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REVUE DE PRESSE 23 SEPTEMBRE 2013

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REVUE DE PRESSE23 SEPTEMBRE 2013

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Incendies et interventions

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20130921 CTV18h Incendie boulevard Henri Bourrassahttp://youtu.be/FroocNMN4I0

20130921 LCN incendie Montréal Nord http://youtu.be/FdIi9cD1Q10

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Revue de presse | APM

Incendies et interventions : Médias électroniques

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Un incendie a ravagé un immeuble de l’arron-dissement de Montréal-Nord, tôt samedi. Cinq locataires ont été contraints d’évacuer leur domicile en pleine nuit.

Le bâtiment situé sur la rue Henri-Bourassa abritait un dépanneur au rez-de-chaussée et deux logements à l’étage supérieur.

Personne n’a été blessé. Les résidents des appartements, une femme et ses trois enfants ainsi qu’un homme vivant seul sont sortis à temps, a expliqué Francis Leduc, chef aux opérations du Service de sécurité incendie de Montréal (SIM).

Un total de 60 pompiers et une quinzaine de camions ont été dépêchés sur les lieux.

Les causes de l’incendie demeurent à déterminer.

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Revue de presse | APM

Date de publication : 21 septembre 2013Auteur(s) : Gabrielle Leblanc (WEB)

Cinq personnes évacuées suite à un incendie

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Un incendie a ravagé un immeuble de l’arron-dissement de Montréal-Nord, tôt samedi. Cinq locataires ont été contraints d’évacuer leur domicile en pleine nuit.

Le bâtiment situé sur la rue Henri-Bourassa abritait un dépanneur au rez-de-chaussée et deux logements à l’étage supérieur.

Personne n’a été blessé. Les résidents des appartements, une femme et ses trois enfants ainsi qu’un homme vivant seul sont sortis à temps, a expliqué Francis Leduc, chef aux

opérations du Service de sécurité incendie de Montréal (SIM).

Un total de 60 pompiers et une quinzaine de camions ont été dépêchés sur les lieux.

Les causes de l’incendie demeurent à déterminer.

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Revue de presse | APM

Date de publication : 21 septembre 2013Auteur(s) : Gabrielle Leblanc (WEB)

Cinq personnes évacuées suite à un incendie

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A family of five lost their home to fire overnight, as flames broke out around 2 a.m. Saturday on the upper floor at 3747 Henri-Bourassa in Montreal North.

About 60 firefighters were called to the scene and one was slightly injured fighting the flames.

Two adults and three children were evacuated from one of the two residential units, while the other apartment was va-cant.

Firefighters say that the blaze could have been an caused by an electrical issue somewhere near the roof.

A convenience store on the street level suffered only minor damage.

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Revue de presse | APM

Date de publication : 21 septembre 2013Auteur(s) : -

Family displaced by intense overnight blaze

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Syndicats2

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20130921 CBC18h Fraternité demande aux candidats à la mairie de voir la sécurité comme un enjeuhttp://youtu.be/wES6cKE2NzY

20130921 CTV18h Fraternité demande aux candidats à la mairie de voir la sécurité comme un enjeuhttp://youtu.be/KJj7XM3s2Z8

20130921 Global18h Fraternité demande aux candidats à la mairie de voir la sécurité comme un enjhttp://youtu.be/cDF2Se303hw

20130921 TVA Montréal moins sécuritaire Francoeur http://youtu.be/62Rp53-a-CU

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Revue de presse | APM

Syndicats : Médias électroniques

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Déjà aux prises avec plus d’enjeux épineux qu’on peut habituellement en digérer, les élus québécois ont choisi de re-mettre à plus tard la très délicate question des retraites. Ce problème ne pourra toutefois pas rester longtemps au réfri-gérateur et exigera de tous le sens des responsabilités et du sacrifice. question avec six autres experts avant d’accou-cher, en avril, d’un rapport fouillé, a pris la chose comme la preuve du sérieux des élus. Il est normal, a- t- il réagi au Devoir, que devant un enjeu et des décisions d’une telle ampleur, on prenne « le temps de faire les choses correcte-ment » . « C’est tout le contraire d’un tablettage » , a-t-il assuré.

L’une des seules propositions à laquelle les élus seraient déjà prêts à donner leur feu vert est celle d’encourager l’épar-gne individuelle en mettant en place un système de régimes volontaires d’épargne- retraite dans les entreprises. L’idée de faciliter la vie des travailleurs, en demandant à leurs employeurs d’effectuer pour eux des prélèvements à la source destinés à leurs REER, est intéressante, mais peut difficilement suffire dans les circonstances. Rappelons que seuls le tiers des travailleurs québécois ont accès à un régime à prestations déterminées (RPD), qui est considéré comme la Cadillac en la matière parce qu’il garantit les montants des prestations versées à la retraite, mais que plus de 7 sur 10 de ces Cadillac affichent un taux de solvabilité inférieur à 80 %. Plus globalement, on estime qu’au rythme où vont ac-tuellement les régimes de retraite publics, les régimes privés des employeurs et l’épargne des particuliers, presque la moitié des ménages à revenu moyen n’auront pas ce qu’il faut pour pouvoir compter, à 65 ans, sur un revenu de re-traite suffisant (estimé à 60 % du revenu de travail), les plus riches et les plus pauvres étant mieux lotis à ce chapitre.

Un problème collectif

Cette situation n’est donc pas le fait de la négligence de quelques inconscients. Elle est le résultat de facteurs beau-coup plus fondamentaux : le vieillissement de la population qui réduit le nombre de travailleurs-cotisants par rapport à celui des retraités-prestataires ; l’allongement de l’espérance de vie et de la durée des retraites ; enfin, la baisse mar-quée des rendements en bourses et ailleurs.

C’est parce qu’il réalisait parfaitement la situation que le comité D’Amours a choisi de déborder de son mandat limité aux RPD et qu’il a proposé de mutualiser une partie du « risque de longévité » en sortant de son chapeau l’idée d’un régime public de rente de longévité à partir de 75 ans financé par les travailleurs et les employeurs.

La réponse du patronat, des syndicats et de tous les autres a été remarquablement modérée et réfléchie. Se tenant loin des coups de gueule et des opinions toutes faites, chacun s’est attaché à reconnaître l’ampleur du problème et la nécessité d’y mettre du sien, tout en défendant ses solutions préférées.

Le maître mot du comité D’Amours était « le respect de la vérité des coûts » . Le débat a porté sur le coût des réfor-mes, mais peut- être pas assez sur celui qu’aurait une réponse trop timorée. On sait, par exemple, que plus on tarde à

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Date de publication : 21 septembre 2013Auteur(s) : Éric Desrosiers

Pas de retraite possible devant les retraites

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agir, plus on risque de faire porter le coût des changements aux jeunes générations. On s’est aussi inquiété, à raison, de l’impact que pourrait avoir l’imposition de nouvelles cotisations obligatoires sur le fardeau fiscal des entreprises et sur leur compétitivité. Il faut toutefois se rappeler que le Québec n’est pas le seul dans cette situation et que le pro-blème des retraites s’étend à presque toutes les économies développées.

L’actualité nous l’a rappelé, cette semaine, alors que la France a lancé une cinquième réforme du régime public de re-traite en 20 ans, qui prévoit, notamment, d’augmenter les cotisations des employeurs et de leurs travailleurs. Le gou-vernement albertain a créé tout un choc, de son côté, en annonçant unilatéralement le resserrement des règles, et la réduction des prestations, des régimes de pensions de ses fonctionnaires. La Réser ve fédérale américaine annonçait, au même moment, le maintien de sa politique monétaire ultra- accommodante, confirmant qu’on a encore pour long-temps des taux d’intérêt bas et des rendements faméliques.

On comprend, devant la complexité de ces enjeux, que les élus québécois aient voulu se donner plus de temps pour y penser. Il faudra, toutefois, le plus vite possible, parvenir à passer de la réflexion à l’action.

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Les policiers de Québec vont déménager dans une centrale de police flambant neuve d’ici cinq ans, a confirmé au Journal le vice-président du comité exécutif, Richard Côté.

Dans une entrevue, le vétéran conseiller municipal qui s’apprête à tirer sa révérence a annoncé avoir présenté, la se-maine dernière au comité exécutif, les trois options envisagées pour le déménagement de la vétuste centrale de police du parc Victoria.

«On a trois scénarios. On avance beaucoup dans le dossier», a dit M. Côté, se gardant bien de dévoiler les sites à l’étude.

Une chose est certaine, la vieille centrale de police − qualifiée de «monument» par M. Côté − ne sera pas réaménagée, comme cela avait déjà été évoqué.

«Ce bâtiment-là, il n’est pas question de le rénover. Il a atteint la fin de sa vie utile», a assuré le conseiller du district de Vanier qui avait la responsabilité de ce dossier au comité exécutif.

La Ville a examiné la possibilité de retaper des édifices existant ailleurs sur le territoire, mais une nouvelle construction est privilégiée afin de répondre aux normes de construction pour résister aux tremblements de terre.

Dégâts d’eau

La Ville de Québec, comme la direction du service de police reconnaissent que l’édifice ne répond plus aux besoins du personnel.

Les policiers se plaignent, entre autres, de dégâts d’eau et de locaux exigus. La situation est particulièrement criante pour les enquêteurs des crimes majeurs, qui vont déménager le 1er novembre dans des locaux loués pour cinq ans dans un édifice de l’avenue Saint-Sacrement.

M. Côté reconnaît que le travail a été plus long que prévu. Il avait indiqué, lorsque les policiers ont signé leur conven-tion en juillet 2011, qu’il se donnait un an et demi pour régler le dossier de l’avenir de la centrale de police.

Il a souligné en entrevue que le dossier est complexe, car la Ville et le service de police profitent de l’occasion pour re-voir toute la structure organisationnelle de la police.

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Date de publication : 21 septembre 2013Auteur(s) : Marianne White

NOUVELLE CENTRALE DE POLICE

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«C’est une décision qu’on va prendre pour les cinquante prochaines années; alors, il ne faut pas se tromper», a illustré le conseiller, qui se réjouit d’avoir pu présenter ses propositions au comité exécutif avant de quitter la vie publique après les élections du 3 novembre.

Amphithéâtre

Il a également expliqué que la Ville a utilisé le même processus pour l’amphithéâtre en créant un système de pointage pour coter les sites envisagés.

«C’est un travail très professionnel. Ça fait deux ans qu’on travaille ce dossier-là», a-t-il dit.

La décision finale sera prise par le nouvel exécutif après la campagne électorale en 2014, a annoncé M. Côté.

S’ensuivront les plans et devis ainsi que la construction, qui devrait prendre de trois à quatre ans.

La nouvelle devrait plaire à la Fraternité des policiers, qui réclame un déménagement depuis des années.

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Richard Côté ne digère pas la décision d’un arbitre du travail qui condamne la Ville de Québec à verser près de 330 000 $ aux pompiers pour une de ses déclarations.

En mars 2009, dans le cadre d’un reportage diffusé sur les ondes de TVA, M. Côté avait accusé les pompiers de met-tre en danger la population en retardant leur intervention sur des appels d’urgence en guise de moyens de pression.

L’arbitre de grief Marcel Morin a statué que cette affirmation était «totalement fausse» et a reproché à M. Côté de ne pas s’être rétracté.

«Sincèrement, ça n’a pas d’allure le jugement», a commenté le principal intéressé, qui n’a pas voulu entrer dans les détails de la cause qui pourrait être portée en appel. «Je peux juste vous dire que je ne comprends pas la décision. Toutes les preuves sont là comme de quoi c’est un montage vidéo qui a été fait», a-t-il ajouté.

M. Côté a soutenu devant l’arbitre que Carl Langelier, qui ne travaille plus à TVA, a utilisé une réponse à une autre question hors de son contexte pour lui faire dire que les pompiers retardaient leurs interventions.

Négociations

Le conseiller municipal va quitter la politique avant d’avoir pu conclure un nouveau contrat de travail avec les pom-piers, dont la convention est échue depuis 2007.

Tout comme le maire, M. Côté estime que l’un des enjeux les plus importants des négociations avec tous les em-ployés municipaux demeure les régimes de retraite. «Ça ne peut pas rester comme ça, c’est impossible. On ne peut pas travailler 30 ans et être payé 30 ans en pension. C’est illogique», a dit M. Côté.

« Workaholic »

Le départ de M. Côté et de François Picard, qualifiés de bras droits du maire, va laisser un vide difficile à combler lors de la formation du prochain comité exécutif.

M. Côté reconnaît que lui et M. Picard en avait beaucoup sur les épaules en raison du peu d’expérience de certains collègues. Lui-même était chargé de dossiers majeurs à la Ville: sécurité publique, incendie, ressources humaines et finances.

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Revue de presse | APM

Date de publication : 21 septembre 2013Auteur(s) : Marianne White

« Ça na pas d’allure ce jugement »

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«On avait peut être un peu trop de dossiers moi et François, faut pas se le cacher», a noté le conseiller, qui ne se plaint pas de son sort, car il se qualifie de «workaholic».

M. Côté n’a pas de nouveau travail qui l’attend et se donne jusqu’en janvier pour décider. Mais si on le sollicite avant, il ne dira pas non. « Rester chez nous à rien faire… trois semaines, un mois, mettons que ce serait assez», dit-il.

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Se basant sur un sondage démontrant que le sentiment de sécurité des Montréalais est en baisse, la Fraternité des policiers de Montréal s’est invitée, hier, dans la campagne électorale municipale pour mettre de l’avant l’enjeu de la sécurité publique.

Lors d’une conférence de presse, le président de la Fraternité des policiers de Montréal, Yves Francoeur, a demandé du concret et pas seulement des promesses de la part des candidats à la mairie.

Globalement, le sondage mené par la firme Léger montre que 69% des Montréalais estiment ne pas se sentir en sécu-rité dans certains secteurs de la métropole. Chez les jeunes familles, ce taux grimpe à 74% chez les 2534 ans et à 80% chez les 18-24 ans.

Par ailleurs, le tiers des répondants (37%) sont d’avis qu’en général, Montréal est moins sécuritaire qu’il y a 10 ans. Ces taux augmentent à 51% dans l’arrondissement de LaSalle, puis à 57% dans les arrondissements Rivière- des- Prairies- Pointeaux-Trembles et Montréal-Est.

Par contre, 16% des répondants croient que Montréal est généralement plus sécuritaire qu’il y a une décennie et 35% croient que le niveau de sécurité est demeuré le même.

« Assurer la qualité de vie »

Le président de la Fraternité des policiers de Montréal, Yves Francoeur, se dit tout de même préoccupé par ces chif-fres, surtout lorsqu’il remarque que, pour 31% des Montréalais, la sécurité représente le service municipal « le plus im-portant pour assurer la qualité de vie».

Yves Francoeur a tenu à rappeler que Montréal investit moins dans sa police que Vancouver et Toronto. En 2013, la Ville Reine a dépensé 389 $ par personne comparativement à 385 $ à Vancouver. À Montréal, ce montant est de 355 $ par personne.

«Nous pouvons vous dire que des équipes de candidats à la mairie nous ont contactés et nous sommes ouverts à dis-cuter avec eux des solutions. Il faut que la sécurité publique soit un enjeu important pour eux, comme ce l ’ est pour l eurs concitoyens», a-t-il insisté.

Pas de solution précise

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Revue de presse | APM

Date de publication : 22 septembre 2013Auteur(s) : Jean-Marc Gilbert

Le sentiment de sécurité en baisse

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Bien qu’il souhaite un investissement plus massif dans la sécurité publique et même une participation financière de la part du gouvernement du Québec, M. Francoeur n’est pas en mesure de dire où cet argent devrait aller.

« Avec ce sondage, nous avons maintenant un portrait de la situation. Nous allons partir de ce document pour tenter de trouver les solutions», a-t-il indiqué.

À son avis, puisque le sondage révèle que 72% des Montréalais croient que les groupes criminalisés représentent «la principale menace à la sécurité publique » , il ne f audrait pas couper dans l es unités spécialisées comme l’es - couade Éclipse, par exemple, qui lutte notamment contre les gangs de rue.

L’augmentation du nombre de policiers représente certainement une piste de solution, mais peut-être pas une solution complète au problème.

Rappelons que la Fraternité des policiers de Montréal était à couteaux tirés avec l’administration de Gérald Tremblay et ceux qui lui ont succédé, notamment au niveau des horaires de travail et du régime de retraite.

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Confronté à un nouveau parti d'opposition, le maire sortant, Régis Labeaume, a plutôt décidé de faire campagne con-tre les syndicats des employés de la Ville en ciblant un enjeu principal : les lois du travail et les conventions collecti-ves.  

" Notre campagne sera de demander à la population un mandat fort pour changer les lois du travail et les conventions collectives qui existent à la Ville de Québec. [...] Ce sera l'enjeu de l'élection ", a-t-il déclaré lors du lancement de la campagne d'Équipe Labeaume dimanche matin.

Un mandat fort  

Le maire sortant souhaite ainsi se servir de la campagne électorale pour mettre de la pression sur le gouvernement dans ce dossier. Cette semaine, il avait dit de la ministre du Travail, Agnès Maltais, qu'elle avait " une conclusion amné-sique " du rapport D'Amours sur les régimes de retraite. Cette dernière avait affirmé qu'il " était seul dans son camp " à vouloir une loi pour décréter les conventions collectives dès 2015.  

À une journaliste qui lui faisait remarquer qu'il ne pouvait pas non plus forcer la main du gouvernement, Régis La-beaume a laissé entendre qu'il l'avait fait dans le passé avec le dossier de l'amphithéâtre. " Si on a eu 200 millions pour bâtir un amphithéâtre c'est parce qu'on a eu un mandat fort. Tout ce qu'on a réussi à obtenir depuis qu'on est là, c'est parce qu'on a toujours eu un mandat fort. [...] À Québec, avoir un mandat fort, c'est gagnant. "  

Ce mandat fort, le maire sortant le veut aussi au niveau du nombre de conseillers. " On a réussi des choses qu'on n'au-rait pas réussies autrement si j'avais pas été élu à 80 % puis si j'avais pas eu autant de conseillers élus avec moi ", a-t-il dit sans jamais toutefois mentionner le parti d'opposition Démocratie Québec (DQ).  

En réponse à des questions des médias, M. Labeaume a toutefois laissé entendre qu'il accepterait de participer à un débat comme le réclame depuis des semaines le chef de DQ, David Lemelin. " Oui, oui, on va tout faire ça le temps venu. Y a pas de souci. "  

Mais tout dans son discours indiquait que le véritable adversaire de cette campagne serait le monde syndical. " On va se concentrer là-dessus, on ne va pas se laisser distraire ", a-t-il dit.

Une campagne "sur le dos des syndicats"  

Du côté des cols bleus, on refuse de laisser Équipe Labeaume " faire campagne sur le dos des employés de la ville ". " Régis Labeaume dénonce aujourd'hui ce qu'il a signé ", a fait valoir le Syndicat canadien de la fonction publique

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Revue de presse | APM

Date de publication : 23 septembre 2013Auteur(s) : Isabelle Porter

Élections municipales - Labeaume fait campagne sur les lois du travail

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dans un communiqué. " Le maire Labeaume dénonce les conditions de travail et la convention collective des em-ployés manuels qu'il a lui-même négociée et qu'il a personnellement signée avec les cols bleus le 28 mai 2009. "  

La semaine dernière, le maire avait suscité la colère des syndicats en annonçant que les négociations sur le renouvelle-ment des conventions seraient interrompues pendant la campagne. Les cols bleus avaient alors annoncé qu'ils étaient prêts à faire la grève si elles ne reprenaient pas.  

La Ville de Québec est par ailleurs en arbitrage depuis des années avec les pompiers, et l'administration Labeaume en conflit ouvert avec la Fraternité des policiers.  

Au dire du maire sortant, la campagne risque d'être " dure ". " On demande des changements très importants aux lois du travail. [...] Il peut y avoir une réaction des syndicats, on en est conscients ! "  

Régis Labeaume a fait toutes sortes de demandes dans le passé allant du droit de lockout à celui de pouvoir imposer les conventions collectives par décret. Pendant la campagne, il entend mêler les anciennes propositions et les nouvel-les.  

Outre ce sujet, Équipe Labeaume entend miser sur des " projets d'arrondissements " dont le contenu sera dévoilé au courant de la semaine.  

Les affiches du parti présentent d'ailleurs les candidats par arrondissement. Aucune des affiches ne présente les can-didats de districts seuls. Le maire sortant est présent sur chacune d'elles d'une manière ou d'une autre.

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Régis Labeaume lance sa campagne à la mairie en demandant un mandat «fort» pour modifier les lois du travail et les conventions collectives à Québec — une tâche impossible sans l’approbation du gouvernement provincial. Lemaire sortant yvoit un enjeu «encore plus gros» que celui du financement de l’amphithéâtre. «On s’attaque à un gros mor-ceau», a convenu d’entrée de jeu le candidat. «On demande des changements très importants aux lois du travail.»

La croisade de Régis Labeaume pour modifier les conventions collectives et s’attaquer au déficit des régimes de re-traite ne date pas d’hier. Ses demandes — droit de lock-out, décret des conditions de travail après un an de négocia-tion — ont déjà été rejetées par le Parti québécois.

Il revient néanmoins à la charge. En 2009, «ça n’a pas été l’enjeu d’une campagne», a soutenu Régis Labeaume. «C’est toute la différence du monde. À chaque fois qu’on a mis des enjeux sur la table pendant une campagne, on a réussi.»

Le président d’Équipe Labeaume rappelle avoir décroché un financement public de 200 millions du provincial après avoir placé le nouvel amphithéâtre au coeur de la campagne électorale de 2009. «Si on a eu 200 millions $ pour bâtir un amphithéâtre, c’est parce qu’on a eu un mandat fort», plaide-t-il. Les modifications aux lois du travail seront son thème directeur de 2013, au même titre que l’amphithéâtre l’a été en 2009, promet Régis Labeaume. «Quant à nous, la campagne électorale, c’est sur les changements que nous proposons aux lois du travail et aux conventions collecti-ves.»

Le prétendant à la mairie est conscient que sa campagne risque de créer des remous. «Nous allons proposer des changements très importants aux conventions collectives. Il peut y avoir une réaction des syndicats. On en est con-scients. Mais on va tenter de trouver le ton.»

Régis Labeaume se défend de vouloir faire campagne sur le dos des syndicats. «Il n’est pas question de stigmatiser les employés de la Ville de Québec», dit-il. «Ce qui est important, c’est que les employés de la Ville de Québec ne se sentent pas visés par cette campagne-là.»

L’aspirant maire en quête d’un troisième mandat s’attend à une campagne «dure» sur ce thème. «On aurait été tout à fait crétins et hypocrites de ne pas mettre ça sur la table, avance Régis Labeaume. Il n’y a aucun dossier dans la ville qui est plus important que celui-là. Même s’il est difficile, c’est pas une raison pour ne pas le faire.»

MODIFICATIONS DÉTAILLÉES

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Date de publication : 23 septembre 2013Auteur(s) : Samuel Auger

Régis Labeaume veut faire plier le gouvernement

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Le candidat Labeaume présentera prochainement les détails des modifications exigées aux lois du travail et aux con-ventions collectives. Les électeurs — et les syndicats — y découvriront un mélange de nouvelles et anciennes proposi-tions.

Équipe Labeaume entend également mettre de la pression sur le gouvernement provincial pour ne pas tabletter le rap-port D’Amours sur la réforme des régimes de retraite. À ce chapitre, la formation politique dit avoir un certain appui de l’Union des municipalités du Québec et de la Ville de Montréal.

Régis Labeaume a consacré l’essentiel de son discours de lancement au thème des relations de travail.

Le candidat n’a procédé à aucune annonce ou promesse.

Le parti politique procédera dans les prochains jours à des annonces plus locales, un arrondissement à la fois, a-t-on appris.

De plus, le maire sortant n’a fait aucune allusion aux autres formations politiques et candidats dans la course électo-rale à Québec. Il a uniquement confirmé qu’un débat aura lieu «le temps venu» avec son adversaire et chef de Démo-cratie Québec, David Lemelin.

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Le syndicat des cols bleus de la Ville de Québec n’a pas tardé à réagir au début du sprint électoral d’Équipe La-beaume, accusant le maire sortant de faire «sa campagne sur le dos d’employés syndiqués de la Ville».

Dans un communiqué, le syndicat a soutenu que les déclarations de Régis Labeaume ne «laissent aucun doute» sur ses intentions.

« Chose étonnante, par ses déclarations, le maire Labeaume dénonce les conditions de travail et la convention collec-tive des employés manuels qu’il a lui-même négociée et qu’il a personnellement signée avec les cols bleus le 28 mai 2009», peut-on y lire.

Les cols bleus avaient effectué une sortie publique plus tôt cette semaine pour prévenir la population que le maire La-beaume allait faire de la «petite politique électoraliste» sur la question des relations de travail. «Les événements d’au-jourd’hui [hier] viennent de le confirmer», écrit le syndicat.

NÉGOCIATIONS SUSPENDUES

Régis Labeaume a annoncé il y a plus d’une semaine la suspension de toutes les négociations avec les syndicats. «On ne veut pas que le syndicat se serve de la campagne électorale pour faire pression sur nous», avait-il justifié.

«En campagne électorale, on ne négocie pas. Il n’y a rien de plus normal que ça», avait ajouté le maire sortant.

Hier, Régis Labeaume a juré ne pas vouloir négocier sur la place publique. Ses propositions de modifications aux régi-mes de retraite et aux conventions collectives seront toutefois étalées publiquement. Le candidat à la mairie entend par ailleurs s’adresser directement aux employés municipaux, plutôt qu’aux syndicats. «Nous tenterons le plus possi-ble d’expliquer aux employés que les syndicats qui les représentent doivent comprendre l’exaspération de la popula-tion, qu’ils ont malheureusement trop exagéré dans le passé.»

Les cols blancs et les cols bleus sont sans contrat de travail depuis décembre 2010.

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Date de publication : 23 septembre 2013Auteur(s) : Samuel Auger

«Sur le dos d’employés syndiqués»

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Régis Labeaume aurait intérêt à «proposer des choses plutôt que d’attendre un décret» du gouvernement provincial, a pesté David Lemelin, chef de Démocratie Québec.

M. Lemelin réagissait ainsi aux propos du maire sortant, qui a affirmé lors du lancement de sa campagne électorale, hier matin, qu’il ferait des lois du travail un enjeu prioritaire si son mandat était renouvelé le 3 novembre prochain.

M. Labeaume a dit vouloir un appui « fort » de l a population pour demander au gouvernement Marois des modifica-tions à certaines législations encadrant les négociations de conventions collectives et les régimes de retraite.

En début de journée, la direction des communications de Démocratie Québec avait affirmé que le parti ne commente-rait pas le lancement d’Équipe Labeaume. Or, les journalistes ont été conviés à une conférence de presse spontanée en début d’après-midi, en marge du match du Rouge et Or, à l’Université Laval, auquel assistait son chef.

CONSTAT D’ÉCHEC

« Il veut un règne absolu pour régler quelque chose qu’il n’a pas été capable de régler. C’est un constat d’échec sé-vère. À mon sens, c’est qu’il ne veut pas négocier [avec les syndicats]», s’est désolé David Lemelin. «[Régis La-beaume] est le pire négociateur que la Ville de Québec n’a jamais eu.»

La Ville doit notamment s’entendre avec ses syndicats sur la façon d’éponger les déficits des régimes de retraite, éva-lués officiellement à 624 millions $ — mais que l’administration Labeaume estime aujourd’hui à 800 millions $—, une facture que le maire Labeaume a dit ne pas vouloir refiler à 100 % aux contribuables. Si l e thème de campagne de son adversaire ne l’a pas surpris, M. Lemelin s’est dit déçu et a accusé Régis Labeaume de «casser du sucre sur le dos des employés [de la Ville]». Il veut, pendant 44 jours, taper sur le clou, sur le dos des syndicats», a-t-il suggéré.

Les modifications demandées par le maire Labeaume lui ont été refusées par le Parti québécois (PQ), et ce, jusqu’à tout récemment. En ce sens, M. Lemelin estime que les ministres concernés, Agnès Maltais ( Travail) et Sylvain Gau-dreault (Affaires municipales), «tiennent le même langage» que son parti sur les dossiers mis de l’avant par Équipe La-beaume.

David Lemelin s’est par ailleurs réjoui de voir Régis Labeaume accepter son invitation à débattre publiquement lors de la campagne électorale. «J’ai toujours dit que ce serait inconcevable qu’il n’y ait pas de débat dans une ville comme Québec», a-t-il déclaré. Reste à savoir où et quand les deux hommes croiseront le fer.

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Date de publication : 23 septembre 2013Auteur(s) : David Remillard

Le maire doit «proposer des choses», dit Lemelin

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Régis Labeaume demande à la population de lui donner un «mandat très fort» pour s’attaquer aux conventions collecti-ves et aux déficits des fonds de retraite des employés municipaux.

«Nous sommes confrontés à des dangers, le plus grand étant les déficits accumulés des fonds de retraite», a lancé le maire de Québec, qui a fait fi de ses adversaires politiques lors du coup d’envoi de sa campagne hier.

M. Labeaume concède que la campagne sera «dure», mais il estime que cet enjeu «complexe» est encore plus impor-tant que l’amphithéâtre, pour lequel il avait fait campagne en 2009.

«On est conscients que c’est un gros mandat qu’on demande à la population, mais sincèrement, on aurait été crétins et hypocrites de ne pas mettre ça sur la table. Il n’y a aucun dossier dans la ville qui est plus important que celui-là», a-t-il affirmé, ajoutant que lui et ses 21 candidats devront être pédagogues à l’endroit des citoyens.

Le maire souhaite se retrouver «en position de force» pour réclamer au provincial des changements aux lois du travail; et aux syndicats, des modifications « très importantes » aux conventions collectives. «Si on a un mandat fort, il faudra que quelqu’un quelque part prenne acte de ce désir de la population. Si on veut envoyer un signal au gouvernement et aux syndicats, on ne peut pas le faire avec de petits moyens » , a expliqué M. Labeaume.

Avantages indus

M. Labeaume a insisté sur le fait qu’il ne veut pas négocier sur la place publique, ni s’en prendre directement aux em-ployés municipaux. Il en a plutôt contre certains «avantages indus» négociés dans le passé par les syndicats et deve-nus «indéfendables».

«Nous tenterons le plus possible d’expliquer aux employés que les syndicats qui les représentent doivent comprendre l’exaspération de la population, qu’ils ont malheureusement trop exagéré dans le passé», a-t-il dit.

Le déficit actuariel des régimes de retraite était de 580 millions $ à la fin de 2012. Le maire compte y aller de nouvelles propositions, en plus de celles qu’il réclame depuis longtemps, comme le droit de lock-out pour les Villes et la mise en oeuvre de recommandations du rapport D’Amours sur les régimes de retraite.

«Il peut y avoir une réaction des syndicats, on en est conscients. On va tenter de trouver le ton pour le faire de façon la plus appropriée», a dit le chef d’Équipe Labeaume.

Dans La Cité-Limoilou

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Date de publication : 23 septembre 2013Auteur(s) : Marianne White

Mandat très fort réclamé

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Outre cet enjeu, le maire compte présenter des projets pour chaque arrondissement. Il commencera dès ce matin dans l’arrondissement La CitéLimoilou. Il s’est également dit ouvert à participer à un débat avec son principal adver-saire, le chef de Démocratie Québec, David Lemelin.

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Le positionnement du maire de Québec a fait bondir les syndicats qui représentent des employés municipaux de Qué-bec, ainsi que le chef de Démocratie Québec.

Le président du syndicat des cols blancs, Jean Gagnon, a déploré la stratégie du maire qui semble prêt à faire campa-gne «sur le dos» des employés municipaux. «Le syndicat, ce sont ses membres. Quand il attaque les gens sur leurs régimes de retraite, c’est tout le monde qu’il attaque; ce n’est pas juste le syndicat», a soutenu M. Gagnon en entre-vue.

«Ça n’a pas de bons sens ce qu’il dit. C’est de la démagogie et de la politique sale», a tonné le chef syndical.

M. Gagnon a prévenu que les syndicats n’ont pas l’intention de laisser toute la glace au maire sur le sujet des régimes de retraite.

«Moi, je vais embarquer dans le débat sur la place publique», a affirmé M. Gagnon.

Le syndicat des cols bleus a également dénoncé le maire dans un communiqué, soulignant que M. Labeaume s’en prend aux conditions de travail et à la convention collective des employés manuels qu’il a lui-même négociée et ap-prouvée en mai 2009.

«Régis Labeaume dénonce aujourd’hui ce qu’il a signé», a dit le syndicat.

« Constat d’échec »

De son côté, le chef de Démocratie Québec a critiqué la sortie du maire qui est, selon lui, un «constat d’échec» de la négociation avec les employés municipaux.

«Il veut un règne absolu pour pouvoir régler quelque chose qu’il n’a pas été capable de régler avec un règne absolu pendant sept ans, a déclaré David Lemelin. C’est le pire négociateur que la Ville de Québec n’ait jamais eu», a-t-il ajou-té.

Le chef de l’opposition continue de prôner la négociation et reproche à l’équipe de M. Labeaume de vouloir créer des antagonismes et de faire des syndiqués ses «boucs émissaires».

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Date de publication : 23 septembre 2013Auteur(s) : Marianne White

Les syndicats et l’opposition outrés

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«On ne construit pas une ville comme ça (…) Les syndicats n’ont pas raison en tout et n’ont pas tort en tout. Ils tien-nent le discours qu’ils sont prêts à négocier et il ne faut pas que la table soit déserte devant eux, et là, elle l’est», a commenté M. Lemelin.

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Pompiers et communauté

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20130921 Global18h Activités SIM mois de la préventionhttp://youtu.be/OoCDLivq0Nc

20130921 - 98,5FM - Nouvelles - Louise Desrosiers - Chef de section du SIMhttp://files.gestionradioqc.com/news/audio/2013/09/21/20130921AY0R94.mp3

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Pompiers et communauté : Médias électroniques

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Pour une quatrième année, le Service de sécurité incendie de Montréal (SIM) lance samedi le Mois de la prévention des incendies et de la sécurité civile de Montréal.

Jusqu'au 13 octobre, le personnel du SIM participera à plusieurs activités de sensibilisation auprès des citoyens.Le SIM déploiera entre autres des équipes dans des lieux publics, inspectera plusieurs écoles primaires ainsi que des garderies, et visitera des milliers de domiciles afin de s'assurer qu'ils sont munis d'un avertisseur de fumée fonction-nel.Le Service de sécurité incendie de Montréal est persuadé que ses efforts de sensibilisation contribuent à réduire les risques d'incendie et de sinistre majeur, et surtout, à préserver des vies humaines.

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Date de publication : 21 septembre 2013Auteur(s) : Magalie Chauvin

Mois de la prévention des incendies à Montréal

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Campagne électorale Montréal 2013

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20130920 CBC17h Début officiel de la campagne électorale Montréal 2013http://youtu.be/OgxWwU4_74Y

20130920 Global18h Début officiel de la campagne électorale Montréal 2013http://youtu.be/rm8X58YRIv8

20130920 SRC TJ18h Début officiel de la campagne électorale Montréal 2013http://youtu.be/hMlDrU5VWhQ

20130920 SRC TJ18h Entrevue Candidats Montréal 2013http://youtu.be/UdGnw10DxCo

20130920 TVA lancement élection Montréal http://youtu.be/lXMuzDEy8qs

20130920 - Radio X Montréal - Émission : Le retour - Entrevue avec Marcel Côtéhttp://adn5media.com/zonemultimedia/audio/20130920_radioxmtl_gendron_entrevue_marcel_cote.mp3

20130920 - Ici Radio-Canada Première - Émission : C'est pas trop tôt - Chronique de François Cormier : Début de la campagne électoralehttp://adn5media.com/zonemultimedia/audio/20130920_951fm_pastroptot_debut_campagne_electorale_mtl.mp3

20130920 - Ici Radio-Canada Première - Émission : C'est pas trop tôt - Michel C Auger sur le lancement de la campa-gne électorale de Montréalhttp://adn5media.com/zonemultimedia/audio/20130920_951fm_pastroptot_debut_campagne_electorale_mtl_auger.mp3

20130920 - Ici Radio-Canada Première - Émission : Le 15-18 - Campagne municipale à Montréal suivi d'une entrevue avec Jean Doré : Les principaux enjeux de la campagne électoralehttp://adn5media.com/zonemultimedia/audio/20130920_951fm_1518_campagnemtl2013_dore_enjeux.mp3

20130920 - Ici Radio-Canada Première - Émission : Le 15-18 - La campagne électorale vue par la communauté anglo-phonehttp://adn5media.com/zonemultimedia/audio/20130920_951fm_1518_campagnemtl2013_anglos.mp3

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Montréal 2013 : Médias électroniques

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20130920 - Ici Radio-Canada Première - Émission : Le 15-18 - Entrevue avec Denis Coderre, Équipe Denis-Coderre pour Montréalhttp://adn5media.com/zonemultimedia/audio/20130920_951fm_1518_entrevue_coderre.mp3

20130920 - Ici Radio-Canada Première - Émission : Le 15-18 - Entrevue avec Marcel Coté, chef du parti Coalition Montréalhttp://adn5media.com/zonemultimedia/audio/20130920_951fm_1518_entrevue_marcel_cote.mp3

20130920 - Ici Radio-Canada Première - Émission : Le 15-18 - Entrevue avec Richard Bergeron, chef de Projet Mont-réalhttp://adn5media.com/zonemultimedia/audio/20130920_951fm_1518_entrevue_bergeron.mp3

20130920 - Ici Radio-Canada Première - Émission : Le 15-18 - Analyse des entrevues des candidats à la mairie de Montréalhttp://adn5media.com/zonemultimedia/audio/20130920_951fm_1518_analyse_entrevues_candidats.mp3

20130920 - Ici Radio-Canada Première - Émission : Le 15-18 - Nouveau maire pour Montréal recherché : Entrevue Mi-chel Leblanc, de la CCMMhttp://adn5media.com/zonemultimedia/audio/20130920_951fm_1518_michel_leblanc.mp3

20130921 CBC18h Deuxième jour campagne électorale Montréal 2013http://youtu.be/FGA8P_nLi8A

20130921 CTV18h Deuxième jour campagne électorale Montréal 2013http://youtu.be/O3Miye4AW-g

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La campagne électorale municipale 2013 a débuté officiellement hier à travers le Québec et particulièrement à Mont-réal, où plusieurs candidats à la mairie ont déjà affiché leurs couleurs.

La journée d’hier a aussi marqué le coup d’envoi du dépôt officiel des candidatures. À ce jour, quatre candidats sé-rieux ont suscité les débats en vue de briguer la mairie de Montréal: Mélanie Joly, jeune professionnelle trentenaire ( Vrai changement pour Montréal - Groupe Mélanie Joly), Richard Bergeron, chef d’un parti bien établi ( Projet Montréal), Marcel Côté, partisan de la coalition à l’Hôtel de Ville (Coalition Montréal), et Denis Coderre ancien ministre à Ottawa (Équipe Denis Coderre).

Au total, plus d’une dizaine de candidats souhaitent s’asseoir dans la chaise de maire. Hier après- midi, trois person-nes avaient enregistré officiellement leur candidature: Mélanie Joly, Kofi Sonopkon et Claude Blais.

Virginité politique

La dernière année fut difficile pour les Montréalais qui ont vu défiler à la commission Charbonneau nombre de fonction-naires de la Ville et de gestionnaires de firmes corrompus.

En 12 mois seulement, la métropole a également eu 3 maires différents. Il ne faudra pas se surprendre que les candi-dats revendiquent une virginité politique sans faille. Outre leur volonté de mettre fin à la corruption et de stopper la col-lusion, les partis ont aussi mis de l’avant leur plateforme ou leur programme.

Projet Montréal, chapeauté par Richard Bergeron, s’est targué d’être en campagne électorale depuis un an déjà.

Pour convaincre les Montréalais, il mise sur une ville plus verte, avec moins de voitures et une plus grande mixité des quartiers, comme l’a fait Luc Ferrandez depuis plus de trois ans dans l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal.

Son projet d’Entrée maritime, vaste quartier qu’il voudrait voir naître sur le site du Port de Montréal, suscite le scepti-cisme auprès de ses détracteurs. Sa volonté d’instaurer le tramway pour 2017 sème davantage d’enthousiasme.

Mécanismes de surveillance

Marcel Côté et Denis Coderre proposent une ville plus saine avec des mécanismes de surveillance plus poussés afin de contrecarrer la mainmise de la mafia sur les grands projets d’infrastructure.

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Date de publication : 21 septembre 2013Auteur(s) : Étienne Laberge

La campagne est commencée

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Pour Denis Coderre, il est plus que temps d’instaurer une police du contrat, un fonctionnaire ayant droit de regard sur les comptes de la Ville. Bien plus qu’un simple vérificateur général, la police du contrat ne serait redevable qu’à la po-pulation et non au comité exécutif.

Pour Marcel Côté, la Ville a plutôt besoin d’un patron des finances. S’inspirant des grandes entreprises et des organi-sations gouver nementales, ce « contre- pouvoir » pourra guider les décisions ayant des incidences financières.

Marcel Côté a toujours promis qu’il formerait une coalition à l’Hôtel de Ville, c’està-dire un cercle restreint de déci-deurs en provenance de tous les partis. Denis Coderre s’inscrit en faux contre cette pratique.

Enfin, Denis Coderre promet de faire de Montréal une ville intelligente digne de l’ère 2.0. Ses détracteurs lui font toute-fois remarquer que les innovations qu’il propose existent déjà ou sont en développement.

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Ça y est, c’est parti. Les élections dans les 1103 municipalités québécoises, lancées vendredi sur fond de scandales éthiques, suscitent un engouement sans précédent : deux fois plus de partis politiques ont fait une demande d’autori-sation au Directeur général des élections (DGE) par rapport à la même période en 2009, lors du dernier scrutin.

Loin de se laisser décourager par les allégations de corruption qui secouent la classe politique, les citoyens foncent plutôt tête baissée dans l’arène municipale. Pas moins de 441 candidats indépendants ont aussi demandé au DGE une autorisation de se présenter — une hausse de 63 % par rapport à 2009.

À Montréal seulement, 13 partis sont autorisés et six autres attendent le feu vert du DGE pour plonger dans la mêlée. La campagne électorale dans la plus grosse ville du Québec prend une importance particulière, après une décennie marquée par des scandales de collusion et de corruption. Les principaux candidats à la mairie de Montréal ont lancé vendredi leurs campagnes en promettant de réparer le lien de confiance avec la population.

« C’est la campagne électorale la plus importante des 25 dernières années. Montréal a besoin d’un virage important », a dit Richard Bergeron, chef de Projet Montréal, dans une entrevue récente au Devoir. Il en est à sa troisième tentative de conquérir la mairie.

Denis Coderre, considéré comme le meneur dans la course, a de son côté lancé sa campagne lors d’une soirée à la TOHU, dans l’arrondissement Villeray–Saint-Michel–ParcExtension. Fait inusité, l’ancien député fédéral fera campagne sans aucune affiche électorale. « Une pancarte, ça vote pas » , a déclaré vendredi M. Coderre. Il mise sur sa notoriété pour se faire élire.

Mélanie Joly, de la formation Vrai changement pour Montréal, a été la première chef de parti à déposer sa candidature au greffe de l’Hôtel de Ville, en matinée. La veille, elle avait présenté neuf nouveaux membres de son équipe, ce qui portait à 39 le nombre de ses candidats.

Marcel Côté, chef de la Coalition Montréal, a promis une réforme en profondeur de la gouvernance dans la métropole. L’éditeur Michel Brûlé a aussi sauté dans la course, mercredi, en présentant 15 candidats de son nouveau parti, appe-lé Intégrité Montréal.

« On aurait pu penser que le climat de scandale qui flotte au-dessus du monde municipal aurait alimenté le cynisme. Au contraire, ça semble stimuler des gens à se mêler de la gestion municipale » , dit Denis Dion, porte- parole du DGE. L’organisme qui supervise les élections a reçu 74 demandes d’autorisation de nouveaux partis depuis le début de l’année, contre 37 au moment du dernier scrutin municipal. Pas moins de 162 partis sont enregistrés au Québec.

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Date de publication : 21 septembre 2013Auteur(s) : Marco Fortier

Engouement pour les élections

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Il reste à voir si l’engouement pour les candidatures se reflétera dans les bureaux de vote. Le taux de participation aux élections municipales de 2009 avait été d’à peine 45 % au Québec et de 39,5 % à Montréal.

Campagne minceur

La campagne qui s’amorce dans les 1103 villes québécoises sera une des moins coûteuses de l’histoire récente. Les sources de financement des partis municipaux se sont taries sous l’effet des scandales éthiques. Les militants hési-tent désormais à financer les partis. Pour bien des gens, il est devenu louche de contribuer à une caisse électorale.

Le gouvernement a réformé le financement des partis municipaux, dans le but d’empêcher les dons illégaux. La limite des dépenses électorales autorisées a baissé de 30 %. Les dons maximaux sont passés de 1000 $ à 300 $ par per-sonne. En contrepartie, l’État rembourse 70% des dépenses électorales des candidats, contre 50 % auparavant.

Le résultat net, c’est que « les partis politiques municipaux s’appauvrissent depuis cinq ans » , note Denis Dion, du DGE. « Si le financement public n’augmente pas, ça peut être tentant [pour les partis] de recourir à des mécanismes de financement illégaux. »

Le porte-parole du DGE rappelle que le ministre des Affaires municipales, Sylvain Gaudreault, s’est engagé à réformer pour de bon le financement des partis municipaux, après le scrutin du 3 novembre. « On aura un oeil sur la réforme que le ministre Gaudreault a promise après les élections municipales, pour compenser la baisse des contributions. À moyen et à long terme, il va falloir trouver des façons de financer les partis. »

En attendant, les candidats doivent inventer des façons de faire campagne avec des budgets réduits. La décision de Denis Coderre de se passer d’affiches électorales est motivée entre autres par des raisons financières. Son équipe dif-fuse ses communiqués de presse par courriel, Facebook et Twitter, plutôt que de recourir au fil CNW, où chaque en-voi coûte 400 $. Il tient ses événements de presse dans des locaux communautaires où la location d’une salle coûte 80 $, plutôt que des centaines de dollars dans des endroits qui se veulent prestigieux.

Les locaux électoraux des candidats ne pèchent pas non plus par excès de luxe, a constaté Le Devoir au cours des dernières semaines. Tapis souillés, murs ébréchés, meubles en équilibre précaire, les partis municipaux ont d’autres priorités que la décoration, faute de moyens financiers.

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Si son équipe est portée au pouvoir le 3 novembre prochain, Denis Coderre entend prendre les moyens pour « net-toyer l’Hôtel de Ville une fois pour toutes » . « Jamais vous ne m’entendrez dire : “Je n’étais pas au courant” » ,a lancé le candidat à la mairie de Montréal à ses partisans lors du lancement de la campagne électorale de son équipe vendre-di soir.

Denis Coderre a profité du coup d’envoi de sa campagne pour présenter 14 nouveaux candidats, dont Gilbert Thibo-deau, qui sera candidat à la mairie du Plateau- Mont- Royal. « Mon équipe compte maintenant 90 nouveaux candidats » , a- t- il dit à ses sympathisants réunis à la Tohu. « Il va y en avoir d’autres et j’ai bien l’intention d’avoir une équipe complète » , a-t-il dit. pecteur général. « Il va avoir un pouvoir d’enquête de manière inopinée : avant, pendant et après l’octroi des contrats » ,a dit M. Coderre.

Il compte aussi instaurer un système de rotation qui empêchera les hauts fonctionnaires et les cadres de demeurer au même poste plus de deux ans. Rester trop longtemps dans les mêmes fonctions, « ça fait des bons joueurs de golf » , mais ça n’aide pas nécessairement les intérêts de la population, a soutenu M. Coder re. Un tel système existe dans la fonction publique fédérale, a-t-il rappelé.

M. Coderre a également abordé la question de la Charte des valeurs, en reprochant au gouvernement de mettre de l’huile sur le feu. Il a réclamé un statut spécial pour tout le territoire de la métropole.

Inspecteur général

Lors de son allocution, l’aspirant maire a pris plusieurs engagements, dont celui de mettre en place des mesures vi-sant à venir à bout de la corruption à l’Hôtel de Ville. Pour ce faire, il faut donner aux escouades policières comme l’EPIM et l’Éclipse les moyens de faire leur travail pour lutter efficacement contre la corruption et le crime organisé, a- t- il indiqué.

Comme il l’avait déjà annoncé, il créera un poste d’ins-

Le stationnement confié à la STM

Une administration Coderre reverrait également la question du stationnement et des parcomètres. La responsabilité du stationnement pourrait être confiée à la Société de transport de Montréal, a- t- il suggéré.

Les adversaires de M. Coderre avaient déjà dévoilé leurs principaux engagements. M. Coderre a attendu le début of ficiel de la campagne électorale pour présenter les siens.

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Date de publication : 21 septembre 2013Auteur(s) : Jeanne Corriveau

Coderre veut « nettoyer » l’Hôtel de Ville

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At an event in Montreal North on the first day of the municipal election campaign, mayoral candidate Denis Coderre introduced a slate of candidates and election promises, but few platform points.

“I’ve heard the passion of citizens. They want a cleaner city. A city with better infrastructure. … People have told me we need a strong mayor, who is close to the people,” he said.

“It’s Montreal that I’ve served for 16 years, and it’s Montreal that I want to continue to serve,” said Coderre, who spent those years as a Liberal MP before resigning in June to run for mayor.

“Montreal deserves better. Montreal needs a leader. Montreal needs a team who will work for the people and by the people,” Coderre said. “We will set realistic objectives and attain them.”

To monitor public contracts and guard against corruption, Coderre promised to create the position of inspector gene-ral, who would be appointed by council and would be mandated to monitor “everything that goes on at city hall.”

“It will be someone independent and de-politicized,” he said.

He also suggested providing more powers to police to investigate municipal corruption, and said that if elected his team would open the municipal contract tendering process to greater public scrutiny.

“We’ll make everything public. We’ll hide nothing. Not only council, not only the executive committee, but the popula-tion of the city will know,” he said.

If elected, Coderre said he would implement “measures to facilitate the integration of landed immigrants” within the city’s public service. He added that the city would strongly oppose the provincial government’s proposed charter of values.

“Montreal defines itself by its diversity, and that’s why I said no to the charter of values,” he said.

Coderre emphasized the city’s unique position as the province’s largest city and economic centre, and said the city would push for more representation in Quebec City.

“It’s pretty simple. This is not a place like the others. This is the place to be,” he said.

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Date de publication : 21 septembre 2013Auteur(s) : Riley Sparks

Coderre vows to lift veil of secrecy at city hall

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To encourage young families to stay in Montreal, Coderre said he would encourage the construction of more afforda-ble two- and three-bedroom homes. Coderre promised to invest more in public transit, and would put Stationnement Montréal and the Bixi program under the control of the Société de transport Montréal. He said he also planned to pro-vide cellphone service in the métro, outfit city buses with GPS systems to allow riders to track them in real time and to implement “intelligent transportation systems.”

More bus lanes and safer bike lanes would also be a priority, he said. Coderre outlined eight general platform points in a news release sent to media during the event, but a more detailed plan was still being developed. “Not sure. One day,” said a spokeswoman, Isabelle Perreault, when asked when the team’s complete platform would be released.

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Philippe C. Legault, un avocat qui a aidé Denis Coderre dans ses démarches auprès du Directeur général des élec-tions du Québec dans la création de l’Équipe Denis Coderre, en plus de s’occuper de communications du parti dans les premières semaines, a quitté le navire en douce.

Certaines informations ont circulé comme quoi il avait été congédié. Isabelle Perreault, la nouvelle responsable des communications, a démenti nos informations, disant plutôt que Philippe C. Legault est parti «parce qu’il ne pouvait plus se consacrer à 100% au parti pendant la campagne électorale».

Selon elle, M. Legault est parti il y a environ une semaine, «mais il continue à s’impliquer différemment et il appuie tou-jours Denis Coderre». Une autre source, qui a préféré taire son nom, affirme quant à elle que M. Legault n’est plus dans l’entourage du parti depuis deux ou trois semaines, mais que «ça c’est fait de façon tout à fait cordiale».

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Revue de presse | APM

Date de publication : 22 septembre 2013Auteur(s) : Jean-Marc Gilbert

Changement dans la garde rapprochée

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L’ex-député libéral et candidat à la mairie de Montréal Denis Coderre est catégorique. Jamais il n’y a eu d’entente en-tre lui et un ancien dirigeant de la FTQ-Construction, qui l’accuse de ne pas avoir respecté le pacte qu’ils avaient con-clu au sujet de modifications à apporter au régime d’assurance-emploi.

Le Journal rapportait hier la version de l’ancien dirigeant de la FTQ-Construction, Jocelyn Dupuis, qui écrit, dans son livre Syndicalistes ou voyous?, en kiosque aujourd’hui, avoir été floué par Denis Coderre en 2000.

Lors de la campagne électorale fédérale, M. Dupuis se serait entretenu avec Denis Coderre, qui était à l’époque secré-taire d’État, et Alfonso Gagliano, ministre des Travaux publics.

Les deux députés auraient alors marchandé des modifications législatives au régime d’assurance-emploi. En échange, la FTQ-Construction devait annuler une manifestation prévue dans la circonscription de Jean Chrétien.

Selon Jocelyn Dupuis, Coderre et Gagliano n’auraient pas respecté l’entente, déposant le projet de loi sans les modifi-cations en question.

Pas d’entente

Hier, Denis Coderre a réagi aux propos de l’ancien dirigeant de la FTQ-Construction.

«Il n’y a jamais eu d’entente», a-t-il tout simplement dit.

M.Coderre a toutefois laissé entendre que des négociations à ce sujet avaient bel et bien eu lieu.

«Il faut rappeler qu’à l’époque, les différents syndicats revendiquaient des changements profonds au régime de l’assu-rance- emploi, ajoutet-il. Les négociations ont donc été très intenses avec tous les syndicats, incluant la FTQ.»

L’homme politique ne croit pas être responsable des faits que lui reproche Dupuis.

«Dans son livre, il a admis que le projet de loi déposé ne contenait pas les demandes de modifications de la FTQ, ex-prime-t-il. Il est donc malheureux qu’il blâme tout le monde pour tout et ne prenne aucune responsabilité pour ses ac-tes.»

Feuille de route entachée

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Date de publication : 23 septembre 2013Auteur(s) : Marie-Pier Gagné

Denis Coderre nie catégoriquement

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Trois des candidats à la mairie de Montréal se sont dits découragés que Denis Coderre se retrouve une fois de plus dans l’eau chaude à quelques semaines des élections.

«Il doit donner des explications viables, a affirmé Marcel Côté, le chef de Coalition Montréal. C’est la deuxième fois de-puis le début de la campagne que sa feuille de route est entachée. Il ne peut pas rester muet pour une deuxième fois.»

De son côté, Projet Montréal a qualifié de «déplorable » le fait que l’éthique et l’intégrité de M. Coderre soulèvent en-core des doutes.

Mélanie Joly a abondé dans le même sens que ses adversaires, ajoutant qu’il devient de plus en plus difficile d’avoir confiance en Denis Coderre.

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Le candidat à la mairie de Montréal Denis Coderre se retrouve dans l'embarras à la suite de révélations concernant ses liens avec Eddy Brandone qui a déjà frayé avec la mafia et qui a même admis connaître des membres du milieu interlope.  

Les anciens dirigeants de la FTQ-Construction Richard Goyette et Jocelyn Dupuis révèlent dans leur livre, Syndicalis-tes ou voyous?, que Denis Coderre a fait appel à Eddy Brandone pour faciliter une rencontre avec Jocelyn Dupuis en 2000.  

Dans leur livre, les auteurs racontent qu'un soir, vers minuit et demi, Eddy Bradone a téléphoné à Jocelyn Dupuis pour qu'il se rende aussitôt au restaurant Roberto, à Montréal, pour rencontrer Denis Coderre, alors secrétaire d'État, et Al-fonso Gagliano, l'ancien ministre des Travaux publics. Les deux hommes voulaient, semble-t-il, rencontrer Jocelyn Du-puis pour empêcher une manifestation de la FTQ-Construction, prévue dans la circonscription de Jean Chrétien, pour dénoncer la loi sur l'assurance-emploi.  

Selon ce que rapportent les auteurs, Denis Coderre et Alfonso Gagliano auraient alors marchandé avec Jocelyn Du-puis des modifications à la loi si la FTQ-Construction s'abstenait de manifester, ce qui a été le cas.  

Avare de commentaires  

Lorsque Le Devoir a tenté de joindre Denis Coderre pour connaître sa version des faits, son attaché de presse nous a fait parvenir uniquement ce commentaire. " Il faut rappeler qu'à l'époque, les différents syndicats revendiquaient des changements profonds au régime de l'assurance-emploi. Les négociations ont donc été très intenses avec tous les syndicats, y compris la FTQ. Cela dit, je confirme qu'il n'y a jamais eu d'entente. D'ailleurs, Richard Goyette admet que le projet de loi déposé ne contenait pas les demandes de modifications de la FTQ. Il est malheureux que M. Du-puis et M. Goyette, pour vendre leur livre, blâment tout le monde pour tout et ne prennent aucune responsabilité pour leurs actes ", a seulement fait savoir M. Coderre.  

Trafic d'influence?  

Il a donc été impossible de savoir si les révélations de Jocelyn Dupuis et de Richard Goyette sont véridiques, s'il a ef-fectivement fait appel à Eddy Brandone et s'il connaissait le passé trouble de cet homme.  

Le chef de Coalition Montréal, Marcel Côté, croit que Denis Coderre se doit de donner des explications. " Denis Co-derre est accusé, à tort ou à raison, de tentative de trafic d'influence. M. Coderre doit répondre. C'est la deuxième fois

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Date de publication : 23 septembre 2013Auteur(s) : Mélanie Loisel

Coderre sommé de s'expliquer sur ses liens avec Eddy Brandone

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pendant la campagne que sa feuille de route serait entachée. Il ne peut pas rester muet pour une deuxième fois ", af-firme M. Côté.  

Les révélations de Jocelyn Dupuis et de Richard Goyette risquent de perturber la campagne électorale de Denis Co-derre à la mairie de Montréal. Selon leurs dires, le Parti libéral du Canada, dont faisait partie M. Coderre, avait annon-cé des modifications à la loi sur l'assurance-emploi, comme cela avait été convenu avec la FTQ-Construction en 2000, mais, au bout du compte, les libéraux ont déposé un projet de loi sans les modifications. " Nous avons été manipulés et dupés par Coderre et Gagliano ", écrit M. Goyette. " Comment peux-tu avoir confiance en un politicien qui te fait ça ", demande pour sa part M. Dupuis.

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Projet Montréal affirme s’être fait voler des pancartes installées sur l’avenue Monkland, dans l’arrondissement Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce

À peine la campagne est-elle lancée que des chicanes s’amorcent pour l’affichage des pancartes électorales, à Mont-réal.

«On avait installé nos pancartes dans la nuit de jeudi à vendredi et, dans la journée de vendredi, on s’est aperçu qu’el-les n’étaient plus là et que c’était celles de Marcel Côté qui étaient à leur place», affirme Catherine Maurice, attachée de presse de Richard Bergeron.

Fausses suppositions

L’équipe de Marcel Côté se défend vigoureusement d’avoir ôté les affiches de Projet Montréal. «Il n’y avait pas de pan-cartes de l’équipe de Projet Montréal à partir de la rue Havard en allant jusqu’au métro Villa Maria, sur Monkland», af-firme Olivier Lapierre, attaché de presse de Marcel Côté.

«On a mis nos pancartes sur ce tronçon parce que, de l’autre côté de Harvard (vers l’ouest), tous les poteaux sur Monkland étaient saturés d’affiches de Projet Montréal», avance M. Lapierre, qui ajoute que certaines pancartes de Coalition Montréal ont aussi disparu ailleurs à Montréal.

Pas de pancartes pour Coderre

Le parti Équipe Coderre n’a encore installé aucune pancarte. «M. Coderre a été sur le terrain tout l’été et il a été sensi-bilisé aux préoccupations des citoyens qui considèrent que les pancartes sont

Impossible de savoir si le parti compte en installer dans les prochains jours. «On ne fera pas de stratégie ouverte. S’il y a des pancartes, il y en aura très peu», s’est limitée à dire Mme Perreault.

Le parti Le Vrai changement pour Montréal de Mélanie Joly a installé quelque 700 à 800 pancartes à ce jour, principale-ment dans les circonscriptions centrales et les grandes artères. «On en posera 200 à 300 autres dans les prochains jours», affirme l’attaché de presse Frédéric Lepage.

Aucun des partis n’a voulu dévoiler le budget consacré à l’affichage électoral.

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Date de publication : 23 septembre 2013Auteur(s) : Nancy Beaulieu

Guerre de l’affichage à Montréal

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After months of silence, former Montreal city councillor Marcel Tremblay spoke to The Gazette last week and offered his views on a range of topics, including his interrogation by Quebec’s permanent anti-corruption squad and the arrest of his colleague and friend, former Montreal mayor Michael Applebaum, in June on corruption and fraud charges.

Tremblay also revealed that a businessman in the Côte-des-Neiges–NotreDame-de-Grâce borough, where he and Ap-plebaum were elected, organized three — not two, as has been acknowledged before — political fundraisers for their Union Montreal party at La Cantina, a restaurant frequented by members of the Mafia. And for the first time, Tremblay drew a connection between those fundraisers and Union Montreal, saying party officials approved and controlled the sale of tickets to the events. On his integrity and his former N.D.G. electoral district:

“I worked so hard for that area. I was never associated with any wrongdoing, if there was any. And I can assure you that my objective was to make a real neighbourhood. This neighbourhood is changed, and it’s because our administra-tion did it and not any other (administration).” On Michael Applebaum’s arrest on June 17:

Tremblay says he was “excessively traumatized.”

“Michael is a great friend. It hurts so much.

“Michael Applebaum in 10 years succeeded in doing in this borough what it normally would have taken 25 years to do at the city. He succeeded in doing extraordinary things.

“In politics, anyone can wake up one morning and say anything against anyone.” On Antonio Magi, a developer in N.D.G. with alleged ties to members of the Montreal Mafia:

“Mr. Magi was someone with an office on Upper Lachine (a street in Tremblay’s electoral district). ... I crossed paths with Magi once, maybe twice, in all my time. I had no relationship with him because in reality he didn’t need me. It’s not complicated. When someone has a project, he takes it to the borough. He presents himself to the urbanplanning department. They do their work. It’s after that it goes to the CCU (borough urban-planning committee). If it’s accepted or not accepted, etc., etc. Corrections are made. And after it’s presented to us, the borough council. If (the project is handled) well by the civil servants, we endorse it. That’s it, that’s all.” On the political fundraisers organized by N.D.G. businessman Lee Lalli at La Cantina:

Tremblay said he recalls a $1,000-a-head fundraiser for Union Montreal that Lalli organized at the restaurant in 2003, and another one for Applebaum’s campaign in 2009 that Lalli told The Gazette in March he sold tickets to but moved

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Date de publication : 23 septembre 2013Auteur(s) : Linda Gyulai

‘I was never associated with any wrongdoing’

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at the last minute to a boardroom in his N.D.G. office building when the restaurant’s owner, Federico Del Peschio, was shot and killed in the parking lot of the establishment a week before the event.

Tremblay said there was in fact a third fundraiser at La Cantina organized by Lalli before the November 2001 election that brought the party to power.

“We went, before being elected, to a first fundraiser because at that point Mr. Lalli had taken a position in favour of the Tremblay team. He had put up campaign posters on his property. And on the other side of the street, Magi was in fa-vour of (mayoral rival Pierre) Bourque. He had put up campaign posters.

“Do you think we, the elected officials, knew we were going to a restaurant that seems was owned by someone who belonged to the underworld? I can tell you, no.”

Tremblay insists his brother Gérald Tremblay didn’t attend the second fundraiser at La Cantina in 2003, contrary to some news reports. Marcel Tremblay says he went in his brother’s stead.

“I was invited everywhere to have a presence because happily, and unhappily sometimes, I was the brother of the mayor of Montreal. What do you want? We’re from the same family. So they found that when Gérald couldn’t go, they’d send Marcel.”

Lalli organized the events, Tremblay said, “with the agreement of the party. Because when there are tickets given for a fundraiser, these tickets are made by the party. The party controls the tickets to be able to recover the money accor-ding to the number of tickets. That’s how it works.” On being interrogated by Quebec’s permanent anticorruption squad, UPAC, early in 2013:

“When UPAC meets with you, they have all kinds of subjects to talk about. You (The Gazette) just enumerated some of them. The meeting ... it’s private. They themselves prefer that we don’t talk about it.” On being “let go” by the Côte-des-Neiges–N.D.G. borough in July:

“If you speak to employees and citizens, they were very happy with the work I did. I have a bit of a problem with my health, so it’s preferable if I don’t go through stress for nothing. So it was preferable that I leave. I took it just like that.”

Interim borough mayor Lionel Perez said through an aide that Tremblay was “let go” to calm the atmosphere in the bo-rough. Tremblay’s response: “It’s his interpretation. It’s unfortunate. But we had a very good time together. I hold no grudge. I was very happy to be able to support the borough again for a while.”

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