Aussi, visiblement, la plu- part de nos militants n'y sont pas préparés. C'est fâcheux certainement. Je suris de ceux qui déjà, de- puis un long temps, y son- geaient. Mon entourage sait que sans me douter bien entendu de la proximité de la date, un nouvel examen du problème de participation me paraissait nécessaire, parce qu'il me sem- blait fatal et l'événement me donne raison qu'Il se poserait dans des circonstm- ces extrêmement délicates et pleines de péril pour no.. Certes, je ne reproche pas à nos congrès d'avoir éliminé Jusqu'en cet examen. Je CrOie même qu'ils ne pouvaient gnè- re s'y livrer, puisqu'il eut fallu pour prendre décision, connaî- tre les circonstances et les po- sitious des autres partis. Mais si chacun de nos mili- tants, surtout si nos délégués habituels aux congrès ont pris la précaution d'y songer aussi à l'avouer et surtout depuis mercredi, les débats du conseil national seront clairs, rapides, et la ré-solution finale eonfor- me aux intérêts du parti. Léon HUDELLE P. S. J'apprends que le groupe pmlementaire vient d'accepter 1et propositions de M. Daladier. Plais pas à l'una- nimité. 86 y sont favorables. 12 y sont hostiles. Mais cela ne fait que la moi- tié de l'effectif da groupe. L'autre moitié s'est-elle abs- tenue ? Ou était-elle absente ? Mais ce vote tout impres- sionnant qu'il soit, ne saurait être tenu pour définitif. Et un conseil national s'impose d'ur- gence pour décider en dernier ressort, Nous vivons dre heure» ex- Crise Ministérielle M. DALADIER N'EST PAS PLUS AVANCE QU'HIER. LE GROUPE SOCIALISTE VOTE A LA MAJORITE, LE PRIN CIPE DE LA PAtITICIPATION. MAIS LE CONSEIL NATIONAL SEUL PEUT LUI DONNER L'AUTORISATION. LA DECISION DEFINITIVE EST DONC RENVOYEE A DEMAIN. trêmmnent graves pour nous. Le moindre faux pas, de quel- que cote qu'Il nous pousse, las- que de nous faire tomber. Souhaitons que nos élus et nos délégués au conseil n'en fassent point. L. H. Dans l'Attente Nous attendons un ministère. Aurons-nous Daladier, cherchant à gauche une majorité; tel autre fat. sortappet à la concentration; tel autre encore orienté davantage Ores la droite ? On verra dernnin ou les jours suivants. Mais nous pourrons bien 'être douent, majorité ou sur les bancs de l'opposition, il y a quelque chose qui ne subira aucun change- ment, aucune altération, c est notre volonté bien arrêtée de porter tout notre effort sur le terrain des réa- lisations. Que ce soit des cotonnes de journaux ou de la tribune du con- grès de Reims, Pcmonne. cet égard, m'a le droit de douter de nous. Nos votes et nos programmes son a. Libertés publiques et démocra. lie, fiscalité, lois sociales, instille. lion, organisation de /a paix, jcs mais nous n'avons eu de défait. lance pour rien et sur rien. Nous n'avons ete, a aucun mo- ment, du Bloc national, nu de nationale. Nous ne sommes pas d gauche par éclipses, et suivant les coups de vent et les orages parlementai- res. Notre parti, par -sa doctrine, son programme, se tactique de tau, jours a été à la pointe de tous les combats : dans le domaine poli- tique quand il a fallu défendre la République contre les hordes de /a reaction et du nalionahsme; clans le domaine social quand il faut aider les travaelleurs a conquerir du mieux-être el à préparer leur affranchissemenl; dans le domaine fiscal quand il faut rée/amer aux riches leur part des charges socia- les et libérer l'Etut de r oppres- sion insotente des puissances d'or- gant; dans le domaine internatio- nal quand il faut rechercher les routes de la paix dans le fraternel rapprochement des peuples. Nous nous sommes mémé sou- vent trouvés seuls, ou Presque, dans ces tuiles implacables où se joue le destin des peuples. Aussi attendons-nous de pied ferme, l'esprit clair et la conscien- ce sereine, les puériles accusations de cem qui tenteraient, à la faveur d'une crise ministérielle, de nous faire porter des responsabilités quelconques dans l'échec d'une politique de gauche. Les responsables d'hier et de demain seront ceux qui, dans les votes parlementaires, sont infidè- les à leur programme. Là a été et sera l'épreuve qui mettra les hommes el les partis à leur vraie place. Pau/ FAURE, DépSoetcé l' rêtairs gérl - 'J.1015 Chez les Socialistes DISCUSSION DANS LA NUIT Au groupe socialiste, la discos sion a été longue et animée. Trois thèses se sont affronté. ; le refus immédiat de participation avec Paul Faure ; la convocation du conseil national du Parti Poiir oR décider avec Léon Blum ; ater- moiement peur entendre M. Dais- dire et obtenir des précisions avec Renaude], Longtemps, la première panrt devoir remporter ; cependant, à la fin, le groupe décida de se rallier à la troisième, ainsi qu'il résulte -le cet ordre du jour voté à rimani- rnité moins une voix s Le groupe donne mandat à sa délégation exécutive d'inviter M. Daladier à préciser les conditions de son offre. a Les précisions que le Moulée su- cialiste veut demander à M. Dala- dier sont relatives d'abord au norn- bre et à la qualité des portefeuilles qui lui seraient Proposés. en.dîe à la composition de la future majo- rité. M. Daladier s'est rendU Os l'invi- tation du groupe socialiste, M. DALADIER AU MILIEU DE NOS CAMARADES La délégation exécutive du grou- pe socialiste a reçu M. Daladier à la Chambre, à 22 hetties, et a con- féré avec lui jusqu'à 23 h. 30. Des précisions lui ont été deman- drea d'abord sur le programmél qu'il envisage pour son gouverne- ment. A cet égard, il s'en est terne aux quatre points principaux ex- posés dans sa lettre ensuite sur l'attribution des portefeuilles, il a répondu que l'égalité complète se- rait respectée entre les socialistes et les radicaux socialistes tant sur exemple 4 et 4, que pour les pos4 tes de commande. Les socialistes étaient déjà flués à cet égard s ils savaient que In parti /sacs] et le parti socialiste seraient traités son le pied d'éga- lité et qu'enfin M. Daladier atten- Lé.; 4,énle eu apprenam rj:11.!artee proses, evoo cpoi de ntprruisr kqu Jlle oup% r:nvvaeitolàiicL ré ra,iutnrion, Paul lioncour déplus P Enfin, sur l'étendue de la majo- rité qu'il envisageait, il a déclaré qu'en bien des circonstances une majorité républicaine avait pu se manifester à la Chambre, rnajorité à laquelle les socialistes n'avaient rien trouvé à reprocher. En somme on pouvait résumer ainsi l'attitude très souple de Daladier e Accep. ',es et nous discuterons après. Nos députés votent la participation Le groupe socialiste parle- mentaire a voté, par 86 voix contre 12, son acceptation au principe de M participation au gouvernement. Le Conseil na- tional va être muni, demam probablement dans l'après- midi, pour en décider définitn veinent. Le Conseil nations/ du parti est convoqué pour demain soir à Paris. Cet organisme est composé des membres de la commission administrative permanente du parti et d'un délégué de chaque Ajoutons qu'a l'Issue de la Fédération, qui dispose dei' mandats de cette dernière. Le vote par mandat est de- mandé pour les questions im- portantes. Le groupe socialiste deman-' dera naturellement au Conseil national de se prononcer pour' la participation. Voici la note communiquée à l'issue de la réunion Le groupe socialiste parle- mentaire donne son avis favo- rable à l'acceptation des pro- positions de M. Daladier, con- firme le mandat donné par hd d la délégation exécutive et in- vite le bureau du parti à con- voquer le conseil national pour lui fournir une affirmation complète. e I/ ne s'agit pue d'un Sets de principe et moi, le partisan le plus résolu de /a participa- tion, je demande à etre tufo, mé et à voir e/air. Les douze membres de la mimé-, sité sont e Frossard. Bracke, Paul Faure, Morixet, Léon Blum, VI. cent Auriol, Laques, Larache; Compère-More], Masson, Deguise et ConstansI Mais il y a lieu d'observer qu'eri raIson des circonstances dans les- quelles est intervenu ce vote, sur une question de pnonte qiu, eri réalité, a pris la valeur d'un vete seul, fond, les &nue membres de la minorité ne sont pas tous hosti., les au principe de la participation. LES CONSULTATIONS DE L'APRES-MIDI M. Daladier a repris cet UPrèav midi ses concultabons a 14 h. 05. Après avoir copieusement déjeuné chez un ami personnel, le président du parti radi.I a reçu successive- ment MM. Steeg et Maurice Sarraut au 32 de Pay.. des Champs-Ely- se.. Une foule énorme se presse de- vant l'hôtel particulier do beau-père de M. Daladier, h tel point arà na moment &mué la circulation a MS I.ES FlIRIS SONORES L'acteur de elnéna allemand Vie,elt pat lacs per télhAmne de Bette, à Hollywoei dia de earnplaen un film pelant dame lequel d Reg 25 CENT, LUNDI 28 OCTOBRE 194 POUR LA ' AIME FOIS ON PROPOSE EFFECTIVE. MEN': 'X SOCIALISTES UNE PART DU POUVOIR. ET LA GROSSE NIAJORITE DE L'OPINION PUBLIQUE N'EN EST PAS INDIGNEF NI ETONNEE, ON COMMENCE DONC A NOUS CROIRE CAPABLES DE QUELQUE CHOSE? NOTRE HEURE EST PLUS PROCHE QUE NOUS LE PENSIONS. Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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ANNEE, 11.20S

ABONNEMENTSmois 34 Ir.; 1 an 05 Ir.

prn

fPU BETON

On mène grand bruit autour desmesure, prises pour mettre notrefrontière à l'abri d'une agression.L'état-major (à moins que . sait leservice du g.ie) a renoncé auxouvragos du genre de ceux que noerens connus, et il a proposé, pais

fourlificatUntesr'd'utr Évpuentosuyteseleveadueqtd n'a pas fait ses preuves.

La plupart des travaux déjà com-esencés se composent de vastes caser-43. souterrain., fortement enterrées

anet solidement maçonné. pour.tre l'

sotLi COOTEUSE ILLUSION également souterraines, leur esse,

Pour mater la Haute Fiumeso«

On s'apprête, paraît-il, à réformer la Bourse des valeursde Paris. Et Fon cite l'opinion do M. Chéron, qui serait décidéà réaliser une organisation moderne de notre marché et àrompre avec, « les vieux errements a. Enfin, on y vient.Regrettons qu'on ait tant tardé.

Toutefois, on aurait tort de se réjouir trop tôt ; car vouspensez bien qu'on y met des Timmes et qu'on entend aller toutdoucement. M. le syndic des agents de change a été consulté.Il reconnaît lui aussi la nécessité d'agir. Mais d'agir avec« prudence s. Réorganiser est un gros mot ; il préfère, poursa part, qu'on envisage une série de petites réformes. Soyezpersuadés que, dans son esprit, il ne sera nullement questiondu privilège par trop rigoureux dont on a investi la campa-gaie des agents de &ange. Nous ROUS garderons bien d'affir-mer que cette institution ne présente que des inertménients,bien au contraire, mais pourquoi ne serait-elle pas fondée surdes bases un peu plus démocratiques ?

Au reste, M. le syndic ne s'inspire pas d'une doctrine dif-férente quand il déplore que le nombre des groupes à laBourse ne soit plus grand et quand il condamne l'abus desmarchés fermés.. Mats ce que réclame, la gent boursicotière,c'est un allégement sérieux des impôts qui frappent les opéra-tions. Il paraît que, sans ces dégrèvements, la petite épargnecontinuera d'être malheureuse, et c'est pour eUe pour elleseule, que tant et tant de gros personnages élèvent la voix. Jedemande la permission de rester sceptique. Que ces impôtsne soient pas lourds, si bien, ils le sont. Mais duit-on commen-cer par alléger ceux-là ? Là est toute la question. Or, il y a, àla Bourse, des intermédiaires souvent peu recommandables etce sont ceux-là qui seraient favorisés alors que les travailleursverraient leurs revendications autrement justifiéesrepoussées aux calendes grecques.

Et puis, ce qui ne laisse pas que d'être intolérable, c'est lapression que la Bourse entend exercer auprès des pouvoirspublics. Voici ce que l'on peut lire dans l'Information finan-cière du 15 octobre

« On exprime, par contre, dans les milieux financiers ((sla Bourse), le regret unanime que la commission des financesait terminé l'examen du budget sans recommander aucundégrèvement en faveur des valeurs mobilières. u Mais on veutespérer néanmoins, certains membres de ladite commissiondes finances ayant fait remarquer que rien n'était définitif.Alors, dans ces conditions, la Bourse n'exprimera pas encoresa déception. Elle attendra.

De tels excès d'humeur sont assez fréquents. Au début dumois, une véritable avalanche d'offres avait précipité les coursdes hauteurs où ils se comMaisaient dans une baisse inquié-tante. Comme il ne s'agissait point, en la circonstance, (le rai-sons ou MêMe de prétextes politiques, l'Information fiisanciérese permet de morigéner les coupables. Elle le fait en ces tet-

e Il est à peine besoin de dire que le moindre retour offen-sif du bon sens ferait concevoir combien l'affaissement préci-pité des cours est excessif et irraisonné, et que/ grave préju-dice il porterait à l'économie générale du pays s'il n'y étaitpas promptement remédié. »

Il vient tout naturellement à l'esprit l'idée qu'on nedevrait point tolérer de tels excès. Est-il possible que noussoyons de la sorte à la merci d'une poignée de financiers quipeuvent, En toute indépendance, faire Sur notre marché lapluie ou le beau temps, la baisse ou la hausse selon qu'il leurenprendra fantaisie ou selon que les poussera l'intérêt ?

Tant que la Bourse aura ce pouvoir quasi-dielatoriat ilsera vain de parler de démocratie en France. Et c'est la rai-son qui ROUS polisse à être, nous aussi, pour une réfoune dela Boarse des valeurs, mais pour une réforme sérieuse.

ina/dmel cuit pvfeevelaoi 1:toi latin soin hoi laohnunninzI-L. CHASTANET,

IMputé de

non, d'une tourniv vr, Europe donne un assautde jiu-Rou.

Coup dceil sur le Budget de la guerre

Deux Milliards enterrésEt la Mense If ationale sabotée

rosit, d'une part, l'oxygène nains-casera la yie des 'broméss qui s'y en-tasseront, n'autre part, l'eleetrieit4qui leur perm,tra d'y voir clair etd'exd.ter les opérations ou manu-vres dont elles seront chargées. Letout .fitera., dit-on, plue de deux

hune serait pas PaYer irae oberla sécurité. Mais, pour ce prix, onn'aura que l'apparence de la sécu-rité. J'ai

dit'et je ne saurais trop

le répéter, que si ces travaux consti-tuent des moyens de défense, ou bien11/3 seront inelficaees ce qui est leplus probable, bien l'invasionles tournera, soit en prenant la voie

ar aria Desdee airs et ceci encore est le plus

us ., Prainsi 'l'arnl55sttst, du ]" f2" obbi pue

SOCIALISTERédaction et Administration o 38, Rue Roguelaine TOULOUSE Tél. 0.43 C. C. postaux r 5.277BUREAUX A PARIS : 28, rue Feydeau (2. Arrondissement) Téléphone o Gutenberg 76-58 61-21

parties de la frontière démunies deces obstacl..

La Belgique, qui a oses.) d'être pro-tégée par sa neutralété, ne formeranotre couverture du Nord que si,elle sassé, en fouit dans la terre desmillions et des millions.

Or, tout porte à croire qu'elle necommettra pas, mieux avssée quenous, une faute aussi criminelle. Etalors nos dépenses n'auront servi deClou. Car le système défensif ne vautque s'il ne présente pas de lacunes,que s'il est continu et s'il barre toi,tes I. voies d'accès.

A la visité, en construisant desouvrages sur la frontière nord-estaprès la guerre de 1870, le généralSére de Rivière avait laissé béantesdeux trouées rusera faire les pointsde passage obligatoires de Etinvaeionet, par conséquent, pour .nalisercelle-ci, pour la mener là où nousavions le plus grand intérêt à sequ'elle fût conduite, filais ce n'estpas une fissure qui rotors ouvertedemain dan notre ligne; c'est touteune large partie de cette ligne quise trouvera d'avance abandonne°.C'est la route du Nord que none met-tons à la disposition de l'ennemi.

Avons-nous Cloue intérêt à ce quel'envahisseur éventuel s'engage parette voierersonne ne saurait le soutenir

après l'expenience de 1114.Les travaux auxquels unes con-

sacrer tant d'argent sont donc untrompe-l'oeil. Ils ne peuvent êtreautre chose. Si ils peuvent être unesource de profits pour certains. Ilsseront, en tout eas, daur l'avenir,une cause de douloureuse déceptionOn regrettera d'avoir privé l'aie dumilliards mis dans la terre. La forti-fication aura coûté beaucoup sansservir à rien. Et l'aviation, réduiteaujourd'hui à la portion congrue, fias

Per.'"ger:MeATIVZtl,°,1` Id'eraiddera de rendre et auxquels un état-major prévoyant devrait la prépa-rer.

L.t..Col. F MAYEB,

AU JOUR LE JOUR

Restaurants Américains

Il pa,aît QU'en Amérique, da,is lesrestaurants déganta, les bandit:.font &t'unifié, reraver as poing,dévalisent les belles dineuses et assomment, au besoin, leurs époux ouce. gui lis iYmplacent.

En France,- it est' arrivéquelquefois de recevoir. quelquesbons coups de fusil, voire même demitrailleuses, mais nous ne na. enportons pas plao mal pour cela. Lepréptdice matériel a été Parfoisaussi prend; mais au mains, aprèsavoir payé, id nous relate la peau,c'était déjd fa de saurs. En Améri-que, il parait qu'on rie leur Iniss.1même p. cela.

Aronez tout de même que, lors-qu'on commande en boutllon bienchanci ou sot grog bouillant poursoigner quelque grippe, il est dém.gréable de se faire refroidir par unendivedu qui n'est même p. de lasnaison. t'est même assez venant.

Et st. pour terminer un erses, tassedîner, vous demandes quelquesfruits des poires par exemple,pour bien montrer que vous êtes deteao qui en vives un individu qtesvous ne C071.i.l 2 pas vous envoiebrutalement six Prnneau., eh bien/non, plutôt crever des bulles de sa-von dans sa moine.

Mais aussi pourquoi les restaura-teurs ne réagtesent-ils point I Ilsont, sur leurs comptoirs, suffisam-ment de canons, dane leurs cuisinesesse, de batteries et de marmites ettnéme des gus, dans leurs fruitiersdes grenades, dans leurs caves deeboulets, pour répondre aux ireepor-c". oui tee devancent en tiranteux-mêmes des coups de fees,i surleurs clients.

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n AMÉRIQUE DU SUD sas AVIONDRNRAGNIE GENERALE PallefeSTALA

Pour avoir la santé

DES IIARITUDES TROP REPU..LIEUES SEBAIIKNT CONTRAIRESA UN BON ETAT DE S.ANTE

Les raipszé qduu'enrorepl.eonetédeeib

Chicago, 27. octobre. Le vi.mtyApulie, médecin particulier dei roidato un exposa fait au congres in-;ternational des chirurgiens, que si/e roi d'repagne, qui est Ml do43 ans, se trouvait actuellementdans des conditions de santé par-sites, il le devait au fait de n'avoir

4arnais cantracté d'habitué. clive-

- Mangeur médéné, piètre bu-veur, /e roi n'a jarnais pu s'accou-tumer ni une diete régulière, nima. des exercices nulsd'avance.

« Vivre scion une règle, déclara-t-il, mm.êche tes gens do prendre

.;i; choses comme elles viennent,les .prive d'en tirer le maximum dojoie et partant, de se maintenir enmeilleure sanW.

Le vicomte Aguilsr déclara enterminant que ceux qui vivaientselon une règle stricte devenaientvite nerveux et malades, /orémus lesexigences de l'évolution des condi-tions de vie bas obligeaientPabaRtRaRer.

La

A l'heure où je dois t mettremon article à la composition,je n'ai aucun renseignementme permettant la moindre, ré-flexion, le moindre commen-taire sur 1m événements de lajournée.

On sait simplement que M.Daladier a offert l'égalité desportefeuilles entre socialisteset radicaux socialistes u 4 con-tre 4. Mais il y a plus de huitministères.

Les autres seront repartisentre les représentants des au-tres groupes de gauche desti-nés à constituer la majorité.

Ce ne sera donc plus l'égalitévéritable.

C'est bien si l'on veut unepart propostionnelle à notreforce, à nos moyens parlemen-taires. Ce n'est pas la moitié dutout.

Voilà la seule remarque queje puisse exprimer pour l'ins-tant. Elle n'aurait d'ailleursaucune valeur, et ne constitue-rait aucune réserve, si /es pos-tes offerts constituent les pos-tes de commande dont je par-lais hier en disant que nousserions plus exigeants sur laqualité que sur la quantité.

Il faut donc attendre. Je nedm pas sans impattenee. C'estimpossible. Les événementssont si graves et se déroulent sirapidement, mina peu de fiè-vre chez nous tous rst inélumtable.

Mais attendons du moinsavec pleine confiance dans lasagesse et la clairvoyance denos élus et de /a C. A. P. dontle travail en commun s'il nepouvait aboutir à un accord se-rad vite repris par tin conseilnational convoqué d'urgence.

Cet accIdent de la rentréeparlementaire nous a mis dansUne situation que nous avionsprévue à échéance plus lointai-ne. Aussi, visiblement, la plu-part de nos militants n'y sontpas préparés. C'est fâcheuxcertainement.

Je suris de ceux qui déjà, de-puis un long temps, y son-geaient. Mon entourage sait quesans me douter bien entendude la proximité de la date, unnouvel examen du problèmede participation me paraissaitnécessaire, parce qu'il me sem-blait fatal et l'événementme donne raison qu'Il seposerait dans des circonstm-ces extrêmement délicates etpleines de péril pour no..

Certes, je ne reproche pas ànos congrès d'avoir éliminéJusqu'en cet examen. Je CrOiemême qu'ils ne pouvaient gnè-re s'y livrer, puisqu'il eut fallupour prendre décision, connaî-tre les circonstances et les po-sitious des autres partis.

Mais si chacun de nos mili-tants, surtout si nos déléguéshabituels aux congrès ont prisla précaution d'y songer aussià l'avouer et surtout depuismercredi, les débats du conseilnational seront clairs, rapides,et la ré-solution finale eonfor-me aux intérêts du parti.

Léon HUDELLE

P. S. J'apprends que legroupe pmlementaire vientd'accepter 1et propositions deM. Daladier. Plais pas à l'una-nimité.

86 y sont favorables.12 y sont hostiles.Mais cela ne fait que la moi-

tié de l'effectif da groupe.L'autre moitié s'est-elle abs-

tenue ? Ou était-elle absente ?Mais ce vote tout impres-

sionnant qu'il soit, ne sauraitêtre tenu pour définitif. Et unconseil national s'impose d'ur-gence pour décider en dernierressort,

Nous vivons dre heure» ex-

Crise MinistérielleM. DALADIER N'EST PAS PLUS AVANCE QU'HIER.

LE GROUPE SOCIALISTE VOTE A LA MAJORITE, LE PRIN CIPE DE LA PAtITICIPATION.

MAIS LE CONSEIL NATIONAL SEUL PEUT LUI DONNER L'AUTORISATION.

LA DECISION DEFINITIVE EST DONC RENVOYEE A DEMAIN.

trêmmnent graves pour nous.Le moindre faux pas, de quel-que cote qu'Il nous pousse, las-que de nous faire tomber.

Souhaitons que nos élus etnos délégués au conseil n'enfassent point.

L. H.

Dans l'AttenteNous attendons un ministère.

Aurons-nous Daladier, cherchant àgauche une majorité; tel autre fat.sortappet à la concentration; telautre encore orienté davantageOres la droite ? On verra dernninou les jours suivants.

Mais nous pourrons bien 'êtredouent, majorité ou sur les bancsde l'opposition, il y a quelquechose qui ne subira aucun change-ment, aucune altération, c est notrevolonté bien arrêtée de porter toutnotre effort sur le terrain des réa-lisations.

Que ce soit des cotonnes dejournaux ou de la tribune du con-grès de Reims, Pcmonne. cetégard, m'a le droit de douter denous.

Nos votes et nos programmesson a.

Libertés publiques et démocra.lie, fiscalité, lois sociales, instille.lion, organisation de /a paix, jcsmais nous n'avons eu de défait.lance pour rien et sur rien.

Nous n'avons ete, a aucun mo-ment, du Bloc national, nu de

nationale.Nous ne sommes pas d gauche

par éclipses, et suivant les coupsde vent et les orages parlementai-res.

Notre parti, par -sa doctrine, sonprogramme, se tactique de tau,jours a été à la pointe de tous lescombats : dans le domaine poli-tique quand il a fallu défendre laRépublique contre les hordes de /areaction et du nalionahsme; clansle domaine social quand il fautaider les travaelleurs a conquerirdu mieux-être el à préparer leuraffranchissemenl; dans le domainefiscal quand il faut rée/amer auxriches leur part des charges socia-les et libérer l'Etut de r oppres-sion insotente des puissances d'or-gant; dans le domaine internatio-nal quand il faut rechercher lesroutes de la paix dans le fraternelrapprochement des peuples.

Nous nous sommes mémé sou-vent trouvés seuls, ou Presque,dans ces tuiles implacables où sejoue le destin des peuples.

Aussi attendons-nous de piedferme, l'esprit clair et la conscien-ce sereine, les puériles accusationsde cem qui tenteraient, à la faveurd'une crise ministérielle, de nousfaire porter des responsabilitésquelconques dans l'échec d'unepolitique de gauche.

Les responsables d'hier et dedemain seront ceux qui, dans lesvotes parlementaires, sont infidè-les à leur programme.

Là a été et sera l'épreuve quimettra les hommes el les partis àleur vraie place.

Pau/ FAURE,

DépSoetcé l'rêtairs gérl -'J.1015

Chez les SocialistesDISCUSSION DANS LA NUITAu groupe socialiste, la discos

sion a été longue et animée. Troisthèses se sont affronté. ; le refusimmédiat de participation avecPaul Faure ; la convocation duconseil national du Parti Poiir oRdécider avec Léon Blum ; ater-moiement peur entendre M. Dais-dire et obtenir des précisions avecRenaude],

Longtemps, la première panrtdevoir remporter ; cependant, à lafin, le groupe décida de se rallierà la troisième, ainsi qu'il résulte-le cet ordre du jour voté à rimani-rnité moins une voix

s Le groupe donne mandat à sadélégation exécutive d'inviter M.Daladier à préciser les conditionsde son offre. a

Les précisions que le Moulée su-cialiste veut demander à M. Dala-dier sont relatives d'abord au norn-bre et à la qualité des portefeuillesqui lui seraient Proposés. en.dîe àla composition de la future majo-rité.

M. Daladier s'est rendU Os l'invi-tation du groupe socialiste,

M. DALADIER AU MILIEUDE NOS CAMARADES

La délégation exécutive du grou-pe socialiste a reçu M. Daladier àla Chambre, à 22 hetties, et a con-féré avec lui jusqu'à 23 h. 30.

Des précisions lui ont été deman-drea d'abord sur le programmélqu'il envisage pour son gouverne-ment. A cet égard, il s'en est terneaux quatre points principaux ex-posés dans sa lettre ensuite surl'attribution des portefeuilles, il arépondu que l'égalité complète se-rait respectée entre les socialisteset les radicaux socialistes tant surexemple 4 et 4, que pour les pos4tes de commande.

Les socialistes étaient déjà fluésà cet égard s ils savaient que Inparti /sacs] et le parti socialisteseraient traités son le pied d'éga-lité et qu'enfin M. Daladier atten-

Lé.; 4,énle eu apprenam rj:11.!artee proses, evoo

cpoi dentprruisr kqu Jlleoup% r:nvvaeitolàiicL réra,iutnrion, Paul lioncour déplus

P Enfin, sur l'étendue de la majo-rité qu'il envisageait, il a déclaréqu'en bien des circonstances unemajorité républicaine avait pu semanifester à la Chambre, rnajoritéà laquelle les socialistes n'avaientrien trouvé à reprocher. En sommeon pouvait résumer ainsi l'attitudetrès souple de Daladier e Accep.',es et nous discuterons après.

Nos députés votent

la participationLe groupe socialiste parle-

mentaire a voté, par 86 voixcontre 12, son acceptation auprincipe de M participation augouvernement. Le Conseil na-tional va être muni, demamprobablement dans l'après-midi, pour en décider définitnveinent.

Le Conseil nations/ du partiest convoqué pour demain soirà Paris.

Cet organisme est composédes membres de la commissionadministrative permanente duparti et d'un délégué de chaque

Ajoutons qu'a l'Issue de la

Fédération, qui dispose dei'mandats de cette dernière.

Le vote par mandat est de-mandé pour les questions im-portantes.

Le groupe socialiste deman-'dera naturellement au Conseilnational de se prononcer pour'la participation.

Voici la note communiquéeà l'issue de la réunion

Le groupe socialiste parle-mentaire donne son avis favo-rable à l'acceptation des pro-positions de M. Daladier, con-firme le mandat donné par hdd la délégation exécutive et in-vite le bureau du parti à con-voquer le conseil national pourlui fournir une affirmationcomplète.

e I/ ne s'agit pue d'un Setsde principe et moi, le partisanle plus résolu de /a participa-tion, je demande à etre tufo,mé et à voir e/air.

Les douze membres de la mimé-,sité sont e Frossard. Bracke, PaulFaure, Morixet, Léon Blum, VI.cent Auriol, Laques, Larache;Compère-More], Masson, Deguiseet ConstansI

Mais il y a lieu d'observer qu'eriraIson des circonstances dans les-quelles est intervenu ce vote, surune question de pnonte qiu, eriréalité, a pris la valeur d'un veteseul, fond, les &nue membres dela minorité ne sont pas tous hosti.,les au principe de la participation.

LES CONSULTATIONSDE L'APRES-MIDI

M. Daladier a repris cet UPrèavmidi ses concultabons a 14 h. 05.

Après avoir copieusement déjeunéchez un ami personnel, le présidentdu parti radi.I a reçu successive-ment MM. Steeg et Maurice Sarrautau 32 de Pay.. des Champs-Ely-se..

Une foule énorme se presse de-vant l'hôtel particulier do beau-pèrede M. Daladier, h tel point arà namoment &mué la circulation a MS

I.ES FlIRIS SONORES

L'acteur de elnéna allemand Vie,elt pat lacs per télhAmne de Bette, à Hollywoei

dia de earnplaen un film pelant dame lequel d Reg

25 CENT, LUNDI 28 OCTOBRE 194

POUR LA ' AIME FOIS ON PROPOSE EFFECTIVE.MEN': 'X SOCIALISTES UNE PART DU POUVOIR.

ET LA GROSSE NIAJORITE DE L'OPINION PUBLIQUEN'EN EST PAS INDIGNEF NI ETONNEE,

ON COMMENCE DONC A NOUS CROIRE CAPABLES DEQUELQUE CHOSE?

NOTRE HEURE EST PLUS PROCHE QUE NOUS LEPENSIONS.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

-Interrompue; il faut faire appel hdes eseouades d'egenis pour eamt-liser la foule.

Marée en entretien d'une Joui'heure avec M. Daladier, M. Steogquitte le domielle de ce dernier ;A Fair soucieux.

Il semble, dit-11, que M. Datediereut optimiste. Je ne puis cependantrien vous .dire d.e sensationnel. Jeree souviens qu'il y a quelques an-nées, lorsque je fes appelé a MIS-usée par M. Millerand polir constituerun cabinet historique, j'avais dit à

presse des gouttées qui, le lende-main, parurent sur les journaux.

« blé quelque peu surpris, carles boutades n'ont pas de valeurlorsqu'elles sont écrites; il leur Imanque la saveur de l'intonation et,Ie rictus du visage des personnesqui les ont pron.oneées. Je mois queM. Herriot arrivera ce soir à Paris.Il sera immédiatement mandé au-près de M. Daladier.

-DE L'OPTIMISME

M. Maurice Samaut sort à eon tour.111e chez M. Dadadier.

Bien qu'il soit navré à la Imm.,Ove de nous voir au pouvoir, il es-aie de faire contre mauraise for-

tune bon coeur.J'ai trouvé /e président, dit-il, très

satisfait de la réponse des seeIalle-tes. Il est très confiant dans l'Issuedes pourparlers qu'il va poursuivrecet après-midi. Je lui souhaite, d'ail-leurs, complète réussite.

Et M. Maurice Sarraut, l'air trèsnnuyé, pressant le pas, regagne son

auto sans repontire aux autres ques-tions que lui posent les journalistes.

A 16 h. /5 arrivent socee.ssivementMM. Caillaux et Julien Durand, ten-dis que M. André Marie, après uncourt entretien avec M. Da/miter,quitte l'immeuble des Chan-Me-Big-e/es.

M. Julien Durand ressort quelquesInstants après et déclare r e Je suisvenu étudier avec mon ami Daladier,certains délai% des événements .4eu déroulent innvant nos prevismns.Le président du parti radical pour-suit ses négociations avec le plusgr.d optimisme.

Cl. Chautemps arrive peu aluère età 16 h. 45 M. Caillaux sort.

- Quelle est votre opinion, lui de-mande-trop 2.

- Excellente. mm impressionsSont tounnes hes bonnes ; on rem-et tm-dome dans la vie quand on leveut.

DEPUTE E MUSTexclu du parti socialiste

to,13r.reol' ia1i7ste'ret'erbulie-larni-eotessente s

Le comité fédéral, réuni à(a Mune, considérant que le ci-

toyen Ensile Coude, député, pardes attaques et calomnies paruesdors son journal n, Le Gri du Peu-ple a, cherche à Jeter le discréditsur les élus de la Fédération et sesmilitans, qu'il a combattu les can-didats socialistes aux élections né-rush/nia/es, qu'il a entrepris la créa-tien d'une Fédération dissidente eninvitant ms amis personnels &combattre la Fédération du Finis'goyle citoyen En.. Gaude a man-flué gravement aux principes etaux règlements du parti, a violé lesena.ements contractés, a commisnature à porter gravement préjudi-ce au parti, le comité fédéral, dansson unanirn., a prononcé l'exclusion du citoyen Coude a.

CLOTUREdu Congrès Radid

Rehus, 27 octobre. - La &relateMance du Congrès radical-socle-Rele s'ouvre a 10 h. sous la prési-dence de M. Marehandeau,

M. Marchandeou félicite les dag-gués du parti pour la conscience et)e calme qu'ils ont mea.. dans

Il exprime son ferma espoir devoir bientôt les radi.ux reprendreta dimellon des affaires du pays.

< Reims, dit-II, fut /a ville des sa-evres ; elle cst aujourd'hui dans sonrôle puireque nom aurons assisté àun véritable same républicain. »

L'Assemblée adopte ensuitedébet le - rapport sur les jeuness.républicainea et leur organisation.

M. Doncedame, rapporteur de lacommission -des ragions libérées,denne brièvement lecture de sonrapport qui demande le versement°rapide aux sinistrés des indemni-tés de dommages de guerre qui leursont dues. Les conclusions de eut,.lacet sont adoptées.

Apès une brève discussion, on dé-cide que le Congrès de 1930 sera,selon /a décision prise â Angers,tenu à Greneblm

Sur la demande du président dela Fédération de la Hautedierenne,en ne prend amasuu dem.co sem lelien du congrès de leal.

M. Thierry Cotes, ancien députédo Gers, fait adopter la motion sui-veme j

a I.e Congrès, follOrtrelant le voleprranime du Congrès d'Angers, in-vite les députes du Parti â se me-dredaggerce â la proposition de loiprésentée par 31111. Naples, Sen.,MaLvy, Lassalle, Pierre Deyris, Gas-ton antenne et Léo Beeryssou, ayantpour objet de maintenir le principeconstitutionnel qui veut que lel'ombre des députés soit toujourssupérieur au nombre des se.tenrede choqua département. e

M. liênerd, députa dm Maine-et-Loire, rapporteur de la commiseuade la déclaration, lit le texte de ceaaanifeete â l'Assemblée, qui mar-i, frequeinment son approbationpar des applaudissements unanimes.- Avant de olôturer le Congrès, M.Marehand.« félicite l'Assembléepour /a belle tenue de ses travaux.

«Vous avez fait de La bonne las.gagne. Elle se poursuivra d Pariaai se réalisera cette enter] des ger.elles qui nous permettra de murer.dur le terrain perde depuis quel-quee années.

La séance est levée à midi.

LISEZ ET FAITES LISELE ri MIDI SOCIALISTE e

PROPOS D'ACTUALITÉ

Les orig5nes "riflard"ITOU VIENT-IL - SES FORTUNES DIVERSES.-

SA VALEUR DEVANT LES TIGRES.

Aujourd'hui, où le Manteau deeamat.hone et le trenc.h-coat 2011i.entrés dans nos moeurs et dans no-tre habille/ment, le parapluie tend hdevenir et devient de plus en plusun instrument ridicule. Préhistori-que, serait-on tenté de dire. Et,pourtant, saileon, aussi étonnantque cela puisse ...Hee, qu'il ebisser° que 77 uns que le parapluieest entré dans nes mceurs et s'estpopularisé

Oui I Le parapluie qui nous pa-rait préhistorique et auquel on atenté de donner /es formus les plusextraordinaires peur l'adapter augoût du jour, n'a même pas un si.ele d'existence. Sa grande popula-rité nous est venue d'Angleterrepaye des bruines et du brouillard.Et celui qui l'a mis à /a mode n'estpeesonne d'autre en'. homme Ou.

eu servir 'de gon parapluie -et, elesiamoutrea, ia s'aventura dans /esrues. On raconte que les femmess'enfuirent effrayées MM eonSage et que les ehevaux faillirents'emballer. On exagère peut-être,mais te fait est que la mutation deBaltimore prit fort mal la chose.Des bourgeois menus et Indignés,aidée de cochers, tomberent k brasraccourcis cor le pauvre homme, lelynaherent presque, déchirèrent etbriserent son parapluie.

Il n'y a vraiment que ahez I. Im-putations nageee que le parapluieait connu, d'emblée, un sort omit-/eue. Qu'il fasse beau au qu'ilpleuve, les négresses s'en selve.,non pas pour ,'abriter contre le .0-lett eu la pluie, mate comme d'unePeru..

Enfin, pour tout due, la zoologie1 Igue mo a S . Wllliaua Fou, elle-même a livré sa contribution àCa William Fox, du reste, fut un l'hgtoire dee péripéties du para-

homme qui ce.es boaueoup l'opi- pluie dans le monde. Un des chas-selles de tigre Inc Pme réPntésla grande ménagerie Hagen.. deHambourg n'e pas craint de dénia-reg qu'il fallait combattre le tigrette,,ris;.En 181,1,44,r 44_1ftpiiat a,0i,4 cze tirioil;

religieuee qui n'admet qu'une per- Ce rUarbà PeeLPIri Ii'aviVesonne en leu et qu'au a appelé rue et ne pas -atteindreljP-/lt:u

.13nraerfr'riruarierrE'exa''clret-1Duos

ounarare.h'areg"gre rurirnx,"4-ministre de cette nette et se mit â conciles plus 'grariadrsrdlang rh.aretra'Boa,prigher dont les grands centres an- assure le chasseur de fauverrde fl'«genbeole, si le ...eue est. ale.

di'un paraptuie et l'ouvreeus-

se/aydZ porrenraessrrllre la fuite.Dei,,,e,e,tt sa pour quellearme dange-rle man: Jemx m-cep.dreap uiljoungle prend

Ires Oublies.

olou de'rerTi%errl,1730, il eutprianos jeunesse agtitièreanent

gMais de tout temps, en Angle-

terre, la religion fut l'antichambrede la politique. Après avoir délaisedsa vocation premier°, Fox se lançadans la critique drematique, où ilparvint à acquérir une assez belleréputation et h eattirer, par ses in-tempérances de langage, de fortbelles bistoiree. C'est alors qu'il enlanée h corps perdu dues la politi-que. Eu 1813, il ruvoudiquail,les meetings, les refonnes les pluslibéralrv et en 1817, il fut lIa amm-bre de la Chambre des communes.

Pull sans doute au cours d'nrvvoyage qu'il fit en Asie qu'il e dé-couvrit a le parapluie. Il le ramenah Londres en 1832 et en fit exéeuterplusieurs modèles. Puis, hardi-ment, il se risqua dans les ruee'dela capitale.

C'est le eas de dire que son sue-ale dépassa toutes les espérances.La ahronique

hrelomenfner upporteo4lrrFox

?su!' ;44' grer'iéteo.ge crt=ture s'en mêla. Et, en quel.es se-maines, tous les lendonniens eurentleur paraliluie.

Au fonot, quellee met les vérita-bles ori-gines du parapluie, nul neIo sait. Son prrneipe est vieuxcomm. le monde, Les écritures chi-noises du onzième siècle avant J.-C.mentionnent déjô l'existence du pa--rapluie dans l'Empire du Milieu.Sur les basareliefe du Palais desRois de Ninive, sur les fresques destombeaux de Memphis et de Thé-bes, noue trouvons déja des repro-ductions de parapluie... à moinsbu ce ne soit ole parasol.

Mais une remarque est nécessaire.Le parapluie et le parasol Maienà cette époque lointaine, un attribut des rois, des princes et degrands prêtres. Le fait qu'os letrouve sur /es tomheaux princierset les palais royaux ne laisse aucundoute à ee sujet. Le peuple n'avaitput le droit de se ruade d'un para-sol qui, des sieeles durant, resta unsigne de la sageese.

Il n'est du reste pas besoin de re-monter ai /oie pour retrouver cettetradition. Ellie fui Engtemps enhonneur dans /es /adue et il estaujourd'hui encore des provintrshindoues oir les parias n'ont pas ledroit de se servir d'un parapluie. Onsignale même le cas d'un princehindou, qui portait le titre suivantn. Mattre de l'éléphant blanc et d

.aongt-quatre parapluies. s Ge princeessartait effectivement deux dou-zaines de .parapluies, attachés en

ferme de faisceau, et qui symboli-I sate01 les vingt-quatre provincesstliogo iesquelles s'étendait sa domina-

Couloirs el CoulissesIl doit se - tenir à Londres, au

mois de janvier, une conferene.enavale a. laquelle participeront laFrance, l'Italie, le Japon, l'Angle-terre et les Etats-Unis

Au dernier conseil de cabinet, ohlut discutée l'invitation anglaiee,M. Georges Leygues, ministre de lamariale, dota maint. explicationsstar les questions qui devaient lirediset.es à cette conférence, MaisIra collagues de notre grand anai_rai, après avoir entendu son expeeé,furent effrayés à la pensée de fen-voyer â Londres.

- C'est en janvier que se teentla conférenee t interroge. M. Bar-thou.

- Oui, en janvier, clpendit M.Leygues.

- Le climat de Londres est biendangereux en ao moment, émit M.Tardieu. Les br.illards sumadentaux broui/arcls. On a I.dt fait pren-dre une 'morve/site-

- Et notre ami Leygues est en-core mal remis I interrompit heMer..

- Mais non, eher mai, riétomqualo ministre de la marine. Je veldmieux, bien mieux. Je rempliraimon devoir jusqu'au bout I

Et inalged tontes les insinuationset toue Ire conseils, M. Leyguess'entêta à ne pas vouloir laisser àune autre le soin d'assister h la

Quand le ministre de /a marioufol parti, M. Briand remarqua

- Un portefeuille, c'est difficileà ...hen mais bien pinvo diffi-cile â abandonner.

X

eterost Ceciain est toujours heu-reux de oe qui se passe dans leparti communiste. Il a, d'ailleurs,Peehine msan souple pour être sanscesse courba en deux devant le mai-tre de l'heure, pour le -moment,l'ex-curé-offider Florimond Foute.

Le député de la Seine disait, eneffet, â /a suite du récent nettoyagedes tranché. bolohistes

Nous n'avons paevs besoin, dit-il d'et,. nombreux Nous sommesOu parti de cadres. Or, des cadresdoivent être sûrs. C'est pourquoiA vrai dire, on ne sait pas teop nous élimineOs les hommes tiedesPremeluoi Fox s'eu est allé ober- et les timides, Moins nombreux,cher le pamp/uie en Joie Le i imue mages plus forts.°Me en Malt connu depuis long-temps sur le continent européen. Auquinsième secte déjà, certains sei-gneurs italiens avaient disposé surleur monture, une sorte de balda-quin de cuir.

An diX-seniitiMe siècle, 10 para-pluie fit une première apparitieuFrance et ee Angleterre. A Paris, ilresta un aiolbut ces gens de laCaur. En as/déterre on te rrgu(aven une grande méfiance. L. mé_berne stlraMIS a ffirrnerent alors,avuo le PI1-13 grand sérieux, qu'il

Seules, quelques graudes damesl'adopté.o, malgré l'avis d. mé-decins. Le parasol Mait fait en plu-mes d'oiseaux, Media MM tan frèrele parapluie avait une forme phispressen et Mail d'étoffe recou-verte de .eire dom usage ne fut a.généralisa Dans Ire rues de Lon-dres, on Insultait /es peeseeneeosaient se promener avec desparapleree et les leu

minera insulte -furent les rocherus

s et les porte r --rrpour lesquels la pluie était toujomsun dna du Mol.La parapluie dtat attend ion.qu'en 1852 pour

rron droitde cita et se priputarmen quoicto.sen principe fut mem depuis eleeMétre Lu.. F. me lassé lamode en Angleterre, le parapluie

P.« la Manche et vint Inc le con-tinent,et?ùiaire.

il connut E marne vogueextratilXLe parepluie, eeneidérer souhietoire, eut partout là on I/ se preeuâtezeuur. lu première foie un sort

inter parapluie provroZae'plergur

r Pre-une révolte de Popmion publloteer.entait en i772 Un riche habitant Le préfet ne dmItabt du lado Baltimore, de retour des Indes, de cette visite, dit au candidatbail mliPorté avec lui un para- - Si o'est pour une subverti....hile biniou.

On ne peut rien vous cuber,

malheureua eut l'idée saugrenue de renolm 12.34. 5- 4.

Me/ devait absulument eortir , le - Ce n'est pal, moi qu'il fautihr jour qu'il pleuvait à Verse Mi Mar Préfet I

paler113.rimono1u.Bonte, (dileateer ,elu

eialists chretieDoteraiva vos droits, disait-il

aux travai)leurs, soyez socialistescomme moi si lavoirs plana maiscroyez en Dieu et altos à l'église. I/n'est pas de plus bette et amble can-striation /

Lui-marne, le dimanehe, 8e ren-dait à 'Mese et eeoutait pieuse-ment ia me.e.Aujourd'hui, token FlorimendMed plus socialiste-chrétien. /I estdevenu communiste. Mais il nemange ni CLIPNI ni bourgeois. Il estau contraire leur meilleur allié.Comme enn.ernis, Il ne commit quelas socialistes.Ne dit-il pas, muvent, dans sonbureau de « Humanité- Les mcialietes candtiene sontnos meilleum 000illairre. Ils nousamènent des (roupes. West . dans"lm range que je suis devenu .1-

oheviste. Ils m'ont appris l'amourde Eden et la lutte des Masses.

XAu cotes de sa ...gr. élec-

torale, M. Ehrlich, candidat de 1310enational à roleetion munijoipalepour le quartier de /a Gare, vinttrouver M. Renard, prétfet de laSeine, dans une tenue qui étonnafortement ee haut fi:notionnel..

- Mon ober, c'est voulu 1 répon-dit le visiteur. Je m'aérasse h desprolétaires et ,le combats Marty. ne'oublions pas Cent un gros sacri-

f,iee Mie je con.nc sur l'autel de laonne oause

LE MIDI SOCIALISTE

- André Tardieu! Allie' Ter-dieu I c'est une vieille nertaiesse-1. Fais te voir il se feutra de

moi I

Le notrveau maitre de I' « NUM,nitré s a donoll à tous ses collabora-teurs une mnsigne : ils doivent àtoute «Oasien dénoncer la guerreque /es Etats bourgeois menacent defaire â /a RUSSie soviétique.

Les redacteum s'exêcutent : lespurs, avec le pinac greed erie54,Iles e.pecte III en reste), evee quel.ses ironie. Tous les artie/es ferlcsoient poiltiques, eportife ou desimple information, es terminentdoon par une flétrissure vigoureusede La a guerre impérialiste c.teePU. R. S. S. a

Le bourrage de crânes bolche-viste n'a pas grand serges la ventede I' Humanité ra à Perle 0, eu of-fet, beiosé d'une manière sensible.

M. Painlevé, ministre de la Guer-re, 0, feilli être candidat au Sénat.

Dam le département de l'Ain, eneffet, dont il est député, les trois sé-nateurs renouvela/des cette année,étaient en désaccord. Les amis deSI. Painkve .peraient à la faveerde co. dissensions, faire entrer ie

,oniemr; tuant à an de ee...Souipiec,mêlée, Bousquet faune liMe esarnmmt et

mtnintre a,r Losenaileeung,Alors le Tom émoustillé fait donner eesMais M. Painlevé intervint auprès trois-quarts Cela diviezt, enfin ini17::

des trois sénateurs et réussit à les aniule.trzrui,t:irn%a.-b:. roousvrest enyahrvoll.t

mettre d'accord.Ne voye-vous pas, lui dit un rate le dr., mec mat lei Deo,. enrières

de ses amis, après l'événement, que blanches pence à Femme. Dame déplace,vous asies, par votre manuvre, raté Grec., bande et oser en bel ecal euet'occasion d'entrer au Sénat f le Tem de sleesfadde em. Te. 3 Poins.

Le ministre répliqua : Er à nouveau la eartiebtretee.Sdnat 1 Moi Vous muinLo,,menalr nesai ,de

M'oyez dont style. ILe pauvre, il n'y a que lui qui ne

s'aperçoit pas ,de son dual,ute,w.

Chronique de la T.S.F.Programme da 28 °dodue

RAMO-TOULOUSEDe 13 heare. à 13 h. 30, comert

egueD 13 h 30 à /3 h. 45 foires et mankanu Encore ana fel, en jouant aux madeDe 18 hem.. à 18 h. 4e. B.rae du le Toc arrive près de la liane mec...,

commerce, rés.,. des mec. Nom cuve Les del. &mie, masie.Do 13 heures à 19h. 15, emmert sent fatiguée.: le leu va, vient d'un censSMli Paatre avee mss extra:ne mobinté: le

Deettino concertante (13.onili Tom qui Soue dms lee vinatodenaMehin s Wheaseeaul: mélodie de a La amie est par deux fois sur le point de

Belle Meunièm s (Schubert-Liemb forcer la victoire, (aec fois meme lesDe 19 h. 15 à 19 la 30, informa... avente s'effondrera duos les baba caleDe 19 h 30 à 20 heures, muesns de ne peut y réussir et c'eat la Le.

dense. Cette materaps re été celte du Tom.De 20 hem. à 20 h. 15. loures, eima. Sur un mrmiu aussi mua, aus seule

usaisase s'imposait, taper des coups à

nosF0, 1010 1 " h. 45...-h-" sen' r7 rte stsioalOrZon't'dpane uloaunr:,Ue'r'cl, tri

ajcocajj mua), j La carnaval eu cemtraire à mutasses une ballon insai-rom.. » (Berlioz): o Fred.. 1Weber/1c Dansehonermse Dmse ,s, 6 A cause de le température, les Albi-

Moven) n Allearotte. plus avantagés que les Toéentee. dont lesDe 20 h. 45 à 22 h. 15, concert, lime, meg. Enke« certnmemeneChant opérettes :

lettresCeci dit, les Tecistee présentèrent nos

Brehmelt Huitième semehoMe bonds "'n" brn

ligne d'amuis jeune. fougueuse, farcie de(Yasin); Valse de lads.; Sa vous con-naisses Pere.. e Elle est vous (YvaitdElle est à vous- la tegada, Pouett...Panera- jules,.

Chant d'opérésin La Pb-el:eues de Perles a (Bizet);

C'est tol iiiien,in je revois., a LesNoces de Figaro o (Mozart) n 0 nuit en-drainteresse_ Ne tarde plus; c FaustlGouovd)n °el.-e°, solder

Les trom-quarts nasnes mu 11m du","'17.a slave o.o' tacreeln firent de leu mime. Rkerdo et8 s (Dvorackl ; eAb399 F`'''ne-r IDucos se montrèrent parfole à leur avan-comine) ds V l 9: e er 99"3.1 -.9)96 tam (h on taille au début, ac re-hansonnettee .

elseta Pat laAvec les mea de l'amans a: . Unepetite 5 CV et un cee. a (Pearly). Les Albigeois donnèrent l'impressien

Roui que la victoire leur importait autant queleo premier maillonCalétieloto a (d9 renoue au Sils avaient davantage accentué leurs

Musique militaireMache des bouclier s (Courcde):

° Le ErIlmem s (Parlds o Le Traders-dom a Me/lent.); s Delm. I7t Mm's

A 22 h. 15, le journal ems papier del'AL.. du Nord.

TOULOUSEPYRENEES

A 17 h. 30, concert de musique enre-eldrie.

A 08 h. 30, diffusion du Radio-journalde France.

A 20 h. 20, dernières nouvelles. coursdes cbanses, bnlluonn Limaeler, bels.m

A 20 h. 30, courrier des lettres pax m.Yves Pariee.avomt à le .0.

A 20 II. 45, gemmations, cormammarsée

.20 h. me relaie dé Paris-F.1e supé-rieure dm P. T. T.

Pur les km yu tàrue

'zie, e2e71."t.r -i Spanndo are'o .bourg de l'ouest de Berlin, entredeux trabus de Bohémieac,

Oninse personnes ont éld blessées,dont quatre grièvement.

La bataille a duel de 1 heure à3 heures du matin et n'a ête Inter-rempers. que par l'intervention deforce. de pollen importantes.

Vetol IIIPlusieurs familles de Bohémiens

se trouvaient dans un café de Spart-aac, taaamenea Bohémienne, parti-etzlièrement jolie, attira l'attentiond'un consommateur, flül ne mit à luidébiter des compliments.

Un de see compagnons, subite-ment Pl.., ne PINeillile sur le ga-lant et, l'abattit sur le sol â coupsde couteau.

Mis ert action par ce premiermeurtre, les Bohémiens commencè-rent aters à se battre entre eux, es-cités par lettrS te/Ternes. Les coupede revolver crépitèrent et les cou-teaux entrèrent en jeu.

Avec des cris épouvantables, lesdeux bandes mi ruèrent. l'ove surl'autre, tandis quo des centaines despectateurs suivaient ce tournoid'un nouveau pence.

La po/ace, encourue, disperm lescornhattmts, mais ils se reforme-ront à que/ques centaines de mitresplus loin et la bataille reprit avmrage.

On dut appeler des renforts pourmettre un terme définie au combat.

Les Bohémiens Mese., as nom-bre desquels se trouvent les deuxchefs de bandes, ord MA pansée âl'hôpital. Malgré la gravité de leursblessuree, Us ont refusé de se faire-hospitaliser et ils font partis roueune destination limorme.

La Vie SportiveLes Championnats

lcaui.nssoesenn'na,Albaàaoousumg, mare..

A la reprise, un tenu de Bovermei mo-tive an coup franc et le Tom domine: an.lu Albi réacit à /MEam sm can, etmem. m/e.ee, celui de ms, advenait,amis coudais Dscos s'empare du bail,brûle ses advereaice, serin. émeniumen]Pendant 60 mar. et termine ee coursepar un petit ema de Med. Bousquet sali-ne de lumena. Cl salendide emloit edfou amteedi ose le publie: toor S tourAlbi et I. Tree preonerm leRimer, fait eee erembe feta. de Passa.lIta et rasse a Dobédel ose rat, lu passeet l'essai

Pa

A TOULOUSE. - Saule Toulocal.121 bat Seetiors Pelote. (2) eer 6.à O.

A TARBES. - Onaduoasoa Tarbes batRacing-Club Narbennais par 14 à I.

Nerra supériorité des avants narbonneissur un pack jeune, plein de volonté, mais*me cohésion, Les lignes audoises ont ,ru faibles et ont été surclassées par les

divisions tarbaisee.Te. les a... Saunes sant à Hee,

si que l'ailier droit.Dekiet, clez les hi... a OH le meil-

leur. après lei. Cccana, Mommt.Mua, les eleos arrières, eat ME à le

hasteem de leur tache.Bon and.. d. M. Abel.,A PERPIGNAN. - Arlequine Pernis

ans.ie battent lee Léalansucis par 10 à3.

En résumé, bonne partie môles catalansse montrèrem supérieure à lems toner.,tee et firent mer. do plus da science, d.Stens et de cran.

A GAILLAC. - Stade GCE.. batOleavaioue de Cc... per 6 à 0.

A CARCASSONNE. - A. S. C. batLI, P. P. par 015

PerOo intére.anie mais j011ée Bol, lacependeat Inc da,ue équipes redora

blèsent d'ardeur et Carcassonne ne lev'MM& vol de juneese, Mem à stt estéldilde Vais

COURSES DE CHEVAUXA TOULOUSE

Voici /es résultats de /a journée dudimanche 27 ...hm

PRIX DU MESNILcritérium, .eco lise, 1,200 mina'I. Boa-Eepoir lBridaeland). à M.

A Bouter.'Camant, 24 fr. 50. Placé, 8 Francs.

Louied'Or-II (Rivière). M. JeanEtchepare. Placé. H h. 50.

Sooty (Faucon), à M. Achille Fould.Placé, 8 fr. 51)

Origines du gagnant Southern et Bon--

Non p/acês u Ls.Vdllsvn, Lingot-d'Or,IZo4t.t.,% irRc-de-France /I, Libertine /V.

Distance n 1 longueur et demi, 2 Ionssueurs et demi longueur

PREMIER PRIX DE L'ELEVAGEPur sang et derninang analsarabee

Lru'r'en":d'Anduerain's

Camants 7 francs. Placé, 6 fr. 50.2, Domino-Noir Mt.), à M. Pierre

Bries. Placé 23 francs.Origines du gagnant n Rebelle et Duc

raataine,

rtal'i Ee'"'Distances I longueur, 2 longueurs, 3

longueurs.Le-Rebat, 1 M. Laurent st Audurain

mhete 50 000 homo, par ladminierra-rion des haras.

HANDICAPDE LA HAUTE-GARONNE

6 900 francs - 3.600 mètreeI. Le-Comac fOrv), 1M, Geomea Pav.

cheb000aann 91 1m. sU,

reje1anta

3. Zama. (Perte), à lot. J. de Soirdace.

erielnee du jases. : Bien et Le Cor-n/Me.

Non placée u LaSalengibeb, Nadar-11,Miasme, Anticartelliste, Maritm, Hélian-Hus. Draga.

Distances 2 longueurs, 2 longeures etdemi: 5 longueurs.

DEUXIEME PRIX DE L'ELEVAGEPur sang et devisons anglostabee

8 50 p. 100. 50.000 freines, 2.000 mètresI. Thimeen (Bourdelb). à M. I. ISMes

Har-Gagnant, 30 Iran.. Placé, 6 France

Kedson (Cantal), au baran Gasomt.Placé a fume..

Draa...d'Or (Croce.), à M. jeanPlaeé, 5 fr. 50.

OrMineeduaseemt r Kokand et Eller-rahAle.

maa afaude Labm, F.Favrier, Enga-mé Titan-II, Diable-Bleu.

Distances 3 lonqueum et den. de-noi longueur. I longueur et demi,

SIEEPLE-CHASSE D'AUTOMNEhandicap, 6 000 Pan. 3.000LisheSIde (Pherralsh à M. G. du Bre,.Ge nt, 14h. 50. P/acé. 791,50,2, Oasdiv.bl 13.qué). en P. Lacoste,

Phicé. 8 francs.Origines du gagnant n Sandy-Holk et

Non placés n Gloxinm, Djan, Dinan,Distances 3 longueur, 1 longueur et

demi, 2 longueurs.

La Politique

bore mi succès Socigisic

Prague, 27 octobre. - C'.t au-Jourd'hui qu'ont lieu en Telbéces-tovaemie /es Mmtiorts générales àla Obanabre et au Sdraat. Ellee sedistinguent de celles de 1925 parune plus grande concentration despartis. En effet, alors qu'en 1925 lenombre des partis ee présence étaitde trente, cette année il n'est plusque de dix-neuf, certains punis s'é-tant dissolue et d'autres ayant fu-sionné. C'est ainsi que le parti na-tionaliste et le parti de travail ontfusionné.

Bien qu'en matemu d'élections ilmit toujours délicat de faire despronostice, il semble, suivant cer-taines indications, que les partis so-Manet. mima représentes au pro-chain gouvernement.

Le nombre des députes tehécosio-vaques est de trois cents et celuides eénateurs de cent cinquante. Lespartis sont très nombreux et la ma-jorité est toujours aseez facilement

Rappelons que la situation se pré-sente de la façon suivante n Le mi-nistère de coalition, rduniseant libé-raux, populistes et allemande, n'aP0 conserver la majorité devant lesattaques des socialistes et du partielovaque. C'est pourquoi M. Udra-cas s'est résolu h dissoudre ka (Lambre qui, sormalement, dame, dorerarts.%

grugés, mais io.re sans méthode, maleCulSe bathé7so7P 1,, etairlrrrer.'Coar'Oe. Lussouvent mal inspiré, et quand il truque.i/ devrait veMer à ne pas le faire._ mue10 005 de l'arbitre.Li Mimes à son équipedes coure francs déseareaMee

Semelle ne parait pas en bonne condi-lion physique: fl rendit cependant do grosservices à son équipe.

driblings et surtout mieux collé à la balle.la vkmire aurait pu lem actirire. Feus.-mien Renoue et surtout Carey, débordantd'activité, sont u ...Ler. Derrière Ra ma-lé. souvent I.tlue, Lammouère ne nousParut roc poeeder le COOP de pied précieeue neue lot conasiesove. En limes ace-ce, à pare une au dee: belles eh... deLauthier ce f. quelconque. Golden renttare peefois un peu lent, se ment., mut demême trae ea

Bon arbitrese doté, Miros/Lean

UN PEU PARTOUT

A MAZAMET. - S.-C. Maxamétainbat U. S. Monmlbanake par 6 points à O.

Les ;sones memméteirse su ...scatrIe. edno'l. et gement evee Mus de cranVua les bene

A LAVELANET. - Lavelenet et Ces-O -01yMpique Rieor match nui, 3 à 3.

Lavelenet darame en première miraemps;Castres en seconde. Lee 30 joueurs cou-rent), plupart du tenir, après un belon

A QUILLAN. - U .1. Quillanaise batA. S. Biterroise par I 9 I O.

Les Quillanais ee montrèrent bien supé-rieurs aux Biterrois en lignes armer..

A LEZIGNAN. Pemnas et SportMg-Club Bitermis font match nal, 3 à 3.

A BORDEAUX. - Pesais et S.-C.Hounis fmt much red. 310.

Bègles bat Libourne par 12 S.A BAGNERES. - Auch et Bagnbres

Partie correcte des deux 0010, Amhdo.m sr.na à se ligne d'avants,la ligne de trois-Qumn bannerdee ét°excellente.

Il manque1 la icone équipe de Ba-merle amie.s poids lourde. -

Arbitrage impartis/

Les Parties Amicales

A PAU. - Oosrim Pelai. bat ScdeTouloucia ose 8 Pote. à O.

liamecem dornire corton.-lsmcnn.Pea réalisait son more à la mistemps et. ensila, non seule-ment à contenir ha furia toulousaine nuisersore.à rammer parfois trèsmem.

Les ornières talon, pic voler... etplus perçants que leurs vie-à-vis. firentpencher la balance en faveur des locaux.Q.,na au pack, mathisé longtemps: parun huit tonia..elu da mande allure, ilparvint au moment critique à faire jell424 P.. I dominer.

Le Stade, lamais sistnaset st toajouremenacent, succomba.. beau.. Il méri-tait vraiment un essai. Se, séante jouentannela d'excellente maniés, da forment50 dee meillevre pars du moment. Sesarearee ers reasral forent tom Imre et

variSa,

Place aux Jeunes IDans les réunions lesplus chics comme dansle monde des affaires,c'est le mot qui circule,

n'est l'idée force dont voas vous feepireepour faire votre plac au aotch

Le temps Implacable vous guet..n'attendes donc p.. à dann.in si ro.mu01 rem...ares méfait..

Simple,. la mermilieuse méthode de beautéde la Même Siamoise de Jour et de MetLm Crème Siepliii50 de Jour est le seul pro.duit traérlfére" qui rendra votrevisage srra... celui d'un enfant, sans Loucher'dspores de ta peau.

La Crème gamone de S'ait débenessers

revivrai, pendant votre sommeil.

Creuse SiamoiseHeninali,i1 mec,. tarare Cit.:dace, mesveg_

evete ras é.""i Saternann,

LA ViE OUVRIÈRERECTIFICATION

Sons le titre « L'a.ctivité Syndicaledans l'Aude e le camarade Eugène

« En 1919 suivant en cela Pexempie de leurs camarades de toetesIra régions les maltants de l'AudereconstItnerent leur organisai:0pque la tourmente avait mise malen poin.t. Ils chargérent Fil duscgeimulmy d'Armienan du l'adminide

Per.

Fols plus bus ILe secrétaire de Pêpeque eut.'

¢ vent les pen.ils dee extramistes,« opta pour la C. G. '7. E, b.

Ce qui laisse fo/apposer aux leesleurs de l'estiale que te carneau&Fil aurait Mie./ et itoit adhérerD. de l'Aude à la C. G. T. U.

La vérité est toute aatre. J'ai bleuété désigné comme secrétaire efeD. de l'Aude non en /919 mais en1920 et ai conservé ce pelle Le.Me.1 922 et ai démissionné an Congréede Léagnan lareque mon rapport mo-ral ne fut pas adaPté Par «ne meie-rité de syndicats neueellernent cons-titués par les extrémiste..

Le camarade Cive des agricoiesde Fabre.o fut désigné peur meremplacer et c'est lui qui adhéra hla C. G. T. U.

Pierre FIL,dos agrieo/. d'An/nies..

A votre piedje ne mie me chausses es

ConieCtiOp D, disent beaucoup

La fabrication de /a chaussme a amie unlare dopa de perieCtifill et ei qaelasmaiedehesne taus de rorthepadide que du siamois de

le cretonne doit Camer le termande mn«ili dee cl,asn. oui se préserventdus ses nagera., sous réserve Sue le fourni.,eer. passade un casai.. cers..

Un camieent impeccable doit etrs conesseda poiemes, demi-menues, troisième, qua-trième, ...dee er 6011Ved eirdane lemme/cHe use firme pessèden d, ace emitce et

onenicdon eerfaite de Cassoninuni peea. and morde.

C'eet le ... de Fielding.Vous donc esi Havez pu jusqu'à en iess9

Sons chausser eu conieCtiOp, VeneZ dce seeLe de Holding. voseà votre pied...

Et amsi un dock neuf, smn. mode adtee cmriciouse chaussures modèles, 11...C., formes changent constamment et le stocka vite vieilli dem les rcons.

Hallne mos ogre dort cd dont mueIn modèles cet isadhe, de la pantoufle Ist

main. Aussi bien tcur dose,enfat, trouvema deo eet

talon let tout derniers modeare des ceilleunceinisliaies méde pour /a e Semaine du Cuitde Paria qui Vient de terminer.

Les prisse. /amen, de pasduction et decleatde Mol.as mus permettront de trouver l'acide

votre goût et d'se gis très tg...Heldies auc d'aillecoc des e eincg

bac m qui refléter. exeders. fe contenu deses rayons.

Holding ouvrira ses port. /c jeudi 51 es.tobre.

à lltranger011 Peut Malle.. 9. la Cense-

tation natienale d'aujoucilitn,frimant le parti seeiallstes Maire,la Mutation.

Graves Manifestations

Cominamstes à Vienne

T. 0. E. C. ET F.-C, ALBIGEOISfont match nul. 3 a 3.

Pau une ce.... pluvieuse, devantune maremmeasmem mange... la T. O.E. C. et Je Se, Albisece eue fana..esel. 3 à 3.

A la vérité si Iss partie ne fut pal dé-pourvue d'émation. car réal. ces lu-dém. jusqu'à le fin, elle déroula treemua.. au milieu-- daine déseeperentemonmanie (laide comme le tempe 1/ asles phases de b.e jeu parent se remet.Celleeei il faut bien le dire furent duesle plus souvent à rinitie. du Teesqui aumit mérité glume à la fin, quele score penchée 'en rra faveur.

Un love omet d'Imam durant le rartieu 'en au'une m tenon d. toachee, demélées, de coco depieds, Imm. Cesti-anon rené d. retspar Pence fait une

rem et

Vienne, 27 oetabre. - De eeelubre.ne arrestations de ceniraunia-tes ont été opérées hiee àet h Graz mi la pohee a dû interet

Pririseére.'reeee.,12

7,1 ,lbanse

avaient été interdites par la polie.Malgré cette Intectietion, /a e na-

te flocon u, l'organe du parti 0.0:rtmuisl:«.optii.ad,e.t6.10.%1 daapepseila,m1

membres, tee engag.nt h sesePeier eue la place Indiquée. Au)'mi, vers G heures, plusieurs centai-nes de .minunielee rémaissa1e0t-11:utse grouper auteur de derlx or.

La peliee n'est yareenIM aem difaficilement à les Messmer en faisareueage de mat..es en eaoutehoe,H

Lorsqu'ils ont Mea."nommé. Be..., corMnuniste ne-taire, pour le conduire au Peste dejepoliee le plus proche. I. asente btaété contraints de elsasser à Farineblanehe les communiem qui cher-Ohaient à déga.ger leur eamstradc, RIn'y eut que que/ques Blessa mee°.

Ta poliue a procédé â ers d'unecentaine d'aermitatin.s. A 08,;vomie harantattarte,rtfO.454

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

LE M1D1 SOCIALISTE

ALA FOI': de TOULOUSEJe ..r,réés:loiaja,,,,,t,leioele jaeleesAi od:Iscon.o.:; phalehLi n;or,for Jeeite. igFueuuoirr j«,,zeesnu:ro,coydemnannessoe,

IEBANQUET DE CIAETURE

Eep sante de la Foire ont eu, Ler,5,. "'en° . originale, comme Pagpi'751,'''Durel, commissaire général,-eg. de terminer cette belle Mani-

eti IrtUre'GrPan ul?,1t7.'P-uelailegtuaegeiter

les nome de ceuxassistrüen;,,..zool..ilainraul,,ts gnuoèirr:

'ers de dire .que cettefrt" mi"'nr"Irer:iqu'aérés

vrilje,501%'phagle Pour es0diraT'gin-e.. à PL le Commissame gaeral

r"te.eugr'dchrtsee'is":,teaall'e's'l' finpro'uu,haiter que la prochaine foirea . encore réussie..

M. D aael PI'ere. Ingénieur cons-rate., bien connu, félicita d'a-

torjej 51. Roguet, président de layrame et M. Dueel, commuseire gé-ey,51, que permirent /a reussile d

cet acconehement laborieux u etle menèrent bien; puis offrit .à M.Dern, un a Automne dû au ciseaude notre eompatretie Peoh.

M. Durel, commissaire général enun discoure ému, remercia /es orga-nisateurs, la Presse qui, pa r sa pré-ssent avait rehaussé l'éclat de netteyr:attife..., le Maire de Toulousedont la bienveillance a contribué hfaire de celle Frare de Toutou.nee foire méridionale qui, l'annéepro:Maine plus encore que cettesen. groupera de nombreux eXpo-dente de tous les pointe du pays; eteuesi M. Regal pren.d. du Con-mil d'Administration, dont l'énergi-que optimisme a surrnonté toutesdifficultés ; M. Durel lève ensuite

verre au développenent de laprie, de Tou/ouse e Puisse-t-elleNOUS apporter par des carnets decommandes abonda,mment garnis, lajuste récompense des sacrifices queyens avez consentis en rePeedeut si

ebeue brute et av. tant d'em.presse-r, notre appe/ et je hnis à votreente. à la prospérité de vos Mai-s,. et voue Crie de tout ruer en-cor,. une fois merci et au revoir I n

Regal président, renierclales amis de la Foire et en bon cap:-lui. ,-apporta tout le tribut d'hemremue dès à son lieutenant qui luismipera admirablement le terrain,et amorça la réussite, il apporta àI., Municipal-a toue lob hommageserdites, eelle-ei mei a Permis Pars accueil bienveillant du comma

M-

see général, l'amitié de demi hem_e Le:risque Semons et homme se

err prennent, on a rameur, ce quiTrat Pas grand ohose; deux hem-

qui se complurment. c'est l'a-me qui est heaucetip

bout Toulouse et â. Sa Foireorgeni.teurs de ne dîner et

F M. Dur., h qui âmes leelm ee

5,dre ami 13ertla, au nom de Tou-/m mite, croyait @ler venu en furet vu sa digestion troublée par undamas, amendant il Ma que desehos. faciles â dire a La Muni-finalité e fait un effort et l'annee

:Mproaine, te Conseil généra/ feraen effort et /a 3e Voire sera ah.-Detent réussi, La 3e grossesse n

l'iris Melle que les deux am-, s alise:SI y aura plus d'empres-

ent auprès des °Miel., 0.Carbon, le très sympathique

éluire général de la Maille,àaa, Coula l'histoire de sa premiè-r, remontre avec M. alrel, dont ilad 'a une Impression formidable.

la le Foire a eté un succèse- elmé l'inclémence du temps. L'an-rés neochelne, les nremeisateurs nf-firlela envers là et la 3e Foire sera

IséltSSIO n.iSetre mille.. M. Guèee, prit en-

suite la pende au nom de ia Preeseet en une savetireese anuctinte,mule montre one les Et/meurs pH-..l aussi la Foire de Toulouse.inexistante hie antres années, quienumle meintertant eu rang destmandes Foires.

H. D.

UMM' AMMON DE LA FEDDRA-TION 1115.. EXPOSANTS A LA FOL-RE DE TOULOUSE.

1. Fédération nationale des tom-menants et industriels français in-lions

dos foires et exposi-eines de France, avait convoqué,vendredi soir, ses adhérents à uneMunion, qui a eu lieu â la bras.-Me Mon Cafe, plue du Capitole, 80.

M. Lucien Cane, president-fonda-tour, n'ayant pu venir à Toulouse,avait délégué M. Roger Clémente',administrateur de la Fédératinn,assisté de M. Fourneent, du comitéde Perle, de présider la réunion quia été très inréreseana

emi'beurstenueCl par l'ampleur deS que,

lions diseutées.M. Roger Clément. fit un tuai e-arque de la Fédération, depuis sa

formation jusqu'à ce ...H "-Pesa les effara du graMeme.Vue d'obtenir des organisateurs desfoires dee ...rabans en faveurSs Nine... 1/ parla des Mar-

elles auprès d. ministères et desVends réseaux; il précisa les ré-sultats obtenue 'y Réduction de 50%:}r chemine de fer; emmena-N51 la taxe de séjour; i/ pré.-

des méthodes d'aeti. fermes,eourtoises auprès dia eiNniissoiree de Fran.; puis, donna

s vux votes par les ex-le réunion Mn s'est te-

arseille, le 23 septembre :

rier étudiée des foires pourre espacements de feix

munhfixlariena. Asourue 0, tu-igue Pour toutes I. foires et

môme material appert.môme exposent; Eau, gaz,

tê, un barème norme/ enconcerne les branchements

nsornmad'entréetion.des foires-mm.1-

ane, et suppression de lad'aoheteur qui ne

l'acheteur.hantila Création d'un

ente pour 'les petits aeti-Pends fabricants. Aprèspasieurs orateure ont

suggestion,s très Ci-spécialement la Foireet les vux .ivante

PI:;re'Ceu'eyUrnin sol de

le hall A. Suppression

tirtill'e';',gtelSs.otAP!:eusse du prix dee 'stands.tf.trten eleueseen., ger-

dieu de Targe.. Mais c'est une lé-gende moderne

J'ai eu l'air de dénigrer le film.J'aurais eu. tort I L'histoire en esttouffue, mai, le film est excellent,il est mémo passionnant. Pour aussi

nante, passionnante comme un bon

celgeallia'g oener ne'eI film, VOUS sel-mi-rerez de wandioses paysag. deBretagne, avec de pittoresques yil-ages nichés dans la falaise, de je-lits vues du « pays » oh la terrasemble finir et n'en faire qu'unaven na cal uoir d'orage, et la mer

P t, ce ans le grand hall de la Cales°, cha-

nie, installation électrique et four-niture d'une lampe de 200 bougies,ainei que .nsommation eompriseii. ourheloarodsurpoudvee rtün filer,e tienUannt

'''id'ifiuor'atilo'nrixd'ruaejan drm'hie la foire.Numérotage des stands sur le plan,et que tes stands attribués à un

Mree la" fenie' d'alessielmne:nrlivo lui(idéel0 de

accuer teléldel.,"''oec' elfro"ne

rarteurertrU el=âneet quefacilement, et sens erreurs, exécu-Ive leur tee.,

e6'ogreganinalre'dir mrst-gfrrtnt'«otlieco

de Troulleouttseqeüe ealienalgint%'

aslismrdoertrae,uddree coitette,q,puseste

dernes.Classement des exposants par

sablant., que les moteurssoient.avec /a mécanique, et non da la

section de rama...lent ou de lanouveauté.

M'ateceloat Installationrudi-mentaire insuffisante,contraire auxbonnesrègles de l'hygiène.

Garage gratuit et gardé, pour lesexpn.nts et pour les visiteure.

Gardiennagenecteene beaucouppplus sérieux (par chie. policiers,comme à la foire de Lille),

la rami. se termina par la no-ninadan du mellite régional tomhumain, affilié /a Fédération,dent : MM. Dupuy, Gaston, Hillar-din, Demicheli Va/ageas e,ssure-rent la liaison et se mettront eurapport av. le comité organisateurde la foire de Toulouee pour luifaim par des e desiderata e des ex_

LE BANQUETLa sien. est /evée dans .une et- A 2,0 h. un quart, tin grand ban-mosphere de sympathie amicale, et

/es membres do la Fédérat.ion lieimeibege.,Meeo...5;Viejis5e ee55..rNiesteereeti1.adressent 111M, les hôteliers, des- jie-', 5,njitaureau.. liennuadiers, garagisteset tous eommereants de la cille tou-e leur sympethee et les remercientd'avoir maintenu leurs prix non-maux pendant la foire, el par cefaa, contribué au plus grand suc-cès de la foire de Toulouse.

Lc Comité fédéral.

gmde touristique h faim â l'étmn- dent de la fédération Pyreneee-Lan-gerpour/es stations françaises. I guedoe-Roussillon. - M. V.

Iln oilsrès

Toulouse, 27 octobre. - Le con-grée dee confédérations régionalesOrs syndicats d'initiative et desgroupements touristiques et clima-tiques e poursuivi aujourd'hui sestravaux.

A 9 heures, 'a la Maison de l'Agri-culture se sent Munies la Fédéra-tire Pyr'énées-Côte basque-Gasco-gne, aras la présidence de M. LeBondidier, et la Fédération Pyré-nées-Languedoc-Roussillon, sous laprésidence de M. La,porte. Une se-rie de ont été erra dans eesdeux essart...es pour étre eournisl'amen.. générale.

A 14 h. 30 s'est réunie, au Papi-loir, Paseemblée genérale an l'As.-cation amicale des maires des sta-tions therrnales et climatiques. Onsait que les bases de cette Associa-tifm furent jetées au congrès deBiermtz et une le but en est la par-

se Mana à Mais en mars prochainpour se .nstituer définitivement etelle invite tous les groupements etbus les congressistes présentsl'a.eneblée de Tou/mese de fairePressier sur les maires et tee mu-nicipalités des stations afin quetoutes aient mur délégué h Paris.

A 16 ,heures au Capitole, dans /asalle des séances du conseil muni-cipal, a été tenue ressemblée gérée-rale, sous la présidenee de M. Ma-nager, avant à ses côtés Billarce,main d °Toulouse; M. Mataf, direc-teur de l'Office national du touris-me; M. le docteur Menton, maire deCauterets; M. Laporte, président dela Fédération Pyrénées LanguedoeRoussillon; M. Le Bondidier, prési-dent de la Fédératien Pyrénées Côtebasque et Gascogne; M. Claude Mar-

voty, président du Syndieat

de Toulouse, etc-.M. Vallat a pris la parole pour

exposer, une fois de plus, la situa-tion actuelle du tourisme en Franceet nos positions vis-à-vis de l'et-ran-g..

Ce fut ensuite le tour des porte-paroles des groupements qui vin-cent presenter l'assemblée géné-rale et faire sanctionner les résolu-tiens et les maux Ombrés en rom-missions.

M. le docteur Mellhon au nom desmaires, ouvrit la série présen-tant la motion dont nous avons par-le plus haut, relative â /a constitu-tion définitive de l'Amirale des mairas en sà,emblee générale â Perle.

A Pise. de l'assemblée générale,les congressistes ont été reçue off.,ciel/ement à la salle des Illustres,oie un champagne d'honneur e étéservi et oh Billières, maire de Tou.louse, a pronencê une Cocution debienvenue.

A la laide d'honneur présidait M.le Préf. Guillon, avec, à ses côtésMM. Maringor, de VO. N. Tarkuscher,président du T.:ring-Club dePro

ll'''etat,t"Meteru:-teur de FO. N. T., DelemaCenee,Commissaire du gouvernement anMinistère el. Finances, le recteurDresde, Le Bondidler, Laporte pré-sident de la Fédération Pyrénées-Languedoc-Roussillon, Gaude Mar-IF, président dos E.1, notre ami1mo Ilions, eoneeiller général, ad-joint au maire, représentant la mu-nicipalité, et de très nombreux dé-légués.

Aujourd'hui 055mheu à Carnn e-potionton e tee e et fanai:mure sonne l'inauguration du monumentdes ceinemeeee à le grande lemPa- a M. Combéléran, /e regretté ainsi-

établissent toutes leursaèdes dudossier MM papierlibre.

du etde 25 ans au plusle premierJour du concours.

ITtronique de ToldouseLIPE DEMAIN e

Le labeur acharné

de la caravane marocaine

AU LOTISSEMENT DU PECH, lemeilleur terrein pour bâtir, 1, routede Gummi. Tram O. 5. Loi Lou-e...

M. le Maire de Toub

louse a le re-gret de constar qu'aucun compten'a été tenu de l'appel qu'il a adres-lé aux laitier, pour rame-nec a unprix normal la vente de lait auxconsommateurs.

En conséquence, il a l'honneur deaporter e la connatesnce de la pope-

lation, qu'à eompter du mardi 22octobre 192e, l'Administration mu-nie-Mea procède h la vente de laitpasteurisé, le matin de 7 heures à9 h. 30, d.s tee fourne-aux écono-miques situa e

Place Dupla; Gramde Rue Saint-bhiolsel; rue Réclusane ; rue desAmidonniers; rue Rousse et au Ca-pitole, cour Henri IV.

Le lait est. vendn â mie. de1 fr. 70 le litre.La pasteurisation du lait détruit

toutes /es espèces microbiennes quise trouvent dune en aliment. Laconsommation du lait pasteuriséévite, notamment chez lu enfantsles affections graves occasionnéespar l'absorption du lait insuffisam-ment pur.

Les personnes désireuses d'ache-ter du lait pasteurisé devront, lepremier jour, se munir de deux ré-cipients portant chacun une éti-quelle nientiemnant leur nom ri laquantité de lait demandé journelle-ment.

iae

ÇA ET LAPUPILLES DE LA NATION

Un concoure pouLle elm,ieetem.e,n:deI ais aru"eriere: de chaque dép.-tement les 21, 22 et 23 décembre.

500 emplois seront attribuée anseandidats du sexe masculin et 200h ceux do sexe féminin.

blosalloube I cret.:=5

OANS LA RUEDESIeSPERE

or malin ü 5 h. :141 nu sénéga-lais bMinitau Danuel, 35 ans en-areen, venant Ou Sem, paesege-seens un urael (salis 2 joms ateme . suicider dans sa mea.«se eu se portant en molent 00010OU COMM. a la gorge. sneet lui-ireprame a la tereu.e Cule bar-né ou il s'est mimes. percutai 5.noué, il a e,z hespenuese tente Si-am... ne Pan lantag les mon,.tes de son item et ne Parait parjouir de la pigintotte Mals Ses ta-nas us, S011 Mat Mt assez grave.

QUAND ON PERD LA CARTE

...ma pu/estimante, demeu-re. rue Putanuenteres 12 ayantperdu carte Identité «étrangeret nwune e.x.laraLen de trouvanten'ayant ete fa. aux Epaves, a P.-té mainte contre acon«.peur vo/.

Au dessert, Id. Glande blarty, pré- , Lne euquem est ouverte au tersident des Essi prit la parole pote/idem...ententcéans. les effo couronnés deett.ès des thymsrts jaganyanee dn VOL D'OBJETS EXPOSESban-mn. Il but au sumès Cen-I M. (liman Paul, demeurant rue degrès taill-imo..,«,orepramjiax convives. Strabourg 12, 44 ans, vomie,« a

nom des hôteliers, puis e.''/Vatre,'g ?1,;'.1rrunm"'rtine'tut'ltieenî,'n'lerur' ir'everelie' euln

Courouleau, président de la Cham-1, boutei/l. Themem e gai se Mme°bec de Commerce, Id, MeillonV,al-lvaient au sta .nd 443 qu'il cupe à lalat qui remercie le S. L de TouletiSe Foire de Toulouse.au nom d. Syndicats dealliative Le préjudice muse est de 180 fr,divers qui ont envoyé dm délégués environau Congrès, Duscher, an nom du 'T.

AndreuPierre, d,mneurant à La.

contradictoire que .1h paraisse,Ehistoire est ni passion-

OUTRAGES EUX MURSM. Guillon, Préf. précise le rôle a, ne ariendi,des ledéralk nsms de S. I. da une outrage,s aux /men.région comme la nôtre, II but à son, moeurs. «mitre le non«. Villettran-

Montel/.parlèrent 51M. Nicot.,

avenir. ehe Simon, 35 ans, manoeuvre, de-Enfin meurent rue d'es Trente-Six-Ponts92,

Le sieur Btoch Jures,étudiant, de

Les Pupin. do la Nati. bénéfi-cient d'une Majoratien de points et

La 1151e d'inscription des candide-tures sera close le 16 novembre au

demandes devront litre adres-sées le plus tôt poselble au Rece-veur des Peeles do la résidence descandidete.

Ce fonctionnaire fournira eux 10-utttrilez's tous entre. renseignements

Les postulants doivent lire Se,VENTE DELAIT

-

de 17 ans au moins le dernier jour

STE-MUSE L'Office Départemental des P.pilles do la Nation informe les Pu-

s*.

rente dont bs enfaets doivent .1-

que chef de famille recevra en mê-me temps que le montant do prix,un diptôme destiné à perpétuer le.uvenir de son obtention.

Des racles individuelles aesentadressées h. ebacun dos membresdes antillais intéressées.

Le Président du Conseil d. Di-recteurs, membees de la Com-mission supérieure e J. Fabre.

PRIX MAURYM. Pierre Maury a fonde, par tes-

tament, un pela anime/ de 1.000 fr,qui doit etre décerné, Par la Cham-bru de Commerce de Toulouse, unrlople)'O da eum050rrO, Sailli

dejeetel bute 'comme se'eCsans Interruption ch. le siért)s.'-l'q 14 P:ui a noix sont aupelant, TooPyttee, dénué de gr,lles .

ballot.

Ce prix doit Blre attribué au me-I surtout voneressources.

verrez un grand artisb Ilenricite profesioon, Krauss que .mpe aussa. nent leAjg, à 55: ej,joye , ee5g j « efi.duit foil:re, urenebteillei

ployéen e'." cnte siJ1J" "'-1 faut-3,oir la et. dure,Les omployé dg commerce eine que dans le mal et cruelle qu'il

a p par 1du Si.; pua oette allure de ehe-napan a dont la conscience s'éveilleet cette faon de trafbire l'éveil deçla conscience, quand aand sa fille le -

remplissent les meublions examen

lieu.aeletuuretuusi t,p.o.sreyr,

suolpetéradufuirepurnsnie leurdossier (1, demande de l'intéressee ;- . extrait e naissance' 3. Ocrai-assReal du patron ; - 4, extrait du Et ce edest pas le seul grand se-rôle dos contributions ou certificat liste du film, puisqvill est assistéCm Mal impOSitiOn - le tout sur pas pur Jean Murat, Tommy

Bourdelle'Fier libre) â M. le Président de la Suzanne, Cristy, MeMe Barbier,Chambre de Commerce, avant le 31 Kraus, et Lino Nore.octolme. Buster Keaton, Alias Mcale. dans

' ruse compère ont pente letemps de nous faire rlre, car le se.

nrao est franchement et idiot e etndieulement must

I. Direction du Gaumont a dûs'en apercevoir puiequ'ela a com-piété se programme par un docu-mentaire sur la Tunisie qui vouspermettra d'en voir les merveillesans trop vous fatiguer.

Sur scène e King Rapp, extraor-dinaire jongleur comique. Vraimentextraordmaire, Je voudrais connal-

lgourrler Thettre3F

AUTO CONTRE AUTOLe 26 courant, vers 14 heures, 51.

tienne, au enrobe de 51101. Zrejd etHuilière, place Olivier 4, conduisantune automobile est entré eu colle ra apparaître le dompteur MARK et sessien à l'angle de la me de la Repu- Lino,, Le moment où les chrétiens serontbligue et de la place Olivier avec Limés En panne à des terribles ...ras,Mute-mobile conduite par M. Mouys-Idmenee. sneMaers des adnuteiset Urbain, 93 allées Charles-de- dadmiration et d'éeseev.t..Fine. Si le drame en lul-merne demeure, jus.

Drgâts Matériels pour les deux I eut la fin du cinquième acte. la plusvéhietras. I émouvant gui soit: les attractions dont il

s'accompagne le sehaussent d'une noteaussi neuve ou intetessanto.

Le foule des grande imnn Press,. cesoir au théâtre certainement.

LES IVIEFAITS DU VENTLe 26 octobre, vers 11 h. 80, la

violent« du vent a renverse sur laplace du Capitole

ine,la baraque de

Mme Helenas, fora demeurantboulevard de la Marne. La vie socia listeLes pompiers Font relevée apree30 retenties d,e travail enViren.

Lks dégâts reCoSionnés sent assezImportants

LI n'y a MM d'aecident de per-

LE.S ETRANGERSP.-v. pour défaut de 'renouvelle-

ment de la carte d'identité d'étran-0050'

mi'055Zde Pi, r:72 21 0Z'3'g

aernta été dressé au le r arrondiss23 e- ej5e5

t contre le sieur Terres Blas, ,gge. '1S

ms, de nationalité espagarde, de-, 0,grg gge ,Ineurant rue S. GeorgesCi,oéor,,,monsa été dressé au 6e arrondissementwe selon les prescriptions du dor-

- F-V. pour la même mune ton

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Le Secaélaire CORRIERE.

"freCr-1'0%2e,', e'mPollee0e ddeoGROU DE BONHODREtour, les seances de gannasteque

or-'n -thon:Utique, que Ire cours ont repeie sn'tnt'C e/anit 2.5!'"

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au dispensaire 15 rue Constantine.nuelon bien rasâtes à l'esramblée Mee-Taus les lundi et, jeudi à 18 heu- TROUVABLES

1.9PopuosUrielsonmg:drj, "endredi â ilhourra Prur lis 111105.

Dans l'intérêt des enfants, l'Of-fine baste auprès des familles pourque les séances soient suivies ré-eularement.

POUR LES (ILASSEURSLes ehaeseurs des quartier, Co-

lonne, Providence, Bonheurs Côte-Pavée, Moscou et banlieues, dési-rant, faire partie du Syndicat CentmSud des ehasseuss, 01 Ire adhérentssont invités à assister It la réuniongénérale qui aura lieu II mardi 29octobre à 9 heures du soir au siâgeCafé Terminus, 88 avenue CamillePunit

Ontre du jour renouvellementdu bubale,. création d'une Amicaledu groupe; organisation d'un ban-quet annuel.

Les sociétaires eont invites à m-tirer leur carte d'assurance.

CA/SSE D'EPARGNT.ET DE PREVOVANCE

de Toulouse42, rue du Languedoc

Attribution de prix aux famillesnombreuses et méritantes

Le Conseil des Dire..ro en con-formité des dispositions de /a loi du26 juillet 1926 a vote dans m séancedu 9 otteare dernier les all.ationssuivantes y

Un prix de 2,00) frauou k une fa-mille composée de 7 enfants ;

Deux prix 00 1.500 francs à deuxterrines composées de 5 enfante.

Trois prix de 1290 francs à troisfamiilee composas de 5 enfante.

Deari.. et chaleureux applau-dissements d'une salle pleme àcraquer ee lus ont montré quM le-'er.nient faiveralile le publie lui ren-

L'Orehestre anis la direction defel. de Kouei; a Qua de nom faire simmiént mre 6`464 dé la heu/anon amroSi mn eozebien inniffiCants Il g été Vodes s som PBC, da se rendre àl'année dernière, M. Clément ber- lx réeétition mei sur. lieu Mua Sei?, àdelco, violon soie, dans a fantaisie 25 ',Hese,appassienata e de Veut.pe, nous THEATRE DES VARIETES. - A.a montré sm savoir faire. imedlet, Medi 28 °ombra, r, brano-Encore one agenda qui s'en va I léon IV /a halle pièce de Maurice Rus-L'ou ug peut plug dire du n Gau- sanai en« obtint ue :amble triompha lamont s qu'il n'a pas d'orcheetre I rason demeura à Putis st eue las Tom-Cela vous annum ? nées Oh. eseet ont eh.. noue lem rm.

105e e chia eneamolo du Code.AI, ce vous êtes de mon avis. THEATRE DES NOUVEAUTES. -

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Demain mardi, la grande RevueC'est un Bijou n, 45 personnes en

COSTES. 25, rue de Itemu.eParures de mariées

1- -THEATRE DU CAPITOLEC' t d in. mu-di eu sa d é

repsentation : . QUO VADIS n.1

On sait déjà quelle pparation grandis-se et minutieuse a été apportée à /*exécu-tion du magnifique chef-d'uvre, temiel. des attise.e ma au lieu. Ma-

, sompagnera dom pMsenMtion et d'uns

yei,17,,éneohne tras Partleunkrement mi-

1A l'acte da cirque notamment on ve'

CANTON NORDGROUPE ARNAUD-BERNARD

Les use..es de moutra socialisted'Amend-Bented sots ale, de bienvouloir assister à la réunion mensuelle du

911.9111111

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Spectacles de ToulouseTHEATRE DU CAPITOLE. - De- COSMOCRAPH. - A 9 heure, Tom

main mardi à 20 h. le, reprise sema- Mix dans 1-a Colonie 0. Proscrits et11051,115 de' Quo Vadis ,aven Mmes a Face aux Loups p.Lempers. Maman, Gélase': MM. Veiné.Valmoral, Re/nette, Triby, Mouchez, Al-

ionbiographiebiographiepene po.bret,

apprendre à A Irameds e, le dsusteur!que/ âge il a Hi commencer jo am m . 'n- aluelt 50 ses , siod'épouvantegler car suis de très bonne foi Les Chrétiens livrés bet. u. Aue..en vous disant qu'il faut plus de nom mimiques. airlirWiaeCinq Minutes pOuS arriver a faire Grandiose mise en scè ne nouvelle. M-ique mal que lui, eu plutôt monis late dansés par Mlles Davi, Tes-banco,

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vre d'écolier dn Canez., un trous-ou non sont priés d'eue présent à laréunion.de jeudi 31 octobre, à 2I ',su-reau des Epaves, un bret, un li-

,seemeteedeuelsésim; ,e1r.',,,Adnembileetetr..a.tiogordiees_,,,,N1,:...s.ia.:,,,teLA,,i,UR?5.,,..Tihu,s002,s-;h:sf

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Essayer de voue raconter ce film, leur mère, bellea, .raadanèra. déaé- ral°e,RPmredi,N29".e>e.h Rre-, àL''''eetén'n'hE77.050.6Née Marie FABRE

le ne m'en sens pas capable. TreP dle à Mtranote (Aritsal le 21 earabes 0.0Ion et surtout trop touffue. 1929. à lié, de 69 ans et les puent defilDenis70Se .11.fl5ejjee ququee' dlen'ivine el v.e.,%/:it bise ,rerstutee 7 neilt.,ee cle bleu:

Pré..m dispeneable.

j'entends par là quo c'est une s lé- r , ; . UN PIN REPAS. - A'iUniChsellellfeLtaLEIg.

K.:"ii. i1iFileriis » '''' ""le sli'FaéEsliss Nme-Dee. de D Draenda. éaln g. ha... ..i., I. mambeesrait - oh I entre. le selei/ pen- reeeire 5 j.,...05e. ayant participé à cette Fe. étaient en ma-dant l'orage 1 - ln Justice divine, jj gg ,,, ci.yeg ,g,s],,g. Wire perde réunis dimanche 20 oct.-

vu du moins In Justice divine, telle bre, 50 restaurant Ricane, en un humasn

que l'entendent les r6alisateurs. ClIZMIUMilt5 , amical de gourme, ce boss servie.

Elle nous fait preeque regretter P. L'IMMIESTELLB Au olram.a.a la président prend lacalle-ci, - si incomplète, des horn- ...., cota/ONNES Melltit:AIREs y_ parole, excuse mus d shord M. I. ,

mes. - H est vrai que le film se ..:- Verreries de Line:mitaient ey- /AMI.yt d'houe., d« ratt« Es. &, t.-passe en un pays encore bien arr.- é, Rue Jean-Suau, 4 - TM 27.20 voie Râ Meatee as bemelmE emme °initie

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membres de lemeau de 15 boute ornai,

reuülRioeet de su honeee eéreption et

surtout de sa bonne cuisine et Mye sonvesse à la té de tees-

Le camarade Péli.,cs mem. geo M.le Meite 0. son as /à name me. :annate.

aaait lisiIehs.e5siaeiiolOxconseillers municipaux auprès du panse.pour obtenir la cation d'une salle deréunion. mise graelsement à la dispo-sition dee sociétés de la Commune.

A I. fis du repas nous eûmes le plai-sir d'anmudea emalnue, ameueudes out,par lem ahem lamina

Ce repas se Musa,, dans la loia osfon pu remarquer la crhaliM et la bon-ne camaraderie qui existait dans la coi,mune.

Malheureusement au retour quelquescamarade. ...eut arrêes sa Sel. furentnria dans un mmens as ,,,nen1 des eunnsdonnée par la bande &énergumanes quitous les dimanche vieunen. dhercher dis-pute eu. paisibles jean.. eens de notre

j'enpèr e bien que M. le Mai-re voudra hies prend., une .55o5 au fermeneuf eue ces laits ne se ..Pene.pus, et tahe umraime

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dait si on mirifique résultat Malt, ilSaut en convenir, inenieusementconçu quelques heures après Far-reffation de R swiolk rue de Flan-dre. Salmon de lioussignae seradremis en liberté. La Guardi nepourrait plus, dos lors, accuser legrand-prévôt d'avoir manqué à sesengagements. Mais avant que Cadet-Gascogne eut quitté Bruxelles, lebillet do Dierriek Lansaert, l'accu-sant d'aven- livré le Imutenant duprince d'Orange pour se sauver lui-même parviendrait, par l'intermé-diaire de Joas Jansen, au conseilsuprême des conjurés patriotes. Surce qu'il adviendrait par /a suite, le

d'Edouard ADONIS

al-and-prévôt n'avait amena doute.Les conjur), se montreratent amin-tuyables pour ue traître, comme Esl'avaient déjà été en pareilleconstance. L'âme damnée du durd'Albe était bien placée pour le se-ront Prou mois auparavant deuxde ses espions qui étaient parvenusà s'affilier à un groupe de ces fac-tieux avaient brusquement disparuet un placard, collé à la purin de lagrande-prévôté, avait annoncé queles espions avaient été jugés par le« tribunal des gurus o, et que con-vaincus d'être des dénonciateursla solde du duc de sang, ils avaientMn exécutés séance tenante. -

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vraient b lui I En effet, Mat. Lo-pe. venait de recevnir l'ordre, toutea se gardant de laisser paraître lamoindre méfiance b l'égard de maî-tre Yanhupt, de le soumettre à Unesurveillance de tous les instants.-Aucun de se» actes ne devait pluséchapper, désormais, k la vigilancede Lopet et de ses happe-chair. Lemaffre-tavernier allait aire commele fil conducteur qui guiderait leshappe-chair vours l'endroit oie seréunirait le n tribunal d. ;meus mchargé de prononcer /a sentencecentre Codet-Camogne et, lorsque

amait 11,1 exécutée, lorsqueles chefs conjures auraient fait /a

Criu,lt,nlegr;eetlerhier'tenduautour d'eux se fermerait et toussercent pets d'en seu/ coup de filet.

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Ce fut -également sans être in-quiétée qu'ile. s'Introduisirent, . anescaladant /e mur du jardin, dans lamaison on sa tenait caché le gen-tilhomme fiamend.

Par saint Bayon! s'était ex-clamé Ulenspiegel une fois dans laplace, nous jouons de bonheur,compare Vankupt, car nous n'avonsrencontré âme qui vive I

Pdartant, lorsqu'ils eurent friméobi le mur, deux hommes, . blottiedas, le renfoncement d'une Perteétaient sortis de l'ombre.

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Attendre qu'ils sortent, répon-dit l'un d'eux.

Pour leur mettre la main dos-nus?

pas, cornebteuf. A moinepourtant qu'ils n'en emmènent untroisième avec oetu. Mais il parait-trait que c'est peu Probable.

Alors, nous ne sommes ici quepour observe.

Et pour rendre compte au se-n'or Lopes, oui, pas pour antrechose.18eadanI ce temps, Venhupt et sou

compagnon étaient entres dans lamaison et, après avoir ailumé unelanterne, avaient gagné la cave.Guidés par les indications qu'avaittransmises Giovanna de la part deSeipien, ila avaient trouvé, sans dit-Goutté, romp/cernent du puits ets'étaient mis aussitôt b déblayer laterre qui cachait la trappe.

DM qu'ils eurent soulevé celleeiils reconnurent la voix du comte deRyswick qui demandait

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Hélasl non, répondit tristementVanhupt ; le brave gentilhomme aété victime de sa loyauté et de sondévouement,

Men Dieu I qu'est-il done ar-rivé à es pauvre enfant ? demandale comte d'une vols engolssée. Vite,aides-moi à sortir et dites-moi tout.Je veux savoir I

Quand le comte se trouve auprèsde Vanhupt, et de Thyl et qu'il eutappris d'eux ce qui s'était passé, ildemeura un instant comme écras1par la douleur puis résolument 11déniera :

-- Je vais inc livrer I

Vous livrer I s'enalat. Van-hupt. Que dites-vous lb ?

Je dis, réplique Ryswick, qu'ily a en ee moment un maUmureuxjeune homme qui est en prison, quiva être torturé à. cause de moi 1 Oui,rien qu'a cause de moi, car ce n'estpas, nomme nous autres, â sou payaqu'il aurait fait le sacrifice de savie. Et j'accepterais un pareil

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m'épargnerai la Mi'lees au lieu d'une.

déalionneur I mon-- Nous vous comp es:

sieur de Ryswick, - reVanhput avec effortvous supplions pourtan

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faveur da M. de E01185i3,,

int Tai tyl, ai Mal sie D" 5 MIT -1) MM:MM VIII :LM egglig teeZrai tilitrg MI init MM Ig le 1

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