Une école en projet 1

Rigoletto, une puissante intensité dramatique Dans le cadre du cours de français, 45 élèves profitèrent d’une

journée passée à Liège pour assister à la représentation de Rigoletto de Verdi, opéra majeur adapté du roman de Victor Hugo, « Le Roi se meurt ».

Accompagnés de nos professeurs de français Mr Schoofs, Mme Lambert et de notre professeur de géographie, Madame Renard, nous avons eu l’opportunité de visiter le Musée d’Art Moderne qui, par ses œuvres étranges, suscita plus de confusion que d’admiration.

Nous avons ensuite parcouru les vestiges souterrains de l’ancienne basilique et de quartiers très anciens de la ville de Liège avant de découvrir les coulisses et les infrastructures de l’Opéra Royal de Wallonie qui nous dévoila tous ses secrets.

20 heures. Bien installés dans nos sièges de velours rouge. Le spectacle commence. Pour la plupart, c’est une première car l’Opéra ne nous est pas très familier. Tous les regards plongent sur la scène où apparaissent Rigoletto, un bossu maudit et sa fille Gilda, courtisée par le frivole duc de Mantoue. Très vite, nous sommes transportés à travers le temps et l’Italie. Même si le spectacle nous a paru long, nos attentions furent captées jusqu’à la dernière minute par ces protagonistes si merveilleusement campés qui susciteront l’engouement d’un public debout, ovationnant pendant de longues minutes, tous ces talentueux chanteurs et musiciens.

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2 Une école en projet

Le crime de Lord Arthur…

Il l’a commis !

Quoi ? Mais son crime ! Diantre ! Il en avait programmé 36 !

Mais non, c’est un autre que le fil du temps retiendra, l’imprévisible, celui qui ne se met pas trop mal et qui, finalement, arrange tout le monde. C’est-à-dire ?

Une histoire drôle, amusante, rebondissante. Voilà ce que les élèves de 2e année ont mis en scène après une année de travail. Ils l’ont présentée devant un public ébahi en toute fin

d’année, sous la direction efficace de leur professeur Emmanuel Herzet.

Aligner dans une seule pièce 29 jeunes de 2e année, c’était un pari un peu fou. Mais un pari gagné ! Lord Arthur a enfin pu se marier. Vivra-t-il heureux ?

C’est probable. Mais le plus sûr, c’est que le public, lui, s’en fut très heureux !

Merci l’équipe ! Merci Monsieur

Herzet !… on vous en redemandera…

Une école en projet 3

Loin des sentiers battus... Chaque élève de 5e a pu choisir librement ce qui lui tenait à cœur

dans différents domaines. Un extrait de livre apprécié et justifié, deux phrases-types à replacer

dans leur contexte, un objet ou un symbole qui lui tenait à cœur (à la façon de l’émission « Nom de Dieu» d’Edmond Blatchen), l’analyse d’une photo esthétique (selon les critères d’analyse du cinéma), le rapport entre un texte et une musique pour terminer par une compétence en dehors du monde scolaire.

Le but de ce travail était que chacun fasse preuve de personnalité, de sens critique et d’originalité en recourant à la littérature (voire la philo), à son affectivité personnelle, à la photographie laquelle peut être aussi un texte qui nous parle, à l’adéquation « texte-musique» et à une compétence souvent méconnue.

Ce fut un exercice très intéressant et enrichissant pour l’expressivité, l’analyse, la justification, mais aussi cela a permis à chacun de mieux se faire connaître dans sa perception du monde et surtout de faire partager ses propres opinions et sa passion aux autres élèves.

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Quelques phrases types parmi d’autres : - L’important, ce n’est pas de convaincre mais de donner à réfléchir. - Le moyen d’aimer une chose est de se dire qu’on pourrait la perdre. - La différence est ce que l’on a tous en commun. - Ne rêve pas ta vie mais vis tes rêves. - On ne peut être juste tout seul. À l’être tout seul, on cesse de l’être.

4 Une école en projet

Au Maroc ! Cette année à nouveau, un bon

groupe d’élèves de 6e année est parti au Maroc pour un trekking dans le Haut-Atlas. Du 26 mars au 2 avril, l’aventure était au programme quotidien.

Sacs au dos, bottines aux pieds, la tête remplie d’aventures et le sourire aux lèvres, nous voilà partis… pour le Maroc !

Après trois heures de voyage dans les nuages, une courte nuit à Marrakech, nous visitons la superbe ville avec sa place Jemaa-el-Fna et ses souks.

Ensuite quatre heures de camionnette sur les routes marocaines nous amènent vers le Haut-Atlas. Arrivés au premier bivouac, dans le noir, nous tentons de monter nos tentes en affrontant à la fois la nuit et vent ! Opération périlleuse ! Nos montages ne résisteront pas tous jusqu’au petit matin…

Le soleil levé, nous nous mettons en marche à la découverte de paysages fabuleux, de petits villages typiquement berbères, de personnes accueillantes et chaleureuses. On se souviendra des matches de foot avec les villageois et des visites dans des écoles !

Quel périple inoubliable à travers les montagnes, où se sont mélangés avec bonheur le soleil, la neige, la joie de vivre, la chaleur mais

aussi le froid, les thés à la menthe, le couscous, le cumin… Nous avons apprécié l’otar (guitare berbère) de nos guides et muletiers qui animait nos soirées marocaines ! Ces cinq jours de trekking se sont terminés par un charmant souper dans un resto chic de Marrakech et une dernière visite de la ville le lendemain.

De quoi garder d’excellents souvenirs !

Une école en projet 5

Le conte du pourquoi Dans le cadre du cours de français en première, le conte est étudié. Un conte du pourquoi

était demandé comme production personnelle aux élèves de 1ères A et B. Le conte du pourquoi est un récit qui raconte de façon imaginaire pourquoi des animaux, des hommes ou des éléments naturels en sont venus à posséder telle ou telle caractéristique remarquable. Voici trois de ces productions.

Pourquoi les coccinelles ont-elles des points sur le dos ?

Imagine, qu’il y a bien longtemps, les coccinelles n’avaient pas de points sur le dos. Leurs amies les fourmis les avaient invitées à un bal costumé à l’occasion du carnaval. Madeline, une des coccinelles invitées, ne savait pas en quoi elle pourrait bien se déguiser sachant que son déguisement de princesse était trop petit et que celui de fée était troué ! Elle décida d’aller demander conseil à Sophie, le papillon, qui habitait non loin de chez elle.

Quand elle arriva chez Sophie, celle-ci était occupée à repeindre la façade de sa maison en noir. Madeline lui parla de son problème et Sophie l’écouta attentivement ; mais, comme elle était un peu maladroite, elle laissait de temps en temps tomber de petites gouttes de peinture qui atterrissaient sur Madeline. Après une heure, notre amie la coccinelle se rendit compte qu’elle était couverte de jolis points noirs. Elle remercia Sophie pour ses conseils et repartit toute contente et impatiente de se montrer à ses copines.

Quand celles-ci virent Madeline, elles furent très jalouses. Elles voulaient, elles aussi, de jolis petits points sur le dos. Elles se rendirent donc toutes chez Sophie qui leur dessina des points noirs sur le dos.

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6 Une école en projet

Pourquoi la girafe a-t-elle un long cou ?

C’est l’histoire d’une girafe qui vivait dans un zoo. Elle avait un tout petit cou comme toutes les autres girafes. Un mur la séparait des éléphants qu’elle n’avait jamais vus.

Un jour, elle y grimpa avec l’aide de ses amies, regarda par-dessus et vit beaucoup d’éléphants. Quand elle voulut redescendre, un éléphant l’attrapa par la tête. Elle se débattit et prit appui sur le mur pour s’en écarter mais l’éléphant ne lâcha pas prise. Les amies de la girafe l’aidèrent à se débattre et tirèrent avec elle. L’éléphant lâcha sa prise car les girafes étaient en surnombre.

Quand la girafe se releva, elle trouva tout le monde petit. En effet, son cou s’était allongé. Jalouses, ses amies firent toutes pareil. C’est depuis que les girafes ont un long cou.

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Pourquoi les volcans crachent-ils de la lave ?

Il y a très longtemps de cela, la terre était recouverte de choses sucrées. Les écorces des arbres étaient en grenadine ; dans la rivière, il y avait du chocolat ; le jaune des fleurs c’étaient des boules de gomme et les pétales du biscuit. Tous les êtres vivants s’y plaisaient beaucoup. Ce qu’ils adoraient le plus, c’était le volcan car chaque matin, à l’heure du déjeuner, il crachait du lait au choco pops. C’était le paradis.

Un jour, alors que le soleil brillait et que les enfants jouaient dans la rivière, la sorcière Grizella qui était, pour les habitants, le monstre du globe, apparut et dit :

- « Je déteste les bonbons, le sucre. Demain, tout aura changé. Vous n’aurez plus d’arbres à grenadine, ni de fleurs en biscuits. PLUS RIEN ! A la place des choco pops, il y aura du feu qui sortira du volcan. »

A ce moment là, Coco qui était le maître des sucreries courut vers la sorcière mais celle-ci qui était plus rapide jeta son sort et partit.

Le lendemain, il n’y avait plus rien. Le volcan crachait de la lave qui brûlait tout sur son passage. Quelques années plus tard, l’herbe commençait à pousser mais il n’y avait plus de sucreries.

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Chère Bibiane… Le 26 mars, le personnel – ancien et nouveau – s’est

retrouvé pour fêter la mise à la retraite de Bibiane De Boel, professeur de mathématique à l’Institut. Son collègue Guy Genard a pris la parole à cette occasion.

C'est avec une affection teintée d'émotion que nous retrouvons ce soir une amie dont je dirais qu'elle est à la fois la première et la dernière.

La première dame à réussir un parcours professionnel complet dans notre enseignement secondaire. C'était un fameux défi puisque lors de ton arrivée en 1972, le sexe dit fort régnait sans partage sur l'institut. Beaucoup d'autres, chacune dans leur style, ont suivi ton sillon et sont les témoins aujourd'hui d'une école radicalement modernisée. Parmi elles, Françoise, notre amie, pour laquelle tu fus un soutien précieux.

La dernière aussi, parce que tu as encore fait partie intégrante de cette génération de fortes personnalités (en politique, on dirait de dinosaures), qui impressionnaient élèves, parents et, même, jeunes professeurs. Je pense à Frère Joseph, Arthur, un certain Charles, Francis parti sur la pointe des pieds et qui, derrière une façade un peu abrupte, a été d'une aide précieuse pour beaucoup d'étudiants mais aussi de collègues. C'était le temps béni des colonies, non excusez-moi de l'internat , où les élèves acceptaient sans rechigner le travail exigé et même en redemandaient davantage : les fameuses interrogations hebdomadaires au pigeonnier étaient l'illustration de cette époque révolue.

La suite n'a pas toujours été celle que tu aurais souhaitée. De toute façon,derrière les mots : réformes, programmes, compétences, projet pédagogique, il y a surtout les femmes et les hommes qui avec leurs qualités et leurs défauts apportent leur pierre à la formation des jeunes. Dans ce cadre, tu n'as pas à rougir de ce que tu as apporté à l'édifice. Tu as toujours eu le souci de l'élève et tu n'as jamais compté les heures passées en explications supplémentaires. Plus que nous peut-être, tu attendais avec impatience les résultats de tes anciens lancés dans des études scientifiques : généralement c'était très satisfaisant, preuve d'un enseignement de qualité.

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Parlons un peu de très anciens qui ont marqué ta carrière et dont tu

as souvent évoqué les noms. Te souviens-tu de Gabriel : passionné, très jeune, par les belles

courbes (algébriques bien sûr) et les systèmes d'équations ? De Thomas : partagé entre une vie turbulente et ses formules ? De Carl : enfant précoce surnommé " le Mozart des

mathématiques" dont on prétendit qu'il put compter avant de lire et qui à 3 ans corrigeait les erreurs d'addition de son père ?

Et enfin, d'Isaac : élève médiocre pendant ses premières années de scolarité mais qui se révéla lors d'une sieste en observant la chute d'une pomme ?

Je parlais bien sûr de Cramer, Simpson, Gauss et Newton. Pour terminer, je voudrais évoquer ta minutie dans l'organisation

des olympiades de mathématique et ton savoir-faire lors des ‘fancy-fair’ où tu orchestrais avec doigté mais aussi fermeté le travail de toute une équipe.

Pour les années à venir, nous te souhaitons le meilleur avec toute ta famille.

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Une école en projet 9

IMmedia est une société de développement informatique multimédia spécialisée dans la conduite de projets e-business et la création de sites Web à forte valeur ajoutée.

Nous mettons à votre service une expérience de plus de dix ans dans le développement de solutions multimédias – en ligne et hors ligne.

Qu'il s'agisse de concevoir un simple site Web, d'élaborer un site portail aux fonctions de publication avancées, de réaliser un jeu, une animation en ligne ou de redéfinir une identité visuelle, nous mettons en œuvre les solutions logicielles et graphiques adéquates, personnalisées, dans le respect des standards de qualité de chaque support.

(http://www.immedia.be)

Visite d’entreprise par les élèves de 3e et 4e option ‘Sciences économiques’

Suite à l’initiative de l’ASBL « La Besace » proposant aux écoles une visite d’une entreprise de leur région, les élèves de 3e et 4e option « sciences économiques » ont eu l’occasion, le mardi 12 mai, de découvrir « Im Média », une SPRL de

Temploux, ayant comme objet la création et la vente de sites Internet ainsi que de logiciels.

Ils furent ainsi plongés durant deux heures dans la réalité économique d’une entreprise et purent ainsi établir les liens entre cette réalité et les théories apprises en classe sur le sujet.

Après avoir écouté une présentation générale, ils purent déambuler dans les bureaux et rencontrer le personnel afin de découvrir les rôles et spécificités de chacun.

Ils purent également converser et poser des questions à la directrice de l’entreprise qui leur expliqua quelques ficelles du métier, de la comptabilité, de la facturation…

Cette visite très intéressante leur a permis de prendre contact avec la vie active et de se rendre compte des plaisirs et contraintes du monde du travail. Isabelle Forgeur,

professeur

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Brevet TIC Résultats de l’année Ont réussi le Brevet TIC

CHEFFERT Pauline 2C COLLIGNON Mike 2B CLAES Elisabeth 2B DE KEYZER France 2C DEDECKER Emmanuela 2B DEFRENNE Benjamin 2C DELAIVE Mélanie 2E DEMANET Bastien 2C LAEREMANS Sarah 2C LATOUR Jérémy 2D PIRE Stéfanie 1F STEINIER Cécile 2F THIROT Perrine 2F WIAME Marie-Eve 2F Soit 14 élèves sur 45 (31 % … la moyenne dans les autres écoles est de 33 % … et

seulement 94 écoles sur 144 volontaires ont envoyé des résultats)

Bravo à tous ceux qui ont essayé ... et qui souvent ont

« presque » réussi … Un petit peu d’exercices supplémentaires et pour la prochaine fois, ce sera OK …

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Les lauriers de nos anciens (suite… sans fin) Voici une nouvelle – longue ! – liste de résultats de nos anciens. Il faut l’ajouter à celle

publiée à la revue précédente de Noël et… féliciter ces nombreux étudiants qui mettent à profit la formation qu’ils ont reçue à Malonne !

ILMH (Institut Libre Marie Haps – Bruxelles)

Elise Hancotte 2e candidature en traduction Anglais/Italien

Haute Ecole Francisco Ferrer (Bruxelles)

Sandra Mavuba 1re licence en sciences commerciales et financières

Haute-Ecole Léon-Eli Troclet (Liège)

Lise Froidbise 2e année comptabilité – option gestion Ludovic Hoolans 1re année E-business

ULB (Université Libre de Bruxelles)

Cédric Caron 1re candidature en information et communication Timour Chevalier 1re licence en sciences géologiques Léonard Daniels 2e candidature en information et communication Antoine Durieu 1re candidature en sciences politiques Dariusz Dynerowicz Licence en criminologie Jérôme François 1re licence en gestion des ressources humaines Xavier Gérard DES en droit fiscal Christelle Hancotte 1re licence en langues et littérature modernes Sandrine Kimfuema 1e graduat pharmacien Deborah Lebeni 1re candidature en information et communication Céline Liégeois 2e candidature en sciences politiques Jean-Thomas Paridaens 1re candidature en sciences politiques Robert Songue 1re candidature en droit Rudy Surin 1re licence en sciences de la santé publique Anne Wart 1re licence travail social Bénédicte Williot 2e candidature en information et communication

EPHEC (Haute Ecole économique et technique – Bruxelles)

Carole Bosschaert 1re année commerce extérieur Sophie Clesse Graduat en marketing Samuel De Boeck Graduat en marketing Emilie Lessire 1re année marketing

Institut Supérieur d’Architecture Saint-Luc (Liège)

Thomas Bertrand Diplôme d’architecte Olivier Charlier 1re année architecture

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Laetitia Delire 1re année architecture Benoît Maleve Diplôme d’architecte

Institut Gramme (HEMES - Liège)

Emmanuel Fraiture 1re candidature Raphaël Fraiture 2e licence Industrie Manoël Lebrun 1re licence Industrie Olivier Meessen 2e candidature Benjamin Piret-Gérard 1re licence Industrie

Facultés Universitaires Saint-Louis (Bruxelles)

Jérémy Miniot 2e candidature en droit

HENaC (Haute Ecole Namuroise Catholique – Namur)

Christelle De Vreese AESI – français et histoire Marie-Eve Defour 2e année assistante sociale Sarah Di Pisa 1re année assistante sociale Damien Dussart 1re année normale primaire Gaëtan Feltesse Diplôme d’assistant social Géraldine Finfe Diplôme d’infirmière graduée Eléonore Gilet 1re année assistante sociale Marie Hellemans 2e année assistante sociale Caroline Lamotte 2e année infirmière graduée Sophie Lénelle Diplôme d’infirmière graduée Nathalie Lorent AESI – français et histoire Nicolas Maigret AESI - éducation physique Anne-Christine Mainil 2e année normale primaire Alindawa Mandiki 1re année normale primaire Caroline Massin Diplôme d’institutrice primaire Florence Meessen Diplôme d’assistante sociale Anne-Fleur Picard 1re année normale primaire Dorothée Pire 1re année normale préscolaire Mathieu Piron Diplôme de gradué en gestion des ressources humaines Stéphanie Pironet Diplôme d’assistante sociale Caroline Poncelet 2e année normale primaire Hélène Puissant 1re année assistante sociale Cécile Richir 2e année assistante sociale Valérie Rossomme Diplôme d’institutrice préscolaire François Vandeput AESI – éducation physique

Facultés universitaires Notre-Dame de la Paix (Namur)

Philippe Amand 2e licence en sciences de gestion Julie Anciaux 2e maîtrise en informatique Yannick Balsarini DES droit et gestion technologies de l’info. et de la communication Coralie Benedetti DES en étude et gestion du patrimoine culturel Marie-Adèle Blommaert 1re candidature en philosophie

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Laurence Bouvin 2e candidature en histoire de l’art et archéologie Anabelle Delire 2e candidature en sociologie Lionel Delire 2e maîtrise en sciences économiques David De Vreese 2e maîtrise en informatique Marjorie Dufaux 2e candidature en médecine Seweryn Dynerowicz 1re candidature en informatique Emilie Faure 1re candidature en sciences chimiques Letitzia Frezza 1re candidature en sciences biologiques Gilles Genard 2e candidature en sciences physiques Virginie Genard AESS en sciences mathématiques Nathalie Gyselinx 1re candidature en sciences économiques et de gestion Karima Haoudy DES en étude et gestion du patrimoine culturel Valérie Hennaux 3e candidature en médecine Jérôme Jadoulle 2e maîtrise en informatique Carole Lannoy 1re candidature en sciences pharmaceutiques Elodie Larose 1re candidature en sciences pharmaceutiques Nicolas Louis 1re candidature en histoire Lionel Lowies 1re candidature en droit Rémy Mainil 1re licence en informatique Bertrand Marchal 1re maîtrise en sciences économiques et de gestion Carole Moiny 2e candidature en sciences biologiques Olivier Pire 1re candidature en informatique Céline Romainville 1re candidature en droit Fabian Rubay 2e candidature en sciences biologiques Michaël S’Jongers 2e maîtrise en informatique Adrien Thirot 2e candidature en information et communication Jean-François Vieslet 2e candidature en histoire

ECAM (Institut Supérieur Industriel – Bruxelles)

Mathieu Compté 2e année du 2e cycle ingénieur industriel en construction

UMH (Université de Mons – Hainaut)

Valérie Martin 2e candidature en sciences psychologiques et éducation