AFAKCoopérative lmmobilièreSidi Slimane,Khéraicia

Alger

Alger le,19 juin 2017

F fi?Ë )ülç¥DROIT DE REPONSE

Votre quotidien a publié le 19 juin 2017 en page 4 un article intitulé « bras de ,fer à la

coopérative AFAK ». Nous sommes surpris de la partialité dé'`.CJma.,¢a_me M.A.S., puisque elle a

repris que les élucubrations de la partie adverses, sans m`entiçmn`er aucune explication

venant de notre part. Pour information, nous avons répondu à `to'ùtç.siîes questions lors de

l'entrevue que nous avons eue avec elle. é

C'est à ce titrg que nous réclamons ce dron de réponse à-`travers;:£: â`ùi suit.`. ^ .`

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L`article an.nonce que Monsieur K.A. est condamné à cinq ans de priscjn, u,ùrie'`'.a`mande de1,

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Votre journaliste a cité les résidences de SEBALA et de BIRKHADEM, ces dernières y

hébergent respectivement 552 et 771 familles avec une gestion des plus modernes. Sans

vouloir être les porte-paroles de ces gens, nous lui avons conseillé de prendre attache avec

les administrateurs respectifs pour de plus amples informations. Quant au projet d'El-

Karma, bien que les protestataires ont bénéficié, soit d'un logement, soit d'un local

commercial viennent de se rendre compte dix ans après de l'illicité du projet. Ce qu'ils ne

disent pas, c'est qu'à l'époque, un dossier de demande de permis de construire a été

introduit en bonne et due forme auprès de la commune de Gué De Constantine. Avant le

séisme de Boumerdès, I'absence de réponse des autorités pendant le délai réglementaire est

considéré comme une réponse positive, D'ailleurs, une passerelle piétonne traversant

l'autoroute dans les deux sens a été réalisé par la coopérative EI-Karma qui reste un ouvrage

d'art soumis aux autorisations. En ce qui concerne la fusion des projets citée dans l'article,

celle-ci n'a jamais été inscrite à l'ordre du jour dans aucune AG tenue à ce jour. Pour la

banque ABC, document à l'appui, portant n° 1169/2013 du 22/10/2013 dans lequel que c'est

la coopérative qui a demandé la clôture du compte. Le solde a été transféré à la Banque BDL.

11 a été aussi mentionné les locaux commerciaux et particulièrement ceux ,!,pu

GENERALE. Pensez~vous qu'une banque aussi prestigieuse prendrait le ri5Cqu

opération ? 11 est nécessaire de rappeler que certains

des locaux, ils les occupent à ce jour.

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protestataires ont eux-

/

Sans omettre le fait que ces mêmes personnes ont été gestionnaires au même titre que Mr.

K.A. pendant une décennie. Quelles sont donc leurs motivations ?)

Concernant le projet de KHRAÏCIA, soit votré*journaljste veut semer le doute, soit tout ce

qu'il lui a été dit par les membres du Bureau était sans importance. L'assiette foncière a été

intégrée dans le PDAU d'Alger publié dans le J.O. de décembre 2016 chose passée sous

silence par votre journaliste. Cette intégration no`us a permis d'entreprendre les démarches

nécessaires à I'obtention du permis de construire. Pourquoi votre journaliste rapporte-t-elle

un document des services techniques daté de 2012 devenu caduque qui annonce que toute

régularisation dépendra de I(intégration de I'assiette dans le secteur urbanisable ?

Nous vous informons que l'ensemble des informations afférentes à la gestion de la

coopérative sont publiées sur le site de la coopérative www.afak.immo.: _:.,

4`'.,,-(:Ï:iïJ

Madame M.A.S. parle de canalisation de gaz à haute pression qu.i,p^&îsserait à proximité de la

clôture du projet. Nous l'invitons à venir consulter les docun|ïçnï§`,`.,qf`ficiels émanant des

services concernés qui démentent ses écrits. t

C'est vrai que le projet a tardé pour des raisons bien-cànnuej;!-der,itous teL.que le statutà'-,..

juridiques du terrain. Mais vu que ces contraintes ont été levées, ftQ+s îv8,p¥I;ç§poir d'un

démarrage rapide du projet .,.., i', `,

L'opinion pubiique doit savoir que ces gens qui veuient donné-`[ù';àes iéJÇ6ns de probité sont

eux-mêmes redevables auprès de la coopérative AFAK.

En conclusion, nous souhaiterions que dorénavant madame M.A.S. puisse être objective

dans ses écrits, s`informer et donner la possibilité aux parties d'avoir les mêmes droits. Nous

tenons aussi, à travers ce droit de réponse, à dire qu'aucune coopérative ne peut être gérée

par une seule personne, mais plutôt par un Conseil de Gestion issu d'une A.G. légitime.