THINET Alain - Entraîneur / PAOUR Romain - Assistant

Source Photo site off de St Chamond basket

N° JOUEURS TAILLES AGES POSTES

5 LAROCHE Alain 1,96 27 3

6 TILLON Romain 1,80 28 1

8 BOLE Mickaël 1,90 33 1/2

9 LANDU BONGO J-Paul 1,88 22 1/2

10 JACON Romain 1,90 19 2/3

11 AUBRY Régis 1,98 27 3

12 DIOUBATE Mamadi 2,02 19 4/5

13 ZONDERVAN Kenrick 2,06 18 5

14 BEUGNOT Jonathan 2,00 27 4

15 RINNA Jean-Stéphane 2,05 26 4/5

Bassa Doumbé

SAINT CHAMOND BASKET

L'histoire du Club

Juillet 1973 : naissance officielle de SAINT-CHAMOND BASKET

Elle résulte de la fusion de deux associations : l’A.S. SAINT-MARTIN EN COAILLEUX, club féminin fondé en 1959, et LA SAINT-CHAMONAISE, société multisports créée en 1902. La présidente est Andrée JEANTET qui tiendra ce rôle jusqu’ en 1977. 1977 : Gérard DUCARRE à la Présidence

Un nouvel élan est donné au club pendant les années de Présidence de Gérard DUCARRE. L’épisode de la non qualification par la F.F.B.B. de James CLABON, 1er américain ayant signé au club, l’amène à prendre, en Novembre 1981, la décision de cesser cette Présidence. Gérard DUCARRE fut ensuite maire de SAINT-CHAMOND de 1989 à 2008. Juin 1982 : Serge RICHIER élu officiellement Président

Après avoir assuré l’intérim, Serge RICHIER est élu Président à l’A.G. de fin de saison. Il s’efforce, au cours des années suivantes, de continuer à structurer le club. Au fil du temps, les élections successives le verront confirmé dans son rôle. A partir de 1995 des objectifs sportifs ambitieux voient le jour. Mai 1998 : Razzia sur les Coupes de la Loire !

3 équipes du club : l’équipe 1 féminine, les cadets et les cadettes, ont franchi tous les obstacles pour parvenir en finale Le 21 Mai une performance inédite est réalisée puisque ces 3 équipes, à l’issue de matches mémorables, enlèvent les 3 trophées.

1996 –2002 : progression exceptionnelle de l'équipe 1 masculine !

En partant d’Excellence du Lyonnais, l’équipe fanion masculine franchit allègrement les niveaux Nationale 4 (en 1996), Nationale 3 (en 1997), Nationale 2 (en 1999), pour atteindre la Nationale 1 en juin 2002, objectif impensable 6 ans auparavant ! Mai 2001 : Grand chelem pour l’équipe 1 féminine

L’équipe fanion féminine, composée essentiellement de jeunes joueuses formées au club, réussit l’exploit, jamais réalisé précédemment, de boucler le championnat d’Excellence du Lyonnais en terminant invaincue avec 22 victoires sur 22 matches. Elle accède ainsi à la Nationale 3. Avril 2008 : accession des féminines en Nationale 2

Match mémorable ce 13 Avril, dans la salle du Stade Clermontois ! Après avoir compté 31 points de retard en seconde mi-temps, les féminines renversent la vapeur et s'imposent au finish d'un petit point. Devant de très nombreux supporters, qui garderont lontemps en mémoire ce moment exceptionnel, elles réussisent l'exploit d'accéder en Nationale 2, après avoir repoussé les limites de l'impossible ! Septembre 2008 : un club toujours ambitieux

L’équipe 1 masculine entame sa 7ème saison dans un Championnat de Nationale 1 très relevé, avec la volonté de jouer, comme les saisons précédentes, un rôle de trouble-fête dans cette division.

Les féminines, quant à elles, se voient proposer un nouveau challenge, dans un Championnat de Nationale 2 qu'elles vont découvir pour la 1ère fois, avec la mission de se maintenir à ce niveau.

Des efforts importants sont également axés sur la qualité de l’encadrement des équipes de jeunes et la formation de jeunes arbitres officiels.

Entraîneur Eberlin Stéphane - Assistant Pereira Daniel

N° JOUEURS TAILLES AGES POSTES

5 Alex NKEMBE 1,97 31 3/46 Mouhamadou M'BODJI 1,93 29 3/47 Romain APPEL 1,94 30 2/38 Fred BROLIRON 1,93 30 29 Jacques ALINGUE 2,00 22 410 Jérémy TSCHAMBER 1,90 26 1/211 Sébastien KANCEL 2,05 30 4/512 Tony TRAINEAU 2,04 30 413 David Weber 1,91 21 114 Sanko CAMARA 1,98 29 4/5

BC SOUFFELWEYERSHEIM 2010/2011 NM1NKEMBE M'BODJI APPEL BROLIRON ALINGUE

CAMARAWEBERTRAINEAUKANCELTSCHAMBER

1945Création du Basket à Souffelweyersheim en tant que section du FC Souffelweyersheim par Eugène DAUSCHER (Président), Joseph BREGLER, Robert ANDRES, Raymond SCHOTT, Albert PETER, Lucien GLADY, René STROH

1947Quatre équipes sont engagées dans les différents championnats : Seniors 1 – Seniors 2 – Cadets – Seniors Féminines

1948Les premiers renforts arrivent : Albert Eber – Albert Sitz – Richard Sitz et Jean-Pierre Georg. Le futur archiviste du club Joseph Koessler prend une place prépondérante dans la vie du club.

1954Le troisième terrain extérieur est construit rue des Cigognes (toujours en place actuellement).

1963Eugène Dauscher, Président Fondateur, demande à être déchargé de ses fonctions pour des raisons d’âge et de santé. René Stroh est élu Président.

1964D’un commun accord, la section basket décide de se séparer du FC Souffelweyersheim pour créer son propre club : Le BCS (Basket Club Souffelweyersheim) est né ! Marcel Wintz – MAWI – rejoint le Comité. Directeur Sportif, sa compétence et sa disponibilité le rendent indispensable dans la bonne marche du Club

1965Championne d’Alsace, l’équipe fanion du BCS monte en Championnat de France Fédéral. Après quatre années, elle dut redescendre en Régional suite, essentiellement, à des difficultés matérielles (manque de gymnase).

HISTORIQUE DE SOUFFEL

1966Le Basket de Souffelweyersheim sort de l’anonymat : Le 24 janvier 1966, en 32ème de finale de la Coupe de France, Souffel est opposé à l’Etoile de Charleville, Champion de France en titre. Les adversaires alignent des joueurs internationaux tels que JP Beugnot, Perniceni ou Le Goff. À 42 – 42, Souffel perd son quatrième joueur. L’actuel Président, Gilbert Mittelhaeuser est le meilleur marqueur avec 31 points contre 26 points à Beugnot. Souffel eu le mérite de limiter la marque finale à 11 points : 61 – 50. Le journal « L’Equipe », dans son article du 21 janvier 1966, fît l’éloge du club : « Qui parlerait de Souffelweyersheim, perdu dans la banlieue de Strasbourg, si sa section de basket n’existait pas ?

1972En 1971, la Commune décide la construction du Gymnase actuel. Ce dernier est inauguré le 4 novembre 1972.

1974Nouvel essor sportif avec le retour de Gilbert Marschall parti pour évoluer avec l’Elite du Basket Français au sein de l’AS Strasbourg.

1975Champion d’Alsace, le BCS accède en Championnat de France Nationale 4.

1976L’euphorie de la saison 75/76 qui suit et grâce à ce joueur d’exception que fut Gilbert Marschall, le BCS monte en Nationale 3.

1977Le Comité décide de renforcer l’équipe 1. Ce sera l’ère américaine à Souffel : court intermède d’un étudiant américain Horton – en 1977 : Paul Ellis – en 1978 : Graig Butrym – de 1979 à 1981 : Mike Reilly. L’éventuelle accession en Nationale 2 (les PRO A et B n’existaient pas à l’époque) est plombée par des moyens financiers restreints. En 1982, la Fédération interdit les joueurs étrangers en Nationale 3.

1977 : une année référence pour le BCS. En championnat N 3, devant plus de 1000 spectateurs, le match au sommet oppose le BCS à la SIG. Victoire du BCS : 111 à 89. Dirigée par Désiré Schohn, l’équipe est composée de Paul Ellis, Gilbert Marschall, Jean Mittelhauser, Francis Kiefer, Roland Kleiss, Jean-Louis Koessler, Jean-Pierre Uthdinger, Gilbert Heinrich, Christophe Oberlé et Claude Schott.

1984Les Anciens du BCS sont Champions du Bas-Rhin.

1985Les Anciens du BCS remportent leur premier titre de Champions d’Alsace. Ils remporteront 14 fois le Titre de Champions d’Alsace, consécutivement, de 1985 à 1998.

1992Le 4 octobre 1992, le président René Stroh décide de mettre un terme à son mandat après 29 années et 9 mois de bons et loyaux services. À la même date, est élu son successeur : Gilbert Mittelhaeuser, troisième Président depuis la création du club !…

1996La Fédération décide la suppression de la Nationale 4. Le BCS, comme beaucoup d’autres, en fait les frais ! Après une année de purgatoire en Championnat Régional, le BCS remonte en Nationale 3.

2003Champion de poule en Nationale 3, le BCS sous la férule de l’entraîneur Stéphane Jung, accède en Nationale 2.

2007À l’heure où ces lignes sont écrites, le BCS entraîné par Stéphane Eberlin, occupe la deuxième place de la NM 2 D.

2008Souffel domine le championnat, ils font la course en tête et passe à côté de deux matches en play-offs.Battu, en mai, par Juvisy en quart de finale,le BC Souffelweyersheim a trébuché pour la deuxième année consécutive sur la dernière marche menant à la N1.

2009Souffel termine le championnat en 2ème place et passe à côté du deuxiéme matche en play-offs.Battu, en mai, par Saint léonard d'Angers en quart de finale,le BC Souffelweyersheim a trébuché pour la 3ème année consécutive sur la dernière marche menant à la N1.Vainqueur et Champion du Trophée Coupe de france contre Denain le 16 mai 2009 à Bercy.

2010L’équipe fanion du BCS sous la Houlette des coachs Stéphane Eberlin et Daniel Pereira termine 1er de sa poule avec seulement 2 défaites. Elle termine également vice championne de France et accède enfin en Nationale 1. En 32e de finale de la coupe de France, le BCS crée l’exploit en battant la JDA DIJON pensionnaire de PRO A, c’est une première dans l’histoire du Basket hexagonal.

Pos EQUIPES Pts Vict Déf % P.M P.E Dif Q Jour.8 St Chamond 11 4 3 57,1 513 508 +5 1,010 7

10 SOUFFEL 10 3 4 42,8 468 473 -5 0,989 7

Pos EQUIPES Pts Vict Déf % P.M P.E Dif Q Jour.13 St Chamond 5 1 3 25,0 286 309 -23 0,926 4

6 SOUFFEL 7 3 1 75,0 262 248 +14 1,056 4

Pos EQUIPES Pts Vict Déf % P.M P.E Dif Q Jour.4 St Chamond 6 3 0 100,0 227 199 +28 1,141 3

16 SOUFFEL 3 0 3 0,0 206 225 -19 0,916 3

Matches 7

Pts 73,3

T2 126/258% 32,70T3 57/178% 21,50LF 83/110% 51,37F 19,6

Fpr 18,1Ro 9,41Rd 23,31Rt 32,72In 6,4Ct 2,4Bp 14,1Pd 13,1

Eval 89,40

SOUFFEL

Stats cumul esé

Matches 7

Pts 67,1

T2 140/301% 46,05T3 31/123% 29,85LF 95/141% 65,60F 21,1

Fpr 19,6Ro 10,4Rd 24,82Rt 35,86In 6,4Ct 2,4Bp 14,0Pd 11,9

Eval 80,24

ST CHAMOND

ST CHAMOND Résultat Résultat SOUFFELMatche à domicile St Etienne Centre Féd Matche à domicile

1er Q-T 14 - 19 20 - 09 1er Q-T

2ème Q-T 20 - 19 18 - 22 2ème Q-T

3ème Q-T 13 - 17 15 - 16 3ème Q-T

4ème Q-T 11 - 22 17 - 10 4ème Q-T

Pts Marqués 58 70 Pts Marqués

Pts encaissés 77 57 Pts encaissés

Paniers 34% 24/70 26/54 48% Paniers 3Pts 16% 5/32 3/15 20% 3Pts

2Pts 50% 19/38 23/39 59% 2PtsL-F 73% 5/8 15/22 68% L-F

Rebonds Off 9 11 Rebonds OffRebond Deff 17 22 Rebonds Deff

Balles perdues 13 12 Balles perduesContres 2 1 ContresFautes 19 19 Fautes

EV 50 76 EVJOUEURS Pts Pts JOUEURSRINNA 15 18 KANCELTILLON 14 14 BROLIRONLA ROCHE 10 9 TSCHAMBERZONDERVAN 9 8 M'BODJILANDU BONGO 6 7 CAMARAAUBRY 4 6 APPELBEUGNOT 0 4 ALINGUE* * 2 TRAINEAU* * 2 WEBER* * 0 NKEMBE

Saint-Chamond 58 - CASE Saint-Etienne 77

Le CASE s'offre le derby

publié le 17.10.2010

L'adresse des Stéphanois a fait mal aux Couramiauds lors de ce derby largement dominé par le Case

Les Stéphanois ont fait valoir leur puissance dans le jeu intérieur pour s'imposer 77 à 58

Le derby entre Saint-Chamond et Saint-Etienne aura tenu ses promesse hier soir, en proposant un match âpre et engagé. Un duel que les Stéphanois auront cependant dominé de bout en bout grâce à une prestation de haute tenue. Lancés par Hermenier, les joueurs de Yann Jolivet allaient d'ailleurs se mettre rapidement sur les bons rails, en s'offrant dès les premières minutes un avantage de 6 à 0. Comme le craignait Alain Thinet, les visiteurs faisaient valoir leur puissance à l'intérieur, avec notamment Petovic, pour dominer des Saint-Chamonais, qui en plus d'être bloqués dans la raquette, peinaient également à ajuster la mire longue distance (2/12 à trois points sur les deux premiers quarts). Un bon travail collectif défensif et l'entrée de Rinna permettaient cependant aux locaux de limiter les dégâts durant la seconde période, revenant momentanément à hauteur de leurs adversaires après une action d'Aubry (32-32). Emmenés par un efficace Petrovic, les Stéphanois conservaient toutefois le leadership à la mi-temps (34-38). Si le passage en zone des Couramiauds leur permettaient de contenir un temps leurs adversaires, ils ne pouvaient cependant à inverser la tendance, par la faute d'un cruel manque de réussite. Gaillou puis Thomas punissaient alors leurs hôtes de deux missiles longue distance, qui permettaient au CASE d'aborder l'ultime période avec une avance de huit unités (47-55). Combatifs, les joueurs de Thinet tentaient bien leur va tout dans le dernière acte, mais ils n'avaient ni les armes ni l'adresse nécessaire.

Thomas par deux nouveaux bonifiés, puis Hermenier enlevaient rapidement tout suspense en faisant passer l'écart au delà des dix points (55-68).

Ludovic Sut«La mainmise du Case»Olivier Perrot (coach assistant du Case) : « On avait à cœur de remporter ce match, non seulement parce que c'était un derby, mais parce qu'on avait perdu nos matches amicaux contre eux chaque fois. On a travaillé toute la semaine sur leur défense de zone 1-3-1. On a réussi à passer. On est devant mais l'écart se fait vraiment sur la fin. Durant le match, il a fallu tenir. Mentalement, on a été fort. En défense, on a réussi à les maintenir à 24 points en deuxième mi-temps. »

Alain Thinet (coach de St-Chamond) : « Saint-Etienne mérite sa victoire amplement. Il n'y a pas à contester. On ne fait pas un bon match dès l'entame. Sur la première action, on fait déjà une grosse erreur défensive. Après, ça a été la mainmise du Case sur la rencontre tant physiquement que collectivement. Ils nous ont empêché de développer notre jeu et on s'est cantonné à du tir à trois points. On n'a pas d'alternance intérieur-extérieur. On ne tire pratiquement pas de lancer-francs parce qu'il manque de l'agressivité. Il fallait être présent physiquement. Le Case l'a été, pas nous. »

Djordje Petrovic (intérieur du Case) : « On a respecté les consignes du coach. Le match a été gagné en défense d'abord. En deuxième mi-temps, ils n'ont marqué que 24 points. C'était très bien en défense. C'est le collectif qui a gagné à la fin. »

Propos recueillis par Valérie Fascia

Le 18/10/2010

Nationale 1 masculine / Après BCS - Centre Fédéral (70-57)

Kancel tient la boutique

L'intérieur du BC Souffelweyersheim, Sébastien Kancel, constitue l'une des valeurs sûres de l'équipe bas-rhinoise. Son coach, Stéphane Éberlin, voit en lui « le joueur le plus régulier de l'effectif » depuis le début de la saison. Impressions.

« J'essaye juste de faire mon boulot » minimise Sébastien Kancel, pièce maîtresse du collectif souffelois.

Sébastien Kancel (30 ans, 2,05 m) est, sur le parquet, un homme qui montre la voie. Avant la rencontre de samedi soir, l'intérieur souffelois cultivait cet étrange paradoxe statistique : ses productions se révélaient aussi explosives à l'extérieur - 18 points et 6 rebonds de moyenne en trois matchs - qu'anecdotiques à domicile, là même où normalement, en terme de repères, il devrait se sentir le mieux. Le pivot a commencé à rétablir l'équilibre, avant-hier, au grand dam de la jeune équipe du Centre Fédéral. En cumulant 18 points (à 8/9 aux lancers-francs), 4 rebonds et 5 fautes provoquées, il a été l'élément déclencheur de la petite envolée alsacienne au tableau d'affichage. Il s'est surtout mué en stabilisateur d'un groupe qui doute offensivement.L'espoir des play-offs « J'essaye juste de faire mon boulot, minimise l'ancien pensionnaire du centre de formation de la SIG, qu'il retrouvera le 30 novembre en Coupe de France. Ce que j'espère dans l'absolu, ce sont les play-offs. Mais la N1 est tellement homogène que nous courons également le risque de descendre. Je souhaite simplement que l'on ne se fasse pas trop peur. »« Pas un club ne prononce correctement Souffelweyersheim » Crédité d'un bilan plutôt satisfaisant (trois succès en sept confrontations), le BCS ne dispose d'aucune marge sur ses rivaux directs. Saint-Chamond, à qui il rend visite la semaine prochaine, en fait potentiellement partie. « On n'a pas encore trouvé un seul club qui prononce correctement Souffelweyersheim, sourit Sébastien Kancel, conscient qu'aux six coins de l'Hexagone, les Bas-Rhinois suscitent une certaine... curiosité. Sincèrement, on a tout entendu ! » L'intérieur, lui, s'est mis aux normes de sa nouvelle division. « On lui a demandé de perdre 10 kilos pendant les vacances afin qu'il gagne en mobilité, confie son entraîneur, Stéphane Éberlin. Il a réalisé cet effort et il est, aujourd'hui, le joueur le plus régulier de l'effectif. C'est un gars sur qui on peut compter. Il bosse, il est efficace. » Et il n'a pas souffert de la comparaison, samedi soir, face au pivot géant du Centre Fédéral, Vincent Pourchot (18 ans, 2,22 m), dont le profil est pourtant rarissime à ce niveau de la compétition. « Sa grande taille est plus embêtante pour lui que pour moi », observe Sébastien Kancel qui se contente, de son côté, d'être immense... dans l'impact.

Amaury Prieur

Complexe Sportif BoullocheBoulevard de la Grande Terre

42400 Saint-ChamondTélephone : 04.77.29.68.56

Capacité : 1000

Couleur des maillots

ST CHAMOND BASKET

HDS A. Boulloche Bd de la Grande Terre

42400 SAINT-CHAMOND Tél bureau : 0477319640

email : dutour.gerard@orange.fr

Président

RICHIER SERGE 5 Rue d'AUVERGNE 42400 ST CHAMONDTél. : 0477225931

email : serge.richier@wanadoo.fr

Correspondant

DUTOUR GERARD 22 Rue du Parterre

42400 SAINT-CHAMONDTél. : 0477317601 Port. : 0687092189

email : dutour.gerard@orange.fr

Site internet : http://www.saintchamondbasket.com

EL MAHI TAOUFIK (320.00 kms)

ROUX MATTHIEU (120.00 kms)

Rue des Sept Arpents 67460 Souffelweyersheim – Boulevard de la Grande Terre 42400 SAINT-CHAMOND

Distance 546 km

ALLER / RETOUR : 1092 km

Située en Loire Sud entre les deux grandes métropoles régionales que sont Lyon et Saint-Etienne dans la vallée du Gier, posée au pied du Parc Naturel Régional du Pilat dont elle est une des portes d'entrée principale, Saint-Chamond se présente comme une ville complète, disposant de l'ensemble des infrastructures propres à satisfaire ses 38 000 habitants, les Saint-Chamonais ou Couramiauds.

Principale ville de la Vallée du Gier, elle allie les caractéristiques d'une ville de tradition et celles d'une ville à la campagne.

Parce que les vieilles pierres attestent de la richesse de son passé, Saint-Chamond s'attache à mettre en valeur son patrimoine.

La maison des chanoines (XVI ème siècle), blottie au bas de la colline Saint-Ennemond cœur historique de la ville, en passant par l'ancien hôtel-Dieu, le couvent des minimes (1622), ou l'église Saint-Pierre (XVIIème), sont autant de sites classés à découvrir au hasard de ballades dans le vieux Saint-Chamond.

La campagne, magnifique et toute proche représente une véritable invitation à flâner dans un environnement préservé et étonnant. Les nombreux sentiers de randonnées, pédestres et de VTT permettent de marier astucieusement sport et nature.

Saint-Chamond fait partie d'un réseau de villes constitué en communauté de communes sous l'appellation "Saint-Etienne Métropole".Cet ensemble de plus de 400 000 habitants bénéficie du rayonnement des grands pôles universitaires, culturels, sportifs et touristiquesVille à vivre, ville à découvrir, Saint-Chamond vous attend !

Au carrefour des grands axes de communication

En prise directe avec le réseau autoroutier national et international, Saint-Chamond se situe au coeur des principaux axes de communication reliant les grandes métropoles de l'Europe du Sud.

Sous l'ancien régime

La colline Saint-Ennemond devient successivement le port d'attache de la maison du Jarez (1185-1344), de la maison de Saint-Priest (1344-1580), puis de la maison de Chevrières, général et diplomate de dimension nationale, qui fût le seigneur le plus prestigieux de Saint-Chamond. Ce fut lui qui fortifia et embellit le château de Saint-Chamond.

L'église Saint-Ennemond et la maison des Chanoines (XVIème siècle) figurent parmi les plus beaux vestiges de l'ancien régime.

A l'heure de la révolution

En mars 1789, avec la rédaction des cahiers de doléances du Tiers-Etat, Saint-Chamond plonge dans la Révolution. Appelée "Vallée Rousseau", elle se trouve englobée dans le département de Rhône et Loire.

En 1792, le Château est pillé et démoli par les habitants.

En 1793, Lyon se révolte contre la Convention et entraîne Saint-Chamond dans l'insurrection. La défaite de l'armée lyonnaise conduit à l'évacuation de Saint-Chamond. La convention envoie alors Javogues qui multiplie les arrêtés épuratoires et rançonne les habitants.

En 1796, les Saint-Chamonais expédient une colonne mobile contre les prêtres réfractaires et déserteurs.

Les grandes industries textiles et métallurgiques

Dès le deuxième quart du XVIème siècle, la ville assiste à l'implantation d'ateliers de travail de la soie qui se développent tout au long du XVIIème siècle et font de la ville le berceau de cette industrie.

A partir du XVIIème et du XVIIIème siècle, Saint-Chamond devient une cité à vocation essentiellement industrielle et voit la création des premières grandes fonderies et le développement de très nombreux ateliers (clouteries, quincailleries, serrureries), intégrés dans le tissu urbain, le long des rues et aux abords des cours d'eau.

Au XIXème siècle, Saint-Chamond connaît une importante expansion, grâce aux grandes industries du textile et de la métallurgie, au développement des manufactures, des teintureries et des industries d'armement.

En 1853, la ville voit la création de la société anonyme des houillères de Saint-Chamond et Germain Morel fonde le noyau de la grande industrie saint-chamonaise au Pré-Château.

L'année suivante, Pétin, Gaudet et Jackson créent la compagnie des Hauts-Fourneaux, Forges et Aciéries de la Marine et des Chemins de Fer qui devient en 1914/1918, l'un des premiers arsenaux de la France en guerre.

Quelques années plus tard, en 1874, Adrien de Montgolfier devient directeur de la société des Forges et Aciéries et en fait l'un des tous premiers établissements du pays.

Les manufactures de lacets remplacent petit à petit la soierie en perte de vitesse.

En 1880, Saint-Chamond devient la capitale mondiale de l'industrie du lacet. Dix-huit ans plus tard, naît la société des Manufactures Réunies qui regroupe dix des plus grands fabricants de lacets et près de 20 000 métiers.

A la fin du XIXème, cette industrie est à son apogée

Une première partie de XXè siècle marquée par le développement économique et une figure emblématique : Antoine Pinay

Dans les années 50, tandis que la ville voit la fermeture de sa dernière mine au Clos Marquet, les Forges et Aciéries entrent dans le groupe Creusot-Loire, qui compte 28 usines et 39 000 employés dont 3 100 à Saint-Chamond.

Des années 30 aux années 70, la ville est marquée par un homme : Antoine Pinay, Maire de Saint-Chamond pendant 45 ans.

Son élection à la mairie est le point de départ d'une grande carrière politique nationale. Son nom reste attaché à une politique pragmatique de défense du franc et d'équilibre budgétaire. L'emprunt Pinay en est le meilleur symbole.

Saint-Chamond, Saint Julien en Jarez, Izieux et Saint-Martin en Coailleux fusionnent le 9 mars 1964 pour former le "Grand Saint-Chamond". La ville devient alors la troisième commune de la Loire, avec près de 40 000 habitants. > Saint-Chamond, des années 1970 à ce jour

Dans les années 1970, la crise contraint Saint-Chamond à un redéploiement économique.

La ville sait tirer profit du repliement des houillères. En 1970, une zone industrielle de 24 hectares est créée au Clos Marquet. Suit la création de la zone industrielle du Coin (20 hectares).

Les grandes manufactures du textile et les énormes ateliers métallurgiques laissent peu à peu place au développement d'un réseau dense de petites et moyennes entreprises, à la périphérie de la ville.

Le début des années 1990 marque la poursuite du redéploiement économique, avec notamment la création du parc d'activités " Stelytec ", fruit d'une collaboration entre Lyon, Saint-Etienne et Saint-Chamond.

S'appuyant sur une forte tradition industrielle, Saint-Chamond s'emploie à réussir le pari de la diversification.

Depuis plusieurs années, elle s'attache à améliorer le cadre et la qualité de vie en restaurant le patrimoine historique et en construisant de nouveaux équipements sportifs, culturels et sociaux.

La légende des " COURT A MIAU " (Couramiaud, Couramiauds)

James Condamin, dans son "Histoire de Saint-Chamond", publiée en 1890, rapporte une anecdote selon laquelle, chaque 24 juin, à l'occasion de la fête de la nativité de Saint-Jean-Baptiste, les chanoines allumaient un feu gigantesque, dressé sur l'actuelle place de l'Observatoire.Au centre du feu s'élevait un arbre, au sommet duquel se débattait, retenu par une corde, un chat vivant, destiné à figurer le démon. Le pauvre animal était-il brûlé, c'était l'image de la purification du péché par le feu. Parvenait-il au contraire à s'échapper, on concluait à l'expulsion du démon du corps humain.

Dans l'une et l'autre hypothèse, le symbole était satisfaisant ; toutefois, la fête avait beaucoup plus d'animation dans le second cas de figure. En effet, courir après l'animal affolé et s'efforcer de le rattraper causait à nos ancêtres un véritable plaisir.

Les habitants des villes voisines ne manquèrent pas une si belle occasion d'appliquer un sobriquet aux Saint-Chamonnais. Ils baptisèrent donc les coureurs de chat du surnom de "Couramiaud"

PATRIMOINE DE SAINT-CHAMOND Riche d'une histoire prenant racine au début du XVIème siècle, Saint-Chamond propose un ensemble de sites qui constituent les témoins de son passé.

Plusieurs sites sont classés monuments historiques :

Située au bord du Janon au pied de la haute ville, semble avoir été érigée en partie au XVème siècle et remaniée au XVIème siècle à l'italienne.

Ainsi dénommée en souvenir du chapitre des chanoines crée par Melchior pour desservir sa Collégiale.

Le batîment est classée monument historique depuis 1983.

La maison des Chanoines

L'Ancien Hôtel-Dieu

Jadis situé vers le pont Saint-Antoine, fut transféré rue de la Charité vers 1670 ; la chapelle sera bâtie en 1674. Des lettrespatentes datant de mai 1713 et signées du roi Louis XIV confirmèrent le dit établissement.

Transformé, agrandi, il devint un important hôpital accueillant en 1790 plus de 600 malades. Après la tourmente révolutionnaire sa prospérité s'accrut encore avec une salle des vieillards et un nouvel agrandissement des bâtiments.

En 1940 fut mis en service l'hôpital actuel.

L'Hôtel-Dieu fut restauré dans les années 70 et abrite désormais le Conseil des Prud'hommes, le tribunal d'Instance, la salle Gérard Philippe et diverses salles de réunion.

Les façades, les galeries et les toiture sont inscrites à l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques.

L'église Saint-Pierre

Bâtie par Melchior Mitte de Chevrières, seigneur de Saint-Chamond, en prolongement de la chapelle Sainte-Barbe, l'église Saint-Pierre fut consacrée le 3 mai 1609.

La façade porte l'écusson de Melchior et une inscription célébrant sa construction. Le clocher, commencé en 1617 et achevé en 1645, est recouvert de plaques de cuivre qui lui donnent un aspect bien particulier.

A l'intérieur remarquable plafonds à caissons. Le sol composé d'anciennes pierres tombales possède de très belles gravures épigraphiques.

La nef mesure 31.25m sur 14.25m et peut accueillir sans gêne 1000 fidèles et

une inclinaison du pavement (0.35m de dénivellation) permet aux plus éloignés de s'associer à la liturgie.

Le chœur est illustré de somptueuses boiseries et de cinq tableaux enchâssées dans ces boiseries.

De nombreuses chapelles ceinturent la nef dont l'une dite des Saintes-Reliques, provenant de la Collégiale Saint-Jean-Baptiste . A noter la chapelle de Notre-Dame de tout pouvoir, centre d'une dévotion toujours réelle.

L'orgue mérite un intérêt particulier, œuvre de Callinet (1834) classée monument historique.

Le bâtiment est classé monument historique en totalité depuis 1983.

L'Hôtel de Ville

L'Hôtel de Ville est un ancien couvent des Minimes, fondé le 27 janvier 1628 par Gabrielle de Gadagne, épouse de Jacques Mitte de Chevrières, seigneur de Saint-Chamond.

Au titre de bien national, le couvent est mis en vente en 1792. La mairie est aussitôt installée dans une partie des bâtiments. Dans ceux restés vacants, les Maristes s'installèrent en 1850.

En 1861, après l'abandon des locaux municipaux, le collège Sainte-Marie occupera l'ensemble de la demeure après y avoir édifié une chapelle et le cloître autour de la cour d'honneur.

1877 verra le départ des Pères Maristes et le retour de la Mairie, et c'est dans l'un des dortoirs transformé somptueusement en salle des délibérations que siègera dorénavant le Conseil Municipal.

En 1879, tous les services municipaux s'y installent et l'acquisition de deux importants lots de terrains permet de doter Saint-Chamond d'un magnifique jardin public.

La façade (côté ancienne entrée) est inscrite à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1965.

L'Usine Gillet-Thaon (ancienne teinturerie)

L'usine Gillet-Thaon est un ensemble remarquable quant à l'architecture industrielle.

Cet ensemble est classé monument historique.

A VOIR EGALEMENT

Square Lamartine

Groupe scolaire édifié en 1932 à l'emplacement du " jardin des chiens " et de l'ancien cimetière de la paroisse.

Eglise Notre-Dame

Consacrée le 9 novembre 1881 par le cardinal Caverot. Le perron, offert en 1889 par Madame Alamagny, fut orné en 1890 de deux lions monumentaux sculptés par Louis Martin. A l'intérieur : grand autel en marbre de Carrare et sur la gauche un vitrail représentant la vie de Saint-Ennemond, patron de la ville.

Les deux flèches de Notre-Dame, de 60m de hauteur offertes par Francisque Richard, sont le symbole de la ville de Saint-Chamond.Place DorianAutrefois très animée et encombrée à cause de l'étroitesse du pont Saint-Antoine qui franchissait le Gier. De nombruex cabarets et auberges y vivaient du transit de la route de Saint-Etienne à Lyon (aujourd'hui rue d'Alsace Lorraine et rue de la République)Au n°4 : hôtel particulier (XVIIIème siècle) d'Antoine Bethenod, maître passementier et échevin, dont l'entrée marquée de deux bute-roues est surmontée d'une grille d'appui en fer forgé aux initiales AB.

Rue de la République : (rue piétonne)Nombreuses demeures, anciens hôtels particuliers du XVIIIème siècle, possédant des cours intérieures avec grilles et rampes en fer forgé, puits, fontaines.

Place dorian

Place Ferréol

Croix de mission érigée le 20 avril 1819. A remarquer l'assemblage des pierres des escaliers et de la murette. Au n°7, ancien hôtel particulier des Dareste, Grangier et Magnin, notables de la ville. Outre une porte monumentale surmontée, côté rue, d'une imposte aveugle ornée de balustre, la façade élégante de la demeure est celle du côté jardin.

Rue de l'Oie,Rue de Saint-Ennemond,Rue des Etroits (ruelles en escalier très caractéristiques).

L'église Saint-EnnemondLa première église semble dater du Xème siècle. Plusieurs fois saccagée, brûlée, rebâtie, elle reste la plus ancienne église de la ville. Le pèlerinage de Saint-Ennemond draina pendant des décennies la grande foule sur la colline.

La place de l'Observatoire

Reste du clocher de la Collégiale Saint-Jean-Baptiste, ce clocher était construit au-dessous de l'église pour ne pas gêner la vue du seigneur depuis la terrasse de son château. De l'imposante Collégiale inaugurée en 1642, par Melchior Mitte de Chevrières, il ne reste qu'un pan de mur et la trace… creusée dans le rocher. La place de l'Observatoireest située à l'emplacement du grand escalier qui donnait accès au château.

La Grand'Grange

En réalité l'importante construction en pierre était les grandes écuries du château. Le L.P.P. la Grand'Grange occupe une partie de l'emplacement du château des Seigneurs de Saint-Chamond, château pillé et démoli pendant la Révolution.

L'impasse du châteauAncienne porte d'accès au château.

La rue des Capucins

La cheminée GIAT Industries (1863)

L'Hôtel Royer de la Bastie, au champ du Geai

L'Hôtel de la Caisse d'EpargneRue Victor Hugo, inauguré en 1901.

Le Château du JarezA l'angle de la rue Benoît Oriol et de la rue Victor Hugo.

Le Collège Sainte-MarieRoute du coin, batî en

1877.

L'église Saint-Julien-en-JarezDu XVème siècle.

Pas moins de 25 000 m² de surfaces couvertes et 70 000 m² de surface en plein air, composent le patrimoine sportif de la ville de Saint-Chamond.

Du base-ball au tir à l'arc, en passant par l'escalade et l'équitation, ce sont plus de 25 sports différents proposés par les clubs saint-chamonais.

La politique sportive de la ville repose sur trois pôles :

- L'éducation, avec un travail d'initiation et de sensibilisation aux activités physiques et sportives. Dans les écoles, avec la mise à disposition d'éducateurs sportifs. Le mercredi par l'intermédiaire du Club d'Initiation à la Pratique Sportive (CLIPS).- L'animation, avec la mise en oeuvre pendant les vacances scolaires d'activités en direction des jeunes.- Le soutien aux associations locales, avec la mise à disposition de nombreux équipements et de 16 éducateurs sportifs au niveau de l'entraînement des clubs.

Enfin, de grandes manifestations comme le Rallye automobile du Pays du Gier ou le Mille Pattes, sont organisées chaque année à Saint-Chamond.

SALLE André

Boulloche

Source infos et photos site off de la mairie de St Chamond

Création Kerfanto Sarah