recueil de nouvelles fantastiques fantastiques

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Recueil de nouvelles Recueil de nouvelles Recueil de nouvelles Recueil de nouvelles fantastiques fantastiques fantastiques fantastiques Les élèves de 4 Les élèves de 4 Les élèves de 4 Les élèves de 4 ème ème ème ème 2 2 2 Editions Rosa Parks Editions Rosa Parks Editions Rosa Parks Editions Rosa Parks Collection Collection Collection Collection SUEURS FROIDES SUEURS FROIDES SUEURS FROIDES SUEURS FROIDES Dans ce recueil, vous trouverez les nouvelles fantastiques inventées et écrites par les élèves de 4 ème 2. En espérant que ces histoires vous provoquent des sueurs froides…

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Page 1: Recueil de nouvelles fantastiques fantastiques

Recueil de nouvelles Recueil de nouvelles Recueil de nouvelles Recueil de nouvelles fantastiques fantastiques fantastiques fantastiques

Les élèves de 4Les élèves de 4Les élèves de 4Les élèves de 4èmeèmeèmeème 2222

Editions Rosa ParksEditions Rosa ParksEditions Rosa ParksEditions Rosa Parks Collection Collection Collection Collection SUEURS FROIDESSUEURS FROIDESSUEURS FROIDESSUEURS FROIDES

Dans ce recueil, vous trouverez les

nouvelles fantastiques inventées et

écrites par les élèves de 4ème

2.

En espérant que ces histoires

vous provoquent des

sueurs froides…

Page 2: Recueil de nouvelles fantastiques fantastiques

SommaireSommaireSommaireSommaire

L’Apparition malfaisante, Florent

La Bête de l’ombre, Quentin

La Boucherie infectée, Brian

La Croisade hantée, Anthony

Epidémie, Julien

L’Etrange Apparition, Maureen

L’Etrange nuit, Stanislas

Le Fantôme de l’hôpital, Aurélie

Le Fantôme de ma femme, Mélissa

Le Fantôme de ma femme, Benjamin

Le Fantôme mystérieux, Aurélien

La Maison du fantôme, Phoebé

Mon Mari est un revenant, Héléna

Une Nuit de folie, Gaël

Une Nuit étrange, Marie

Une Ombre dans la nuit, Romuald

La Peur de décembre, Jason

La Peur de ma vie, Valère

Un Phénomène étrange dans le cabinet, Clara

La Route de la peur, Alan

L'Apparition Malfaisante (Florent)

Moi, j'ai ressenti la peur l'hiver dernier, par une nuit de décembre. Une semaine après avoir fêté mes 27 ans, j'allai dans un chalet en pleine forêt, dans les Alpes que j'avais loué. Bonjour je m'appelle Patrick je suis un ouvrier et célibataire.

Cette nuit-là, j'étais dans mon chalet en train de regarder la télévision et boire mon café quand tout à coup il y eut une coupure de courant. Je commençai à entendre des bruits et des voix et ma tasse commença à se fissurer et ma table trembla. Je commençais à avoir des frissons, j'avais une drôle d’impression je me demandais ce qui s'était passé et ce qui allait m'arriver.

L'électricité revint au moment où les bruits s'arrêtèrent au moment où je vis une lueur étrange qui m'intriguait beaucoup. On aurait dit un pouvoir maléfique qui voulait me voir puis les bruits recommencèrent et au moment où j'allais réussir à identifier la lueur disparut comme si elle devenait de la poussière. J'hésitai à sortir dehors pour regarder si il y avait des traces du fantôme puis j'eus le courage d'y aller, je sortis et vis des signes formés dans la neige. On aurait cru que c'était de l'exorcisme. Il y avait des écritures anciennes elles ressemblaient à celles dont mon grand-père m'avait parlé. Le lendemain de mes 14 ans il m'avait dit que c'était de l'exorcisme. Je rentrai de peur d'attraper un rhume.

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J'allais me coucher et il y eut une nouvelle fois une coupure de courant et des bruits assourdissants et des tremblements, à chaque pas que je faisais le parquait craquait. Et comme la première fois le courant revenait, le fantôme de même. Ce coup-là, je voulus sortir et le fantôme commença à s'approcher à son tour. Je crus qu'il voulait me dire quelque chose. Il bougeait d'une façon indéfinie, il faisait des mouvements si bizarres qu'il me fit prendre peur et je devins très pâle. Il était blanc puis il devint noir et il commença à hurler et à faire des gestes brusques. Je crus qu' l avait une bouche car une chose sur le haut de son corps était rouge puis un tourbillon noir apparut dans son espèce de bouche.

La La La La BBBBêteêteêteête de l'ombrede l'ombrede l'ombrede l'ombre

(Quentin)

Moi, j'ai ressenti la peur l'hiver dernier, par une nuit de décembre. Je m'appelle Marc, j'ai 29 ans et je suis vétérinaire depuis deux ans. J'étais dans mon chalet que je venais d'acheter pour mes vacances de décembre. Après plusieurs mois de travail, je pouvais enfin me reposer. J'étais avec mon chien, Olympe, un cavalier Kinne Charle que j'ai depuis mes 20 ans et mon étalon de randonnée Zeus.

Je commençai par ranger mes affaires et à mettre Zeus dans l'écurie. Puis je me mis à table et commençai à manger. Dès que j’eus fini, je partis me coucher. Mais au milieu de la nuit j'entendis un cri strident qui résonna depuis le haut de la montagne. Olympe, tétanisé, n'arrêtait pas d'aboyer et Zeus ruait dans son box. Je commençai par rassurer Olympe en le caressant et en le prenant dans mes bras, et j'allai dans l'écurie pour calmer Zeus. Une fois qu'ils furent tous les deux rassurés, je partis voir avec une lampe aux alentours du chalet pour comprendre ce qu'était ce bruit. A une centaine de mètres du chalet, je vis une sorte d'emprunte qui faisait presque ma taille. Je commençai à prendre peur et je regardai autour de moi et dans le ciel au cas où si l'animal était encore là. Mais bien sûr comme c'était la nuit je ne vis rien du tout. Je repartis me coucher avec une certaine appréhension et une boule au ventre.

Le lendemain matin, je pris un petit déjeuner copieux pour me donner le plus de force possible pour compenser ma nuit quasiment blanche. Je nourris Olympe et Zeus et je partis me promener dans la montagne à cheval. Je me promenai pendant plusieurs heures et j'oubliai très vite la peur de la nuit

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dernière. Je passai par une grande forêt où je vis plusieurs animaux qu’Olympe poursuivait avec panache. Je m'arrêtai pour dîner dans ce bois et repartis en moins d'une heure. Puis vint le soir où j'étais sur le chemin du retour. Bizarrement, j'avais une certaine angoisse sûrement due à la nuit dernière, malgré le fait que j'étais presque sûr que ce n'était qu'une illusion comme j'étais un peut somnolent. Je sortis de mes pensées en entendant Olympe aboyer. Il s'agitait dans tous les sens et Zeus ne tenait pas non plus en place. Il commença à se cabrer et à ruer. Je fus forcé de descendre. Je regardais autour de moi si je voyais quelque chose, mais je voyais mal de loin avec la nuit qui tombait. Puis j'entendis le cri de la nuit dernière. Je levai ma tête et vis une ombre dans le ciel gigantesque plus grande qu'un bus. Cette ombre poussa un nouveau cri, et Olympe vint se réfugier dans mes bras tout comme Zeus qui se collait de plus en plus à moi en tapant du sabot. Puis cette Ombre disparut et je repartis plus vite vers mon chalet avec une peur terrible, une peur qui vous dit qu'à tout moment ce monstre pourrait surgir de n'importe où. Heureusement le chemin du retour se passa sans encombre. Je mis Zeus au box et je mangeai juste quelques fruits et je partis me coucher avec Olympe dans mes bras. Le lendemain matin je pris des médicaments contre les maux de ventre, car je n'avais pas pu dormir à cause de ces douleurs. Les cachets étaient périmés depuis plus d'une semaine mais comme il n'y avait rien d'autre je les pris quand même. Puis à force de m'ennuyer, je décidai de sortir. Donc je repartis dans la montagne avec Olympe et Zeus, mais je ne n'avais ni bridé ni sellé ce dernier. Cela faisait plus de dix ans qu'on était ensemble, donc j'avais eu le temps de savoir le diriger sans selle ni bride. Je trouvais cela plutôt agréable de

pouvoir me promener dans la montagne à cru. J'avais rarement l'occasion de me promener de cette manière comme je travaillais en ville. On se promena pendant quelques heures avant de tomber sur une grotte, à haute altitude. Je descendis et partis l'explorer. En me rapprochant j'entendais de plus en plus fort une sorte de respiration bruyante. Mais ce n'était pas une respiration d'ours ou de puma, mais quelque chose de beaucoup plus imposant. Je jetai un coup d'œil à l'intérieur, mais je ne voyais rien. Je décidai donc d'entrer mais j'ordonnai à Olympe et à Zeus de ne pas bouger d'où ils étaient (depuis le temps, j'avais pu leur apprendre beaucoup d'ordres). J'avais un briquet avec moi, je l'allumai donc pour y voir plus clair. Je ne voyais pas vraiment mieux pour autant. Sauf pour les premiers mètres aux alentours. Puis le souffle devint de plus en plus fort au fur et à mesure que j'avançais, tellement fort que mon briquet s'éteignit, sans que je puisse le rallumer. Je continuai donc à tâtons, jusqu’à ce que je trouve une roche plus rugueuse que les autres. Je la frottai de mes deux mains et là, mes cheveux se hérissèrent, j'eus un frisson me parcourant l'échine et un tremblement terrible : la roche venait de bouger et de pousser un cri !!! Je me retournai et partis en courant (heureusement pour moi la grotte était droite et sans roche à terre ni au plafond comme j'avais pu le constater avec mon briquet avant qu'il ne rende l'âme). En sortant, je pris Olympe qui ne faisait que d'aboyer et je sautai sur Zeus et je partis au grand galop vers le chalet. Je me retournai et je vis sortir de la grotte, une ombre gigantesque noire sortir à grande vitesse et s'envoler vers le ciel et disparaître dans un cri de fureur noir. Je rentrai au chalet en moins d'une heure sans encombre. Je passai le reste de la semaine au chalet et aux alentours avant

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de rentrer chez moi avec une fantastique histoire à raconter que personne ne croirait. Trois semaines plus tard, j'appris que le chalet où je vivais avait été détruit, brûlé par le feu, et la montagne à moitié détruite par des avalanches répétitives, des feux de forêt et d’énormes trous, comme si plusieurs météorites avaient percuté la montagne.

La Boucherie infectée (Brian)

Moi j'ai ressenti la peur l'hiver dernier par une nuit de décembre. J'allais oublier de préciser je m'appelle Bernard, j'habitais Paris. Avant de prendre ma retraite j'étais un psychologue très réputé, les gens m'adoraient pour ma gentillesse et ma capacité à exercer ce métier. Mais je vais vous raconter une histoire certainement inutile car vous ne me croirez certainement pas mis à part ceux qui auraient eu cette même peur que moi. Voici cette chose étrange que j'ai cru voir l'hiver dernier. J'allai me coucher lorsque je me souvins avoir oublié de prendre mon traitement que je suivais déjà depuis cinq ans après avoir été atteint d'une tumeur au cerveau .Je me levai de mon lit et partis prendre mes médicaments situés au bord de ma fenêtre. Lorsque j'eus avalé mes médicaments j'entendis un bruit étrange, je regardai alors à la fenêtre et ce que je vis me donna des frissons j'avais une boule au ventre, une horde de zombies sortit de la boucherie en face de chez moi. Croyant que j'étais fou je voulus repartir me coucher mais je ne me couchai pas avant d’avoir bien fermé mes volets et ma fenêtre. Je repartis me coucher mais je n'arrivai pas à fermer l'œil de la nuit. Le lendemain j'étais tellement fatigué après cette nuit horrible que je dormis toute la journée je me réveillai le soir et comme la nuit d'avant j'allai reprendre mes médicaments et je les avalai. Soudain je revis les zombies que j'avais cru apercevoir la veille, je pris peur. Les zombies avec leurs vêtements tachés de sang et leur tête toute déchiquetée, à

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moitié brûlée se dirigeaient vers ma fenêtre. J'eus de plus en plus peur et commençai à douter de ce que j'avais cru voir. Je les regardai jusqu'à ce qu'ils atteignent la moitié du mur de ma fenêtre et je claquai les volets, les fermai pour que les zombies ne puissent rentrer et je fis de même avec la fenêtre je me dirigeai alors vers mon salon pour prendre la clé des portes je fermai toutes les portes et poussai les meubles devant chaque porte pour être sûr qu'ils ne puissent pas rentrer. Je m'enfermai à clé dans ma chambre je me blottis contre mon lit et me cachai sous la couverture tremblant de peur c'était inimaginable. Je crus que j'allais mourir. Encore une fois depuis deux jours je n'avais pas fermé l'œil de la nuit à cause de cette chose effrayante. J'ignorais si cela allait durer mais je devais pour le moment faire avec. Mais de plus j'avais tellement peur, je tremblais, que je ne voulais plus sortir de chez moi or je commençais à être à court de nourriture. Ce phénomène passé cinq ans auparavant continuait apparemment à se faufiler chez certaines personnes âgées suivant le même traitement que moi puis ces personnes se sont exprimées à la télévision concernant leurs visions. Cela me rassura je n'étais pas le seul à douter de ce que j'avais vu. Ce traitement fut supprimé de toutes les pharmacies mais était-ce vraiment nécessaire je n'en étais pas sûr c'était peut-être nous qui hallucinions. Personne ne le sait encore mais beaucoup de personnes comme les médecins, pharmaciens, psychologue recherchaient d'où pouvaient venir ces hallucinations chez nous personnes âgées suivant ce traitement contre une tumeur au cerveau. Est – ce que ces visions ont vraiment été vues ? Est-ce que ce phénomène surnaturel existait ou étais-ce sous l'impact de ce traitement ? Le pire reste à imaginer.

La Croisade hantée (Anthony)

Moi j'ai ressenti la peur l'hiver dernier par une de décembre. A l’époque, j'étais chef de croisade. J’avais cinquante ans et je venais juste d’hériter du navire de mon père pour naviguer sur la mer Méditerranée. Une nuit, quand je rangeais ma cabine, je crus entendre un drôle de bruit alors je me rendis sur le lieu où il me semblait l'avoir entendu. Une fois sur place mais il n’y avait rien, alors je pensai que ce devait être une baleine. Cette nuit-là quand je pilotais mon navire, je vis passer une femme vêtue de blanc avec un visage très sombre qui flottait dans les airs en me fixant. Je me frottai les yeux puis elle disparut. A ce moment-là je pensais que c’était la fatigue et que j'avais trop bu ; alors j'allai me coucher. Une semaine plut tard au même endroit à la même heure je revis cette femme qui flottait dans les airs. Je me frottai les yeux une nouvelle fois mais cette fois elle était toujours là. Sous l'effet de la panique je fonçai dans ma cabine, ce fut un moment où mes cheveux se hérissèrent de peur j'entendais sans cesse des bruits horribles, le navire n'arrêtais pas de bouger, une sueur froide s’écoulait de mon front et les portes claquaient mais au bout de trois heures, avec la fatigue je finis par m'endormir. Le lendemain je me réveillai la gorge serrée, c’était avec beaucoup de peur que je me levai. Quand je fus sur le pont, tout était calme. Il faisait beau mais alors que s’était-il

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passé ? Avec le temps je pensais que cette femme vêtue de blanc était sans doute que ma voile blanche pendant la tempête ou peut-être un fantôme ?

Epidémie

(Julien) Moi j'ai ressenti la peur l'hiver dernier. Moi je m'appelle John j'ai 37 ans et je suis médecin d'une très grande ville appelée Bordeaux. Je m'entends avec tout le monde. J'habite une très grande maison pas très loin d'un cimetière avec ma femme appelée Tressia. Mais ce jour-là j’étais parti rendre hommage à ma mère qui est morte la nuit dans cette ville d'une crise cardiaque. Depuis ce jour là je ne m’y rendais que la nuit. Je me rendis d'abord chez le fleuriste où je pris des fleurs pour les poser sur la tombe de ma mère. Âpres cinq minutes de marche j'arrivai au cimetière à minuit pile. Je posais les fleurs pour ma mère quand tout d'un coup j'entendis un bruit sourd dans mes oreilles, un bruit de terre qui monte comme si quelqu'un voulait sortir de la terre et d'un coup un orage éclata et il se mit à pleuvoir. J’eus très peur ; je me dis que c'était à cause de la fatigue car il était minuit et je rentrai chez moi pour me coucher car j’étais très fatigué. Je me couchai donc avec ma femme Tressia qui me dit que je semblais très bizarre. Je lui répondis que tout allait bien et je m’endormis. Le lendemain matin je partis travailler toute la journée et je me remis à penser à la scène de la veille quand j’avais entendu ces bruits si terrifiants mais il fallait que je me remette au boulot car j'avais un client qui s’impatientait. Une fois le boulot fini comme d'habitude je me rendis chez le fleuriste pour racheter des fleurs pour ma mère mais le soir sur le chemin je me posai plein de questions par apport à la scène de la veille. Une fois arrivé, j’avais un pressentiment comme si

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il ne fallait pas que j’y aille mais je me sentais obligé. Je partis donc devant la tombe de ma mère et je déposai donc les fleurs sur la tombe de ma mère et à ce moment-là une horde de zombies se mit à sortir de la terre et ils se mirent à m’entourer. Je me mis donc à genoux, je fermai les yeux puis cinq secondes plus tard j’ouvris les yeux puis soudainement plus rien. Cette fois ça me paraissait tellement louche que j’avais encore plus peur que la dernière fois mais je voulais absolument savoir ce qu'il m’arrivait. Cette fois-ci quand je rentrais, ma femme Tressia me dit que je n'étais pas comme avant et que c’était que quand je revenais du cimetière que j’étais comme ça. Le lendemain je devais repartir travailler mais je n'étais plus aussi motivé qu’avant, à cause de ces scènes répétitives de zombies. Mais je devais absolument y aller pour soigner des gens je devais mettre ça de côté. Je partis déjeuner puis travailler. Une fois arrivé au boulot, je m'installai dans mon cabinet pour pouvoir recevoir mes patients. Et mon premier client était une personne très âgée d'une quatre vingtaine d’années et soudainement il se mit à parler de résurrection de personnes mortes qui ressortiraient la nuit à minuit pile. Ce monsieur me donna encore plus peur d’y aller la nuit. C’est pour ça que je voulus partir plus tôt du boulot pour voir si cela ne se passait que tard le soir. C’est pour cela que je me rendis au cimetière et dès que j’arrivai je me méfiai mais la scène se reproduisit encore une fois mais cette fois c’était une centaine de zombies qui se mit à me sauter dessus à cause de ça je m’étais évanoui. Une fois réveillé je me rendis compte que c’était ma femme qui m'avait récupéré. Elle me dit qu'elle était venue au cimetière parce que je ne semblais pas très bien.

Comme je n'étais pas bien, ma femme Tressia m’emmena aux urgences et je fus pris en charge tout de suite par un médecin très réputé. Après une semaine de traitement, je ne m'étais toujours pas remis. Les médecins ne savaient pas ce que j’avais. Je devais soit être fou ou c'était la réalité.

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L'étrange apparition (Maureen)

Moi j'ai ressenti la peur l'hiver dernier par une nuit de décembre. Je travaillais en tant que journaliste dans mon bureau aux Andelys dans une petite ville avec mes deux enfants Sophie et Jonathan. Leur mère était décédée. Puis je ressentis de la fatigue. Je pris la décision de rentrer chez moi. Une fois arrivé, mes enfants tout contents de me voir décidèrent de me raconter leur journée. Je partis mettre la table pour qu’on puisse manger et soudain j'entendis un bruit qui m’appelait. Je ne me demandai pas pourquoi j'avais entendu ce bruit c’était sans doute la fatigue. Ma fille me rejoignit et mit la table avec moi. Elle me vit dans un très mauvais état mais elle préféra ne rien me dire et attendre le lendemain. Le lendemain matin à mon réveil, alors que je descendais l’escalier, je me fis bousculer comme si un être humain me bousculait brutalement. J'eus peur alors je me recouchai et je fermai la porte. Puis mes enfants se levèrent par la suite et sentirent une présence mais ils ne faisaient pas attention à cela alors ils descendirent prendre leur déjeuner, je commençai à me préparer pour aller au travail et j'arrivai au bureau je m'installai. Je sortis mes affaires et je bousculai un cahier et je le ramassai et le cahier se mit en lévitation donc je criai et je

partis en arrière avec la chaise. Je ne crus pas ce que j'avais vu, c'était impossible. Pendant qu’à la maison mes enfants se préparaient pour aller à l'école et au moment où ils se disputaient une présence revint et poussa mes enfants entre eux comme si la présence ne voulait pas qu'ils se disputent, comme ma femme l’aurait fait si elle avait été encore là. Je me posais beaucoup de questions. Serait-t-elle revenue ou non ? Mes enfants eurent très peur, commencèrent à avoir les membres raides, les yeux dilatés, leurs mains moites, les cheveux de mon fils se hérissèrent, les dents de ma fille s’entrechoquèrent. Je rentrai chez moi et je vis mes enfants assis sur le canapé terrifiés sans bouger. Je leur demandai pourquoi ils étaient comme cela et ils me dirent qu'il s'était passé des choses bizarres en mon absence. Je leur dis que pour moi aussi il s’était passé des phénomènes étranges mais qu'il ne fallait pas s’inquiéter pour cela. Mes enfants me demandèrent si je croyais aux revenants. Je leur répondis que oui, cela se pouvait mais que ce n'était rien de grave et que c'était sans doute leur mère qui revenait. Pour en être sûrs, on allait l'appeler et si elle nous faisait signe c'est que c’était bien elle. On l'appela à trois. La nappe de la table bougeait, les fenêtres s’ouvrirent, les portes des meubles claquaient, alors la boule au ventre, le cœur qui battait la chamade, le visage qui blêmit, la gorge nouée. Ensuite ma fille me demanda pourquoi sa maman était décédée qui l’avait tuée. Je lui répondis que nous allions sans doute bientôt le savoir. Une voix qui nous appelait pour qu'on se dirige vers ma chambre puis le placard de ma chambre qui s'ouvrit avec des papiers à l'intérieur. Tout terrifié je n’osai pas regarder mais je pris mon courage à deux mains

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et je pris ce papier je regardai et je criai que j'avais trouvé ce tueur. Je partis à la gendarmerie déclarer le tueur puis les gendarmes l’arrêtèrent. Je retournai à la maison et mes enfants décidèrent d'écrire quelque chose à leur mère sur un bout de papier. J’acceptai. Tous les trois nous écrivîmes, on posa ce papier sur la table et cinq minutes plus tard la feuille était découpée en cœur. Ma femme était bel et bien là. Moi et mes enfants continuèrent notre vie au quotidien.

L’Etrange nuit (Stanislas)

Moi, j'ai ressenti la peur l'hiver dernier, par une nuit du 15 décembre. En 1999 un homme âgé de 45 ans très riche avec trois enfants. Il acheta un manoir de 120 hectares d'une valeur inestimable. Le soir je finissais de manger quand soudain j'entendis un bruit. J'allai voir puis rien. J’allais me couchais quand je réentendis ce bruit. J'y retournai mais cette fois je ne vis encore rien. Je repartis me recoucher mais je ne dormais pas de la nuit. Le lendemain je repartis au travail trois heures plus tard. Je rentrais pour manger le midi, quand j'entendis encore ce bruit bizarre dans la cuisine. Je me dis que c’était souvent dans la cuisine que j'entendais ce bruit. Puis quand j’eus fini de manger, je repartis au travail. Cinq heures plus tard je rentrai plus tard que d'habitude car il était 9h00. Puis je partis regarder la télévision. Dans la nuit, je me réveillai pour aller boire un verre quand soudain je regardai à droite et la télé s’était allumée toute seule. Puis derrière la télé il y avait un truc blanc. J'allai voir et il y avait un fantôme. Je courus dans ma chambre, je fermai ma porte à clef. Puis j'entendis le fantôme casser tout dans la cour. Le lendemain je sortis et dans la cour tout était cassé. Je dus tout nettoyer pendant toute la journée et je ne pus pas aller travailler de la journée. Le soir même vers dix-huit heures mes filles allaient se coucher quand soudain elles arrivèrent en courant très vite et

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me dirent qu'elles avaient entendu un gros bruit comme si un meuble était tombé. Alors je partis quand j’arrivai le bureau, l'armoire, le lit et la penderie étaient retournés et couchés par terre alors je décidai de tout remettre dans l'ordre avant d'aller me coucher sans jamais dormir. Le lendemain après ma douche j’emmenai mes filles à l’école. Quand je rentrai, j'aperçus le fantôme et je partis tout de suite. Après je partis et j'abandonnai la maison pour partir en Auvergne car j'avais hérité d'un héritage. Après j’appris que tous ceux qui habitaient dans la maison avaient vu le fantôme.

Le Fantôme de l’hôpital (Aurélie)

Moi, j'ai ressenti la peur l'hiver dernier, par une nuit de décembre. C’était le soir de Noël, dans l’hôpital Louis Mourier à Paris où je travaillais habituellement en tant qu’infirmière. Je m'appelle Stéphanie, j'ai 30 ans. Je suis veuve depuis 2 mois, mon mari est décédé lors d'une greffe de cœur, dans mon hôpital. Je finissais mon service, j'étais dans les couloirs de l'hôpital.

Soudain, en allant voir un patient qui m'avait appelée pour lui faire un soin spécial, tout à coup je crus entendre un bruit, des chariots où étaient disposés des instruments médicaux tombèrent. Puis d'un seul coup je crus voir une ombre, mais je ne réussis pas à la distinguer, cette ombre était très floue, je ne voyais presque rien, mais il me semblait voir une sorte de grand homme.

Quelques minutes plus tard, j'avais l'impression de voir mon mari en fantôme. Je devins pâle, je restai immobile un instant, je fermai les yeux, les ouvrit, tout était redevenu normal. Etait-ce une simple imagination de ma part ? Une infirmière qui travaillait avec moi ce jour là me demanda ce que j'avais, je ne savais pas si il fallait lui raconter, mais je lui racontai quand même mais elle, elle n'avait rien vu.

Le fantôme que j’avais vu peu de temps avant refit surface. J'essayai d'avancer pour mieux voir mais un bruit me fit sursauter. Ma collègue infirmière qui m'avait demandé ce que j'avais vu avant, quand le fantôme était apparu pour la première fois, elle vint me voir car elle m'avait entendu crier.

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Une fois arrivée à côté de moi, elle aussi elle commençait à avoir peur car je tremblais de partout. J'étais paralysée, mes dents claquaient, mon cœur battait la chamade, tout à coup je tombai dans les pommes pendant une dizaine de minutes. Ma collègue essaya de me réveiller avec de l'eau, elle m’emmena dans la salle de garde. Au bout de quelques minutes je me réveillai. Terrifiée, effrayée de ce qui m'était arrivé je partis chez moi. Arrivée chez moi, je pris un verre d'eau pour me rafraîchir. Et j'allai me coucher pour essayer d'oublier tout ça. Le lendemain je retournai à mon travail, l’infirmière qui était avec moi la veille, lors de l'apparition avait eu un accident de voiture en partant de l'hôpital.

Encore terrifiée de la veille, je me demandai si je n'étais pas une malédiction pour mon entourage ou si c’était parce que j'étais malheureuse de la perte de mon mari deux mois auparavant. Ma tristesse aurait-elle pris le dessus sur mon comportement ? Puis il y avait mes autres collègues de mon hôpital qui me disaient tous que, eux, n’avaient rien vu du tout. Je me dis que je devenais folle, mon entourage, ma mère, mon père, mes frères et sœurs me prirent rendez-vous avec un médecin spécialiste des hallucinations comme j'avais eues.

Le fantôme de ma femme

(Mélissa)

Moi, j'ai ressenti la peur l'hiver dernier, par une nuit de décembre. Nous étions au début du mois de décembre 2011, je devais emménager avec ma femme, Huguette et ma fille, Charlotte, quinze ans dans un grand château en Alsace. Nous préparions les cartons. Un jour ma femme partit faire des courses mais elle ne revint pas. Elle eut un accident de voiture et ne survécut pas, j'étais très triste. Une semaine après, moi Raymond, cinquante ans, je décidai d'aller vivre quand même dans ce château avec Charlotte.

Nous arrivâmes au château le 23 Décembre. Il était tard, nous visitâmes le château cela prit une heure il était très grand, on partit dormir, je rentrai dans ma chambre, pris un livre quand tout à coup j'entendis des bruits de pas dans les escaliers, je crus que c'était Charlotte mais personne n'entra. J'eus peur mais ne m'inquiétai pas mon escalier était en vieux bois il craquait la nuit cela devait être normal.

Le lendemain matin, Charlotte qui avait la chambre d’à côté n'avait rien entendu. Je me dis que j'avais sans doute halluciné dû à la fatigue mais le soir le phénomène se répéta mais cette fois la porte s'ouvrit et après cinq secondes se referma toute seule mais il n'y avait personne, la couverture se souleva et retomba, je sursautai et faillis tomber de mon lit. Je restai pétrifié au moins dix minutes et comme il n'y eut plus rien je me ressassais et au bout d'un moment m'endormis.

Page 13: Recueil de nouvelles fantastiques fantastiques

Le lendemain, Charlotte n'avait toujours rien entendu encore sous les émotions d'hier, je partis faire des courses et revins l'après midi. J'entendis des murmures comme si quelqu'un parlait mais il n'y avait personne, Charlotte étais dans sa chambre, je me demandai si je n'étais pas fou. Après le dîner, je montais les escaliers quand tout à coup des bruits de pas derrière moi mais il n'y avait personne. J'ouvris la porte de ma chambre la lumière fit apparaître l'ombre d'une femme qui se déplaçait vers le lit. La couverture se souleva la carafe versa de l'eau dans un verre, il se souleva et se reposa sur la table de chevet. Cela semblait si réel mais tellement impossible. Charlotte n'avait toujours rien entendu ni rien vu, je préférais ne pas lui raconter je ne voulais pas lui faire peur. Cette journée fut très sombre. Nous étions assis sur le canapé quand je crus voir une femme apparaître mais cette fois Charlotte était avec moi. Je lui demandai en bégayant de regarder mais elle ne voyait rien. J'eus très peur. Cette femme ressemblait à Huguette. Je devenais fou c’était sûr. Charlotte me demanda ce que j'avais je lui répondis que tout allait bien que j'étais fatigué.

Tout en continuant à avoir peur cette femme apparut tous les soirs, je ne sais pas si c'était ma femme ou une inconnue mais je savais que je devenais vieux et que mon cerveau me jouait des tours. Charlotte ne voyait et n'entendait rien. J'étais seul dans mon délire.

Le 11 mai 2021, Charlotte fêta ses 25 ans. Elle quitta le château et s'acheta un appartement en ville. Je me retrouvais tout seul et cela faisait dix que Huguette était décédée et dix ans que ce fantôme me hantait. J'avais toujours ce frisson tous les soirs quand elle venait...

Le fantôme de ma femme (Benjamin)

Moi, j'ai ressenti la peur, l'hiver dernier, par une nuit de décembre. Je devais partir ailleurs pour une affaire de travail avec un collègue à moi et on avait loué une immense maison aussi grande qu'un manoir. Je vis la maison et je m'empressai de la visiter de voir l’intérieur de la maison car je devais faire un reportage sur une soi-disant apparition d'esprit qui s'était passée il y avait maintenant deux semaines de ça. J'avais un petit peu les jetons. J’avais terminé de visiter la maison et il fallait que j’aille diner car j'avais très faim et que j'aille me coucher car j'étais très fatigué. Et puis parce qu’il y avait une dure journée qui m'attendait le lendemain. Le lendemain je me levai, me douchai et je pris le petit-déjeuner comme d'habitude et d'un seul coup j’entendis une voix très étrange qui m'avait l'air très familière et j’avais très peur. D'un seul coup je vis une ombre très, très bizarre et là je courus voir mon fils pour lui dire d'aller prendre son chien pour qu'on parte de là vite fait. Ensuite mon collègue nous rejoignit dans la cave mais l'ombre nous avait suivis dans la cave et le chien n'arrêtait pas d'aboyer et l'ombre partit. Quand on remonta il n’était pas loin de sept heures et demi donc on partit manger dans un restaurant pour se changer les idées.

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Le fantôme mystérieux (Aurélien)

Moi j'ai ressenti la peur l'hiver dernier par une nuit de décembre dans mon manoir à Pitre. J’arrivais chez moi, je rentrais de mon travail quand je rentrais dans mon manoir je vis ma table qui n’était pas à sa place donc je me dis que la fatigue me jouait des tours comme à ce moment-là je travaillais beaucoup alors je décidai d'aller me coucher plus tôt. Dans la nuit j’entendis un bruit je décidai de descendre pour voir ce que c’était et je vis mon chat. Je me dis que c'était lui alors je décidai de prendre mon chat et de remonter me coucher. Le lendemain quand je rentrai de mon travail, je me préparai à manger et je mangeai. Après tout ça je décidai d'aller me coucher je montai les marche et d'un seul coup j’entendis le même bruit que l'autre soir je décidai de descendre pour voir si c'était mon chat mais ce n'était pas lui. Je vis une ombre me passer devant. Pris de panique, je montai dans ma chambre en vitesse. Dans la nuit du lendemain je descendis pour aller boire et je vis le fantôme. Je décidai d’approcher le fantôme il me regardait droit dans les yeux j’avais peur et quand j’étais à trois pas de lui il disparut d'un seul coup. J’avais très peur de dormir dans ce manoir.

Le lendemain je rentrai du travail un peu paniqué d'être là. Je me préparais à manger quand je vis la lampe de ma chambre voler dans les escaliers. Je fus pris de panique et je courus dans ma salle à manger et je me cachai en dessous la table et je vis les pieds du fantôme. Je sortis de dessous la table et le fantôme me vit, il se mit à me poursuivre dans la maison. Je criais de toutes mes forces mais personne ne pouvait m’entendre. Alors je décidai d’aller me cacher dans ma chambre dessous mon lit. Le lendemain je me réveillai en dessous de mon lit. Je sortis d’en dessous et j'avais très peur. Je me préparai pour aller au travail mais j'avais très peur. Le soir quand je rentrais chez moi le fantôme avait disparu. Je me demandais où il était mais je ne le saurais jamais ??

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La maison du fantôme (Phoebé)

Moi, j'ai ressenti la peur l'hiver dernier par une nuit de décembre. J'avais loué une petite maison de campagne dans le Nord de la France pour y passer l'hiver avec mon jeune fils. Grand médecin réputé, et donc très demandé, mes proches et mes collègues me recommandèrent de prendre quelques mois de congés pour récupérer de cette fatigue accumulée. J'allais en profiter pour me donner à mon passe-temps favori : l'équitation avec mon cheval, celui que j'avais acheté un an auparavant. Malheureusement je n'avais pas pensé à louer une maison avec pré pour celui-ci. Je le laissais donc attaché à un pieu devant la porte de ma maison. Nous nous étions donc installés dans cette petite région calme. Mais l'hiver dur et glacé commençait à arriver.

Un soir le vent soufflait très fort, je dînais tranquillement avec mon jeune fils lorsque tout un coup, j'entendis des bruits de pas et des fracassements près de la porte. Les volets claquèrent violemment contre les vitres. Je sortis pour les remettre en place.

J'ouvris la porte de la maison lorsque je crus apercevoir un de mes pots de fleurs se soulever comme si une main le prenait puis retomber et se briser au sol comme si la main l'avait soudainement lâché. Une terreur insurmontable

s'empara de moi. Une sueur froide inonda tout mon corps. Je n'osai absolument pas le raconter à mon fils mais ce doute me hantait terriblement. Je lui racontai alors mon aventure mais il me dit que, comme c'était le soir, je n'avais pas bien vu ou que c'était une illusion liée à la fatigue. J'étais très perturbé par cette hallucination mais le lendemain je m'étais totalement remis de cette soirée.

Quelques jours plus tard, c'était encore le soir. Je lisais tranquillement un livre au coin du feu quand soudain j'entendis des coups frappés à la porte. Personne ne pouvait venir à cette heure-ci, il se faisait tard et je n'avais pas beaucoup de voisin. Le vent soufflait violemment, il faisait très sombre et la pluie commença à tomber. J'allais donc me coucher, avec crainte certes, mais toujours en pensant que ce n'était qu'une apparition, celle de mon imagination.

La nuit, soudain, je sursautai en entendant mon cheval pousser des cris et s'affoler en essayant de rompre la corde qui le retenait. Je sortis de ma chambre, descendis dans le salon, ouvris doucement la porte afin de voir ce qu'il se passait. Je tentai de calmer mon cheval affolé lorsque j'entendis un grondement sourd et terrible dans le vent. Mes dents claquaient, je grelottais de froid, je me sentais paralysé par la peur. Je pus distinguer une voix forte, touffue qui me paraissait mécontente. Je tressaillis. Je tremblai de peur, d'effroi, mais j'essayai de me concentrer pour percevoir ce que me disait cette étrange voix. Soudain, je sentis quelque chose me frôler doucement, c'était quelque chose de froid, je dirais même glacé. Je sentis ma gorge se nouer, se serrer. Puis la même voix se fit entendre. J'entendis le fantôme me parler de sa voix grave en me disant de sortir de chez lui. La

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maison que j'avais n'était donc qu'une maison hantée...Elle ne me coûtait pas très chère... et dans cette région, il n'y avait pas beaucoup d'habitants. J'étais pétrifié, je ne savais plus où j'en étais, tout tournait dans ma tête. Soudain, j'entendis une voix, elle venait de derrière, c'était mon bon fils qui s'était réveillé. Sa présence me retira aussitôt de mes rêveries. Je repris mon calme et faisait semblant d'être allé me promener le cheval car je n'arrivais pas à dormir.

Ma décision fut prise, je ne resterais pas une nuit de plus dans cette maison. Dès midi, je quittais cette région pour revenir là où j'avais toujours vécu, et reprendre mon travail. Mon fils s'inquiétait pour moi, il disait que je me faisais vieux et que ce voyage n'avait pas vraiment résolu le problème. Mais pour moi, j'avais vraiment vécu une aventure terrifiante, aussi me paraissait-t-elle réelle.

Quelques années plus tard, j'étais déjà à la retraite, j'appris que la maison avait été détruite et transformée en un grand champ de blé car, soi-disant, quelques personnes avaient déclaré que la maison avait une sorte d'esprit qui terrifiait les personnes. D'autres se moquaient de leur propos en les disant fous. Moi, je sais ce que j'ai vu et entendu.

Mon Mari est un Revenant. (Héléna)

Moi, j'ai ressenti la peur l'hiver dernier par une nuit de Décembre. Lorsque des bruits étranges, des apparitions de marques de sang apparaissaient sur les murs, et sur le sol dans ma maison à Paris. Moi, Isabelle, et mes filles, Léa et Chloé, nous voyions ceci, mais seulement nous le voyions. Pourquoi ? Nous étions folles? Folles de quoi ?... Je décidai d'inviter mon voisin Nicolas et son fils Léo-Paul. Eux seuls étaient tranquilles dans ma maison. Ils ne ressentaient aucune présence, entendaient ni bruit ni cri et encore moins des pas dans la maison. Un soir je sentis une main se poser sur mon épaule je n'en étais pas sûr bien sûr, je doutais comme à chaque fois que cela m'arrivait. Puis je m'endormis comme un bébé légèrement peureux. Le matin je me levai comme si j'avais oublié, mais là en me regardant dans ce miroir que je tenais dans mes mains je vis une trace de sang sur mon épaule, exactement là où j’avais cru qu'on m'avait touchée. Je me demandais souvent ce qui n'allait pas, j'avais mérité ces frayeurs ? Non sûrement pas, puis que s’était-il passé la veille au soir ? Mes filles qui savaient tout ce qui se passait, faisaient comme si de rien n'était mais elles savaient autant que moi qu'il fallait que ça cesse, que ça nous laisse tranquilles ou alors qu'on puisse identifier ce qui faisait tous

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ces bruits, toutes ces choses que jamais nous n’oublierions. Lorsque je leur dits pour la veille au soir elles dirent qu'il fallait prendre un rendez-vous chez un docteur pour savoir si j'avais un problème, certes ce n'était pas agréable à entendre que mes filles me disent limite que j’étais devenue folle. Mais elles savaient que elles aussi avaient quelque chose mais quoi ? Le lendemain j'avais un rendez-vous chez le Médecin. Vous vous demandez sûrement pour quelle raison? Et bien mes filles et moi nous voulions savoir si nous avions des problèmes mentaux, c'est bizarre? Non car si vous aviez été à notre place vous auriez voulu savoir d'où venaient nos visions si on peut le dire comme ça. Mon voisin m'aidait jour et nuit à surmonter mes peurs qui étaient trop souvent là, en moi. Il savait que j'étais de plus en plus faible, moi je le savais aussi, mais je ne voulais surtout pas vivre mal à cause de choses particulières qui se passaient seulement dans ma tête et celle de mes filles. Ce soir-là moi, Léa et Cloé nous étions fatiguées. Il était 20h50 quand nous nous endormîmes sur le canapé… Trente minutes après on se réveilla par un bruit assourdissant, j'ouvris les yeux et aperçus un homme plein de sang, les vêtements déchirés, pour vous dire il lui manquait même un bras. Léa cria et réveilla Cloé. On avait peur ! On n’essaya même pas de se lever ni de courir, pour vous dire, on était comme paralysées, bloquées au fond du canapé, envahies d'un sentiment atroce, qu’on allait nous enlever, nous tuer, ou cet homme aurai pu nous mordre. Oui je dis ça car en réalité c’était un mort... Un mort vivant. Oui un zombie, comme ce que vous voyez dans les films ou alors dans des livres. Peu de temps après l'homme disparut, tant mieux me dis-je. Mais

où était-il parti ? Moi et mes filles nous partîmes nous coucher tout en se disant que nous avions encore un phénomène particulier à raconter au médecin. Le médecin qui allait sûrement prendre mes filles et moi pour des folles. L'heure de partir était arrivée. Léa et Cloé étaient prêtes et moi aussi. Nous sortîmes de la maison et passèrent chez les voisins pour prendre des affaires et leur ramener en rentrant. Nous partîmes ensuite faire quelques courses... Aucune présence, aucun bruit suspect d'apparition ou encore de trace sur le sol. Je me sentis rassurée car ça depuis 2 mois je ne sortais plus, j'avais trop peur, peur de me faire attraper par le Zombie. Arrivées chez le médecin, on avait une heure d'attente : pas grave nous avions le temps... Ce fut à notre tour, cela alla très vite, il nous prit et nous fit faire une radio cérébrale, et cela indiqua parfaitement qu’on avait chacune dans un petit endroit du cerveau un petit problème qui nous faisait voir des choses, qu'on avait déjà aperçues, à la télé ou autre. Problème résolu maintenant on sait d'où proviennent ces choses bizarres, qui nous ont fait très peur.

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Une Nuit de folie (Gaël)

Moi, j'ai ressenti la peur l'hiver dernier par une nuit de décembre. Je vivais dans une montagne de Haute Savoie dans ma bergerie avec mes voisins qui vivent depuis longtemps en montagne. Je commençais mon élevage de moutons pour faire du fromage. Je m’étais associé à mon voisin qui avait de l'expérience dans ce métier. Je rentrais les moutons dans la bergerie pour traire les brebis pour la commande de noël. Mais je me rendis compte qu'il manquait des brebis mais je n’étais pas sûr alors j'en restai là pour l'instant. Mais j’avais fini de traire les brebis alors je les mis dans la bergerie pour la nuit. Mais le lendemain matin il manquait encore des moutons, deux ou trois. Alors je décidai de mettre des caméras automatiques pour voir ce qui se passait dans le village. Alors je décidai d'aller voir mes voisins. Je demandais aux voisins si ils avaient les même soucis mais ils me répondirent qu'ils n'avaient pas entendu alors je leur expliquai ce qui se passait dans ma bergerie mais ils décidèrent de venir voir ce qui ce passait.

Une nuit étrange (Marie)

Moi, j'ai ressenti la peur l'hiver dernier, par une nuit de décembre. C'était le 12 décembre 1999, il faisait nuit dehors . J'habitais la France, plus précisément Les Andelys, une petite ville pommée dans l'Eure. J'ai vingt quatre ans, je m'appelle Angel, Angel McCartney. Et j'ai deux petites jumelles surnommées Juliette et Maïsa. Mon mari est mort il y a deux jours dans un accident de voiture. Je suis donc veuve.

J'étais là, dans mon lit, à lire un livre que je ne finirais sûrement jamais. Quand tout à coup, j'entendis de drôles de bruits, je me précipitai alors dans le salon, la télé était allumée.

Je me précipitai pour l'éteindre, et partis dans la cuisine me servir un verre d'eau. Une fois servi, je commençais à boire mon verre quand j'entendis de nouveau ce bruit et comme une voix qui me chuchotait à l'oreille. Je sentais une présence derrière moi, un souffle. Mes cheveux se hérissèrent, une boule se forma dans mon ventre, mes dents s'entrechoquèrent et j'eus la chair de poule. Je posai mon verre, me retournai avec une petite boule dans la gorge qui ne me quittait pas. Mais rien, il n'y avait rien du tout. Je ne savais

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pas si j'imaginais tout ça ou si c'était vrai. Après tout j'étais fatiguée d'une lourde journée de travail. Je finis donc mon verre d'eau et partis me coucher.

Une journée passa, tranquillement. Mais le soir tout recommença, en bien pire. J'étais en train de mettre la table, il devait être dans les 19h00 et là j'entendis une assiette tomber. Je partis en courant voir dans la cuisine s’il y avait quelqu'un, un cambrioleur ou quelqu'un comme ça, mais personne. Il n'y avait vraiment personne. Quand soudain je vis une ombre passer dans le couloir. Une ombre grosse et étrange. J'eus peur, et laissai échapper un petit cri strident, faisant échapper ma peur et ma curiosité. J'allais dans le salon, pour voir cette ombre mais ce souffle que j'avais entendu récemment réapparut, quand ma jambe partit en arrière. J'avais eu cette sensation qu'on l'avait attrapée, je me retrouvai sur le ventre. Les quelques vases que j'avais tombèrent et une commode du salon bascula vers l'avant. La peur s'empara de moi et je courus m'enfermer dans les toilettes. Vingt minutes plus tard je sortis de la pièce doucement et allai vers le salon où je découvris mes deux petites filles sur le canapé avec leur doudou en train de regarder la télé, tranquillement... C'était assez bizarre car elles n'avaient rien entendu et à part la commode qui était toujours par terre, rien n'avait bougé. Les vases n'étaient pas cassés et étaient à leur place. Avais-je rêvé ? Était-ce mes filles ? Je n'en savais strictement rien...

Mes filles n'étaient jamais loin quand le phénomène était là, soit dans la pièce d’à coté ou à l'étage. Mais quand elles n'étaient pas là, rien ne se passait, le phénomène ne se montrait pas. Pourquoi ? C'est vrai qu'accuser ses propres

filles est absurde. Mais je n'ai pas d'autre idée par rapport à ça. Mon mari nous aimait et je ne vois pas pourquoi il nous hanterait ou autre. Le phénomène n'a jamais repointé le bout de son nez après cette nuit là. Je n'ai jamais su le fin fond de l'histoire. Pourquoi être venu pour aussi vite repartir ? C'est sûr que c'est mieux comme ça .

Une Ombre dans la nuit (Romuald)

Moi, j'ai ressenti la peur l'hiver dernier par une nuit de décembre. Je m'appelle Kylian, j'ai 23 ans, je suis assez puissant. Je suis régiment désert. Cette année je suis placé dans le Sahara dans l'Afrique de nord pour protéger les villes. Un jour Matthieu, Jonathan et moi étions de garde de soir. Je vis une ombre sur le sol comme s'il y avait une personne qui allait planter le dos de Matthieu. Il regarda bien mais il ne revit plus l'ombre. Il commença avoir très peur alors il paniqua, il voulait partir du camp pour ne plus voir l'ombre mais il ne pouvait pas partir du camp comme ça. Le lendemain matin j’allai faire un tour du camp mais il ne revit pas l’ombre. Tout d'un coup je voulus faire un entraînement de tir car on ne savait jamais ce qui se passait ici. Le lendemain matin tout le camp savait que j'avais vu une ombre mais tout le monde me croyait fou alors je voulus leur montrer ce que j'avais vu. Il faisait nuit alors moi, Matthieu et Jonathan étions de garde cette nuit-là. Je n'en croyais pas mes yeux, je revis l'ombre qui allait planter le dos Matthieu. Je partis voir Matthieu pour lui dire ce qu'il se passait. Matthieu ne croyait pas ce que je lui disais alors Matthieu partit voir notre supérieur pour faire la garde cette

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nuit pour savoir si c'était vrai ce que je lui avais dit. Le soir je revis l'ombre avec un couteau. Le lendemain matin Matthieu raconta à tout le camp ce que je lui avais dit. Alors j’eus honte. Alors je partis voir pour l'ombre on ne la voyait que le soir mais pas dans la journée je ne voyais pas l'ombre.

La Peur de décembre (Jason)

Moi, j'ai ressenti la peur l'hiver dernier, par une nuit de décembre. Je m'appelle Xavier, je suis médecin à l'hôpital de Paris. J’étais à l'hôpital dans mon bureau, je rencontrai un patient et je l'opérai. Je finis ma garde. Je rentrai chez moi, j’allai manger avec ma femme et mon fils. On alla se coucher vers 23 heures. Un jour alors que je me levais à 5 heure 30 je me préparai, je déjeunai et là j'entendis une voix bizarre je me dis que c’était peut-être ma femme ou mon fils. J’allai dans ma chambre, je demandai à Amandine elle me dit que ce n’était pas elle. J’allai voir mon fils, il me dit non. Donc j’allai travailler avec un peu d'inquiétude. J'arrivai à l'hôpital, je dis bonjour à mes collègues, je me préparai, j’allai boire un coup, je revins dans mon bureau.

La peur de ma vie (Valère)

Moi, j'ai ressenti la peur l'hiver dernier, par une nuit de décembre. Le 23 décembre, je n'étais pas très bien car j'avais des problèmes : ma femme venait de divorcer, ma fille faisait sa crise d'adolescence et venait de partir au ski avec sa mère. Je me sentais seul, terriblement seul. J'étais là, dans cette rue sombre de Tours devant un parc de jeux désaffecté, oui, j'étais bien là moi, Robert Deline, 30 ans, avocat. Je promenais mon chien touffu qui s'appelle Babouche quand soudain les lampadaires se mirent à clignoter, les feuilles se mirent en oscillation, le vent soufflait fort et les balançoires grinçaient. Je vis les fantômes de deux petites filles qui riaient et leur visage m'était familier. Je fermai les yeux et quand je les rouvris, elles étaient encore là et quand mon chien aboya, elles disparurent. Elles me rappelaient les petites filles qui avaient été tuées dans une fusillade qui ne les visaient pas dans un parc de jeux. J'avais défendu leur tueur qui n'avait écopé que de deux ans de prison avec sursis.

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Un phénomène étrange dans le Cabinet

(Clara) Moi, j'ai ressenti le peur l'hiver dernier par une nuit de Décembre. Je partais comme tous les jours à mon cabinet pour soigner un patient ; ce patient-là, je le connaissais depuis bien longtemps. Il avait beaucoup de maladies graves. Ce jour-là, il vint me voir car il avait très mal à la tête, mal au ventre, mal aux dents, mal partout. Je n'avais jamais vu ça puis je l'auscultai sans rien trouver. Je trouvai ça très étrange. Je me posais beaucoup de questions.

Puis tout un coup, je vis la porte du cabinet s’ouvrir puis se fermer si fort que le bruit me fit mal aux oreilles. Ensuite je continuai de l’ausculter, je regardai sa gorge quand soudain je vis une dent pousser si vite que je me reculai à une vitesse incroyable. Sa dent avait poussé. Elle avait la forme d'un triangle. A ce moment-là, je repensai à un film que j’avais vu avec ma fille Aurélie, un film de vampires. La dent de mon client lui ressemblait beaucoup. A ce moment-là, je me posai énormément de questions, puis là je vis une deuxième dent pousser aussi vite que l'autre. Mon client commençait à faire des bruits très, très étranges. Mon client commença à crier : '' Je veux du sang vite, vite, je veux du sang ''. Il partit à une vitesse incroyable. Je commençais à m'inquiéter énormément. Je continuais mes auscultations de la journée. Le soir, au cabinet, les portes

continuèrent de se claquer violemment, puis soudain j’entendis une voix dire '' Aide moi, je risque de mourir à cause de toi. '' Je commençai à avoir beaucoup peur alors je cherchai la fiche d’identité du client qui était bizarre ce matin. Sauf que quand je trouvai sa fiche d’identité, je vis écrit '' Suite à un accident violent, il est décédé.'' Je commençai à avoir énormément peur. Je me posais beaucoup de questions. Je regardai l’heure : il était 22h45 donc je décidai de repartir chez moi car il se faisait tard. Je rentrai chez moi, je dis bonjour à ma femme Héléna et ma Fille Aurélie. Ma fille étant couchée, je décidai de raconter tout à ma femme. Elle me dit de faire beaucoup attention, puis dix minutes après, je vis Aurélie descendre de sa chambre pour venir me voir : « Qu’est-ce qu'il se passe ma Chérie ?

- Papa j'ai peur que tu te fasses manger par le vampire. - De quel vampire parles-tu Aurélie ? - Celui dont tu as parlé à maman qui est venu te voir ce

matin. Ne t’inquiète pas papa je vais te protéger. - Oh, merci ma Chérie ; mais n'aie pas peur et va te

coucher. »

Tout le monde partit se coucher. Inquiet, je me réveillai en plein milieu de la nuit. Je partis boire de l'eau et ensuite je repartis me coucher. Il était à peu près 3h30 et j’entendis la peur de la maison souvenir je me dis que j’étais en train de rêver. Alors je me rendormis. Le lendemain, je partis réveiller ma fille pour l'amener au collège, mais elle n’était pas dans son lit. Je pensai qu’elle était partie se laver mais je partis voir et il n’y avait personne alors je cherchai dans les moindres recoins de la maison mais personne. Alors je commençai à avoir beaucoup peur. J’appelai ma femme mais elle ne l'avait pas vue non plus. Alors je pensai au bruit de porte d’hier soir.

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Je me demandai si ce n’était pas Aurélie qui serait partie au cabinet. Alors je pris les clés de ma voiture et je partis au cabinet. Arrivé devant, je vis les clefs accrochées à la porte avec écrit avec du sang sur la porte « Protège-moi ! ». Alors là, la porte s’ouvrit et je vis mon cabinet saccagé. J'en avais les larmes aux yeux. Je me demandais : pourquoi moi ? Pourquoi ? Qu’’avais-je fait pour mériter ça ? Donc là j'appelai ma femme et je lui racontai ce qui s'était passé, elle eut très peur.

La police arrivée, elle examina tout le cabinet. Ma femme bouleversée tomba en larmes dans mes bras. Je tentai de la calmer mais je n'y arrivais pas. Les années passèrent. Trois ans plus tard j’étais à la retraite. Je ne savais toujours pas pourquoi ma fille était morte. Ma femme avait toujours l'impression qu’un jour elle rentrerait à la maison. La police n’avait jamais retrouvé la corps de ma fille. J’avais beaucoup de tristesse. Je la cherchais tous les jours en espérant la retrouver.

La route de la peur (Alan)

Moi, j'ai ressenti la peur l'hiver dernier par une nuit de décembre. Je m’appelle Henri, je suis un avocat de 45 ans qui est très réputé. Je devais partir à l'étranger pour défendre un client pour une histoire de testament.

Je partis de chez moi en voiture. Il faisait nuit. Il neigeait énormément. Il y avait un épais brouillard ; on n'y voyait rien sans avoir de phares antibrouillard.

Tout d'un coup une ombre étrange apparut elle ressemblait presque à une ombre humaine ; j'avais peur mais je devais continuer de rouler alors je continuai tout en pensant à cette ombre.

Une fois à l'hôtel, je partis dans ma chambre pour me coucher mais je ne dormais pas à points fermés. Je repensais à la silhouette que j'avais vue sur la route mais encore une fois je pensais que c'était mon imagination et m’endormis comme un loir.

Après m’être préparé, je partis chercher mon client pour l'emmener au tribunal. Une fois au barreau, j'interrogeai mon client et tout d'un coup un fantôme étrange habillé avec des vêtements sales et en lambeaux apparut derrière mon client

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avec un couteau à la main. Je hurlai à toute la salle de regarder derrière mon client mais ils ne voyaient rien et moi je tremblais de peur et tout le monde me prit pour un fou ! Après cette affreuse histoire, il y eut un report d'audience. Une fois l'affaire reprise mon client fut acquitté.

Un an après cette affreuse histoire j'appris que mon client mourut d'un coup de couteau dans le dos et personne n'avait jamais trouvé le meurtrier. Quand j'appris cela je repensai tout de suite au fantôme du palais de justice et depuis ce temps-là j'ai très peur, à n'importe quel endroit où je me trouve. Je ne serai jamais sûr de cette histoire car le fantôme ne m'est jamais réapparu, soit c'était sous l'emprise de la fatigue ou je suis devenu fou ?