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Page 1: PRESSE NATIONALELorsque les deux majestueuses « vièles à tête de cheval » (morin khuur) et la cithare yoochin nous invitent dans l'immensité des steppes pour nous raconter l'Histoire
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Le trio Altaï Khangaï a décidément l'art et la manière de transposer les musiques ancestrales de

Mongolie dans un présent radieux et créatif. Leur nouvel album confirme cet état de grâce,

comme le feraient sans aucun doute les milliers de spectateurs qu'Altaï Khangaï a rencontrés de

par le monde depuis une vingtaine d'années.

Lorsque les deux majestueuses « vièles à tête de cheval » (morin khuur) et la cithare yoochin nous

invitent dans l'immensité des steppes pour nous raconter l'Histoire secrète des Mongols, c'est

toute la vitalité d'une tradition et de son peuple qui s'exprime avec une force quasi-orchestrale,

tout autant capable de fougue que de subtilité. Sur ce solide édifice vient se poser le chant

diphonique, clé de voûte de la culture mongole. Un art vocal complexe et virtuose qui permet à

un seul chanteur d'émettre simultanément une mélodie et un bourdon. C'est entre les montagnes

de l'Altaï et du Khangaï que se trouve le berceau de ce chant inspiré des éléments de la nature.

C'est là, à l'ouest de la Mongolie, qu'ont grandi Ganzorig Nergui, Ganbold Muukhaï et Garavkhuu

Badmaabazar.

Cithares yatga et yoochin, luth tovshuur, tambour des chamanes, flûte à bourdon vocal,

guimbardes... grâce à cet imposant instrumentarium traditionnel, la créativité d'Altaï Khangaï ne

connait plus de limites. Ainsi, d'un savant mélange de timbres ou d'une gamme inhabituelle, Altaï

Khangaï fait surgir des émotions et des images d'une rare intensité. À la fois conservateurs du

patrimoine et architectes du futur, Ganzorig, Ganbold et Garavkhuu ont des racines suffisamment

solides pour laisser tous les vents caresser leurs hautes branches.

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PRESSE NATIONALE

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29 octobre 2013

Le monde des musiques du monde (21) Par Louis-Julien Nicolaou http://www.lesinrocks.com/2013/10/29/musique/monde-musiques-du-monde-21-11439911/

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24 décembre 2013

Le monde des musiques du monde (25)

Les dix albums de musiques du monde ayant marqué l’année 2013, c’est le tour du monde musical proposé par Louis-Julien Nicolaou. http://www.lesinrocks.com/2013/12/24/musique/monde-musiques-du-monde-25-11455066/

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6 au 12 novembre 2013

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Janvier – février 2014

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Janvier – février 2014

Altaï Khangaï, aux sommets du chant diphonique

Connaissez-vous le chant diphonique, cet art des nomades de Mongolie ou des républiques voisines qui consiste à tirer deux sons d’un même jeu de cordes vocales ? Ici, il est porté à ses sommets, entre râles gutturaux et sifflements, pour évoquer une nature sauvage et ensorcelante. Notre chronique ... Rares sont les albums qui vous transportent en quelques secondes dans un espace et un temps complètement étrangers. Ongod est de ceux-là. Un raclement de vièle, quelques

battements de tambour, une voix puissante et rauque, et l’auditeur se retrouve emporté par le souffle sauvage d’une Mongolie millénaire. Contrairement à d’autres formations mongoles pour qui les stupéfiantes possibilités offertes par le chant diphonique (technique consistant à produire un son très grave qui, par sympathie harmonique, fera surgir un deuxième chant à l’aigu) constituent d’abord un moyen d’entamer le dialogue avec des musiciens occidentaux, le trio Altaï Khangaï ne cherche qu’à s’enraciner toujours plus

profondément dans son propre terroir, quitte à cultiver une certaine rusticité. Soucieux de ne pas laisser les diverses formes traditionnelles se perdre, il interprète aussi bien des mélodies conçues pour danser (Biyelgee) que des magtaal (éloges à caractère religieux) et des épopées nées dans les hauts monts Altaï. Sa musique est ainsi très nuancée, la revigorante rudesse des galops rythmiques et les tourbillons de la vièle merin khour à tête de cheval pouvant s’allier aux délicats arpèges d’une cithare (dont joue à la perfection Garavkhuu Badmaabazar, la seule femme du trio), et l’austère frottement du

tumut khuur (guimbarde) alterner avec les sons nostalgiques du tsoor (sorte de cornemuse) et du yochin (dulcimer). Cependant, si Altaï Khangaï ne s’écarte pas de la

tradition, il n’oublie pas d’élaborer ses propres compositions. Il préserve ainsi l’incroyable dynamique et la clarté mélodique d’une musique intimement liée au milieu naturel qui l’a vu naître. Selon l’impressionnant Ganzorig Nergui, chanteur et multi-instrumentiste du

groupe, le chant diphonique servirait ainsi à exprimer les rigoureux hivers de Mongolie. Du point de vue de l’histoire musicale, cette théorie ne tient sûrement pas. Du point de vue de l’esthétique, elle est tout à fait validée par ce superbe album. Louis-Julien Nicolaou

A écouter : Ongod d'Altaï Khangaï (Buda Musique)

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MEDIAS

INTERNATIONAUX

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Avril - Mai 2014

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Musicframes (Pays-Bas)

4 décembre 2013

Trio Altaï Khangaï plays music from Western Mongolia, based on traditionals from the Altai mountains and the Khangai, where the khoomei, throat singing was develloped. They play new songs on traditional instrument like the morin khuur (horse fiddle), the yoochin zither and percussion. For years Mongolia was a closed area where local music was barely influenced by foreign songs. So the Mongolian traditional music crystallized with it’s own typical characteristics. People live on the endless steppe (winter cold to -60ºC), close to nature which we find in the lyrics: the high mountains, the clouds, rivers, horses and, of course, love. Altaï Khangaï sings about it all.

They accompany themselves on the morin khuur, the two strings horse fiddle, played straight ahead and often used to imitate horse riding, played byGanbold Muukaï. We hear the soft and gentle sound of theyoochin and yatga zither (like the Chinese guzheng) which mix marvelous with the morin khuur violin. Both played by Garavkhuu Badmaabazar, the woman of the trio. Troat singer and composer Ganzorig Nergui uses different skills: singing by deep breath, throat and mouth optimal. A technique where the vocalist sings two tones at the same time. Very fascinating and capable. His voice mixed beautiful with the pentatonic scale (5-tones) which refer to the minor scale and brings a sad or nostalgic timbre. Altaï Khangaï plays music with a western feel and brings Asian culture a lot closer.

o Altaï Khangaï: ‘Ongod’ (Buda Musique/Xango) o © Photo’s: Guillaume Ducarme / Flag Photo’s.fr

© Mattie Poels.

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10 février 2014

« L'ascenseur pour les étoiles »

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(Canada) 24 février 2014

http://rythmesetranges.blogspot.fr/

Altaï Kangaï, Ongod, Full Rhizome/Buda musique, 2013

La Mongolie, localisée au cœur de l'Asie, est un pays que je connaissais surtout à travers des images de steppes, de montagnes, de chevaux et de villageois en habits traditionnels de type National Geographic. Quand l'équipe de Full Rhizome m'a fait parvenir ce disque, j'avais donc en tête une série de clichés et quelques doutes à savoir si j'allais être en mesure de m'immerger dans les traditions musicales de ce pays.

Nommé d'après les deux chaînes de montagnes qui bordent le pays, l'Altaï et le Kangaï, le groupe Altaï Kangaï perpétue le patrimoine musical mongol depuis plus de 20 ans. Ce patrimoine musical s'articule principalement autour du chant de gorge (Khoomii) et de la viele à tête de cheval. Le chant de gorge est un type de chant très complexe dans lequel le

chanteur tente de reproduire des sons issus de la nature en modulant sa voix par l'utilisation des lèvres et du pharynx. Le chant peut prendre la forme d'un profond bourdonnement ou encore d'un chant plus mélodieux. Il est à noter qu'il ne s'agit pas d'un type de chant exclusif à la Mongolie; on le retrouve également au Tibet, en Chine et chez nous, au Québec. D'ailleurs, le gouvernement du Québec vient de reconnaître le Katajjaniq, le chant de gorge inuit, comme un élément important du patrimoine immatériel québécois. Bravo ! La viele à tête de cheval peut quant à elle être considéré comme l'instrument national mongol. C'est un instrument constitué d'une caisse de résonnance et d'un long manche surmonté d'une magnifique tête de cheval (voir la photo de la pochette). L'instrument comprend 2 cordes et est joué avec l'aide d'un archet; le son rappelle celui d'un violoncelle.

De manière générale, les arrangements sont très simples et articulés principalement autour de la viele à tête de cheval et du chant de gorge. Parfois s'ajoutent une cithare et un rythme primitif joué sur une grosse caisse. Malgré ce minimalisme, la musique est toujours envoûtante et d'une grande beauté. Ce disque comprenant effectivement son lot d'odes à la nature met en valeur magnifiquement le patrimoine musical mongol et, contrairement à ce que j'anticipais, il fut une de mes plus belles découvertes de 2013.

Vivement recommandé!!

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MEDIAS WEB

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20 décembre 2013

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Novembre 2013

http://www.akhaba.com/album/altai-khangai-ongod-2013

altaï khangaï Ongod

Buda Musique / Date de parution: 2013 / Réf Digipack 3341348602400

Deux massifs montagneux côte à côte, séparés par des steppes et des

rivières et unis par des troupeaux et des nomades, voilà ce que sont

l'Altaï et le Khangaï. C'est cette toile de fond d'une Mongolie bucolique

et pastorale qui inspire le groupe précisément baptisé Altaï Khangaï.

Actif depuis 1995, il a d'abord été révélé avec un premier

disque, Naariits Bulye, Let's Dance, chez Pan Records puis avec Gone

With The Wind - Songs Of Mongolian Steppes sur un autre label hollandais. Deux autoproductions plus tard

(Melodious Tree et Naadam), le voici avecOngod sur le label marseillais Full Rhizome, en partenariat avec Buda

Musique, bien décidé à se faire davantage connaître du public européen et donc français.

A la base d'Altaï Khangaï, on trouve Ganbold Muukhaï, descendant d'une famille de joueurs de morin khuur (la

fameuse vielle à tête de cheval) et devenu lui-même un virtuose de l'instrument, et Ganzorig Nergui, autre virtuose

de la morin khuur, mais aussi du khöömei, ou chant diphonique. (Il a participé notamment en 2010 au projet

Dörvön Berkh, sur Pan Records, qui réunit quatre chanteurs diphoniques.)

Le son d'Altaï Khangaï s'est donc défini à partir des vièles morin khuur et des différentes techniques de chant

diphonique (ou chant de gorge). Depuis 2011, Ganzorig et Ganbold ont ouvert leurs portes à Garavkhuu

Badmaabazar, une joueuse de cithares yoochin et yatga, et c'est donc en trio que se commet Altaï Khangaï sur

Ongod.

Garavkhuu ajoute indéniablement un supplément de rythme à la musique de ses deux compères, en intercalant

ses arabesques mélodiques entre les couches sonores brinquebalantes des vièles, garantissant un effet de transe

imparable à laquelle les résonances caverneuses du chant diphonique donnent un relief saisissant.

Pour ne rien gâcher, Ganzorig touche aussi au luth tovshuur, à la guimbarde aman khuur et à la flûte tsuur, et

Garavkhuu tâte de plusieurs petites percussions (tambours, osselets, clochettes). Autant dire que, même si la

formation d'Altaï Khangaï est moins étoffée que celles d'autres pointures comme Egschiglen ou Hanggaï, elle se

suffit à elle-même.

L'attachement à ce terroir particulier des montagnes de l'Altaï et du Khangaï donne évidemment toute sa

spécificité au répertoire d'Altaï Khangaï. Mais qu'on ne s'y trompe pas : Altaï Khangaï ne confond pas la tradition

avec une image inerte ou muséale. C'est au contraire sa vitalité et son renouvellement qu'il expose à travers des

arrangements « orchestraux » de thèmes traditionnels, mais aussi des compositions et des improvisations. Du

reste, Ganzorig Nergui compose aussi des chants de louanges (les magtaal) en s'appuyant sur le modèle

traditionnel, et bouscule les conventions en interprétant une tatlaga (forme mélodique) au luth plutôt qu'à la vièle,

comme le veut la tradition.

Ongod déploie ainsi tous les timbres et toutes les formules instrumentales et vocales dont est capable le trio :

pièces entièrement instrumentales, chants mis en musique, duo de vielles, duo vielle-chant, duo vielle-cithare,

enchaînement ou superposition de chant « normal » et de chant diphonique au sein d'un même morceau,

déploiement des trois grandes techniques de chant diphonique (l'aigu « khöömei », le grave « kharkiraa » et le

médium « shakaa ») et soli de luth, de flûte, de guimbarde pour aérer l'écoute, Cela dit, ces instruments n'ont

droit qu'à une portion très congrue dans la pratique instrumentale du groupe, car l'essentiel est, comme on l'a dit,

concentré sur les deux vièles, la cithare et le chant diphonique.

Le trio impressionne également par sa façon de varier les rythmes dans un même morceau, d'alterner parties

chantées et développements instrumentaux (la voix étant aussi un instrument quand la diphonie est de sortie) et

par sa capacité à dépasser ça et là le jeu traditionnel en glissant subrepticement vers la musique minimaliste d'un

Steve Reich (quand les vièles jouent en léger déphasage) ou en faisant montre d'une énergie rock (quand le rythme

est soutenu et s'accélère) bien qu'étant entièrement acoustique.

En tout cas, on n'aura aucun mal, à l'écoute de Ongod, à s'affranchir de toute attache urbaine et à se propulser

dans une enceinte sonore aussi rustique que ciselée, évoquant une contrée tapissée de steppes venteuses, lézardée

de rivières fraîches, bordée de montagnes abruptes et où les éléments naturels règnent en maîtres.

Par Stéphane Fougère | Ethnotempos, novembre 2013

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17 octobre 2013

Le trio Altaï Khangaï a décidément l'art et la manière de transposer les

musiques ancestrales de Mongolie dans un présent radieux et créatif. Leur nouvel album confirme cet état de grâce, comme le feraient sans

aucun doute les milliers de spectateurs qu'Altaï Khangaï a rencontrés de par le monde depuis une vingtaine d'années. Lorsque les deux majestueuses « vièles à tête de cheval » (morin khuur) et la cithare

yoochin nous invitent dans l'immensité des steppes pour nous raconter l'Histoire secrète des Mongols, c'est toute la vitalité d'une tradition et de

son peuple qui s'exprime avec une force quasi-orchestrale, tout autant capable de fougue que de subtilité. Sur ce solide édifice vient se poser le chant diphonique, clé de voûte de la culture mongole. Un art vocal

complexe et virtuose qui permet à un seul chanteur d'émettre simultanément une mélodie et un bourdon. C'est entre les montagnes

de l'Altaï et du Khangaï que se trouve le berceau de ce chant inspiré des éléments de la nature. C'est là, à l'ouest de la Mongolie, qu'ont grandi

Ganzorig Nergui, Ganbold Muukhaï et Garavkhuu Badmaabazar. See more at: http://www.tsugi.fr/evenements/2013/10/17/altai-

khangai-1684#sthash.UV7BcNoI.dpuf

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PRESSE LOCALE

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01 novembre 2013

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05 novembre 2013