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Ça s'est passé il y a 100 ans 1916 Le butin des Alliés + « Nos affaires vont de mieux en mieux. Je ne veux pas, aujourd’hui, m’appesantir sur les détails de l’offensive prise par les Alliés sur tous les points de l’immense front de bataille où partout ils ont l’avantage. Je me contenterai de vous mettre sous les yeux le tableau relevé par Le Journal, d’après les communi- qués officiels, du butin réalisé par eux depuis le 1 er juillet jus- qu’au 18 septembre. Les Français ont fait 33 699 prison- niers, les Anglais 21 450, les Russes 402 471, les Italiens 33 048. Soit au total 490 668 prisonniers. Les canons enlevés à l’ennemi, pendant la même période, sont au nombre de 1 131, dont 145 par les Français, 109 par les Anglais, 841 par les Russes, et 36 par les Italiens ; 2 624 mitrailleuses s’ajoutent à ces totaux. le nombre des tués et des blessés peut être estimé à 500 000 au moins. Les Allemands avouent avoir perdu, eux seuls, dans le mois d’août 235 000 hommes. » Billets cherchent propriétaires + Madame D., demeurant rue Nationale, a trouvé deux billets de banque. Le jeune Eugène F., âgé de 8 ans, réfugié, demeurant rue de la Barre au n°43 a trouvé un billet de banque. Nos sincères compliments. Permission de 48 heures + En vue de permettre aux mili- taires de revoir leur famille avant de partir au front, le ministre de la Guerre décide que des permissions de 48 heures leur seront accordées, au moment où ils deviennent mobili- sables, sous certaines réserves. Elles pourront toujours être refusées si les nécessités du ser- vice l’exigent ou encore en cas de punition grave ou de mauvai- se conduite. Le prix du sang + « Deux membres du gouverne- ment anglais, MM. Asquith et Henderson ont perdu chacun un fils, cette semaine, sur le front de la Somme. Déjà, auparavant, les fils de quatre autres ministres anglais avaient été tués en France. » Source : L’Écho de l’Indre, 22 septembre 1916. Recueilli par Damien Carboni. Terroir ‘univers artistique de Raynal Pellicer, 51 ans, est pour le moins foisonnant. Pourtant, rien ne prédestinait ce gamin natif du Plessis-Trévise, dans le Val-de- Marne, qui a grandi en banlieue pari- sienne dans un quartier pavillonnaire avec trois sœurs et un frère, à sortir des sentiers battus. « Lucienne et Dominique, mes parents, tenaient un bar, explique celui qui a quitté la porte de Vincennes pour s’installer, voilà neuf ans, dans la rue Bourbon- noux à Bourges. J’ai effectué toute ma scolarité en banlieue. En 1984, j’ai passé un bac littéraire en dilettante au lycée Flora-Tristan, à Noisy-le- Grand. » Un échec. Qu’importe, Ray- nal trace déjà sa route. « J’ai réalisé, vers l’âge de 22-23 ans, un premier reportage de 7 minutes sur le kara- teka Emmanuel Pinda. J’ai réussi à le vendre à TF1 qui l’a diffusé, à l’époque, dans l’émission Formule sport présentée par le journaliste Hervé Duthu. Éric, un copain d’une boîte de postproduction, m’avait prêté le matérielCourt métrage avec Bruno Masure Raynal a ensuite multiplié les colla- borations : reportages de 26 minutes pour TF1 sur le rugbyman Serge Blanco et le boxeur Christophe Tiozzo, mais aussi sur les J.O. de Bar- celone, en 1992 pour Mag Max (Canal+), présenté par Didier Rous- tan. « J’ai réalisé des pastilles (pro- grammes courts) sur des sportifs comme le perchiste Jean Galfione, le pongiste Jean-Philippe Gatien, le nageur Stephan Caron et l’athlète Stéphane Diagana. » En 1995, Ray- nal a ensuite réalisé le documentaire Le Vieil Homme et la fleur (52 min pour Arte) consacré à l’explorateur Théodore Monod. Puis il a collaboré durant trois ans avec le producteur Philox sur la chaîne cryptée pour l’émission C-net , alternance de repor- tages et de sketchs. Suvront pêle- mêle : 42 pastilles consacrées à des champions olympiques (en 1998 sur France 2), d’autres pour M6 et France 3, le générique de l’émission Vol de nuit présentée par PPDA, des spots de pub pour la maison Nina Ricci et le court métrage Enquête d’audience (sur Canal+). « Bruno Masure venait de se faire virer du 20 h, rappelle-t-il. Dans ce film avec Richard Berry et Dieudonné, il jouait son propre rôle. Il braquait des banques pour faire la une du 20 hMais le monde de la télé finit par le lasser. « Je suis autodidacte, poursuit- il. Ce qui m’intéresse, c’est d’alterner. Mon métier est une évolution per- manente. Comme à la télé tout est for- maté j’ai commencé à proposer des projets à des éditeurs, tel le livre Pho- tomaton (2011), sur l’histoire de ce procédé détourné par Andy Warhol et Topor. » Auparavant, Raynal a publié Présumés coupables, une his- toire de la photo anthropométrique (Éditions de La Martinière) portant sur « la photo judiciaire face/profil (appelée mugshot aux États-Unis) . Je m’intéresse à la photo depuis long- temps. Faire des choses différentes déroute les gens. Après ce livre, j’ai rencontré en 2012 un capi- taine de police de la brigade de répression du banditisme (BRB) qui faisait partie du groupe des enquêtes géné- rales spécialisé dans les très gros braquages. Je me suis dit qu’il y avait un documen- taire à faire. » Mais Raynal essuie les refus d’Hélène Dupif, ancienne commissaire de la BRB, et du directeur de la police, peu enclin à en montrer les coulisses. Transformé en reportage dessiné, le projet est finalement accepté. Durant quatre mois, Raynal s’immerge au quotidien – nuits et week-ends com- pris – dans un service « aux antipodes des séries télé où une enquête pour braquage prend du temps, confie-t- il. Ce sont des besogneux. Raconter le quotidien m’intéresse. J’ai assisté à des auditions qui ne peuvent être le fruit d’un scénariste. La réalité est par- fois inattendue. » Ses notes, photos et enregistrements de conversations sont ensuite traduits sous forme de 300 dessins à l’aquarelle réalisés par Titwane, dessinateur et illustrateur tourangeau rencontré, en 2011, lors du tournage de l’émission de TF1 Ce soir, on dîne ailleurs (trente portraits de chefs étoilés). Sorti en 2013, Enquêtes générales est plutôt bien reçu du côté de la PJ, réputée « bri- gade de taiseux ». Raynal s’est ainsi ouvert les portes de la Crim et sa célèbre adresse du 36 quai des Orfèvres. Il s’y est immergé durant trois mois en 2014 pour son deuxième reportage dessiné, Brigade criminelle (paru en 2015). Raynal, qui se sent « privilégié d’avoir pu pénétrer dans les coulisses de ces services » travaille actuellement sur un troisième repor- tage dessiné consacré à la Brigade des mineurs, au sein de laquelle il a passé deux mois (sortie prévue début 2017). Cet amoureux du Berry vient également de lancer Le Quatrième tiers, une revue portfolio bimensuelle consacrée aux artistes de la région Centre. Un titre clin d’œil à une scène Berrichon d’adoption, il carbure aux coups de cœur. Gros plan, au pied de la cathédrale de Bourges, sur ce réalisateur, auteur et éditeur autodidacte dont le CV est « un joyeux bordel ». fameuse du film Marius de Marcel Pagnol. Son originalité ? «Il n’y a ni biographie, ni commentaire, précise Raynal. Ce qui m’intéresse, c’est une rencontre à un moment donné. Le narrateur s’efface au profit de l’inter- viewé. Je le rencontre et on discute pendant deux heures. J’enregistre, je retranscris et gomme les questions. Le résultat est une interview à la pre- mière personne du singulierLouis Jourdan, peintre castrais à l’honneur Pour le premier numéro, Raynal a ren- contré le peintre castrais Louis Jour- dan. « Ses paysages du Berry sont dénués de présence humaine et très graphiques, insiste Raynal. Il parvient à mettre beaucoup d’espace dans de petits cadres. Il raconte comment la terre du Berry a été malmenéeOutre, le peintre berruyer Oznek, les bonshommes du peintre Guillaume Ledoux, également chanteur du groupe berrichon Blankass et... voi- sin de Raynal dans la rue Bourbon- noux, sont à l’honneur. « En 1995, j’avais raté un appel d’offres pour réa- liser leur clip La couleur des blés, se souvient Raynal. J’ai tourné, en 2014, celui du titre Je me souviens de toutc Damien Carboni Contact par mail : [email protected] ou www.le-quatrieme-tiers.com PARCOURS Raynal Pellicer, ce fondu qui enchaîne Repères È 28 FÉVRIER 1966 : Naissance au Plessis-Trévise (Val- de-Marne). È 2013 : Sortie d’Enquêtes générales (Éditions La Martinière). È 2013 : Rencontres d’Arles. È 2014 : Réalise le clip du groupe Blankass. È 2015 : Sortie de Brigade criminelle (Éd. La Martinière). È 2016 : Sortie de la revue Le Quatrième tiers. È Croqué ici par Titwane, Raynal – aussi photographe sur smartphone de Bruno Solo, Patrice Leconte et Jean-Christophe Rufin – a consacré le n°3 du Quatrième tiers aux peintures de Guillaume Ledoux. En immersion à la Brigade de répression du banditisme et au 36, quai des Orfèvres Raynal Pellicer Du 22 septembre au 28 septembre 2016 40 L

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Page 1: Raynal Pellicer, 1916 - doyoubuzz.com · spots de pub pour la maison Nina Ricci et le court métrage Enquête d’audience (sur Canal+). « Bruno Masure venait de se faire virer du

Ça s'est passé il y a 100 ans

1916Le butin des Alliés+ « Nos affaires vont de mieuxen mieux. Je ne veux pas,aujourd’hui, m’appesantir sur lesdétails de l’offensive prise parles Alliés sur tous les points del’immense front de bataille oùpartout ils ont l’avantage. Je mecontenterai de vous mettre sousles yeux le tableau relevé par LeJournal, d’après les communi-qués officiels, du butin réalisépar eux depuis le 1er juillet jus-qu’au 18 septembre. LesFrançais ont fait 33 699 prison-niers, les Anglais 21 450, lesRusses 402 471, les Italiens 33 048. Soit au total 490 668prisonniers. Les canons enlevésà l’ennemi, pendant la mêmepériode, sont au nombre de 1 131, dont 145 par lesFrançais, 109 par les Anglais,841 par les Russes, et 36 par lesItaliens ; 2 624 mitrailleusess’ajoutent à ces totaux. lenombre des tués et des blesséspeut être estimé à 500 000 aumoins. Les Allemands avouentavoir perdu, eux seuls, dans lemois d’août 235 000 hommes. »

Billets cherchentpropriétaires+ Madame D., demeurant rueNationale, a trouvé deux billetsde banque.Le jeune Eugène F., âgé de 8 ans, réfugié, demeurant ruede la Barre au n°43 a trouvé unbillet de banque. Nos sincèrescompliments.

Permission de 48 heures+ En vue de permettre aux mili-taires de revoir leur familleavant de partir au front, leministre de la Guerre décide quedes permissions de 48 heuresleur seront accordées, aumoment où ils deviennent mobili-sables, sous certaines réserves.Elles pourront toujours êtrerefusées si les nécessités du ser-vice l’exigent ou encore en casde punition grave ou de mauvai-se conduite.

Le prix du sang+ « Deux membres du gouverne-ment anglais, MM. Asquith etHenderson ont perdu chacun unfils, cette semaine, sur le frontde la Somme. Déjà, auparavant,les fils de quatre autresministres anglais avaient ététués en France. »

Source : L’Écho de l’Indre, 22 septembre 1916. Recueilli par Damien Carboni.

Terroir

‘univers artistique de RaynalPellicer, 51 ans, est pour lemoins foisonnant. Pourtant,

rien ne prédestinait ce gamin natif duPlessis-Trévise, dans le Val-de-Marne, qui a grandi en banlieue pari-sienne dans un quartier pavillonnaireavec trois sœurs et un frère, à sortirdes sentiers battus. « Lucienne etDominique, mes parents, tenaient unbar, explique celui qui a quitté laporte de Vincennes pour s’installer,voilà neuf ans, dans la rue Bourbon-noux à Bourges. J’ai effectué toutema scolarité en banlieue. En 1984, j’aipassé un bac littéraire en dilettanteau lycée Flora-Tristan, à Noisy-le-Grand.» Un échec. Qu’importe, Ray-nal trace déjà sa route. « J’ai réalisé,vers l’âge de 22-23 ans, un premierreportage de 7 minutes sur le kara-teka Emmanuel Pinda. J’ai réussi à levendre à TF1 qui l’a diffusé, àl’époque, dans l’émission Formulesport présentée par le journalisteHervé Duthu. Éric, un copain d’uneboîte de postproduction, m’avaitprêté le matériel. »

Court métrage avec Bruno MasureRaynal a ensuite multiplié les colla-borations : reportages de 26 minutespour TF1 sur le rugbyman SergeBlanco et le boxeur ChristopheTiozzo, mais aussi sur les J.O. de Bar-celone, en 1992 pour Mag Max(Canal+), présenté par Didier Rous-tan. « J’ai réalisé des pastilles (pro-grammes courts) sur des sportifscomme le perchiste Jean Galfione, lepongiste Jean-Philippe Gatien, lenageur Stephan Caron et l’athlèteStéphane Diagana. » En 1995, Ray-nal a ensuite réalisé le documentaireLe Vieil Homme et la fleur (52 minpour Arte) consacré à l’explorateurThéodore Monod. Puis il a collaborédurant trois ans avec le producteur

Philox sur la chaîne cryptée pourl’émission C-net, alternance de repor-tages et de sketchs. Suvront pêle-mêle : 42 pastilles consacrées à deschampions olympiques (en 1998 surFrance 2), d’autres pour M6 etFrance3, le générique de l’émissionVol de nuitprésentée par PPDA, desspots de pub pour la maison NinaRicci et le court métrage Enquêted’audience (sur Canal+). « BrunoMasure venait de se faire virer du

20 h, rappelle-t-il. Dans ce film avecRichard Berry et Dieudonné, il jouaitson propre rôle. Il braquait desbanques pour faire la une du 20 h. »Mais le monde de la télé finit par lelasser. « Je suis autodidacte, poursuit-il. Ce qui m’intéresse, c’est d’alterner.Mon métier est une évolution per-manente. Comme à la télé tout est for-maté j’ai commencé à proposer desprojets à des éditeurs, tel le livre Pho-tomaton (2011), sur l’histoire de ceprocédé détourné par Andy Warholet Topor. » Auparavant, Raynal apublié Présumés coupables, une his-toire de la photo anthropométrique(Éditions de La Martinière) portantsur « la photo judiciaire face/profil(appelée mugshotaux États-Unis). Jem’intéresse à la photo depuis long-temps. Faire des choses différentesdéroute les gens. Après ce livre, j’ai

rencontré en 2012 un capi-taine de police de la brigadede répression du banditisme(BRB) qui faisait partie dugroupe des enquêtes géné-rales spécialisé dans les trèsgros braquages. Je me suisdit qu’il y avait un documen-taire à faire. » Mais Raynalessuie les refus d’HélèneDupif, ancienne commissaire

de la BRB, et du directeur de la police,peu enclin à en montrer les coulisses.Transformé en reportage dessiné, leprojet est finalement accepté. Durantquatre mois, Raynal s’immerge auquotidien – nuits et week-ends com-pris – dans un service « aux antipodesdes séries télé où une enquête pourbraquage prend du temps, confie-t-il.Ce sont des besogneux. Raconterle quotidien m’intéresse. J’ai assistéà des auditions qui ne peuvent être le

fruit d’un scénariste. La réalité est par-fois inattendue.» Ses notes, photos etenregistrements de conversationssont ensuite traduits sous forme de300 dessins à l’aquarelle réalisés parTitwane, dessinateur et illustrateurtourangeau rencontré, en 2011, lorsdu tournage de l’émission de TF1 Cesoir, on dîne ailleurs (trente portraitsde chefs étoilés). Sorti en 2013,Enquêtes générales est plutôt bienreçu du côté de la PJ, réputée « bri-gade de taiseux». Raynal s’est ainsiouvert les portes de la Crim et sacélèbre adresse du 36 quai desOrfèvres. Il s’y est immergé duranttrois mois en 2014 pour son deuxièmereportage dessiné, Brigade criminelle(paru en 2015). Raynal, qui se sent « privilégié d’avoir pu pénétrer dansles coulisses de ces services» travailleactuellement sur un troisième repor-tage dessiné consacré à la Brigadedes mineurs, au sein de laquelle il apassé deux mois (sortie prévue début2017). Cet amoureux du Berry vientégalement de lancer Le Quatrièmetiers, une revue portfolio bimensuelleconsacrée aux artistes de la régionCentre. Un titre clin d’œil à une scène

Berrichon d’adoption, il carbure aux coups de cœur. Gros plan, au pied de la cathédrale de

Bourges, sur ce réalisateur, auteur et éditeur autodidacte dont le CV est «un joyeux bordel ».

fameuse du film Mariusde MarcelPagnol. Son originalité ? «Il n’y a nibiographie, ni commentaire, préciseRaynal. Ce qui m’intéresse, c’est unerencontre à un moment donné. Lenarrateur s’efface au profit de l’inter-viewé. Je le rencontre et on discutependant deux heures. J’enregistre,je retranscris et gomme les questions.Le résultat est une interview à la pre-mière personne du singulier. »

Louis Jourdan, peintrecastrais à l’honneurPour le premier numéro, Raynal a ren-contré le peintre castrais Louis Jour-dan. « Ses paysages du Berry sontdénués de présence humaine et trèsgraphiques, insiste Raynal. Il parvientà mettre beaucoup d’espace dans depetits cadres. Il raconte comment laterre du Berry a été malmenée. »Outre, le peintre berruyer Oznek, lesbonshommes du peintre GuillaumeLedoux, également chanteur dugroupe berrichon Blankass et... voi-sin de Raynal dans la rue Bourbon-noux, sont à l’honneur. « En 1995,j’avais raté un appel d’offres pour réa-liser leur clip La couleur des blés, sesouvient Raynal. J’ai tourné, en 2014,celui du titre Je me souviens detout.»c Damien Carboni• Contact par mail :[email protected] www.le-quatrieme-tiers.com

PARCOURS Raynal Pellicer, ce fondu qui enchaîne

RepèresÈ 28 FÉVRIER 1966 :Naissance au Plessis-Trévise (Val-de-Marne).È 2013 :Sortie d’Enquêtesgénérales (Éditions La Martinière).È 2013 :Rencontres d’Arles. È 2014 :Réalise le clip du groupeBlankass.È 2015 :Sortie de Brigadecriminelle (Éd. La Martinière).È 2016 :Sortie de la revue Le Quatrième tiers.

ÈCroqué ici par Titwane, Raynal – aussi photographe sur smartphone de Bruno Solo, Patrice Leconteet Jean-Christophe Rufin – a consacré le n°3 du Quatrième tiers aux peintures de Guillaume Ledoux.

En immersion à laBrigade de répressiondu banditisme et au 36,quai des Orfèvres

RaynalPellicer

Du 22 septembre au 28 septembre 201640

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