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Visites d’étables
REVUE DE PRESSE 2018
Secrétariat romand:
Agence d’information agricole romande AGIR
Avenue des Jordils 3
1006 Lausanne
Tél. 021 613 11 31 – Fax 021 613 11 30
[email protected] - agirinfo.com
1
Sommaire
10.01.2018 La Région Nord vaudois
En quelques mots
30.01.2018 La Côte
Et si on buvait du lait d'ici?
09.02.2018 L'Echo du Gros-de-Vaud
Bienvenue aux nouvelles familles paysannes
16.02.2018 Agri
Johann Läderach : de nouvelles perspectives
23.02.2018 Agri
En direct de l’USP
01.03.2018 Suisseporcs information
Ouvrir les yeux des consommateurs en ouvrant ses portes
15.03.2018 UFA-Revue / édition française
Attirer l'attention des consommateurs par une attitude positive
20.03.2018 Aviculture Suisse
La page des producteurs d'œufs
20.03.2018 Aviculture Suisse
Qualité - Respect - Transparence: visiteurs bienvenus
07.04.2018 Bio Actualités
Ouvrir les étables à la population
10.04.2018 La Côte
Les fermes s'ouvrent au public
17.04.2018 ufarevue.ch/fra / UFA Revue Online fr
Lancement de la saison 2018/19
20.04.2018 Lidl Actuel
Bienvenue à la ferme !
27.04.2018 Agri
Trop fort: la Journée du Lait Suisse
04.2018 Courrier des Bêtes / PSA
Un instant de détente pour pouvoir mieux comparer
04.2018 UFA-Revue / édition française
Visites d’étables 2018
07.05.2018 UFA-Revue / édition française
Visites d'étables
2
22.06.2018 La Région Nord Vaudois
Une matinée avec les animaux de la ferme
06.07.2018 Agri
Les agriculteurs mis au premier plan dans la nouvelle campagne de l’USP
23.07.2018 arcinfo.ch / Express/Impartial Online
Agriculture: les paysans romands ont aussi droit à leurs clips vidéo
(+) lacote.ch / La Côte Online (+) lenouvelliste.ch / Le Nouvelliste Online
07.2018 Brunch Magazine
« Chez Bérangère » à Charrat VS - Une invitation à la découverte
30.10.2018 ufarevue.ch/fra / UFA Revue Online fr
Journée «Portes ouvertes à la ferme»
02.11.2018 Agri
Inscrivez-vous pour les Portes ouvertes à la ferme du 2 juin 2019
12.2018 Landi Contact
Produits du terroir et vie à la ferme
12.2018 Chambre d’agriculture du Jura bernois Infos
Portes ouvertes à la ferme
Date: 10.01.2018
La Région Nord vaudois1401 Yverdon-les-Bains024/ 424 11 55www.laregion.ch
Genre de média: Médias imprimésType de média: Presse journ./hebd.Tirage: 4'085Parution: 4x/semaine N° de thème: 540.012
Ordre: 1085158Page: 9Surface: 7'013 mm²
Référence: 68069956
ARGUS DATA INSIGHTS® Schweiz AG | Rüdigerstrasse 15, case postale, 8027 ZurichT +41 44 388 82 00 | E [email protected] | www.argusdatainsights.ch
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En quelques mots
La 22e édition de Swiss Expoouvre ses portes aujourd'huià Beaulieu Lausanne. Le cloudu spectacle sera constituépar les quelque mille vaches etgénisses qui défileront sur lering jusqu'au 13 janvier, ainsique par l'épreuve réservée auxjeunes éleveurs, dès io ans.Mais le public est aussi invité àdécouvrir de nombreux stands,dont celui d'Agri, de l'Agenced'information agricole romandeet de l'Association des grou-pements et organisations ro-mands de l'agriculture. Il pourray regarder, pour la première foisen Suisse romande, le reportagetourné sur l'exploitation de laThomas Gerber, à Vuarrens. Unmodule qui fait partie de la nou-velle exposition thématique del'Union suisse des paysans «Del'herbe au lait». (COM.)
Kâthy et Thomas Gerber, de Vuar-rens, qui ontfait l'objet d'un repor-tage, ouvrent aussi leur portes lorsde «Visites d'étables». DR
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Date: 30.01.2018
La Côte1260 Nyon 1022/ 994 41 11www.lacote.ch
Genre de média: Médias imprimésType de média: Presse journ./hebd.Tirage: 8'041Parution: 5x/semaine N° de thème: 540.012
Ordre: 1085158Page: 12Surface: 68'033 mm²
Référence: 68323273
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vente dirtA Bassins, Sonia et Liliane Treboux ont investi dans un automate qui distribue du lait cru, frais du jour, à toute heure de la journée_CÉDRIC SANDO7
Et si on buvait du lait d Io?CLÉMENTINE ALEIXENDRI
dementine.aleixendrielacote.ch
AGRICULTURE
Les initiatives visantà promouvoir le lait localse multiplient. Mais leconsommateur est-il prêt?
Troquer sa brique de lait upéri-sé contre une bouteille de laitcru, fraîchement tiré, qui fleurebon la nature et le terroir. Unscénario réaliste? C'est en toutcas le souhait des producteursde lait, mis à mal par la dispari-tion des laiteries et la chute duprix du lait vendu aux industries
(de 78 centimes le litre en 2000à 53 centimes en 2017), au pointde mettre, de plus en plus, la clésous la porte.Pour sortir de ce marasme, de
nombreuses initiatives visant à(re)valoriser le lait local voient lejour. Dernière en date, l'opéra-tion «Lait solidaire, 100% local»lancée début janvier par le maga-zine romand «Terre & Nature» àl'occasion de son 120e anniver-saire (lire encadré). Objectif: as-surer un revenu équitable auxproducteurs et promouvoir laconsommation d'un produit deproximité, frais, goûteux, riche
en vitamines et en minéraux.Un concept intéressantA Bassins, les soeurs Liliane et
Sonia Treboux furent parmi lespremières à s'affranchir des cir-cuits commerciaux convention-nels en investissant en 2009dans un automate à lait qui distri-bue à coup de décilitres ou de li-tres, du lait cru, frais du jour, enbouteilles ou en gobelets. «j'enavais vu en Suisse alémanique et jetrouvais le concept intéressant, ex-plique Liliane Treboux. C'étaitune manière d'écouler notre lait àun prix raisonnable, pour nouscomme pour le consommateur.»
imite dirt
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Date: 30.01.2018
La Côte1260 Nyon 1022/ 994 41 11www.lacote.ch
Genre de média: Médias imprimésType de média: Presse journ./hebd.Tirage: 8'041Parution: 5x/semaine N° de thème: 540.012
Ordre: 1085158Page: 12Surface: 68'033 mm²
Référence: 68323273
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Soit 1 franc 50 le litre, légère-ment en-deçà du prix des bri-ques vendues en supermarché.
L'investissement est impor-tant, 10 000 francs la machine,pour des ventes qui peinent à dé-coller. «Nous avions tablé sur 30 à40 litres par jour pour pouvoir dé-gager une plus-value mais noussommes à moins de la moitié»,constate à regret l'agricultrice de57 ans. Raison de cette déroute?«Les consommateurs craignentprobablement que ce lait frais, quiest un produit vivant, ne se dé-grade trop rapidement. Il est doncplus facile pour eux d'acheter ausupermarché dix litres de lait upé-risé qui se conserve plusieurs moisà la cave plutôt qu'un litre de laitcru qui devra être réfrigéré et con-sommé dans les cinq jours.»
Alors pourquoi continuer?«Même s'il y a des frais d'entretien,cette machine est increvable, as-sure Liliane Treboux. Et qui sait,peut-être que le lait cru aura da-vantage de succès dans les annéesà venir?» Car il y a lait et lait.«Pour nous, le lait standardisévendu en brique est tout simple-ment imbuvable, lâche-t-elle sansambages. C'est comme comparerune confiture aux fraises du jardinet une confiture industrielle.»
Retour aux sourcesMais le consommateur est-il
vraiment prêt à renouer avec legoût franc du lait sorti tout droitdu pis? Oui, à en croire HadrienL'Hoste, qui a fondé la microlaite-rie de Cossonay en juin dernieret qui a vu son nombre de clientsdoubler en sept mois. «Les gensapprécient l'idée de consommer unproduit brut, local, qui assure unrevenu décent au producteur»,avance le jeune entrepreneur de26 ans. L'enthousiasme est le
même du côté de StéphanieBaumgartner, à Gland, qui aopté, elle, pour la vente directe àla ferme depuis juillet 2016. «A labase, nous voulions continuer à o f -f r i r du lait cru aux clients d e l 'an-cienne laiterie de Gland. Finale-ment, notre initiative a attiré uneclientèle bien plus large qui nousachète quelque 270 litres de lait
par semaine», se réjouit l'agricul-trice, qui confie toutefois ne déga-ger aucun salaire de cette activité.«C'est beaucoup de boulot. Maisnous continuons pour faire plaisir ànos clients qui aspirent à un retouraux sources.»
C'est aussi ce qui motive Frédé-ric Gallay, agriculteur à Tannay,qui pratique la vente directe de-puis déjà deux décennies. «Nousvoyons passer des clients qui bu-vaient notre lait quand ils étaientpetits. Ou d'autres, comme les ex-patriés, qui avaient l'habitude deboire ou de cuisiner du lait crudans leur pays. On ne s'enrichitpas, mais on leur fait plaisir et on lessensibilise aux enjeux de notre mé-tier. Au final, chacun y trouve soncompte.»
PROJET SOLIDAIRESensible aux difficultés rencontréespar les producteurs de lait, le maga-zine «Terre&Nature» offre depuispeu la possibilité de se procurer unebouteille en verre réutilisable et du-rable vendue 10 francs l'unité (7 fr.pour les abonnés du magazine) surson site internet. Le but: permettreaux consommateurs de s'approvi-sionner en lait chez les paysans, lai-
tiers et épiciers de Suisse romanderéalisant de la vente directe. Les bé-néfices réalisés serviront à financerune plateforme digitale équipéed'une carte interactive géolocalisantles producteurs et points de ventepartenaires de l'opération. Plus
d'infos: vvvvw.terrenature.ch/lait/
OÙ ACHETER DU LAIT LOCAL
BASSINS Automate à lait de la familleTreboux, rue de l'Eglise 1(022 366 33 92).NYON Automate à lait de la familleBaumgartner, Chemin de Bois-Bougy 4,(022 361 34 52).
GLAND Vente de lait (sur commande) àla ferme de la famille Baumgartner,Domaine des Avouillons 101(022 364 25 16).
TANNAY Vente de lait à la ferme deFrédéric Gallay, chemin des Moulins 31(022 776 2748).GIVRINS Vente de lait à la ferme deMarc Prélaz, route de Duillier 2(022 369 35 08).
COSSONAY Vente de lait surabonnement à la microlaiterie d'HadrienL'Hoste, rue des Bons-Enfants(079 262 28 48).COTTENS Laiterie-fromageriede Cottens, route de Grancy 2(021 800 55 65)LA CHAUX Fromagerie de la Chaux,route de Cuarnens 2(021 861 14 97)
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Datum: 09.02.2018
L'Echo du Gros-de-Vaud1040 Echallens021/ 881 50 36
Medienart: PrintMedientyp: Tages- und WochenpresseAuflage: 3'272Erscheinungsweise: 47x jährlich Themen-Nr.: 562.003
Auftrag: 563016Seite: 3Fläche: 14'298 mm²
Referenz: 68477551
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AGRICULTURE
Bienvenue aux nouvelles familles paysannes!Offrir à la population un contact direct et authentique avec
le monde agricole, voilà l'objectif de Visites d'étables et desquelque 300 exploitations participant à ce programme. Et lesnouvelles familles paysannes prêtes à ouvrir leur porte auxvisiteurs sont les bienvenues!
Alors que les gens s'intéressent plus que jamais à la provenancede leurs aliments, seul un petit nombre de personnes a encoreun lien direct avec l'agriculture. Pour recréer ce dialogue entreproducteurs et consommateurs, Visites d'étables est en premièreligne. Avec succès, puisque plus de 100'000 personnes ontprofité chaque année de cette opportunité depuis plus de 10 ans.En permettant à tout le monde de visiter une étable -à conditionde respecter évidemment les heures d'ouverture et les règles decomportement - l'agriculture suisse fait preuve de transparence
et montre comment les animaux de rente sont détenus dansnotre pays.
Qui peut participer? Le concept Visites d'étables s'adresse àtoutes les familles paysannes qui partagent avec plaisir leur passionde l'agriculture à plein-temps, à titre accessoire ou en activitésaisonnière. Les exploitations participant au programme doiventremplir les exigences des PER (prestations écologiques requises)et naturellement détenir des animaux de rente. La propreté et lasécurité des lieux jouent également un rôle important.
Intéressé(e)s? Les familles paysannes intéressées sont invitées às'inscrire sur visitesdetables.ch ou directement auprès de l'Agenced'information agricole romande (AGIR). La saison débute lors dela Journée du lait, le samedi 21 avril 2018 et dure toute l'année.
AGIR
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Vendredi 16 février 2018C’est la vie32
JOHANN LÄDERACH
De nouvelles perspectivesMartine Romanens
Avec sa famille, Johann Läderach élève ses premières séries de poulets SST dans sa halle à Oleyres, sur la commune de Domdidier (FR). Un choix délicat et exigeant, en particulier au démarrage, que l’agriculteur a fait pour ne pas avoir à sacrifier une branche de son exploitation.
«Les heures de travail sont correctement payées et l’hiver, je travaille à l’abri. On n’y
pense pas, mais c’est psychologiquement im-portant.» Johann Läderach est un homme satis-fait. Sa halle flambant neuve, construite pour engraisser des poulets pour la Maison Frifag Märwil AG (TG), vient d’accueillir une nouvelle série de 20 600 poulets SST. A l’intérieur, des poussins de huit jours s’alimentent calmement. Tout est réglé comme du papier à musique. L’ordinateur central pilote toute l’installation, jusqu’aux récupérateurs de chaleur qui per-mettent une économie substantielle de gaz. A ce stade, les bêtes sont maintenues à une température de 30°C qui descendra jour après jour.
Les poussins sont fragiles, un petit ennui technique peut vite avoir de lourdes conséquences
«Le gros avantage avec les poulets, c’est que le travail de la halle est planifiable. Nous connaissons avec précision les dates de départ et d’arrivée des animaux.» Avec l’aide de son épouse, Alexandra, il lui faudra en moyenne deux bonnes heures pour faire le tour quotidien des tâches à effectuer. Les débuts de série né-cessitent un peu plus de passages. Les poussins sont fragiles, il faut veiller au bon démarrage. Un petit ennui technique peut vite avoir de lourdes conséquences. «Nous comptons, en principe, environ 2 à 3% de pertes», précise Johann. Un taux de mortalité très bas, qu’un simple poulailler de ferme peut difficilement atteindre.
A l’origine, plutôt intéressé par la vache lai-tière – son travail de fin de diplôme portait sur la pâture intégrale et le vêlage saisonnier – Jo-hann s’est tourné vers le poulet pour ne pas avoir à sacrifier une branche de son exploita-tion. Entre le tabac, les grandes cultures, ses trente taureaux à l’engrais et les vaches, la halle convenait parfaitement. Le surplus de fumier? Moyennant des contrats de reprise, il est valo-risé, notamment par le biais du biogaz.
Si les deux époux sont déjà formés ad hoc – lui a sa maîtrise et elle son brevet – ils ont suivi en couple le module de production de viande de volaille donné par Aviforum à Zolli-kofen. L’investissement fut de taille. Ainsi est-il encore trop tôt pour parler à nouveau de pro-
jets, du moins en ce qui concerne l’exploitation. Les Läderach viennent cependant d’engager une collaboratrice capable de les seconder «Voilà nos perspectives prochaines: nous offrir un peu de souplesse.»
Mis à l’épreuve de façon peu ordinaire en été 2017, les pompiers de la Broye peuvent compter sur Johann dans leurs rangs. Capitaine, mais aussi engagé dans la formation «protection res-piratoire» et «conduite», il consacre environ une soirée hebdomadaire à sa passion. Attiré par la technique, il s’amuse sur une imprimante 3D, qu’il a construite lui-même. «J’ai commandé les pièces à gauche et à droite et découpé un châs-sis en bois. On ne se rend pas compte quel potentiel ces imprimantes ont. J’ai «imprimé» de petites pièces comme des boutons pour les robinets, un bouchon pour la machine à laver la vaisselle et d’autres pièces pour des ma-chines ou des jouets pour les enfants.»
Johann se sent bien avec la technique de son temps, particulièrement dans son travail agricole
Imprimante 3D, nouvelles technologies – il a aussi construit plusieurs multirotors – Johann se sent bien avec la technique de son temps, particulièrement dans son travail agricole. «J’ai vu l’impact positif du semis direct sur les sols.»
Installés dans la salle de visite de la nouvelle halle, nous n’avons pas vu le temps passer. Les enfants piaillent. C’est l’heure de se quitter. Comme toujours, le portrait ne sera qu’un reflet partiel d’un producteur motivé à la tête d’une ferme diversifiée dont il est forcément impos-sible de saisir l’intégralité.
La famille Läderach: «Nous sommes maintenant moins sous pression». PHOTOS: M. ROMANENS ET JOHANN LÄDERACH
3 questionsUne bonne fée vous offre sa baguette magique, comment l’utilisez-vous?J’offrirais de la connaissance à la population pour que les gens sachent comment les produits agricoles sont réellement produits en Suisse et pourquoi. Entre les images de «Heidi Land» diffusées par les distributeurs et les calomnies que tentent de faire passer certains groupuscules extrémistes, les citadins qui n’ont plus de contacts directs avec l’agriculture sont perdus. Cela nous est très néfaste!
La production agricole devra nourrir toujours plus d’humains. Comment vous situez-vous face à ce défi?La viande de poulet est à mon sens une viande écologique parce qu’elle se produit rapidement en grande quantité avec relativement peu de ressources. De manière générale, un pays importateur de denrées alimentaires comme la Suisse doit se donner les moyens de maintenir une production agricole locale forte et productive.
Quelles sont vos priorités pour la suite?Il faudra d’abord consolider l’investissement de la halle. Nous avions étudié la possibilité de poser des panneaux photovoltaïques sur son toit. Avec les conditions de rétribution, ce n’était pas envisageable. Nous allons cependant poser une installation partielle pour nos propres besoins.
Dates clés2006 Obtention de la maîtrise agricole, après avoir effectué son apprentissage en Suisse allemande durant deux ans, mais aussi en France pendant six mois pour parfaire ses connaissances.
2007 Mariage avec Alexandra et naissance, en 2008, de Quentin, puis de Théo et Luka qui ont vu le jour à un intervalle de deux ans chacun.
2010 L’exploitation crée son offre agritouristique avec L’Ecole à la ferme notamment ainsi que les visites d’étable. Anniversaires et tours à poney font partie du panel de propositions.
2015 Reprise complète de l’exploitation avec son père qui l’aide encore. L’entreprise forme aussi un apprenti et engage du personnel saisonnier, notamment pour le tabac.
2016 Construction de la halle à poulets. Celleci accueille des volailles SST.
Des animaux de boucherieSWISS BLACK ANGUS
021 614 04 72www.ipsuisse.ch
Génisses et bœufs
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La ferme d’Oleyres, sur la commune de Domdidier (FR), vue du ciel par un drone. La halle a été construite pour l’engrais-sement des poulets pour la Maisin Frifag Märvill AG.
La halle est vidée en deux temps, une fois à 31-32 jours, une fois à 34-39 jours. Toute l’installation est pilotée par un ordinateur central.
Une telle photo prise sans le flash donnerait un cliché gris très différent de la réalité. C’est ainsi que sont prises les photos des détracteurs.
Datum: 23.02.2018
Agri1001 Lausanne021/ 613 06 46www.agrihebdo.ch
Medienart: PrintMedientyp: FachpresseAuflage: 9'666Erscheinungsweise: wöchentlich Themen-Nr.: 562.003
Auftrag: 563016Seite: 11Fläche: 26'258 mm²
Referenz: 68619085
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DÉFENSE PROFESSIONNELLE
En direct de l'USPunion suissedes paysans
Rencontre au sommet avecla Migros: la rencontre régu-lière entre les dirigeants del'USP et de la Migros a eu pourla première fois lieu en com-pagnie du nouveau présidentde la direction générale Fa-brice Zumbrunnen. La situa-tion et les principaux défis surles différents marchés étaientévidemment à l'ordre du jourtout comme les différentes ini-tiatives populaires en lienavec l'agriculture, la Vue d'en-semble du 1er novembre et laproblématique du tourismed'achat.
Groupe de travail «Visited'étables»: «Visite d'étables»,
qui est l'un des projets de lacampagne d'images «Prochesde vous. Les paysans suisses»,permet aux consommateursde découvrir les «coulisses»d'environ 300 fermes de tout lepays. Le groupe de travail s'estréuni pour la première foiscette année afin de faire lepoint sur les activités 2018. Ils'est notamment agi d'analyserles formulaires de satisfactiondes visiteurs, de discuter de lanouvelle brochure, de prépa-rer le lancement officiel de lasaison 2018 à l'occasion de laJournée du lait (21 avril pro-chain) et de réfléchir aux nou-velles mesures promotion-nelles possibles. Statistique
de la semaineDurant l'année 2016, quel-
Les visites d'étables permettent de découvrir les animauxde la ferme sous un autre angle.
que 62% des céréales pani-fiables ont été produites enextenso, soit sans insectici-de, fongicide ni régulateur decroissance.
Note de la semaineVous souhaitez savoir ce qui
se fait au secrétariat de l'USP?Alors suivez-nous et abonnez-vous à notre page Facebook«Schweizer Bauernverband -Union suisse des paysans».Vous serez alors directementinformés des événements,cours, projets et autres théma-tiques en lien avec l'agricul-ture. Nous nous réjouissonsde vous permettre ainsi d'avoirun oeil de l'autre côté du ri-deau et que vous y participiezgrâce à vos commentaires etmessages. USP-AGORA
PMI
Rapport Page: 5/29
Datum: 01.03.2018
Suisseporcs - Information6204 Sempach041/ 462 65 90www.suisseporcs.ch
Medienart: PrintMedientyp: FachpresseAuflage: 4'100Erscheinungsweise: monatlich Themen-Nr.: 562.003
Auftrag: 563016Seite: 14Fläche: 77'509 mm²
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Aline Gerber, LID
Mit offenen Türen die Augender Konsumenten öffnenDie Familie Meyer aus Willisau ist eine von über 300 Bauernfamilien, die
zum Besuch auf den Hof einladen. Mit dem Projekt «Stallvisite» geben sie
den Besuchern die Möglichkeit, die Herkunft der Nahrungsmittel zu ent-
decken und Neues über das Zuhause von Schwein & Co. zu erfahren.Seit über 10 Jahren offene Türen Tiere Bescheid wissen. Viele staunen zum
Auf dem Hof von Kathrin und Vinzenz Beispiel über die Grösse der ausgewachse-Meyer darf man das ganze Jahr über vor- nen Sauen. Kein Wunder, denn in den Me-
beischauen und in die Welt des Bauernhofseintauchen. Dabei können die Besucher zuden vorgegebenen Zeiten die Mutterküheim Stall oder auf der Weide besuchen unddie Zuchtschweine im Auslauf beobach-ten. Auf Anfrage dürfen Besucher sogarVinzenz in den Schweinestall begleiten, wo
sich die Muttersauen mit den Ferkeln auf-halten.
«Wir schätzen den Kontakt zu den Kon-sumenten»
Kathrin und Vinzenz ist es wichtig, dassdie Leute wissen, wie und was auf ihrem Hof
produziert wird. Die Besucher können direkt
Fragen stellen und sich die Arbeiten und
den Umgang mit den Tieren erklären lassen.
Die Familie schätzt den Kontakt zu den Kon-
sumenten und bestätigt, dass so ein gegen-seitiges Vertrauen aufgebaut werden kann.
Fleisch bekommt eine GeschichteMit der «Stallvisite» und «Schule auf demBauernhof» erlebt die Familie Meyer, dassdie alltäglichen Arbeiten auf dem Hof fürdie Besucher spannende Geschichten fürGross und Klein sind. Den Besuchern wirdbewusst, was es bedeutet Tiere zu haltenund was auf dem Weg bis zum gefülltenTeller passiert. Meyer's stellen immer wie-der fest, wie wenig die Leute noch über die
dien sind ja oft nur die «härzigen» Ferkeloder Jager zu sehen. Oder die Gäste sindpositiv überrascht über das viele Stroh in den
Buchten oder den Auslauf, da in den Köpfen
Bilder von schmutzigen und eingesperrtenTieren schwirren. Sicher gibtes auch Gäste,
die beim Eintritt in den Schweinestall dieNase rümpfen, aber auch das ist Realitätund kein Hindernis, findet Kathrin.Transparenz statt TabuDa gerade bei der Schweinehaltung dieHygienevorschriften einen streng kontrol-lierten Zugang voraussetzten, ist es umsowichtiger, Offenheit zu zeigen und aufFragen einzugehen. Durch das Übernach-tungsangebot auf dem Hof Wellsberg, istes den Gästen und Schulklassen möglich,bei der Fütterung morgens und abends da-
bei zu sein. Da werden sogar Morgenmuf-fel zu Frühaufsteher, wenn es darum geht
den schweren Mist herumzustossen. Dennzu guter Letzt lockt das Streicheln der Fer-kel. Vinzenz ist der Meinung, dass wir mitdieser Offenheit dazu beitragen können,dass die Leute Vorurteile relativieren oderauch Ansichten ändern können.Betriebe gesuchtMit dem Projekt «Stallvisite» schaffen dieBauernfamilien Brücken zwischen Konsu-menten und Produzenten. Denn immer
Datum: 01.03.2018
Suisseporcs - Information6204 Sempach041/ 462 65 90www.suisseporcs.ch
Medienart: PrintMedientyp: FachpresseAuflage: 4'100Erscheinungsweise: monatlich Themen-Nr.: 562.003
Auftrag: 563016Seite: 14Fläche: 77'509 mm²
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weniger Konsumenten haben einen direk-ten Bezug zur Landwirtschaft. Mit Öffent-lichkeitsarbeit tragen wir alle für ein posi-tives Image derSchweizer Schweinebranche
bei.Interessiert an der Stallvisite?Dann melden Sie sich an unter www.stallvisite.ch. Bei Fragen steht der Landwirt-
schaftliche Informationsdienst LID gernezur Verfügung. 1Kontakt:LID, Weststrasse 10
3000 Bern 6031 359 59 [email protected]
WILLKOMMEN
stallvisite.ch
Ouvrir les yeux des consommateurs en ouvrant ses portesLa famille Meyer de Willisau est une des
quelques 300 familles paysannes ouvrantles portes de ses dtables aux visiteurs. Avec
le projet «Visite d'dtables» ils donnent au
public la possibilitd de ddcouvrir l'originedes denrdes alimentaires et des faits intd-ressants sur l'habitat des porcs & Cie.
Portes ouvertes depuis plus de 10 ansSur I'exploitation de Kathrin et Vinzenz
Meyer, il est possible de jeter un ceil ä tout
moment de l'annäe et de plonger ainsi dansl'univers de la ferme. Aux horaires indiquäs,
peut 'etre rendu visite aux vaches märes ä
Pätable ou dans les präs et les porcs d'ae-
vage peuvent etre observäs dans leur aire de
sortie. Sur demande, les visiteurs ontla possibilitä d'accompagner Vinzenz la
porcherie oü les truies märes säjournent
avec leurs porcelets.
«Nous apprecions le contact avec lesconsommateurs»Pour Kathrin et Vinzenz, il est important que
WILLKOMMEN
stallvisite.ch
Datum: 01.03.2018
Suisseporcs - Information6204 Sempach041/ 462 65 90www.suisseporcs.ch
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le public sache ce qui est produit sur leurferme et de quelle maniere. Les visiteurs
peuvent poser des questions directes et se
faire expliquer le travail effectue et la ma-niere de s'occuper des animaux. La famille
apprecie le contact avec les consommateurset confirme que de cette maniere uneconfiance mutuelle peut etre instauree.
La viande, toute une histoireAvec les «Visites d'etables» et l'«Ecole ä la
ferme», c'est l'occasion pour la familleMeyer de realiser que le reit de leur travail
quotidien sur la ferme suscite un reel inter&de la part de leurs visiteurs, petits et grands.
Les visiteurs sont alors conscients de ce que
signifie le fait de detenir un animal et du
chemin parcouru jusqu'ä ce que leur nourri-ture arrive dans leur assiette. La famille
Meyer fait regulierement le constat que peu
de personnes encore ont de reelles connais-
sances au sujet des animaux. Beaucoup de
visiteurs s'etonnent de la taille des truiesadultes. Rien d'etonnant ä cela, an ne voitquasiment dans les medias que de «mignons»
porcelets ou gorets. Ou les visiteurs sont
surpris positivement de la couche de paille
dans les boxes ou de l'existence d'aires de
sortie car ils ont en täte les images d'animaux
sales et enfermes. II y a certainement egale-
ment des visiteurs qui font la grimace gänespar l'odeur en entrant dans les porcheries
mais il s'agit de la realite et cela n'est pasun obstacle, selon Kathrin.
Transparence ä la place du tabou
Du fait qu'en detention porcine les condi-
tions d'hygiene exigent un acces stricte-ment contröle, il est encore plus importantde montrer son ouverture et de repondre
aux questions. Avec la possibilite d'heber-
gement sur l'exploitation Wellsberg, il est
possible pour les visiteurs et les classes d'ecole
de participer ä l'affouragement du matin et
du soir. Les leves-tard deviennent alors volon-
tiers des leves-töt lorsqu'il s'agit de racler lelourd furnier. Car pour finir, tous veulent ca-
resser les porcelets. Vinzenz pense que cette
ouverture peut permettre de contribuer äce que les gens relativisent leurs prejuges et
puissent mäme changer leur point de vue.
Exploitations recherchäesAvec le projet «Visites de ferme», les familles
paysannes bätissent des ponts entre les
consommateurs et les producteurs. Car de
moins en moins de consommateurs ontaujourd'hui un lien direct avec l'agriculture.
Avec la sensibilisation publique, nous con-
tribuons tous une image positive de la
branche porcine suisse.
Intöressä par les visites d'ätables?Inscrivez -vous alors sur www.visitesdetables.
ch. En cas de question, le Service d'informa-
tion agricole (LID) est volontiers ä disposi-tion.
Contact:LID, Weststrasse 10, 3000 Berne 6031 359 59 77, [email protected]
Datum: 15.03.2018
édition française
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agenwd ber
t
ber
produitune communauté
_exploitation du laitSuisse
Garefie.
REVUE UFA 312018 REVUE UFA 312018
Rapport Page: 6/29
Datum: 15.03.2018
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Valeurs intrinsèques
Attirer l'attentiondes consommateurspar une attitudepositiveLes denrées alimentaires suisses présentent de nombreux
atouts, même lorsqu'elles ne se différencient pas
visuellement des denrées étrangères. En plus des
campagnes de marketing organisées au niveau national,
chaque agriculteur peut s'investir personnellement pour
améliorer l'image de l'agriculture et par conséquent la
demande en produits suisses.Visuellement, un verre de laitsuisse ne se distingue pasd'un verre de lait produit à
l'étranger. Il en va de même pour lesoeufs suisses, les steaks suisses ou les
pommes suisses, par exemple. Etpourtant, les produits indigènescoûtent plus chers que les produitscomparables importés. La différenceréside dans les valeurs intrinsèquesdes produits suisses, comme les pres-
criptions plus strictes en matière deprotection des animaux, le moded'exploitation plus durable, la tradi-tion paysanne, l'artisanat ou le faitque les denrées alimentaires suissessont totalement exemptes d'orga-nismes génétiquement modifiés.Suisse Garantie a lancé une nouvellecampagne marketing au début del'année 2018 pour que les consom-matrices et les consommateurssoient mieux informés de ces valeurs.
«L'essentiel est invisible pourles yeux»Le message de la nouvelle campagne
est communiqué sur des panneaux
publicitaires et dans des spots mar-
keting. A cette occasion, le produitoccupe toujours une place centrale.Plusieurs produits agricoles se pré-sentent dans un spot TV, dans lecadre de ce qui s'apparente à un«show pour célibataires» et attirentl'attention des spectateurs sur leursvaleurs intrinsèques. Les produits qui
quémandent un rendez-vous sont lebeurre, le cervelat, la pomme, la to-mate, la pomme de terre et l'oeuf. Ilsle font dans plusieurs dialectes. Cesspots peuvent être téléchargés sur lenouveau site Internet www.suissega-rantie.ch . «Un bon produit a besoind'une bonne histoire pour bénéficierd'un maximum de crédibilité», pré-cise Urs Schneider, président d'AgroMarketing Suisse, lors d'un événe-ment qui s'est déroulé en janvier2018. La campagne nationaledoit permettre de faire prendreconscience au consommateur de tout
ce que recèle un produit suisse.Outre leur qualité, les denréessuisses sont également synonymes
de places de travail, de distances detransport réduites et de nombreuxautres éléments positifs.
Que peut faire l'agriculteur?Benno Schildknecht est agriculteur àHagenwil bei Amriswil où il exploiteen collaboration avec Rico Meilinune communauté d'exploitationcomptant 70 vaches laitières. La
communauté d'exploitation produitdu lait sous le label Suisse Garantie.Benno Schildknecht estime que lacommunication de base est unebonne chose. Il est toutefois aussiclairement d'avis que les agriculteursdoivent s'engager activement. «Entant qu'agriculteur, je suis prochedes consommateurs et je suis tou-jours en contact direct avec euxlorsque je travaille à l'extérieur», ex-plique Benno Schilknecht. «Dans lamesure du possible, j'explique lesspécificités de l'agriculture suisseaux promeneurs et leur présente lesatouts de la production indigène.»Les normes de protection animaleélevées font notamment partie deces atouts. «Je souhaite engager des
discussions directes avec les consom-matrices et les consommateurs pourleur expliquer ce qu'est le métierd'agriculteur et contribuer à ce qu'ilsaient une bonne opinion de nous»,explique Benno Schildknecht. Lesdiscussions directes y contribuentmais ne suffisent pas à elles seules,selon lui.
Contribuer à une bonne imageCe que tout agriculteur peut faire di-rectement dans le cadre de son tra-vail quotidien, c'est améliorerl'image de l'agriculture ou, en touscas, ne pas la dégrader. «Par exemple,
lorsqu'on fait passer les vaches par laroute, il faudrait impérativementtout nettoyer après son passage», ex-
plique Benno Schildknecht. En puri-nant, il faut aussi veiller à une pro-preté maximale et faire par exempleattention de ne pas salir la route. Il
Rapport Page: 7/29
Datum: 15.03.2018
édition française
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est également primordial de tenircompte de la météo, des jours de lasemaine et de l'heure de la journée.Benno Schildknecht utilise pour sapart un pendillard lorsqu'il épand dupurin, pour réduire les odeurs. «Lessujets évoqués plus haut sont autantde petites choses qui peuvent inciterle consommateur à avoir une imagenégative de l'agriculture indigène, cequ'il faut à tout prix éviter», expliquel'agriculteur. Selon lui, un agriculteurne doit en aucun cas se distinguerpar un comportement négatif.
Les enfants et la familleBien qu'il ne pratique pas la ventedirecte, Benno Schildknecht attacheénormément d'importance aux dis-cussions directes avec les consom-mateurs. «La solution la plus simpleconsiste à faire un tour d'étable avecles visiteurs», assure-t-il. Il est égale-ment assez facile d'ouvrir les portesde l'étable aux amis de ses enfants.«Les enfants apprennent à appréhen-der les animaux et ils peuvent lesnourrir. Selon les conditions, il est
parfois possible de les emmener entracteur. Autant d'événements quiresteront gravés dans leur mémoire»,
explique l'agriculteur. Il y a quelquesannées, Benno Schildknecht a orga-nisé une semaine à la ferme pour une
classe d'école, en collaboration avectous les agriculteurs de son village.Au cours de cette semaine à la ferme,
les élèves ont pratiqué chaque jourune activité différente à la ferme. Lanuit, ils ont dormi sur la paille. «Lesélèves n'oublieront sûrement jamaisla semaine qu'ils ont passée ici», ex-plique l'agriculteur. Benno Schild-knecht sourit à l'évocation de cetévénement: «Plusieurs enfants nousont aidés à ramasser les prunes. Tout
d'un coup, ils ont réalisé que cela re-
présente un gros travail et que toutne se fait pas en une demi-heure.Cette semaine a été clôturée par unesoirée à l'intention des parents, quiont eux aussi été impressionnés parla visite.»
Nombreuses possibilitésOutre l'école à la ferme (voir enca-dré), il existe d'autres moyens pourprésenter son exploitation au publicet renforcer ainsi l'image de l'agri-culture suisse. Dans le cadre des vi-sites d'étable, un projet de la cam-pagne de base «Proches de vous, les
paysans suisses», les exploitationsagricoles ouvrent leurs portes à desmoments bien définis. En respectantdes consignes d'étable très strictes,les visiteurs peuvent visiter les
étables aux horaires prévus à cet ef-fet. Cela peut être pendant lesheures d'affouragement, le week-end ou pendant les horaires d'ouver-ture du magasin à la ferme. La visited'étable permet aux consommateurset aux agriculteurs d'entrer encontact direct. Pour les fermes prati-quant la vente directe ou l'agritou-risme, c'est également l'occasion dese faire connaître. Toutes les exploi-tations concernées sont mentionnées
dans l'appli «à la ferme» ainsi quedans une brochure. Les informationsà l'intention des personnes intéres-sées sont mentionnées sous www.visitesdetables.ch exploitationsinscription. Les autres offres propo-sées sont le brunch du Zef Août, lespoteaux indicateurs, l'agritourisme, lavente directe et de nombreuses autres
choses, soit tout ce qui attire le
consommateur à la ferme. Urs Schnei-
der conclut: «L'agriculteur est le
meilleur des vendeurs. Il est authen-tique et montre ce qu'est l'agriculturesuisse. C'est notre point fort.»
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Datum: 15.03.2018
édition française
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Faire travailler son esprit, ses mains et son coeurL'école à la ferme (EàF) invite les élèves de tous les degrés scolaires àsuivre un enseignement à la ferme qui met la réalité de la vie au centredes activités. En tant qu'agriculteur et donc prestataire, vous avez ainsila possibilité de sensibiliser les consommateurs d'aujourd'hui et dedemain à l'agriculture et aux denrées alimentaires suisses. L'école à laferme est un projet qui s'inscrit dans le cadre de la campagne «Prochesde vous. Les paysans suisses», laquelle a pour objectif de faireconnaître les prestations variées des familles paysannes pour la sociétéet de souligner ainsi l'importance de l'agriculture en Suisse. L'EàFcherche toujours des familles paysannes intéressées à participer à ceprojet. Plus d'informations sur l'inscription et les exigences à remplir
sur www.ecolealaferme.ch Prestataires Devenir prestataire.
Rapport Page: 9/29
Datum: 20.03.2018
Journal Aviculture Suisse3052 Zollikofen031/ 915 35 35www.aviforum.ch
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La page des producteurs d'oeufsLes poules pondeuses les plus heureuses viventindubitablement en Suisse
Grâce à nos systèmes de garde particu-lièrement respectueux des animaux, plus Voici comment est née l'idée dude 90 pourcents de nos poules pondeuses spectacle spécial à la BEA
suisses peuvent sortir tous les jours à l'air
frais. À partir de 2020, cette proportionatteindra même 100 pourcents pour les
poules du label Suisse Garantie, car à partir
de 2020, la sortie quotidienne à l'air frais
deviendra une exigence critique pour les
oeufs Suisse Garantie. Cela nous confère à
nouveau une énorme valeur ajoutée par
rapport à la concurrence étrangère.
Depuis plus de dix ans déjà, tous les
oeufs suisses vendus à la Migros et pra-
tiquement tous les oeufs suisses labellisés
vendus dans les autres circuits de vente
proviennent de poules qui peuvent grat-
ter le sol dans des poulaillers dotés d'une
aire à climat extérieur protégée. Celafait donc plus de dix ans que toutes ces
poules peuvent sortir tous les jours àl'air frais, même s'il neige ou s'il pleut. Àl'étranger, il suffit que les poules sortent
à l'air frais 8 mois sur 12 pour que leurs
oeufs puissent être vendus comme oeufs
d'élevage en plein air. Quant aux oeufs de
garde au sol, il suffit d'un poulailler fermé
pour avoir droit à cette appellation. Cesoeufs importés se retrouvent chez nous
dans les rayons avec exactement la même
déclaration (garde au sol, élevage enplein air ou même oeufs bio) que les oeufs
suisses. La plupart des consommateurs ne
connaissent pas les différences relatives
au mode de garde, mais la différence de
prix est flagrante.
Pour avoir du succès, on donne le conseil
bien connu: «Fais du bien et parles-en».
Les producteurs d'ceufs ont bien trop peu
«L'oeuf suisse est le plus grand»: c'estle titre du spectacle spécial présenté auCentre vert et en même temps son fil
rouge créatif. «Travailler avec un fil rouge
créatif est typique de notre agence»,explique Nico von Niederhâusern, Junior
Project Manager à l'agence Kreativagen-
tur Republica à Berne.
appliqué cette devise jusqu'ici. Nos oeufs
suisses, les meilleurs, portent exactement
le même marquage (0, 1, 2,) que les oeufs
importés. Nos oeufs suisses pondus par
des poules qui peuvent gratter la litièretous les jours dans l'aire à climat extérieur
protégée mériteraient depuis longtemps
un 0+, un 1+ et un 2+.
Cet hiver en particulier, avec beaucoup
de neige et de pluie, le parcours protégé
était très important pour nos poules. Mal-
gré le mauvais temps, elles ont pu s'adon-
ner tous les jours à leur activité favorite et
gratter à leur guise dans la litière sèche et
à l'air frais.
Ma longue expérience d'aviculteur
m'amène à considérer que les parcours
non protégés présentent en fin de compte
plus d'inconvénients que d'avantages. En
effet, par mauvais temps, les poules sont
bien mieux dans l'aire à climat extérieur
sèche et protégée et, lorsqu'il fait beauet sec, les poules d'élevage en plein air
doivent être au pâturage et pas dans leparcours non protégé sans véritable occu-
pation. En outre, l'entretien du parcours
non couvert n'est pas sans problèmes en
Rapport Page: 10/29
Datum: 20.03.2018
Journal Aviculture Suisse3052 Zollikofen031/ 915 35 35www.aviforum.ch
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regard de l'impact sur l'environnementet la protection des eaux ou s'avère oné-
reux car le parcours non couvert doit être
équipé d'un sol étanche à l'eau et d'unegrande fosse à lisier.
Nous pouvons être fiers de notre
mode de garde respectueux des poulespondeuses et devons à l'avenir impéra-
tivement l'expliquer encore mieux auxconsommatrices et consommateurs.
Jean Ulmann, Président
Cette idée peut naître très différem-ment. Isabelle Sieber, parolière et concep-
trice chez Republica, aime aborder d'abord
le sujet toute seule. Elle a tout d'abordrésumé en cinq phrases les exigences pour
l'agence. Puis elle a fait des recherches sur
Internet, a consulté le site gallosuisse.ch
et s'est informée sur le sujet. Sa recherche
terminée, elle note systématiquement
toutes les idées sans les juger, car elle sait
que pour qu'une publicité se fasse remar-
quer, il faut la dramatiser. Une exposition
doit en outre permettre de vivre une expé-
rience et être unique.
L'idée d'un poulailler XXL est née aucours des échanges avec d'autres collabo-
rateurs de l'agence, avec à la clé le slogan
«12ceuf suisse est le plus grand». L'équipe
en a déduit que tous les éléments de l'ex-
position devaient être présentés en format
XXL. Les éléments du spectacle spécial ont
été créés pour illustrer les thèmes imposés,
à savoir l'élevage et le mode de garde, la
distribution et la transformation, l'aspectculinaire et l'avenir: une poule géante, des
oeufs géants et une poêle géante. Avant
de présenter cette idée, l'agence a clarifié
la question de la faisabilité et a établi un
budget.
Après l'adjudication, la mise en oeuvre
du projet a démarré. En tant que chef de
projet, Nico von Niederhâusern fait office
de lien entre toutes les personnes concer-
nées au sein et à l'extérieur de l'agence.
Il doit garder une vue d'ensemble et maî-
triser le calendrier et le budget. «J'aimeque le travail soit très dynamique», relève-
t-il. Mais cela veut également dire qu'ilfaut faire beaucoup de choses en peu de
temps, avec souvent à la clé de longues
journées de travail.
Participez à «Visites d'étables»
Offrir à la population un contact directavec le monde agricole, c'est l'objectif de
«Visites d'étables». Près de 300 exploi-tations participent actuellement à ce
programme. De nouvelles exploitationsprêtes à ouvrir leur porte aux visiteurs sont
recherchées.
Bien que «Visites d'étables» ait lieu tout
au long de l'année, le coup d'envoi de laprochaine saison coïncide avec la Journée
du lait, au mois d'avril prochain.
À la page 9, vous trouverez un portrait
d'une exploitation de poules pondeusesqui participe déjà à «Visite d'étables».
Les familles paysannes intéressées à par-
ticiper peuvent s'inscrire à n'importe quel
moment. Nous vous remercions d'ores et
déjà de votre inscription sur: www.visites-
detables.ch ou directement auprès de:AGIR, Avenue des Jordils 3, 1006 Lau-sanne (021 613 11 31, [email protected]).
Actualités de GalloSuisse
Assurance épidémieLes sinistres ont été nettement plus nom-
breux ces deux dernières années. Lesprimes et les prestations de l'assurance
Rapport Page: 11/29
Datum: 20.03.2018
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épidémie sont toutefois restées inchan-gées pour l'année en cours, de même que
la réduction de prime pour les exploita-tions à une seule classe d'âge. Il est impor-
tant de savoir que les exploitations quicomptent plusieurs troupeaux peuventégalement être considérées comme
exploitation à une seule classe d'âge, pour
autant que les conditions suivantes soient
remplies: l'alimentation, l'approvisionne-ment en eau, la ventilation et l'évacua-tion du fumier des différents troupeauxdoivent être séparés les uns des autres et
les soins respectant les bonnes pratiques
d'hygiène doivent être garantis.
PA 2022+ et Horizon 2050L'Union suisse des paysans (USP) a mis sur
pied un groupe de travail chargé d'exami-
ner la future politique agricole. Ce groupe
a rendu son rapport à fin 2017 et a définisept objectifs. Au début de l'année, l'USP
a lancé une enquête sur ce rapport auprès
de ses organisations membres. GalloSuisse
a répondu dans les délais. L'associationsoutient l'objectif de l'USP visant à amé-
liorer le revenu agricole. Pour les produc-
teurs d'oeufs, il est important de pouvoirobtenir un revenu provenant essentielle-ment de la vente de produits et de ser-vices. L'association estime que les mesures
proposées ne permettront d'atteindre que
partiellement l'objectif visé. GalloSuisse
soutient entièrement l'objectif «simplifica-
tion administrative».
Journée de formation continuede l'ADAPR
Le 1" février 2018 a eu lieu la journée de
formation continue proposée par l'ADAPR,
sur le site d'Aviforum à Zollikofen.
Le premier thème de cette journée,traité par Mme Karin Kreyenbühl, vété-
rinaire, concerne les épizooties, avec un
exposé sur la laryngotrachéite infectieuse.
Elle nous informe que malgré le peu de
cas présents en Suisse, nous devons rester
vigilants et avertir dès les premiers symp-
tômes observés afin d'éviter la propagation
de la maladie. Le deuxième sujet concerne
une problématique de plus en plus fré-quente dans nos poulaillers: le picage des
pattes chez les pondeuses blanches. Mme
Kreyenbühl fait le point sur la situation: la
cause n'est encore pas définie et le trai-
tement varie fortement d'un troupeau àl'autre; des études sont en cours.
La deuxième intervenante de la journée,
Mme Nadine Riggenberg de l'OSAV, nous
informe qu'une étude sur l'étouffementdes poules pondeuses est en cours. Le but
est de comprendre pourquoi cela arrive et
comment l'éviter. Puis, nous parlons del'homologation des installations dans lespoulaillers dont l'OSAV est responsable.La mise en place d'un répertoire avec les
détails pour chaque volière est en cours
dans le but de faciliter les calculs de den-
sité animale.
L'heure du repas sous forme d'apéritifdînatoire permet des discussions intéres-
santes entres aviculteurs.
Le premier sujet de l'après-midi concerne
la position de l'USP vis-à-vis des initiatives
populaires actuelles concernant le monde
agricole, ainsi qu'une description succincte
de son organisation et de ses services.
Puis M. François Miéville, de AMS, nous
parle du label «Suisse Garantie» et nous
présente divers graphiques concernant le
point de vue des consommateurs par rap-
port, à la crédibilité des labels ainsi qu'àleur importance lors du choix des produits.
Après quelques brèves informations sur
GalloCircle, c'est au tour de la nouvelle
Rapport Page: 12/29
Datum: 20.03.2018
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secrétaire générale de GalloSuisse, Mme
Edith Nüssli, de s'exprimer. Elle commence
par se présenter elle-même, puis le nou-
veau concept marketing de l'uf Suissequi ne sera plus centré sur la poule mais
sur l'oeuf. M. Ruedi Zweifel nous informe
que la construction d'un nouveau poulail-
ler est en cours sur le site d'Aviforum et se
réjouit de nous revoir aussi nombreux en
2019 pour la prochaine journée de forma-
tion avicole.
Aurore Moret
Pour mémoire: faire analyser lesdéjections des oiseaux sauvages
Le département Volailles de l'Institut debactériologie vétérinaire de l'Université de
Zürich est prêt à analyser les déjections des
oiseaux sauvages se trouvant autour des
poulaillers. Les résultats permettront demontrer si les oiseaux sauvages peuvent
introduire des salmonelles dans l'exploi-
tation. Jusqu'à fin avril 2018, tous lesmembres de GalloSuisse ont la possibilité
de faire analyser les échantillons de fientes
8
des oiseaux sauvages. Les coûts sont pris
en charge par GalloSuisse.
Procédez comme suit:
1. Imprimez la demande d'analyse dans le
domaine protégé de gallosuisse.ch, sous
la rubrique Documents. Remplissez les
champs obligatoires et indiquez impéra-
tivement l'espèce d'oiseau sauvage.
2. Collectez des fientes d'oiseaux sauvages
fraîches, si possible encore humides, à
l'aide d'un cotontige, d'une spatule en
bois ou en plastique. Placez l'échan-tillon dans un emballage étanche, par
exemple dans un sachet de congélation
facile à fermer (sachet Ziplock).
3. Placez la demande d'analyse et le sachet
étanche dans une enveloppe A5 por-
tant l'adresse du département Volailles
de l'Institut de bactériologie. Vous trou-
verez l'adresse en haut à droite du for-
mulaire de demande d'analyse.
4. Envoyez l'enveloppe par courrier A.
Edith Nüssli, secrétaire générale
Cette année encore, les producteurs du nord-ouest de la Suisse seront présents à la Muba, qui auralieu du 20 au 29 avril. Le stand portant le numéro H004 se trouve au 2' étage du bâtiment de la foire.
isse(Gallofuisse
Rapport Page: 13/29
Datum: 20.03.2018
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Qualité Respect - Transparence: visiteurs bienvenusLes exploitants Fabrice Bersier, Daniel Würgler et Stéphane Grognuz font partie des quelque 300 prestataires du programmenational «Visites d'étables». En invitant les visiteurs et consommateurs à jeter un regard dans les coulisses d'un poulailler ultra-
moderne, Gallipool Frasses (FR), ils leur permettent de découvrir le chemin de l'oeuf, de la poule à l'assiette, en toute transparence !
Membre des «Visites d'étables» depuis
2017, Daniel Würgler précise combien il est
important de rendre visible la façon dont
les oeufs sont produits en Suisse. Dans un
poulailler ultramoderne, elles sont 18'000
à fournir «leur» oeuf au quotidien, soit au
total quelque 5 millions d'oeufs annuelle-
ment. La transparence et la traçabilité sont
donc primordiales à tous les niveaux.
Visiteurs et consommateurs bienvenus!
«Nous voulons montrer au public quenous avons la volonté de produire desoeufs suisses de qualité dans le respect du
bien-être des animaux et aussi dans de
bonnes conditions de travail», expliqueFabrice Bersier. est aussi important
de rappeler que, il y a plus de 25 ans, la
Suisse a été le premier pays au monde à
instaurer l'interdiction de la garde en bat-
terie. Nos poules suisses ont ainsi plusd'une longueur de bec d'avance sur leurs
collègues du monde entier. Pour partager
leur démarche avec les consommateurs et
dans un souci de transparence, un local
spécialement aménagé permet aux visi-
teurs d'observer les poules dans leur jardin
d'hiver et à l'intérieur du poulailler. Pourcela, il convient de prendre rendez-vous
avec les exploitants, au préalable.
Bienvenue à de nouveaux prestataires!
r -
Coup d'il dans le poulailler de ponte de la com-munauté d'exploitation de Daniel Würgler, FabriceBersier et Stéphane Grognuz à Frasses (FR).
Offrir à la population un contact directavec le monde agricole, créer un pontentre la ville et la campagne, voilà l'objectif
de «Visites d'étables» et des quelque 300
exploitations participants au niveau natio-
nal. Si de nouvelles exploitations avicoles
sont prêtes à ouvrir leur porte aux visiteurs,
et à contribuer ainsi activement aux efforts
de promotion de la branche avicole suisse,
elles sont les bienvenues!
Vous êtes intéressé?
Nous vous remercions de votre ins-
cription sur www.visitesdetables.ch oudirectement auprès de l'Agence d'infor-mation agricole romande: Agence AGIR,
Avenue des Jordils 3, 1006 Lausanne,
Tél. 021 613 11 31, [email protected].
Rapport Page: 14/29
Datum: 07.04.2018
Bio Actualités5070 Frick062/ 865 72 72www.bioaktuell.ch/
Medienart: PrintMedientyp: FachpresseAuflage: 811Erscheinungsweise: 10x jährlich Themen-Nr.: 562.003
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Ouvrir les établesà la populationL'Agence d'information agricole ro-mande (AGIR) cherche encore desfermes pour participer au projet «Visitesd'étables» et s'ouvrir à la populationpendant au moins une année. Les visitesd'étables sont particulièrement intéres-santes pour les fermes qui proposentdes offres supplémentaires comme de lavente directe ou des événements.Lors des visites d'étables, les visiteurspeuvent, en se conformant à des règlesde comportement établies, voir lesétables et observer les animaux au pâ-turage ou au parcours. Les heures d'ou-verture peuvent être fixées individuelle-ment. La ferme reçoit gratuitement undrapeau «Visites d'étables» et d'autressupports publicitaires. cfr
Pour vous inscrire ou pour obtenir plus
d'informations, annoncez-vous auprès de
l'Agence d'information agricole romande
(AGIR), CP 128, 1000 Lausanne 6tél. 021 613 11 31
www.visitesdetables.ch/exploitations/
inscription/
Rapport Page: 15/29
Datum: 10.04.2018
Le Quotidien de la Côte1260 Nyon 1022/ 994 41 11www.lacote.ch
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Les fermes s'ouvrent au public
AGRICULTURE Créé en 2005, le programme «Visites d'étables» permet à tout un chacun de découvrir la vie à laferme en Suisse. Chez les Treboux, à Bassins, on peut caresser les animaux et voir la fabrication du fromage.
Rapport Page: 16/29
Datum: 10.04.2018
Le Quotidien de la Côte1260 Nyon 1022/ 994 41 11www.lacote.ch
Medienart: PrintMedientyp: Tages- und WochenpresseAuflage: 8'041Erscheinungsweise: 5x wöchentlich Themen-Nr.: 562.003
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Les étables s'ouvrent au publicAGRICULTURE Trois fermes
de La Côte sont ouvertesau public, sur rendez-vous,dans le cadre des visitesd'étables. Présentation.
FABIENNE MORAND (TEXTES)
Info@ lacote.ch
«Ah bon? Une vache si elle n'apas de veau ne produit pas delait?»; «les poules pondent desoeufs même sans la présence d'uncoq?» Des questions qui font sou-rire certains, mais qui sont trèssérieuses pour d'autres. Les cita-dins qui ont un ami, une tante ouun grand-père agriculteurs sontdevenus rares et le lien avec la na-ture s'effiloche, devenant parfoisinexistant. Beaucoup ne saventpas comment, ni quand, pous-sent les plantes d'ici, ni commentest produit le lait avant d'être dis-ponible en brique dans les super-marchés, et sont étonnés en ap-prenant les réglementations detoutes sortes que les paysans suis-ses doivent respecter.
Pour permettre de rétablirun lien entre consommateurset producteurs, le programme«visites d'étables» est né en 2005.Il s'agit d'un projet de l'Unionsuisse des paysans et il permet «àtout le monde de visiter une étable- tout en respectant les heures
d'ouverture et les règles de com-portement -, l'agriculture suissefait preuve de transparence enmontrant comment les animauxde rente sont détenus dans notrepays», rappelle un communiquéde l'agence Agir.
Depuis quelques années, cen'est plus seulement les établesavec vaches qui participent àcette ouverture, mais aussi les fer-mes qui disposent d'autres ani-maux de rente. Ceci afin de mon-trer les nombreuses facettes del'agriculture suisse.
Des visiteurs intéressésEt le succès est au rendez-vous,
puisque quelque 300 étables sontinscrites et plus de 100 000 per-sonnes à travers la Suisse en pro-fitent.
Officiellement, la saison débuteen même temps que la journéedu lait, soit samedi 21 avrilprochain. Toutefois, les fermespeuvent se visiter toute l'année,gratuitement ou contre une con-tribution définie à l'avance. Cesont toutes des exploitations enactivité et trois sont situées sur LaCôte, sauf l'été pour deux d'entreelles. A la belle saison, tout lecheptel monte à l'alpage. Présen-tations.
Contact des agriculteurs ouvrant leur étable
sun www.visitesdetables_ch
4
SIGFREDO HARO
MAURICE TREBOUXL'été, c'est à la montagne qu'on les retrouveAprès avoir expérimenté brunch et école à la ferme, la familleTreboux s'est tournée vers les visites d'étables. L'aménagementdu bâtiment, où la cinquantaine de vaches laitières se trouvent,se prête bien aux visites. «Les gens peuvent caresser les animauxsans se salir», souligne Maurice Treboux. Il propose une simplevisite, gratuite, sans prestations complémentaires, si ce n'est d'offrirun verre de lait encore chaud car tout juste sorti du pis. Lesintéressés sont donc conviés à venir, sur rendez-vous, durant latraite. Chez les Treboux, il y a exclusivement des bovins, qui du1- juin au 1" septembre environ, sont à la montagne, à la Bassine.La-haut, le lait est transformé en fromage. La visite d'étableà Bassins n'est donc possible qu'en dehors de cette périoded'estivage, ou alors, il faut grimper dans le jura. Tout comme sesconfrères, son but est de promouvoir son métier. Il apprécie doncl'échange et répond volontiers à toutes les questions.
Rapport Page: 17/29
Datum: 10.04.2018
Le Quotidien de la Côte1260 Nyon 1022/ 994 41 11www.lacote.ch
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CÉDRIC SANDOZ
NATHALIE ET JEAN- DANIEL REYMONDIl n'y a aucun sujet tabouChez les Reymond, il y a une centaine de vaches laitières et lemême nombre de génisses et veaux. L'exploitation est donc axéesur la production du lait vendu aux Laiteries Réunies de Genève.Il y a aussi des ânes, lapins, chèvres, poules, canards et «Roxy»,le chien. Mais, de mi-mai à mi-septembre, tous ces animauxmontent à l'alpage situé sur la commune de Saint-Gingolphoù le lait est transformé en fromage et les curieux sont aussi lesbienvenus. «Nous expliquons les choses telles qu'elles sont, ainsiles visiteurs se forgent leur propre opinion. Nous parlons aussibien des animaux que des paiements directs, du statut de lafemme dans l'agriculture, du fait qu'en Suisse les produits ontcertes un coût, mais qu'il n'y a pas d'huile de palme...», expliqueNathalie Reymond pour qui la communication est essentielle.La visite est sur rendez-vous et selon le déroulement souhaité dela visite, elle peut demander une contribution définie à l'avance.
CÉDRIC SANDOZ
OLIVIA HUMBERTUne contribution pour valoriser le travailFille de paysan, titulaire d'un CFC et d'un brevet fédéral agricole, ettravaillant comme inséminatrice, Olivia Humbert sait de quoi elleparle. Avec cette future maman, le visiteur découvre la traite d'unesoixantaine de red holstein qui produisent du lait pour le gruyère,mais aussi les poules pondeuses, le verger, le jardin, lesmachines, les grandes cultures et discutent des lois et de lapolitique agricole. «Mon but est de montrer et d'expliquer lemonde agricole aux visiteurs. Toutefois, c'est un site privé aveclequel nous gagnons notre vie. Je le fais donc sur rendez-vousuniquement. J'accompagne tout au long de la visite et demandedonc une petite participation. Car quand c'est gratuit, les gens enprofitent, sont moins attentifs et ce n'est pas valorisant pournous». jusqu'à présent, les visiteurs étaient des personnesintéressées qui sont reparties avec davantage de connaissancessur le monde agricole suisse. Le but est atteint pour Olivia.
Rapport Page: 18/29
Datum: 17.04.2018
Online-Ausgabe FR
UFA Revue8401 Winterthur058/ 433 65 30www.ufarevue.ch
Medienart: Internet
Themen-Nr.: 562.003Auftrag: 563016 Referenz: 69287766
Medientyp: Fachpresse
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Lancement de la saison 2018/19Le samedi 21 avril, Journée nationale du lait, plus de 300 exploitations de vaches laitières et allaitantes lancerontla nouvelle édition de «Visites d’étables». Veaux, chèvres, ânes, cochons, poules & Cie seront aussi de la partie pourfaire découvrir aux visiteurs, grands et petits, les multiples aspects de la vie paysanne dans toute la Suisse et toutau long de l’année.
Les exploitations agricoles suisses produisent des denrées alimentaires de première qualité et les animaux à laferme y jouent un rôle important. Une visite à la ferme est une excellente occasion pour les voir, de près ou dans lepré! Les familles paysannes sont prêtes à accueillir les visiteurs et à répondre à leurs questions : un drapeau debienvenue avec des animaux plus grands que nature ou un panneau à l’entrée de l’étable les invitent d’ailleurs àentrer.
Transparence et ouverture
Les consommateurs s’intéressent de plus en plus à l’origine et au mode de production de leur nourriture mais lesfilières et les processus sont complexes et peu connus du grand public. Pour renforcer ce dialogue entreproducteurs et consommateurs, «Visites d’étables» est en première ligne. Avec succès, puisque plus de 100'000personnes ont profité chaque année de cette opportunité depuis plus de 10 ans. En permettant à tout le monde devisiter une étable – à condition de respecter évidemment les heures d’ouverture et les règles de comportement –l’agriculture suisse fait preuve de transparence et montre comment les animaux de rente sont détenus dans notrepays. Depuis 2017, le programme a été étendu à tous les animaux de rente – bovins, mais également petitsruminants, volaille, porcs, équidés et animaux exotiques.
Visiteurs bienvenus
Les exploitations qui participent au programme «Visites d’étables» sont répertoriées sur le site internet duprogramme. Les visites sont gratuites pour les personnes seules et les familles. Depuis plus de dix ans, leprogramme fait partie de la campagne d’image «Proches de vous. Les paysans suisses» de l’Union suisse despaysans (USP). Organisation et communication sont ainsi assurées par les milieux agricoles et soutenues par des
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Rapport Page: 19/29
Datum: 17.04.2018
Online-Ausgabe FR
UFA Revue8401 Winterthur058/ 433 65 30www.ufarevue.ch
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sponsors. source: AGIR
auteur Rédaction [RED]
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Rapport Page: 20/29
Datum: 27.04.2018
Agri1001 Lausanne 021/ 613 06 46https://www.agrihebdo.ch/
Medienart: PrintMedientyp: FachpresseAuflage: 9'666Erscheinungsweise: wöchentlich Themen-Nr.: 562.003
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27 avril 2018 I N° 2
www.swissmilk.ch swissmilkINFO-EXPRESS PSL: Marketing générique pour le lait
Trop fort: la Journée du Lait SuisseLe 21 avril dernier, Swissmilk a célébré la Journée du Lait Suisse avec lesproducteurs de lait et les familles. Le Lovely's Milk Trail a animé les ruesdu centre-ville de Soleure. Au total, 61 000 portions de nectar blanc ont étédistribuées dans environ 100 localités de Suisse.
Grâce à des familles dynamiqueset aux producteurs de lait, parte-naires et organisations de jeuneséleveurs actifs, cette année en-core, la Journée du Lait Suisse aété une expérience inoubliable.Les producteurs de lait ont gâtéles visiteurs de leurs stands avecdes milkshakes et du lait suisseset ont expliqué ce qui rend le laithelvétique si spécial.
Où est Lovely?Quel comble! Lovely a justementchoisi la Journée du Lait Suissepour s'éclipser et se cacher dansles rues du centre-ville soleurois.75 familles ont accepté la missionde retrouver Lovely en emprun-tant le Milk Trail, un parcoursavec sept postes présentant desobstacles à lever. Karting, empi-lage de bottes de foin ou pous-sage de boilles à lait: les famillesont tout donné pour retrouverLovely le plus vite possible.Pour ce faire, elles ont profité ducoaching de la gymnaste Ariella
Kaeslin, qui leur a dispensé trucset astuces. Avant la Journée duLait Suisse, les familles partici-pantes ont d'ailleurs pu récolterde précieux points en encoura-geant les internautes à voter pourleur photo dans la newsroom deSwissmilk.ire place: Famille Lâderach deAarwangen (BE); 2e place: FamilleWanzenried de Dürrenroth (BE);3e place: les familles Gasser deNiederônz (BE) et Gertsch deHenau (SG). Les spectateurs ontpu tour à tour vibrer avec lesparticipants, caresser des animauxet déguster du bon lait frais. Auxautres stands Swissmilk -à Genève,Lausanne, Berne, Lucerne, Zurich,Winterthour, Saint-Gall et Bâle -les aficionados du lait ont profitéde nombreuses attractions et demilkshakes gratuits. En outre,petits et grands ont remporté desprix attrayants en jouant au quizdu lait.Producteurs etambassadeurs du lait
Force, savoir et imagination étaientde mise pour arriver au bout duparcours. La famille en photo jubile:elle est désormais la famille la plusforte de Suisse.La Journée du Lait Suisse renforceles liens entre la population desvilles et les productrices et pro-ducteurs de lait. C'est l'occasionpour les paysans et les jeuneséleveurs de discuter de la boisson
swissmilk
Rapport Page: 21/29
Datum: 27.04.2018
Agri1001 Lausanne 021/ 613 06 46https://www.agrihebdo.ch/
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naturelle qu'est le lait avec lesconsommateurs et de leur trans-mettre leur passion pour leur métieret pour les animaux. Ils ont distribuédu lait dans environ 100 localitésà travers tout le pays.Les producteurs de lait suisses four-nissent tout au long de l'année unlait d'excellente qualité. Ils sontnombreux à ouvrir les portes deleurs étables et à accueillir la popu-lation. Le projet «Visites d'étables»est l'occasion rêvée de découvrir letravail quotidien des producteursde lait et de s'entretenir avecces derniers. La Journée du LaitSuisse marque chaque annéele coup d'envoi de la saison desvisites, dans quelque 300 établesde Suisse. Depuis 2017, les ex- -
ploitations laitières ne sont plusles seules à ouvrir leurs portes:d'autres secteurs agricoles jouentégalement le jeu.
Informations supplémentairessur: www. visitesdetables. ch
Un grand merci!Swissmilk remercie chaleureuse-ment tous les producteurs de lait,les jeunes éleveurs et les organisa-tions partenaires qui ont tenu leurspropres stands d'ambassadeurs dulait lors de la Journée du LaitSuisse, ont ouvert les portes deleur exploitation et se sont engagésen faveur de leur produit.
Les photos de la Journée du LaitSuisse sont disponibles en lignesur www.swissmilk.ch/journeedulaitsuisse.
La piste d'obstacles au centre-ville de Soleure était remarquable! Lesfamilles ont habilement entassé des bûches et les ont transportées enbrouette jusqu'au but.
r
Rapport Page: 22/29
Datum: 27.04.2018
Agri1001 Lausanne 021/ 613 06 46https://www.agrihebdo.ch/
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De jeunes éleveurs et producteurs de lait motivés ont organisé leurs propres stands en Suisse romande eten Suisse alémanique et ont expliqué à la population les atouts du lait suisse (gauche: stand à Schônbühl(BE), droit: stand de Andreas Graber à Reconvilier (BE)).
Rapport Page: 23/29
Datum: 27.04.2018
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Swissmilksur les réseauxsociauxSwissmilk est proche de la po-pulation. C'est pourquoi, depuisfévrier 2018, elle est présentesur Facebook et Instagram,deux canaux particulièrementadaptés au dialogue avec legroupe-cible des jeunes.
La clé deschamps - un
blog en françaisLe blog alémanique «Stadt-Land - Wissen, woher waskommt», consacré aux pro-duits de l'agriculture suisse,a dorénavant son pendantromand, sous le nom de«La clé des champs - Mieuxsavoir, c'est mieux manger».Par l'intermédiaire de cinqblogueuses et blogueurs deSuisse romande, Swissmilks'adresse au groupe-cible desjeunes citadins en Romandie.Des publications sur lestendances alimentaires, unealimentation saine, la prove-nance et les saisons, les pro-ducteurs, la détention animaleet les traditions expriment lesatouts de l'agriculture suisse.
www.swissmilk.ch/lacledeschamps
Mieux savoir, c'est mieux manger
Trop fort.
Le lait suisse.Dans la nouvelle campagne deSwissmilk, Lovely se prélassedans une prairie appétissanteet se contente d'être unevache. La campagne est axéesur les atouts du lait suisseet encourage à veiller à la
provenance des aliments quel'on achète. Quelque 55 800personnes ont déjà participéau concours «Où est Lovely?»,qui dure jusqu'à fin avril.
trop fort. swissmilk.ch
Rapport Page: 24/29
Datum: 07.05.2018
édition française
UFA- Revue8401 Winterthur058 433 69 30www.ufarevue.ch
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Visites d'établesLa saison des visites d'étables adémarré à la fin avril. Plus de300 familles paysannes dans tou-
te la Suisse accueillent des visi-teurs dans leur exploitation.L'objectif: familiariser la popula-tion avec la production alimen-taire, pour pallier le manque delien direct avec l'agriculture etainsi accroître la confiance dansles produits indigènes.
LID
Rapport Page: 25/29
Datum: 06.07.2018
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Referenz: 70227004
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PAYSANS SUISSES
Les agriculteurs mis au premier plandans la nouvelle campagne de l'USP
Nos baies génèrent plusde « likes» que vos selfies.Sara et Laurent Vulliamy,VOS PAYSANS.
PaysanssuissesD'ici, avec passion.
Des images en noir et blanc non retouchées pour renforcer l'authenticité.
Dès le 23 juillet,les douze premièresaffiches de la nouvellecampagne de promotiondes agricultriceset des agriculteurssuisses serontdévoilées dansles villes du pays.Ce sont les agriculteursqui transmettentdésormais les messagesde la branche.
Après vingt ans de «Prochesde vous. Les paysans
suisses.», l'Union suisse despaysans (USP) dit au revoir àson populaire slogan de cam-
pagne et à son logo de la croixagricole, et ouvre une nouvelleère avec la marque «Paysanssuisses» et le slogan «D'ici,avec passion.» Le changementdes affiches a également per-mis de rafraîchir la ligne publi-citaire. A présent, ce sont lesagricultrices et les agricul-teurs qui expliquent le travailqu'ils accomplissent pour lapopulation suisse.
Les éléments visuels dunouveau logo rappellent lepaysage façonné en grandepartie par les agricultrices etles agriculteurs: une ligne si-nueuse, qui évoque un paysagede collines typiquement suisse,
sépare les deux termes de«Paysans suisses», et les deuxtons de vert donnent à lamarque un effet de profondeur.Le nouveau slogan «D'ici, avecpassion.» met d'une part enavant le côté local et établit lelien avec les produits («D'ici»).
Carte de l'émotionLes produits régionaux sont
cultivés en fonction des sai-sons et ne doivent pas effectuerde longs circuits. D'autre part,ce slogan joue aussi la carte del'émotion: la passion des agri-culteurs, avec laquelle ils four-nissent leurs diverses presta-tions à la société. Sur le plan ducontenu, l'objectif de la cam-
USP/KARTING.CH
Nos baies génèrent plusde « likes » que vos selfies.Sara et Laurent Vulliamy,VOS PAYSANS.
sontplus sur la et sur
fan,.
Pavsams,puissesD'ici, avec passion.
Rapport Page: 26/29
Datum: 06.07.2018
Agri1001 Lausanne 021/ 613 06 46https://www.agrihebdo.ch/
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pagne reste le même: informerla population suisse de la va-leur ajoutée des produits indi-gènes, de qualité, respectueuxde l'environnement et la moti-ver à en acheter par conviction.
En plus d'une nouvellemarque et d'un nouveau slo-gan, la campagne fait peauneuve avec une nouvelle lignepublicitaire. En lieu et placed'animaux de la ferme vêtus dela chemise edelweiss, ce sontà présent les agricultrices etles agriculteurs de toutes lesgénérations qui sont mis envedette. Une suite logique: àune exception près, l'USP atoujours eu recours à des té-moignages de personnalités etd'animaux sur les affiches etles spots télévisés pour souli-gner la place qu'occupent lesfamilles paysannes.
L'USP présente les paysanscomme des exploitations fami-liales et des petites entreprisesdans toute leur diversité. Surles affiches et dans des vidéos,les agriculteurs expliquent lesprestations qu'ils fournissentà la population suisse et pour-quoi ils le font. Le recours àdes images en noir et blancnon retouchées renforce l'idéeauthenticité. L'USP veut mon-
trer les paysans tels qu'ilssont: dignes de confiances,sympathiques et avec leurpropre caractère. Quatre agri-cultrices ou agriculteurs parrégion linguistique lancerontla campagne dès le 23 juillet.
De nombreusesautres mesuresCes affiches ne constituent
qu'une seule des nombreusesmesures de la campagne «Pay-sans suisses». Celle-ci com-prend également le Brunch du1" Août, les présences auxfoires, les Visites d'étables,l'Ecole à la ferme, l'espace enligne dédié à la vente directe«A la ferme», la chaîne en ligne«BuureTV. ch», les réseaux so-ciaux et la présence sur laToile, les mini-brochures et lesarticles sur Internet, ainsi quela boutique interactive pourcréer ses vêtements aux cou-leurs de l'edelweiss, symboleintroduit dans la campagneen 2006. En toile de fond,l'edelweiss continuera donc àaccompagner le nouveau mes-sage. AGRI-SP
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Datum: 23.07.2018
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23.07.2018, 15:49
Agriculture: les paysans romands ont aussi droit à leurs clips vidéo
De courtes vidéos de deux à trois minutes permettent de découvrir l'agriculture suisse au travers de famillespaysannes. (illustration) © Keystone / Ti-Press
23.07.2018, 15:49 Agriculture: les paysans romands ont aussi droit à leurs clips vidéo
Agriculture À l'occasion des dix ans du portail de l'USP, des paysans romands vont être mis en valeur dans des clipsvidéos qui permettent de découvrir leur métier.
Les paysans romands ont désormais aussi droit à leurs clips vidéo. C'est là une des nouveautés pour marquer lesdix ans du portail en ligne alémanique ( www.buuretv.ch ) exploité par l'Union suisse des paysans (USP).
Visite d’étable
De courtes vidéos de deux à trois minutes permettent de découvrir l'agriculture suisse au travers de famillespaysannes, écrit l'USP lundi dans un communiqué. Avec le lancement de la version francophone, les vidéos les plusrécentes sont sous-titrées en français. Des reportages en terres romandes viendront bientôt s'y ajouter, prometl'USP.
http://www.agriculturetv.ch
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La Valaisanne Bérangère Carron est pleine d’énergie, et cela se ressent dès les premiers pas effectués à ses côtés, dans la bien nommée « Ferme du bonheur ». Notre regard est tout de suite attiré par des dizaines de chèvres qui cohabitent jovialement dans la grande étable située à Charrat, entre Martigny et Sion et au pied des imposantes montagnes valai-sannes. Au milieu de toute cette agita-tion, un lama nous observe paisiblement. Plus loin, à l’extérieur, on aperçoit des poules, des ânes, des chevaux, ou encore des oies. Une diversité animalière qui, on le comprend très vite, est un atout pour cette exploitation tournée vers l’accueil du public, petits et grands.
L’agricultrice ne se contente pas d’éle-ver les animaux, elle produit et vend aussi elle-même ses fromages au lait de chèvre bio, à la fromagerie de Châtaigner située de l’autre côté du Rhône à Fully. Mais c’est bien cette étable de Charrat
Soutien populaireEntre temps, deux enfants voient le jour. La Valaisanne est donc la première femme à obtenir un CFC en agriculture dans le canton du Valais tout en étant mère. Rien ne l’arrête, on vous le dit. En dix ans, elle enchaîne son CFC avec un brevet, puis une maîtrise fédérale. Et c’est sans compter tous les obstacles qu’elle doit surmonter pour créer son ex-ploitation. Car celle-ci est située près du Rhône et doit obligatoirement disposer d’un bâtiment en béton pour protéger les animaux en cas de crues.
Malheureusement, l’argent manque. Bérangère Carron est à deux doigts de mettre la clé sous la porte. Mais un jour-naliste bien intentionné lui conseille de publier un article dans Le Nouvelliste afin de sensibiliser les lecteurs sur ses difficultés. Une idée salvatrice: les gens se mobilisent alors pour lui venir en aide, soit par des dons, soit par des prêts sans intérêt, ce qui lui permettra au final de continuer l’aventure en construisant un bâtiment permettant de garder les bi-quettes au sec.
Ce soutien populaire n’est pas anodin. C’est un juste retour des choses, en quelque sorte, car Bérangère fait tout
« Chez Bérangère » à Charrat VS
Une invitation à la découverteDans les foires, aux marchés, lors de brunchs ou par des visites organisées, la « Ferme du bonheur » n’a qu’un mot d’ordre: être le plus près possible des gens. Une philosophie que l'on doit au dynamisme de l’agricultrice Bérangère Carron.
qui accueille les brunchs. « On va bien-tôt construire un deuxième étage pour pouvoir y mettre le fourrage, explique la Valaisanne, cela nous évitera de de-voir à chaque fois faire de la place pour les tables du brunch. J’ai envie de faire plein d’autres choses ici. Pourquoi pas du théâtre ou des lectures ! »
Elle est comme ça, Bérangère Carron. Toujours une idée en tête, un projet. Une énergie débordante qui l’a amenée à de-venir agricultrice, ce qui est en fait une reconversion. Elle raconte : « Comme beaucoup de jeunes, j’ai choisi un appren-tissage parce qu’il fallait choisir quelque chose. J’ai fait assistante dentaire mais je n’aimais pas ça. La rencontre de mon com-pagnon Christian a beaucoup joué. J’étais malheureuse et il m’a conseillé d’arrêter. Quand j’ai commencé à réfléchir ce que je voulais vraiment faire, ça été une évi-dence. Le seul truc qui me faisait vibrer, c’était d’être avec les animaux ! »
pour que sa ferme soit une porte ouverte vers l’agriculture, la nature et les ani-maux. « Quand on a construit ce bâti-ment, on a fait attention à ce qu’il y ait des accès pour les personnes handica-pées ou âgées. Et vous voyez ce décro-chement, là, c’est pour que les enfants puissent voir les animaux facilement. »
De saison et localQuand ce ne sont pas les gens qui viennent sur l’exploitation, c’est l’exploitation qui va à eux. La ferme de Charrat est no-tamment très présente sur les foires. « Comme on a des animaux diversifiés qui cohabitent très facilement entre eux, on peut proposer des parcs animaliers et ça plaît énormément au public. » Les vi-siteurs du salon Passion Nature qui a lieu au Cerm de Martigny ont pu s’en rendre compte ces deux dernières années.
Et Christian, son compagnon, se rend tous les samedis matins avec leur fille Emeline au marché de Vevey. Il y vend les produits de la ferme, principalement du fromages de chèvre bio, mais aussi ceux d’autres producteurs de la région, comme des saucisses sèches, du nectar d’abricot, du jus de pomme, du miel, des œufs ou des yaourts . « Ce sont les même aliments que l’on propose au brunch, pré-cise Bérangère Carron. Ils sont toujours de saison et local. On travaille exclusi-vement avec des gens que l’on connaît, de petites exploitations familiales. » Un assortiment que l’on pourrait bientôt re-trouver en vente directe sur l’exploita-tion. Encore un projet pour l’inépuisable fermière valaisanne.
www.berangere.ch
Portrait de l’exploitation « Chez Bérangère »Exploitants Bérangère et Christian CarronLocalité Charrat VSSurface environ 16 haAnimaux 90 chèvres, 2 vaches, 4 chevaux, 4 poneys, 3 ânes, 6 lamas,
1 alpagas, 20 poules, 5 oies, des oiseaux, des cochons d’inde, des lapins, etc.
Autres offres Fromagerie, agrotourisme, brunchs, animations, visites à la ferme, marchés, livraisons, thérapies assistées par les animaux
Une invitation à la découverteDans les foires, aux marchés, lors de brunchs ou par des visites organisées, la « Ferme du bonheur » n’a qu’un mot d’ordre: être le plus près possible des gens. Une philosophie que l'on doit au dynamisme de l’agricultrice Bérangère Carron.L'article en allemand sous brunch.ch
Une invitation à la découverteDans les foires, aux marchés, lors de brunchs ou par des visites organisées, la « Ferme du bonheur » n’a qu’un mot d’ordre: être le plus près possible des gens. Une philosophie que l'on doit au dynamisme de l’agricultrice Bérangère Carron.L'articolo in italiano su brunch.ch
Datum: 30.10.2018
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Themen-Nr.: 562.003Auftrag: 563016 Referenz: 71416245
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Nouvelles diverses30.10.2018 17:05
Journée «Portes ouvertes à la ferme»En ouvrant les portes de votre exploitation le dimanche 2 juin 2019, vous permettrez à vos visiteurs de vivre unejournée riche en expériences et inoubliable! Pour l’agriculture suisse, cette journée de découverte et de fête seraune occasion unique pour renforcer les relations de confiance et la compréhension mutuelle entre la ville et lacampagne. Fidèle au slogan des paysans suisses «D’ici, avec passion.», cette action marque en effet l’engagementdes familles paysannes en faveur d’une agriculture suisse durable et de qualité.
Etroitement liée au projet national des «Visites d’étables», la journée des Portes ouvertes à la ferme s’adresseégalement aux autres secteurs agricoles comme la production végétale. Des manifestations similaires, organiséesen 2014 et 2016, ont déjà suscité un vif intérêt auprès des visiteurs. Instaurées le premier dimanche de juin sousl’égide «Open Farm Sunday» en Grande Bretagne, «Tag des offenen Hofes» en Allemagne, etc., ces journéesanimées par les agriculteurs européens sont un véritable succès. Aussi, les Portes ouvertes à la ferme du 2 juin2019 en Suisse s’inscriront-elles dans ce même concept.
L’invitation à participer à cette journée nationale s’adresse aux familles paysannes de toute la Suisse. Auprogramme, accueil à la ferme, visites guidées, présentation d’une branche de l’exploitation au moins, offre derestauration, marché à la ferme et autres : les possibilités d’accueil sont nombreuses et s’adaptent en fonction despossibilités des familles paysannes.
Plus d’informations source: visitesdestables.ch
auteur Rédaction [RED]
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