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Olivier Debré – Le Rideau rouge (Châteauroux). Lithographie, 1987.

Pour sa saison 2012-2013, la Ferme de Bel Ébat – théâtre de Guyancourt, pro-pose de nouveau un programme de qualité, marqué par la diversité culturelle et le soutien à la création artistique. Sur l’ensemble des quarante deux spectacles pro-posés, quatorze constituent des créations et quatre d’entre eux sont même créés à Guyancourt à l’issue de résidences artistiques : Oh quand les Saints !, Petite marchande d'allumettes, Plus que le tumulte des eaux profondes et Les Enfants. Preuve, s’il en faut, de la place prise par la ville et son théâtre au sein du paysage théâtral francilien.

Théâtre contemporain, classique, pour jeune public… chacun pourra trouver matière à aiguiser son esprit et contenter sa sensibilité.

Grâce à ses nombreux partenariats avec d’autres structures de la ville et de la communauté d’agglomération, la Ferme de Bel Ébat s’inscrit pleinement dans son territoire. Elle aime également à innover et cultiver sa différence. Ainsi, plus de la moitié des spectacles sont écrits ou mis en scène par des femmes.

Guyancourt est et restera, à n’en pas douter, une terre de culture.

Belle saison à tous !François deligné

Maire de GuyancourtVice-Président de la Communauté

d'Agglomération de Saint-Quentin-en-YvelinesConseiller Général des Yvelines

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Shakespeare écrivait que le but du théâtre dès l’origine et aujourd'hui, était et demeure de tendre pour ainsi dire un miroir à la nature ; de montrer à la vertu ses traits, au ridicule son image, et à notre époque et au corps de notre temps sa forme et son effigie 1. Parfois, c'est agréable : Ah ! Je ris de me voir si belle en ce miroir 2. Souvent, c'est dur. Devoir se regarder en face : N’accuse pas le miroir si ta gueule est tordue 3. Mais la réalité ? La vérité ? Qu'est-ce que c'est ? Les miroirs feraient bien de réfléchir un peu avant de renvoyer les images 4, dit Jean Cocteau qui fait mouche. Oui, si le théâtre est un miroir, il doit bien réfléchir dans les deux sens du terme : refléter certes mais encore penser. Car enfin, quelle est l'image qui se reflète aujourd'hui dans ce miroir en trois dimensions ?

Alors que les femmes sont plus nombreuses que les hommes dans la population, le paysage théâtral demeure le domaine réservé des hommes. L'étude 5 diligen-tée par le Ministère de la culture en 2006 révèle que : 85 % des textes que nous entendons ont été écrits par des hommes. 78 % des spectacles que nous voyons ont été mis en scène par des hommes. 57 % des spectacles que nous voyons sont chorégraphiés par des hommes.

En s'engageant auprès de H/F Île-de-France, La Ferme de Bel Ébat propose donc sim-plement de restituer aux femmes sur la scène la place qui est la leur dans le monde. Que le miroir du monde ne soit pas un miroir aux alouettes. Ainsi, dès cette saison : 40% des spectacles sont écrits par des femmes (45 % des textes contemporains). 46% des spectacles sont mis en scène par des femmes.57% de spectacle de danse sont chorégraphiés par des femmes.Globalement, 57 % des spectacles sont chorégraphiés, écrits ou mis en scène par des femmes.

Mais quelle que soit l'image qu'il renvoie, seul, le miroir ne sert à rien si vous ne vous y regardez pas. Alors : venez voir !

yoann LavabreDirecteur

(1) William Shakespeare (traduction de Jean-Michel Déprats), Hamlet, 1603.(2) Charles Gounot, Faust (livret de Jules Barbier et Michel Carré), 1859.(3) Nikolai Gogol, Le Révizor, 1836.(4) Jean Cocteau, Essai de critique indirecte, 1932.(5) Reine Prat, Mission pour l'égalité et contre les exclusions – rapport d'étape n°1. Mai 2006.

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octoBresamedi 6 à 19h nuit BLanche de La Poésie • Poésie(s) – musiQue(s) p.9samedi 13 à 18h Pentimento • cirQue p.11mardi 16 à 20h30 comédie tchétchène (Pas toujours très drôLe) • théâtre p.13vendredi 19 à 20h30 cyrano de Bergerac • théâtre p.15samedi 20 à 20h caBaret PoéLitiQue # 19 Quelle énergie ! • Poésie – musiQue – déBat p.17mercredi 24 à 20h30 Le roi du Bois • théâtre musicaL p.19jeudi 25 à 19h30 Le roi du Bois • théâtre musicaL p.19vendredi 26 à 20h30 Le roi du Bois • théâtre musicaL p.19

noVemBrevendredi 9 à 20h30 oh Quand Les saints ! • théâtre p.21samedi 10 à 20h30 oh Quand Les saints ! • théâtre p.21 vendredi 16 à 20h30 Faux mouVement • danse p.23mercredi 21 à 14h miséraBLes, LiBre cours • théâtre p.25samedi 24 à 18h miséraBLes, LiBre cours • théâtre p.25mercredi 28 à 20h30 on ne Paie Pas ! on ne Paie Pas ! • théâtre p.27

décemBrevendredi 7 à 20h30 Quartett • théâtre p.29samedi 8 à 20h30 noËLs noirs Par tous Les temPs • conte – musiQue p.31jeudi 13 à 19h30 QueLQu’un dehors moi nuLLe Part • théâtre p.33vendredi 14 à 20h30 QueLQu’un dehors moi nuLLe Part • théâtre p.33mercredi 19 à 14h LittLematchseLLer, Petite marchande d'aLLumettes • théâtre p.35samedi 22 à 15h LittLematchseLLer, Petite marchande d'aLLumettes • théâtre p.35samedi 22 à 18h LittLematchseLLer, Petite marchande d'aLLumettes • théâtre p.35

2012 / 2013

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janViersamedi 12 à 20h30 how sweet the sound • chant gosPeL p.37dimanche 13 à 16h how sweet the sound • chant gosPeL p.37mardi 15 à 20h30 cédric andrieux • danse p.39samedi 19 à 17h Kindur • danse p.41samedi 19 à 19h charLes gonzaLes deVient • théâtre p.43jeudi 24 à 19h30 PLus Que Le tumuLte des eaux ProFondes • théâtre p.45vendredi 25 à 20h30 PLus Que Le tumuLte des eaux ProFondes • théâtre p.45samedi 26 à 20h30 PLus Que Le tumuLte des eaux ProFondes • théâtre p.45

FéVriervendredi 1er à 20h30 L’enFant – drame ruraL • théâtre p.47jeudi 7 à 19h30 Le moche • théâtre p.49vendredi 8 à 20h caBaret PoéLitiQue # 20 Poésie & travail • Poésie – musiQue – déBat p.51vendredi 15 à 20h30 chamBre(s) d’hôteLs • danse p.53mardi 19 à 20h30 Le cid • théâtre p.55mercredi 20 à 20h30 Le cid • théâtre p.55jeudi 21 à 19h30 Le cid • théâtre p.55vendredi 22 à 20h30 Le cid • théâtre p.55samedi 23 à 20h30 Le cid • théâtre p.55

marsvendredi 1er à 19h naz / discours de La serVitude VoLontaire • théâtre p.57mercredi 20 à 14h danBé • concert narratiF p.59jeudi 21 à 19h30 danBé • concert narratiF p.59vendredi 22 à 20h30 À L’imPossiBLe on est tenu • concert PoétiQue p.61samedi 23 à 18h corPs de Femme – Le marteau • théâtre p.63samedi 23 à 20h30 corPs de Femme – Le BaLLon oVaLe • théâtre p.63mercredi 27 à 14h Les Petites emPêchées • théâtre p.65samedi 30 à 18h Les Petites emPêchées • théâtre p.65

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aVriLmercredi 3 à 20h moustiQue tigre • conFérence théâtraLe p.67samedi 6 à 18h hors jeux / Lastminutes.org / yonder woman • danse p.69vendredi 12 à 20h30 Les amours VuLnéraBLes de desdémone et otheLLo • théatre p.71samedi 13 à 11h tutti tutti • conte – musiQue p.73samedi 13 à 15h sage comme un orage • conte – musiQue p.75mercredi 17 à 10h tutti tutti • conte – musiQue p.73mercredi 17 à 14h sage comme un orage • conte – musiQue p.75dimanche 21 à 11h tutti tutti • conte – musiQue p.73dimanche 21 à 15h sage comme un orage • conte – musiQue p.75vendredi 19 à 20h30 comme Le chien • théatre p.77mercredi 24 à 20h30 7 • conte p.79

maivendredi 17 à 20h30 La ParaBoLe • théatre p.81mercredi 22 à 10h un Petit huBLot de cieL • Poésie – théatre p.83samedi 25 à 11h un Petit huBLot de cieL • Poésie – théatre p.83jeudi 23 à 19h30 Les enFants• théatre p.85vendredi 24 à 20h30 Les enFants• théatre p.85mardi 28 à 20h caBaret PoéLitiQue # 21 + good Bye schlöndorf• Poésie – musiQue – déBat p.87vendredi 31 à 20h30 Le médecin VoLant • théatre p.89

juindu mardi 4 au mardi 11 Les arts À L'écoLe p.91du mercr. 26 au dim. 30 FestiVaL de théâtre amateur • théatre p.91

retrouvez les dates des représentations scolaires au bas des pages propres à chaque spectacle.

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direction & programmationYoann Lavabre.

direction techniquePascal Caffé.

relations publiques & programmation danse Richard Le Normand.

communicationJulie Chanut.

administrationMartine Pello.

accueil du public & billetterieMaria Thuillier.

accueil des compagniesCéline Novatin.

techniciens intermittentsAbdourhamane Anne, Salim Barkati, Jean-Frédéric Berthier, Richard

Bessenay, Gaidig Bleinhant, Rachid Bougdim, Valérie Capek, Yves Derrien, Florian Gayrel, Thierry Lévèque, Laurent Maklès, Christopher Mélice,

Vanessa Petit, Ludovic Ribière, Adrien Ropers, Philippe Séon, Marc Torrente, François Trebbi, Jean-Michel Wartner, etc.

VacatairesKokou Amoussou, Adrien Garneau, Sarah Garneau, Anthony Nizan,Nicolas Ostrowski, Corinne Paillé, Léa Pecnard, Bertrand Peyrot,

Chantal Rahabarisoa, Fabienne Ramognino, etc.

conception graphiqueAlice Gazio.

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nuit BLanchede La Poésie

samedi 6 octobre à partir de 19hentrée libre

Les Habits à lire : défilé d'œuvres uniques d'artistes créées à partir de poèmes dits, joués et chantés.conception Wanda Mihuléac (éd. Transignum). Voix et chant Lucienne Deschamps et Denis Parmain.

Les recueils lauréats des Prix Poésyvelines et Poésyvelines des collégiens 2012 révélés en musique, directement dans le creux de l'oreille.textes Sélection en cours et Isabelle Damotte, Frère (éd. Cheyne). musique compagnie (Mic)zzaj, Pierre Badaroux et Laurent Sellier.

cirque et poésie en un seul et même geste. Écrire sur le fil d'acier tendu, qui fait mal, arrache la peau, écorche les tibias...texte et fil-de-fer Marion Collé. Voix et saxophone Nicolas Bachet.

Good Bye Schlöndorff puise dans les archives sonores de la guerre du Liban pour dévoiler l'intimité des êtres à travers des lettres enregistrées sur cassettes magnétiques. conception et machines Rayess Bek. Flûte traversière Naissam Jalal. avec l'aide à la production d'Arcadi.

Performance questionnant les passerelles insaisissables qui relient la musique, éphémère, à la pérennité des arts graphiques. Quête utopique d’un art total.Peinture Ségolène Perrot. Batterie Siegfried Mandon. en partenariat avec le Service Action Culturelle de la ville de Guyancourt.

Parl# : Une approche musicale et scénique, épurée, resserrée, intuitive, de la lang, de la parl, de la parole tchatchée, d’une poésie d’bête.textes et voix Fred Griot. Batterie Eric Groleau. guitare Dan Panama. conseil scénique Yan Allegret. régie Pierre Maheu. Production compagnie (&) so weiter. avec l'aide à la diffusion d'Arcadi.

soirée dans le cadre de la 9e édition de Poésyvelines – La semaine des Poètes, une manifestation organisée par la maison de la Poésie de saint-Quentin-en-yvelines avec le soutien du conseil général des yvelines.

un buffet dînatoire organisé par le Lycée d'hôtellerie et de tourisme de saint-Quentin-en-yvelines sera offert au public durant cette soirée.

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samedi 13 octobre à 18htarif A

durée : 1h10

madona BougLione

Madona Bouglione, illustre descendante d’une des plus célèbres familles du cirque, livre une version époustouflante du Lac des Cygnes. Danseurs et ballerines ont laissé la place à quatorze artistes de cirque venus des quatre coins du monde : clowns, acrobates, jongleurs, mimes, etc. Entre grâce, rire et sourire, ils inventent un univers visuel féérique. Un spectacle grand public qui fait ressurgir en chacun une part d’enfance. Un pur moment de rêve à partager en famille.

On se laisse emporter par la magie de ce spectacle, on se sent transporté dans un autre monde, on plane, on s’envole, on se sent léger, on retrouve son âme d’enfant pour les adultes, et l’on entend avec plaisir retentir le rire des enfants. — TF1.

mise en scène Madona Bouglione. avec (sous réserve) Sacha Alexandrov, Artur Bezkorinnyy, Dorian Blais, Christophe Carrère, Rémi Darbois, Guerassim Dichliev, Pablo Escobar, Aurélie Lacour, Xavier Lavabre, Laura Leigh Pedley, Aurélie Mignon, Antoine Prost, Pepe Silva Rodriguez, Elod Trager et Chloé Tribollet. musique Tchaïkovsky Le lac des Cygnes. chorégraphie Jean-Marc Torres. numérique Frédéric Durieu. directeur technique Stéphane Balny. Lumières Christophe Shaeffer. costumes Cathy San Nicolas. ingénieur son Pedro Lopez. régisseurs plateau Pascal Brémaud et Patrick Olivieri. assistante à la mise en scène Victoria Bouglione. remerciements à Peter Lamb pour le numéro de cadre.

Production Cirque en chantier. coproduction Théâtre de l’Olivier Istres – Scènes et Cinés.

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mardi 16 octobre à 20h30tarif A

durée : 1h45

yoann LaVaBre Bruno Lajara

Prise d’otages spectaculaire ou spectacle d’une prise d’otages ? Histoire ou fait divers ? Souvenez-vous. Il y a dix ans. Octobre 2002. Un commando de séparatistes tchétchènes prend en otages les spectateurs d’une comédie musicale dans un théâtre à Moscou. Ces combattants désespérés (et donc dangereux) d’une cause oubliée se placent là où nul ne peut plus les ignorer : dans la perspective du prince Vladimir Poutine, qui promit de les "buter jusque dans les chiottes". Ayant investi les lieux, les rebelles décident d’utiliser l’outil qui est tombé entre leurs mains pour ce qu’il est. Ils vont donc en faire, à leur façon, du théâtre.

Une vraie énergie dévastatrice, entre rires et larmes. — La voix du Nord.

texte Yoann Lavabre (éditions l’Espace d’un instant). mise en scène et scénographie Bruno Lajara. avec Christian Abart, Rachid Boukrim, Bruno Buffoli, Carine Bouquillon, Johanna Classe, Perrine Fovez, Saverio Maligno, Ali Meziti, David Thénard. musique Simon Mimoun. costumes Dominique Louis assistée de Sohrab Kashanian. chorégraphie Johanna Classe. ingénieur du son Hervé Herrero. Programmation informatique Charles Hannotte. Vidéo Maxime Midière. régie générale Olivier Floury.

Production Plateforme VIESÀVIES coproduction Théâtre des Quartiers d’Ivry, Culture Commune – Scène Nationale du Bassin Minier du Pas-de-Calais, Ville de Grenay (Espace Ronny Coutteure), Maison Folie de Wazemmes (Ville de Lille), La Scène Watteau – scène conventionnée de Nogent-sur-Marne, le Théâtre de Cachan – Jacques Carat et l’ECAM – Théâtre du Kremlin-Bicêtre. avec le soutien de l’ADAMI, de la Région Nord-Pas de Calais et du Conseil Général du Pas-de-Calais, les villes de Bully-les-Mines (Espace François Mitterrand) et d’Avion (Espace Culturel Avionnais).

texte lauréat des journées de Lyon des auteurs de théâtre en 2005.texte lauréat du concours nouvelles écritures en 2009.

La représentation sera suivie d'un débat avec amnesty international, l'auteur et le metteur en scène.

comédie tchétchène( Pas toujours très drôLe )

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vendredi 19 octobre à 20h30tarif A

durée : 2h30

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edmond rostand anthony magnier

A-t-on le droit d’aimer quand on est aussi laid ? Peut-on seulement espérer l’être ? Grotesque par sa disgrâce physique, Cyrano n'en est pas moins admirable en tout, pour tout ! Ce pudique fanfaron, dont seule la bravoure égale la timidité, se bat avec panache pour la liberté. Il refuse les compromis et n'écoute que son cœur, brandissant la désobéissance comme un étendard. Les acteurs s’attaquent avec fougue et fantaisie à cette œuvre colossale, mettant la générosité de la commedia dell’arte au service de cette comédie héroïque aux profonds accents romantiques.

Incontestablement une réussite. — Le Figaroscope

Une performance sublime. — Var Matin

texte Edmond Rostand. mise en scène Anthony Magnier. avec Gaspard Fasulo, Clovis Fouin, Magali Genoud, Blandine Iordan, Julien Jacob, Xavier Legat, Anthony Magnier, Mikaël Taieb. décors Stefano Perocco. costumes Juliette Cornet assistée de Xénia Auther, Claire Bigot et Emmanuelle Bredoux. Lumières Rémi Cabaret. direction musicale Samuel Muller. nez Valérie Lesort. Perruques Christine Laurent. maître d’armes Patrice Camboni. assistante à la mise en scène Cécile Mathieu.

en partenariat avec l’Espace Coluche (Plaisir), Centre culturel Jean Vilar (Marly-le-Roi), Théâtre de Bois d'Arcy, Théâtre Alexandre Dumas (Saint Germain-en-Laye), Espace Barbara (Petite-Forêt), Espace Yves Montand (Livry-Gargan), Théâtre de Fréjus, Théâtre des 3 chênes (Le Quesnoy), Les Théâtrales (Collonges-la-Rouge), Festival In Situ (Carqueiranne). avec le soutien de la Ville de Versailles, le Conseil Général des Yvelines, l'Adami, le Théâtre Gérard Philipe (Meaux) et le Festival du Mois Molière à Versailles.

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caBaret PoéLitiQue #19 QueLLe énergie !

samedi 20 octobre à 20h à la Maison de L'Environnemententrée libre

D’où vient-elle cette énergie qui nous meut, nous incite à nous engager, à en faire plus, à dépasser parfois nos limites, cette énergie que l’on voudrait tant transmettre aux autres, par la parole, le corps, l’esprit ? Artiste ou enseignant, musicien ou militant, des personnalités engagées apportent leur témoignage.

claude Favre, poète et performeuse, auteure de Interdiction absolue de toucher les filles même tombée à terre (publie.net, 2011).

Frank sentier, ingénieur, 25 ans dans l’ingénierie de l’énergie, globe-trotteur.

marie-Laure segal, militante associative, a enseigné la philosophie au lycée de la Plaine de Neauphle à Trappes pendant plus de vingt ans.

François chaffin, auteur, metteur en scène et éclairagiste et Benjamin coursier, guitariste, dont le spectacle Comme le chien – Poème rock pour chœur énervé est programmé le 19 avril à La Ferme de Bel Ébat.

Un débat animé par catherine Pont-humbert, productrice à France Culture

une manifestation organisée par la maison de la Poésie de saint-Quentin-en-yvelines et la Ferme de Bel ébat – théâtre de guyancourt, avec la collaboration de la maison de l’environnement, des sciences et du développement durable de saint-Quentin-en-yvelines, dans le cadre de la Fête de la science.

apportez à manger, nous vous offrons à boire !

maison de l’environnement, des sciences et du développement durable de saint-Quentin-en-yvelines, 6 rue Haroun Tazieff, 78114 Magny-les-Hameaux.

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mercredi 24 octobre à 20h30jeudi 25 octobre à 19h30vendredi 26 octobre à 20h30tarif A

durée : 1h10

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Retiré au cœur de la forêt, un homme songe à son enfance passée au service d'un grand peintre dans l’Italie de la Renaissance. Observant les peintres venus magnifier ses terres, épiant les grands de ce monde, étourdi par leur élégance, ce fils de métayer se rêvait prince. Mais ses désirs ne franchirent jamais le seuil de la réalité. Il ne sera jamais que le roi du bois. Parmi les herbes, en observant une femme, c’était l’art qu’il découvrait. La voix parlée de Jacques Bonnaffé mêlée au chant d’un enfant de la Maîtrise de Paris et la musique du Quatuor Varèse tissent les souvenirs de l’homme et l’éblouissement du jeune pâtre qu'il fut.

sandrine anglade a reçu en 2010 le Prix du syndicat de la critique.

texte Pierre Michon (éditions Verdier). musique originale Michèle Reverdy. mise en scène Sandrine Anglade. avec Jacques Bonnaffé, Roman Rondepierre et Michaël Oppert en alternance, Le Quatuor Varèse : François Galichet, Jean-Louis Constant, Sylvain Séailles, Thomas Ravez. scénographie Claude Chestier. costumes Claude Chestier et Julie Lardrot. Lumières Éric Blosse. collaboration artistique Pascaline Verrier. répétiteurs chant lyrique Laurent Alvaro et Simon de Gliniasty. régie générale Silouane Kohler. régie son Alexis Lazar.

Production déléguée Compagnie Sandrine Anglade coproduction (en cours) Compagnie Sandrine Anglade, ARCADI, Scène Nationale de Besançon, Maison de la Culture de Nevers et de la Nièvre, Ferme de Villefavard en Limousin. Projet associé au Théâtre 71, Scène Nationale de Malakoff. avec le soutien de la DRAC Île-de-France et de la Ville de Vincennes. avec l'aide à la diffusion d'Arcadi.

en partenariat avec le théâtre de saint-Quentin-en-yvelines, scène nationale et La Batterie – pôle musiques de guyancourt.

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vendredi 9 et samedi 10 novembre à 20h30entrée libre

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Réunis par le Préfet du Seigneur, plusieurs saints sont chargés de réaliser les plans d’une Jérusalem Nouvelle pour les hommes qui, eux, semblent avoir failli. L’annonce de la mort de Dieu les prend de court et révèle leur vérité ambiguë – tout autant que celle des humains... Finalement, c’est un homme normal, maire d’une ordinaire cité terrestre, appelé à témoigner dans ce procès où Ciel et Terre s’entremêlent, qui dévoile le mystère à la fois consternant et ridicule de cette Utopie. Ce texte surréel revêt un intérêt tout particulier à l'occasion des 40 ans de la Communauté d’Agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines et au regard du parcours singulier que son auteur y a mené depuis l’origine. Maire de Guyancourt de 1983 à 2003, président du Syndicat d'Agglomération Nouvelle de 1989 à 1998, Roland Nadaus est en effet l'un des principaux bâtisseurs de la ville nouvelle.

Une écriture généreuse et exigeante, teintée d'humour et, parfois, de provocation. — La Croix

Un homme, une ville, une œuvre : c'est Roland Nadaus. — Georges Cathalo

texte Roland Nadaus. mise en scène Aurélie Van Den Daele. collaboration artistique Yoann Lavabre. avec Paul Antropius, Jean-Pierre Boivin, Christine Clara, Pascale Curnier, Ingrid Gignoux, Mathieu Lips, Anthony Nizan et Françoise Simon. musique Laurent Sellier. Lumières Julien Dubuc.

Production La compagnie Bricole. coproduction La Ferme de Bel Ébat – théâtre de Guyancourt. avec le soutien de la Communauté d'Agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines.

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vendredi 16 novembre à 20h30tarif A

durée : 1h

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Fabrice Lambert questionne l’écriture du corps, de son environnement et l’influence qu’ils exercent l’un sur l’autre. Interrogeant le rapport à la vitesse et la thématique de l’accident, il traduit dans les corps et l’espace l’idée de faux mouvement. Les danseurs esquissent des gestes improbables, tiennent des positions instables, bancales, et s’exercent dans toutes sortes de mouvements empêchés. Le regard perd la notion de perspective au gré des illusions d’optique de la vidéo. Des obstacles posés au sol perturbent la circulation et contraignent les danseurs dans leurs courses. Soudain, c'est l'accident. La chute. Mais rien n'est pourtant laissé au hasard. Le chorégraphe distille le trouble, questionne le vrai et le faux.

L'écriture de Fabrice Lambert, qui s'inspire de la mémoire des corps, sur le plan physiologique et universel, mêlant l'intime et le biologique, questionne le patrimoine cellulaire inscrit en chacun de nous. — Paris Art.

conception et chorégraphie Fabrice Lambert. avec Madeleine Fournier, Hanna Hedman, Fabrice Lambert, Stephen Thompson. Lumières Sylvie Mélis. Vidéo Yann-Loïc Lambert. son Frédéric Laügt, Alexandre Meyer et Gilles Gerey. régie générale Philippe Gladieux. développement robotique interface Z.

Production L’Expérience Harmaat. coproduction CDC Toulouse Midi-Pyrénées, La Ferme de Bel Ébat – théâtre de Guyancourt, le Centre national de la danse – Pantin, CCN de Franche-Comté à Belfort dans le cadre l’accueil studio, Etape Danse (Institut français d’Allemagne / Bureau du Théâtre et de la Danse et fabrik Potsdam) CDC Uzès Danse, Tanzquartier – Vienne. avec le soutien du Manège de Reims, Scène Nationale, de modul-dance, de l'Adami, du DICRéAM.

La Ferme de Bel ébat reçoit le soutien de la direction régionale des affaires culturelles d’Île-de-France – ministère de la culture et de la communication pour la diffusion et l’accueil en résidence de la compagnie L’expérience harmaat.

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mercredi 21 novembre à 14hsamedi 24 novembre à 18htarif B

durée : 55 minutes

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Cosette lave, brosse, frotte, trime, halète, rencontre un ancien détenu, reçoit son premier cadeau et tire la langue. Tirer un fil entre la misère du XIXe siècle et la précarité actuelle. Utiliser les destins des quatre enfants du roman Les Misérables pour raconter l'instabilité, les revers de fortune, les grandes surprises qui construisent les départs dans la vie. À quels adultes peut-on faire confiance ? Comment devient-on quelqu'un quand il n'y a que des pierres au milieu du chemin ? Chacun de ces personnages ressent la peur et la surmonte, part du tréfonds de la solitude et se crée une famille, un amour, un espoir.

De vrais moments de grâce. — Métro.

Le jeu est saisissant. — Zibeline.

Avec de jeunes écritures comme celle d'Elsa Granat, la relève des auteurs dramatiques semble assurée. — La Marseillaise.

texte et mise en scène Elsa Granat (d’après l’œuvre de Victor Hugo). avec Bellamine Abdelmalek, Guillaume Barbot, Marie Combeau, Claire Méchin, David Seigneur, Flavie Testud. collaboration artistique Roxane Kasperski. scénographie Clémentine Carsberg. décors Paul Tacade.

Production Compagnie L’envers des Corps. avec le soutien de l’ADAMI, Le Laboratoire de la Création.

séances scolaires : mardi 20, jeudi 22 et vendredi 23 novembre à 9h45 et 14h.

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mercredi 28 novembre à 20h30tarif B

durée : 2h05

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Une farce jubilatoire et débridée, au rythme d’une course poursuite haletante entre gendarmes, policiers et ménagères d’un quartier populaire qui ont mis à sac un supermarché et ne savent plus où cacher leur butin. Antonia, magnifique affabulatrice, multiplie les facéties pour échapper aux griffes de la maréchaussée et à la suspicion de son mari, syndicaliste et légaliste pur et dur. Elle entraîne dans ses péripéties son amie Margherita, complice malgré elle… Dario Fo, prix Nobel de littérature en 1997, livre une comédie à l’italienne, sociale et extravagante sur fond de crise économique.

Un rayon de soleil dans la brume du quotidien. — Presse-Océan

Désespérément drôle ! — La Marseillaise.

texte Dario Fo. traduction et adaptation Toni Cecchinato et Nicole Colchat. mise en scène Christophe Rouxel. avec Florence Gerondeau, Delphine Lamand, Frédéric Louineau, Didier Morillon, Didier Royant. collaboration artistique Luigi de Angelis. scénographie Silvio Crescoli. Lumières Christophe Olivier. costumes Caroline Leray. maquillage Sylvie Aubry. son Benjamin Rouxel. régie générale Paul Seiller.

Production Théâtre Icare.

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vendredi 7 décembre à 20h30à la Maison de la Poésietarif B

durée : 1h15

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Poète des déchirures du siècle, Heiner Müller ne se saisit pas des textes du répertoire pour les adapter mais pour les faire exploser dans ce qu'il appelait son "dialogue avec les morts". Revisitant Les Liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos dans une langue crue, vibrante et incandescente, le dramaturge allemand démonte la mécanique des rapports entre les sexes. Comme un enfant qui ouvre un jouet, il en fait jaillir les ressorts. Merteuil et Valmont deviennent ces héros noirs qui mènent une danse de mort. La mise en scène crée un écrin fétichiste où la ritualisation du désir qui les lie convoque le spectateur-voyeur à une réflexion sur la chair.

On peut mettre au crédit de Laëtitia Pitz et de Valéry Plancke un engagement continu. Tout deux font entendre chaque mot de Müller, n’esquivant rien de la violence des enjeux de cette revisite radicale des Liaisons dangereuses. La lecture de la pièce est d’une grande clarté. La sincérité de leur pari mérite d’être saluée. — Libération.

texte Heiner Müller (d’après Choderlos de Laclos). traduction Jean Jourdheuil et Béatrice Perregaux (L'Arche éditeur). mise en scène Valéry Plancke. avec Lionel Marchetti, Laëtitia Pitz, Valéry Plancke. costumes Dominique Burté. musique Lionel Marchetti. Lumières Xavier Lauwers.

Production Compagnie Roland furieux. avec le soutien du Conseil Général de la Moselle et du Conseil Régional de Lorraine et du CCAM - Scène nationale de Vandœuvre-lès-Nancy.

Les Liaisons dangereuses de Christopher Hampton, d’après Choderlos de Laclos, mise en scène de John Malkovich, au Prisme le 9 février 2013 à 21h.

La maison de la Poésie de saint-Quentin-en-yvelines, 10 place Pierre Bérégovoy, 78280 Guyancourt.

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samedi 8 décembre à 20h30 à la Ferme du Mousseautarif B / carte FBE

durée : 1h15

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Trois contes urbains à l'écriture débridée, souvent cruelle et caustique mais toujours d’une magie bouleversante, qui ramènent à la condition de l’homme, à sa misère, à son besoin de consolation, son besoin de croire, de rencontrer des fées… Accompagnés d’une musique déconcertante, ces contes québécois donnent à entendre des paroles inoubliables, d’une beauté troublante et tragique, des histoires d’êtres blessés au corps et au cœur, secouant le pouvoir de compassion à l’extrême.

textes Isabelle Mandalian (La salope, ah ! la vache), Hélène Pedneault (Je veux du miel) et Dominic Champagne (Jérémie-la-nuit). mise en scène et scénographie Jean-Marc Haloche. avec Armelle Bossière, Amélie Lextreyt, Grégoire Lopoukhine, François Chaooch (guitare), Jerry Vieilleuse (basse) et Dj Djon. Vidéo Denis Verdier.

Production Compagnie Ici Londres.

La Ferme du mousseau, 23 route du Mesnil, 78990 Élancourt.Spectacle réservé aux détenteurs de la carte de La Ferme de Bel Ébat. Les personnes ne souhaitant pas souscrire à la carte peuvent néanmoins acheter leur place directement dans la salle concernée.

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jeudi 13 décembre à 19h30 / vendredi 14 décembre à 20h30à la Maison de la Poésietarif B

durée : 50 minutes.

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Emma erre dans une zone incertaine, fantasmagorique, parfois loufoque, faite de porosité et de glissements entre son monde intérieur et le monde réel. Des figures issues de son cerveau s’invitent dans son quotidien. Emma est schizophrène. Le public est invité à partager sa perception. L’écriture joue sur le seuil, la limite entre situations réelles et fictives pour évoquer un état de perte de repères, d’identité, de définition de soi en fonction de l’autre. Cette maladie clinique devient métaphorique des lignes incertaines qui jalonnent la société et les situations politiques actuelles.

texte et dramaturgie Sonia Willi. mise en scène Anne Monfort. avec Florent Guyot, Jeanne Rosa, Laure Wolf. costumes Charlène Strock. musique Sébastien Escobar. espace et lumières Frédéric Blanc regard chorégraphique Muriel Bourdeau.

Production Day-for-night / cie Anne Monfort. coproduction La Halle aux Grains – Scène Nationale de Blois. coréalisation Le Colombier (Bagnolet). avec l'aide d'ARCADI et de la DRAC Franche-Comté. Ce spectacle bénéficie du dispositif d’aide au compagnonnage auteur/compagnie de la DGCA. avec le soutien du CENTQUATRE. remerciements au TRR-Villejuif.


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Petite marchande d’aujourd’hui. Son commerce est illégal. À la sauvette… Les allées froides d’un grand centre commercial, où tout s'achète et tout se vend – où l'on achète même le vent. Elle se fond dans l'univers glacial du marbre et des vitrines, invisible aux yeux des chalands affairés en cette veille du Nouvel An. Recroquevillée dans un coin minuscule d’elle-même, elle craque les allumettes qu'elle ne parvient pas à vendre. À chaque flamme son rêve. Esprits musiciens, supernovae, galaxies en expansion… À défaut de chaleur, elle aura de la lumière.

Une succession de tableaux vivants, où le langage du corps, les jeux de lumière, de transparence et la scénographie dans son ensemble créent une féerie intemporelle d’une grande beauté. — Télérama.

conception et scénographie Nicolas Liautard (d’après The Little Match Seller, film muet de James Williamson (1902) et La petite marchande d’allumettes d’Hans Christian Andersen). avec Jürg Häring, Marion Suzanne, Corinne Mighirditchian, Norma Conrath, distribution en cours. collaboration à la scénographie Pascal Doudement. construction des décors Les Ateliers de l’Opéra de Rouen. Lumières Antoine Fouqueau. création sonore François Leymarie, Thomas Watteau. réalisation des images Michaël Dusautoy. costumes Marion Lachaud. sculptures, marionnettes Anne Leray. régie son et vidéo Thomas Watteau. régie plateau Jürg Häring.

Production La Nouvelle Compagnie. coproduction La Ferme de Bel Ébat – théâtre de Guyancourt, Théâtre André Malraux à Chevilly-Larue, La Scène Watteau Théâtre de Nogent-sur-Marne. avec l’aide à la création du Conseil Général du Val-de-Marne. remerciements Roxane Pelatan, Bruno Rudtmann, Yann Le Postollec, Vincent Fauvel.

en partenariat avec La maison de la Poésie de saint-Quentin-en-yvelines et le service culturel de Voisins-le-Bretonneux.

séances scolaires : mardi 18, jeudi 20 et vendredi 21 décembre à 9h45 et 14h.

mercredi 19 décembre à 14hsamedi 22 décembre à 15h et 18htarif B


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samedi 12 janvier à 20h30dimanche 13 janvier à 16htarif B

durée : 1h30.

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Créée en 1994, et implantée à Guyancourt, la chorale Saint Quentin Gospel, est composée de plus de soixante choristes et musiciens et donne une dizaine de concerts par saison. Chaque manifestation est un moment unique de partage et d’émotions entre le public et les artistes. Du Rythm and Blues aux Negro Spiritual, cette chorale s’est taillée une solide réputation qui l’a amenée à participer à des festivals internationaux comme ceux de Gospel de Paris, de Chartres ou encore de Malmö en Suède.

Une soirée musicale de grande qualité avec une chorale de talent qui a montré beaucoup d’enthousiasme pour interpréter les negro-spirituals traditionnels chantés a cappella jusqu’aux gospels vibrants.. — La République.

chef de chœur Éric Barbier. Piano Jérôme Laffite. guitare Christian Arnould. Basse Olivier Boulanger. saxophone Gille Pommier. trompette Thierry Reynaud. Batterie Guy Marchot.

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mardi 15 janvier à 20h30 au Prismetarif B / carte FBE

durée : 1h20.

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Cédric Andrieux se danse lui-même. Sujet réflexif. Il est pour ainsi dire son propre personnage. Ce solo chorégraphié par Jérôme Bel lui offre l'opportunité de poser un regard rétrospectif sur les étapes de sa propre carrière, du conservatoire au Ballet de l'Opéra. Le chorégraphe rend aussi hommage aux danseurs, sans lequel son art demeurerait une abstraction : "il s’agit de reconnaître aux interprètes leur statut de créateur afin de les situer dans le cours de l’histoire". Abrégé historique et esthétique de la danse de ces vingt dernières années, cette biographie dansée est un vivifiant mémorial.

Le ton est juste, l'écriture sobre, l'émotion préservée du pathétique (…) le chorégraphe s'impose à nous avec une sincérité troublante. Son amour de la danse se dessine derrière les gestes et les paroles de Cédric Andrieux. — Paris Art.

conception Jérôme Bel. de et par Cédric Andrieux. avec des extraits de pièces de Trish Brown (Newark), Merce Cunningham (Biped, Suite for 5), Philippe Tréhet (Nuit fragile), Jérôme Bel (The show must go on). répétiteurs Jeanne Steele (Merce Cunningham) et Lance Gries (Trisha Brown).

coproduction Théâtre de la Ville de Paris, Festival d’Automne, R.B Jérôme Bel. avec le soutien du Centre national de la danse de Paris, La Ménagerie de Verre dans le cadre des Studiolabs, Baryshnikov Arts Center (New-York). remerciements Thérèse Barbanel, Trevor Carlson et Yorgos Loukos.

Le Prisme, Quartier des 7 Mares, 78990 Élancourt.Spectacle réservé aux détenteurs de la carte de La Ferme de Bel Ébat. Les personnes ne souhaitant pas souscrire à la carte peuvent néanmoins acheter leur place directement dans la salle concernée.

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samedi 19 janvier à 17h à La Maison de l’environnementtarif C


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Le parcours de trois petits moutons – kindur en islandais – à la découverte de la nature secrète et majestueuse de la terre d’Islande. Du blanc de ses glaciers aux lumières du nord, des geysers aux grondements de ses cascades géantes, c’est un pays où la nature semble habitée par des forces mystérieuses. Ce spectacle étonnant est une leçon de vie interactive. Au jeu de et si j’étais un mouton, les enfants embarquent pour quatre saisons. L’Islande sauvage s’étale sous leurs pieds, le vent résonne. Et là-bas derrière les rochers, se cachent sûrement des elfes...

direction artistique Francesco Gandi, Davide Venturini. chorégraphie Anna Balducci, Erika Faccini, Paola Lattanzi. danseuses Valentina Consoli, Martina Gregori, Angelica Portioli. conception graphique Elsa Mersi. Programmation ordinateur Rossano Monti, Martin Von Günten. musique Spartaco Cortesi. costumes Fiamma Ciotti Farulli. objets Livia Cortesi. collaboration aux textes Stefania Zampiga.

Production Compagnia TPO. coprodution Teatro Metastasio Stabile della Toscana.

en partenariat avec l’estaminet, café-culture de magny-les-hameaux et Le Prisme.

séances scolaires : lundi 21, mardi 22 et jeudi 24 janvier à 9h45 et 14h.

La maison de l’environnement, des sciences et du développement durable de saint-Quentin-en-yvelines, 6 rue Haroun Tazieff, 78114 Magny-les-Hameaux.

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samedi 19 janvier à 19h à la Maison de la Poésietarif B / carte FBE

durée : 4h (buffet compris)

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Charles Gonzalès transmet la pensée de ces trois femmes à partir de leurs propres écrits. Nulle identification mais une mystérieuse transmutation. L'acteur nous apparait comme une âme. À elles la présence réelle. Il est cette toile tendue sur laquelle se dessine la présence lumineuse de ces figures féminines. Trois spectacles dans la même foulée. Camille Claudel : trente ans d’insidieuse plongée dans les enfers du soi jusqu’à n’être plus qu’une ombre. Thérèse d’Avila : le combat incessant contre l’inconnu et tendu vers le renouveau, l’inspiration et la liberté. Sarah Kane : l’histoire d’un désespoir abyssal d’une telle pureté qu’il en devient une prière. Une performance viscérale.

Un spectacle en forme de miracle — Libération.À voir absolument — Télérama.Un chef d'œuvre — Le Figaro.

conception, réalisation et interprétation Charles Gonzalès. Lumières Mohamed Maaratié. costumes Ateliers de l'Imprimerie. Production Compagnie Charles Gonzalès. avec le soutien de D.B Mots Bouts, Théâtre Poème de Bruxelles, Acerma.


Vous pouvez également assister à chacun des spectacles séparément : CamiLLe CLaudeL, le mercredi 16 janvier à 20h30 à la Maison de la Poésie / tarif C / carte FBETHérèSe d’aviLa, le jeudi 17 janvier à 19h30 à la Maison de la Poésie / tarif C / carte FBESaraH Kane, le vendredi 18 janvier à 20h30 à la Maison de la Poésie / tarif C / carte FBESpectacle réservé aux détenteurs de la carte de La Ferme de Bel Ébat. Les personnes ne souhaitant pas souscrire à la carte peuvent néanmoins acheter leur place directement dans la salle concernée.

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jeudi 24 janvier à 19h30vendredi 25 et samedi 26 janvier à 20h30tarif A

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Ahès, fille de la dernière reine païenne, chante au soleil. Elle adore l’onde et le vent. Mais sous la pression des saints et des évêques, son père embrasse la croix. Si le roi s'incline, elle refuse. Un combat sans merci entre croyance des sens et religion de conscience, comme une transe entre le corps vibrant et la langue qui pense, entre la caresse et l’ordre. Entre le corps qui ressent et l’esprit qui bâtit. Huit comédiens et seize chanteurs créent le souffle et l’océan de cette histoire divine, qui marque le passage du paganisme au christianisme.

texte et mise en scène Godefroy Ségal. avec distribution en cours. compositeur et chef de chœur Laurent Petitgrand. scénographie et costumes Elsa Pavanel. Lumières Jean Grison. costumière Séverine Thiébault. assistante à la mise en scène Mathilde Priolet.

coproduction Compagnie In Cauda, Le Fanal – Scène nationale de Saint Nazaire, La Ferme de Bel Ébat – Théâtre de Guyancourt, la Ville de Pantin. avec le soutien de la ville de Magny-les-Hameaux, la Communauté d’Agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines, Lilas en Scène et Jipanco.

en partenariat avec l'estaminet, café-culture de magny-les-hameaux.

séance scolaire : vendredi 25 janvier à 14h.

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vendredi 1er février à 20h30tarif A

durée : 2h

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L’apparition d’un nourrisson trouvé sur le seuil d’une ferme bouscule la vie quotidienne d'un village et agit sur chacun et chacune comme un révélateur. Au milieu de la suspicion, des rumeurs, de la résurgence du passé, l'enfant passe de mains en mains avant de revenir à celle qui l’avait trouvé initialement, l’idiote du village. Emportant le nouveau né, elle s'enfuit dans les bois poursuivie par toute la communauté. Et c'est là qu'a lieu, en haut de la colline, à l'ombre des rochers qui surplombent le village, la faute, le crime transgressif, qui condamne par ricochets le village tout entier à la destruction.

texte et mise en scène Carole Thibaut (Édions Lansman). avec Marion Barché, Eddie Chignara, Sophie Daull, Maryline Even, Donatien Guillot, Fanny Santer, Boris Terral. création technique Carole Thibaut et le collectif In Vivo (Julien Dubuc, Chloé Dumas, Samuel Sérandour). costumes Magalie Pichard. assistanat à la mise en scène Clotilde Maurin et Fanny Zeller.

Production Compagnie Sambre. coproduction Centre Dramatique National des Alpes, Fédération d’Associations de Théâtre Populaire (ATP), L'Apostrophe – Scène Nationale de Cergy Pontoise et la ville de Gonesse. coréalisation Théâtre de la Tempête. avec l’aide à la création du Centre National du Théâtre, de la Ville de Paris, d’Arcadi, avec la participation artistique de l’ENSATT et du JTN.

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jeudi 7 février à 19h30tarif B

durée : 1h15

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Un ingénieux ingénieur doit se rendre à cette fatale évidence que tous tentaient de lui cacher : il est laid. Terriblement laid. Bridé dans sa carrière pourtant prometteuse en raison de cette laideur, il décide de recourir à la chirurgie esthétique. Le moche devient beau. Terriblement beau. Mais il a perdu quelque chose qui avait sans doute plus de valeur que son apparence : son identité. La langue acérée de Marius Von Mayenburg porte à son comble l’idée d’une société fondée sur l’apparence. Mais si les moches n'ont pas les mêmes chances de réussite que les beaux, qu’adviendrait-il d’un monde où tous seraient normativement beaux ?

Le jeu des comédiens est magnifique, rythmé et entraînant. (...) On se marre sincèrement face à cette histoire absurde, remède à l’angoisse de ce cauchemar éveillé et sans issue. — Toute la culture.com

texte Marius von Mayenburg. traduction Hélène Mauler et René Zahnd (L’Arche éditeur). mise en scène Nora Granovsky. avec Bruno Buffoli, Vincent Colombe, Sarah Lecarpentier, Maxence Vandevelde. son Braka. costumes et scénographie Nora Granovsky. Lumières David Laurie.

Production Compagnie BVZK.

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vendredi 8 février à 20h à la Maison de la Poésieentrée libre

Les récents débats sur la valeur travail (et ses dérivés : durée, pénibilité, retraite,…) ont agité la société française. Faut-il vivre pour travailler ? Travailler pour vivre ? Travailler pour travailler ? Peut-être faudra-t-il remonter à l’étymologie : travail vient du latin tripalium, un instrument de torture en usage dans la Rome antique. Mais que peut la parole du poète pour rendre compte du travail de l’autre, l’un le crayon à la main ou derrière son écran d’ordinateur, l’autre dans le bruit des turbines ou les mains tendues vers le braséro du piquet de grève pour défendre son gagne-pain et sa dignité ?

maxime coton, poète, auteur de Le Geste ordinaire, éditions Tétras Lyre, Prix PoésYvelines 2011.

Patricia cottron-daubigné, poète, auteure de Croquis démolition, éditions de la Différence, 2011.

canopée, groupe qui fait se rencontrer la poésie et le jazz, qui se dévoient en lisière d’un territoire musical où énergie et simplicité priment. Un paysage sonore fait d’émerveillement, d’errance, au plus près du vivant. Avec maxime coton (voix parlée, saxophone ténor et textes), tom Bourgeois (saxophone soprano, alto et compositions), Loïs Le Van (chant), Florent jeunieaux (guitare) xavier dawant (basse) et jérôme Klein (batterie).

Les invités politiques ou de la société civile seront annoncés ultérieurement.

Un débat animé par catherine Pont-humbert, productrice à France Culture.

en partenariat avec La maison de la Poésie de saint-Quentin-en-yvelines.

apportez à manger, nous vous offrons à boire.


Projection du film Le geste ordinaire de maxime coton (production : le Centre Vidéo de Bruxelles).


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vendredi 15 février à 20h30tarif B

durée : 1h30

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Berlin, chambre n°26. Vancouver, chambre n°360. Hanoï, chambre n°4. Trois chambres d'hôtel dans trois villes et trois pays où trois femmes construisent pourtant une seule et même histoire. Un polar chorégraphique nimbé de séduction, de suspens et de légèreté. Une atmosphère mystérieuse portée par une interprétation virtuose, fluide et charnelle. Entre théâtre et danse, Valérie Rivière fait son cinéma.

La chorégraphe excelle dans les mouvements contradictoires de la vie, ses instabilités, ses incongruités. Une expérience troublante, entre sublime et déchéance. — Sud Ouest.

conception et chorégraphie Valérie Rivière. texte Timothée de Fombelle. avec Katia Noir (Chambre 26), Chloé Camus-Hernandez et Orin Camus (chambre 360) et Stéphanie Pignon (chambre 4). Voix off Cécile de France, Annette Metzger, Guillaume Siron, Mahaut Galiffi, Rudi Galiffi, Laetitia de Fombelle, Stephan Wojtowicz, Phong Phan Vien. scénographie Claudia Jenatsch. univers sonore Guillaume Siron – Baloo Productions. Lumières Éric Blosse (chambre 26 et 360) et Emmanuel Bassibé (chambre 4). construction décors Atelier Décors – Opéra National de Bordeaux (Chambre 26 & 360), J.-F. Huchet – Jaleo Bordeaux, J.-P. Dewynter (Chambre 4). accessoires Etienne Boullier (Chambre 26 & 360), by PLO (Chambre 4). Vidéo prise de vue Chambre 360 Frank Karpinski et images additionnelles Chambre 360 Laurent Meunier. costumes by (PLO).

coproduction IDDAC, Opéra National de Bordeaux, OARA. coproductions chambre 26 Théâtre Paul Eluard – scène conventionnée de Bezons, Le Cuvier d’Artigues-près-Bordeaux – CDC d’Aquitaine. coproductions chambre 360 CCN de Nantes / Brumachon Lamarche, Le Carré-Les Colonnes, Ville de Saint Médard-en-Jalles. aides à la création chambre 360 Adami. coproductions chambre 4 CCN d'Aquitaine Pyrénées-Atlantique – Malandain Ballet Biarritz. accueil Studio 2010. Projet soutenu par le TNBA, le Glob'Théâtre-Bordeaux et le CEFEDEM Aquitaine. remerciements Nathalie et Jean-Yves Potier-Duluc – Mme Hernandez.

avec le soutien à la diffusion de oara – office artistique de la région aquitaine.

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du mardi 19 au samedi 23 février à 20h30jeudi 21 février à 19h30au Théâtre de Saint-Quentin-en-YvelinesTarif A

durée : 1h50

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Enfants promis en mariage, pères offensés, duels qui mènent à la mort et obéissance au roi. Tout va mener Chimène et Rodrigue à s’aimer, se séparer et se retrouver. Sandrine Anglade resserre le propos d'une des pièces les plus célèbres du répertoire classique sur les notions de filiation et de transmission, comme pour donner à voir la déchirure des sentiments de plus près. L'alexandrin cornélien contraint le sentiment en l'enserrant dans une coquille d'élégance. Il se frotte à la batterie qui frappe les émotions à cru, les déchirures à vif.

texte Pierre Corneille. mise en scène Sandrine Anglade. avec Priscilla Bescond, Pierre-François Doireau, Sterenn Guirriec, Gérard Hardy, Damien Houssier, Nicolas Larmignat, Laurent Montel, Jean-Paul Muel, distribution en cours. scénographie et costumes Claude Chestier. Lumières Sébastien Lefèvre. collaboration artistique Sophie Robin. régie générale Jeanne Putelat. maître d’armes en cours.

Production déléguée Compagnie Sandrine Anglade. coproduction (en cours) Compagnie Sandrine Anglade, Maison de la Culture de Nevers et de la Nièvre, Comédie de Picardie, scène conventionnée, Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, Scène nationale, Romans Scènes, Ferme de Villefavard en Limousin. avec le soutien du Jeune Théâtre National et de la Ville de Vincennes. remerciements pour la mise à disposition de leurs espaces et de leur matériel : François Verret et la Compagnie FV, l’Arcal - Compagnie Nationale de théâtre lyrique et musical et la Compagnie Philippe Genty.

en partenariat avec Le théâtre de saint-Quentin-en-yvelines, scène nationale et La Batterie – pôle musiques de guyancourt.

théâtre de saint-Quentin-en-yvelines, scène nationale, Place Georges Pompidou, 78180 Montigny-le-Bretonneux.

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vendredi 1er mars à 19htarif A

durée : 2h45 (buffet compris)

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Naz propose de surmonter la peur et le sentiment d'impuissance et d’entrer une heure durant dans le crâne rasé et cabossé d’un jeune militant identitaire fan de croix gammée, qui éructe sa haine sur fond de misère sociale, morale et intellectuelle. C'est un autre jeune homme, d'un autre temps qui lui répond. Vers 1550, à l'âge de 17 ans, Étienne de La Boétie interroge les mécanismes de la domination pour en révéler le véritable secret : la servitude volontaire. La mise en miroir de ces deux spectacles propose une soirée vivifiante, qui alerte la société sur le risque d'un glissement imperceptible vers l’endormissement.

La performance coup de poing du comédien Henri Botte est tout bonnement époustouflante. — Liberté Hebdo.François Clavier campe un La Boétie impressionnant. L’acteur (…) fait vivre, mot par mot, la stupéfiante modernité de ce texte. — L’Humanité.

naz : texte Ricardo Montserrat. adaptation et mise en scène Christophe Moyer. avec Henri Botte. Vidéo Jérémie Bernaert. régie Yann Hendrickx coproduction Culture Commune – Scène Nationale du Bassin Minier du Pas-de-Calais, Colères du présent, Ville de Grenay, Ville de Carvin et L’Escapade d’Hénin-Beaumont, l'ACSÉ.discours… : texte Étienne de la Boétie. traduction Séverine Auffret (Éditions Fayard). adaptation et mise en scène Stéphane Verrue. avec François Clavier. Lumières David Laurie. costumes Alfio Scalisi. Production Compagnie AVEC VUE SUR LA MER. remerciements à La Comédie de Béthune, CDN Nord-Pas de Calais. avec le soutien de la Région Nord-Pas de Calais, la DRAC Nord-Pas de Calais, le Conseil Général du Pas de Calais et la Ville d’Arras.

un buffet dînatoire organisé par le Lycée d'hôtellerie et de tourisme de saint-Quentin-en-yvelines sera offert au public entre les deux spectacles.

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mercredi 20 mars à 14hjeudi 21 mars à 19h30tarif B

durée : 1h15

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Aya est une petite fille heureuse. Mais la vie ne lui fait aucun cadeau. Son père et sa sœur périssent dans l'incendie criminel de leur immeuble. Son frère est ensuite foudroyé par une méningite. Élevée par sa mère dans le respect du danbé, la dignité en malinké, elle apprend à surmonter les épreuves. Adolescente, Aya trouve refuge dans la boxe. Elle combat le drukutu, le malheur, pour s’inventer sa propre vie. Elle devient championne du monde ! À travers l’histoire vraie d’une héroïne de tragédie contemporaine racontée avec simplicité et sans pathos, ce concert narratif sous casque plonge les spectateurs dans une immersion sonore pour une expérience sensorielle inouïe.

texte Aya Cissoko et Marie Desplechin (Édition Calmann-Levy). adaptation Olivia Kryger. création musicale et sonore Pierre Badaroux et Laurent Sellier. avec Pierre Badaroux, Olivia Kryger et Laurent Sellier. régie Frédéric Gillmann.

Production Compagnie (Mic)zzaj. coproduction La Cité Nationale de l'Histoire de l'Immigration (CNHI) Paris, La Traverse le Bourget du Lac, La Ferme de Bel Ébat – théâtre de Guyancourt, La Scène Nationale de Macon et le Carré Belle Feuille Boulogne. avec le soutien de la DRAC Rhône Alpes, le Conseil Général de la Savoie et Le Bateau Feu, Scène Nationale de Dunkerque.

en partenariat avec La maison de la Poésie de saint-Quentin-en-yvelines dans le cadre du Printemps des Poètes et de la 6e Biennale de la Poésie / Poètes du monde et avec La Batterie – pôle musiques de guyancourt dans le cadre du Temps des Femmes.

séances scolaires : jeudi 21 mars à 9h45 et 14h.

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vendredi 22 mars à 20h30Tarif B

durée : 1h

Pierre Badaroux / catherine deLaunay / Laurent seLLier

Ce concert poétique offre un florilège de textes sur le thème de l'enfance : les commencements, les apprentissages du monde entre blessures et émerveillements, appétit de vivre et affrontement à la réalité rugueuse. Les poèmes, à travers le dispositif toujours surprenant d'écoute au casque, viennent se blottir au creux de l'oreille. Ici, le casque n'isole pas. Exhausteur de sensations auditives, il ouvre la porte sur l'imaginaire et permet les nuances les plus subtiles. À la croisée du concert, de l’œuvre radiophonique et de l’installation, une expérience sonore et émotionnelle étonnante.

textes Jean-Pierre Siméon, Philippe de Boissy, David Dumortier, Kiki Dimoula, Jean-Pierre Verheggen, Mou’ln Bissou, Nazim Hikmet, Sipho Sepamla, Léon-Gontran Damas, Guy Tirolien, René de Obaldia, Norge, Victor Hugo, Jean L’Anselme, Nathalie Quintane, Roberto Juarroz, Andrée Chedid, Jacques Gaucheron, Alain Bosquet, Paul Valet, Vladimir Maïakovski, Philippe Jaccottet, Arthur Rimbaud et Ito Naga. dramaturgie Célia Galice. composition musicale et sonore Pierre Badaroux, Catherine Delaunay, Laurent Sellier. avec Pierre Badaroux, Arnaud Decarsin, Catherine Delaunay, Guillaume Durieux et Laurent Sellier. régie Frédéric Gillmann.

Production Compagnie (Mic)zzaj avec le soutien du Printemps des Poètes – Création 2012.

en partenariat avec La maison de la Poésie de saint-Quentin-en-yvelines dans le cadre du Printemps des Poètes et de la 6e Biennale de la Poésie / Poètes du monde et avec La Batterie – pôle musiques de guyancourt.

séance scolaire : vendredi 22 mars à 14h.

À L'imPossiBLeon est tenu

c o n c e r tP o é t i Q u e

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samedi 23 mars18h : Le Marteau / 20h30 : Le Ballon ovaleau Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelinestarif A / carte FBE

durée : 1h / 1h

judith dePauLe

À l’heure de la parité, une femme peut-elle pratiquer un sport estampillé viril sans attirer la méfiance sur sa féminité ? Caméra au poing, Judith Depaule a suivi la première championne olympique de lancer du marteau et des joueuses de rugby sur le terrain. Il en résulte un spectacle percutant qui tord le cou aux préjugés ! Sur la scène transformée en terrain de jeu, la comédienne s’approprie les mots des sportives interviewées sur leur rapport à la féminité, à l’effort physique, tout en restituant leur gestuelle avec une précision incroyable.

Le marTeau : mise en scène et conception Judith Depaule. dramaturgie Thomas Cepitelli. avec Marie de Basquiat. musique Laurent Dailleau. Lumières Bruno Pocheron. Programmation, régie vidéo et son Dariusz Makaruk. Vidéo Mateusz Wajda. costumes Cyprian Medard Cieslinski. Production Mabel Octobre. coproduction Teatr Polonia à Varsovie (Fondation Krystyna Janda). avec le soutien de l’ambassade de France à Varsovie, de l’Institut Français de Varsovie, du Goethe Institut de Varsovie, de Polonik, du festival Moving Closer.

Le BaLLon ovaLe : mise en scène et conception Judith Depaule. assistante à la mise en scène Maylis Laharie. avec Cécile Musitelli. musique Laurent Dailleau. Lumières Bruno Pocheron. régie vidéo Olivier Heinry. Prises de vues Denis Gaubert, Jordane Chouzenoux. costumes Ultra Petita. son Julien Fezans. réalisation décors Samuel Carneiro. Production Mabel Octobre. coproduction Nouveau Théâtre de Montreuil, Confluences, In situ CG 93.

en partenariat avec le théâtre de saint-Quentin-en-yvelines, scène nationale, dans le cadre du Temps des Femmes.

théâtre de saint-Quentin-en-yvelines, scène nationale, Place Georges Pompidou, 78180 Montigny-le-Bretonneux. Spectacle réservé aux détenteurs de la carte de La Ferme de Bel Ébat. Les personnes ne souhaitant pas souscrire à la carte peuvent néanmoins acheter leur place directement dans la salle concernée.

corPs de FemmeLe marteau / Le BaLLon oVaLe

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mercredi 27 mars à 14hsamedi 30 mars à 18htarif B

durée : 1h05

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caroLe thiBaut

Il était une fois… une reine terrible qui, pour protéger ses secrets, interdit dans tout son royaume toute forme de question. Cette reine a deux filles, prisonnières des jupes de leur mère. Élevées dans le respect absolu des règles appliquées à leur sexe et à leur rang, les deux petites princesses aspirent secrètement à d'autres destinées : partir à l'aventure pour l'une ; épouser le petit berger pour l'autre. Le retour de leur marraine, fée quelque peu déglinguée, bouleverse l’ordre instauré et ouvre la voie difficile de la liberté. Carole Thibaut s’inspire des contes de Grimm, Perrault et Andersen pour crée un spectacle baigné de féérie mais dépourvu de toute mièvrerie.

Voilà une histoire originale drôlement bien ficelée. Sa mise en scène, pleine de fantaisie, est de toute beauté et nous embarque dans un monde fantasque. (…) Une création intelligente à découvrir absolument. — Pariscope.

texte et mise en scène Carole Thibaut. avec Betty Bussmann, Astrid Cathala, Sophie Daull, Karen Ramage, Carole Thibaut et Fanny Zeller. assistanat et dramaturgie Karin Bernfeld. scénographie Carole Thibaut et Patricia Labache. Lumières Didier Brun. création sonore Stéphanie Gibert. Bruitages et sons Astrid Cathala. réalisation décor Patricia Labache, Magalie Leportier-Brun, Quentin Ricque, Magalie Pichard et Yves Cohen. création vidéo / animation Carole Thibaut et Marie-Pierre Groud. costumes Magalie Pichard. regard chorégraphique Philippe Ménard.

Production Compagnie Sambre.

dans le cadre du Temps des Femmes.

séances scolaires : mardi 26, jeudi 28 et vendredi 29 mars à 9h45 et 14h.

La représentation du samedi 30 mars sera suivie d'une discussion avec amnesty international.

Les Petites emPêchéeshistoires de Princesses

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moustiQue tigreLes déterritoriaLisations du Vecteur

mercredi 3 avril à 20hà La Maison de quartier Théodore Monodtarif C

Frédéric Ferrer

Une histoire d’amour impossible. Le vecteur, c’est le moustique-tigre. On l’appelle tigre, ce petit moustique, parce qu’il est rayé comme un tigre. Et c’est un vecteur, ce petit moustique, parce qu’il transmet des virus : dengue et chikungunya. Alors les hommes ne l’aiment pas beaucoup. Ils veulent le tuer. Mais c’est très compliqué ça, parce qu'aujourd’hui, ce petit moustique, il se déterritorialise tout le temps ! Pour suivre les hommes, parce que, lui, les hommes, oui, il les aime ! Avec cette troisième cartographie, après Les Vikings et les satellites et À la recherche des canards perdus, Frédéric Ferrer emporte le public dans une épopée improbable entre Asie et Méditerranée, pneus, maladies, aires d’autoroutes et insecticides.

À sa manière, ironique et poétique, Frédéric Ferrer contribue à l’éclosion d’un genre d’art, plus réflexif que directement politique. Un peu à la manière des “jeux sérieux” qui se répandent sur internet, des œuvres en miroir du réel, qui mêlent raison et dérision. — Mediapart.

conception et interprétation Frédéric Ferrer.

Production Vertical Détour, Domaine d’O (Montpellier). Partenaires l’Entente Interdépartementale de démoustication (EID Méditerranée), l’institut de recherche sur le développement (IRD Montpellier), l’Observatoire de l’espace du Centre National d’études spatiales, la Région Île-de-France. avec le soutien de l’Hôpital psychiatrique de Ville-Evrard.

maison de quartier théodore monod, Villaroy, 11, place Pierre Bérégovoy, 78280 Guyancourt.

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samedi 6 avril à 18htarif B

durée : 1h30

iFFra dia / sonia duchesne / anne nguyen

Hors jeux : Iffra Dia, danseur et chorégraphe hip hop, construit une tranche de vie mise à nu. Un homme, éloigné de lui–même, laisse glisser sa vie sans la vivre quand il fait soudain l’expérience d’un son et d’une danse, qui le révèlent, le définissent.

chorégraphie et interprétation Iffra Dia. collaboration artistique Bintou Dembélé. regards extérieurs Christian Lucas, Eric Mezino. Lumières Maël Guiblin. costumes Sarah Veillon. Bande sonore Iffra Dia.

Lastminutes.org : Sonia Duchesne expérimente le corps fantôme, la danse comme oubli de soi et le corps meurtri, rattrapé par le temps. Dans un aller-retour entre le temps doux infini de l’enfance et l’angoisse contractée face à la peur de mourir.

chorégraphie et interprétation Sonia Duchesne. regard extérieur Fabrice Lambert. Lumières Jean-Yves DeSaint-Fuscien. costumes Anouk Péré.

Yonder Woman : Anne Nguyen et Valentine Nagata-Ramos s’inventent un labyrinthe parsemé d’épreuves au sein duquel elles progressent par saccades dans un jeu de dépassements. Les corps révèlent et transforment les tensions intérieures liées au mode de vie contemporain.

chorégraphie Anne Nguyen. avec Anne Nguyen, Valentine Nagata-Ramos. conseil artistique Vincent Rivard. musique Benjamin Magnin. Lumières Ydir Acef. costumes Catherine Petit.

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hors jeux Lastminutes.orgyonder woman

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Les amours VuLnéraBLesde desdémone et otheLLo

vendredi 12 avril à 20h30tarif A

durée : 2h

wiLLiam shaKesPeare razerKa Ben sadia-LaVant

Accompagnée d'interprètes exceptionnels, Razerka Ben Sadia-Lavant ausculte la tragique histoire d'amour d’Othello et Desdémone. Elle fouille dans l'œuvre de Shakespeare pour en extraire la quintessence. À travers un fructueux dialogue des cultures, où s'embrassent la musique, le théâtre et la danse, elle met en scène l'affrontement entre l'amour et la haine, la fragilité de la civilisation face à la brutalité, à la barbarie : "Je veux montrer dans la fin tragique d'Othello la destruction de la civilisation, de l’autre, de soi. L’amour nous élève, mais il peut aussi nous conduire à la barbarie. Donner à voir ces deux mouvements, et comment l’un passe dans l’autre, est pour moi essentiel."

Razerka Ben Sadia-Lavant ose une distribution peu orthodoxe, parie sur le mélange des genres avec un enthousiasme et une fraîcheur des plus surprenants, ne s'embarrasse pas des conventions, s'amuse des possibilités infinies de la pièce d'un regard contemporain, acéré. — L'Humanité.

texte Razerka Ben Sadia-Lavant et Manuel Piolat-Soleymat (d’après Othello, le Maure de Venise de William Shakespeare. conception et mise en scène Razerka Ben Sadia-Lavant. avec Teresa Acevedo, Clovis Fouin, Alexandra Fournier, Denis Lavant, Reda Oumouzoune, Sapho, Bruno Sermonne, Alexandre Théry, Anisia Uzeyman et Saul Williams. assistante à la mise en scène Soline De Warren. dramaturgie Razerka Ben Sadia-Lavant en collaboration avec Pierre Lauret. scénographie Laurent P. Berger. costumes Éric Martin. Lumières Jaufré Thumerel. chorégraphie des combats Reda Oumouzoune. musique Mehdi Haddab. chant Sapho.

Production déléguée Théâtre de Nîmes. coproduction (en cours) Théâtre Nanterre-Amandiers, Scène Nationale de Sète et du Bassin de Thau, Théâtre de l’Archipel, Perpignan, Compagnie Objet Direct, La Ferme de Bel Ébat – théâtre de Guyancourt. décor réalisé dans les ateliers du Théâtre de Nîmes.

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tutti tutti

samedi 13 avril à 11h à la Maison de quartier Auguste Renoirmercredi 17 avril à 10h à la Maison de quartier Théodore Monoddimanche 21 avril à 11h à la Maison de quartier Joseph Kosmatarif C


deLPhine noLy

Il y a une kora* avec un drôle de ventre et une conteuse qui raconte de drôles d’histoires… Au programme, un pou, une puce, trois chats, cinq oiseaux, un château fort très sonore et des enfants explorateurs du monde qui n’ont même pas peur ! Le tout en rythme et en musique pour les grands et les petits.

* Kora : Harpe luth d’Afrique de l’ouest.

de et par Delphine Noly.

Production Compagnie de la Tortue.

séances scolaires : jeudi 11 et vendredi 12 avril à 9h30 et 10h30 à la maison de quartier auguste renoir. mardi 16 avril à 9h30 et 10h30 à la maison de quartier théodore monod. Lundi 22 et mardi 23 avril à 9h30 et 10h30 à la maison de quartier joseph Kosma.

maison de quartier auguste renoir, Les Saules, Place Vincent Van Gogh, 78280 Guyancourt.maison de quartier théodore monod, Villaroy, 11, place Pierre Bérégovoy, 78280 Guyancourt.maison de quartier joseph Kosma, Les Garennes, 4, place Jacques Brel, 78280 Guyancourt.


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sage comme un oragecontes, Kora et chants Pour enFants turBuLents

samedi 13 avril à 15h à la Maison de quartier Auguste Renoirmercredi 17 avril à 14h à la Maison de quartier Théodore Monoddimanche 21 avril à 15h à la Maison de quartier Joseph Kosmatarif C


deLPhine noLy

Delphine Noly embarque le jeune public avec jubilation au cœur de la transgression, à la rencontre de héros singuliers et troublants. Cet hymne pétillant à l’enfant curieux et trublion raconte comment filles et garçons grandissent en explorant leurs limites et en questionnant sans cesse le monde. À travers ses histoires à la fois tendres et cruelles, réinventées à partir de contes traditionnels, de récits urbains ou personnels, la conteuse porte son regard d’adulte sur la turbulence des enfants. Et elle se souvient bien d’avoir été l’une d'entre eux. Une enfant sage comme un orage.

Tout cela est joliment et franchement dit et conté, avec l’exagération qui sied à l’imaginaire. Comme pour mieux faire comprendre aux enfants (et aux parents) que "si les enfants ne posaient pas autant de questions, qui ferait avancer le monde ?" — Centre France.

de et par Delphine Noly. regard artistique et mise en espace Abbi Patrix. collaboration et aide à l’écriture Praline Gay-Para. Lumières Sam Mary. scénographie Silvio Crescoli. costumes Laurence Garcia. remerciements Linda Edsjö, Haïm Isaac, Laure Terrier, Jean-François Vrod.coproduction Compagnie du Cercle, Compagnie de la Tortue, La Maison du Conte de Chevilly-Larue. avec l’aide à la production dramatique de la DRAC Franche-Comté.

séances scolaires : jeudi 11 avril et vendredi 12 avril à 14h à la maison de quartier auguste renoir. mardi 16 avril à 14h à la maison de quartier théodore monod. Lundi 22 et mardi 23 avril à 14h à la maison de quartier joseph Kosma.

maison de quartier auguste renoir, Les Saules, Place Vincent Van Gogh, 78280 Guyancourt.maison de quartier théodore monod, Villaroy, 11, place Pierre Bérégovoy, 78280 Guyancourt.maison de quartier joseph Kosma, Les Garennes, 4, place Jacques Brel, 78280 Guyancourt.


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comme Le chien

vendredi 19 avril à 20h30tarif B

durée : 1h30

François chaFFin

Poème rock pour chœur énervé, librement inspiré par Les Bacchantes. La reine Équation et son conseiller Monsieur Disney décident, pour tempérer les remous d’un peuple en colère, d’ériger un grand parc d’attractions : L’Olympe. Mais un étrange étranger est là, Dionysos. Sa présence trouble et sa parole insoumise détraquent le processus de divertissement populaire. Le jour de l’inauguration, cet enchanteur saccage l’Olympe et le pouvoir, semant le chaos dans une folie joyeuse d’où peut-être jailliront les fondements d’une humanité retrouvée.

Une langue puissante (…) propre à redonner la vue aux aveugles et la conscience aux endormis. Magnifique ! — La Dépêche du Midi.

texte, mise en scène et lumières François Chaffin (inspiré par Les Bacchantes d’Euripide). guitares et musiques machinales Benjamin Coursier. avec Serge Barbagallo, Thierry Barthe, Rebecca Bonnet, Julien Defaye et Céline Liger. esthétique sonore Denis Malard. construction Paco Galan.

Production Théâtre du Menteur. coproduction Scène nationale de Dieppe, ville de La Norville, Saint-Germain-lès-Arpajon, Arpajon, Morsang sur Orge. avec le soutien du Théâtre Victor Hugo de Bagneux, du service culturel de la ville de Marcoussis et de la SPEDIDAM.

Le représentation sera précédée de la restitution de l'atelier de redynamisation dirigé par François chaffin (voir page 93).

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mercredi 24 avril à 20h30tarif B

durée : 1h

PePito mateorenaud cojo / daVid gauchard

anne-Laure Liegeois / syLVain maurice / juLien meLLanoFaBrice murgia / nathaLie Pernette

Révoltés en tous genres, affabulateurs, étranges savants, scientifiques allumés, mystiques, etc. Touché par les parcours marginaux des "fous littéraires", le conteur Pépito Matéo crée une galerie singulière de personnages qui tiennent debout par le langage et prennent leur envol. Tranches de vies sur le vif. Sept monologues univoques, sept partis pris d’écriture, sept personnages et sept metteurs en scène. La solitude, l’absence, la misère, la guerre, le mysticisme, la mort et l’humour toujours à fleur de peau. Sept ingrédients pour une tentative d’équilibre entre les langues estropiées et le langage poétique.

Chef de file de la nouvelle génération des conteurs avec Yannick Jaulin et Abbi Patrix, Pépito Matéo aime brasser les remous de la vie contemporaine. (…) Matéo est un vrai parleur, enrobant, malin, mais c’est en même temps un étrange écrivain qui imbrique le fait vrai, la mythologie, la sociologie, l’attaque directe, le plaidoyer, l’anecdote joyeuse, la citation et la distorsion poétique. — Politis.

texte Pepito Mateo. mise en jeu Renaud Cojo, David Gauchard, Anne-Laure Liegeois, Sylvain Maurice, Julien Mellano, Fabrice Murgia et Nathalie Pernette. avec Pepito Mateo.

Production déléguée Ici-Même, Rennes (35).

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La ParaBoLe

vendredi 17 mai à 20h30tarif B

durée : 1h15

josé PLiya PascaL antonini

Un homme a deux fils. Le plus jeune demande à son père sa part d’héritage. Il la dissipe très vite dans une vie de débauche. Puis il revient contrit et son père lui pardonne. Voilà ce que l’on retient généralement de la parabole du fils prodigue. On oublie cependant la révolte de l’aîné, le fils qui n’est jamais parti et qui refuse de participer aux réjouissances organisées pour célébrer le retour de son cadet : "Il y a tant d’années que je te sers sans avoir jamais contrevenu à ton commandement, et tu ne m’as jamais donné un chevreau pour me réjouir avec mes amis."

C'est un monde brut que nous livre le texte, un monde qui évoque le vol d'Icare, cette peinture de Brughel où celui qui a voulu voler s'abîme dans les profondeurs de la mer Egée, tandis que l'homme et son bœuf à l'avant du tableau, le dos courbé, le regard rivé au sol, enfonce imperturbable la charrue dans la terre. — Afrique Culture

mise en scène et scénographie Pascal Antonini. avec Claude-Bernard Perot, Bruno Ouzeau, Éric Verdin. musique Christine Kotschi. Lumières Julien Barbazin.

Production Compagnie Périphériques. avec le soutien de l'Espace Lino Ventura et de la ville de Garges-les-Gonesse, le Théâtre de Belleville et La Ferme de Bel Ébat – Théâtre de Guyancourt.

séances scolaires : jeudi 16 et vendredi 17 mai à 14h.

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un Petit huBLot de cieL

mercredi 22 mai à 10hsamedi 25 mai à 11hà La Maison de la Poésietarif C


juLes suPerVieLLejean-cLaude oLeKsiaK / catherine morVan

La lanterne vive projette la lumière d'une aurore et c'est la vie animale qui commence. Un arbre se dresse puis se transforme en écrevisse qui s'efface dans le sable. Morceaux d’écorces, bouts de bois, brindilles, coquillages, galets, fleurs et feuilles au vent se transforment à vue pour raconter leurs histoires. Une journée passe ainsi, au son des instruments de musique. La poésie de Jules Supervielle ouvre encore un peu plus les portes de l'imaginaire. Prendre le temps de se poser devant un petit hublot de ciel, c’est se donner à la poésie de la nature, tout simplement.

Ce spectacle tient en équilibre entre silence, musique et mots. (...) C'est à une contemplation douce que ce "petit hublot" nous convie. Il est a priori destiné aux très petits, mais il pourrait s'avérer, pour les plus grands, un beau moment d'attente paisible. — Paris Mômes.

texte Jules Supervielle (Éditions Gallimard). mise en scène Catherine Morvan. musique Jean-Claude Oleksiak. avec Catherine Morvan et Jean-Claude Oleksiak.

Production Compagnie Les Bruits de la lanterne. avec le soutien de la MAC (Maison des Arts de Créteil) et du Centre de recherche théâtrale du Catelier en Normandie.

en partenariat avec La maison de la Poésie de saint-Quentin-en-yvelines.

séances scolaires : mardi 21, jeudi 23 et vendredi 24 mai, à 9h30 et 10h30.


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Les enFants

jeudi 23 mai à 19h30vendredi 24 mai à 20h30entrée libre

edward Bond eLsa granat

Une mère abusive demande à son fils de mettre le feu à une maison. Dans l'incendie, un enfant meurt. Le garçon s'enfuit alors, accompagné de sa bande de copains, pour un long périple à travers un univers en désolation. Une longue errance en quête de sa propre humanité : J’ai tout. Je suis la dernière personne au monde. Je dois trouver quelqu’un. Edward Bond consacre son génie dramatique à la jeune génération, afin de lui offrir des outils pour comprendre le monde. Il invite les adultes à observer les enfants, car ils nous apprendraient à remplacer la vengeance par la justice, la colère par le respect de l’autre, à prendre la responsabilité de nos erreurs. Il affirme que le théâtre doit servir à fermer les prisons, sinon il faut fermer les théâtres.Elsa Granat met en scène Les Enfants avec un groupe de collégiens et lycéens issus de plusieurs établissements scolaires de Guyancourt et d’autres communes de Saint-Quentin-en-Yvelines.

texte Edward Bond. traduction Jérôme Hankin (L’Arche éditeur). mise en scène Elsa Granat. distribution en cours.

Production Compagnie L’Envers des Corps. coproduction La Ferme de Bel Ébat – théâtre de Guyancourt.

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caBaret PoéLitiQue #21résistance(s) + good Bye schLÖndorFF

mardi 28 mai à 20hentrée libre

Au singulier et avec une capitale, le terme est historiquement connoté. Quand il redevient commun, il porte souvent la marque du pluriel. La résistance est multiple, diversifiée, avec ou sans raison, selon que l’on se situe du côté des opposants ou du pouvoir, qu’il soit politique, moral, économique ou religieux, … Poètes et politiques débattront sans fard de ce sujet qui inquiète autant qu’il fascine, qui intrigue autant qu’il focalise.

La soirée se prolongera avec Good Bye Schlöndorff – correspondances sonores d'une guerre falsifiée. Cette performance audiovisuelle mêle lettres intimes enregistrées sur casette magnétiques, compositions musicales aux mélodies acidulées et extraits du film le Faussaire de Volker Schlöndorff. Un voyage dans l’univers de la guerre des années 80 au Liban.

maram al masri, poète syrienne, auteure de La Robe froissée (Édition Bruno Doucey, 2012) et de Les Âmes aux pieds nus (éditions Le Temps des Cerises), Prix PoésYvelines des collégiens 2011.

tahar Bekri, poète tunisien, auteur de Je te nomme Tunisie (Éditions Al Manar, 2011).

rayess Bek (conception et machines), naissam jalal (flûte traversière) et yann Pittard (Oud).

Un ou des représentants d'amnesty international.

Un débat animé par catherine Pont-humbert, productrice à France Culture.

en partenariat avec La maison de la Poésie de saint-Quentin-en-yvelines.good bye schlondorff bénéficie du soutien à la diffusion d'arcadi.

Buffet dinatoire organisé par le lycée d'hôtellerie et de tourisme de saint-Quentin-en-yvelines.


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Le médecinVoLant

vendredi 31 mai à 20h30tarif B

durée : 1h15

moLière sandrine angLade

Lucile et Valère s'aiment. Gorgibus, vieux barbon avare et autoritaire, destine sa fille à un vieillard fortuné. Les jeunes amoureux mettent en place un stratagème pour détourner le projet paternel : Lucile simule la maladie. Sganarelle, le facétieux valet de Valère, se fait alors passer pour un médecin extraordinaire. Il ordonne la convalescence à la campagne de la jeune fille pour permettre aux amoureux de se retrouver plus aisément. Une farce réjouissante, inscrite dans la tradition de la commedia dell’arte, dont la mise en scène demeure fidèle à l'esprit du théâtre de tréteaux. Quiproquos, retournements de situations et métamorphoses spectaculaires sont au rendez-vous de ce spectacle à voir en famille.

texte Molière. mise en scène Sandrine Anglade. avec Olivier Broda, Marie-Julie De Coligny, Cédric Joulie et Anne-Laure Pons. scénographie Claude Chestier. costumes Claude Chestier et Julie Lardrot. masques Julie Lardrot. création sonore Michaël Grébil. Lumières Éric Blosse. régie Gilles Gaudet.

Production déléguée Maison de la Culture de Nevers et de la Nièvre. coproduction MCNN – Maison de la Culture de Nevers et de la Nièvre, Compagnie Sandrine Anglade, Ferme de Villefavard en Limousin.

en partenariat avec La Batterie – pôle musiques de guyancourt et le théâtre de saint-Quentin-en-yvelines, scène nationale.

spectacle accompagné par les élèves de l’école de musique de guyancourt sous la coordination de marc dormont (professeur de viole de gambe).

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La caPtureLa sonnerie d’un téléphone portable tombé de la poche d’un promeneur trouble le calme de la forêt. Carpinus et Fayard, deux Farfeuillus (espèces disparues de gardiens des arbres) se réveillent. En colère, effrayés puis fascinés par cet étrange objet, ils appuient soudain sur une touche. Une voix emplit alors l’espace. Celle d'un enfant : Allo ! maman ?

texte Étienne Guichard et Marie Paule Guillet. mise en scène Étienne Guichard. avec Marie Paule Guillet et Pierre Ficheux. costumes Sylvie Berthou. création Vidéo et technique Philippe Séon. Production Théâtre du Sable. avec le soutien de la Communauté d’Agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines et du Conseil Général des Yvelines. 2 représentations scolaires à l’espace decauville de Voisins-le-Bretonneux le jeudi 21 février 2013 à 9h45 et 14h.

Le chat et La tartineCette conférence clownesque repose sur la magie et quelques questions (im)pertinentes : Pourquoi une tartine beurrée tombe toujours du côté beurré ? Pourquoi les chats retombent systématiquement du côté de leurs pattes ? Que se passe-t-il si on ficelle une tartine beurrée sur le dos d’un chat ? Il s'agit, autour de ces questions et de l’univers magique qui entoure les réponses, de donner aux jeunes spectateurs l'idée de ce qui est réel ou magique. Ce spectacle ludique suscite une réflexion autour du vrai et du faux, en aiguisant le sens critique des jeunes spectateurs.

conception et interprétation Norbert Aboudarham. Production Compagnie 400 pages – Théâtre quAntique. Projet développé à l'initiative de Créat'yve dans le cadre d'Antigel, festival d'humour des Yvelines.6 représentations dans les collèges et lycées de guyancourt.

FestiVaL de théâtre amateurLa Ferme de Bel Ébat invite du 26 au 30 juin 2013 les associations de théâtre amateur de Guyancourt à présenter le fruit du travail de l'année.

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Les arts À L'écoLeLe festival Les arts à l'école constitue la face visible du travail conséquent accompli toute l’année en faveur de l’éducation artistique en relation avec les artistes qui jalonnent nos saisons et les enseignants qui nous accordent leur confiance.La Ferme de Bel Ébat organise en effet de nombreux ateliers de pratique artistique dans les établissements scolaires de la maternelle au lycée, les établissements médicaux éducatifs ou les centres de loisirs. Du 4 au 11 juin 2013, le théâtre de Guyancourt offre l’opportunité aux élèves de répéter sur sa scène afin de proposer des restitutions dans des conditions professionnelles. Cette visibilité a lieu sur le temps scolaire à destination des élèves des autres classes et en soirée à destination des familles.avec le soutien de l’inspection académique, du rectorat de Versailles et de la drac Île-de-France.

emmenez Vos enFants au sPectacLe !Pour la septième année consécutive, cette invitation est lancée pour découvrir plus de 80 spectacles destinés au jeune public et proposés dans 20 lieux de l’agglomération. Les acteurs culturels de Saint-Quentin-en-Yvelines mettent en commun leurs propositions dans le cadre d’une programmation jeune public et vous permettent de découvrir des spectacles : théâtre, cirque, danse, musique, marionnettes, conte, poésie …De la petite enfance à l’adolescence, le spectacle vivant s’adresse à tous, familles, enseignants, animateurs, éducateurs. Pour éveiller la curiosité des plus jeunes, des actions culturelles sont aussi proposées autour de certains spectacles. Elles sensibilisent les enfants et accompagnent les professionnels de l’enfance et de l’adolescence dans leurs démarches pédagogiques. Programme complet sur www.jeunepublic-sqy.frLa saison jeune public à saint-Quentin-en-yvelines est organisée par : L’espace culturel decauville – Voisins-le-BretonneuxL’estaminet café culture – Magny-les-HameauxLa Ferme de Bel-ébat – GuyancourtLa Ferme du mousseau – ÉlancourtLa maison de l’environnement, des sciences et du développement durable – Saint-Quentin-en-YvelinesLa maison de la Poésie – Saint-Quentin-en-Yvelines La merise - trappes / / Le ciné 7 – ElancourtLe grenier à sel – TrappesLe Prisme – Saint-Quentin-en-YvelinesLe réseau des médiathèques de saint-Quentin-en-yvelinesLe scarabée – La VerrièreLe théâtre de saint-Quentin-en-yvelines, scène nationale.La saison jeune public est coordonnée par la communauté d’agglomération de saint-Quentin-en-yvelines.

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tous les ateliers sont gratuits. ils sont néanmoins réservés aux détenteurs de la carte de La Ferme de Bel ébat assistant à au moins quatre spectacles dans la saison (à l'exception du stage de redynamisation et de l'atelier d'écriture, qui n'impliquent obligatoirement que l'achat d'une place pour le seul spectacle auxquels ils se réfèrent.).

ateLier d'écriture. La Maison de la Poésie de Saint-Quentin-en-Yvelines propose le temps d'un week-end entier un atelier d'écriture animé par la romancière et poète Marie-Florence Ehret, auteure d'une trentaine d'ouvrages, autour de la création du spectacle Littlematchseller / Petite marchande d'allumettes de Nicolas Liautard : la misère, la solitude, la nuit, la lumière (même vacillante), l’espoir, … Les textes seront édités par la Maison de la Poésie dans une brochure, qui sera distribuée aux spectateurs.samedi 8 et dimanche 9 décembre 2012 de 10h à 17h à la maison de la Poésie, 10 place Pierre Bérégovoy, guyancourt. apportez à manger, nous vous offrons la boisson et le café. renseignements et inscription à la maison de la Poésie au 01 39 30 08 90 ou sur [email protected].

Le temPs des Femmes. destiné à un public féminin adulte, cet atelier dirigé depuis deux saisons par Aurélie Van Den Daele se fonde sur de nombreux supports. II aborde des thèmes liés à la situation de la femme au travail, dans la société d’ici ou d’ailleurs, d’avant, de maintenant et peut-être de demain. Les mardis (hors vacances) de 19h à 22h, du 13 novembre 2012 au 19 mars 2013 à la maison de quartier auguste renoir. date de la restitution publique à déterminer. renseignements et inscription à La Ferme de Bel ébat au 01 30 48 33 44.

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cheBLan genei et Les sePt naines. Vous avez aimé Yondricen ? Vous allez adorer Cheblanc Genei et les sept naines. Le prince est obligé de se réfugier dans la forêt pour fuir son beau-père qui veut le tuer depuis que son miroir magique lui a révélé que le jeune homme était plus beau que lui. Heureusement, il tombe sur sept naines qui chantent en rentrant du boulot… Destiné aux enfants de 8 à 10 ans, cet atelier dirigé par Elsa Granat aborde la perception de la femme dans les contes traditionnels en inversant les rôles, une façon ludique de se mettre à la place de l'autre pour tenter de mieux le comprendre.dates et lieux à déterminer. en partenariat avec le centre social Pasteur. représentation le 17 mars 2013 à 16h à La Ferme de Bel ébat dans le cadre du Temps des Femmes. renseignements et inscription au centre social Pasteur au 01 30 43 00 35.

ateLier de redynamisation. destiné à des personnes en rupture avec le monde du travail, cet atelier vise à redonner assurance et confiance en soi grâce aux outils du théâtre : travail corporel, technique vocale, improvisation, écriture... L'atelier sera animé par François Chaffin, auteur et metteur en

scène de Comme le chien. Sans emploi, comment se divertir pour pas cher ! Pour faire face aux dépenses exponentielles engendrées par des loisirs toujours plus coûteux, le chômeur est peut-être sans ressource, mais pas sans idée... Son esprit créateur autant que son désir inventif seront travaillés joyeusement au sein de cet atelier afin d'accueillir les spectateurs de La Ferme de Bel Ébat pour une kermesse du low cost, un carnaval discount, et montrer au monde que l'on peut bien s'amuser sans ruiner autre chose que les idées reçues... du lundi 8 au vendredi 19 avril de 9h à 13h avec restitution en première partie de Comme le chien le 19 avril à 19h30. en partenariat avec le service emploi de la ville de guyancourt. renseignements et inscription à La Ferme de Bel ébat au 01 30 48 33 44.

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ateLier de création "Les enFants". Edward Bond écrit en direction des jeunes pour leur donner des outils de compréhension du monde. Les enfants portent un désir premier, entier, celui inné de la volonté de justice. Mais autour d'eux : la violence et les contradictions. Et il n’y pas d’ailleurs, pas de monde imaginaire où se réfugier. Seulement celui-là, bien réel. Comment l’habiter en être humain ? Le dramaturge anglais utilise des situations fondamentales, simples et extrêmes, qui permettent de se découvrir soi-même à chaque décision prise sur le plateau avec pour seul outil l’imagination. Elsa Granat dirigera cet atelier de création avec une quinzaine de jeunes âgés de 12 à 15 ans et deux comédiens adultes. atelier hebdomadaire les mercredis de 16h à 18h du 9 janvier au 24 avril et résidence de création du 2 au 12 mai. représentations le 23 mai 19h30 et le 25 mai à 20h30 à La Ferme de Bel ébat. renseignements et inscription au 01 30 48 33 44.

ateLier de création "être ici". Où habitez-vous ? Vraiment ? Depuis combien de temps ? Qu'est ce que vivre ici ? Qu'est ce que cela représente ? Vous êtes ici ? Cet atelier de création propose aux guyancourtois d'enquêter sur et dans la ville. Deux groupes (-30 ans / +30 ans) confronteront leurs visions, échangeront sur leurs perceptions d'habitants et joueront aux géologues, sociologues, ethnologues, martiens, historiens pour rendre compte sur scène en fin de saison de leurs investigations. L'atelier sera dirigé par Stéphane Schoukroun, comédien, et Pascal Bricard, vidéaste (compagnie Vertical Détour).atelier mensuel d'octobre 2012 à janvier 2013 le 3e samedi de chaque mois (un groupe de 10h à 13h et l'autre de 14h à 17h) puis bi-mensuel de février à juin, les 2e et 4e jeudis de chaque mois de 19h30 à 22h30. représentation(s) dans le cadre du festival de théâtre amateur de guyancourt à La Ferme de Bel ébat entre le 26 et le 30 juin 2013. renseignements et inscription au 01 30 48 33 44.

ateLier de création sonore. Pierre Badaroux et Laurent Sellier, compagnie (mic)zzaj, proposent un atelier de création sonore durant les vacances d'hiver à destination d'une quinzaine de jeunes adolescents. Les réalisations sonores feront l'objet d'une diffusion publique lors des représentations du concert poétique sous casques À l'impossible on est tenu le vendredi 22 mars 2013.du lundi 11 au vendredi 15 mars 2013, tous les matins de 9h à 12h à La Ferme de Bel ébat. renseignements et inscription au 01 30 48 33 44.

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tous les stages sont gratuits. ils sont néanmoins réservés aux détenteurs de la carte de la Ferme de Bel ébat assistant à au moins quatre spectacles dans la saison et sont prioritairement réservés aux amateurs inscrits auprès des associations de théâtre ou danse de guyancourt.

stage de danse hiP-hoP. Iffra Dia place au cœur de sa démarche de danseur et de chorégraphe le décloisonnement des styles et des genres : hip-hop, contemporain, africain et jazz. Il propose un stage chorégraphique, qui s’appuie sur les capacités d’improvisation, d’écoute et de composition des jeunes danseurs. Une approche générale de la danse hip hop via l’acquisition des éléments techniques de base. samedi 23 et dimanche 24 février 2013 de 14h à 17h à La Ferme de Bel ébat. renseignements et inscription au 01 30 48 33 44.

stage d'initiation au conte. Pepito Mateo propose une sensibilisation à l’art du conteur par le biais d’un travail sur le corps et la voix, l’utilisation de l’espace, la relation aux autres, à partir d’exercices sensoriels sur les images et des jeux d’expression orale autour de la langue. Il s’agit de trouver, au-delà des recettes, la manière à soi de conter.

date, horaire et lieux à déterminer en fonction des participants. renseignements et inscription au 01 30 48 33 44.

stage d'initiation À La commedia deLL'arte. Anthony Magnier, metteur en scène et interprète de Cyrano de Bergerac, fondateur et directeur de la compagnie Viva la commedia, animera avec les comédiens de sa troupe des stages destinés aux amateurs souhaitant découvrir la commedia dell'arte. Ce stage regroupe quatre points de travail : initiation autour d’un texte, initiation aux masques, découverte du mime et improvisation.en février 2013. date, horaire et lieux à déterminer en fonction des participants. renseignements et inscription au 01 30 48 33 44.

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Pour VenirPar les transports en commun RER C direction Saint-Quentin-en-Yvelines, ou train depuis Montparnasse ou La Défense, jusqu’à Saint-Quentin-en-Yvelines. Bus APTR SQYBUS n°467, arrêt Guyancourt Village. Prendre la rue du Grand Noyer (3e à gauche).

Par l’autoroute a86 A86 direction Versailles, sortie Saint-Quentin-en-Yvelines. Prendre la D127 direction Guyancourt Centre, sortie Centre Ville.

de Paris, Porte d’auteuil A13 direction Rouen, A12 direction Saint-Quentin-en-Yvelines, N286 direction Evry-Versailles. Sortie Guyancourt. Direction Guyancourt Centre, sortie Centre Ville.

La Ferme de Bel ébat se trouve sur la place derrière l’hôtel de Ville.

sur PLaceRéservations et retraits des billets du mardi

au vendredi (hors périodes de vacances scolaires)de 14h à 18h ou deux heures avant la représentation

sur le lieu du spectacle.Nocturne les jeudis jusqu'à 20h (sous réserve).

sur Le site internetwww.lafermedebelebat.fr

Paiement en ligne sécurisé. Surcoût de 1m par transaction.

Par téLéPhoneau 01 30 48 33 44

du mardi au vendredi (hors périodes de vacances scolaires) de 14h à 18h. N'hésitez pas à laisser un message

sur le répondeur en dehors de ces périodes !

Par [email protected]

Par courrierRéservations accompagnées du chèque à l’ordre de

La régie des recettes de La Ferme de Bel Ébat à poster àLa Ferme de Bel ébat (réservations),

mairie de guyancourt, BP 32, 78041 guyancourt cedex.

Les billets sont à retirer sur place au moins 30 minutes avant le début des représentations. Le règlement doit intervenir dans la semaine suivant la réservation. Les billets achetés ne sont ni repris ni échangés. Un justificatif récent devra obligatoirement

être présenté au guichet pour les tarifs réduits et spéciaux.Le placement est libre. Conditions générales de vente sur le site

www.lafermedebelebat.fr. La salle est accessible aux personnes à mobilité réduite.

Le bar ouvre 1 heure avant le début des spectacles.

réduit : étudiants, jeunes de 18 à 26 ans, plus de 65 ans, demandeurs d'emploi, familles nombreuses, groupe de 8 et plus, carte d’invalidité.sPéciaL : moins de 18 ans, bénéficiaires du RSA, groupes scolaires.tariF ParticuLier : carte dac : 6D

scoLaires et centres de Loisirs : ca-sQy : 3D / hors ca-sQy : 4D

carte de La Ferme de BeL éBatPRIX DE LA CARTE : normaL : 20J réduit : 15J sPéciaL : 10J

L’achat de la carte vous donne ensuite droit à un tarif réduit (entre 2,50J et 7,50J) quel que soit le nombre de spectacles auxquels vous assistez.

Les PLaces sont gratuites au-deLÀ de La 12e achetée !La brochure de saison est disponible sur demande.

La carte est strictement nominative. Pour l'établir, pensez à venir avec une photographie d'identité.

Licence d’entrepreneur de spectacle : 781064 / 781070 / 781071.Les informations publiées sur ce document sont fournies à titre indicatif et sont susceptibles d’être modifiées sans préavis.

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La Ferme de BeL éBatthéâtre de guyancourt

1 place de Bel Ébat78280 Guyancourt

[email protected]

Groupe des 20 théâtres en Île-de-France

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