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SL SAMEPI 10 SWTEMBUE 184 r 13”* ANNÉE DÜ Bül^jETJN. m x BX Xi’ABOmnBBISTC : Pooa Li D ipartbmbht. Hoi* DDDb ^ abtbmb ^I t. , Un an. . Ofr.•>sc. Six mois. 6 »» Un an. . 10 •» Six mois. & 5o Un an. . II So Six mois. 0 »• DE SEMLIS. AlVIVOIVCES JUDICIAIRES. pOnmAf jjflvaU fotts f(s (^«tnthis. OW S’AiBONins : A Sentis, au bureau du Joumul rue de B e a u v a is , n** 6 ; A Crépy,.chez H. BAftRB, Itbratrej Etçheztouftleslmprimeurs etautresLibrairea du dcparteipciit. PBZX BSS msSBTZOïrS : y\.. ^NNONCES judiciaires^ i 5 cent* la ANNONCES DIVERSES, id. SENLIS. ^ Îæ jourDa\isle doit écrire avec loyauté, conscienee et — Ji^itc,^LpModre-uour-<levi8e-/?flij-cïr7rirrfo^tfrf= vienne que pourra ! S^il sort de ce principe, il n’ÿ ft plus pour lut d indépendance possible, et il se met timide ment à la remormie de mille considérations plus ou moins plausibles. Si, au contraire, il en fait la base de sa conduite, il risque bien de mécontenter ceux qui ne partagent pas ses vues ; mais tôt ou lard le monde finit par lui rendre justice* cl Uar IVn paiimpFrilnvimfnnro OV9 v u e s , III _ _ par lui rendre justice, et par l’ên ésiîmëridiv^amàgë, ‘ ««pect . comme pour rmdeinniser des sacrifirei qn*il a Tnifi °cm— 6«r4es licuxr pu faire dans l’inlcrét du jtistè et du vrai. ' Après la n ? rv. .y. .itu^-iiiiiiaci uca sacriuccs qu pu faire dans rinlérét dîi juste et du vrai. Mais |a nécessité pour Pécrîvain, d*élrelojàlentraîne naturellement le dçvoif d’avouer hautement tdût arti cle livre par lui à là publicité.' ; p riv e z consciencieusement, ei encoui*ez là respon sabilité de vos écrits, ou n’écrivez pas du tout. ^ ,.Jl pe manque pas de gens disposés à conseillera un journaliste de faire tel ou tel article, qui produirait, disent-ils, un fameux effet. Si le journaliste répond au* conseilleur» S-Failes TODS-rnémea; il arrive que renx-ci, dans leur rédaclioii, passent les limites que le journaliste s était imposées ; et ils ne voudraient pas avouer leur èruvye’;. . ^ S'il en était ainsi ; si la presse était librfc de poMVr ses coups dans l’obscurité et daiis l’impùnité de l'ano- uyme, e est alors qu’on pourrait dire d’ellei avec Al phonse Karj*.-: « Elle peut fout'Onntré'les antres; «Ile « lie pedl' r.en pour les mitres, ni pour elle-même ; « .elle tue, elle né eréq nas ; elli^. mange tout, et elle ne ÜaCtU-Alè i 1 ~a^ inccndieiu éidàtp, leudi dernier, A Néty, pi-è» de Bc|huy-Suiiit*r^ar(in. Un cbusseiir'a, dilroii, 4 ^ charge sou fusd énç ùii colombier ; la bourre est toin- bee, tout alliime^ sm- un tas delfnmier; et personne n y a tait nttenlion, Quelques bèurés après, le fumier ciitlAinme avait eqmmiiniqué le feu an* bâtiments; et sept maiaoiis étaient devenues la prble des flammés Ôn cite avec éloge le clévonement d’un babi'taiif néÜiiné’ 1 oiilnln, tjtii a sauvé, an péril Bè’sés jours, une femmé et ucs.enfàdls qiW àllaiènt périi\jmyiijlieutdn feu.,lai -condnile^de M Ponitrih ■a:donS’éî«lf{|ii dîjfÉroéte dé eelle de deux ebassenrs, qii’on aVuS s’éloigner à grands pas du lien du sinistre; ponrm’étre pas obligés dé por ter seeoiirs aux vielimes de l’incendie. - . . — C’est le 8 de ce mois que le conseil général de I Uise a ouvert sa session. i — Samedi dernier,.vers,mie heure, S. A. R. le’dufi de Nemours est arrivé à Compiègne. A peine descendu de voiture, le prinçe s’est transporté sur le Cbamp-àe- inœuvre, où était réiiiiie l ’infanterie; 6 ciim heure» Le lendemain dimanche, à 7 et ro heures du matin, la cavalerie composée de deux régiments de carabiniers, lie deux régiments de cuirassiers et de deux régiments -jlclanciers,sest-rçndue-ait-chnmp,de’manœuvres'.------ La tenue des trriupes était magnifique. On a surtout admire les deux régiments de carabiniers. ^ Mais le lundi, la belle plaine des manœuvres a été témoin d’un grand et imposant spectacle. Toutes les troiipes, infanterie et cavalerie; y avaient été convo quées pour la reviié d’honneur. Ces troupes présen taient 1.aspect le pjus brillant. Une foule immense étaii "-x Iiiiiiiiicric; a cinq heures Il y eu réception au najais de toutes les autorités et des oflieiers de la garde nationale. L.’évènemcnt affreux nui venait d accabler lu famille royale éi'de semer la douleur et le demi dans toute la Erancc, donnait aux visites faites au pnhee un cacbct toiit particûliér;' Ceux qui onl eii 1 honneiir de lui adresser la parole au nom de la cité, ont trouvé facilement dans leur cœur tfes ex- prwsiOT eii dehors de la" langue oflîcièlle ; S. A. K a répMduA. tons, sans embarras et avec la plus grande facilité, dans des termes très dignes et très touchants. Après la revue, le prince a donné des déroratiOus; PUIS il a convoqué MM., les'officicrs fous les corps dans un cercle parliciilier, m, milieu du champ, et a proQODcc 1 aliocutièn stiivàulé : « Messieurs, « En vcnant.vous voir, je cède, au désir que j’avais e.yous lelieiter dU zèle que vous avez mis dans l ’a c r complisseinent de Vos travaux. Je sais que vos efforts ont ele Constants. J ’ai pu apprécier ici par moi-mèine les^neureux-résultats,dqiit..ils.ontcté cooronnési J’ai pu voir combien vous auriez brillaniineiil figuré dans cette reunion, qii’miehup aussi funeste qu’imprévu est veiiu empêcher.. ..... ><,Mais votie temps et vos peines n’auront pas été ■perdusrje^Viens vous porter les témoignagi» delà sa- ' lisl.-mtion .du Roi; car,-en .travaillant ainsi que vous l’a- vexloit; vous servez utitçmçnlje psÿs. Eq lui formant noe boppe armee, vp.u»,le.,éotezdq reinparl le plusso- lide;.,yous assurez ^qpjripmphe et vous méritez sa re- sij.|Mes»-"— ’—■— - loin de 1 .' -r:- - ■- .quelle jmVnènsé Sympathie s est son- dain produite aulpÿ de vops. Ce généreux élan a dû raffermir bien des cœurs ; cié'il b’est point de maux auxquels la gloricnsé unanimité dé jà France ne pdisse uighC’Consolalîon: ' - «-Pbiir vous en particulier. Messieurs, qui avez vu fout a ébup' un si grand vide se faire-à votre tête.ie «rLl ?■■'''«■' •'aut votre noble estrme et votre frattçbe affoelion. Ce cnnp. f.tat ’pénetres.'do donlenr; mais<âl ne yoiis a point abattus j i car il .nous reste iiue grande el belle cause à servir et -des-cœurs, capables de la défendre! ,Oui, vous tous conimo moi. Messieurs, nous redoublerons de zèle, d enorts et d’amnur, pour rendre h la France la fofce qui lurn été enlevée avec.çc, chef que nous pleurons. Viiant a moi, mes senlimepts, nies devoirs, nieS vœux sont Iç^, vôtres. Notre but commun est la gloire et le bonheur de nôtre pati'ie. Associé de tout cœur avec, vous dans ce noble but, dévoné tout entier à cette grande cause, vous inc trouverez toujours hnircux et lier de {a dclenuriÿ avec vous! _ « Adieu Blessiciirs, en nous séparant, restons unis, llcportez vers vos réginiéiits, où je vais vous revoir, mes paroles, expression des scutiments dont mou cœur est ponétre. » > . , Le prince a vérsé des.larmes cq prononçant les pa roles qui avaient rapport à la mort do foirfrèré,'et tous les olbcicrs étaient yisiblement émus. Celte émotion 8 est commiiniqiiéeaujc loilliers dé spectateurs réunis en || Les troupes sont rentrées en ville vers nne heure et demie, après un brillant défilé devant S. A. R. et son elat-major. LajoimfàlmrSlipiSaf^éavAA xa popuràlion a remarqué avec uïïÿif intérêt le jeune duc d’Aumale, è la tête du 17’ léger, dont il est le co lonel. On dirait que ce jeune prince, adoré de ses sol dats, accessible à tous, a oublié le haut rang qu’il oc cupe. S. A. R.’^le duc de Nemours a quitté Compiègne mardi, è six heures du matin. Le prince et le duc d Aumale sont allés rejoindre la famille royale auChâ- ^eBn-dfEu, — Le sieur Rousselle, âgé de 60 ans environ, culti vateur au Berval, avait, depuis long-temps, de» rela tions coupables avec sa fille; âgée de 28 à 24 ans. Une plainte ayant été faite à la justice. MM. le juge d’ins truction et le procureur du Roi desenlis, avec la gen darmerie de Crépy, se sont tr.-mspbnés à Bônneuil ; do leur ififormation est résultée l’arrestatlou dudit Jean Rousselle, prévenu de viol sur la personne de sa fille, â là suite duquel se seraient établies les relations eri- milielles. ■ R ouelle, après avoir passé la nuit dans la maison de sûreté de Crépy, est parti le lendemain matin, me- note, sousJ’çs.corte de la gendarmerie pour être écroué dans la maison d’arrèt de Sentis. - -V La comm.niie de Fitz-James vient d’être le théâ- .tre d’un nouvel incendie dont les causes ne sont pas ençqrç.eopnnes. ' Ley™ septembre, .vers onze hèures du matin, jb feu a prteAJa.m.aisopdu nommé Fiançois Diimont^ berger Je.hi.ferme dnBoî*.Adn>-J««.i.. , , Æràce â 1.1 prom'pifluife ayécîaq'uelleTœaécàurs ont été apportés, le feu n’a pu détruire que la maison dans laquelle il avait éclaté ; et-de» bâtiments, distants seù- lemeiit de deux mètres du foyer de -j’incendie, ont été i s“'*s cela une rue entière eût pu devenir la p’rôlë.des flàmtnes. Dans cette malheureuse circonstance, tout le monde a fivalisc dü zèlçetd’açtivHc. Aox premiers cris d’alar mes, plusieurs pompier? de Clérmont, avec uue des pom^s de la ville, les carabiniers cl les gendarmes, a vec leurs chefs en tète, se sont portés en Loule hûtc aur rie lieu du sioistre et ont joint leurs efforls è^cilx des habitants de Filz-James et des communes voisines. — Un,,lncendies'est manifesté à Hémévillers, le 3 i ao.ûl. àmidi, dans une grange appartenant à Âl. Sail- lart, coltivateur. Cette grange était entourée de murs et de haies vives et contenait 3,000 bottes de produits artificiehi-; tout a été consumé. 'Trois habitations faisant fgce a ce^ bâtiment, dont elles étaient séparées par la rue, dm cto également la proie des flammes. Deux Ont etc entièrement réduites en cendres. El c’est au cou rage de MM. Lefèvr'e, aubergiste, cl Simon (Jciinj- Louis), maçon, tous deux de Goiirnay, qu’on doit d’a voir pu sauver le restant delà troisième'habitat ion qui était eouvterte en ehaiiine et dont une partie était déjà coiisuinée. f e deux honorables citoyens ont ctinslani- ment exposé leurs jours pour arrêter les progrès de l’in cendie. M. Lefèvre, surtout a eu scs habits et ses ehc- . veux brûlés.  peine était—on maître de cet inecndie qu’un nou veau sinistre se déelarn à l’autre extrémité du village; une maison et deux bâtiments ont été dévorés p.trle» flammes. Finm xEïpàr. LETTRE a Fauteur de Farticle quia été inséré le Journal de Senlis, du 3 septerAbre; article répondant^^ettequestwnj^tion l ’a d jo in t AU HAIRE? HomiBcB^ ' ; temô! m" ''®"* ÎP •''h'!'"''. pé-lanlisme; il y « long temps, ma foi, que J ai relégué dans un coin de monarr^ te Watlljr, et autres radoteurs du 1 S"* siècle. âtt iiL dn ^“o” ee«e""“ *** ’ o.™"! coudomuer, VOUS, 2% t ïî . àyuf/oinl au maire. VouS pense; pour prémunir eontre votre errenr, « « J u je t, elle sera courte Commençons par nous rendre compte de la valeur des mots; rappelons-nous nos premières ■nstriiclions. in preposilion a est originaire exclusivement de nd, netit mot latin et «SI entre outres un terme de proprÆ. ! F” ?'!*'* f*yH?b“‘:(u’«»‘|!n,«çrtain,lJ. Butet qui a dU çelaj yçrs (cquçl tondent, i’shnSiilMi A po|l|^ iréiice â tp v.isMielfsj e est on poinp rldésire de préfçr< -rv.-i—.;•»» M iqufh «|III a QIC irellemei)^ toutes )es actioub làçho d'ftloindre, et qu’oA antre..s — , M, Butet f|ie meh; pas , mais continuons. — . Le nom du genre ilpvenanf celui Ndç l espece, a désigné par restriction l’idée d’un rapport «de propriété, d appartenance ou d’attrihulion, comme • dans les locutions c est à nioi, qo n’est pas à vous. > — Et te rapport d adjonction, que vous aycioèmis, M. Biitcl, comme danj cette locution l'atljoini-àu-maire j nous V ' r c e viendrons. — .« .De ce ' -------- -i... . . J rc ----------- - (ss* rrsMtrCj' llU llg V rC- ' "'““.'.Y”/*, co genre, sont Ics; locutions où la nré- »• posiMoù a entre deux noms indlqiinit que l’objet renrc- • sente par le second appartcniiit a l’objet rcp.-cscnté par le », r’". "'•I'”'" luiigiciui»» lu proposition .fie iivail usuriné » dans CCS ji^^titions la place quVciipail la Arcoosilipn L • lelles étaient, et telles doivènt èlrc chcorc ainourd^hui » ™oque de luiules lumières, U, laçons de parl^ suivantes I ù’.raon vohiZja robe à • Paultrie; d où sont restées dans le stjlc familier les lo- . eunods la vache h Cotel., fo'Wnjiie l CaronTT- ÎÔute ».fi ma lanto, çtq. » . >• . Mon opinion eqi ajwolument eônfbrmc è celle de M. liutet, Des puristes mhls citeront feu Boniface qui, dons sa eram- mairc’ proscrit ces locutions, lafAe à „,a mère, lamatl^n :à mon oncle: et nrescnt i(>nasawvi j ___ ’.i. » 1>pUV0lt-II sim.agi tions^t prc»,cpïptîont.pjrçYàudraieni^ , Ces mêmes piiristqs nous repiio'cteronl le .1 Académie, nouvelle édition, qiii cite pmir exemples 1 , i.è i Dictionnaire dç » nlAire fct ses adjoints, il est adjoint du moire de cette ville.» 11^ auront soin de nous dire que çc Dictionnaire et celui d un nomme Lavenu.\ , qui passait pcinr Imn il a.'uqe vingt aine d’anncds, même celui de Napoléoû,Landais, portçnt , substantif masculin , est une I --------- ' î pcr?pnne ela. s'Jjlie pour aider un princiïraf jfbn^ctionnaire aans Ica tra- » vaux de sa charge. • Nous leur répondrons que ces Dictionnaires sont apprecià maintenant à leur juste valeur, comipe en poésie,' Boileau, Racine, et autres classiques de cette sorte; ^ Que dans le premier 01tifilp de l’Académie on lit : lahàrque a Caroni et que, dans quelque ouvrage que ce soit, le commencement est toujours le meilleur, le plus soignéi VêXIIll ««■»: m.,n. 1,. Ai __ l'I' '1 . * Allez daps nos Tillogcs, et vous n’entondrcB }>à« diée iiu> trcinent : «J ’ai parlé à TadMoClOT. le maire.» , qui ctablil Içs règles du lan^gcT n'csl-ee pai'iiiiltiuémoriC rusnsc? i S’il pouvai,t nous rester encore quelque'scrupulè^ en pàs-

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SAMEPI 10 SWTEMBUE 184

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13”* ANNÉE DÜ Bül^jETJN.

m x BX Xi’ABOmnBBISTC :

P o o a L i D ipartbmbht.

Hoi* DD Db abtbmb It.

, Un an. . Ofr.• >sc.Six mois. 6 »»Un an. . 10 •»Six mois. & 5oUn an. . II SoSix mois. 0 »•

DE SEMLIS.AlVIVOIVCES JUDICIAIRES.

pOnmAf jjflvaU fotts f (s ( ^ « t n t h i s .

OW S’AiBONins :A S e n tis , a u b u re a u d u J o u m u l ru e d e

B eauvais, n** 6 ;A Crépy,.chez H. BAftRB, Itbratrej Etçheztouftleslmprimeurs etautresLibrairea

du dcparteipciit.

PBZX BSS m sSBTZOïrS : y \ . .^NNONCES judiciaires i5 cent* laANNONCES DIV ERSES, id.

SENLIS. Îæ jourDa\isle doit écrire avec loyauté, conscienee et

— Ji^itc,^LpModre-uour-<levi8e-/?flij-cïr7rirrfo^tfrf= vienne que pourra ! S il sort de ce principe, il n’ÿ ft plus pour lut d indépendance possible, et il se met timide­ment à la remormie de mille considérations plus ou moins plausibles. Si, au contraire, il en fait la base de sa conduite, il risque bien de mécontenter ceux qui ne partagent pas ses vues ; mais tôt ou lard le monde finit par lui rendre justice* cl Uar IVn paiimpFrilnvimfnnro

OV9 v u e s , III _ _

par lui rendre justice, et par l’ên ésiîmëridiv^amàgë, ‘ ««pect .comme pour rmdeinniser des sacrifirei qn*il a Tnifi °cm— 6«r4es licuxrpu faire dans l’inlcrét du jtistè et du vrai. ' Après la n

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— rv. .y. .itu^-iiiiiiaci uca sacriuccs qu pu faire dans rinlérét dîi juste et du vrai.

Mais |a nécessité pour Pécrîvain, d*élrelojàlentraîne naturellement le dçvoif d’avouer hautement tdût arti­cle livre par lui à là publicité.'; p r iv e z consciencieusement, ei encoui*ez là respon­sabilité de vos écrits, ou n’écrivez pas du tout. ,.Jl pe manque pas de gens disposés à conseillera un

journaliste de faire tel ou tel article, qui produirait, disent-ils, un fameux effet. Si le journaliste répondau* conseilleur» S-Failes TODS-rnémea; il arrive que renx-ci, dans leur rédaclioii, passent les limites que le journaliste s était imposées ; et ils ne voudraient pas avouer leur èruvye’;. . ^

S'il en était ainsi ; si la presse était librfc de poMVr ses coups dans l’obscurité et daiis l’impùnité de l'ano- uyme, e est alors qu’on pourrait dire d’ellei avec Al­phonse Karj*.-: « Elle peut fout'Onntré'les antres; «Ile « lie pedl' r.en pour les mitres, ni pour elle-même ; « .elle tue, elle né eréq nas ; elli . mange tout, et elle ne

ÜaCtU-Alè i

1 ~ a ^ inccndieiu éidàtp, leudi dernier, A Néty, pi-è»de Bc|huy-Suiiit*r^ar(in. Un cbusseiir'a, dilroii, 4 ^ charge sou fusd énç ùii colombier ; la bourre est toin- bee, tout alliime^ sm- un tas delfnmier; et personne n y a tait nttenlion, Quelques bèurés après, le fumier ciitlAinme avait eqmmiiniqué le feu an* bâtiments; et sept maiaoiis étaient devenues la prble des flammés Ôn cite avec éloge le clévonement d’un babi'taiif néÜiiné’ 1 oiilnln, tjtii a sauvé, an péril Bè’sés jours, une femmé et ucs.enfàdls qiW àllaiènt périi\jmyiijlieutdn feu.,lai

-condnile^de M Ponitrih ■a:donS’éî«lf{|ii dîjfÉroéte dé eelle de deux ebassenrs, qii’on aVuS s’éloigner à grands pas du lien du sinistre; ponrm’étre pas obligés dé por­ter seeoiirs aux vielimes de l’incendie. - . .

— C’est le 8 de ce mois que le conseil général de I Uise a ouvert sa session. i ■

— Samedi dernier,.vers,mie heure, S. A. R. le’dufi de Nemours est arrivé à Compiègne. A peine descendu de voiture, le prinçe s’est transporté sur le Cbamp-àe-

inœuvre, où était réiiiiie l ’infanterie; 6 ciim heure»

Le lendemain dimanche, à 7 et ro heures du matin, la cavalerie composée de deux régiments de carabiniers, lie deux régiments de cuirassiers et de deux régiments

-jlclanciers,sest-rçndue-ait-chnmp,de’manœuvres'.------La tenue des trriupes était magnifique. On a surtout

admire les deux régiments de carabiniers. Mais le lundi, la belle plaine des manœuvres a été

témoin d’un grand et imposant spectacle. Toutes les troiipes, infanterie et cavalerie; y avaient été convo­quées pour la reviié d’honneur. Ces troupes présen­taient 1.aspect le pjus brillant. Une foule immense étaii

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Iiiiiiiiicric; a cinq heuresIl y eu réception au najais de toutes les autorités et des oflieiers de la garde nationale. L.’évènemcnt affreux nui venait d accabler lu famille royale éi'de semer la douleur et le demi dans toute la Erancc, donnait aux visites faites au pnhee un cacbct toiit particûliér;' Ceux qui onl eii 1 honneiir de lui adresser la parole au nom de la cité, ont trouvé facilement dans leur cœur tfes ex- prwsiOT eii dehors de la" langue oflîcièlle ; S. A. K a répMduA. tons, sans embarras et avec la plus grande facilité, dans des termes très dignes et très touchants.

Après la revue, le prince a donné des déroratiOus; P U I S il a convoqué MM., les'officicrs d é fous les corps dans un cercle parliciilier, m, milieu du champ, et a proQODcc 1 aliocutièn stiivàulé :

« Messieurs,« En vcnant.vous voir, je cède, au désir que j ’avais

e.yous lelieiter dU zèle que vous avez mis dans l ’a c r complisseinent de Vos travaux. Je sais que vos efforts ont ele Constants. J ’ai pu apprécier ici par moi-mèineles^neureux-résultats,dqiit..ils.ontcté cooronnési J ’ai puvoir combien vous auriez brillaniineiil figuré dans cette reunion, qii’miehup aussi funeste qu’imprévu est veiiu empêcher.. .....

><,Mais votie temps et vos peines n’auront pas été ■perdusrje^Viens vous porter les témoignagi» delà sa- ' lisl.-mtion .du Roi; car,-en .travaillant ainsi que vous l’a- vexloit; vous servez utitçmçnlje psÿs. Eq lui formant noe boppe armee, vp.u»,le.,éotezdq reinparl le plusso- lide;.,yous assurez ^qpjripmphe et vous méritez sa re-

sij.|Mes»-"— — ’—■— - loin de

1 .' -r :- - ■- .quelle jmVnènsé Sympathie s est son-dain produite aulpÿ de vops. Ce généreux élan a dû raffermir bien des cœurs ; cié'il b’est point de maux auxquels la gloricnsé unanimité dé jà France ne pdisse

uighC’Consolalîon: ' -«-Pbiir vous en particulier. Messieurs, qui avez vu

fout a ébup' un si grand vide se faire-à votre tête.ie« r L l ?■■'''«■' •'aut votre nobleestrme et votre frattçbe affoelion. Ce cnnp. f.tat ’pénetres.'do donlenr; mais<âl ne yoiis a point abattus j

i car il . nous reste iiue grande el belle cause à servir et -des-cœurs, capables de la défendre! ,Oui, vous tous conimo moi. Messieurs, nous redoublerons de zèle, d enorts et d’amnur, pour rendre h la France la fofce qui lurn été enlevée avec.çc, chef que nous pleurons. Viiant a moi, mes senlimepts, nies devoirs, nieS vœux sont Iç , vôtres. Notre but commun est la gloire et le bonheur de nôtre pati'ie. Associé de tout cœur avec, vous dans ce noble but, dévoné tout entier à cette grande cause, vous inc trouverez toujours hnircux et lier de {a dclenuriÿ avec vous!_ « Adieu Blessiciirs, en nous séparant, restons unis, llcportez vers vos réginiéiits, où je vais vous revoir, mes paroles, expression des scutiments dont mou cœur est ponétre. » > . ,

Le prince a vérsé des.larmes cq prononçant les pa­roles qui avaient rapport à la mort do foirfrèré,'et tous les olbcicrs étaient yisiblement émus. Celte émotion 8 est commiiniqiiéeaujc loilliers dé spectateurs réunis en ||

Les troupes sont rentrées en ville vers nne heure et demie, après un brillant défilé devant S. A. R. et son elat-major.

LajoimfàlmrSlipiSaf^éavAAx a popuràlion a remarqué avec uïïÿif intérêt le jeune duc d’Aumale, è la tête du 17’ léger, dont il est le co­lonel. On dirait que ce jeune prince, adoré de ses sol­dats, accessible à tous, a oublié le haut rang qu’il oc­cupe.

S. A. R.’ le duc de Nemours a quitté Compiègne mardi, è six heures du matin. Le prince et le duc d Aumale sont allés rejoindre la famille royale auChâ-

^eBn-dfEu,— Le sieur Rousselle, âgé de 60 ans environ, culti­

vateur au Berval, avait, depuis long-temps, de» rela­tions coupables avec sa fille; âgée de 28 à 24 ans. Une plainte ayant été faite à la justice. MM. le juge d’ins­truction et le procureur du Roi desenlis, avec la gen­darmerie de Crépy, se sont tr.-mspbnés à Bônneuil ; do leur ififormation est résultée l’arrestatlou dudit Jean Rousselle, prévenu de viol sur la personne de sa fille, â là suite duquel se seraient établies les relations eri- milielles. ■

R ouelle , après avoir passé la nuit dans la maison de sûreté de Crépy, est parti le lendemain matin, me- note, sousJ’çs.corte de la gendarmerie pour être écroué dans la maison d’arrèt de Sentis.

- -V La comm.niie de Fitz-James vient d’être le théâ- .tre d’un nouvel incendie dont les causes ne sont pas ençqrç.eopnnes.' Ley™ septembre, .vers onze hèures du matin, jb feu

a prteAJa.m.aisopdu nommé Fiançois Diimont^ berger Je.hi.ferme dnBoî*.Adn>-J««.i.. ,

, Æràce â 1.1 prom'pifluife ayécîaq'uelleTœaécàurs ont été apportés, le feu n’a pu détruire que la maison dans laquelle il avait éclaté ; et-de» bâtiments, distants seù- lemeiit de deux mètres du foyer de -j’incendie, ont été

i s“'*s cela une rue entière eût pu devenir la p’rôlë.des flàmtnes.

Dans cette malheureuse circonstance, tout le monde a fivalisc dü zèlçetd’açtivHc. Aox premiers cris d’alar­mes, plusieurs pompier? de Clérmont, avec uue des pom^s de la ville, les carabiniers cl les gendarmes, a vec leurs chefs en tète, se sont portés en Loule hûtc aur

rie lieu du sioistre e t ont joint leurs efforls è^cilx des habitants de Filz-James et des communes voisines.

— Un,,lncendies'est manifesté à Hémévillers, le 3 i ao.ûl. àmidi, dans une grange appartenant à Âl. Sail- lart, coltivateur. Cette grange était entourée de murs et de haies vives et contenait 3,000 bottes de produits artificiehi-; tout a été consumé. 'Trois habitations faisant fgce a ce bâtiment, dont elles étaient séparées par la rue, dm cto également la proie des flammes. Deux Ont etc entièrement réduites en cendres. El c’est au cou­rage de MM. Lefèvr'e, aubergiste, cl Simon (Jciinj- Louis), maçon, tous deux de Goiirnay, qu’on doit d’a­voir pu sauver le restant delà troisième'habitat ion qui était eouvterte en ehaiiine et dont une partie était déjà coiisuinée. f e deux honorables citoyens ont ctinslani- ment exposé leurs jours pour arrêter les progrès de l’in­cendie. M. Lefèvre, surtout a eu scs habits et ses ehc-

. veux brûlés. peine était—on maître de cet inecndie qu’un nou­

veau sinistre se déelarn à l’autre extrémité du village; une maison et deux bâtiments ont été dévorés p.trle» flammes.

F i n m x E ï p à r .

L E T T R E a Fauteur de Farticle q u ia été inséré le Jo u rn a l de Senlis, du 3 septerAbre;

article répo n d a n t^ ^ e t te q u e s tw n j^ t io n l ’adjo in t AU HAIRE?

HomiBcB ' ;

temô! m" ''®"* ÎP •''h'!'"''. pé-lanlisme; il y « long­temps, ma foi, que J ai relégué dans un coin de monarr^ te Watlljr, et autres radoteurs du 1 S"* siècle.

âtt i iL dn “o” ee«e""“ *** ’o.™"! coudomuer, V O U S ,2% t ï î . àyuf/oinl au maire. VouS

pense; pour prémunir eontre votre errenr, « «Ju je t, elle sera courte

Commençons par nous rendre compte de la valeur des mots; rappelons-nous nos premières ■nstriiclions.

in preposilion a est originaire exclusivement de nd, netit mot latin et «SI entre outres un terme de proprÆ.! F” ?'!*'* f*yH?b“‘:(u’«»‘|!n,«çrtain,lJ. Butet qui a dUçelaj yçrs (cquçl tondent,

i’shnSiilMi A po|l|^iréiice â tp

v.isM ielfsj e e s t o n poinp r ld é s ire de préfçr<

-rv.-i—.;•»» Miqufh «|III a QICirellemei) toutes )es actioub làçho d'ftloindre, et qu’oA

antre..s —, M, Butet f|ie meh;

pas , mais co n tin u o n s . — . Le nom d u g e n re ilp v en an f c e lu i N d ç l e sp ece , a d ésigné p a r res tric tio n l ’idée d ’u n ra p p o r t « d e p ro p r ié té , d ap p a rten an ce ou d ’a t t r ih u l io n , com m e • d a n s les locu tions c est à n io i , qo n ’e s t pas à vous. > — E t te ra p p o r t d a d jo n c tio n , q u e vous a y c io è m is , M. B iitc l, com m e d a n j c e tte locu tion l 'a t l jo in i - à u - m a ir e j n ous V ' rce v ien d ro n s . — .« .De ce ' -------- - i . . . . . ’ J rc

----------- - (ss* rrsMtrCj' llU llg V rC-' "'““.'.Y”/*, co genre, sont Ics; locutions où la nré-»• posiMoù a entre deux noms indlqiinit que l’objet renrc- • sente par le second appartcniiit a l’objet rcp.-cscnté par le

», r’" . " '•I '” '" luiigiciui»» lu proposition .fie iivail usuriné» dans CCS ji^^titions la place quV ciip a il la Arcoosilipn L• lelles é ta ien t, e t telles doivènt èlrc chcorc ainourd^hui » ™ oque de luiules lum ières, U , laçons de p a r l ^ suivantes I• ù’.raon v o h iZ ja robe à• Paultrie; d où sont restées dans le stjlc familier les lo- . eunods la vache h Cotel., fo'Wnjiie l CaronTT- ÎÔute ».fi ma lanto, çtq. » . >• .

Mon opinion eqi ajwolument eônfbrmc è celle de M. liutet, Des puristes mhls citeront feu Boniface qui, dons sa eram-

mairc’ proscrit ces locutions, lafAe à „,a mère, lamatl^n :à mon oncle: et nrescnt i(>nasawvi j ___ ’.i. »

1>pUV0lt-II sim.agi tions^t prc»,cpïptîont.pjrçYàudraieni ,

Ces mêmes piiristqs nous repiio'cteronl le .1 Académie, nouvelle édition, qiii cite pmir exemples 1 , i.èi Dictionnaire dç

» n l A i r e fct ses adjoints, il est adjoint du moire de cette ville.» 11 auront soin de nous dire que çc Dictionnaire et celui d un nomme Lavenu.\ , qui passait pcinr Imn il a.'uqe vingt­aine d’anncds, même celui de Napoléoû,Landais, portçnt

, substantif masculin , est une I--------- 'î pcr?pnne e la .s 'Jjlie p o u r a id e r u n p r in c i ïra f jfbn^ctionnaire a a n s Ica tra - » vaux de sa ch a rg e . •

Nous leur répondrons que ces Dictionnaires sont apprecià maintenant à leur juste valeur, comipe en poésie,' Boileau,Racine, et autres classiques de cette sorte; Que dans le premier 01 tifilp de l’Académie on lit : lahàrque

a Caroni et que, dans quelque ouvrage que ce soit, le commencement est toujours le meilleur, le plus soignéi

VêXIIll ««■»: m.,n. 1,. Ai__ l'I ' '1 . *

Allez daps nos Tillogcs, et vous n’entondrcB }>à« diée iiu> trcinent : « J’ai parlé à TadMoClOT. le maire.» ,qui ctablil Içs règles du lan^gcT n'csl-ee pai'iiiiltiuémoriC rusnsc? i

S’il pouvai,t nous rester encore quelque'scrupulè^ en pàs-

Page 2: SAMEPI 10 SWTEMBUE 184 DE SEMLIS.bmsenlis.com/data/pdf/js/1843-1847/bms_js_1842_09_10_MRC.pdf · 2014-03-24 · a vec leurs chefs en tète, se sont portés en Loule hûtc aur rie

’#■ io ît \é» pïu» gtwiij» «log*»,»ux pompiers J Es-l r f e i i r S à î t t t - D c h t » ; q t i i b i r t ’i r e a d ü ' d ’ l m m e M » » e « ’v iK « « ,

: ___»____ U . . k : i » . . i a « • n m m il l ie k V o iü îU C â Q U I SC

' ' ê i i.ttéèïrSàini-ucniSj ijuniHi i^u«« « ; <

ainsi qu’aux habilauls des communes vo:sines qui 8C itont empressés d’accourir et de porter tous les secours qui étaient en leur pouvoir. , i » i

On ne'saftl qttelkcause attribuer <?e dep^able 1. 1 â.%r#.ii*msi À ttt* a illa iL .11 ucrie est deMn ne sait a queiurcaMsç v . t

nemenl^ la Wàtice informe A ce sujèl. '1 ^ perl« i 3 ,4 o u f r .B o c .: , ^ ;

«I un inaiidulüc aSo' fiv sur Xuviiïr Praquin, qui fu- ■tepl'towsdeu» .

Cependant les araires de la compagnie ne prospé­raient pofnl. Eii inpi i8 4 i, Uife assemblée des action­naires décida que, sur actio ls non entièrement li-

î*'.'. i: .* ■: ‘

COUR S ’ASSISES DE L’OISE.A ffa ir e M s a iE L E T P r a q u in .

Le 6 août 1839, MarteUul nommé pour les srron^ menls de Beauvniscl de CleimoiU, directeur delw com-

. . . iVnknrrim e n i s u e u c a i iv m s v i me- v.s»vrhr»f..* , -------— _ 'paunie d’assurances contre la grole, connue d abort âdSs lc nom de I’Wj , et ensuite de PÆe/m>. Il recevaisous le nom ue . mA, e. ---------- -------- 1 recevaitune remise de i5 pour ceul'sùrie montant des assu­rances qu’il faisait pour le compte de la compagnie, et une remise de 3 pour cciif sur lés actions qu il plaçait.

Le .1“' juin iSéo. Martel fil prendre deux actions nominatives de 5ooo fr. chacune .à Louis Praquin, ri­che cultivateur do l’arrondissemeal de Clcrmont. I flendemain il envoyait à la compagnie une copie cerli-

. fiée de la soumission d’actions souscrite par Louiim 11 envüjM iv « »«t i-r- - -

. liée de la soumission d’actions sousèritc par Louis l?ra- quin, en dis'inS qu’il giicdcruil l’original^endant quel­que temps, dans respoir qu’il lui serait de. quelque utilité. On conçoit en effet qu’à raison de la pQsition

cet' acte pouvait être de nature à inspirer deTa con-^ * a I . . 1 J i . i ____ n o r c n n r ip a h

9|Vdcux ; moid'faillite..-AI J

4»ar ^ 4 |ttion d4non libérées devenaient en totalité exigibles. Le juge- commissaire invita les frères Praquin à libérer leurs actions. Çpu?-^çi swiiiuro«l, devqut }e inpscodi^m s- saire^qup Ia4rtpartde jfor.niéejustifiée^ et qu’ils ne pouvaient pas être conlfaints au paiement, tant que les originaux des soumissions d ac­tions dont on excipait à leur égard, né seraient pas re­présentés. Ce système pjpévalut, et le juge déclara n y avoir lieu.h renvoyei; !*."buiial arbitral institué, aux fermes uës staluts, fiour vir der les contestations élevées avec les actionnaires.

Mais Martel e^f aussitôt invité .par. Je syodiA.dfi. faillite à remettre les originaux de soumissions d actions qu’il n.vait gardés entre ses-.mains. .Jçpdemain o mars. 1: ^ 2 , il répoqd qp’il n’apas les rpiainsi qn.er les frères.Praquin n’avaienf, point en­tendu jd*âfjleurs. faire: •'We, soumission d* nnilive», Wenouyel)eaJnstances,ont lien auprès,de)ui,; uqe

-r»----—•->^r"T±r-;g-t;c’-.;: U-Zmr?;tKÎi-~îtïi '»iHnriirücr»*t ion lui est mémeiPÎguîfiéêi par exjploirdo jmirdcr*

Les soumisssIùiVs d’actions, origitraux êifrfont foi, étnieiildéfmitives. I es p ii^ n u s sonloUigéfrau- jourd’hui de le reconnaître, ^ouis Praquin, çoûr se soustraire aux obligations qui étaient la cons^uence de ces soumissions, avait sollicité Martel de lui en re-» piettroj^es.tiirwf li'ètfrï«popd^jW^ r®*'vèfe ^ serv ite^^ cette cir—,‘ç p b ^ n c c S ai&aii^ piJittI g r W jl /^ l^ lo u r n e -

rances, dès originaux qüi étaîenï destinés a assurer seadroits, avait été robjet d’une récpninense promise par

" q u i n . lies'parties ■a^88oient‘d*uitiénts d un-i

Jboqis Praqul... — « ,. . .^cpnimun accord d* ns le ipè***®i ®® fournissaient' réciproquement les moyens de l’atteiiidrev -

Mortel et Praquin on! été déclarés coupablep par le jury et condampés tous le» déux, le mois, le second en t r o i s . inoîaiPeniprisbu’nêmeiit.

Ort bien pla­cé» daii» radmmîSriilion,. que M'. Passÿ av nil dil cii parlant d’eux : L’un est un fo u , et Vautre est un vo- leur. ' -

— Cela ne se passera pas ainsi ! s’écria M”*”.— El comment vqulee-vdui 3j»nc que ça se passq?

lui demanda son compagnon d’iiifoiTuiie.—I- i ’oblieudri(i.raison de M..Passy; je me ballrai

avec lùi. . . , . : , . ,—» Il rçiuSjCi a dc.se battre avec son subordonne.—» SI reiUa ÇljW UC.Py MUtH V WTE.E.» OERR» —— Oui, cit bien He vais donner ma-demlssion.

Vous éles'(op][ , ,— Copimen^diics-vpus? . .— AÙon», allex-vous me ehcreher querellé aussi 11

moi? , . ' , ,— NpB, je veux savoir ce que, vous m avex dit.

Jq vousni dit : Tousêles fûu. ; : , . .—s Alors, jesnis cpntentj cl,je ne demandérai tien

iVLPassy, ...............

c e i a c te u u u v j i t V1E.V »sv a .- . . - . '- - — 'I-----fiance au public, et à détfcrminer certaitite persopnes à prendre également des actions : aussi le directeur de la compagnie nnlorisa-t—il Mattel à conserver tempo­rairement l’original de la soumission de Louis Pro- quia, auquel un titré constitutif de ses deux actions fut adressé le 3 juin. ,V •

'Martel â t souscrire le 3o juin une nouvelle ouotis- ston .d’ane action de 5,bbsion .u nuv «eaIivu M ® - *”T •/» » *du préveno. î-e 51 juillet, il envoyait la copie certifia, a la cdropagnié, conservant ciicoré dans le même but l o- rigioal de celte soumission ; et le 3 juillet, le titre cons^ litntif était expédié de Paris par. le directeur de l Iris

nier. Martel garde.le.sHencc.. v .t, . . ’ i t: GettéiCo.nÜuUeue décélitit que trop biçn qn. cqpceft,

frauduleux x.v^'lesf frères lVaqu»n„ et .une,Jptlr® dq^o ju io 'i84 i, adressée pivr Louis Prpquip à;M».jl®M.l®U**® remUe^H syndic de la faillite, laissait peu de doute a cet égard. ; . ‘ , • • •

Le 22 juillet dernier, une plainte est déposée au par- quet de p W ffTguTii<^~n^^doublé, pçrquisition-çst operée au domicile d,® ®rf®;.® à celui de Louis Praquîp*

à Xavier Pracj^m..Suivant les statuts souscrits, le vingtième seulement

de cbaqua action était exigible. La compagnib tirâ en conséquence un mandat de 5oo fr, sur Louis Praqqin,S 2 SU '

U , ; c i u i u c -^ lE iE .a Praquîp- pcrquiMv».- ‘. r ; ; , , - -

au domicile du premier les deux orîginapx d actions que Martel niait avoir en sa possession. On saisit en Oiitre à ce même domicile, ainsi qu’audomicile de Louis Praquin, ulle’icori’eSpdndance'èrilre Martel e t Louis.T.. ^ . . . . . . I E . 1 : ___ .....I. 1n n à l^ r iE 'Ip tPraquinj qui jette le plus grand jour sur la nàmre et l’objet des tnatiœdvres de ceSideux hommes^

— Cjonirncnt? qpe voulcz-vpus d ire '

fâqher«i y.Mr, 1gUWO.C', jv .,1, f ,v:

, . . li I :. Â.l|>nQP80.K* k . ) 1 ^"^^7îoJ»rïëwïrt-ÎÔ^rartï>TÎ^GîîÏK^*

JllSlCSA -Tà^!.

A iIt .' i '* . ' . ,Elude de M* Je tu s T H piR Y ,. avoué à Senli».X’att m il huit cënt qnïiMüliÉiVIeo*> Itf neuf 6ep-

tcndirè; a la'Mqttè^fti'iIë M'. Ignacé.8làm»làs Rochefl|Ki'CTlfivaië(nr; Ogues, cauiou deNàÂ\ctcll-lé.iîànircidîn

’£eqnèr\éü t; dûimciïe en; l’étude de M' Jules ■thçmry, 'avoue Rf es. lé tribqnal civil de première instance séani'à Seiili's, y demeurant, rue du Chatel, ,,,. J ’.ai^ Scipion Pieux,, ^uissier audieqcier près les

ùibùnuùx de première instance et de paix , séants à 3eiiiis„ y demeurant, place Noire-Dame, n” 2 , patenté du dix-neitf m ars dernier, sous le n° 103, 3—:classe, soussigné,

Notifié e t , avec celle des présentes, laissé copie à M.; le Procureur du R oi près le tribunal civil de première insiànce, séant à Sentis, eu son iiarquel sis audit Irlbuiial, où étant e t parlant à la personne de M. le Substilut,

Léqiiél a visé le présent ; _ (D ’un acié fait au greffe du tribunal.civil de l" in -

atabce séaiit à Senlis (Oise), le sept septembre pré- ■ seutih'pisj eUrégislré, constatant lédépol uudilgreffe

de là cppie coUaiion.néeVt èuregislrés 'd’uii juge- niénli,rendu én l’àudieiice des criées du tribunal de Renlis, le deux août dern ier, en reg istré , par M. Dambry, juge audit tribunal, commissaire en celte p a rtie , contenant vente e t adjudication par suite de la licitation poursuivie à la requête de madame Agiaé Duvivier, veuve de M. Médard Hébert, pro­priétaire , demeurant à Ognes, canton de Nanteuil- le-Handouîn; contre M. François-Théodore-Louis H ^ e r t , prépnétaire, demenraiita NantenilrAu nCin et comme subrogé-tuteur de la mineure Félicie- Léoiiie H ébert, sa petite-fille, issue du mariage du sieur Médard H ébert, déeédé, avec la dame Duvb

vier, sa veuve, sus-nommée; tous les susnommés ès-uoms et qualités qu’ils agissent audit jugem ent, auproiit.du requérant; . j ,

1“ D’au corps de terme situé à Ognes, ruelde ;la Mare-d’eii-Bas, anciennement appelée ruedu Mar­ché, cour, jardin e t dépendances; le tout daqs son ensemble est traversé par'Iarue de la Mure-d eii- Bas, contient en superficie deux hectarés-^arante-

lit a res dix-neuf centiares, e t lient d’titi ndpt d o-,. ' ' * «' . .«»a* a. aS‘ Aia*-ohuitâlUI». a i WO. ----- y - -,r ^

n e ù tà i a rue de l’Eglise, d’autre bôul a ^ ^ w u r s Duvivier, Germain e t autres, d*un c ô ^ du luiut p^r■ • ___ .1*___A ! . . _____f .1 . . «âmaa* là 'a 'a ti/v /a iip t . A i l (À loS

a Delagraiigé, et pa^ .l’enclos à là plàiqc.2“ E t d’une petite maison située à Ognes, en la

rue d’En-Haut, au fond d’une cour commune, petit jardin situé au nord de la maison, contenant,un are vingt-sept centiares, un autre jardin contenant,dix ares qnatre-vingt-cinq centiares, .tenant le tout p a r devant du-m idi, à la cour commune, p a r derrière du nord à Mv Thuillier, d’orient à la cour, commune e t au sieur Germain, d’occident aux héritiers De- lagarde e t au sieur Germain ;’

E t ce moyennant la som m aiedix-neiif mille trois cents francs de prix principal,outre leS charges ex­primées audit jugement d’adjudication.

Ledit dépôt effectué pour parvenir à purger leshypothèques légales pouvautgreverlesbieusveudus.

Déclarant à hj. .le Procureur du R o i, .Prem ièrem ent, que les anciens propriétaires

desdits biens, sont :■ ;1» Madame AgIaé D uvivier, veuve du eieur Ble-

dard Hébert, venderesse; 2" èsademoisello Félioie- Léoiiie'Hébert, mineure; 3° M. Médard Hébert;-4" madame Geneviève-EliSabeth T illet, cpouse de M. Cbarles-Tliéodorè Delamarche; S” madame Marie- Victoire Lefèvre ; décédée veuve du sieur Pierre Tillet; 6" ledit sieur PierreT illét; 7“ M. Louis-Vic- tèr Lefèvre père : 8 ' là dame son épouse ; 9’ M. Vic- liïîF loren t Lefèvre; 10’ madame Marié-Victoire

Lefèvre i épouse de.M . Louis-liippplÿle dilquin ;1P madame Eügéniè Lefèvre, épftusp de Ijl.. JeaU- Rierre-Henrj (Gpebie; 12“ M- Elpi-Cli»rles Lefèvre;13»iMr CbarlotlerEfisabetb-Julie, T illet, é p o n s e ^ M. NicolàSG'arûot; ,14!' madame Loüise-Maric Til- lei, é p o u s e de M. François-Théodore-Louis Hébert; 16“ madame Victoire Tillet, épouse de M. Vinceiit- F lortelR oche; 16’ M. Réné-Nicolas-AugustintChar-

lë s de-McaUpou ; 17" M. LouisGIrarlesiAlexandrc de Meaupou; 18“ M. eharicu ia 'gne '^ fèvre père;19“ madame CatliprinéïîfiSiTés, son épouse , 20» de­moiselle CaÛierinè-,Clïàriotié Lefèvre ; 21“ Frqriçois Delàgarde ; 22*: .tèàu-Bapiis'te Bersqn ; 23“ dame ifiarie-Eiisabeih LefèVre, soii épousé ; 24“ Aügustin Leçomte; 2s!dàtpe Louise IJerreau, son épouse; 26“ tMU te'comté père ; 27“ M- Louis-Tpussap t P er­reau,; 28" dame ÀméUe-Gamille Berson, sonèPPnsc; 29? Pierre-Alesandre Rretel;

Deuxièmement, e t que tous ceux du chef des­quels iL pourriit ê tre requis des iuseriptions! pour raison d’hypothèques légales n’é tant pas connus du retiuérant, celubci fera publier ces présen­tes én la forme prescrite pa r l’àvis du conseil d'é­ta t, du 9 mai Ï8 0 7 , sanctionné le premier juin suivant.

A ce que M. le Procureur dû Roi ii’en ignore, et je lui a i, en parlant Comme dessus, laiSsé Copie de l’acte de d^iô t suséiibncé e t dit présent.

Le coût est dq quatre îràiics qûatré-vingt-trois centimes non compris timbre ni copie de pièces.

S igné 'S . D ikbx.Vu et reçu copie du présent e t de l’acte de dépôt

y énoncé, . , .Au parquet, cejourd’hui neuf septembre 1842.

Signé Ad. D ubSrbv.Enregistré à Scnlis', le dix septembre 1842.

Reçu deux francs vingt centimes , dlxièmeooropris.• Signé DàFOBiàiîKE.'

Pour insertion. '' Signé Jülés'TfifiHàY.

fRnt cRUè Ibention Ân creusêt çrâm niâlical, nous peàoVerions qné d î l i ‘Ta«Ç,«(ni ;’<f“ ujairR .'R 'ost offenser U langue , les o ren ies ; l ’amour-prôprc!, etc. Discutons :

AU mUive' so n t â tta c h éa deux in ag istra ,ts; d o n c o n p e u t d ire-, lé 'in a ir e 'é t le m ag is tra t a d jo in t aii m aire .—^ ’e s tv r a i .

----------------------- — I - a u - m o t - m u —jis tr ^ , ét’-voiis aurez :

a IrindiTtdü adjoint au maire, sPuis, par etiipse,:4 L*..... adjoint Su maire, s Rmul^ cé. dilemnè , si Foùs pouvez.On nposten i adjoint est émptové subatantivemeat,

à 't càitime leùtz 'éigles, no» pibiésMnrs sont i’àttiris dlrtuént pàeoçoi. ■ ’’ ' '

. J» màlién».. robiVgu’bà. pjnt dire le U»m à î Méta'tpia le fivte'do Pierbet relirié àTïette,

A le Brre aoparunant à P ierrele livré de Pierre,

adiiuîS « a mairS; il n’y a ifi* de rappirt dPapparUnance, ’ dnjdénMwIsnm, no vpn» y trompez pfsst >1 T .a' seulement

m ^ rtd V ^n cU o n rd am t« cai, I» préposiuoe 4 est la •eula adsaitsible'. ,

A la v é r i t é , o n n e d i t p a s , e n c o r e , l e s u p p lé a n t a t i j u g é d p p a i x , l e 'S i i b i t i i ù t a u p r o c ù r è u r d u r o i , l é c o m m is , , f e m . p l o y é h M . u n : t e l . . . , p a t i e n c e 1 c e la V ie n d r a . S i Jam R iS j e fa is u n d i c t i o n n a i r e , j e n e m a n q u e r a i p a s d e l e p o s e r e n

— V o ù s t- je n n e s^ lè v e s ,^ seco ü ez - la -ro u tin e -e t_ V D lre _ tè g ls_ l i b e r P e t H ; c o rr ig es les 'fau tes d 'In ip rcss io n q u i se so n t g lis­sées , b a r e se m o le , d a n s le C o d e d 'In s tm e t io n c rim in e lle , a r t . ' i i , ' i 5 , i B ; : i 4 t , e lc .j dan» lé F o rm u la ire m u n ic ip a l d e

’ M i iirg tom e i " , |» » g c io 4 i dan» là com cdié d e l ’A d j ô in t e t

M 'éc'èu teZ l » s s ü r t d u t c e t t é c d m ib t s s iâ n d e j j^ d à h ts qui, à p p e v l é e A d é c i d e r n o t r e q u e s t io n , f u t d ’a v H , a i n s i q u ’o ù l e t o i t d a n » l e J o u é t t d l g r a ù ii id a t ic a l ( P a r i s , ■ q u e lo r S q u o n p a r l e■1 '■..'•An.mdo.Ku.L b .ila i»d4 .- h H ’i i t t P / t J i o i f t t f s u b s t a n t l v e m e n t ) ,

'■ I I

irtèùA o'ce, d e dé^Pawvrea èsprite!J’AS.dlf'qu’It h’:?à put dé rapjmrt d’apOTrwi..»v»,

ée'ndààée : entre le maire et lé» adjoints j! lui j \in|^li4fet> teritoVd’eJprlli'va justifier inon assertion S ' ;

«Pour l’ordinaire, disaît'Oé prefet, un séntiihent des- • S tiiUo et de cOiifiaii'ée' IréelpmàMé ir;»o«> lés adjoints aux i opérétioha.deS inaires, et en fait *n qnéKine sortk léa 'co- » administrateurs des maires (entendez-vous les co....admt-

» oistratcurs): mal» il res te’fduJOnr» vrai que le d ro it do dé- > cidér appartien t au m aire seu l, e tc , » ic i, M,. .k préretdivaguait.-V O JéZ l a d o i d n ig ju i l lc t i g s ; , S r t . ‘f4.A '■ ■ I l e s t doué av é ré q u e les m ^ o in ts is o n t le s m a g is tra ts a d ­jo in t» au x m a ire s , e n .tro is m p ts .lç s p d j o i n t s a u s ç .m a ir e s ; c’e s t ^ -d ir e q u e les m aires n e p e u v en t r ie n fa ire san s les a d jo in ts , q u e q u a n d le m airàV o én X ' lédjotllt»', I to n ', 'jé veux d ire q u a n d il j a u n m aire e t d eu x a d jo in ts , o’ost u n e especo d 'a u to r i t é , de m a g is tra tu re t r in i ta ir e .

Avant 4 'peu hi<6ii''épuf»é'1é,éuJèî,'‘J*éi/illiii’iiééèit,'.R ^ sietir: ra4»urii'ice’,Ué'tnii,h4'ufé éVfiaVjàlte cpnsuUriilïoh.

l i t lU JU sV l» éVI . 11. . > • - 1 V/........... ................. -Senli», ca 6.scpteinbre;i84»

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— ---» n » • IP. S. S’i l tousÀrtiVè’ dë nbüv«5lièé'(tjue»ripp'à

ture, ci que ébàni<»Mqc^V inô^Vou»'étire tèùfllé» ‘diljibsér ae môi. .

o m w a ® iV ’.'

■ iVoedlilairBgqi VêtaitisiÉ(»t(ù<’dulpMMmydtf I I ’ lu t m u t à* dfc.rùle»' jS’i t e s t s d à f t lù t tL 'l l Beiilfacfl,PoùV fàirS n n o ’ t ilâ iW , f tH è té r WfeVélîtlérs' ;

l e tnot de la dernièie charade est dAhi. )

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rA r^ . 2 . , ,

Elude 4e MV Hoari eVOW « Seiilis.

p u r g e L^GiALE. .D?m »^pl0ii.du n ^ is tè ré de Lëtèyre, bai^iej) a

SenÙs, eft daté d'à ba il scptéinbrè prSèh^'m oiè, euregiUré.v ■ ‘ "

Il appert :Qu’à la reqùdte. dÿ. là fconiainufe de Morangles

(Oise), poursuite « t dijigeace. de ;Mt< Ambroise-Sla-aisiasQ renie^ielde.M 'iPhilippe'Ferdiaand'Drain,le premier maire etdd/deiiJtième ’adjoint 4u mairede ladUe comme, touS'dëiïîydBihdliràtiï,

Nqtifiçatiop a é té faite à M. le'Prociireui: du Roi près le tribunal civil dêSeülisJ

1“ D’un acte fait an greffe du tribunal ciVil de Senlis, le yibgt-sept,api)(l m iljbuit cent quarante- deu;y, enregistré,-contéuaplt le* dép,^_ fait audit greffe d’unécopie collaiionaeèer®b**jS!?t^^^ d’un acte SOUS-signature*privées èn-3lété a Morangles, du treize février mil'lîait eetil qnaraùte-déûx, enre­gistré, contenant vèàté.iiap M. Grenier (.àmbpis^^

‘ Stanislas), maire) prepriélaire ef.cnlti’vaiêUr, dë- meuraUt audit ntoraiigles, e t d“'^laHe-.Anlpbiette- Fldrentide Hérissant, son épousé, âütOnséê, au profit de la commune de Morangles, ce accepté par MTDraiüCpiinippëÆërdiTian^^ la commune d é Moràiiglés, dé 1" trwà centiares de terrain situé au terroir dùdjt Moran­gles, lieu dit la Rue du Bois) 2”so ixan téd iséw res de terrain situé au même terro ir, lieu dit les Surem>.es ; 3? un a re vingt çentiayes.de te m in situé nii-g Blêmes.térroir..et.lieu;-lesdilS iminebbleS des­tiné* à êire opcupés par le cliemut 'yiçinai’prQieté - -- ■ ■ ' ■ ■ ■■ ^’ ’TK(rmllS^a|e e t ce

blivalioii jiour se conformél’ à ï ’avîs dii cénsei) d’I^lat du iieiif mai nul huit cent impt, M lè'prém ierjuin 'suivàntl ’ , , - ' ' i

^ .............. • ' pp iti insértip'p- ■ - I ■

: : :ARTi SV' __^Etude de M” H. D criv , aypûé à 'Sénlis (Oise).

. . I Ci:. ;> iJ nf» J:y “ j-"'- • ' ‘ ' f * r / i J 'J J W i ' . ' > ,

PÜRGE EEfeALEl 'A la reqUèUâ dé'là'ètfmWuttb d’Orrdnÿ, éanton de

------ " 'W ètililig^É»eidë‘M i’déâh-’BaptistcRirëi'eé'nàé'ëiybloit dé ministère de

C ië p '.,,.— ---------------------------

G d s ^ j Sbn m&iréi'et-pàé'«plPit dé léinislère de Poncet, huissier à Crépy,Yèn daté du huit àéptem- bre mil huit cent quarâétë-ïlsux, enregistré,

IVoiificëtibrt’ a été fàitë à-M. Ib Prppureàr dé Roi prèÎHë-tribmial civil de Senlis, •

D’un actë’fait âtt' grëffé 'dutribailBl civil de Sen- [is j'd é prem ier septembre mil huit ceét^uaiàiiite-

moyennaiit Ip so)nfne 'de ^ n i j t t à n i e - u n j r a n c s i

quàlri-vingls ctnlimes d e prix priw ipal, uiontant des estimations ; ladiiévéïrté approuvée pat M. le Sous-Préfet de l’arroiidisséraeuv de Senlis, le cinq ; iainidernièr;- •' ' ■ _ v,■ 12®'D*unactéfait’au greffe dudtt'tribunal de Sen­

lis, ledit j,pur yingt-septaoûl mil huit cent quaranle- denSC , ‘eiirégistté,'epnstülant l e ^ p ô t félt aédit greffed’uné copie collationnée et entegistiee, d’un acte sous signatures privées en date; a Morangles, du treize féyrier^milhiut cent quàrântë^ëux, aussi’ enregistré, çpnténânt venté par lé sieuf Augustiii- P ierre Drain, cuUivateur, iIeiqéuratit à Morangles, au prpfit de la cpomiune dp Mmfangles, ce accepté par M* Ambroise)Slanislaà Gi ehie't’, maire de ladite commune, d’um terrain de-huitàres.un centiare si--, tué suT'ktterritoiredé-M oraiiglesi lièu-dil la Mare

- dmBois, destiné ad iré occupé par le chemin-vicinal projeté de, Morangles ;à ]a route dépaytementale il” 14, et ce moyouuanlla Spniùe dé rféiw c rn /ju a - ranle francs trenU de prix ptinçipal, mon­tant de l’estima)îiqi>; (Tadiié yénie approuvée par M., le Sous-Préfet dp Parroudisseinént de & ulis, le cinq juin derniers .

•3”D*un autre acte failanssi au greffe du tribunal civil de Senlis ; le,mé^é.iW*'r)î*‘'6* ^®Phpit ,cmd|qHaraiée-^eux,|Ç)irçgi&lfé,,cppstatant le dépêt liait audit greffe U éné copie collationnée e t enregistrée d’un acte'soùs signàtures' privées en date, à Morangles, du vingt-sept avril md huit cent quarante-deux, aussi enregistré) cénténa'nt vente par madame Marie-Catberjne-Jdlie ehWtftièif'ÎDu-i raincy, veuve de M.’Pierré-Jàcqués'Pesanl,‘pro-i priélaire«.deinear,aut-.audit -Moranglés, au nom et comme tptriépiêgaiq demademoiseHeMarie-LoUise- Julie Pesant, sà fille éiinedrè, iihiqüé èfsëule béri- lière dudit feu sieur P esan t, an profit de la com-r mime de Moraugles„ce accepté par M. Ambroise» Stanislas Grenier, maireide lfldiie coiuroupe, de iT deux ares quarante-sept centiares-de terrain situq au territoire de Morangles,.lieu dit la Mare duBoisj

myar^ qupriaitio-trpis cepliares,, sis pux nràme^ terro ir e t lieu; 3" un are trois centiares dp tyrré même te r ro ir lie u dit les Surennesi .4” e t ; trente) un arcs soixante-quatpyz^-“ ‘“ “ fcs de terrain enb6i87mêmé8-,t“éf;çoirét:Ueu; ksdits'imraeiibles des-tinés à être dccppés .par le çlwmia vicinal projeté Je la route départementàle.n”; lir,-à,Morangles, et

,,^ce.mpyennant,la spmme-de onze francs diss f reniitnts deprix principal, m ontantde l’estimation; 1, ladite ven te , approuvéq pa» Mj le )^ n s -^ é fq td e I l’arrondissement de Senlis, le cinq juin dernier.

Lesdits tro is’dépôts-elloctués par M” Dufay , ayoué, an nom ,dp,l» ooromuhe, pour parvbnjr a

! il) l Vralstû /fiii nniiH^iAhl. fiUlS*

y i q ; |» ia i iu a « < a 4»v,|#*.w***fcr* w » • • • • »•••••«

deux, enregistré; ‘coUStatànt lé dépôt hudit greffe; d’uhë copie coUationnée et. enregistrée; d’un'con­tra t passé dévant’BP'N’affioh ; -iSôiSirc'à Bétldsy- Sàihl-Pierre, en présence de témOinS,'lé onze'juil­let m il huit ceht'quarabtétdemüj’àUSsi enregistré, contenant vente p a r Mï'Ftahçtoîs-Etieltinfe' Bdillet,

-foildenrdn7ardetèiesi-etcdame-Ma'rié*MadelOiiiei.-i Victoféé'Souply, son épouse, d é lui“aüMrisëe7 de­m eurant'éliSèm blé'à'Orrhoy; ’aii'IprOfit dé - |àdi'to coihiliune d’Orrouy; huterisée'àîallfe'Cëtte'acqqisi- <iioiPpàéetdOnfiàhéé>'dU“RoP'eh<’da(é du dix'sept màidêriflerilte'àèteëptSphirMVGtitilér/sbs-iiommé, d’ùne irfâKoti' slt'àéé'li Orrouy,,lien ditMontlayille, •déitibéé' Üà Sèi*riéé'’d’bnë •éfcélé'pritthire ; cette

Sé tronranp près Je'l'égliaé ■■ est composée d’uhdpiÈéé’il^bsbifâtion, grenier au-dessus, ^ a m -

'b ré 'd ’üii'tôlé;g'fàngé'ifc Faat'ré''cÔfédeeette mai- ■sén; cAvè'deSsOdS'la gdàügéàyaht Soh entrée dans la cour éOtiittlunë, écurie,’hàKgrtr'él toit à porcs-,

-yis-^à-vis dein'- maison, cour non commune au mi- . lieu desdits bâtiments qui sont couverts en chaume, | jardin entouré de haies viïes,'ensùîrédé là chambre ; et de l’écurie, droit de Communauté à la cour et au passage àyaiit entrée par la rue-Méiitlaville; droit de pied d’échelle sur léjardni du sieur G age;

Moyennant la somme'de' quinze cent trente francs de p ria jprinapàl;’Outïé lès chargés exprimées au-, dit contrat de ycnlé.' • , '

Ledit dépôt'effectué pour, de la’part de’la com­m u n e 'd’0 ‘ro“y'.'parvenir à purger les hjrpotlièqnes léralcs qui Wourràieèt bxisttet‘; siiij(lès immeubles

' p a r éllè ùcdUïd'Wdépèridàthlne»ir'ifé'’ ednfcôrmdmèû’t a’uâ àrtîtïles 21P3, 2194 j’e l 2195-du &dé*'éWii. ' . ' '■■■■ '•'.'■'f ’*• •

Avec déclaration à M.' le Procureur du R oi, preinîèrëmeht, ;qùé cétiè notification Itti ‘é ta it faite pour qu’il a it à r'cgnéMr, Si 'bOd liii‘ sémblàit‘jlans.

naud pqtit; àncieu iuàcon, 'déméiirànl Çi-j FqlàiuciV Gombinnede M areu jl-su ri^ r^d ^^leinéut au ' mOMliu à. yent ifemuné,dâdit lied, lequéi,a .co'nStitüe M Grenier, àyopé prçà Ip ,iril>Wtàl .çiyil 4? première in s t^ c e f e t a & nlis, yd'eméurânt).. ^ur le siçür JpsèpU-yiçlbr Greçpire, ait-

,cié3 Çqr^ijqhiér,, e t ,dgmé Marip-Àpoè-Eugéi^ Le* pjididè, pqn épouse, demeiirqiii eqsemblé a Fuîbihè^ (p)mnluiip’de jdaréqil-sur-Ôurçq;

À là saisié tles im m èubl^ ci-pprès.désignes, si­tués commune dé fclarenil-sui^Gurcq et terroirs dU dit Mareuil e t Nenfçhejles,'canton,de Belz, arron­dissement Je ^ n l i s , poiir etre veüdàs. à 1 aùdienqc des criées, dit tilhuhalf civil <lé prémièré instanceséant à ‘SenUs,'en s'epi)lbté àiéài.qtiJil sMÎt :

’ "1 ' DEifiteïfA'riON-

,^^Une maison située à la chaussée, dm Eulaïue, commune de Mareuibsur-O.urcq, sur le bord do la ' ,roqle Royale, trpyersàml Marend-Sur-Gurçq.-ayjpt àiia.Perté-M ilqn, diyisé.e,en deux pqrps,de-bâti­m ent dont w nouyellemenLcoiistrBit, aygnt .nn re*-de-eiiàussée e t «n premieF.éWé.ayéÇ,grenim’ amdessua,,equyer.t’eà tu ile , faismtt fapo,à,bt rpute, mais séparé.d’ijçelle, par anç petiie GQnr, ,,et l’entre corps de bâtiment qn bpntorieqt-dejladite.çour,’à

“^ l “^ ^ ë 7 ë W ë r in j r p ) c l t ) i^ ( e ;e r ^ bord de ladite, rqple, el.pçtil,,^»dtq ,à-,4’ecéidebt derrière le premier corps do bâtiment. Dans ce ja r­din existent-.uq-pçnunier e t sis-petitsiprpiiiers, le tout entaorç ^ boiP? sèche* èn .épitm^t-snelduos , brins de, guresü, vifs, -cQotçnaqt,ee,anpeidtfiie, ycompris Iq so ld é K eoup et,djesden,x,m5d®?"S> rinq .ares vingt centiares; teuàn!t.pardnYa,ntJmjdl.d;^^route,;dq,uôrd)éStaq jardin;dV,.f>r'-fivtr rr-*v,-!nTrv du imut.epçst,)qp,,m,emr|-Petit, (et<d’»ntre,,w m t„p cause du dé>Pt>gnié-fiÇirPà de bâtiment,, au passage.des.sienrs,Ançéllé .ct;Pe(it, , , j , , , «ii,;

.Lepr-croèr, éfiçp dp bâ^bhéptdfi,cqtte .à,i’exldrieiurdu.imm,delasouleàm 'éé'/}M bàPwe» pue p,qiçte,vitrée aVec im!8“éiJé,àérvçfltè,;éçiéjéé.ç<fît d.’entréé.à l’l>êbitat,ipn„uqe croiséça co.té.ayw .qw trcvéïit é t upp pertqqileine séryani d’ontrpe n’éta- blq; au. premier,-étage, une, bam sa|is,c;rb>péé, à à ' dessus de la porte d’é table, ètdèult -prônées àutdes- SHs de la porte yUrép, p t de crmsêé,du,reZTdÿcbaus- sée,;sans èohtrey.euts,pii,pérsiehités; ,pij|S .deq]), Iq- c'ai'nès:dabà"ié greniéç, et,,dq,côté. dq jàçdyt,qiie

• crOkééqu.ilÈÎit'dé-ChaüsSéè et'-ù’ne.au^ p r o q ^ ^ premier'étadeVâ l'lh té r^ iif ,,ce éarps-déioaiim^ht pàîbif ■çoiib'ndM dé^troïs 'tpyéeS;,'ët;alt'<1iï}té,, iqi ré'z-dq-èhliùsséé'fen 'ùnèbàbitafioh''ajrg5tt'entrée sur ladite cCiiiy'^pkt' ’hi porté vitféé e t Voe'pâç }àdite porté, gbàildè’chéibiiiêç a V ^ ’fodr'sè'jÉrimvànt’-seus l’escalier;' èkallèr'conduisant aux cb à iA b ^ du

-ÀsKiwh' Âà ilAvav O flnnl tïtiiR|XUUI VJM ■* «afc «a M» — j— .le délài de la loi,'et à'u profit dé’qui 11 appànicn i dràit, l’inscrlptioii dé toutès hypùilièqbik légales qui pourraieiit fèapper sur leà blenS àcqUÎè par la, requérante, et à cet bffet, qud les atiéièàS proprié­taires déàdits biëns, outre lés véudeurs, éla'ieilt,

l ”'itfa'rie-Aàliè Bèaoùx,-veuve Jean-d’ierre Ra- I •met;"2f JeàA’-BàptiStè Ramet, c l Marguoril«-CéteB-|

tîne p é lit; ‘3’’ Prérre-Denis Ramet, e t Marie-Gene-) vièVé Fàre Grèssîér i 4” 3tean-Rerre M0rie t, eUMarié-AnnéJ’dsephe Ramcti S”JeamPitel-rcRàmet;| 6” Pierre Bedoux, e t Catherine FâgUon, sa femmden 1 8 0 0 ;............ i

Deuxièmement, elque tons ceux du chef desquels;. il pbbrwtit'Ôtrfe requis dés inscription» poUr-Taisou; 1 jd’hyiiolhèque» l i^ le s n’étant pas-connus de laditè [ rUquéiîaOto;ellcferaitfaire-l8 présentopnblication l .PU lalormé-prescrite par Pavis-du-eouseitd’ém tdu j, neufm flim il'buit cent sep t, sanctionné le premier

juin suivant. : - '•. Pour insertion..

Signé Henri Dufsy.

A r t ., '4 -^ ’-....... ■Etude def^j^ a g p i g a j^nvéué à Senlis.

VENTE B Ë F m n r V E ^ s a n s r e m is eA faudienceM s criées du trib'uÀal civU'de'première

instance séant à'^Senlis'p~9.

1 C S v a llC S fi VWUUU*>#S*R*V ««MZ» ,

p r e m i e r e t 9^® sUi'' la cpfiXt croisée lauite' cWf, e t mié/aaVrîô'chi^l>i^ vüé ç à r

uiié croisée süi 10 jai’âiiti ; au prâriiier élagéf ^eUx chambres doot. une petite ayant,vue .sur la^rour e t l’autre cjbiariabi'é a cheininée hyànt v^é sur la çoyr c l le jarilin,* ces iii^pânètaèbts^^^^ promiepés tray^ès de ce çjjirp^ de^ tim en tj, j^n ifer au - Ué^us' üei^x iucanics si^^

' sais s sn lr< » 'n d r nn 'À l.rÜhÀR.

Le i-l bctobi'é fé4 2 , heure de m idi,_ 'n > I I N E M A 'I S O W '. ___

l, ier.Burm»y“ i“ 'v ---.- r - v - - '• - • - - - ■ “ --V . ., , Sise à t^ lq m e , càmniûni d e \^à n d iF sa r -O iin q ,\ ,m ent dftl’iiisermjion ; ,pqniOTq»^inent quy articles |4 vxboKg ,)p* * » ,! 2193 ,'21'94 ef2 l9 S du codé çivil. I siiùéès terroirs dudit tîàreuil-sur-Ourcq, e t Henf-

. , . t. i— M i->»;-».u.r»i,r,1n R n i -. . 1 ç^efies, de.Bjetzi; àrroi|dissemeiit. deSeniis (Oise),.E n m g t'L ç fk .

A aYOue,.*a« nuiUvU)P>i» r* : ; '—!*."

i, tër-suy Içs qnmenbfes. Pàc elle aèquis; indép'eh'dSiiir — ào i’:;.o«riiuion ; .“^Vh *'■

. i.Premièrement i que ladit^ notification lui était i idaite paiuriun’il a it à requérir;i» ;hen lui seuÿ lait;3 dans le délai de la lo i, et

qu?pohrrnient frapper ànr lèl'lwens àCqliSJ’j ^ îà requérante; . i , m

Deuxièmement, e t q u e v l^ ;^ e 4 ia in ^ « » * d e s . quels il pourrait être requis dertuSM eUons p.qw raison d’hypothèqriw légales n’étant pasjmnnn» de ladite commune NPlIe ferait faire la pMséàtë pu*

trée sur ladï;ic ,coqr' ei{ un hèuf Ja^c séWàut de ptânçficrv. . . . j . i i .♦

Et le deuxième corps de bâtiment , eh mauvais état, est'cdmpqsé de dciix péüïès Vravéès, en uqe liabità'tidh; ayant e n t^ d à i i s a«lite..côhr

cliambre basse uernere eciairec pai u..c v.y.- séé sur lé pà'sSàgé dqMM. Ancelle e t U t , greniersur le tout àÿaiit'èhtree par ü rie 'îéh ê tte dqnq.le p ignon.sùria roulè)''cèiiyèriute.èn màu-vais ‘étàt, râû tré 'pi'gnèn au ce^bâfimeut e s t 'iiiitoyen avec Mv P c tit^d p n ; 'Li>*

I Eiitre'çcs,déox cdrils de bSti^ehtexiste tm petit ' appentis couvert eh (n ilè)sèrvaat’Bé

:etp.ohlailleiraa-deisuS;lenant«péW ah^^^H . 'Peiil OdbhV'dù biidï le .a 'ri»)f..'d e ê c id ^ > t tbâlim éiitheuf è t ’d’OrietA'sa dBqJüeraèjç'o|^^^

' timehL ' ‘ . .-2" io L

l ” Une pièce de teris , teriy)i8é,,^qiFulflqq-SJa- reuil, Ueu dit Fontenillè, contenant trq^zj^.pres

h q u a r a m e T s s n j i a r e s r t e n a n r f ^ - p O T t ^ j ^ ^ i w i ^ i ij»gràis.de,i^u|àlnp,.^j},j^ÿ^

Oh ‘ fa it sàvoâP’-qué'-paf pretès*VBt4)al d e Fait-I •d ô ü H i b Ü is à ië tf t '.B e U ii î s h dâtfe d e . i '^ e t^tihgl-ïrèià uVril bill W céhtiJuuV àhletdttl^l visé

enregistré, dénoncé, e t transcrit au boreau des by) pothèques de Senlis, le six mai suivant, vol.* 16; n” 30, „ . -. Il a éléj à la requête de M. Jean-BapüBlcdFerdi-1

Ulÿiftnui. AU ■. I j v . JT/lfifllTl • ïib lÿ' llllv-let d’pcctde'nt a u cltefljin, MpjliftÇfft.A.lâPjair^^^ l^He.pièce Mt ç e r o p r i ? ? ,^

[.lOT^s^^Rtusie'm s

' et^u>)iutipoittl .«^.hpip^ yiv^Sj, fosses. "

2” E t une pièce de terirq, tçri;oif deFutaïue, Imu .dit,laQoeuer,MorsM,èpèteqant,cwL^ cinq centiares, tenant d e riew .

.ta ined ila Ferté-Milon, d’occident a M. Cnyillm

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3u mî«H à M, Granjôlj cl \lu iior») à lUgobcrl Ma­rin , célte pièce csi ensemehcce eu jeiitic luzerne, il «xiste dessus trois petits.p'euples, et elle est com­prise dans la section B, n" 886, du plaii cadastral.

, 3“ io f .Une pièce de prS@n^e‘au terroir de Mareuil, au

Tont^erre ou Poiit-âérV^uK, contenant seize ares vingt-un centiares'^<^i^rèn, tenant d’ui colè à M. Hamonicr, d\'iutre à M. Beilaiiger. et d*uii bout à^la prairie dé Poni-de-Vàux, ce pié est planté « aulnes, saules et jeunes peupliers, et est compris aous le u® 36, section B, tlii plan cadastral.

Une pièce de au terroir de Marcuil-sur- Ourcq aux.SablQuÊ^^^le^ Bdllms, contenant envi­ron quinze arcsi tenantlil’iVn côté à M. Bahin, for-

. Wiier, d’autre côté à M. Colinel, d’un bout au sieur ''Uaniel, et d’autre bout à rarlicie cinq du sixième lot ci-après, celle pièce fait partie du n" 365 section U, du plan cadastral.1

' W l o l .Une pièce de pré située même terroir, eu la

prairie de Mareuil à l’Arche-d’ilouilIbii, contenant onze ares otize centiarès, tenant d’un côté à l’hos­pice d’Acy, d’un bout au canal, et d’autre bout à la route ; ce pré est compris sous l’article 642, section C, du plan cadastral, et il existe dessus plusieurs

-petits^nleé-et-utt^eune peuple;---------------------Les iinmlçubles ci-déssus désignés sont détenjms

par les sieitr et dame Grégoire, parties saisies.Lot, I

l"U ne pièce de pré plantée d’arbres, s i lu ^ au terroir de Mareuil-snr<Ourcq, lieu dit les ËcaVelles, e<ratenant environ viiigi-quajti*e ares, tenant d’un -côté aux héritiers Marteaux, d’autre côté à Jean- Louis Dubois. d!un-bout-à-4faivinet et d’antré

lUt à,l’ancien rhu de Neufchelles; ce pré est com­pris sous le n® 609 section D, du plan cadastral.

2® Une pièce de pré plantée d’arbres, située même terroir, au marais, près la montagne d’Houil- ’lon ou l’Aqueduc, eoptenant quarante-trois ares ^piarante-nn centiares environ^ tenant d’un côté liord à madame veuve Simpbal, d’autre côté à la commune de Mareuil, d’un bout à l’Hôtel-Dieu d’Acy, et d’autre bout au fossé du canal de la ville de Paris. Cette pièce est comprise sous le u® 535, section G, du plan cadastrai

3® Une pièce de terre Située au terroir de Ma- leuiUsur-Ourcq* au Çhamii-deS,î,imes. ou les Brousses, conpnant e^\iron cinquanle-sÎJt ares, tenant d un coté ^neht à l’Hospice d’Acy, d’autre col^a M. % ,^rtier, d’un bout aux pauvres, et d’au-

,iODt à M. Delaitre; cette pièce est comprise Mus le n° 98 seetion P , du plan cadastral.

4° Une pièce de terre au même terroir, lieu dit Bu^cqin dubois dèCotlinauce on l’Homme-Mort, contenant environ seize ares, tenant d’un côté à M. Daniel, d’autre côté à M. Orouin, d’uii bout au bois et d’autre bèut aux bruyères, cette pièce est comprise sous le n° 449 section D, du plan cadas-, tral.

5° Une pièce de terre contenant environ trente- huit .ares, située au même terroir, aux Sablons ou les Bohus, tenant d’nu colé et d’uu bout à M; Cbar- tier. d’autre côié à M. Darcry. et d’un lioui à l’IIâ- tel-Dieu d’Acy, cette pièce fait partie du n° 63è èection D, du plan cadastral.

6° Une pièce de terre, mêmes terroir et lieu dit, coiiteuaut environ quaraiite-liuit ares, tenant d’un côté nord à M. Cliartier, d’autre èûté à M. Dar­cry, d’uu bout au Savart, et d’autre bout dyl’Hô- tel-Dieu d’Acyi -Celle pièce est comprise sohs le n° 370 sçctioif-fi/ du plan cadastral.

7° Une pièce,’*i}é terre an terroir dudit Marcuil- snrdüurcq, lieti ^ t les Tombes ou les Merisiers de la FteurdeLys, contenanienyirouhuilares trente- quatre centiares, tenant d’un côté midi à M. Le- comte, d’autre côté à M. Siinphal, d’un boni à M. Bellanger, et d’autre bout à M. Bernier; cette pièce est comprise sous le ii" 383, section A, cl sons le n° 161, section B, du jdan cadastral.

8" Une pièce de pré située au terroir de Neiif- .^èbelles, lieu d it le Grand-Aiiliic ou la Marre, con-

tenbnt environ vingt ares, fornianl triangle, entou- réojde fossés d’égoût, .tenant d’nn côté aux prés dé la grange aux bois, d’autre côté, à iiiadunie veuve Simpbal, d’uu.bout à Ü, tefrançois, et d’autre à M. Simpbal. . \_ entouré de petjpliers et de saules, et

est compris sous leii” f o i , ^ection A, du plait ca­dastral. I^^|B^^tmmenbles composant ce sixième lot sont af-

et à - dame Thaïse-Gliarlotte-isinérie Mutel, son épouse, demein-aiit a Mareui1-surd!)iircq,^our douze années commencées,par la récolte de mil huit cent trente-huit, moyennant cent trente francs de fer­mage annuel, payable le 1" janvier après chaque léimite, aiix termes d’uu bail qui aurait été.passé devant M* Caillet, notaire à Betz, le dix janvier mil huit cent trente-neuf.

^ V et dernier Lot. p lie pièce de piré située terroir de Nenfcbélles»

lieu dit la Banquette, contenant' trentè-jbuit ares ti-ente centiares, tenant d’un côté à M. He|felle, d’autre côté à Félix Leyasséiir, d’un bout aii même', et d’autre bout à M. 'Vivier ; il existe su'r. ce pré plusieurs jeunes peupliers de mauvaise pousse, envmon liii are de ce ntprais est labouré et plapté en ptmmns^de terre ;,il ej|t compris sous le n“ 687, sectiouA |^q iJau amlastral.

Ce p re ^ s t déieum par les sieur et dame Gré­goire, parties zaisies.

Eu conséquence d’uu jugement du tribunal civil de Senlis, en date du 2 aoôt 1842,.enregistré, l’ad­judication atira lieu le 11 octobre 1842, heure de midi, à l’audjence des criées dudit tribunal civil de pi entière instance séant à Seiilis, au palais de jus­tice, sur les mises à prix,

sAvoin :Pour le premier lot, la somme de ciuqcents francs,

■" 500 l'r.Pour le deuxième lot, la soiuine de cent

francs, ci. . . . . . . , .Pour le troisième lot, la somme de cin-

— qualité francs, ci . . .— .Pour le quatrième lo t l^ soiiihrie de vingt-

çiliiKfuuiÇs, ci« . . . ; . . .Pqiiiyîe cinquième lo t, la sommé de ^ soixante-quinze francs, ci. . . . .Pour-lB sixîèïneTô[;-Tâ~iôraine de deux"

mille francs, ci. ............................ 2,000Pour le septième et dernier lot, la somme

de cent cinquante (ràiics, ci. . , . ISO Rédigé par l’avoué poursuivant, ^ussigné, à

Senlis, le 9 septembre mil buitcent quarante-deqx.' Signe CfRfiNimt

Enregistré à Simlis, le 9 septembre 1842, P 60 ,

100

50

25

75

ANNONCESA VENDRE PAR ADJUDICATION.

Le Dimanche 25 Septembre. 1943, à midi.En t étude et par le minùtère de M* Maintenant,

Notaire à CrépYjUN M A R A I S /

Couvert en partie (l*aun« s,Depeodant de la sec tlondu Berval. commune de Bonneiiü^

• - a«S^iieirdtt4eLtdnvql » JE t contenant'i hectares 5(rnTw<42 centiares.

On entrera en jouissance tout de suite; S'adresser audit M” Maintenant! *

VENTE VOLONTAIRE A &int-Firmiii, près de Seiilis et de Chantilly,

DE TOUT LE MOBILIER.Garnissant la maison dooampagiie qu’habitait M. de Liaessa.t,

auoieD consuls, ■aa.v.WM ..U IiaU A s

Les Dimanche 18, Lundi 19, e t Mardi 20 septembre 1842, 11 heures du matin.

Parie ministère de M” de Lafargue, huissier à 'Chanli/(]r.

V” c. z. Hecii un franc Uix ceiitimes. dTxîèuie coin-' Péia- Signé D e f o Nt a in b .

S ’adresser pour les renseignements et prendre communication du cahier des charges, à M“ Gbb- NiER, avoué poprsuivant.- Pour iiisçriiQn,

' Signé Geenier..

A iit . / 5 . ■'Envie de M” Heuri.DuFAY, avoué à Senlis.

_ ':>AVIS,MM. les créanciers du sieur Etienne ’Vélu, ancien

niarcliaiidilé vin» eu gros à Naiiteuil-le-Haudouiii, déclaré eu état de faillite, sont iuyUés a se préseii- ler tlsins lé délai dq vingt jours, outre qii joiir par cliaque cinq myriainètiég de dislancej à'M.''Adol- pIie-Nicolas Michelét, notaire, demeurant a Séulis, syndic définitif de ladite faillite, et de lui reméttrë' leiirs titres accompagnés d'uij bordereau Indicatif des sommes par q.ux; réclamées, si piièux ils n’di- ment en faire le, tlépôtjaugreffe du tribunal civil <h Senlis, jugeant eu matière de commerce.

l^a vérification des créajnce^ couimeiicera le lundi trois octobre 1842, heure de midi précis, eti la chambre du conseil di| tribuôal.ciyil séant à'Sen- lis, et sera continuée sàiis.iuterru^itioii.

Le présent avis rédigé g a rJ’avoué poursuivant la faillite, soussigné,, le dix septembre 1842.

Le greffier du tribunal, _ SjguéBOucuER.

Enregistré à Senlis lé 10 septenibre 1842, reçu un franc dix cciitimés. Signé D E F O x f a in e .

A «t . g .D'un jugement du tribunal civil de Senlis, en

date du trente août dernier,' dûment enregistré, rendu ooiitradictoirèmeiit entre la dame Marie-Mar- celine Rellot. épouse du sieur Louis-Casimir Tas-< sart, .marcha}|d, elle sans profession, demeurant avec son mari à Balagny-sur-Tliéraiii,

Il apiiert que la séparation'de bieiis a été pro­noncée.

Pour cxtrail-conforme, certifié cincère et véri­table par moi soussigné, avotié au tribunal civil do Senlis et<lc ladite dame Tassart.

Scniis.’ce scgtsepicMljl'B"1842. 'àigiié ÇpussET,

Le Dimanche et le Mardi on vendra les M e u b l e s et la L i t e r i e .

Le Lundi s e r a c o n s a c r é à la T e n t e d e s V o it u r e s . V a c h e s et C u e v a l .

■du Comptant. flO/marOjO én sus du p r ix principal.)

„ ^ P A R AD.T ....E n fefurfe de M' F l a m e n t , notaire à Mello,

Le Dimanche .Septembre 1842, à midi.20 PIECES DE TERRE,, PRÉ ET BOIS,"^

, CUANVRIÈRB ET AUXB,Situées sur les territoires de Maysel, M ello, Cires-

les-Mello, Saint-f'aast-les-Mello et Cratàoisy.

On pourra traiter à l’amiable aVant l’adjudication. Ou accordera des facilités pour le paieincnt.

S ’adresser audit’SPPiaxâent, notaire.

A VENDRE p a r ADJUDICATION,En C étude et parlé ministère de M ' Maintenant,

Notaire à Crépr, -

L ’ I I E G T O L I T R E ;P R I X

GRAINSCnduB

Froment From cnl Metcil Me.leitM aison

auF marcnos de

S e n l is 6 septembre..

2 septembre

3 septembre..

00 00 00 00

21 50

Crepv 21 35 OOOOt 15 00 00 00

Le Dimanche2 Octobre 1842, à midi,7 PIÈGES d e TERRE,

. Situées sur le territoire de GlaigneSicontenant ensemble 2. beclarea 57 ares 27 centiares.

G ù d o n n e ra d e s f a c i l i te s p o u r l e p a ie m e n t .— f i ’otlresser audit M°.Maintenant ,T io /a /re - -----

A V E N D R E ^Par adjudication volontaire, .

P ar le ministère de M' G a b o n , Notaire à Chantillu,E n la dem eure d e Mi F ran ço is N icolas, d i t Gio s o e t ,

' au b erg is te à GôilViciik I *Le Dimanche 2 octobre 1842, à midi précis.1“ Une maison située à Gouvieux en la rue des

P iètres;2" Et 12 pièces de terre, pré et bois, situées ter­

roir de Gouvieux.S'adresser audit M' O aridn .

ETAT CIVIL DE SENLIS.

- KTAISSAXTCES.Temps (Henri—Mnric-GonsUint.)Bernald (CIuire-Désirce.)

MARIAGES.Plateau (Joseph-AriioultJ, et Lecot (Maric-Anne),

veuve Darras. ^Balin tCasimir), et Lahoiirelx (Jeanne.)

s£ o Ê s .Leyasscur (Rcinc-Victoire), 11 mois.Lcvcrve (Léon-OIlvierj, 20 jours. Bruiet(Vicloire-^Adolphlne),^ mois.

Seigle. ' O rge. A,voitiei ” qiia!i

Avoinea“ *.

08 00

09 25

>08 00

i. c.-

00 00

09 00

00 00

e.08 70.

09 25

08 65

f. c.ôooo

08 75

0000

y u p u r nottti M apposes à Pafticle, tembre 1842

8EN LIS, IH PBliiE llIE ET L lttlO G IiarH IB .IH^ REGNIER,