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[1] TRACES DE CRAMPONS Infos A.V.S. – Edition Spéciale Roc d’Azur 2012 Le Journal de l’info sur Canal VTT ROC D’AZUR Octobre 2012

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TRACES DE CRAMPONSInfos A.V.S. – Edition Spéciale Roc d’Azur 2012

Le Journal de l’info sur Canal VTT

ROC D’AZUROctobre 2012

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Chargement  optimum,  direction  l’aéroport

Salut  le  mag,  bon  courage  à  Aurélien

Les  cartons  sont  (enfin)  prêts

Un  super  mouche  en  boite  

Le Roc, c'est parti !!Les valises sont bouclées, j'attends Lolo qui doit passer me prendre pour filer chez Dim où nous finirons la préparation.Au menu : inspection des vélos, démontage et mise en carton, bouclage des valises. Le tout en essayant de ne rien oublier. Première étape du trip : les Avessiens au Roc d'Azur.Arrivée chez Dim, Daniel et Cluedo sont déjà là.D i m es t à l ' a r ra c h e , l es dernières pièces de son Super Fly viennent d'arriver, il faut monter tout le vélo.On file dans l'annexe pour entamer la mise en carton. Après quelques tâtonnements, on arrive à trouver la bonne méthode pour rentrer les spads dans leur logis d'un jour.Déjà les deux 26'' de Lolo et Marco sont en carton.On attaque le 29 de Daniel avec q u e l q u e s s o u c i s supplémentaires.Bien que remuant, le cheval de Daniel finit par se plier (!) à nos exigences.Le Bike de Cluedo apporte sa to uche su pp lém enta ire de complication avec une tige de s e l l e t é l e s c o p i q u e a v e c commande au guidon.Un sandwich vite avalé et voilà Dim qui arrive pour emballer sa super mouche.

On pèse méthodiquement les cartons, on oscille entre 21 et 22 kg, juste en-dessous la limite autorisée de 23 kg.14h, on laisse les commandes du mag aux mains d'Aurélien et on lève le camp.14h30, crochet par La Chapelle Launay pour récupérer Cluedo.  Mésentente avec Dim, le garçon manque d'oublier ses pédales. On est vraiment à l'arrache !!!15h15, nous voilà à l'aéroport. On vide le camion de ses cartons et valises, hop le tout sur les chariots, direction l'enregistrement. On ne passe pas inaperçu avec notre convoi exceptionnel.Nous sommes accueillis les bras ouverts, un agent d’Air France n o u s a c c o m pa g n e j u s q u ' a u comptoir dépose bagages, ça fait plaisir de voir que l'on aime les s p o r t i f s d a n s l e c o i n . À

l'enregistrement, on comprend pourquoi : 75 euros de taxation par voyageur pour transport de vélo !!O n p i g n e , o n d i s c u t e , o n parlemente, on crie et on trouve finalement un compromis. Nos spads prennent la direction des bagages hors normes. Dim manque de s'étaler de tout son long, il est  16h20, l'embarquement ne va

pas tarder, on est vraiment à l'arrache !!

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On est à Nice, tous les bagages sont là, en route vers Saint-Raphaël ...Passage au contrôle, Cluedo se fait attraper à cause des pédales présentes dans sa valise. Embarquement, une question se pose à nous : avec toutes ces péripéties, nos spads sont-ils bien dans la soute ?Nous avons le droit à bord au fameux rafraîchissement avec biscuit sucré ou

salé ...le charme des hôtesses fonctionne toujours. Le vol est sans histoire, il fait beau ...au-dessus des nuages !!Panique à bord : on vient de s'apercevoir que nous volons à bord d'un Airbus   contrôlé pendant sa f a b r i c a t i o n p a r L o l o . O N V E U T DESCENDRE !!!!!!!!L'avion se traîne, on demande au pilote de tout mettre à droite !!

L'arrivée sur Nice est toujours magique avec un survol de la Méditerranée. Atterrissage sans

souci.Dans quel état allons-nous trouver nos cartons ? Pendant que Dim et Lolo filent

en taxi à l'agence de location, Daniel, Cluedo et moi récupérons tranquillement

nos bagages sur le tapis d'arrivée, comme si de rien n’était ! Alors que nous attendons nos deux compères à la sortie de l'aéroport, coup de fil de Lolo : l'agence de location est fermée, donc pas de véhicule. Bravo Europcar !!!!!C'est le plan loose. Nos deux camarades reviennent à l'aéroport en

taxi pour finalement louer deux véhicules à l'agence Europcar de l’aéroport.

Historique du RocD e p u i s 1 9 8 4 , F r é j u s accueille en octobre le Roc d'Azur, la plus grande manifestation mondiale de V T T. D e s m i l l i e r s d e passionnés se donnent ainsi rendez-vous chaque année p o u r c e g r a n d rassemblement spor t i f . P r é s e n t a t i o n d e c e t événement, devenu en 20 ans, l'épreuve reine du vélo tout terrain. 1984 : à une époque où personne ne parle encore de VTT, sept coureurs emmenés par Stéphane Hauvrette, le futur président de la commission nationale de VTT à la FFC, décident de se défier en mountain-bike. Personne ne se douta i t a lors qu ’ i ls donnaient le coup d’envoi d ’une des p lus be l les épreuves de V.T.T.

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Les  palmiers,  le  soleil,  le  Sud  quoi  !!

Allo,  figure-­‐toi  que  je  suis  parti  avec  des  quiches  !!!!!

Vue  du  hublot,  l’arrivée  sur  Nice

Une  autre,  on  ne  s’en  lasse  pas  

Nous récupérons les voitures quand les deux pieds nickelés se rendent compte avoir oublié leurs sacs dans le coffre du taxi. La loi de Murphy !!!On laisse un message au standard sans grande conviction et on file vers Saint-Raphaël. Le moral est au plus bas, on se sent poursuivi par la malchance !!!20 km de l'arrivée, coup de fil du chauffeur de taxi. Il ramène les sacs de Lolo et Dim à l'aéroport. Un homme honnête, ça mérite d'être signalé.Dim, Cluedo et Daniel font demi-tour et foncent à l'aéroport. Pendant ce temps, avec Lolo, on file vers Saint-Raphaël pour tenter de trouver à 21h30 de quoi manger.

Malgré nos efforts, nous ne trouvons rien d'ouvert ! Le mauvais œil nous poursuit-il toujours ?

Coup de fil de nos Niçois, ils ont bien les sacs et ont même trouvé le menu de ce soir. Yiiipeee, on reprend espoir.On file vers le camping pour

récupérer notre mobil home. On a juste le temps avec Lolo de

s'installer et défaire les premiers cartons que nos camarades nous

rejoignent, non sans une frayeur causée par un embrayage récalcitrant.Au menu de ce soir, pâtes sauce

tomate, bière et bonne humeur. Après le repas, c'est remontage des bikes. 1h00, tout est fini, il est temps,de rejoindre nos lits douillets, un gros challenge nous attend demain.

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La  poisse  poursuit  Dim  !!!

Cluedo  est  chaud  bouillant  ...

...pas  Lolo.  Réveil  !!!!

Dim  vérifie  son  matos

Nuit sans encombre à part une pluie d'oreillers, 6h debout. Petit déjeuner, on fignole nos spads, on boucle nos camels ...sauf Dim qui retrouve sa poche percée !6h45, en route, on file directement en vélo, du camping vers le départ. Distance : 8 km à faire de nuit à travers la ville.Le départ est épique, la rue n'est pas éclairée, descente pleine balle !! Youhouhouhou ....On passe par le port de Fréjus, le soleil se lève, la vue est magnifique et l'ambiance magique.Le Roc squatte la base nature de Fréjus, grand complexe composé de bâtiments et de terrains. Le hangar qui abrite les inscriptions est pratiquement vide. Nos sacs nous attendent. On trouve dedans la plaque vélo avec le traceur qui va mesurer notre chrono, le dossard (obligatoire car course UCI), quelques revues, des crackers salés et du chocolat.On équipe nos vélos et nos dos avec les dossards et on file

regarder les vagues. Déception, nous nous trouvons dans la quatrième et dernière vague, soit un départ à 9h00 et il est à peine 7h45 !!On prend notre mal en patience. Le soleil est définitivement levé. On file vers l'aire de départ. La première vague décolle avec les pros à bord. Nous entrons à notre tour dans le sas de départ, déjà 1500 vetetistes nous ont précédés.9h15, le starter donne le départ. Je ne suis pas aussi rapide et punchy que mes collègues et je les perds vite de vue. On passe sur un ponton, sympa. Quelques centaines de mètres plus loin, ça bouchonne ! On n'est pas arrivé !!Après 5 km, première ascension. Il y a du monde, je n'arrive pas à trouver mon rythme, il faut s'arracher pour échapper aux poseurs de pied à terre, le terrain est sec mais a visiblement été récemment raviné par l'eau, ce qui ajoute à la difficulté. 

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Lolo  avec  son  hernie,  sans  son  harnais

C’est  pénible  ce  soleil  pour  les  photos  !

Daniel  à  l’aise  au  1er  ravito

Une  descente  qui  donne  la  banane

Km 10, première grosse patate. La pente est dure et c'est avec soulagement que je bascule sur la descente. Superbe descente, large sur le début ce qui me permet de doubler quelques participants.En bas, au km 13, premier ravito, je retrouve tout le monde sauf Cluedo qui est parti pour rouler fort.On repart et on attaque aussitôt une deuxième grosse patate, longue et bien pentue. Les costauds me lâchent, j'ai déjà mal aux pattes, la journée va être longue pour moi. 5km d'ascension pour atteindre 300m d'altitude au col de La Flûte.On attaque une nouvelle belle descente mais qui bouchonne très vite. Un accident s'est produit, le vetetiste est secouru par les pompiers, ça a l'air bien sérieux.On passe le bouchon mais le nombre très important de vetetistes ne permet pas de prendre du plaisir. Portion plane et petite grimpette pour atteindre le ravito n°2 à Roquebrune sur

Argens où Daniel m'attend. Lolo et Dim ont pris les devants.Le ravito propose de la tapenade, un régal.Le départ du ravito est en pleine ascension. Des petites marches compliquent le pilotage, on élimine quelques adversaires adeptes du pose-pied-à-terre, on pousse, et on finit par trouver notre rythme au prix de gros efforts. Je suis déjà bien rincé et on n'est pas au km 30 !! On bascule sur une nouvelle descente mais une nouvelle fois les bouchons gâchent le plaisir. Le niveau technique de certains participants est limite !On entame une énorme ascension de 4/5 kilomètres. Daniel me traîne, j'envisage déjà de bâcher.On manque le ravito n°3 (problème de signalisation?), l'ascension se poursuit donc jusqu'au ravito 4 situé à mi-

parcours et au point le plus élevé du circuit.

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Dim  au  40  km,  encore  frais  !

Ca  bouchonne  dans  les  singles

Gros break, on prend le temps de bien manger et de récupérer. Les vetetistes qui arrivent au fur et à mesure présentent le même visage bien tiré, signe que le marathon est assez costaud.Le départ est en pente descendante, pas trop de monde devant, on en profite avec Daniel pour lâcher les freins et bien s'éclater.Deux coups de cul, un portage, un nouveau ravito proche du précédent (on ne s'arrête pas). Les concurrents du Mid Roc nous rejoignent en trace commune. Sur une distance de 40 km, les gars sont frais et nous déposent dans les ascensions.Au ravito n°6, une boisson énergisante doit nous permettre de récupérer pour boucler les 20 km restants.On entame l'ascension du col du Bougnon, des spectateurs nous encouragent sur le bord du chemin, malgré les crampes pas question de mettre pied à terre devant eux.La belle descente qui suit nous amène au pied de l'ascension du Lotissement. Sur les hauteurs, deux nanas en bikini nous haranguent au bord de la piscine, un verre de cocktail à la main. On aimerait bien s'arrêter mais le chrono tourne.Perclus de crampes, je termine toutes ces dernières ascensions à pied. A compter du ravito n°7, la

fin du parcours est en profil descendant.Il reste malgré tout des coups de cul, qui n'auraient pas posé de problème dans des conditions différentes mais là, après 70 km et 2700 de D+, c'est une autre histoire. Je marche à côté du vélo les jambes raides, Marco le robot.Daniel continue de me pousser, on sort des singles pour terminer par 6km de plat. Un peu de bitume pour augmenter la moyenne. L'arrivée est en vue mais le parcours nous fait faire un détour par la plage (sympa le sable dans la transmission) et le chemin côtier, au milieu du public.La délivrance sous l'aire d'arrivée, 8h et 2s pour Daniel, 1s plus tard pour moi, telle est la sentence du grand afficheur électronique sur lequel sont inscrits nos noms comme les pros.Dim et Lolo sont déjà là, ils nous ont mis 40 min. dans la vue sans forcer. Cluedo a bouclé son parcours en 6h, il est déjà rentré faire les courses et nous attend au mobil home avec l'apéro.Un peu de récupération, on a le droit à notre superbe tee-shirt rose de finisher (rose à en faire baver Steph) et on remonte sur le bike pour les 8 km (ascendants !) de retour à la maison.

 

Aie  !!  les  crampes  !!!

Belle  vue  sur  la  baie

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Fréjus  by  night

Lecture  du  roman  du  matin

BMX,  l’envol.  Il  y  avait  des  gars  vraiment  impressionants

Tu  ne  les  a  pas  volé  tes  tongs  ...

A l’arrivée au bungalow, Ludo nous a materné : l’apéro est prêt. Nous sommes partis pour revivre, chacun à sa façon, son Roc Marathon.Ludo nous raconte ses péripéties de fusée, sa prise de tête avec un rider de mauvais poil qui descendait à pied et qui ne voulait pas se pousser, échange entre gentlemen conclu par le rider par un «ferme ta trappe» qui restera dans les annales.Petite douche et l’équipe file à Fréjus pour assister au Roc Ruelle. Nous arrivons au moment de la finale où une dizaine d’équipes de 2 riders s’affronte en vitesse sur un circuit en ville. Un restaurant nous tend ses sièges et on termine la soirée bien tranquillement pour nous remettre de nos émotions. Pas de cagoles à l’horizon (je vous laisse découvrir la signification de ce mot typiquement du Sud).Le soir, on n’a pas fait un pli, le sommeil a gagné tout le monde très rapidement.

C’est samedi, aujourd’hui c’est visite du salon.Après un petit-déjeuner pendant lequel Cluedo nous fait la lecture du dernier roman à l’eau de rose à la mode (bouquin découvert par l’ami Lolo ...dans les toilettes), on file vers le salon. Passage obligé par le supermarché (pour l’apéro du soir), beaucoup de monde sur la route et enfin le salon.Après quelques minutes passées à admirer les BMX en action, on fait du lèche-stand. Les connaisseurs admirent et commentent les derniers matos. Cluedo y gagne une paire de tong qui va rendre jaloux Dim.Après l’impressionnant stand CANYON (partenaire du Roc), on admire d’autres stands plus discrets. La suite du salon en images ... (note à l’attention des riders : CKT s’est glissée dans le flux de photos, saurez-vous la retrouver ?)

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Sur  les  singles

Petite  descente  en  ravine

La  vue  est  magnifique

Les  costauds  m’attendent  ...

Les incroyables bouchons qui se sont formés pour sortir des parkings nous obligent à siroter tranquillement une mousse en attendant que la foule se disperse. Un gars qui vient de se faire voler son Look nous rappelle que le Roc attire aussi d’autres «amateurs» de vélos !Retour au bungalow, un apéro et un plat de pâtes nous aident à préparer tranquillement notre sortie du lendemain.Réveil tranquille. Le temps est toujours au beau fixe. Au programme de ce dimanche, une sortie direction le mont Vinaigre. On regrette de Zolive soit absent ...On part du camping direction à peu près par là

Quelques sympathiques randonneurs nous remettent sur le droit chemin. Après quelques singles, on attaque l’ascension vers le mont Vinaigre, point culminant du massif de l’Esterel à quelques 618m au-dessus du niveau de la mer.Ca tire un peu sur les jambes mais au train, ça grimpe. On croise d’autres vététistes, les collègues leur mettent un vent, moi je les dépose un peu plus lentement.Le temps est magnifique, le paysage grandiose et plus d’un soupire en pensant à la chance qu’ont les riders du coin de posséder un tel terrain de jeu.

On  va  là  !!!

Ils  ne  rigolent  pas  dans  le  coin  ...

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C’est  plus  facile  en  tout  mou

Une  ascension  pareille

ça  va  jumper  ...

Une  descente  bien  chaude

On récupère le GR en portage pour terminer l’ascension et admirer le magnifique panorama.On entame la descente par le GR sur l’autre versant du mont.Les premiers mètres sont très très chauds. Petite chute de Dim, suivi de Lolo, une extrême prudence s’impose sur le sentier.Quelques mètres plus bas on peut remonter sans problème sur le bike. S’ensuit une descente fantastique, difficile à négocier par endroit mais très ludique.Tout le monde a la banane à l’arrivée, le top !!!On repart sur un chemin forestier qui nous amène au départ de la nouvelle portion de descente sélectionnée par nos guides Dim & Cluedo.Beaucoup de plaisir à nouveau, le pilotage est chaud avec des petits cailloux fuyants sous la roue avant dans les courbes.Dim croise des chasseurs pleine balle qui n’ont visiblement pas apprécié le vent du Super Fly. Au

pied de ce chemin, Lolo nous fait le coup de la crevaison en tubeless ! Après démontage du pneu, on s’aperçoit que le préventif est absent, «normal» nous dit Lolo, «ça fait deux ans que j’en n’ai pas remis !!!».Une réparation de pneu plus tard, nous voilà reparti pour un retour tranquille. Dim prend le temps de s’amuser sur un ou deux sauts, dernière grimpette à 13% pour arriver au camping après un petit 35 km.Il est 14h, nickel pour déjeuner. Quelques sandwichs plus tard, on entame le démontage des vélos en vue du départ du lendemain.On termine l'opération avant qu’un bel orage ne s’abatte sur nous.On est pile poil verni.Il faut vider le frigo, les quelques bouteilles rescapées des précédentes descentes n’échappent pas à leur funèbre destin.

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Un  mécano  emballé  avec  nos  bikes

Les  caddies  sont  prêts

L’attente  à  l’aéroport

Une  dernière  pour  la  route

La fin de journée s’écoule au rythme des vidéos et des photos.Au réveil, le lendemain, le soleil est de nouveau présent. On rentre tranquille sur l’aéroport, aucun souci à la location.Le grand cirque recommence avec Air France pour le retour, cette fois nous connaissons la musique.Nos vélos partent en soute, on mange sur le pouce.Un vol sans histoire ou presque (une aventure qui n’est pas racontable dans ce document), des bagages bien présents à l’arrivée,

le frangin de Dim venu nous chercher et nous voilà à la maison avec un gros coup de blues mais avec des souvenirs pleins la tête.On en profite pour remercier nos moitiés pour leur patience et pour leur tolérance et bien sûr nos fidèles spads, qui bien que maltraités, ont répondu présent de bout en bout.On remercie également nos sponsors :

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Oui, la photo est en contre-jour mais

c’est dur de s’habituer au

SOLEIL !!!!

ROC D

’AZU

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TRACES DE CRAMPONSSPECIAL ROC D’AZUR 2012

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