rt 28
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RECUEILDE
/
TRAVAUX RELATIFSA LA
PHILOLOGIE ET A L'ARCHOLOGIEGYPTIENNES E ASSYRIENNESPOUR SERVIR DE BULLETIN A LA MISSION FRANAISE DU CAIRE
PUBLI SOUS LA DIRECTION DEG. MEMBRE DE l'iNSTITUTPROFESSEUR AU COLLKGE DK FRANCK, DIUECTKUa d'TUDKS A l'COLE PRATIQUI': ORS HAUTES TUDES
MASPERO
Vol. XXVIII. Liv. 1 ET 2
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PARISQ^I
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NCm CHAMPIMALAftUA^,
)Ms droits rseres.
Toute demande d'abonnement doit tre accompagne de son montant en un chque ou \mandat-postp au nom de M. Honor Champion.
CONDITIONS D'ABONNEMENT AU RECUEILLe Recueil parait par volume compos de quatre fascicules. Les abonnements se font pour le volume entier, il n'est pas vendu de fascicules spars.Paris
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:
:
;
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DERENBOURG
3
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BWGHAMYOUf.
iv^Mr
RECUEILDE TRJVVAUX RELATIFS A LA PHILOLOGIE ET A L'ARCHOLOGIE GYPTIENNES ET ASSYRIENNES1906Contenu:1)
Fascicules
I
et II
gnalogies gyptiennes et leur Manlhon, par G. Maspero.
une gnalogie gyptieuue? par Georges Legrain. 2) Note sur les utilit historique, par Fr. W. von Bissing. 3) La XIP dynastie de 5) Glas4) Notes sur le Papyrus Golnischeff, par G. Maspeuo. blser oder Metallarbeiter? von W. von Bissinc. 6) Notes sur quelques localits de la BasseEgypte, par Ahmed-Bev Kamal. 7) Les Inscriptions du Wadi Brissa et du Nahr el-Kelb, par Stephen Langdon. 8) Sinouhit, protocole du dbut, par G. Maspuro. 9) Calculs gyptiens du 10) Sinouhit, 1. 134-135, par G. Maspero. 11) Le Papyrus n" 1115 Moyen-Empire, par G. Daressv.
Comment
doit-oii tablir
de l'Ermitage imprial de Saint-Ptersbourg, par W. Golnischeff. 12) A propos del'ostracon 25074 13) Les noms de l'esclave en gyptien, par Jules du Muse du Caire, par Fr. W. von Bissing. Baillkt. 14) Jakob Krall, von A. Wiedemann.
COMMENT DOIT-ON TABLIR UNE GNALOGIE GYPTIENNE?par
Georges Legrain
Il
y
aurait, je croi.s,les
pour V Intermdiaire des Chercheursla
et
des Curieux, une
enqute faire sur
mthodes employes pour tablirici.
gnalogie d'une famille.ce qui a rapport l'gyp:
Elle ne saurait trouver place
Nous n'en retiendrons quelis
tologie. Si j'ouvre les vangiles, je))
au chapitrefils.
i^^
de saint Matthieu
La gnad'Isaac,
logie
de Jsus-Christ,
fils
de David,
d'Abraham. Abraham,
fut pre
Isaac fut pre de Juda et de ses frres.
.
et la srie continue jusqu'au verset
16
:
Et Jacob fut pre de Joseph, l'poux de Maiie, de laquelle est n Jsus qui est appelChrist.
C'est, je crois, le prototype
de nos tableau.x gnalogiques actuels, et sasi
ralisation figure serait fort simple. Cependant,
nous examinons
les
arbres de Jess,
AbrahamIsaacI
f
"^'^^^
voyons que cet ordre apparent
est renvers. L'anctrela
du Christ
est
tendu, dormant, appuy sur son coude, la barbe tale,tte, et voici
couronne en
que de son ventre sort un arbre dontque Jsus lui-mme.
le
plus haut
rameau
JudaI
n'est rien autre
Ainsi l'imagerie populaire a traduit saint Matthieu l'envers. Quel-
etc.
ques
vieilles
gravures montrent aussi l'histoire de France arrange deJess,
cette manire, et
Pharamond, comme
y figure
comme
la
souche d'un bel arbre
qui se ramifie de plus en plus et s'panouit en un laurier feuillu.Qu'est-ce qu'une souche?))
A
cela Larousse
rpond
:
Souche,
n.
f.
Partie du tronc
d'un arbre qui reste dans la terre aprs que l'arbre a t coup. Fig. Personnagestupide, sans intelligence, c'est
une souche. Personnage duquel descend une familleest la
:
Robert de Clermont, sixime fils de saint Louis,le
souche des Bourbons,:
etc.
Et
Dictionnaire tymologique de Stappers, n 1671, ajouterecueil, XXVIII.
Souche. Base du tronc1
NOUV. SR.,
XII.
2
COMMENT DOIT-ON TABLIR UNE GNALOGIE GYPTIENNE?d'un arbre, de soccus soulier, dontle
))
sens primordial doit avoir t
base, fonde-
ment.
Pourquoi donc fait-onles
les
gnalogies
comme
saint Matthieu et
met-on
les
souches,
bases et les fondements en haut et les rameaux en bas'?
Quant moi,
je
trouve cette mthode fort incommode en gyptologie, et je
mede
permettrai quelques critiques ce sujet.Je prendrai pourla statuette,
thme un texte quelconquecachette de Karnak.:
indit, par'^
exemple, celui de
B
237 de
la
Q /WWW
/WVAAA
Les Egyptiens n'crivaient pas1
-
1 Ankhefnikhonsou fut
le
pre et
wV Nsikhonsou
fut la
mre de i
//M
.m ^.=_ in^w-^Or,
ilLIiJjx
Aw^
i .wwvN
^ //m .^. ^^^ inComme
w
-^
^^'\))
on ne supprime pas des personnages de cette importance sans que ceuxje suis
qui les ont envoys s'inquitent de leur disparition.
un messagerAAAAAA
d'Amon, on me cherchera jusqu'
la fin
des temps,
0^0^
^Si^ri
Le prince de Byblos n'admet passence des lettres de crance,ail
la
valeur de cette position; tirant argument de l'absi
se
demande
Ounamounou ne serait pas unle jeter
criminel qu'on
embarqu en donnant ordre au capitaine du navire dedu dieu ambassadeur;
la mer.
En
ce cas,la dis-
quelle force aurait l'argument tir
et
de l'moi que causerait
parition de l'ambassadeur
humain quichercheront
se donnerait la peine
de chercher l'un ou l'autre?:
C'est cette dernire ide que la phrase en litige
mela
parat exprimer
Alors (-^^S,aussi, ils te
litt.
:
est,
tant )la
ils
le
dieu de
part de qui? Et
toi,
chercheront de
part de qui aussi?le
Je traduirai donc
discours entier de la sortelettres [de
:
Ainsi doncta
^^^^ ^3:^est-il le
il
n'y a
ni rescrits
[d'Amon], ni
Smends] dans
main.
O
navire que
))
t'aurait(litt.:
donn Smendsordonn la)
et
o
est-il
son quipage syrien?
Ne
t'aurait-il
pas consign
ce capitaine de vaisseau, au dpart (?) pour te faire tuer et qu'on
te jett
mer?
S'il
en est
ainsi,
de
la
part de qui chercherait-on (plus tard)la
le
dieu
{Amo?i-du-Chemin)'^ Et
toi aussi,
de
part de qui te chercherait-on, aussi?
IL
Comme:
cadeau prliminaire, Zikarbal envoie Smends diverses poutres
de bois de cdre
[11
^^^==
^ "^^_y]^1\ ni) d s^7-T^ %. M^ ^> _M^ i/>HU1
1
^ ^\\ _^'.
'^1\^^-Ma-
/www
^
I
OSA i1.
^
,
^^^nO _^1 ^
^^=--^^9(5\\
^
I
\ )l
III
i^il!
Golenischeff a traduit
:
2.3.
Erman, Eine Rcise nach Phnion. dans la Zeitschri/t, t. XXXVIII, p. Lange, Wcii-Amons Beretning, dans la Nordi.sk Tidskri/t, 1902, p. 520.PapyrusGolenischeff, p.11,1.
8.
55-56.
Erman a
rtabli
ingnieusement dans
la petitet.
lacune
le
mot
|
qui
fait4.5.
paralllisme
^Sil (Einep. ii,p.1.
Reise nach Phnizien, dans la Zeitschri/t,
XXXVIII,
p. 12).
Papyrus Golnisc/te/f, Papyrus Golenischeff,
81-82; c'est37-88.
une
partie
du discours qu'Ounamounou
tient la reine Hatibi.
n,
1.
J
NOTES SUR LE PAPYRUS GOLNISCHEFF[Son envoj^] chargea, parmiplanches, les meilleures du
17
((
les
nombre des premiresMuller a serr(?)
))
(c'est--dire de la premire qualit) et les meilleures
du nombre des dernires, en
plus quatre poutres:
et trois
(faisant) sept pices
\
Max
le
texte
de plus prs))
Er... lud (ihm) auf die Planke, das Hauptstck
des Vorderteils
und das Hauptstck des Hinterteils samt anderenstcke (??), sieben Stck'.
vier Holzstcken
und Verbindungs^^S\
Erman
a dchiffr trs ingnieusement le groupe
8
que Golnischef avaitchapp:
laiss sans lecture,
mais
le
sens technique des
noms de
bois lui a
Er lud
die pipU, die Spitze des Vorderteils ufid die Spitze des Hinterteils
samt vier anderen bebauenen Hlzern (im ganzen sieben)'.
Un
peu auparavant
il
avait identifi les
deux poutres nommes
avec
die grossen Blcke furles
Vorder- und
Hintersteven*.:
Lange, enfin, ne comprend pas mieux qu'Erman,
termes techni-
ques
((
Og han
indladedeialt 7
spidsen af forstavnen og spidsen af bagstavnen
med
4 andre b]a3lker(?) L'auteur
stykker'.
nomme
trois pices: la
dIIdl]la
et les
deuxdans
,
celui d'avant et celuittej est la
d'arrire. Je crois que,
pour ces deux mots,de l'arrire taient
traduction littrale,les
bonne.
Les faons de l'avantelles se
et
trs releves
navires gyptiens et
terminaient souvent par une tte
d'homme ou de bte\c'est d'elle qu'il s'agitles billes
C'tait toujours le cas
pour
la
barque sacre d'Amon,
et,
comme
ici, les
^^^ -==^la
et
"A
^^ notre passage reprsentent
de bois destines aux figures
d'avant et d'ari'ire, les deux ttes de blier qui dcoraient la proue et
poupe dele
la
barque d'Amon. Ces deux pices taient importantes,de Byblosles ait choisies
et l'on
comprend queet
prince
pour en
faire
un beau cadeau Smends
Hrihorou. Leil
mot d[]d|]
ne
s'est pas
rencontr, Il
ma
connaissance, dans d'autres textes', et
n'a pas laiss de traces en copte.
dsigne une pice unique, de dimensions assez fortes
pour qu'elle puisse tre considreni l'une des vergues,
comme un
cadeau convenable,les
et qui n'est ni le
mt,
puisque nous possdons
noms de
ces derniers. Je ne vois dans
tout l'armement d'un navire qu'une pice qui rpondecelle
aux conditions du cas prsent,qui se compose en effet
que
les
matelots du Nil appellent la siqala,
la passerelle
d'une seule planche longue de trois ou quatre mtres ou plus, large de quarante centimtres, garnie de traverses quil'on se reportela
renforcent et qui empchent
le
pied de glisser. Si
aux
tableaux de l'expdition au Pouanit, Deir-el-Bahari, on la verra
reprsente en action, et l'on se rendra compte des dimensions qu'elle atteignait borddes navires de haute mer.Je traduirai donc:
Il
embarqua
la passerelle, la tte d'avant, la tte d'arrire,
avec quatre autres poutres quarries, en tout sept pices.1.
t.3.
Goi.NiscHEFF, Papi/rus hiratique, dans le Recueil de Tt-aeaux, Max MOller, Die Uriielmat der Plillister, p. 22.
t.
XXI,
p. 90-91.
Erman, Elne Relse nachId., Ibid., p. 9,
P/inizien, dans la Zeitschrlft,
t.
XXXVIII,
p. 10.
4,fi.
note
5.
Lange,
Wen-Amonsnommes
Bercinlng, dans la Nordlsk Tldskrlft, 1902,(Inles ttes
p. 523.p.ii,1.
6.
Elles sont
au Papyrus Golnlschel\
18.
7.
Je le crois diffreut du mot
D
auquel uel
Max
D V^ ^ n/i
r-
moulerJ\
la
brique,
c*.c^< )e''
M.
r:'i.vt%fjz:'i,
latercs fnqere,
\^
MlIer
l'identifie (Die Urlieiinai
der Plillister,
p. 22,
note
5).
r.ECUElL, XX\'I1I.
NOUV. SR.,
XII.
18
NOTES SUR LE PAPYRUS GOLNISCHEFF
III.
Le passage de
la
page
ii,
1.
43-44, renferme
un membre de phrase qui a
embarrass
les divers interprtes. Il est ainsi
conu
:
(1
v^^^^^ to j^ cxaCi
[j
,^-^
IIIL==/]
II
I
I
^i
ciS'
1
n(S
1
1
^:s>
^^5,^ (2
iiniii.
^
o
i_^i
y\:
i
i
i
o
Sun X^Il
n[\^
Ki.
iJ(]
-t\?
'^"'^^
Golnischeff traduit
Le:
roi fat rioui.
leva 300
hommes
avec 300 boeufs,
il
mit leur tte (mot motIls les
devant eux) des surveillants,le
afinl'inon-
d'abattre les arbres.
couprent en employant cela (tout)cela).
printemps (mot
mot
:
ils
firentles
que
le
printemps fut abandonn
Le troisime mois de
w
dation,
ils
tranrent au bord de la mer'.
Max MUer donne unes
sens analogue
pourIl
les parties difficiles
du passagebisestla
:
Sie fllten es und verbrachten die zweite Jahres-
zeit
(Monat
5-8)
damit^
zum
11
Monat und schlepptenla
zum StrandJtT^T
des Meeres.^_^
il
pense que T
une orthographe de fantaisie pourconclusion que
,
et
tire
de cette interprtation
prononciation shuintante de l'aspirele
est plus
ancienne qu'on ne l'admet d'ordinaire, au moins danstraduit pas le
langage courant*.
Erman ne))
motil
]
:
Sie fllten sie und verbrachten die:
WinLangeo
terjahreszeit
damit
, et:
ajoute en notefseldte
Was
hV
soll, Aveiss ich nicht'.
suit l'exemple
d'Erman
Deles
dem, de tilbragte dem
vinterles
dermed\
Comme
souvent dansla'
textes gyptiens, ce qui a
empchles
modernes de comI
prendre, c'est(9
faon confuse dont l'auteur a employ".
tous les savants nui sont venus aprs lui^
pronom
se rapportait
aux
i J^i J^ ^ ouvriers qui venaient d'abattre les arbres, et en etet,iiii
pronoms. Golnischeff et r\( .a