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RECUEIL DE CAPITALISATION D’EXPÉRIENCES ET DE PRATIQUESPROGRAMME EUROPÉEN DE SÉCURITÉ ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE
DANS LES RÉGIONS SUD ET SUD-EST DE MADAGASCAR
Ce projet est coordonné par l’USCPLe projet ASARA est financé par l’Union Européenne
Ce projet est mis en œuvre par :
L’Union Européenne et Madagascar : une coopération qui compte.
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L’Union Européenne et Madagascar : une coopération qui compte.
SOMMAIRE
• Cadres de l’élaboration de la capitalisation d’expériences et de pratiques et les résultats
• Le contenu du recueil de capitalisation: – Amélioration de la sécurité alimentaire : la disponibilité, la
disponibilité, l’utilisation et la durabilité– Amélioration du revenu agricole
CADRES DE L’ÉLABORATION DU RECUEIL DE CAPITALISATION D’EXPÉRIENCES ET DE PRATIQUES
Définitions choisies, démarche, acteurs, critères, et résultats
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Définitions choisies
q « La capitalisation est un processus d’acquisition, de collecte, d’organisation et d’analyse d’informations relatives à une expérience donnée, en vue d’en tirer des leçons et de les partager en utilisant des supports adaptés » (IED 2007, P.9).
q « La capitalisation de pratiquesanalyse et confronte plusieurs actions, les siennes et celles des autres, alors que dans la capitalisation d’expériences, on procède généralement à l’introspection d’une expérience à travers le vécu des différents acteurs d’une même expérience » (A. Gueye-Girardet, 2015)
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Les critères de sélection des thèmesRelève des principaux domaines d’intervention d’ASARA Ø appui à la production, Ø développement de la finance rurale, etØ appui aux chaînes de valeur
Critères de base pour la sélection– Existence de résultats: i) quantitatifs, ii) et/ou qualitatifs)– Transposable – Transférable– Existence de leçons à tirer ou leçons apprises
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La démarche et les acteurs
• Les opérateurs du projet
• L’USCP
Présélection des thématiques
• Les contributeurs principaux
• La facilitatrice
Sélection et rédaction
• Les relecteurs • La facilitatrice
Diffusion du produit
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Les résultats de la capitalisation
q 22 thématiques sélectionnés par 12 opérateurs – dans leur propre zone
d’intervention
q 23 fiches: expériences, pratiques, méthodologiques
q Consolidées sous la forme d’un recueilq Logique de la mission d’ASARA
q Sous-secteurs concernés: Agriculture, élevage, pêche, diffusion des innovations,
aménagement productif, changement climatique, service aux agriculteurs, activitégénératrice de revenu, chaîne de valeur, finance rurale et genre
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Amélioration de l’accès à l’alimentation
q La capacité (capabilité) de produire l’alimentation: facteurs de production, matériels et équipements, les semences et matériel végétal, services aux agro-éleveurs, etc.
q 7 thématiques dont 4 expériences et 3 pratiques déjà éprouvées : q L’adaptation des normes semencières au contexte régional: cas du système SQDq Le bloc agroécologique q L’intégration des MMAV dans le réseau de santé animaleq L’Outil contre travail ou OCT en HIMO pour accélérer l’exploitation des MPIq Les bas-fonds drainés pour conquérir de nouvelles parcelles agricolesq L’herbe à éléphant Relaza: multiple usage agricole et élevage q Modèles et place des boutiques d’intrants dans le dispositif de production agricole
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Adaptation des normes semencières au contexte régional -1
q Limite du cadre légal en vigueur et l’indisponibilité et l’inaccessibilité de semences aux petits producteurs locaux
q Solution: produire localement des semences dans la limite du cadre règlementaire soit créer une couche règlementaire additionnelle
q Démarche: 1. centrée sur les besoins, les pratiques et les contraintes des petits producteurs
agricoles, 2.
3. Formaliser les normes techniques et inscrire les variétés dans le registre régional4. Formation d’environ 300 producteurs de semences et de contrôleurs
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Adaptation des normes semencièresau contexte régional -2
q Résultats: q 37 variétés locales caractérisées et cataloguées, disponibles pour les agriculteurs
locaux q Accroissement du volume de semences produit: 137T en 2015 à 238T en 2017 q Semences disponibles à un prix accessible par les petits producteurs agricoles
q Facteurs favorisants: q Existence de ressources et de structures permettant de réaliser une recherche-action
dans la logique d’un service de proximitéq Coopération avec des centres de recherche [inter]nationaux
q Un processus qui s’inscrit dans la durée et qui doit être poursuivi
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Mise en place de bloc agroécologique -1q Appauvrissement et réduction des terres
agricoles exploitables et exploitées q Reconquête des terres agricoles : en
superficie, en productivité, en diversité de l’agriculture
q Expérimentation de plusieurs techniques : agroforesterie, plante couvrante, bandes fourragères antiérosives.
q Dispositif de diffusion: de paysans àpaysans, au niveau d’un fokontany
q Superficie minimum de 10ha, de parcelles contiguës de plusieurs familles
q Vocation alimentaire, écologique, énergétiques
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Mise en place de bloc agroécologique -2q En Août 2017: 4.975ha de zone d’emprise des blocs:
q 80 paysans relais formésq 10ha à 50 ha en moyenne q 26% sont couvertes de pois d’Angole au profit de 15.000 ménages
ruraux, et 255ha de mil à barbeq Facteurs favorisants:
q le phénomène El Niño, q la disponibilité locale de semence au moment des semis, q la connaissance et le respect des us et coutumes locaux
q Une assise pour la création de valeur ajoutée le long des filières agricoles concernées au sein des blocs
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Accès des femmes chefs de ménages à la terre
q Une organisation communautaire de plus en plus en défaveur des femmes chefs de ménages q Générant un stéréotype – maintenu et entretenu par la pauvretéq Besoin d’une réinsertion économique et sociale des femmes chefs de ménages q Conciliation du droit coutumier et du droit positif – à travers :
q Le service d’Animation du Développementq Le service de concertation locale
q Les formations en techniques agricoles et en conduite d’élevage
Commune LocalitéSuperficie aménagée
(are)
Nombre de plates-
bandes
Nombre bénéficiaires
Mode de faire valoir des terrains
Ampasimalemy Vohilava 75 400 20 Terrain privé
TsianofanaMaropingo 35 150 15 Donation
Tanisoa 60 300 40 Donation
MasianakaNosiomby 10 37 12 Utilisation
temporaireAmbalavala 15 48 8Marokibo Marokibo 35 154 38
Utilisation pour 5 ans
Mahabe Mahabe 25 100 14Fenoambany Ambatosarotra 35 160 20Sandravinany Sandra 1 30 120 18TOTAL 320 1 469 185
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Intégration des MMAV dans le réseau de santé animale -1
q Maillage vétérinaire faiblement organisé et déstructuré surtout pour les services aux éleveurs
q Solution : Harmoniser les services aux éleveurs par la mise en place des MMAV
q Démarche: q Concertation avec le MPAE et l’ONDVMq État des lieux sur la santé animale q Définition des attributions des MMAVq Homogénéisation et standardisation des compétences des MMAVq Formation, évaluation et suivi des MMAV
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Intégration des MMAV dans le réseau de santé animale -2q 1 agent disponible et en service dans un rayon de 10km, 114
MMAVq30.000 agro-éleveurs desservis q Amélioration significative de la santé animale: pratique de la
vaccination, déparasitage et déclaration de maladies q Disponibilité de référentiels de formation utilisables :
q Manuel de mise en place des MMAVq Un guide de formation à destination des formateurs q Manuel illustré de formation des MMAV
q À suivre et à réfléchir: q Manuel de certification des formations des MMAVq Organisme chargé de la formation q Coût de la formation
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Modèles et place des boutiques d’intrants dans le dispositif de production -1
q Demande en équipements et matériels agricoles irrégulièrement satisfaite q Offre quasi-inexistante en semences de qualité et en produits phytosanitaires q Solution: favoriser l’émergence d’un service aux agriculteurs par les boutiques
d’intrants avec 3 préconditions:q Le pilotage des leaders locauxq L’acceptation des épiciers à proposer un service et des produits additionnels q L’existence des fournisseurs locaux
q Impliquer les futurs clients dans le processus de sélection du boutiquierq Former les boutiquiers et sensibiliser la communauté des paysans sur la
disponibilité de ce nouveau service
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Modèles et place des boutiques d’intrants dans le dispositif de production -2
q Autorisation de vente de produits phytosanitaires par le DPV
q 6 boutiques d’intrants fonctionnels depuis 2015
q 5.500 clients – ménages ruraux q 83 millions Ariary de CA en 2017q Importance similaire de la dimension sociale
et financière des BIq Boutiquiers devenus des conseillers des
agriculteurs – clientsq Diversification progressive des produits
proposés à la vente
Semences26%Outils manuels de
travail de sol
Outils tractés de travail de sol
45%
Matériels d’entretien
13%Autres
1%
Typologie des ventes effectuées sur le chiffre d'affaires réalisé par les 6 Boutiques
d'Intrants
Semences Outils manuels de travail de solOutils tractés de travail de sol Matériels d’entretien Autres
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Amélioration de la disponibilité alimentaire q Rendre disponible de l’alimentation de base, nutritive, diversifiée eten quantité suffisante directement au niveau des ménages
q 4 thématiques dont 3 expériences et 1 pratique déjà prouvée dansd’autres contextes: q La culture de manioc en « billon amélioré »q La relance de la culture du milq La patate douce vietnamienneq La domestication d’igname
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La relance de la culture du mil -1q Besoin en céréale alimentaire tolérante aux conditions et
variabilités climatiques locales q Diversification de l’alimentation de base, réduisant sur la
pression sur les aliments de base usuels q Mil: Reconquête d’une pratique agricole destinée à l’alimentationq Démarche basée sur l’expérimentation continue et l’application au
niveau des paysans (CTAS, Gret, FOFIFA, ANCOS, ICRISAT, CIRAD, FAO)
q 3 variétés: Saretsako, Besomotse, Bevaokeq En 2017, 300ha emblavés par 500 ménages
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La relance de la culture du mil -2q Production de semences: 10,5t (2014) > 70t (2017)= 5.000t pour la
consommation annuelle d’environ 35.000ménagesq Avantages reconnues du mil:
q Meilleure résistance à la sécheresse comparée au maïs et au sorghoq Coût peu élevé de productionq Précocité du mil avec les variétés de trois moisq Facilité de stockage de leurs chandelles ou grainsq Mil augmente de volume à la cuisson comparé aux autres céréalesq Utilité des tiges de mil.
q Déterminants de cette réussite: un cadre règlementaire favorable et une réponse effective aux besoins des ménages producteurs
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La domestication d’igname -1 q Une insécurité alimentaire chronique: spéculation agricole à faible pouvoir
calorique, peu productive et sensible au déficit pluviométrique q Introduction d’une spéculation tolérante aux contraintes climatiques mais avec
un plus fort rendement et ne nécessitant pas beaucoup d’entretien : l’igname q Démarche :
q 2014: Expérimentation avecq 12 paysans expérimentateurs au niveau de 6 Communes, 10 ACF et 2 formateurs de l’ONN
q 2015: Démonstration sur des parcelles dédiées de la technique, du stockage et de la consommation:q 76 Champs-écoles, 4 PMS, 8 GCV ET 27 CAEM
q 2016: Diffusion;q 315 Paysans leadersq 54 ACF pour les démonstrations foraines, 1 radio locale, 2 techniciens de CSA q 14 PMS et 6 BI
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La domestication d’igname -2q En 2017: 5T d’igname produit par les PMS dont:
– 3T vendus à des opérateurs de projet et 2T sur le marchélocal
– 500.000Ar par PMS ou l’équivalent de 285kg de riz blanc (4 mois de consommation)
q 2.000 ménages adoptants : 10 à 500 pieds par ménages, une estimation de 600kg/ménage pour la prochaine récolte = 125j de consommation i.e une réduction de 80% de la période de soudure
q Facteurs favorisant l’adoption : le rendement, et le goût très apprécié de l’igname
q Leçons apprises: – Temps nécessaire pour la diffusion : apprentissage,
acceptation, maitrise de la technique – Approche systémique et multi-acteurs – Disponibilité locale de semences
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Amélioration de l’accès au financement ruralq S’inscrit dans la logique d’amélioration de la capacité de production q Bancarisation en milieu rural (IMF) : épargne, créditq Subvention des activités du secteur de production (FDA):
q agriculture, élevage et pêche artisanaleq 6 services
q 4 expériences prometteuses: q Crédit avec Éducationq Traçabilité des versements des apports des bénéficiaires de subventionq Efficacité et efficience de la procédure d’octroi de subventionq Appui au secteur pêche à travers le FDA
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Crédit avec Éducation -1q Capacité de générer de revenu additionnel pour se procurer de la
nourritureq Catégorie de la population n’ayant pas accès aux ressources
usuelles – besoin d’une ressource adéquate pour développer les moyens de subsistances = crédit avec éducation (CAE)
q Cibles spécifiques : femmes pourvoyeurs de revenu pour le ménage, groupées dans une association de crédit
q Cycle de remboursement de 16 semaines, en 3 étapesq Recrutement de l’AC et les réunions FOAC (5)q Suivi, contrôle et remboursement q Préparation d’un nouveau cycle
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Crédit avec Éducation -2
q Résultats:q Un crédit intéressant les femmes: multiplié par 9 (2014-2017)q 2.200 femmes concernéesq 99% de remboursement à échéance q Épargne = investissement productif
q Critères retenus pour une AC: solidarité des membres, diversité, un leader au sein de l’association, intégrité de chaque membre.
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Subvention de recherche pour développer la pêche artisanale -1
q Logique d’adaptation et de viabilité de la pêche artisanale
q Service financé à 100% par le FDA
q Deux approches et innovations intéressantes à Anosy:q Grossissement des moules : appât des langoustes
q Utilisation de viviers flottants pour les femelles ovées: parquer les femelles
ovées et les jeunes langoustes
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Subvention de recherche pour développer la pêche artisanale -2
q Grossissement et multiplication des moules: q 19 millions Ar de subventionq Expérimentation sur sites (2-3mois) q 150T en février 2017: 86% appâtsq 19 pêcheurs pratiquants
q Utilisation de viviers flottants ou fameloma pour les femelles ovées : q 70% de réserve de langouste à Madagascarq 30% de capture est < 20 cmq Autant de femelles ovéesq 119 sur 150 pêcheurs enquêtés déclarent utiliser le fameloma
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Développement des chaînes de valeur et Augmentation du revenu
q S’inscrit dans la logique d’amélioration la productivité, de la
compétitivité et de profitabilitéq Élevage de volaille et de petits ruminants,
q Apiculture,
q Culture de rente
q Mais aussi selon une logique de la durabilitéq Plateforme pour piloter et promouvoir une chaîne de valeur
q Coordination locale des actions de développement par les Communes
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Unité mobile de collecte et d’extraction de miel -1
q Filière en plein essor mais demande insatisfaite (en volume et fluctuante)
q Sud et Sud-Est de Madagascar : miel de terroir, apiculture peu développé et dans des zones enclavés
q Accroître la production et améliorer la qualité: q Formation des apiculteurs q Dotation en matériel et équipements de
qualitéq Service ambulant d’extraction et de
collecte
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Unité mobile de collecte et d’extraction de miel -2Des unités mobiles : extraction, collecte, formation et conseil aux apiculteurs, et plus encore…
q 25 unités de collecte: 12 Anosy, 4 Androy, 9AAq 2 formateurs et 2 représentants des apiculteurs
par UCq 2 collectes par an selon les terroirsq 2T (2014) > 7.8T (2016) > 39T (2017)q P(kg)= 2.100Ar (2013) > P(kg)= 7.000Ar (2017)q 1.000Ar/litre de miel collecté (40-60:
maintenance du matériel et salaire) q Marge d’amélioration:
q Reconnaissance des UC (certification)q Recherche d’efficience
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Élevage de caprins -1 qMultiples facteurs contraignant le
développement de l’élevage de caprin : climatique, sanitaire, zootechnique, et économique
qSolutions à multiples facettes et intégrées: q Un service structuré de santé animale q Un instrument financier existant q Organiser les groupements d’éleveurs q Démontrer la faisabilité des techniques de conduite
d’élevage amélioré: par des éleveurs-leaders, ferme-école (habitat, soins, alimentation et reproduction)
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Élevage de caprins -2q Paiement effectif des services de santé animale par les éleveurs, q Réduction du taux de mortalité de 23% à 4%q 246.000Ar de revenu annuel par la vente: 3 à 16 têtes vendues
Misaotra indrindra!Merci beaucoup!