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CUISINES BAINS RANGEMENTS Route du Lot - SARLAT - Tél. 05 53 29 47 70 PRIX EXCEPTIONNELS jusqu’au 31 octobre OUVERTURE “ Beaucoup de bruit pour rien ”. Ou plutôt beaucoup de banderoles et de tapage médiatique pour pas grand-chose. “ Non au massacre de la vallée ! ”, voilà le coup de gong qui vous sonne les cloches d’entrée de jeu, depuis maintenant des mois, plaqué en lettres énormes contre la haute muraille de trois des châteaux, comme par hasard les plus en vue, de la bien-nommée “ Vallée des Cinq Châteaux ”. Sacrée publicité pour ce qu’on appelle aussi “ le Triangle d’Or de la Vallée de la Dordogne  ! Où depuis l’ère des congés payés, venues de toute l’Europe, convergent les transhu- mances de l’été. Et maintenant qu’on a récupéré ici le climat de la Côte d’Azur, moult visiteurs en arrière-saison. Vouant à la throm- bose, toute une partie de l’année, ce petit coin de Périgord Noir relégué au bout du bout de quatre dépar- tements et de deux régions. Petites routes submergées d’un flot inces- sant de voitures plus ou moins pres- sées, de théories de camping-cars pas pressés du tout, d’affreux vieux bus puants bourrés à zéro d’ama- teurs de canoë, de hauts gros bus postmodernes tutoyant les falaises, de poids lourds égarés dans la cohue estivale, le tout slalomant la mort dans l’âme entre des essaims de vélos, eux-mêmes sous pression. Plus, à longueur de journée englués dans ce cirque, le petit monde des indigènes bien obligés d’entrer dans la danse. Périgourdins de souche ou d’occasion en quête de ravitail- lement. Saisonniers fébriles tâchant de rallier en temps et en heure leur lieu de travail. Artisans pendus à leur mobile sillonnant en urgence le pays pour répondre à l’appel angoissé de tous les malheureux dans les affres, aux prises avec l’horrifique panne susceptible de gâcher les vacances ou la saison. Trente ans que ça dure cet embou- teillage permanent de la vallée ! Avec, comme en banlieue de Paris, des goulets d’étranglement. A la grande époque Beynac, des queues de plus d’une heure sur plusieurs kilomètres, en plein cagna, pour arriver à traverser le village, entre falaise et rivière, au petit bonheur la chance d’un croisement de poids lourds, de cars et autres camping- cars. La Roque-Gageac, même problème, des sueurs froides en plus tellement il y avait de piétons sur la chaussée. Et pour finir ce stop infernal, désespérant, pour bifurquer vers Cénac ou Vitrac. Oh ! nos gentils envahisseurs n’en font pas tout un plat, Dieu sait qu’ils sont habitués les pauvres bougres à prendre leur tour, matin, midi et soir, dans la chenille processionnaire, sur l’autoroute, dans le métro, à l’arrêt de bus, au feu rouge, au cinéma. Mais chez nous, à la campagne ! Tout ça pour dire que nos élus ne sont pas malvenus d’es- sayer de trouver des solutions. Histoire de désengorger la vallée. Pour le bien de tous, touristes, locaux même combat, que nos arti- sans puissent circuler, que nos visi- teurs n’aient pas trop le sentiment, fût-ce sous notre ciel périgourdin, de se retrouver à Paris aux heures de pointe. Bref, de refaire le coup de la route entre Beynac et Siorac, à la satisfaction de tous. Il y a déjà quelques années, La Roque- Gageac a été la première à relever le défi dans le cadre du projet “ Site Majeur ” de la Région. Pour donner les moyens à la commune d’élargir son “ front de mer ” sur la Dordogne. Mission accomplie. Evidemment on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs, le village n’est plus dans son jus, la proportion n’y est plus, mais qui s’en plaindra, en vérité il est toujours aussi beau, et puis il faut bien vivre avec son temps, la sécurité ça compte, il y a des trottoirs maintenant, on peut se balader tran- quille en famille à La Roque- Gageac ! Par la suite, toujours par la grâce du “ Site Majeur ”, Beynac a aussi élargi sa traverse. Avec trop de béton à mon goût, mais ne soyons pas chien, ça circule peut- être un peu mieux, toujours ça de pris. Par contre cet été, sans doute suis-je mal tombé, depuis le château de Monrecour, sur au bas mot deux kilomètres, il y avait encore une queue du tonnerre de Dieu ! Preuve par neuf qu’il nous la faut cette Voie de la Vallée ! Oui, mais voilà, il y a le chœur des pleureuses ! Improbable mais Sainte-Alliance d’un héritier jouant les châtelains, de zadistes en mal de public et d’écolos en quête d’un os politique à ronger. Tempête force 7 dans le verre d’eau des oppositions à Germinal, les an- ciennes, les recuites, et les nou- velles, suite au fiasco de Notre- Dame-des-Landes. Alors on épuise toute la panoplie des recours en justice. On recense pro domo toutes les bestioles qui pourraient éven- tuellement se voir dérangées dans leurs habitudes. On établit, avec le succès qu’on sait, une tête de pont zadiste face au cimetière de Fayrac. En désespoir de cause, juste à côté, en bord de couasne, on finit par proposer un lieu d’information alter- native. Pour faire de la désinforma- tion ? Et on pousse les hauts cris en convoquant les mânes de ves- tiges gallo-romains jugés sans intérêt particulier par Pierre Nouvel, l’universitaire en charge de leur expertise. Avec pour tout potage de se retrouver à devoir payer la bagatelle de 60 000 m aux com- munes de Beynac, Vézac et Castel- naud-La Chapelle ! Ah ! bien beau de poser des banderoles visibles à des kilomètres contre un projet reconnu d’utilité publique ! Bien beau d’invoquer le droit à la liberté d’expression ! Quelle liberté d’ex- pression ? Celle d’un individu, celle d’une association, contre l’intérêt public ? C’est oublier que les entre- prises, surtout les entreprises de tourisme, sont entièrement rede- vables de l’effort de tous pour tous, en clair des infrastructures publiques, routes, parking, sécurisation et embellissement du site, qui leur permettent de prospérer. La Voie de la Vallée ? Qu’on le veuille ou non, un nouveau maillon de cette chaîne d’union. Jean-Jacques Ferrière Les Béatitudes du Croquant Vendredi 2 novembre 2018 - Page 5 A force de mettre les religions à toutes les sauces, on en finirait par oublier qu’elles concernent des hommes comme les autres. Le père Philippe Demoures, curé de Sarlat, a décidé d’apporter son témoignage d’être humain dans cette fonction peu commune. Son livre, Curé rural, tout simplement, vient de paraître aux Presses de la Renaissance. “ Une vie de prêtre, c’est d’abord une vie vécue au milieu d’une communauté, par un homme tout simple, qui essaie de s’inscrire dans les désirs de chacun tout en s’efforçant de faire grandir une relation forte, amoureuse, à son Seigneur ”. Le ton est donné, et le mot “ humilité ”, qui vient de humus, la terre, prend tout son sens. Le père Demoures connaît l’aventure, le risque et ses plaisirs : dans une vie antérieure, il a été pilote de chasse. Puis un jour, il a discerné un appel impérieux, il y a répondu simplement, dans la joie. Son sacer- doce repose sur son rapport aux autres. Cette existence de “ curé de campagne ”, comme on disait autrefois, l’épanouit et le rend heureux. Etre en accord avec sa foi, et en communion, totalement en communion, avec ses frères humains, tels qu’ils sont, voilà ce dont le père Demoures veut témoi- gner. Philippe Demoures dédicacera son livre à la librairie Lire en Majus- cule, rue de la République, à Sarlat, le samedi 3 novembre de 10 h à 12 h 15. Le père Demoures prend la plume le groupe sarladais L’Ami copain, dont les musiciens et chanteurs Francis, Didier et Jean-Michel ont assuré un spectacle de très haute qualité. Quant à Pierre, le chanteur des Acacias, il a fait entendre sa belle voix, et le guitariste Manu a joué en play-back. Pendant ce temps, les bénévoles de l’association s’af- fairaient en cuisine. Ana, Antoine, Sylvie et Corinne s’étaient démenés dans l’après-midi, avec l’aide de Hugo, pour mettre en valeur leur savoir-faire afin de contenter leurs hôtes. L’excellente ambiance a satisfait tous les participants qui ne deman- Samedi 20 octobre au stade de Meysset, mis à disposition par le club de football, l’Association des Acacias organisait un repas por- tugais et une soirée festive qui ont connu une belle réussite. Les convives ont apprécié le menu concocté, dont le plat principal, un cozido a portuguesa, pot-au-feu à la portugaise, a obtenu l’unanimité. Servie peu avant, la soupe, le caldo verde, a fait un ravage, et pour finir, le pudim, flan portugais, a été “ dévasté ”, aux dires des organi- sateurs ! Comme l’an dernier, la soirée était animée de main de maître par Belle ambiance au repas portugais de l’Association les Acacias Samedi 3 novembre à 20 h 30 à la salle des fêtes de Carsac-Aillac, aura lieu un loto au profit des actions de proximité de la Croix-Rouge fran- çaise. Accès dès 19 h. Bons d’achat (300 m, 150 m), corbeilles de fruits et de légumes, etc. 1,50 m le carton, 8 m la plaque de six, 16 m celle de douze. Tombola dotée d’un jambon et de dix autres lots. Tirage des tickets d’entrée et des tickets bar. Buvette, sandwiches, pâtisse- ries. Loto solidaire au profit de la Croix-Rouge française Concernant les loyers, la construc- tion, les financements, les aides au logement, etc., en novembre, l’Adil 24 tiendra des permanences les lundis 5, 12, 19 et 26, de 9 h à 12 h et de 13 h 30 à 16 h au Point info familles, bureaux de la CAF, 91, avenue de Selves à Sarlat. Un juriste se tiendra gratuitement à votre disposition pour vous fournir les renseignements que vous désirez. Vous pouvez également prendre contact au 05 53 09 89 89. Adil 24 Information logement

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Page 1: SARLAT - WordPress.comle samedi 3 novembre de 10 h à 12 h 15. Le père Demoures prend la plume le groupe sarladais L’Ami copain, dont les musiciens et chanteurs Francis, Didier

CUISINES BAINS RANGEMENTS

Route du Lot - SARLAT - Tél. 05 53 29 47 70

PRIX EXCEPTIONNELSjusqu’au 31 octobre

OUVERTURE

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“ Beaucoup de bruit pour rien ”.Ou plutôt beaucoup de banderoleset de tapage médiatique pour pasgrand-chose. “ Non au massacrede la vallée  ! ”, voilà le coup degong qui vous sonne les clochesd’entrée de jeu, depuis maintenantdes mois, plaqué en lettres énormescontre la haute muraille de trois deschâteaux, comme par hasard lesplus en vue, de la bien-nommée“ Vallée des Cinq Châteaux ”. Sacréepublicité pour ce qu’on appelleaussi “ le Triangle d’Or de la Valléede la Dordogne ” ! Où depuis l’èredes congés payés, venues de toutel’Europe, convergent les transhu-mances de l’été. Et maintenantqu’on a récupéré ici le climat de laCôte d’Azur, moult visiteurs enarrière-saison. Vouant à la throm-bose, toute une partie de l’année,ce petit coin de Périgord Noir reléguéau bout du bout de quatre dépar-tements et de deux régions. Petitesroutes submergées d’un flot inces-sant de voitures plus ou moins pres-sées, de théories de camping-carspas pressés du tout, d’affreux vieuxbus puants bourrés à zéro d’ama-teurs de canoë, de hauts gros buspostmodernes tutoyant les falaises,de poids lourds égarés dans lacohue estivale, le tout slalomant lamort dans l’âme entre des essaimsde vélos, eux-mêmes sous pression.Plus, à longueur de journée engluésdans ce cirque, le petit monde desindigènes bien obligés d’entrer dansla danse. Périgourdins de soucheou d’occasion en quête de ravitail-lement. Saisonniers fébriles tâchantde rallier en temps et en heure leurlieu de travail. Artisans pendus àleur mobile sillonnant en urgencele pays pour répondre à l’appelangoissé de tous les malheureuxdans les affres, aux prises avecl’horrifique panne susceptible degâcher les vacances ou la saison.Trente ans que ça dure cet embou-teillage permanent de la vallée  !Avec, comme en banlieue de Paris,des goulets d’étranglement. A lagrande époque Beynac, des queuesde plus d’une heure sur plusieurskilomètres, en plein cagna, pourarriver à traverser le village, entrefalaise et rivière, au petit bonheurla chance d’un croisement de poidslourds, de cars et autres camping-cars. La Roque-Gageac, mêmeproblème, des sueurs froides enplus tellement il y avait de piétonssur la chaussée. Et pour finir cestop infernal, désespérant, pourbifurquer vers Cénac ou Vitrac. Oh !nos gentils envahisseurs n’en fontpas tout un plat, Dieu sait qu’ils sonthabitués les pauvres bougres àprendre leur tour, matin, midi et soir,dans la chenille processionnaire,sur l’autoroute, dans le métro, àl’arrêt de bus, au feu rouge, aucinéma. Mais chez nous, à lacampagne ! Tout ça pour dire quenos élus ne sont pas malvenus d’es-sayer de trouver des solutions.Histoire de désengorger la vallée.Pour le bien de tous, touristes,locaux même combat, que nos arti-sans puissent circuler, que nos visi-teurs n’aient pas trop le sentiment,fût-ce sous notre ciel périgourdin,de se retrouver à Paris aux heuresde pointe. Bref, de refaire le coupde la route entre Beynac et Siorac,à la satisfaction de tous. Il y a déjàquelques années, La Roque-Gageac a été la première à releverle défi dans le cadre du projet “ SiteMajeur ” de la Région. Pour donnerles moyens à la commune d’élargirson “ front de mer ” sur la Dordogne.Mission accomplie. Evidemmenton ne fait pas d’omelette sans casserdes œufs, le village n’est plus dansson jus, la proportion n’y est plus,mais qui s’en plaindra, en vérité ilest toujours aussi beau, et puis ilfaut bien vivre avec son temps, lasécurité ça compte, il y a des trottoirsmaintenant, on peut se balader tran-quille en famille à La Roque-Gageac ! Par la suite, toujours parla grâce du “ Site Majeur ”, Beynaca aussi élargi sa traverse. Avec tropde béton à mon goût, mais nesoyons pas chien, ça circule peut-être un peu mieux, toujours ça de

pris. Par contre cet été, sans doutesuis-je mal tombé, depuis le châteaude Monrecour, sur au bas mot deuxkilomètres, il y avait encore unequeue du tonnerre de Dieu ! Preuvepar neuf qu’il nous la faut cette Voiede la Vallée !

Oui, mais voilà, il y a le chœurdes pleureuses ! Improbable maisSainte-Alliance d’un héritier jouantles châtelains, de zadistes en malde public et d’écolos en quêted’un os politique à ronger. Tempête force 7 dans le verre d’eau desoppositions à Germinal, les an-ciennes, les recuites, et les nou-velles, suite au fiasco de Notre-Dame-des-Landes. Alors on épuisetoute la panoplie des recours enjustice. On recense pro domo toutesles bestioles qui pourraient éven-tuellement se voir dérangées dansleurs habitudes. On établit, avec lesuccès qu’on sait, une tête de pontzadiste face au cimetière de Fayrac.En désespoir de cause, juste à côté,en bord de couasne, on finit parproposer un lieu d’information alter-native. Pour faire de la désinforma-tion ? Et on pousse les hauts crisen convoquant les mânes de ves-tiges gallo-romains jugés sansintérêt particulier par Pierre Nouvel,l’universitaire en charge de leurexpertise. Avec pour tout potagede se retrouver à devoir payer labagatelle de 60 000 m aux com-munes de Beynac, Vézac et Castel-naud-La Chapelle ! Ah ! bien beaude poser des banderoles visiblesà des kilomètres contre un projetreconnu d’utilité publique  ! Bienbeau d’invoquer le droit à la libertéd’expression ! Quelle liberté d’ex-pression ? Celle d’un individu, celled’une association, contre l’intérêtpublic ? C’est oublier que les entre-prises, surtout les entreprises detourisme, sont entièrement rede-vables de l’effort de tous pour tous,en clair des infrastructures publiques,routes, parking, sécurisation etembellissement du site, qui leurpermettent de prospérer. La Voiede la Vallée ? Qu’on le veuille ounon, un nouveau maillon de cettechaîne d’union.

Jean-Jacques Ferrière

Les Béatitudes du Croquant

Vendredi 2 novembre 2018 - Page 5

A force de mettre les religions àtoutes les sauces, on en finirait paroublier qu’elles concernent deshommes comme les autres. Le pèrePhilippe Demoures, curé de Sarlat,a décidé d’apporter son témoignaged’être humain dans cette fonctionpeu commune. Son livre, Curé rural,tout simplement, vient de paraîtreaux Presses de la Renaissance.“ Une vie de prêtre, c’est d’abordune vie vécue au milieu d’unecommunauté, par un homme toutsimple, qui essaie de s’inscriredans les désirs de chacun tout ens’efforçant de faire grandir unerelation forte, amoureuse, à sonSeigneur ”. Le ton est donné, et lemot “ humilité ”, qui vient de humus,la terre, prend tout son sens. Lepère Demoures connaît l’aventure,le risque et ses plaisirs : dans unevie antérieure, il a été pilote dechasse. Puis un jour, il a discernéun appel impérieux, il y a répondusimplement, dans la joie. Son sacer-doce repose sur son rapport auxautres. Cette existence de “ curéde campagne ”, comme on disaitautrefois, l’épanouit et le rendheureux. Etre en accord avec safoi, et en communion, totalementen communion, avec ses frèreshumains, tels qu’ils sont, voilà cedont le père Demoures veut témoi-gner.

Philippe Demoures dédicacerason livre à la librairie Lire en Majus-cule, rue de la République, à Sarlat,le samedi 3 novembre de 10 h à12 h 15.

Le père Demouresprend la plume

le groupe sarladais L’Ami copain,dont les musiciens et chanteursFrancis, Didier et Jean-Michel ontassuré un spectacle de très hautequalité. Quant à Pierre, le chanteurdes Acacias, il a fait entendre sabelle voix, et le guitariste Manu ajoué en play-back. Pendant ce temps,les bénévoles de l’association s’af-fairaient en cuisine. Ana, Antoine,Sylvie et Corinne s’étaient démenésdans l’après-midi, avec l’aide deHugo, pour mettre en valeur leursavoir-faire afin de contenter leurshôtes.

L’excellente ambiance a satisfaittous les participants qui ne deman-

Samedi 20 octobre au stade deMeysset, mis à disposition par leclub de football, l’Association desAcacias organisait un repas por-tugais et une soirée festive qui ont connu une belle réussite. Lesconvives ont apprécié le menuconcocté, dont le plat principal, uncozido a portuguesa, pot-au-feu àla portugaise, a obtenu l’unanimité.Servie peu avant, la soupe, le caldoverde, a fait un ravage, et pourfinir, le pudim, flan portugais, a été“ dévasté ”, aux dires des organi-sateurs !

Comme l’an dernier, la soiréeétait animée de main de maître par

Belle ambiance au repas portugaisde l’Association les Acacias

Samedi 3 novembre à 20 h 30 àla salle des fêtes de Carsac-Aillac,aura lieu un loto au profit des actionsde proximité de la Croix-Rouge fran-çaise. Accès dès 19 h. Bons d’achat(300 m, 150 m), corbeilles de fruitset de légumes, etc. 1,50 m le carton,8 m la plaque de six, 16 m celle dedouze. Tombola dotée d’un jambonet de dix autres lots. Tirage destickets d’entrée et des ticketsbar. Buvette, sandwiches, pâtisse-ries.

Loto solidaire au profit dela Croix-Rouge française

Concernant les loyers, la construc-tion, les financements, les aidesau logement, etc., en novembre,l’Adil 24 tiendra des permanencesles lundis 5, 12, 19 et 26, de 9 h à12 h et de 13 h 30 à 16 h au Pointinfo familles, bureaux de la CAF,91, avenue de Selves à Sarlat.

Un juriste se tiendra gratuitementà votre disposition pour vous fournirles renseignements que vousdésirez. Vous pouvez égalementprendre contact au 05 53 09 89 89.

Adil 24Information logement