SOIRÉE DES VŒUX DéDiée aux

journalistes otagesRemy Pflimlin,

Président de france Télévisions

DÉBATMéDias-Pouvoir : qui contrôle qui ?

Avec Jean-Paul HuchonPrésident de la Région ile-de-france

LES FORMATIONS DU CLUB

3 Minutes Pour convaincre

Avec Sylvère-Henry Cissé de Canal +

Mag

Il est l'invité du premier

Face au Press Club spécial élections

DOMINIqUE DE VILLEPIN EN ROUTE VERS LA

PRÉSIDENTIELLE ?

MARS - AVRIL 2011BIMESTRIEL

N°39

Je prépare un projet pour une politique alternative. nous sommes dans un temps nécessaire de propositions.

Dominique de Villepin - Président de République solidaire

““

Mag

24.11.2010 13:47 PDF/X-1a-2001 (QUADRI_300dpi_tx_vecto) fogra39

Mag

BUzz BUSINESSLe 3ème Tour de France de la Charte de la Diversité s’est clôturé au Press Club ...p.14

..............p.16

INTERVIEW : Stéphan RossignolMaire de La Grande Motte .....p.17

REPèRES3 minutes pour convaincre .......................p.18

Média Training .........................p.19

3SOMMaireDans ce numéro ...

LA VIE DU CLUB

L’ÉDITO

Les vœux du Press Club ......... p.6

par Dominique de Montvalonchef du service politique de France soir, membre du conseil d’administration du Press club ................................................... p.5

quand le Press Club fait l’actualité ............................................. p.8

LES DÉBATS

BUzz MÉDIA

Débats, News, Annuaire...

www.pressclub.fr

Info +

ÉDITEUR DÉLÉGUÉ ET PUBLICITÉ : FFe - 18 avenue parmentier - 75011 Paris - tél. : 01 53 36 20 40 - Fax : 01 49 29 95 99 - site internet : www.ffe.frDirecteur de la publicité : Patrick sarfati • responsables de la publicité : louisa Hara - email : louisa.hara@ffe.fr - tél. : 01 40 09 67 98 • alexandre chemouny - tél. : 06 09 78 11 34 - michelchemouny@wanadoo.fr • responsable technique : aïda Pereira - email : aida.pereira@ffe.fr • conception : Mandy Frutier Maquettiste : valérie Mounier

8-12 rue louis armand 75015 Paris – tél. : +33 (0) 1 40 60 33 00 – Fax : +33 (0) 1 40 60 33 53site internet : www.pressclub.fr - Directeur de la publication : Bernard de la villardièrerédactrice en chef : isabelle BourdetMag

Jacques Chirac est-il intouchable ?invité : thierry leveque ...........................p.10

Génération y et entreprises : le grand malentenduinvités : julien Weyrich, christophe sausse, julien Pouget, ...........................................p.10

Médias-Pouvoir : qui contrôle qui ?invités : jean-Paul Huchon, gérard leclerc, Dominique de Montvalon, .................... p.11

SPECIAL ELECTIONS 2012invité : Dominique de villePin ............. p.11

Imprimé en France. Tous les visuels illustrant la revue sont fournis par la rédaction sous sa responsabilité ou proviennent de la banque d’image thinkstockphotos.

Projet de loi : Droits réservés, un devoir de rémunération ? ...........p.12

Médias et diversité : le rapport du club Averroès .............p.13

thierry thuillier - Directeur des rédactions et remy Pflimlin - Président de France télévisions

Mag

5éditorial

quanD les FranÇais JUGENT LES JOURNALISTES

par Dominique de Montvalon, chef du service politique

de France soir, membre du conseil d’administration du Press club

L’ÉDIto

Stop au masochisme :les français ne

détestent pas les journalistes !

Faut-il s’en réjouir ? ou le déplorer ? France soir a demandé à l’ifop de « tester » quinze professions, dont celle de journaliste. question posée : avez-vous une bonne ou une mauvaise image de… ? suivaient donc quinze professions. les infirmières triomphent puisqu’1% seulement des personnes interrogées disent en avoir une « mauvaise » et 99% une « bonne ». suivent, à un degré moindre, les professions de santé (médecins en tête).

Et les journalistes ? Eh bien ils surgissent en douzième position sur quinze alors qu’ils étaient, traditionnellement, abonnés à la « lanterne rouge ». Pauvres banquiers, pauvres agents immobiliers et surtout - on s’y attendait - pauvres députés qui ferment la marche !la douzième place, ce n’est pas extraordinaire mais, qu’on me pardonne, pour les journalistes, c’est presque inespéré. a titre personnel, je craignais pire. il y a mieux : 58% des sondés disent avoir une bonne opinion des journalistes (contre 42% d’un avis contraire). il ne faut pas s’emballer : 5% seulement en ont une « très bonne » et 53% une « assez bonne ».

cela reste fragile, et il y a encore du « boulot ». Mais tout de même !... n’y-a-t-il pas là - sans s’enflammer - l’esquisse du début de redressement d’image d’une profession souvent jugée arrogante, légère, idéologue, voire carrément donneuse de leçons ? une profession parfois très injustement commentée et prise à partie.

Parmi ceux qui ont la meilleure image des journalistes : 66% des 18-24 ans (parce que beaucoup rêveraient de le devenir ?), 65% des ouvriers (c’est plus surprenant), 63% des salariés du secteur privé et - que chacun en tire les leçons qu’il veut - 71% des sympathisants de gauche (toutes tendances confondues). en revanche, ils ne sont que 39% chez les sympathisants du Fn et, plus étonnant, 47% seulement chez ceux de l’uMP (à cause de l’anti-sarkozysme ambiant ?) à confes-ser avoir, tout compte fait, une « bonne image » des journalistes. encore ne s’agit-il, pour la très grande majorité, que d’une « assez bonne image ». les amis de François Bayrou pencheraient ce coup-ci plutôt du côté de la gauche puisqu’ils sont près des deux tiers (65%) à avoir, disent-ils une bonne image de la profession.

a l’entrée de la longue ligne droite de la présidentielle, cette enquête de l’ifop pour France soir - simple photographie - apparaît à la fois rassurante et ambiguë. rassurante car la crédibilité d’une profession (télévisions, radios, print et net) jalousée et parfois très contestée n’est, au fond, pas si médiocre que cela. Donc, stop au masochisme ! Photographie ambigüe en même temps car il ne faudrait pas que les journalistes soient seulement « bien jugés » - ou mieux jugés - quand ils disent, rapportent, filment ou écrivent ce que l’opinion a envie d’entendre. or il n’y a-t-il pas, au fond, un peu de cela, à l’heure du populisme, dans cette enquête ?

il reste qu’elle nous met, à nous journalistes si fréquemment malmenés, un peu de baume au cœur. allez, on n’en rajoutera pas mais, en ce début d’année, on ne boudera pas notre (petit) plaisir. et on forme un vœu, modeste et très modeste : l’an prochain, s’il vous plaît, passer de la 12ème place à... la 11ème ! n

6LA VIE Du cluB

Mag

Soiré

e VIP

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Les vœux du

Press Club

Soirée dediée

à Stéphane Taponier

et Hervé Ghesquière,

otages en afghanistan

Le 31 janvier, vous avez été près de 200 à répondre présents à l’invitation de Bernard de La Villardière, Président du Press Club/M6, Martine Granier, Directrice générale déléguée de SHPS/Press Club et Isabelle Bourdet, Directrice du Press Club.

cette soirée des vœux a été cette année très émouvante puisque nous avions choisi de la dédier à nos deux confrères retenus en afghanistan depuis décembre 2009. Celle-ci s’est déroulée en présence de Thierry Taponier, frère de Stéphane, de Rémy Pflimlin, Président de France Télévisions et de Thierry Thuillier, Directeur des rédactions du Groupe. l’occasion pour eux de rappeler que ces deux journalistes ont été pris en exerçant leur métier, celui qui consiste à aller voir et à prendre des risques pour témoigner et mieux comprendre. ils ont également appelé les confrères présents à être très vigilants sur la manière dont le sujet est abordé dans leurs médias.

Dessin d’olivier raynaud – ciia, membre du conseil d’administration du Press club

1| thierry thuillier - Directeur des rédactions et remy Pflimlin - Président de France télévisions

2| thierry taponier, olivier galzi - i>télé, Bernard de la villardière - M6, Press club, Martine granier - thalassa sea & spa, Press club, rémy Pflimlin et thierry thuillier - France télévisions,

isabelle Bourdet - Press club et emmanuel de la taille

7LA VIE Du cluB

Mag

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Soirée VIP

3| Fabienne amiach - France 3, Bernard de la villardière et isabelle Bourdet

4| Denys sappey - Pullman France, Martine granier - thalassa sea & spa, Press club et Fanny schwarcfeld - voyageinfo.com

5| Hervé Delemarre - actual Public relations 6| gérald ariano, christine oberdorff - tF1, véronique Beaufils et

François-xavier Patron 7| jean-Paul lubot - groupe Marie-claire et Bernard de la villardière 8| remy Pflimlin, thierry taponier et olivier galzi 9| eric giacometti - le Parisien, Pierre rancé - europe 1, isabelle

Bourdet, nicolas charbonneau - le Parisien et olivier galzi - i>télé10| edith rébillon - trains expo sncF, Philippe chauveau - editions Pc

et awa Khiar - tadeo Delta Process

11| Fanny schwarcfeld - voyageinfo.com, l’éditeur jean-Daniel Belfond et anita Hausser - la chaîne Parlementaire

12| Patrice Drevet, Pierre rancé - europe 1 , Bernard de la villardière, gérard saint-Paul et anita Hausser - la chaîne Parlementaire

13| guy lezec et Hakim abdelkhalek - France 2 avec isabelle Bourdet 14| Karine Fauvet - lci15| claude carré et nathalie rihouet - France 216| olivier raynaud - ciia, et olivier cruchot - alliances conseils

international 17| gérard saint-Paul et Daniel renouf - system tv18| Yolaine de la Bigne - néoplanète et joël loison - Maire de vélizy 19| Bruno Fuchs - image et stratégie, jean-Philippe lustyk - eurosport

et Philippe Doucet - canal +

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1| Pierre-anthony allard et Henriette chardak, auteur des textes de l’exposition

2| astrid roustan - Mairie de la grande Motte3|Bernard de la villardière - M6 - Président du Press club4| vera Baudey - Balthazar devant une des photos de l’exposition5| Paul lefevre - W9, Planète justice et Pierre-anthony allard6| Patchwork des photos exposées

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Le Press Club a fait le buzz

ces dernières semaines grâce à une

exposition exceptionnelle de photos sur

les kiosquiers parisiens, une table d’hôtes

consacrée au conflit israélo-palestinien,

un point presse sur la reconstruction d’Haïti

et le pitch par Alexandre Pugatchev de la

nouvelle maquette de France Soir.

Quand le Press Club fait l’actualité

Le restaurant du Club « Les Signatures » a été le théâtre d’une exposition d’excep-tion de Pierre-Anthony Allard, inaugurée par Bernard de La Villardière.

le photographe a souhaité rendre ainsi hommage aux derniers kiosquiers de Paris en leur consacrant une rétrospective photographique.

l’authenticité de son reportage a restitué toute la dimension sociale et humaine de ces « passeurs de lecture ».

l’exPo

Hommage aux kiosquiers parisiens

Actua

lité

9LA VIE Du cluB

Mag

Alexandre Pugatchev, le président de France Soir, a choisi le Press Club pour présenter

en avant-première la nouvelle maquette du quotidien. en compagnie de remy Dessarts et devant une cinquantaine de journalistes, il a précisé que cette

maquette « plus élégante » avait pour objectif « d’atteindre les 100 000

exemplaires vendus à la fin 2011 et 140 000 en 2012 ». qu’il visait un lectorat « plus masculin, d’actifs entre 25 et 45 ans de province ». Pour réussir son pari, le jeune propriétaire russe (23 ans) du quotidien a dû une nouvelle fois mettre la main au portefeuille en investissant 20 millions euros qui s’ajoutent au 60 déjà dépensés en 2010. a la question d’où vient l’argent ? il a répondu qu’il venait de la fortune familiale en précisant qu’il était « le seul actionnaire du journal ». a celle des difficultés financières de son père et aux rumeurs sur l’avenir de France soir : « cela n’a rien à voir avec moi, j’ai de l’argent et je n’ai pas à le prouver. Ce que je fais montre que j’ai envie d’investir dans le journal ».

Actualité

HAiTi : OÙ En EST lA RECOnSTRUCTiOn ? fRAnCE SOiR : UnE « nOUVEllE » nOUVEllE mAQUETTE

Le Press Club a reçu l’ONG internationale Aide et Action (membre du Club) et son partenaire en Haïti Schneider Electric à l’occasion d’un petit déjeuner de presse dans le cadre duquel a été dressé un bilan de 6 mois d’action

commune pour la reconstruction. claire calosci, Directrice générale d’aide et action, a déclaré que l’association avait la

capacité de « faire plus » mais que tout était une question de financement. le projet de formation professionnelle en Haïti vise à former 2000 jeunes en 2 ans aux métiers du bâtiment. gilles vermot Deroches, Directeur du dévelop-pement durable de schneider electric, appuie la recherche de financement en faveur de cette initiative qui marche face à une reconstruction qui tarde à démarrer. aide et action et la Fondation schneider electric sont déjà parte-naires en inde pour la formation professionnelle de jeunes dans la région sud du pays, dure-ment frappée par le tsunami fin 2004. De cette réussite commune est née l’idée de développer le projet en Haïti.

le Point

presse

etudiants en formation dans les métiers du bâtiment

le Pitch

Les membres du Club présents à cette première table d’hôtes de l’année ont pu assister à un dialogue d’exception entre Ahmed

Youssef, journaliste au quotidien Al-Ahram et conseiller du Ministre de la culture égyptien et l’avocat Théo Klein, ancien président du Crif qui leur a permis de mieux comprendre le conflit israélo-palestinien et le divorce entre ces deux peuples. ces deux « sages » ont rappelé qu’israël et la Palestine, malgré leur oppo-

sition, ont en commun un voisinage historique et un patrimoine qui a laissé des traces dans les consciences. un héritage aujourd’hui

menacé par les extrémistes des deux côtés de la frontière.

iSRAEl-PAlESTinE : lE DiAlOGUE DES SAGES

ahmed Youssef, isabelle Bourdet et théo Klein

la table

d’hôtes

10A

vos ag

endas

...

Mag

DébAtS Du cluB LES DÉBATS DU

Pour certains, ce sont des enfants gâtés qui veulent tout et tout de suite, incapables de supporter l’autorité. Pour d’autres, ils sont l’avenir de l’entreprise et lui ap-porte un vent de renouvellement nécessaire.

Et si tout le monde avait raison ?

ils ont entre 18 ans et 30 ans, ils ont grandi avec internet et leurs parents avaient lu Dolto. on les appelle géné-ration Y ou digital native. individualistes et pragma-tiques, ils refusent les codes de l’entreprise et n’en font qu’à leur tête. consommateurs de leur job et de leur firme, ils ne sont pas faciles à intégrer. Pourtant, ils sont indispensables car ils apportent de l’air frais, pensent internet et peuvent être les leviers du changement.

nous en débattrons avec des experts :

�Julien Weyrich, Directeur de la division ingénieurs et techniciens du cabinet Page Personnel

�Christophe Sausse, Directeur des ressources humaines de Parrot

�Julien Pouget, consultant et animateur du blog lagenerationy.com

jacques chirac est le premier chef d’etat républicain appelé à compa-raître devant un tribunal dans l’Histoire de France. au terme d’un demi-siècle de vie politique où il a occupé toutes les fonctions de la république, il est rattrapé par la justice, après 15 ans de démêlés avec les magistrats. alors qu’il bénéficiait d’une immunité liée à sa fonction à l’elysée, jacques chirac a livré pour déjouer les poursuites et les révé-lations une bataille avec la justice.

Avec thierry Levêque nous reviendrons sur cette saga, ses acteurs, de Xavière tiberi au juge Courroye, ses coups de théâtre, ses procès et sur le combat secret mené par le Président avec ses juges. a travers cette aventure, c’est la justice qui se dévoile et particulière-ment son cœur, le palais de justice de Paris. l’ambiguïté de ses rapports avec le pouvoir politique mais aussi le courage de certains magistrats face à un système à deux vitesses.

nous poserons les questions fondamentales de la ve république, celles du régime présidentiel et de l’équilibre des pouvoirs.

thierry levêque est chargé de la couverture des af-faires judiciaires depuis 1996. il a couvert les « af-faires » de la mairie de Paris et les autres dossiers politico-financiers et criminels, d’elf à clearstream. il est parmi les rares journalistes installés à demeure au palais de justice de Paris, le plus grand de France et le théâtre des principaux dossiers judiciaires.

animé par christophe BYs –l’usine nouvelle

Jacques Chirac est-il intouchable ?

Génération y et entreprises :

le grand malentendu

THEM

E

THEM

EInvité : thierry LEVEQUE, journaliste à l’agence de presse Reuters, auteur du livre « Intouchable ? Chirac face à ses juges » aux éditions Delavilla

animé par Hubert coudurier – le télégramme 10 mars

de 8h45 à 10h001er mars de 8h45 à 10h00

11A vos agendas ...

DébAtS Du cluB

Mag

Pour vous inscrire aux débats :info@pressclub.fr

questionné récemment sur ses ambitions présiden-tielles, Dominique de villepin a répondu aux jour-nalistes « je prépare un projet pour une politique alternative. Ma conviction c’est que nous sommes dans un temps nécessaire de propositions ». sera-t-il candidat à la présidentielle de 2012 ?

Invité du premier Face au Press Club consacré à la présidentielle nous l’interrogerons en exclusivité sur les grandes lignes de son projet pour 2012.

les face au Press Club, tout au long de la campagne électorale, vont permettre aux candidats de s’exprimer longuement sur leur action, leur projet et de répondre aux ques-tions de l’ensemble de la presse parisienne, de province, ou étrangère.

Spécial élections 2012FACE AU PRESS CLUb

THEM

E

Invité : Dominique de Villepin, Président de République solidaire

animé par olivier galzi – i>télé

28 mars de 11h00 à 12h30

invités :

Jean-Paul Huchon,Président de la région ile-de-France

Gérard Leclerc,Président Directeur général de la chaîne Parlementaire/assemblée nationale

Dominique de Montvalon,chef du service politique de France soir

en ce début de période électorale, nous allons nous pencher avec nos invités sur les relations qu’entre-tiennent les journalistes et les personnalités poli-tiques. une cohabitation qui n’a jamais été aisée… les premiers cherchant, par définition, la meilleure information à rendre publique ; les seconds voulant la contrôler ou la taire. que penser de ces émissions politiques ou les jour-nalistes sont remplacés par des citoyens ?que dire des relations sentimentales qui se nouent parfois entre les élus et les personnalités des médias.quelles vérités voulons-nous ?

Nous allons nous interroger sur le traitement journalistique de l’information politique et le rapport entre médias et pouvoir.

Médias-Pouvoir : qui contrôle qui ?

THEM

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animé par nicolas arpagian - Prospective stratégique

25 mars de 8h45 à 10h00

11DébAtS Du cluB

12BUzz MéDia

Mag

Dr une mention utilisée régu-lièrement dans la presse écrite, du plus petit ma-

gazine local au grand quotidien national. Mais qui fait grincer des dents les photo-graphes et dessinateurs. car la mention « droits réservés » s’applique normalement aux seules œuvres « orphelines », dont les rédactions ne connaissent pas l’auteur. et donc ne sont pas en mesure de le rémuné-rer. Mais avec le temps, le Dr a eu tendance à devenir une solution de facilité. un état de fait qui a occasionné la proposition de loi 441, défendue entre autre par le séna-teur héraultais robert navarro.

étudiée en fin d’année au sénat, cette loi, défendue par l’union des Photographes professionnels (uPP), prévoyait l’obligation pour les médias de payer l’utilisation d’une photo sans crédit ou avec la mention Dr.

« Dans l’histoire, la mention DR a évolué », explique claude corbier, re-présentant régional de l’uPP. « Avant, les iconographes connaissaient les auteurs de la majorité des œuvres. le DR était donc utilisé à la marge ».

les choses ont changé avec le temps. « le DR est devenu intéressant, car il permet de ne pas payer les œuvres ». ainsi, de plus en plus de photos et dessins ont été

crédités Dr. un phénomène accentué avec l’arrivée du numérique et d’internet, qui ont bousculé les frontières de la propriété intellectuelle. jusqu’aux dérives. le photo-graphe cite ainsi un télérama récent, où la partie éditoriale contenait plus de 25 % de Dr. « les rédactions sont censées ne l’utiliser que dans le cas où elles ne sont pas en mesure d’identifier l’auteur. Dans les faits, c’est différent. nous avons tous vu un jour nos photos créditées dans la presse avec la mention DR. Aujourd’hui, on utilise DR pour signer tout et n’importe quoi ! ».

Appel à la mobilisation

le projet de loi 441 apporte donc une nouveauté fondamentale. « Cela inverse les rôles, confirme Paul Starosta, membre de l’UPP. Cette loi obligerait les médias à indemniser, à défaut de prouver que l’œuvre n’a pas d’auteur ». et si per-sonne ne reconnaît son œuvre, il est mentionné l’obligation de payer un forfait à une caisse de gestion collective. «Cela pourrait être la SAif [nDlR : Société des auteurs des arts visuels et l’image fixe, l’équivalent de la Sacem pour

l’image, précise Claude Corbier. Elle aurait pour mission de retrouver l’auteur, ou à défaut d’utiliser les fonds pour financer des actions sociales ».

surprise : s’ils ont voté à l’unanimité la loi 441, les sénateurs en ont supprimé un élément essentiel : le « système de ges-tion collective obligatoire ». en d’autres termes, les sénateurs ont accepté l’idée de mieux encadrer l’usage du Dr, mais ont supprimé l’outil pour mettre cette idée en pratique.

tout en considérant qu’une étape est franchie avec ce vote, l’uPP appelle donc toutes les personnes concernées à se mobiliser alors que le texte arrive à

l’assemblée nationale. « Une pétition est disponible en ligne, ajoute le représentant de l’UPP. nous proposons également un courrier type à adresser aux élus. Cette loi est très importante à nos yeux.

Elle changera tout. nous voulons faire cesser ces abus ».

D’ici là, Paul starosta rappelle à tous les auteurs de prendre le temps de s’inscrire à la saiF. « Cela coûte 15 euros, à vie ! il suffit d’y déposer ses photos et dessins, et on est indemnisé à chaque parution. C’est une première démarche pour dé-fendre ses droits ».

Pour le reste, la balle est maintenant dans le camp du Palais Bourbon.

Gwenaël Cadoret

Actua

lité

PROJET DE LOI :

DROITS RÉSERVÉS, UN DEVOIR

DE RÉMUNÉRATION ?

Un Télérama récent contenait 25 % de photos créditées DR !

Mag

La proposition de loi 441 navigue en ce moment entre Sénat et Assemblée Nationale. Portée par les photographes, elle vise notamment à encadrer et limiter le fameux crédit photo DR. Une vraie petite révolution.

13BUzz MéDia

Mag

Actualité

est l’année de tous les rap-ports. citons par exemple, le rapport d’Hervé Bourges

pour France télévisons, celui du csa, celui de Bernard spitz auquel le club averroès a participé, ou encore celui de la Halde sur les conditions d’emploi à France télévisions et à radio France.

tous ces rapports reconnaissent que la question de la diversité est insuffisam-ment prise en compte, pire elle est trop souvent négligée. loin de se contenter de dresser un constat, ils lancent des pistes de réflexion, proposent des recomman-dations, des solutions concrètes (qui, il

faut le noter sont à budget constant ! voir à ce sujet

le rapport de Bernard spitz). et surtout, ils éta-blissent tous que le temps de l’action ou de la sanction des médias est venu.

nous observons au club averroès que l’année 2010 est une période charnière, parce que de nombreuses chaines hert-ziennes en ont profité pour mettre à plat leur politique en la matière, pour dessi-ner des moyens et des objectifs concrets à

atteindre. certaines, comme tF1 et France télévisions, ce sont engagées dans les procédures d’obtention du label diver-sité. D’autres se sont limitées à signer une charte de bonnes intentions.

nous avons été également très agréa-blement surpris de constater que rémy Pflimlin, le PDg de France télévisions, est davantage à l’écoute et clairement engagé sur ces problématiques. il a clairement associé la diversité à l’innovation et les présente comme les deux dossiers priori-taires de son plan stratégique.

incontestablement, les chaînes de France télévisions font des progrès. néanmoins, « nous sommes encore loin d’une télé-vision publique à l’image de la société française », selon Hervé Bourges, Président du comité diversité de France télévisions.

un point extrêmement positif en 2010 : la politique entreprise par le groupe canal +. contrairement à la tnt, où la diversité est absente, le groupe canal + entraîne en déséquilibre avant le PaF, pour aller

en direction d’un modèle de télévision tourné vers l’ensemble de la communauté nationale… rodolphe Belmer son direc-teur général et ara aprikian, le directeur des programmes de canal +, ont toujours eu le souci de proposer des antennes qui répondent à un élan aspirationnel, plus ouvert sur la société Française et sur le monde. c’est l’occasion pour le club averroès de leur rendre hommage. l’effort doit être porté maintenant sur un renfor-cement de la diversité sur les directions opérationnelles de programmes, d’infor-mation, et d’administration.

Pour l’avenir, 2011 devrait être une année de vérité et de transparence. elle de-vrait faire le tri en ceux qui s’obstinent à ne pas vouloir reconnaitre l’évolution de notre société et ceux qui au contraire l’accompagnent intelligemment.

Amirouche laïdiPrésident du Club Averroès

Les éco-gestes de Yolaine de La BigneRédactrice en chef et fondatrice de néoplanète

Spécial sports d’hiver 1-rester sur les pistes. le hors-piste est dangereux pour nous, pour la flore, que l’on peut piétiner et la faune, que l’on peut perturber. 2-ne rien jeter dans la nature. quand vient l’été, la neige fond et l’on retrouve ce qui a été jeté. en 2008, 17 tonnes de déchets ont été ramassées dans 50 stations lors des journées nationales de ramassage, par 2500 bénévoles….3-ne pas jeter ses mégots dehors. on ramasse jusqu’à 30000 mégots par an sous un seul télésiège ! ils mettront plusieurs dizaines, voire plusieurs centaines d’années à disparaître.

2010

2010 est une année importante et probablement l’année charnière pour la diversité dans nos médias, et en particulier à la télévision.

14BUzz Business

Mag

Actua

lité

Les entreprises méconnaissent encore les 18 critères de discrimination

selon jean-Marie Peretti, Directeur de l’iae de corse, les entreprises sont conscientes des obligations qu’elles ont en matière de Diversité mais méconnais-sent encore les 18 critères de discrimination. a l’instar des critères de genre, handicap et âge, connus de tous, ceux d’orientation sexuelle et d’apparence phy-sique sont peu abordés dans l’entreprise. l’éthique, la réglementation et les avantages compétitifs sont les moteurs à l’intégration de la Diversité. en pratique, la sensibilisation est forte et des indicateurs de mesure des actions se mettent en place.

La « peur de perdre » reste l’un des freins majeurs à la promotion de la Diversité

saïd Hammouche, Directeur général de Mozaïc rH, a constaté qu’ « il y a de belles actions qui ont porté leurs fruits, mais d’une manière plus globale, il reste encore beaucoup de chemin à faire ». la peur de perdre reste l’un des freins majeurs à la promotion de la Diversité. D’autre part, le contexte de crise a égale-ment ralentit les avancées.

il est important de conjuguer Diversité et egalité, en particulier égalité professionnelle hommes/femmes. « 70% des créateurs d’entreprise sont des hommes

Le tour de France de la Charte de la Diversité 2010 s’est clôturé après 4 mois, 20 villes étapes et 4000 rencontres. Kag Sanoussi, Secrétaire Général de la Charte de la Diversité, a profité de cette escale finale pour faire le point de ce qui a été observer et sur les engagements pour la suite, en présence de Claude bébéar,

co-initiateur de la Charte de la Diversité et Roselyne bachelot-Narquin, Ministre des Solidarités et de la Cohésion Sociale.

Le 3

ème

Tour de France

de la Charte de la Diversité

s’est clôturé au Press Club

roselyne Bachelot-narquin

Compte rendu de la journée de clôture

15BUzz Business

Mag

Actualité

aujourd’hui en france », phéno-mène expliqué par anne Montmory, co-gérante de « l’envol », par le besoin de sécurité des femmes, d’ac-compagnement et d’équilibre entre vie professionnelle et personnelle.

Nous devons rester vigilants pour ne pas tomber dans l’acceptation, la compassion ou l’assignation

claude Bébéar a dressé un bilan de cette 3ème édition du tour de France de la charte de la Diversité qui a bien évolué depuis sa création avec près de 200 personnes à chaque escale et des entreprises mobilisées. Plus de 3000 entreprises sont signataires mais les services publics, qui devraient être eux aussi « aux couleurs de la france », sont encore trop peu représentés. roselyne Bachelot-narquin, Ministre des solidarités et de la cohésion sociale, a rappelé qu’il ne faut en aucun cas prendre ces avancées pour acquises et que nous devons rester vigilants pour ne pas tomber dans l’acceptation, la compassion ou l’assi-gnation. ce tour de France représente un moyen de sensibiliser et valoriser les initiatives et de donner de la visibi-lité aux entreprises qui agissent. Pour jean-Paul Bailly, Président de la Poste et administrateur d’iMs-entreprendre pour la cité, il s’agit d’un « levier tout à fait important dans la stratégie de Diversité des entreprises ».

Cette nouvelle année sera axée sur la mise en œuvre opérationnelle de la Charte de la Diversité

Kag sanoussi a abordé la dyna-mique du secrétariat général pour 2011 : « toutes les diversités seront traitées avec un focus sur l’éga-lité professionnelle entre hommes et femmes ». cette nouvelle année sera axée sur la mise en œuvre opération-nelle de la charte de la Diversité avec non seulement le développement de nouveaux outils, mais aussi des ap-pels à signatures et des déplacements en région. la mallette pédagogique, les plates formes territoriales, le cahier des charges prestataires ainsi qu’un guide de sensibilisation autour de pictogrammes de la Diversité, basés sur les 18 critères de discrimination, viendront compléter les outils déjà existants.

Ce Tour de France représente un moyen de sensibiliser et

valoriser les initiatives et de donner de la

visibilité aux entreprises qui agissent.

sylvère cissé - canal +

Kag sanoussi

roselyne Bachelot et Michel Pébereau

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Mag

PLACE AU CIRqUE

VELIzY S’OFFRE UNE NOUVELLE IDENTITÉL’ACADÉMIE ACCORA 25 ANS

en créant en 1985 sa propre univer-sité d’entreprise,

accor est devenu la première entreprise de services en europe à intégrer son propre centre de formation. 25 ans plus tard l’académie accor a développé loca-lement son enseignement à travers un catalogue de 120 formations différentes, 135 000 stagiaires par an, grâce aux 16 académies dans le monde. cinq autres académies ouvriront d’ici 2015.

laurence caron sa directrice précise : « l’Académie Accor représente une force pour le Groupe et un avantage pour tous les hôteliers Accor qui peuvent ainsi profi-ter d’exemples exclusivement hôteliers, de formations spécifiques à la marque de leur hôtel tout en échangeant les meilleures pratiques avec d’autres personnes d’autres hôtels de différentes marques ».

en 2011, l’académie mise sur un outil et un thème innovant : la formation e-learning « Diversité et non-discrimination » conçue en collaboration avec le FaFiH (Fond d’as-surance Formation de l’industrie Hôtelière).

joël loison, maire de vélizy-villacoublay et conseiller général des Yvelines vient de présenter au Press club la nouvelle identité de la zone industrielle de sa ville. imaginée par l’agence team Media et baptisée inovel Parc, celle-ci concentre

plus de 1000 entreprises dans un environnement d’espaces verts. l’atout majeur de ce pôle ? l’arrivée, en 2014, du tramway châtillon-viroflay visant à réduire le flux automobile et donc à favoriser les déplacements. Pour répondre aux défis sociaux,

économiques et environnementaux, vélizy-villacoublay a rejoint les 170 collectivités composant Paris Métropole et entend s’y

impliquer activement. son but ? rapprocher la ville des pôles majeurs de Paris, versailles et la Défense.

Michèle Barbier qui a passé plus de trente ans dans le monde du cirque vient de publier « Place au cirque », un roman-réalité qui

fait découvrir l’âme de ces petits cirques qui n’ont pas de grande enseigne, mais qui viennent décorer les places de leurs

chapiteaux et amener le sourire aux enfants à la sortie des écoles… D’eux, on ne connait que les spectacles : le clown au nez rouge, les chevaux qui tournent sur une piste, les petits chiens facétieux, la jolie acrobate aérienne… et puis, le rideau se referme… et on oublie !Mais que sait-on de la vie quotidienne de ces artistes itinérants, qui apprennent leur métier sur le tas, de gé-nération en génération ? l’auteur a puisé dans ses propres souvenirs pour en dres-ser un portrait vivant et attendrissant. elle a vécu ou vu les anecdotes qu’elle raconte, empruntant le langage des circassiens, dévoilant leur humour, leurs ruses, leur ten-dresse et leur implacable lucidité. 12 euros – Riveneuve éditions

c ertaines causes nécessitent un combat qui doit se placer au-delà de toutes formes de conflit. les

Professeurs rein, chef de service du dé-partement de cardiologie pédiatrique de l’hôpital Hadassah, jérusalem et el laham œuvrent avec l’association « un cœur pour la paix » présidée et créée par Muriel Haïm (membre du club) à promouvoir la Paix entre les peuples israé-lien et palestinien par des actions dans les domaines de la santé et de l’éducation. une démarche humaniste qui se situe au-delà de tout parti pris.

Depuis sa création, il y a cinq ans, l’association a sauvé 300 enfants palestiniens atteints de malfor-mations cardiaques mortelles en les faisant opérer gratuitement à l’hôpital. ces enfants sont soignés par des médecins et des infir-mières israéliens et palestiniens.

Des rencontres porteuses d’espoir entre ces mères israéliennes et palestiniennes qui se retrouvent, se découvrent et initient un début de dialogue entre des peuples qui ne se parlaient pas… peut-être une ouverture vers la Paix. Plus d’informations : www.uncoeurpourlapaix.org

UN CŒUR POUR LA PAIX

Professeurs Rein et El laham

17BUzz Business

Mag

Interview

Mag : Vous vous êtes engagé dans un plan de communication pour changer l’image de votre ville. Vous voulez faire oublier le béton ?

nous menons un travail profond pour que la grande Motte soit perçue comme une ville d’architecture et de design. notre labellisation « Patrimoine du xxe » par le Ministère de la culture et de la communication a réhabilité notre béton blanc et nos pyramides. nous nous employons à faire découvrir le sens caché de nos pyramides et de notre symbo-lique ; c’est notre patrimoine, notre histoire. l’œuvre de l’architecte en chef jean Balladur est souvent qualifiée de visionnaire et d’avant-gardiste puisqu’il a également accordé une place dominante à la nature dans cette ville. les espaces verts ont été pensés en même temps que les bâtiments. c’est pour cela que nous sommes la station littorale la plus verte d’europe, avec un patrimoine paysager et naturel qui représente près des trois quarts de la superficie communale. nous conti-nuons sur cette vague avant-gardiste en faisant appel à des architectes reconnus comme christian Biecher pour nos espaces publics, et à des designers comme François azambourg pour notre mobilier urbain.

quel est votre axe de développement cette année ?

cette tendance urbaine forte s’accom-pagne d’un positionnement plus naturel vers un domaine qui correspond égale-ment à la grande Motte, le nautisme.en constante évolution, nombreuses sont les activités, les infrastructures, les entre-

prises et les manifestations orientées vers le nautisme qui contribuent largement au succès de la ville.Pour ne parler que des plus connues : les nombreux sports nautiques pratiqués, le centre nautique, le centre d’entrainement en Méditerranée (ceM) où s’entraînent les grands skippers comme Kito de Pavant, un projet d’agrandissement de 600 anneaux pour notre Port, un Yacht club très actif, le savoir faire événementiel de la ville pour l’organisation d’événements nautiques

tel que le trophée clairefontaine.et cette année le salon international du Multicoque qui se déroulera du 14 au 17 avril 2011. Des multicoques du monde entier seront exposés à flot.Forte de ce formidable potentiel, la grande Motte entend bien occuper un rôle de premier plan parmi les villes balnéaires du sud de la France à l’ho-rizon des prochaines années.

2 qUESTIONSà Stéphan Rossignol

Maire de la grande Motte

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La Grande Motte s’oriente vers un positionnement plus naturel… le nautisme.

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n��Propos recueillis par isabelle Bourdet

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lubREPèRES

Mag

combien de fois vos présentations passent-elles à côté de vos cibles ?

� Vous souhaitez vous former rapidement à la présentation convaincante et synthétique de vos idées ?

� Vous souhaitez gagner en aisance lors de la présentation de vos projets ?� Vous voulez être sûr que votre message soit pertinent ?

voici les clés pour développer votre pouvoir de persuasion.

Avec « 3 minutes pour convaincre », vous allez acquérir les techniques médias pour capter l’attention.

Avec des clés de radio et de télévision pour vendre et défendre vos projets, voici une journée de formation

innovante et très outillée tirée des expériences de consultant et de journaliste de Sylvère-Henry Cissé.

Programme : 10h00 à 17h00 Pause déjeuner 13h00 à 14h00�traiter et hiérarchiser ses informations.�Définir le capteur d’intérêt commun.�Concevoir le « Ce Que Vous Devez Savoir ».�Définir les points d’entrée et de sortie du sujet.�Utiliser et maîtriser les règles de narration.�Choisir les bons exemples.�Passer du langage écrit au langage parlé.�trouver le bon canal de communication.�S’affirmer face à son interlocuteur : maîtriser le verbal, le paraverbal et le non-verbal.�Respecter le principe de narration : acteur, témoin, expert.�Reformuler et synthétiser les points clés du sujet.

Sylvère-Henry Cissé journaliste dans « la matinale » de Canal +, a également collaboré aux émissions « Jour de sport » et « En aparté » sur Canal, à « Spéciale Santé : vos questions, nos réponses » france 3, « les maternelles » france 5… mais aussi aux programmes de france Ô, lCP, Disney Channel, Discovery Channel, Rfi, france Bleu, france inter et Europe 1. A ce jour, il enseigne le journalisme au Studio Ecole de france, à l’inA et anime des stages de formation continue en communication au CfPJ Entreprises.

Tarif de la formation : 750 € HT (déjeuner inclus)

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