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DOSSIER DE PRESSE JUILLET 2012 CONTACT : CÉLINE JOUENNE TÉL : + 33 6 64 66 11 07 [email protected] 87, BLD TÉLLÈNE 13007 MARSEILLE - FR - T. +33 (0)6 64 66 11 07 - WWW.VIDEOSPREAD.COM

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Mathieu Briand on Caszuidas' screen in Amsterdam

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DOSSIER DE PRESSE JuIllEt 2012

ContaCt : Céline Jouenne tél : + 33 6 64 66 11 07 [email protected]

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Videospread programme des vidéos/fi lms d’artistes dans l’espace public. Depuis Marseille, Videospread touche les écrans de New York, Melbourne, Perth, Paris, Londres, Berlin, Co-logne, Copenhague, Toronto ou Amsterdam, participant à la diffusion d’artistes français sur la scène internationale. Sa programmation se positionne en région comme à l’Etranger.

Videospread est soutenu par :

Au sommaire…

L’actualité p2Mathieu Briand à Amsterdam p3Videospread - A venir p5Videospread - Historique p7Videospread - Références p9Videospread - Concept p10

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VIDEOSPREAD - ACTUALITÉ

Videospread a le plaisir d’annoncer le lancement de son nouveau programme à partir du mois d’août 2012. L’exposition personnelle de Mathieu Briand sera inaugurée sur l’écran géant Caszuidas et dif-fusée pendant un an.

Caszuidas, Amsterdam, Pays-Bas. Stéphane Couturier, Séoul-Tanji, 2010.

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VIDEOSPREAD - ACTUALITÉ Mathieu Briand - Le point et le contrepoint Texte de Afshan Hussain Me tenant à une dizaine de mètres de La Sculpture Inhumaine, je vois ce qui semble être un arbre à l’en-vers. Mon regard suit à la verticale le feuillage des branches, puis le tronc de l’arbre, pour finir sur un tapis d’herbe - que l’on imagine avoir été arraché de la terre au moment du déracinement de l’arbre. Au centre ce cet amas de terre retournée, il y a, semble-t-il, les racines de l’arbre. On y voit également la silhouette d’un homme debout, vêtu d’un chapeau et tenant une cane ou un bâton. En me rapprochant, je réalise que les feuilles sur les branches sont en fait des chauves-souris, que les brindilles et racines qui entourent le tronc sont des serpents. Juste en dessous de la couche de terre, je vois à la base du tronc un homme nu, ses bras et jambes appuyées contre les rebords du tronc, comme pour l’empêcher de tomber. Le morceau d’herbe est en fait un amas de pieuvres, serpents et crânes… pas de l’herbe. Des oies cacardent comme en signe d’alarme. Au centre, je vois ce que je pensais être une représen-tation des racines de l’arbre, mais qui est en réalité un feu. Seule la silhouette de l’homme est effectivement ce que je croyais être de loin. Ma première impression de la pièce était de croire qu’elle était une représentation de l’Enfer de Dante, une vision de l’enfer, et malgré tout et de manière inéluctable, une sculpture d’un arbre qui me pousse à penser au contrepoint de l’enfer- le jardin d’Eden et l’arbre du fruit interdit de la connaissance. J’examine la figure en haut de l’arbre ; qui doit certainement être une représentation de l’homme moderne ou du 20ème siècle. Il semble se tenir là, provoquant, dominant la scène. L’homme pré-moderne est prisonnier de l’arbre. Selon moi, c’est Adam, notre ancêtre, aux prises avec le jardin d’Eden et l’enfer de Dante. Il descend vers les profondeurs du subconscient, ou peut être vers une caverne de la peur symbolisée par les chauves-souris ? Ou peut être encore est–il en train de ramper pour tenter de s’échapper ? Les chauves-souris, rappel de la cave de Batman, avec les crânes, les serpents et les pieuvres, créent une ambiance souvent présente dans les films fantastiques. Je vois l’enfer et son contrepoint – le jardin d’Eden ; l’homme moderne et son contrepoint - l’homme pré-moderne, une esthétique invoquant des narrations de production de mass-média comme Batman et encore une fois un contrepoint – une esthétique invoquant la narration biblique d’Adam et Eve, une histoire ne s’appuyant certainement pas sur les mass média pour assurer sa transmission. Comment interpréter cette scène, cette sculpture ? Avant de répondre à ma propre question, je fais une courte digression. J’ai récemment vu The Clock de Christian Marclay et Miraculous Beginnings de Walid Raad, basé sur un docu-fiction du groupe fictif Atlas. Ces films interrogent les différences entre la fiction et la réalité. Le travail de Marclay est constitué d’un assemblage de scènes de divers autres films. Dans chaque scène la caméra se fixe sur une montre ou horloge qui affiche l’heure de la journée. C’est une fiction qui fait appel au contrepoint de la réalité. Dans le travail de Walid Raad, le groupe fictif Atlas documente les réalités de guerre de l’histoire du Liban. Bien que le documentaire et le groupe soient fictifs, les réalités de la guerre au Liban, comme maintes personnes peuvent en témoigner, sont restituées de manières très précises. Encore une fois, il y a une certaine réalité dans la fiction, et l’on est habilement amené à une chose et son contraire. L’exploration de la narration dans le travail de Marclay et Raad est une preuve du pouvoir de création, même lorsque ce qui est produit est techniquement une fiction et pas la réalité. Encore une fois, qu’est-ce que la fiction si nous y trouvons une part de réalité et qu’est-ce que la réalité si elle est basée sur de la fiction ?

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Jacques Derrida dirait que rien n’existe en dehors de son contexte, en dehors de la subjectivité de l’individu. La réalité est ce qu’un individu pense être la vérité. Derrida aurait pu dire que nous créons nous même notre réalité. Cependant, si les origines de la création sont ancrées dans l’imagination, alors à quel point notre sub-jectivité, notre imagination est-elle singulière si elle est constamment sollicitée par des narrations directe-ment liées au marketing de masse comme Batman, ou la mythologie ancienne comme le jardin d’Eden ? Les sculptures Inhumaines mettent en lumière la nature fragile du moi subjectif et de son pouvoir imaginatif. Il nous rappelle que, en tant qu’hommes modernes, notre imagination est constamment nourrie de l’ima-gination collective que l’on trouve en dehors de la subjectivité d’une seule et même personne. C’est pour cette raison que la figure de l’homme au haut de forme – affublé d’une cane et d’une cape, est, de manière contestable, une vision de l’homme lambda au début du 20ème siècle, un siècle réputé pour sa production de masse – domine la scène et se place au dessus l’homme nu (pré-moderne) prisonnier de l’intérieur. Considérons, comme certains, que la modernité est inextricablement liée à la production de masse. Mathieu Briand semble supplier que l’on se pose la question : dans un monde moderne, à quel point notre imagination est-elle singulière et unique ? A quel point notre subjectivité est-elle collective ? Encore une fois, le travail de Briand s’articule comme la philosophie de Derrida semble planer dans cet espace entre une chose et son opposé – comme pour dire, « est-ce bien sur cette frontière que le pouvoir de création existe » ? Le travail de Briand fonctionne comme l’objectification de l’imagination individuelle, mais est également un testament à son effacement, et pourtant, dans son rendement, cette sculpture est singulièrement imaginative. La sculpture inhumaine occupe l’espace entre le signifiant et le signifié, cet espace à partir duquel est né le mot et son effacement, sa définition (base de la communication) et son obscurcissement. Si Arman, dans son œuvre, avait exploré la relation entre le la sculpture moderne et le langage et Derrida exploré les liens entre le langage et la subjectivité, la sculpture de Briand pousserait la réflexion encore plus loin. Si le travail de Marclay et Raad explore le pouvoir de création, celui de Briand semble explorer le pouvoir d’inspiration. Ces trois artistes utilisent la réciprocité de la chose et de son contraire pour provoquer le spectateur et mettre en péril nos certitudes. Je reviens maintenant comme auteur avec mes préoccupations narratives. L’Art Moderne peut-il exister en dehors d’une auto-analyse, d’un terme utilisé pour transmettre cette interprétation ? Ou plutôt, est-ce que cet art inspire le terme et la narration que, nous autres auteurs, utilisons pour créer ? Ce texte existerait-il sans l’œuvre de Briand ? Le travail de Briand pourrait-il être compris et vécu comme expliqué sans mon analyse ? Mon texte est-il le produit seul de ma subjectivité ou au contraire découle-t-il d’une conscience intellectuelle collective ?

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VIDEOSPREAD - A VENIR

Ecran Caszuidas, Amsterdam, Hollande http://www.caszuidas.nl http://www.galerieofmarseille.com

Elaboration et diffusion de programmes monographiques d’ar-tistes de la région et partenariats avec des structures locales spécialisées dans la diffusion d’art contemporain. Renouvelle-ment des programmes toutes les 12 semaines.

Les expositions personnelles prévues pour le Caszuidas mettent en avant la création vidéo et d’animation d’un desi-gner et graphiste ou d’un architecte. Les expositions de col-laboration mettent en avant l’activité de diffusion de struc-tures de la Ville de Marseille.

Janv-Avril : Stéphane CouturierMai- Juillet : «Jeunes Talents, ECV Aix» Commissariat Sarah Carrière-ChardonAoût-Décembre : Mathieu Briand

Big Screen Plaza, New York, USA http://www.bigscreenplaza.com

Diffusion d’une exposition collective Videospread : Stéphane Couturier, Michel Klöfkorn, Pippo Lionni.

Diffusions pendant tout le mois de mai 2012.Dates à confirmer pour l’automne 2012.

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Perth Cultural Centre, Perth, Australia Lancement d’un nouveau partenariat avec le réseau Australien dans les villes de Perth, Sydney, Brisbane et Melbourne.

Depuis janvier 2012 : Michel Klöfkorn

Pecha Kucha Night, Marseille, France http://www.pechakuchanight.fr

Partenariat avec l‘organisation Pecha Kucha NightRendez-vous trimestriel à Marseille, France.

20ème édition. Date et lieu à confirmer.

Présentation d’une sélection de la programmation :Ecole de Communication Visuelle d’Aix en Provence, Mathieu Briand.

La programmation Videospread est en constante évolution, nous ne manquerons pas de compléter l’agenda de nos événements et ce dossier de presse au cours de l’année. Pour toute demande d’informations comme de visuels : [email protected]

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VIDEOSPREAD - HISTORIQUE Videospread est spécialisé dans la production de programmes d’art vidéo sans son dédiés à des diffusions dans l’espace public et semi-public (rue, gares, métro, hôtels…). Profitant de l’émergence des réseaux d’écrans et écrans géants dans ces espaces, ses programmes questionnent l’art sur sa capacité à avoir un impact direct sur la perception et l’appropriation d’un contenu artistique par le grand public habituellement confronté à des contenus publicitaires. En outre, Videospread souhaite développer un nouveau marché pour la vidéo d’art. Ce concept, élaboré par Céline Jouenne est lancé en 2006 à l’occasion d’un partenariat avec le HI Hotel à Nice, France. Depuis, le projet s’est largement développé et la mise en place de partenariats avec propriétaires d’écrans géants et réseaux d’écrans en France et à l’Etranger (Caszuidas en Hollande, Federation Square en Australie, RATP en France…) a permis d’asseoir son concept et de valider certains de ses pronostics sur ce secteur naissant.

Céline Jouenne, directrice de Videospread, est née en 1974 à Séoul

(Corée du Sud). Elle grandit à Toronto, Canada et décide de poursuivre ses études en France. Diplômée en 1998 d’une maîtrise en manage-ment culturel de l’EAC, Paris, elle a exercé à Paris en tant que chef de projet indépendante et responsable de production, entre autres pour le compte d’artistes, de musées et de programmeurs culturels

: Agence Acanthes, Musée d’Art Moderne Grand Duc Jean à Luxem-bourg, Alliance Française à New Delhi (Inde), Suva (Fidji) et Soft Pad à

Kyoto (Japon). Ses collaborations avec des galeries françaises et étrangères, notamment sur des foires internationales (Art

dealers, FIAC) ont participé à approfondir sa connaissance du secteur du marché de l’art et nouer des liens forts avec artistes et des professionnels de l’art contemporain.

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VIDEOSPREAD EN QUELQUES DATES : Décembre 2006 - Première programmation au HI Hotel, Nice, France Septembre 2007 - Kanal Kobenhavn, Copenhague, Danemark Juillet à Décembre 2007 - RATP, Paris, France Février 2008 - Roxy Bar & Screen, Londres, Angleterre Février à Mai 2008 - Federation Square, Melbourne, Australie Depuis Mai 2008 et en cours- Caszuidas Screen, Amsterdam, Pays-Bas Juillet à Décembre 2008 - Souvenirs From the Earth, Cologne, Allemagne Septembre à Octobre 2008 - Federation Square, Melbourne, Australie Juillet 2009 - MK2 & Galeries Lafayette, Paris, France Octobre 2009 - Nuit Blanche à Toronto, Canada Mai 2010 - Printemps de l’Art Contemporain, Marseille, France Juillet à Octobre 2010 - RATP, Paris, France Juillet à Décembre 2010 - Federation Square, Melbourne, Australie Juillet 2010 à Juin 2011 - Show-room FIAT, Paris, France Septembre 2010 - Media Facade Festival 2010, Berlin, Allemagne Mai à Août 2011 - RATP, Paris, France Août 2011 - Big Screen Plaza, New York, USA Août à Septembre 2011- Federation Square, Melbourne, Australie Octobre 2011 - Cité du Design et de la Mode, Paris 0ctobre 2011 - Nocturne, Halifax, Canada Janvier 2012 - Perth Cultural Center, Perth, Australie

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VIDEOSPREAD - REFERENCES

Les Partenaires

Ville de Marseille Département des Bouches du Rhône Région Provence-Alpes-Côte d’Azur DRAC Provence-Alpes-Côte d’AzurMaison Descartes, Institut des Pays-Bas Ambassade de France à TorontoAmbassade de France à Moncton Ambassade de France à Melbourne Alliance Française de Melbourne Ambassade de Grèce à TorontoInternational Urban Screens AssociationInstitut Français, Min. Affaires EtrangèresRATP, ParisMK2, ParisCaszuidas – Virtueel Museum Zuidas Federation Square, Melbourne Souvenirs From the Earth, CologneHI Hotel, NiceTV-TV, CopenhagueTank TV, LondresUrban Screen, MilanMarseille ExposStreaming Museum, New YorkCentre For Art Tapes, HalifaxPVonk - BerlinMarseille Face Bis

Les Collaborateurs

Galerie Sextant & Plus Galerie Porte Avion Vidéochroniques, Galerie et RésidenceFRAC Provence-Alpes-Côte d’AzurFestival Les Instants VidéoGallery 345Benjamin Thorel, critique d’artGuillaume Mansart, critique d’artSarah Carrière-Chardon, curator et auteurFabrice Faivre, monteurOlivier Berhaut, directeur artistiqueAudéance, agence interactiveVinzi Studio, post-production

Les Artistes programmés

Renaud Auguste-Dormeuil Eric Baudart Berdaguer & Péjus Katia Bourdarel Marie Bovo Betty Bui Dorota Buczkowska Laurent Chambert Delphine Coïndet Cornelis Gollhardt Agathe Lievens Pia Lindman Pippo Lionni Mathieu Mercier Cécile Paris Guillaume ParisJérôme Raffaelli Hugues Reip Fabrice Reymond Véronique Rizzo Samuel Rousseau Jean-Claude Ruggirello Karen Russo Amelia Seymour Kristina Solomoukha Michèle Sylvander Laure Tixier Sylvie Ungauer Virginie Yassef…

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VIDEOSPREAD - CONCEPT

Videospread est diffuseur/distributeur d’une collection de films/vidéos d’artistes, destinée aux nou-veaux supports d’affichage dans les lieux publics et semi-publics. Les programmes élaborés à partir de sa collection, s’appuient sur une diffusion de films/vidéos sans son, concentrés sur l’expression visuelle et sur le pouvoir d’attraction des images. Ces programmes interrogent l’art en tant qu’élément susceptible d’avoir une incidence directe sur la perception et l’appropriation d’un contenu artistique par un public aléatoire, compte tenu des lieux de diffusion préconisés. Ils envisagent également de trouver de nouveaux débouchés pour l’art vidéo, notamment en s’appuyant sur les nouveaux réseaux de diffusion (écrans géants dans la rue, réseaux d’écrans dans les centres commerciaux, dans les aéroports, le métro, les hôtels…).Ainsi, il ne s’agit pas d’appréhender ces programmes comme n’importe quels autres habituellement diffusés par la télévision, à savoir, une suite d’images construites sur un principe de narration, mais plutôt comme une présence visuelle dans l’espace, susceptible de déclencher un intérêt particulier, une attention, une émotion.Le contenu vidéo et/ou filmique des programmes répond aux dénominateurs communs d’être sans son, et d’être spécifiquement conçu pour une diffusion dans l’espace public via écrans géants, réseaux d’écrans, via le câble télévisuel et/ou l’édition de produits de type DVD. Les films/vidéos, réalisés par des artistes internationaux, peuvent êtres classés selon différents « genres » : les films/vidéos d’ani-mation ou image de synthèse ; les films/vidéos expérimentaux (plus personnels et conceptuels) ; les films/vidéos d’ambiance (recherche esthétique forte, jouant davantage sur des jeux de cadrage, de couleurs et de mouvement de caméra) ; tous représentants un nouveau type de contenu visuel.

Basée à Marseille, l’association Videospread tient lieu de passerelle entre artistes et/ou structures spécialisées dans la promotion et la diffusion de la création contemporaine la plus innovante (galeries privées ou associatives, musées, FRAC, associations…), qui souhaiteraient une visibilité accrue à un niveau national et international afin de faire la promotion de leur activité et/ou production. Pour ce faire, Videospread place au cœur de son activité de diffusion les partenariats et collaborations avec des artistes (Caroline Duchatelet, Véronique Rizzo, Betty Bui, Dorota Buczkowska, Katia Bourdarel….) et structures culturelles de la région (FRAC, Association Sextant & Plus, Vidéochroniques, Galerie Porte Avion, Les Instants Vidéo…).

Les nouveaux réseaux d’affichages - écrans plasmas, LCD, technique LED –Depuis quelques années un nouveau type de support à l’affichage voit le jour dans les espaces publics, tels les aéroports, les gares, les métros ou la rue: l’écran plat. Comme un écran de télévision, il permet la diffusion d’images mouvantes et transmet habituellement des programmes télévisuels ou de la publicité.

Un nouveau contenu pour les écransLes lieux très fréquentés du grand public - centres commerciaux, gares, aéroport, rues…- équipés de ce type de support de diffusion - écrans plasmas, LCD, écrans géants technique LED…- transmettent aujourd’hui un contenu de type publicitaire, dont on a fréquemment coupé le son. Aucune réflexion, ni production spécifique à ces supports de diffusion n’a encore été engagée de la part des propriétaires de ces réseaux.

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Les plages de vidéos VideospreadDans le cadre de diffusion de messages publicitaires sur les nouveaux supports d’affichage, une inser-tion d’images créatives et artistiques à intervalles réguliers, en alternance avec la publicité, présente des caractéristiques au bénéfice du spectateur/passant/consommateur potentiel, de l’annonceur mais également du propriétaire du support de diffusion :

• Elle favorise l’attraction visuelle du passant et valorise le contenu global diffusé et son support, en y apportant une valeur ajoutée artistique et esthétique, aujourd’hui encore inexistante sur ce type de système de diffusion.

• Elle participe à une introduction et à un apprentissage en douceur de la création contemporaine au grand public.

• Enrichis d’un contenu leur donnant une plus value, les différenciant des autres en les mettant en avant, les écrans deviennent des supports d’affichages dynamiques, vecteur d’information de manière réellement efficace.

Un nouveau sens pour l’image Chaque individu est quotidiennement et de manière croissante, confronté à une consommation d’images, de manière volontaire ou non (à son domicile, au travail, dans les espaces publics, les trans-ports, la rue…). Ces images, généralement exposées à des fins publicitaires et/ou de consommation, sont porteuses de valeurs marchandes et faibles en contenu artistique.Tenter d’introduire un nouveau genre d’image dans le « standard » de l’image publicitaire permettrait d’amorcer un nouveau type de relation entre le spectateur et l’image qui lui est imposée quotidien-nement.Videospread souhaite faire évoluer les habitudes et sensibiliser le public le plus large à une nouvelle approche de l’image en mouvement.