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Pour plus d’information sur le Prix innovation :

www.csst.qc.ca /prixinnovation

Vous y trouverez :

• de l’information sur le concours

• le formulaire d’inscription

• les vidéos des lauréats des années précédentes

• le répertoire des réalisations retenues

Prix innovationen santé et sécurité du travail

2005

Région de Montréal

Conception et rédaction : Manon Galipeau, CSSTRéjean Gosselin, CSSTClaudia Sciamma, CSSTDirections régionales de Montréal

Louis Brault, CSSTDirection régionale de la Mauricie et du Centre-du-Québec

Production : Direction des communicationsCSST

Révision : Diane Mérineau, CSSTDirection des communications

Coordination : Marie-Julie Morin, CSSTDirection des communications

Infographie : Daniel Lepage

Suivi d’impression : Lise G. Tremblay, CSSTDirection des communications

Préimpression et impression : Imprimerie de la CSST

© Commission de la santé et de la sécurité du travail du QuébecDépôt légal – Bibliothèque nationale du Québec, 2005ISBN 2-550-43647-4

Collaboration

L’appellation Prix reconnaissance en santé et sécuritédu travail, utilisée depuis 2001, a été changée pourPrix innovation en santé et sécurité du travail.

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P R I X I N N O VAT I O N E N S A N T É E T S É C U R I T É D U T R AVA I L

C’est avec beaucoup d’enthousiasme etde fierté que nous vous invitons à consul-ter la brochure du premier Prix innovationen santé et sécurité du travail de la régionde Montréal. Par ce prix, la CSST honoreles entreprises novatrices et souligne leurengagement à l’égard de la préventiondes accidents et des maladies du travail.

Les employeurs et les travailleurs de diversesentreprises de Montréal ont présenté aujury pas moins de quarante-trois réalisations; parmi les entreprises en lice,six ont reçu une mention d’honneur et trois ont été désignées lauréates.

Les réalisations des entreprises participantes sont sommairement décrites etillustrées dans la présente brochure. Comme vous le constaterez, elles traduisentbien les efforts que les employeurs et les travailleurs déploient quotidiennementpour faire de la prévention des lésions professionnelles une priorité et unevaleur de tout premier plan.

Les idées proposées peuvent s’appliquer à bon nombre d’entreprises et êtreadaptées en fonction des besoins. Elles constituent autant de bons coups qu’ilimporte de faire connaître pour multiplier les initiatives gagnantes. Nous sommespersuadés que plusieurs s’en inspireront pour poursuivre leurs efforts en vued’éliminer les dangers présents dans leur milieu de travail.

Nous tenons à remercier et à féliciter les employeurs, les travailleurs et lespartenaires qui ont contribué aux réalisations présentées. Chaque effort,chaque amélioration contribue à faire progresser la santé et la sécurité dansles milieux de travail.

Convaincus que l’engagement des employeurs et des travailleurs est essentielpour favoriser l’acquisition d’une culture de la prévention, nous vous convionsà la prochaine remise des Prix innovation. Nous vous encourageons aussià continuer de prendre des mesures visant la prise en charge de la santé etde la sécurité du travail.

Mot des directeurs

Les directeurs régionaux de Montréal, de g. à d. : Denis Beaulieu, Maurice Nantelet Gilles Dutilly.

Maurice NantelDirecteur régional Montréal 1

Gilles DutillyDirecteur régional Montréal 2

Denis BeaulieuDirecteur régional Montréal 3


Prix innovation en santé et sécurité du travail 2005

Membres du jury

Gary BurnsSyndicat canadien de la fonction publique, local 301

Denise CameronTUAC, local 500

Gérard Dansereau, ing.CSST, Direction régionale Montréal 1

Jocelyne EverellCSN

Daniel LabrieSociété de transport de Montréal

Réal Guimond, ing.CSST, Direction régionale Montréal 2

Jean-Pierre Jobin, ing.CSST, Direction régionale Montréal 3

Sylvie MalletteCentre patronal en santé et sécurité du travail

Patrice MercierAssociation sectorielle paritaire, secteur de la construction

Denise SoucyCentre de la santé et des services sociauxPierrefonds et Lac-St-Louis

Lucie TremblayCentre gériatrique Maimonides

De g. à d., première rangée :Réal Guimond, Denise Soucy,Jocelyne Everell et SylvieMallette. Deuxième rangée :Patrice Mercier, Lucie Tremblay,Denise Cameron et DanielLabrie. Troisième rangée : Jean-Pierre Jobin, Gérard Dansereauet Gary Burns.

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PME


Lauréat

Centre de comptoir Coupe d’Or inc.Industrie du bois (sans scieries)

Montréal30 travailleurs

Téléphone : 514 769-4150Jean Caouette, président

Garde de protection pour un banc de scie

Problème à résoudreL’entreprise, spécialisée dans lacoupe de comptoirs sur mesure, a acheté un banc de scie qui ne comportait pas de dispositif desécurité. La lame, non protégée, exposait les travailleurs à des risques de blessures.

Mesures préventivesL’employeur et les travailleurs ont conçu et installé un protège-lameen plexiglas qui s’ajuste à la pièce à scier.

RésultatsLes travailleurs sont heureux de disposer d’un outil muni d’une gardede protection, facile à utiliser et qui n’entrave pas leur travail.

Coût de la réalisation : Environ 1 800 $

Nombre de travailleurs visés par la réalisation : 3

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Le protège-lame en plexiglas.

Grandes entreprises


Metso Papier ltée Bâtiments et travaux publics


Téléphone : 514 333-2363Claire Dugré-Gouin, infirmièreet responsable en santé et en sécurité du travailAlain Houde, mécanicien et membredu comité de santé et de sécurité du travail

Un système d’électroplaquage à la brosse

Problème à résoudreL’entreprise se spécialise dans l’installation, la réparation et le réusinagede pièces de machines destinées à l’industrie papetière. Le mécanicienaffecté à l’électroplaquage désirait réduire à la source la quantité deproduits contrôlés utilisés pour cette opération, les émanations irritantesdans l’environnement de travail immédiat, la manutention des produitscontrôlés et la contamination de l’environnement.

Mesures préventivesLe mécanicien, avec l’appui de son employeur, a inventé et mis en œuvreun système d’électroplaquage à la brosse, qui contrôle toutes les étapesdu plaquage en réduisant les quantités de produits contrôlés utilisées.

RésultatsLes modifications apportées ont permis de réduire :• la manutention de contenants de produits contrôlés;• les gestes répétitifs qu’exigeait le brossage manuel;• les contacts avec des produits contrôlés;• l’exposition à des vapeurs nocives;• la quantité de produits contrôlés utilisée; • la contamination de l’environnement due au rejet de produits contrôlés.



Lauréat

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Le système d’électroplaquage à la brosse.

Ministère des Transports du QuébecBâtiments et travaux publics


Téléphone : 514 914-4491Robert Martin, chef desopérationsJean Bouchard, chef d’équipeen routes et structuresDaniel Néron, concepteur

Enfileuse de glissières semi-rigides (garde-fous)

Problème à résoudreSoulever des glissières métalliques (garde-fous) pouvait occasionnerdes maux de dos et des coupures aux doigts.

Mesures préventivesLe ministère a modifié la méthode de travail. Désormais, les glissièressont assemblées en continu, au sol. L’enfileuse croise les glissières pourformer un rail, que soulève et transporte ensuite une grue montée sur uncamion. Enfin, les glissières sont mises en place et boulonnées sans effort.

RésultatsL’enfileuse de glissières semi-rigides a non seulement éliminé les mauxde dos, les coupures et les pincements aux doigts, mais elle a aussiconsidérablement accru la productivité.

Coût de la réalisation : Environ 500 $ de main-d’œuvre; les matériauxutilisés proviennent de vieux panneaux de signalisation.



Lauréat Organismes publics

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L’enfileuse de glissières semi-rigides.

Boulangerie LanthierIndustrie des aliments et boissons


Téléphone : 514 457-9742Jean-Marc Dubé, directeur de production

Fabrication de passerellessur des équipementsde production

Problème à résoudreLes travailleurs chargés del’entretien et de la production devaient exécuter des tâches en hauteurau-dessus de pièces en mouvement, ce qui comportait un danger de chute.

Mesures préventivesLes travailleurs chargés de l’entretien et le directeur de la production ontconçu, fabriqué et installé des passerelles avec garde-corps et échellesde service pour accéder à différents endroits spécifiques.

RésultatsLes travailleurs accomplissent avec plus de facilité les réparations et lesajustements voulus sur les différentes pièces d’équipement. De ce fait,le risque de chute est éliminé.


Mention d’honneur PME


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Passerelles avec garde-corps et échelles de service.

Marfoglia ÉbénisterieIndustrie du bois (sans scierie)


Téléphone : 514 325-8700, poste 227Marc Beaupré, directeurde production

Sableuse à moulure

Problème à résoudreLes travailleurs présentaient destroubles musculo-squelettiques (mains, coudes et épaules) dus auxmouvements répétitifs qu’exige le sablage manuel.

Mesures préventivesÀ partir d’un vieil appareil, un travailleur a fabriqué une sableuseautomatique qui reproduit le mouvement du sablage manuel.

RésultatsCette initiative a éliminé les troubles musculo-squelettiques attribuablesau sablage manuel.



Mention d’honneur PME


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Sableuse automatique pour les moulures.

Fruits de mer Bluewater inc.Secteur Aliments et boissons


Téléphone : 514 637-1171, poste 728France Lalonde, directrice des ressources humaines

Réaménagement du poste de préposé à la scie et au déballage

Problème à résoudreÀ l’atelier de déballage, les travailleurs, qui doivent scier des blocs depoisson congelé, présentaient des troubles musculo-squelettiques au doset aux membres supérieurs. De plus, ils risquaient des coupures aux doigts.

Mesures préventivesLes travaux d’un comité regroupant des représentants de l’entrepriseont permis de modifier l’équipement et de réaménager le poste destravailleurs en vue de prévenir les maux de dos et les troubles musculo-squelettiques. En plus de mettre au point de bonnes méthodes de travail,le comité a conçu une formation sur mesure à l’intention des préposésà la scie et au déballage.

RésultatsGrâce aux modifications apportées àl’équipement et aux méthodes de travail,les préposés au déballage effectuent moinsde mouvements répétitifs et adoptentde meilleures postures. Tout cela contribueà réduire les risques de coupures et detroubles musculo-squelettiques.

Coût de la réalisation : 8 000 $


Mention d’honneur Grandes entreprises


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Table de déballage du préposéà la scie.

Lève-palette au déballage.

L’Oréal Canada inc., établissement de Saint-LaurentFabrication de colorants capillaireset de produits de soins capillaires


Téléphone : 514 343-8279Julie Lavoie, coordonnatrice en santé et en sécurité

Réaménagement de la salle de pesée des colorants

Problème à résoudreAu poste de « pré-pesée », les travailleurs présentaient des problèmesliés à la ventilation, à la température, à l’éclairage ainsi qu’à ladisposition et au poids des contenants qu’ils devaient manipuler.

Mesures préventivesL’entreprise a formé un groupe de travail multidisciplinaire chargé deconcevoir et d’aménager une salle de pesée plus fonctionnelle, plus saineet plus ergonomique. Une maquette grandeur nature a permis auxemployés de tester les éléments d’amélioration proposés avant de retenirune solution idéale pour tous, entre autres :• un nouveau meuble de « pré-pesée » doté d’un système de captation

des poussières à la source et d’un élévateur électrique permettantde régler la hauteur du plan de travail;

• le maintien d’une pression négative dans la salle de pesée, sansrecirculation d’air;

• l’entreposage des contenants de colorants les plus utilisés sur uncarrousel électrique à proximité du poste de « pré-pesée ».

RésultatsLa température de la salle de pesée est contrôlée; l’aspiration à la sourcemaintient les concentrations de poussières bien en dessous des limitesd’exposition permises. Le carrousel réduit la manutention de 80 %.Quant à la table réglable en hauteur, elle facilite le transfert descontenants du carrousel au poste de « pré-pesée » et permet à chaquetravailleur de placer les contenants à une hauteur qui lui convient.


Mention d’honneur Grandes entreprises


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Nouveaux équipements dela salle de pesée.

Centre hospitalier universitaire de Montréal (CHUM),Hôpital Notre-DameServices médicaux et sociaux

Montréal4 300 travailleurs

Téléphone : 514 890-8000, poste 36352Serge Girard, conseiller technique en santé et en sécurité du travail –constructionAnne Morissette, secrétaire – DPSST

La maîtrise d’œuvre sur les chantiersde construction en milieu hospitalier

Problème à résoudreC’est l’entrepreneur général qui assure habituellement la maîtrised’œuvre sur le chantier d’un hôpital. Toutefois, les projets de rénovationet de construction se succédant à une cadence effrénée au CHUM,le centre hospitalier a décidé d’assumer lui-même cette responsabilité.

Mesures préventivesLe CHUM a défini un cadre de gestion pour orchestrer la planification,la mise en œuvre et le suivi de tous les travaux de construction effectuéspar les entrepreneurs et les sous-traitants.

RésultatsL’application de cette politique a permis :• la conformité des travaux de construction aux lois et aux règlements

de la CSST;• le maintien de la qualité des services de soins;• la préservation de l’intégrité des patients, du personnel du CHUM

et des travailleurs externes.

Coût de la réalisation : Au départ, un investissement d’environ13 700 heures pour former l’ensemble du personnel du CHUM.

Nombre de travailleurs visés par la réalisation : Tout le personneldu CHUM (13 300 travailleurs) et tous les travailleurs mis à contributionsur les chantiers de construction du CHUM depuis 2001.

Mention d’honneur Organismes publics


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Hôpital Notre-Dame.

Institut de cardiologie de MontréalServices médicaux et sociaux


Téléphone : 514 376-3330Danielle Perreault, infimière-chefAlain Vadeboncœur, chef du servicede médecine d’urgenceDiane Blanchette, CSN Lyne Saindon, FIIQLouise Denis, FTQ

Réaménagement et réorganisationdu service des urgences

Problème à résoudreLa multiplication des contraintes auxquelles était soumis le personneldu service des urgences, par exemple l’encombrement des lieux,le niveau élevé de bruit et l’éclairage insuffisant, constituait une sourcede stress et d’insatisfaction.

Mesures préventivesL’Institut a confié au personnel du servicedes urgences le soin d’améliorerl’aménagement des lieux et de revoiren profondeur l’organisation du travail.

RésultatsLe service des urgences comporte moinsde risques d’accidents et constitue unmilieu de travail plus « humain ».


Nombre de travailleurs visés par la réalisation : Tout le personnel duservice des urgences (personnel infirmier, médecins, consultants,préposés aux bénéficiaires et personnel administratif) et tous les patients.

Mention d’honneur Organismes publics


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Une colonne avant-gardiste regroupetout l’équipement médical nécessairepour la salle de réanimation.

Plusieurs espaces de rangementont été réaménagés.

A.M. I. SécuritéAutres services commerciaux et personnels (agence de sécurité et d’enquête)

Montréal100 travailleurs et moins (variableselon la saison)

Téléphone : 514 524-4671Linda Piché, coordonnatriceSerge Martel, agent de sécurité

Création d’un comité SSTet réalisation d’un guidede mesures préventives

Problème à résoudreLes agents de sécurité, chargés de maintenir l’ordre et de contenirles foules lors d’événements spéciaux, utilisaient l’équipement defaçon inappropriée.

Mesures préventivesL’entreprise a formé un comité de santé et de sécurité. Le comité aréalisé un guide de mesures préventives pour corriger les lacunes observées.Les employés ayant une plus longue ancienneté de service encadrentles nouveaux et les sensibilisent à la prévention, notamment en prêchantpar l’exemple. Ils participent à la formation des recrues sur l’utilisationsécuritaire du matériel mis à leur disposition.

RésultatsDepuis qu’ils disposent de ce guide, les employés et leur employeur,conscients des dangers que comporte le maintien de l’ordre, appliquentdes méthodes de travail plus sécuritaires. En conséquence, aucun agentn’a subi d’accident du travail. D’ailleurs, tous participent activement àla prévention.

Coût de la réalisation : 500 $

Nombre de travailleurs visés par la réalisation : Tous les employés.

Candidature PME


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L’entreprise a réalisé un guide traitantdes mesures préventives à appliquerpour travailler en toute sécurité.

Anodisation & Peinture TNM inc.Fabrication de produits en métal


Téléphone : 514 335-7001Tanweer Naqvi, présidentCristian Baltatu, chimiste

Évaluation de l’expositiondes travailleurs au chrome VI

Problème à résoudreL’environnement de travail comportaitdes risques de contamination au chromeVI, raison pour laquelle certainstravailleurs souffraient d’irritation cutanée.

Mesures préventivesL’entreprise applique désormais une méthode de surveillance environne-mentale par frottis, mise au point par l’IRSST et recommandée par le CLSC.

RésultatsDepuis que l’entreprise applique cette méthode de surveillance, la conta-mination de surface a diminué de façon très importante, les symptômesde contamination ont nettement décru et les indicateurs biologiquesd’exposition révèlent une nette amélioration de l’environnement de travail.


Candidature PME


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Cristian Baltatu, chimiste, applique laméthode de surveillance environnementalepar frottis.

Atelier de meubles et de recyclage Ahuntsic-Cartierville (AMRAC)Services médicaux et sociaux (Centre de travail adapté)


Téléphone : 514 388-5338Joaquin Nieto, directeur administratifMathieu Paquin, superviseur de l’atelier definition

Mesures pour améliorer la qualité del’air dans l’atelier de décapage

Problème à résoudreLe produit utilisé pour décaper les meubles contenait du chlorurede méthylène, une substance potentiellement cancérigène. De plus,la ventilation n’était pas suffisante dans l’atelier et l’aménagementdes tables laissait à désirer.

Mesures préventivesAvec l’aide du CLSC, l’entreprise a découvert, puis adopté un nouveaudécapant sans chlorure de méthylène. Elle a aussi augmenté la vitessedu ventilateur à son maximum et réaménagé les tables pour réduireles émanations nocives dans l’atelier de décapage.

RésultatsEn raison d’une meilleure ventilation, l’odeur de décapant est moinsintense dans l’atelier. Quant au nouveau produit, il présente le doubleavantage de ne pas contenir de chlorure de méthylène et de coûtermoins cher. Les employés sont satisfaits de leur environnement de travail.



Candidature PME


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L’entreprise utilise ce nouveaudécapant.

AutoluxAtelier de carrosserie et de refinition automobile


Téléphone : 514 387-7133Dino Saroli, président

Remplacement des peinturesà base de solvant par despeintures à base aqueuse

Problème à résoudreLes travaux de peinture parpulvérisation comportaient desrisques d’exposition aux solvants, d’où une possibilité, pour les travailleurs,de développer des problèmes respiratoires et des dermatites.

Mesures préventivesEn utilisant les mêmes équipements de pulvérisation, l’entreprise asubstitué aux peintures à base de solvants des peintures à base aqueuse,pour les couches d’apprêt et de fond. Ces équipements sont désormaisnettoyés avec de l’eau. Un système de ventilation a en outre été installédans les cabines de peinture pour faciliter le séchage. De plus, lestravailleurs reçoivent une formation technique pour pouvoir s’adapteraux nouvelles caractéristiques d’une peinture à base d’eau.

RésultatsCette innovation a réduit de 90 % l’utilisation de solvants. Deux des troisétapes de finition des véhicules automobiles sont maintenant effectuéesavec de la peinture à base d’eau. Seule la couche finale de vernis contientencore des solvants. En conséquence, l’exposition des travailleurs auxsolvants est considérablement réduite.



Candidature PME


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Autolux est le premier atelier de carrosserieau Québec à utiliser des peintures à base aqueuse pour les travaux de refinition devéhicules automobiles.

Boulangerie AndalosIndustrie des aliments et boissons


Téléphone : 514 856-0983Gilles Neveu, directeur en santéet en sécurité

Aménagement ergonomiqueet sécuritaire des lieux deproduction

Problème à résoudreLes tâches effectuées par lestravailleurs présentaient desrisques de troubles musculo-squelettiques. De plus, certaines surfacesde travail pouvaient causer des glissements ou des chutes.

Mesures préventivesTous les employés ont participé au réaménagement de l’aire de production,à l’installation de tapis anti-fatigue, à l’application de peinture anti-dérapante, à l’installation de gardes de sécurité sur certaines machineset à l’entretien systématique des chariots.

RésultatsDepuis, on constate une réduction des blessures et des maux de dosoccasionnés par les glissements et les chutes.



Candidature PME

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P R I X I N N O V A T I O N E N S A N T É E T S É C U R I T É D U T R AV A I L

L’aménagement ergonomique des lieux deproduction à la Boulangerie Andalos.

Entretien paysagiste 4 saisonsAutres services commerciaux et personnels

MontréalDe 9 à 20 travailleurs (emploissaisonniers)

Téléphone : 514 326-3527Maxime Cyr, président

Mise en place d’un systèmede bonis en santé et ensécurité du travail

Problème à résoudreLes risques associés auxdifférentes tâches n’étaient pastous identifiés.

Mesures préventivesL’employeur a eu l’idée d’accorder des bonis aux employés qui suggèrentdes correctifs en vue de réduire les risques de lésions professionnelles.

RésultatsCette innovation a incité les employés à participer à l’amélioration dela santé et de la sécurité du travail. On constate qu’ils sont plus motivéset qu’ils se montrent davantage satisfaits.

Nombre de travailleurs visés par la réalisation : de 9 à 20

Candidature PME


Chez Entretien paysagiste 4 saisons, onachète la terre en petits sacs afin de réduireles efforts dus à la manutention.

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Gestion Environnement Éconord inc.Entreprise de gestion de recyclage de papier et de plastique


Téléphone : 514 645-5200Linda Gaumont, responsable desressources humaines et de lasanté et de la sécurité au travail

Réorganisation du comité de santé et de sécurité

Problème à résoudreEn raison des problèmes de fonctionnement du comité de santé et desécurité de l’établissement, il était difficile de mettre en place des moyensde prévention pour contrer les facteurs de risques (allées encombrées,planchers glissants, circulation de chariots élévateurs, absence de mesuresd’urgence), pouvant entraîner des lésions (entorses, contusions, etc.).

Mesures préventivesOn a donné un nouvel essor au comité de santé et de sécurité enassignant un rôle à chacun des membres. Fort de cette réorganisation,le comité est maintenant en mesure d’assurer toutes les étapes de ladémarche préventive : inspections, corrections des situations dangereuseset communication efficace.

RésultatsLa réorganisation du comité a permis d’intégrer la prévention dans lemilieu de travail et d’améliorer le climat. En 2004, on n’a déploré aucunaccident. Depuis que la démarche préventive est appliquée, plusieursrisques ont été éliminés.


Candidature PME


Les membres du comité de santé et de sécurité à l’œuvre.

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Italbec International inc.Fabrication de produits minéraux non métalliques


Téléphone : 514 383-0668Giovanni Testa, gérant

Contrôle des poussièresde silice cristalline

Problème à résoudreLes travailleurs affectés à la finition manuelle(meulage/polissage) des piècesen granit étaient surexposés aux poussières respirables de silicecristalline. Ils risquaient d’autant plus de présenter des symptômes desilicose, une maladie pulmonaire mortelle, que l’installation de plusieursdispositifs d’aspiration (tables ventilées, bras d’aspiration et ventilationgénérale) ne donnait aucun résultat probant.

Mesures préventivesLes travailleurs et l’employeur ont fait des recherches pour trouver desoutils portatifs à l’eau. L’utilisation de ces outils a réduit considérablementl’empoussièrement.

RésultatsLa dose d’exposition des travailleurs affectés à la finition manuelle despièces en granit est dorénavant inférieure à la moitié de la valeurd’exposition moyenne pondérée. Les outils sont remplacés progres-sivement et les travailleurs les adoptent volontiers.



Candidature PME

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Un travailleur utilise une meule à l’eau poureffectuer la finition d’une plaque de granit.

Les Boulangeries René inc.Industrie des aliments et boissons


Téléphone : 514 457-4500Marie-Ève Dufresne, analystede production

Améliorations ergonomiquesdes postes de travail

Problème à résoudreCertains postes de travailcomportaient des risques delésions, plus particulièrementdes entorses lombaires.

Mesures préventivesÀ la suite d’une analyse des postes de travail,le comité de santé et de sécurité a trouvé dessolutions qui diminuent les risques d’accidentset de maladies professionnelles : ajustementde tables et de balances, modification dusystème d’entraînement du tamis à farine,remplacement de roues de chariots, installationde tapis anti-fatigue, etc.

RésultatsL’analyse des tâches et les correctifs apportés pour rendre les postesde travail plus sécuritaires ont entraîné une réduction des lésions au dos.



Candidature PME

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Le poste de pesée des ingrédients.

Le tamis à farine.

Chaussures STC inc.Industrie de la chaussure


Téléphone : 514 355-0026André Émond, directeur d’usine

Conception d’une table ajustableaspirant les contaminants

Problème à résoudreLa travailleuse affectée aux réparationsmajeures nettoyait les chaussures avec un chiffon imprégné detrichloroéthylène (solvant toxique) et pulvérisait de la teinture au mêmeposte de travail. De ce fait, elle était exposée à des concentrations detrichloroéthylène qui dépassent la norme d’exposition de courte durée.De plus, ce contaminant se répandait partout dans l’établissement.

Mesures préventivesL’employeur a procédé au réaménagement du poste de travail. Il a faitappel à des spécialistes pour fabriquer une table de travail ajustableen hauteur, munie d’un système d’aspiration verticale servant à capterles vapeurs de trichloroéthylène plus lourdes que l’air. On a aussi intégréau poste de travail une hotte à aspiration horizontale servant à capter lebrouillard et les vapeurs de teinture pulvérisée.

RésultatsLa concentration de trichloroéthylène au poste de la travailleuse estmaintenant inférieure à 5 % de la norme et pratiquement nulle dansle reste de l’établissement.



Candidature PME

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La travailleuse à son nouveauposte de travail.

Les entreprises Perma inc.Bâtiments et travaux publics


Téléphone : 514 324-4332Daniel Perry, président

Souffleur à sable pour plancherd’époxy

Problème à résoudrePour étendre du sable en vue de saturerl’époxy qui recouvre un plancher, untravailleur doit porter sur son épaule un sacde 13 à 18 kg. Ensuite, pour niveler le plancher à l’aide d’une truelle,il doit se tenir penché ou se mettre à genoux, ce qui peut entraîner desbursites et des entorses lombaires.

Mesures préventivesPour résoudre le problème, on a installé un bac et un entonnoir sur unchariot à roues. L’entonnoir est équipé d’une buse comportant une oudeux souffleuses, lesquelles projettent le sable sur la surface à traiter.

RésultatsLes travailleurs n’ont plus à soulever de sacs lourds ni à adopter despostures fatigantes. Ils effectuent leurs tâches sans risque de bursite oud’entorse.



Candidature PME

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Le souffleur servant à répandredu sable sur les planchers recouverts d’époxy.

Nova Chimie Canada ltéeIndustrie chimique (granules de polystyrène)


Téléphone : 514 640-6682Hani Noujaim, directeurde l’ingénierie et de la gestionresponsableGilles Giroux, techniciend’entretien

Réaménagementergonomique de la salle detransfert des produits finis

Problème à résoudreLe travail des techniciens de production comportait des risques élevésde blessures au dos en raison des postures fatigantes et des effortsphysiques intenses qu’exigeait la manutention de boyaux rigides.

Mesures préventivesVis-à-vis d’une telle situation, la direction et le comité de santé et desécurité de l’usine ont modifié plusieurs éléments de la salle de transfertdes produits finis. Par exemple, ils ont révisé les mécanismes de manutentiondes boyaux de façon à rendre plus ergonomiques les tâches attribuéesaux techniciens de production. Ils ont aussi automatisé le système, installédes vannes de dérivation et modifié les canalisations et les joints dejonction afin de réduire l’effort que requiert le serrage.

RésultatsCe réaménagement a éliminé les problèmes d’ordre ergonomique demême que les risques de blessures au dos.



Candidature PME

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Le réaménagement de la salle de transfert aréduit les problèmes d’ordre ergonomique.

RCR inc.Bâtiments et travaux publics


Téléphone : 514 598-1000Sylvain Bellemare, président

Réfractaire sécuritaire pourla remise à neuf de réservoirsde grande taille

Problème à résoudreLa préparation de ciment spécial dontles travailleurs enduisaient l’intérieurdes réservoirs comportait des risquesd’exposition à l’amiante et à la silice.

Mesures préventivesL’entreprise a mis au point un nouveau réfractaire pour mettre un termeà l’utilisation de l’amiante et de la silice cristalline.

RésultatsL’utilisation du nouveau réfractaire a pour effet d’éliminer à la sourceles risques de silicose et d’amiantose chez les travailleurs.



Candidature PME

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Le nouveau réfractaire.

SuperchuteIndustrie du caoutchouc et des produits en matière plastique


Téléphone : 514 365-6121Benjamin Anson, vice-président

Système de garde-corpsmobile

Problème à résoudreIl n’est pas facile de poser ungarde-corps conforme sur un bâtiment à toit plat sans parapet, d’où un risque de chute.

Mesures préventivesL’entreprise a conçu un système de garde-corps mobile pour les toitsplats sans parapet.

RésultatsLe système de garde-corps mobile élimine les risques de chute dehauteur à partir de toits plats. De plus, ce système est conçu de façon à réduire les risques de blessures aux bras et au dos.


Nombre de travailleurs visés par la réalisation : Les travailleurs deSuperchute et tous les travailleurs du secteur de la construction.

Candidature PME

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Le système de garde-corps mobile.

Produits AndalosIndustrie des aliments et boissons


Téléphone : 514 832-1000Gilles Neveu, directeur en santéet en sécurité du travail

Aménagement ergonomiqueet sécuritaire

Problème à résoudreDans cette boulangerie, plusieurspostes de travail présentaientdes risques de troubles musculo-squelettiques et de pincementsaux mains.

Mesures préventivesAvec l’aide des employés, l’employeur a amélioré l’aménagement etla sécurité de plusieurs postes de travail. De plus, l’entreprise a achetédes transpalettes électriques qu’elle utilise pour la manutention despaniers de produits finis. L’installation de silos à farine a presquecomplètement éliminé la manutention des sacs de farine. De plus,les travailleurs ont reçu une formation sur la façon d’ajuster leur postede travail pour réduire les inconforts et les douleurs au dos.

RésultatsCes mesures ont permis à l’entreprise de réduire de façon notable lestroubles musculo-squelettiques, les efforts liés à la manutention des sacsde farine et les risques de pincements aux mains.



Candidature PME

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Une des transpalettes électriques utiliséespour la manutention des produits.

Produits de pâtisserie orientaleIndustrie des aliments et boissons


Téléphone : 514 274-0825Dib Lahoud, directeuret propriétaire

Améliorations d’ordreergonomique

Problème à résoudrePlusieurs postes de travailprésentaient des risques de troubles musculo-squelettiques (dos etmembres supérieurs) associés à la manutention.

Mesures préventivesCette entreprise familiale, spécialisée dans la fabrication de pâte filo,a amélioré l’aménagement de plusieurs postes de travail où s’effectuela manutention des charges. Elle a conçu et mis en place un systèmeoriginal de silo (TOTE) qui comporte un sac de farine de 900 kgmanipulé mécaniquement. Elle a aussi acheté de l’outillage mécaniquepour réduire les efforts dus à la manutention des charges : transpaletteélectrique, cuve élévatrice, nouveau tamiseur à amidon, sécheuses, etc.

RésultatsCes mesures ont permis à l’entreprise d’éliminer les risques liés à lamanutention de sacs de farine, au soulèvement de charges lourdes etaux gestes répétitifs.



Candidature PME

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Le système original de silo (TOTE).

Bétonel ltéeCommerce de détail de peintures

Montréal180 travailleurs (40 succursales)

Téléphone : 514 273-8855Isabelle Charland, adjointeau président

Informatisation des fichessignalétiques des produitscontrôlés

Problème à résoudreIl est difficile pour les succursalesde maintenir à jour les fiches signalétiques des produits contrôlés enraison du très grand nombre de produits et de fournisseurs. Celaprésente un risque pour les travailleurs qui ont à manipuler ces produits.

Mesures préventivesComme chaque succursale a accès au système informatique central pourla gestion des stocks et la facturation, le comité de santé et de sécuritéa eu l’idée d’y intégrer les fiches signalétiques. Le responsable del’informatique valide la faisabilité du projet et le met en œuvre.

RésultatsLes fiches, désormais mises à jour dans le fichier central, sont accessiblesau personnel de toutes les succursales à partir des terminaux locaux.Elles peuvent, de plus, être imprimées au besoin.



Candidature Grandes entreprises

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Informatisation des fiches signalétiques.

Bombardier inc., usine de DorvalEntreprise de fabrication d’avions

Montréal,2 700 travailleurs

Téléphone : 514 855-7211Jean-Francois Dubé, Chef de service, santé, sécurité et environnement

Une méthode de résolution deproblèmes d’ordre ergonomique

Problème à résoudreL’entreprise souhaitait mettre au point unenouvelle méthode pour évaluer les risquesd’ordre ergonomique dans les secteursde l’entreprise qui en comportent le plus.

Mesures préventivesLe service de santé et de sécurité du travailet l’équipe d’amélioration continue adaptentla méthode de résolution de problèmesde Six Sigma à des situations comportantdes risques. Au cours d’un atelier d’unedurée d’un à trois jours consécutifs,une équipe multidisciplinaire analyse lesproblèmes et étudie les solutions possibles, en portant une attentionparticulière à l’outillage, à l’aménagement des lieux, à l’organisationdu travail, à la méthode appliquée et à la formation. La démarche viseà apporter rapidement des correctifs efficaces, validés et utilisés parles travailleurs.

RésultatsL’application de cette méthode a eu pour effet d’accélérer la mise enplace de solutions, de mobiliser les employés, d’accroître l’efficacité descorrectifs, de sensibiliser davantage les travailleurs à la prévention et decréer un effet d’entraînement dans l’usine. En 2004, on a observé uneréduction significative du nombre de lésions.



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Ce poste de travail a été photographié avant et aprèsl’application de la méthode.

Brault & Martineau inc., Centre de distributionCommerce de meubles et d’électroménagers


Téléphone : 514 648-9100Denis Lemieux, directeur

Plate-forme de travail pour chariot à poste de conduite élevableadaptée à la manutention enhauteur de marchandisesvolumineuses

Problème à résoudreLes travailleurs, affectés à la manutention de marchandises volumineusesentreposées en hauteur, risquaient de chuter ou d’être coincés entre laplate-forme et la structure d’entreposage. Ils risquaient aussi de subir deslésions attribuables aux efforts induits par le contre-balancement de laplate-forme.

Mesures préventivesOn conçoit une plate-forme dotée :• d’un garde-corps sur l’un des côtés et à l’extrémité;• d’extensions de plancher rétractables pour combler l’espace entre

la structure d’entreposage et le chariot, du côté où s’effectue le travail;• de stabilisateurs bloquant les mouvements de la plate-forme;• d’un dispositif d’interverrouillage empêchant le déplacement

du chariot lorsque les extensions et les stabilisateurs sont en placeet signalant tout défaut de fonctionnement;

• d’une plaque de capacité précisant les charges maximales en fonctionde leur emplacement sur la plate-forme;

• d’un dispositif de fixation au chariot;• d’un dispositif limitant le déplacement du travailleur.

RésultatsLa mise en oeuvre de ce moyen de prévention a éliminé les risques dechute et réduit les risques de lésions musculo-squelettiques attribuablesaux efforts induits par les mouvements de la plate-forme.


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La nouvelle plate-forme.

EBC inc.Bâtiments et travaux publics

MontréalPlus de 500 travailleurs

Téléphone : 418 872-0600Jacques Bordelais, contremaître

Système de lumièresde sécurité pour une chuteà déchets

Problème à résoudreLorsqu’un travailleur se trouve près de l’extrémité du conduit d’unechute à déchets, il risque d’être sérieusement blessé par les rebuts qu’ony jette d’un étage supérieur.

Mesures préventivesUn agent de sécurité de la compagnie EBCa conçu un système de lumières rouges reliéà un commutateur au sol. Les instructionssur le fonctionnement du système sontaffichées à chaque étage. Lorsqu’unemployé travaille près de l’extrémitédu conduit d’une chute à déchets, il allumetoutes les lumières rouges aux étagessupérieurs pour signaler sa présence. Parconséquent, ses collègues sont avertis de nepas jeter de rebuts dans la chute à déchets.

RésultatsGrâce à cette mesure, le nombre d’accidentsa diminué et les travailleurs se sentent en sécurité.

Coût de la réalisation : Moins de 500 $ (Ce montant varie selonla longueur du conduit.)

Nombre de travailleurs visés par la réalisation : Tous les travailleursdu chantier de construction.


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Le système de lumières de sécurité.

La chute à déchets.

GELcoreFabrication de produits électriques (assemblage de feux de circulation à partir de composantes électriques,électroniques et plastiques)


Téléphone : 514 636-5566Myriam Beauchemin, coordonnatrice en santé et ensécurité du travail, environnementFederico Vallenas, vice-présidenten santé et en sécurité du travail,syndicat

Un programme d’étirementsmusculaires pour les employés

Problème à résoudreLe travail lié à l’assemblage de pièces nécessite des mouvementsrépétitifs qui génèrent des troubles musculo-squelettiques, notammentdes tendinites et des bursites.

Mesures préventivesL’entreprise a formé un comité paritaire en ergonomie, lequel a mis aupoint des séances d’étirements musculaires pour l’ensemble du personnel.

RésultatsLes employés se blessent moins souvent et sont en meilleure formephysique. De plus, ils sont davantage sensibilisés aux risques que comporteleur travail.



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Les travailleurs en action.

La BaguetterieIndustrie des aliments et boissons


Téléphone : 514 636-7246François Samario, directeur de production

Projet d’emballage de produits congelés

Problème à résoudreDans cette boulangerie, la manutentiondes boîtes entraînait des troubles musculo-squelettiques. En raison de la stature dechaque travailleur, la table d’emballage était souvent trop haute ou trop basse, ce qui occasionnait des maux de dos.

Mesures préventivesPour éviter que les travailleurs se penchentou s’étirent, le comité de santé et desécurité : • a installé dans le plancher un élévateur

de palette réglable à la hauteur voulue,sur lequel on dépose les boîtes;

• a installé, à même le convoyeur, unepetite plate-forme élévatrice destinéeà soutenir les boîtes à remplir;

• a relié le convoyeur à une machineautomatique servant à assembler lesboîtes, éliminant ainsi toute manipulation.

RésultatsPar conséquent, les travailleurs n’ont plus à effectuer de mouvementscontraignants, ce qui a pour effet de réduire les troubles musculo-squelettiques. Par ailleurs, ils sont plus à l’aise pour travailler depuisqu’ils peuvent régler la hauteur des équipements à leur convenance.


Nombre de travailleurs visés par la réalisation : Environ 35


35


L’élévateur de palette installédans le plancher.

Une petite plate-forme élévatrice.

Mega-BloksIndustries manufacturières


Téléphone : 514 333-5555Marc Boily, directeur des ressources humaines

Aménagement sécuritaire pour la circulation de chariots

Problème à résoudreEn raison de la superficie importantedu bâtiment dans lequel l’entreprisevenait de s’installer, il y avait desrisques que des chariots élévateursheurtent des piétons.

Mesures préventivesUn comité regroupant des employésa révisé le processus de gestion des opérations et a réaménagé l’usinede façon à créer un réseau de circulation sécuritaire. Pour éviter lesaccidents, le comité a :• installé un convoyeur pour le transport des palettes;• aménagé des voies de circulation à l’extérieur des lieux de production;• délimité rigoureusement les voies de circulation pour les piétons;• installé un système de signalisation efficace dans toute l’usine; • mis au point un programme de formation continue pour les caristes.

RésultatsCes mesures ont permis à l’entreprise non seulement d’améliorer l’envi-ronnement de travail et d’accroître sa productivité, mais aussi d’éliminerles risques d’accidents impliquant des chariots élévateurs et des piétons.

Coût de la réalisation : Plus de 1 000 000 $

Nombre de travailleurs visés par la réalisation : L’ensemble desemployés de l’entreprise et tous les visiteurs.


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Les voies de circulation comportentdes barrières, ce qui a pour effetde ralentir les chariots élévateurs.

Merck Frosst Canada, division fabricationIndustrie chimique


Téléphone : 514 428-3218Monique Saint-Laurent, coordonnatrice en santé et en sécurité du travailSerge Bissonnette, superviseurtechnique au conditionnement

Modification des équipements utilisés sur une chaîne d’emballage

Problème à résoudreLes équipements servant au thermoformage des alvéoles destinésà contenir les capsules pharmaceutiques varient selon la forme et la taille des comprimés. C’est pourquoi il faut changer les rails de guidagequi se trouvent sous la pellicule de PVC chaque fois que l’on préparela chaîne de montage pour emballer un nouveau produit. Les employéschargés de manipuler les rails de guidage rapportaient des cas deblessures au dos, de coupures et d’écrasements (doigts, mains et pieds).

Mesures préventivesUne équipe composée de mécaniciens, de superviseurs et d’ingénieursa élaboré et mis en œuvre une mesure de prévention efficace pourcontrer les risques de blessures : substituer aux rails lourds et volumineuxdes jeux de plaquettes de guidage compactes et amovibles.

RésultatsL’entreprise ne déplore aucune blessure depuis qu’elle a modifié leséquipements. Non seulement les jeux de plaquettes nécessitent-ilsbeaucoup moins d’espace d’entreposage qu’un ensemble de rails deguidage, mais ils coûtent aussi nettement moins cher (250 $ compara-tivement à 10 000 $).




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Des jeux de plaquettes compactes et amovibles ont remplacé les rails de guidage.

Permacon Montréal, une compagnie Oldcastle inc.Fabrication de produits minéraux non métalliques


Téléphone : 514 351-2125François Rodrigue et Mario Richer,représentants de l’employeurGérald Fournelle, représentantdes travailleurs

Doucher les agrégats pouréliminer la poussière

Problème à résoudreLorsque les camions déversaientdes agrégats de matières premières, les travailleurs étaient exposésà des poussières nuisibles qui occasionnaient des blessures aux yeuxet qui réduisaient la visibilité dans la cour extérieure de l’usine.

Mesures préventivesLe comité chargé de préserver l’environnement a fait installer unedouche pour mouiller les agrégats avant le déversement.

RésultatsCe système a pratiquement éliminé les problèmes liés aux poussièresnuisibles.


Nombre de travailleurs visés par la réalisation : Tous les employésqui travaillent à l’extérieur et tous les visiteurs (clients, fournisseurs,entrepreneurs, etc.)


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Douche pour mouiller les agrégats.

PretiumIndustrie du caoutchouc et des produits en matière plastique


Téléphone : 514 428-0564Julie Gauthier, directrice desressources humainesAlain Bessette, cariste

Plate-forme inclinée amovible pour la préparation de boîtes

Problème à résoudreL’aménagement du poste de travail faisait en sorte que les travailleursdevaient se pencher pour installer des sacs dans des boîtes. En plusde présenter des maux de dos et des troubles musculo-squelettiques,ils éprouvaient de la fatigue.

Mesures préventivesLe comité de santé et de sécurité a conçu et installé une plate-formeinclinée amovible qui permet aux employés de régler le plan de travailen fonction de deux facteurs : leur taille et la dimension des boîtes qu’ilsdoivent préparer.

RésultatsLes employés se montrent satisfaits du nouvel aménagement du poste.Ils éprouvent moins de fatigue musculaire et souffrent moins de mauxde dos.




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Plate-forme inclinée réglable en fonctionde la taille des employés et de la dimensiondes boîtes qu’ils doivent préparer.

Usines Giant inc.Fabrication de produits électriques (chauffe-eau)


Téléphone : 514 645-8893Claude Lesage, présidentMartin Landry, président du syndicat

Diminution de l’exposition des travailleurs à la silice

Problème à résoudreLes travailleurs étaient exposésà des concentrations de siliceexcédant 10 fois la norme quandils préparaient le mélange d’émail à appliquer à l’intérieur des chauffe-eau.

Mesures préventivesLa préparation du mélange s’effectue maintenant dans une enceinteoù le contaminant est confiné. De plus, un système de gicleurs de bruinea été installé pour rabattre le contaminant au sol.

RésultatsL’échantillonnage fait par le CLSC révèle que le taux de concentration du contaminant est en deçà des normes.




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Système de gicleurs de bruine pour rabattrele contaminant au sol.

Centre hospitalier universitaire de Montréal (CHUM),Hôpital Saint-LucServices médicaux et sociaux


Téléphone : 514 890-8000, poste 35982Yves Tessier, chef de secteur – ventilation,électricité, électromécanique et réfrigération

Enceinte de confinement des poussières

Problème à résoudreLa construction d’enceintes à l’aide de structures rigides et lourdescomportait des risques de blessures, notamment au dos.

Mesures préventivesAvec un partenaire du secteur privé, le CHUM a mis au point uneenceinte mobile réutilisable, légère et facile d’entretien afin de réduirela dissémination de poussières et de contaminants dans l’air ambiant.

RésultatsLes risques de blessures liées à l’installation d’enceintes ont diminué.De plus, les poussières étant mieux confinées, la sécurité du personnelet des patients s’est accrue.

Coût de la réalisation : Environ 4 500 $ par enceinte.

Nombre de travailleurs visés par la réalisation : Tout le personnel deshôpitaux du Québec.

Candidature Organismes publics

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Enceinte de confinementdes poussières.

CSS Nord de l’île et Saint-Laurent (Pavillon Saint-Joseph de la Providence)Services médicaux et sociaux


Téléphone : 514 331-2288,poste 3205Michel Garceau, responsable de la préventionLinda Champoux, infirmièreauxiliaire

Cours de peinture pourfavoriser la détente

Problème à résoudreLes membres du personnel du CHSLD-CLSC étaient confrontés àun niveau de stress élevé, ce qui affectait leur santé psychologiqueet qui favorisait l’absentéisme.

Mesures préventivesUn groupe de travail paritaire a décidé d’offrir des cours de peinture auxemployés. Depuis l’automne 2002, des cours sont donnés aux différentsquarts de travail, de sorte qu’ils profitent à l’ensemble du personnel.

RésultatsOn note une amélioration du bien-être des employés (reconnaissance,satisfaction personnelle, sentiment d’appartenance, etc.) et uneréduction de l’absentéisme.

Coût de la réalisation : 1 500 $ par année



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Les employés en action.

CLSC Hochelaga-MaisonneuveServices médicaux et sociaux


Téléphone : 514 253-9717Serge Laverdière, chef, RH et techniquesLouise Tremblay, A.R.H.

Mesures pour contrer le harcèlementpsychologique au travail

Problème à résoudreAu CLSC, on a constaté que bon nombre dedémissions et de congés de maladierésultaient de problèmes liés au harcèle-ment psychologique. Les employés étaientstressés et démotivés.

Mesures préventivesLe CLSC s’est d’abord engagé dans unprojet de recherche avec l’université du Québec à Montréal. Par la suite,les travailleurs et l’employeur ont conçu un signet aide-mémoire destinéau personnel, organisé des dîners-conférences et mis en œuvre unmodèle de prise en charge paritaire en cas de harcèlement psychologique.

RésultatsLes travailleurs et l’employeur sont sensibilisés aux diverses facettesque revêt le harcèlement psychologique, une forme de violence qui n’est plus tolérée, et parlent plus ouvertement de ce problème. De plus,les cas de harcèlement font l’objet d’une prise en charge paritaire.



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Un des outils réalisés : un signet aide-mémoirepour lepersonnel.

Institut universitaire de gériatrie de MontréalServices médicaux et sociaux


Téléphone : 514 340-2800Pierre Giguère, conseiller SSTCarole Houle, SCFP

Prévention descomportements perturbateurschez les patients

Problème à résoudreLe personnel était victime decomportements perturbateursqui étaient le fait de certains patients : coups de poing, coups de pied,éraflures, morsures.

Mesures préventivesL’Institut universitaire a conçu, à l’intention du personnel soignant detous les quarts de travail, une formation sur la façon d’intervenir auprèsde patients présentant des troubles de comportement occasionnéspar une déficience cognitive. La formation était suivie, en milieu detravail, par un accompagnement individuel de chacun des membresdu personnel soignant.

RésultatsDans les trois unités de soins de l’établissement où cette démarche a étéappliquée, le climat de travail s’est amélioré. De plus, la fréquence descomportements perturbateurs a diminué de moitié.

Coût de la réalisation : 30 000 $ par unité

Nombre de travailleurs visés par la réalisation : 120 (trois unités)


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Quelques membres de l'équipe de l'unitéde vie du 1er Est accompagnés d'intervenantsimpliqués dans la démarche de préventiondes comportements perturbateurs chezune clientèle atteinte de déficits cognitifs.

Pavillon des Seigneurs (Résidence Mance-Décary)Services médicaux et sociaux


Téléphone : 514 931-0851Danielle W. Champigny, chef du service SSTGuignard Flina, préposé aux bénéficiaires

Sac « césarienne » pourréduire le volume et le poidsdes charges à soulever

Problème à résoudreEn soulevant des sacs de linge souillé, les travailleurs se blessaient audos et aux épaules.

Mesures préventivesLe comité de santé et de sécurité a mis au point différents prototypes desacs avant de proposer le sac « césarienne ». Ce sac a ceci de particulier :la quantité de linge souillé qu’on peut y déposer étant limitée, son poidset son volume sont forcément moindres.

RésultatsLes sacs de linge souillé sont moins lourds. Par conséquent, on constateune diminution des accidents du travail.


Nombre de travailleurs visés par la réalisation : 400 employés (troispavillons)


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Le sac « césarienne ».

Service de police de MontréalPoste de quartier 48


Téléphone : 514 280-0348Richard Bourdon, commandant

Mesures d’amélioration de la qualité de l’air

Problème à résoudreDes symptômes d’irritation desyeux et des sinusites fréquenteslaissaient présager une détério-ration de la qualité de l’air.

Mesures préventivesLe comité de santé et de sécurité a procédé à une inspection généralede l’édifice, ce qui lui a permis de cerner des situations comportant desrisques pour la santé : eau stagnante sur le toit, filtres inappropriés dansle système de ventilation, infiltration d’eau dans la structure de l’établis-sement. À la suite de ce constat, on a nettoyé le sol, installé un nouveaucouvre-plancher et posé des filtres conformes dans le système de ventilation.De plus, on a apporté de nombreux correctifs à la structure du bâtiment.

RésultatsLes correctifs apportés ont amélioré la qualité de l’air sur les lieux detravail. De plus, l’établissement est maintenant doté d’une procédured’inspection générale annuelle.



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Membres du personnel du poste de quartier.

Service de police de MontréalQuartier général


Téléphone : 514 280-4072Jean-Francois Cimon,représentant à la prévention

Conception d’un ceinturonergonomique

Problème à résoudreLe port du ceinturon est souvent source d’inconfort pour les policiers.Plusieurs présentent des troubles musculo-squelettiques attribuables à la multiplication et au poids des accessoires, à diverses postures detravail et aux différences morphologiques.

Mesures préventivesSuivant le plan d’action du programme de prévention, on a créé lecomité Ergonomie du ceinturon, qui propose notamment les solutionssuivantes : • repositionner les accessoires pour que le poids du ceinturon soit mieux

distribué, en respectant les principes tactiques;• recommander le port du pantalon cargo pour y loger une partie des

accessoires;• porter des bretelles pour soutenir le ceinturon; • utiliser un coussin lombaire adéquat dans les véhicules;• informer les policiers des problèmes que peut entraîner le port du

ceinturon et leur présenter les solutions correspondantes, au moyend’une vidéo et d’une brochure.

RésultatsOn constate une réduction des maux de dos et une diminution del’inconfort. Maintenant que les risques liés au port du ceinturon sontclairement identifiés et reconnus, les policiers se sentent plus à l’aised’aborder la question.

Coût de la réalisation : De 50 000 $ à 75 000 $

Nombre de travailleurs visés par la réalisation : Environ 2 200


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Le nouveau ceinturon.

prixinnovation · l’entreprise a formé un groupe de travail multidisciplinaire chargé de...

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