plan info 42
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Plan Info 42TRANSCRIPT
Plan InfoL’information des marraines, Parrains et donacteurs de PLan noVemBre 2011 - n°42
Le microcrédit : un cercle vertueuxpour lutter durablementcontre la pauvreté
Zoom sur le Brésilet l’equateur - p6
Les résultats de notreconcours de dessin - p18
sécheresse dans la cornede l’afrique - p17
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« mon filleul va-t-il à l’école ?» cette question, vous êtes nombreux à nous la poser, tout comme vous êtes nombreux à nous faire part de votre étonnement à la lecture de certains rapports de terrain, mentionnant par exemple que votre filleul a quitté l’école à 12 ans ou qu’il est trop jeune, ou trop vieux, à 8 ans, pour y aller. c’est pourquoi nous avons tenu à répondre à cette question légitime en vous donnant quelques clés pour mieux comprendre les enjeux de la scolarisation dans nos pays d’intervention…
Chères marraines, chers parrains et donateurs,
C’est avec grand plaisir que nous vous adressons ce nouveau Plan Info qui, fidèle à sa vocation, illustre les actions que nous pouvons mener grâce à vos dons et parrainages.
À la lecture de notre dossier, vous découvrirez notamment comment, pour améliorer les conditions de vie et de développement des enfants les plus défavorisés, nous agissons en amont en permettant à leurs familles, et tout particulièrement leurs mères, de créer leur propre activité économique et d’augmenter ainsi leurs ressources.
Nous avons voulu aussi vous faire part des freins et contraintes que nous rencontrons pour faire en sorte que chaque enfant parrainé ait accès à une éducation scolaire. Or, dans certains pays il faut combattre encore beaucoup d’obstacles poury arriver.
Je tiens également à remercier à nouveau chaleureusement, tous ceux d’entre vous qui ont répondu à notre appel pour porter secours aux populations de la Corne de l’Afrique. Grâce à votre générosité, nous avons pu réunir 50 000 € pour leur apporter une aide alimentaire d’urgence et continuer à mettre en œuvre des programmes de long terme avec les communautés les plus touchées par cette sécheresse meurtrière, seule solution à une amélioration durable de leurs conditions de vie élémentaires.
En vous mobilisant ainsi avec force à nos côtés,tout au long de l’année comme en cas d’urgence ou de besoins exceptionnels, vous nous permettez de faire toujours plus pour les enfants les plus vulnérables.
Un grand merci pour votre fidélité,
dominique LégerPrésident de Plan France
Plan info est une publication de l’association loi 1901de bienfaisance à but humanitaire Plan international france
conseil d’administration de Plan franceM. Dominique LEGER, M. Philippe BAETZ, M. Pierre BARDON, M. Nicolas BAVEREZ,M. Laurent FAUGEROLAS , M. Paul GUERAULT, M. Jean-Pierre LECLERC,Mme Dominique MARTIN , Mme Chantal NEDJIB, M. Lionel REQUILLART, Mme Marie-ClaireRESTOUX-GASSET, Mme Frédérique SCHLUMBERGER
Directeur de la publication : Alain Caudrelier-Bénac • Comité de rédaction : Sophie Helle-Neyreneuf,Michelle Perrot, Yvan Savy, Isabelle Dalle Piagge, Souad Chebbaty,Nathalie Buet • Conception / Rédaction : PLAN / Magali Passeneau / Sylvain LefebvreCe numéro a été tiré à 50 000 exemplairesInternet : www.planfrance.org - E-mail : [email protected] 01 44 89 90 90 - FAX 01 40 38 01 7111 rue de Cambrai, 75019 PARIS
Le parrainage en actionL’école, une réalité pour tous les enfants parrainés ?
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Zoom sur le Brésil et le ParaguayDeux pays d’Amérique Latine où PLANse mobilise pour les droits des femmes.
ActualitésLes fêtes de fin d’années approchent,une crème Nivea en faveur de PLAN,la deuxième édition de Golf for Plan…
Dossier MicrocréditLa microfinance au service des plus pauvres.En Chine, au Cameroun et en Haïti, notreapproche et nos actions.
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17Le point sur…La sécheresse dans la Corne de l’Afrique :aller plus loin que l’urgence.
18-19Les enfants changent le mondeLes résultats de notre grand concours de dessin et la venue à Paris de Neelima, qui participe au programme Saksham, en Inde.
Tous les pays ne sontpas égaux en matièrede scolarisation desenfants…
Si l’instruction est obligatoire en France à partir de 6 ans, beaucoup de pays n’ont encore aucune loi réglementant l’éducation. En Inde
par exemple, il a fallu attendre le 1er avril 2010 pour qu’une loi rende obligatoire et gratuite l’instruction de tous les enfants de 6 à 14 ans !
Dans d’autres pays, le problème majeur est le manque d’infrastructures. En Éthiopie par exemple, le nombre d’écoles est largement insuffisant et les enfants doivent marcher de longues heures pour atteindre l’école la plus proche. Une école souvent faite de bois et de boue séchée qui s’écroulera à la saison des pluies… Dans ces pays également, les enseignants manquent souvent d’une formation adéquate et ne se voient offrir qu’une rémunération dérisoire altérant leur motivation à s’acquitter de leur tâche. Les fournitures scolaires font elles aussi défaut, et les classes sont surchargées. Comment bien apprendre dans de telles conditions ? Beaucoup de familles préfèrent alors ne plus envoyer leurs enfants à l’école…
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« mon filleul va-t-il à l’école ?» cette question, vous êtes nombreux à nous la poser, tout comme vous êtes nombreux à nous faire part de votre étonnement à la lecture de certains rapports de terrain, mentionnant par exemple que votre filleul a quitté l’école à 12 ans ou qu’il est trop jeune, ou trop vieux, à 8 ans, pour y aller. c’est pourquoi nous avons tenu à répondre à cette question légitime en vous donnant quelques clés pour mieux comprendre les enjeux de la scolarisation dans nos pays d’intervention…
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L’école, une réalitépour tousles enfants parrainés ?
Cette jeune fillefait partie de la campagneApprendre sans peurqui a pour objectif d’éliminerla violence à l’école.
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Les conditions de pauvreté dans lesquelles vivent les familles restent en effet un obstacle majeur à la scolarisation des enfants. Beaucoup d’entre elles voient ainsi davantage d’intérêt à faire travailler les enfants, à la maison, aux champs ou même chez des employeurs, pour les aider à subvenir à leurs besoins. C’est le cas par exemple en Équateur, où la plupart des familles vivent avec en moyenne6 enfants et moins d’un dollar par jour : le chômage, l’insécurité et le manque de services de base y étant très élevés, la scolarisation des enfants n’est malheureusement pas la priorité.
Dans les communautés les plus retirées, enfin, il est courant que les populations ne parlent même pas la langue nationale, enseignée à l’école. Il est donc très difficile pour leurs enfants de s’adapter à l’école, où ils sont stigmatisés et poussés à l’abandon.
… le rôle de PLAN :mettre tout en œuvre pour garantir à chaque enfant le droit à l’éducationL’éducation est une priorité pour PLAN et, bien que nous ne puissions nous substituer aux États, nous faisons tout pour les aider à remplir leurs obligations dans ce domaine. PLAN a ainsi signé des conventions de coopération avec de nombreux gouvernements, comme en Équateur par exemple, pour soutenir la mise en œuvre des politiques d’enseignement.
Mais au-delà de ces coopérations au plus haut niveau, c’est bien sûr avec les enfants eux-mêmes, leurs familles et les organisations de la société civile que PLan agit sur le terrain pour que chacun se prenne en charge et améliore son système local d’éducation. Ainsi, au Vietnam par exemple, nous avons formé les parents afin qu’ils s’impliquent davantage dans le suivi et l’évaluation de la performance des enseignants, avec pour résultat une nette amélioration de la qualité de l’enseignement et de l’intérêt des enfants pour l’école.PLAN soutient également de nombreux projets communautaires de construction d’infrastructures.
Quand le sidavient affaiblir un système scolaire déjà fragileDans les pays fortement touchés par le VIH, le nombre de décès parmi les enseignants ne cesse d’augmenter, tandis que de plus en plus d’orphelins se retrouvent obligés de devenir soutiens de famille. Dans de telles situations, l’école n’est hélas plus la priorité !
Ces enfants, de Manabi Norte en Equateur, profitent de leurs nouvelles fournitures scolaires, adaptées à leur taille.
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En Équateur, des salles de classe, cours derécréation multi-usages et autres jardins scolaires ont ainsi été construits tandis que nous mettions également en place de bonnes conditions d’enseignement par l’installation de latrines, de systèmes d’adduction en eau potable et de recyclage des déchets, ou encore l’achat de fournitures scolaires.
L’amélioration de la qualité de l’enseignement est enfin au cœur de nos programmes. Dans de nombreux pays, nous proposons ainsi desformations aux enseignants, afin de les familiariser à des méthodes plus modernes, interactives et participatives.
S’adapter à toutes lessituations pour progresser un peu plus chaque jourFavoriser l’accès du plus grand nombre à une éducation de qualité reste un enjeu des plus complexes, tant sont nombreux et divers les facteurs entravant l’accès à cette éducation. Partout dans le monde, PLan s’adapte donc à chaque situation rencontrée, avec les communautés et les autorités locales, pour construire un environnement propice à la scolarisation des enfants. Ici, il s’agira simplement de créer des
infrastructures, tandis que là, il faudra d’abord agir sur le niveau de ressources des familles en les aidant à développer des activités économiques. Ailleurs encore, il s’agira de combattre certaines traditions et de faire prendre conscience de l’importance de l’éducation, de changer les comportements...
chaque communauté est différente mais, pas à pas, les changements s’opèrent et nous sommes sûrs qu’un jour, tous les enfants parrainés pourront suivre un cursus scolaire et ce,grâce à vous.
Les élèves de l’école primaire de Dobetoga en Ethiopie réfléchissent sur les effets de la sécheresse dans leur région avecdes dessins.
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on ZOOM sur :
au Brésil et au Paraguay, les femmes peinent à obtenir le respect et la place qu’elles méritent dans la société. exclues ou victimes de violences, elles jouent pourtant un rôle central dans les familles, les pères étant souvent absents et la paternité encore peu reconnue. au-delà des enfants, PLan agit donc au plus près des femmes, afin de leur permettre de reprendre le contrôle de leur vie et de participer activement au développement de leur pays.
Le Brésil etle Paraguay
culture d’ailleurs
« Briseuses de noix » dans la forêtamazonienne
Au Brésil, la privatisation de la forêt amazo-nienne et l’abattage des arbres menacent un grand nombre des métiers traditionnels
qui font vivre les communautés isolées. Parmi ces métiers : l’extractivisme, qui consiste à extraire et à vendre les produits de la forêt, et qui emploie essentiellement des femmes. Or, ne pouvant plus exercer leur métier dans de bonnes conditions, ces « briseuses de noix » se retrouvent exclues et stigmatisées au sein de leurs propres communautés. C’est pourquoi Plan Brésil a mis en place un pro-gramme de soutien aux femmes extractivistes de Timbiras et de Codo, qui leur a permis de retrouver l’estime d’elles-mêmes et toute leur place au sein de la communauté en légitimant leur lutte pour la défense de la forêt. Ce projet a également abouti à une augmentation de la valeur des produits extraits et, par conséquent, à l’amélioration des conditions de vie des extractivistes et de leurs familles.
Mon mari doit partir plusieurs mois travailler dans les champs à l’autre bout du pays. Et moi je dois me débrouiller pour nourrir nos enfants ! Être extractiviste, pour moi, c’est une fierté. Cela fait partie de notre culture et de notre héritageJecilene
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ZOOM sur :Le Brésil etle Paraguay
Vie quotidienne
Enregistrer les naissances pour donner uneexistence aux enfants
Au Brésil, plus de 12 % des enfants ne sont pas enregistrés à l’état civil avant leur premier anniversaire, ce qui les prive
d’une existence officielle et donc de leurs droits. Beaucoup sont également privés d’une partie de leur histoire familiale, de nombreux pères ne reconnaissant par leurs enfants. Plan Brésil a donc mis en place un grand programme d’enregistrement des naissances et de reconnaissance de paternité, en rendant notamment les démarches administratives gratuites. Résultat : dès la première année, plus de 1 700 enfants ont été enregistrés et reconnus par leur père. Des cartes d’identité et des cartes de travail ont également été délivrées, et une
permanence juridique a permis de renseigner de nombreuses familles sur la paternité, les pensions alimentaires…
Grâce à cette simple lettre on peut enfin exister.Cela fait partie de notre culture et de notre héritagealice, 10 ans
santé
Au Paraguay, les femmes agissent pour mieux nourrir leurs enfants
Au Paraguay, les familles vivant en milieu rural manquent souvent des revenus nécessaires pour accéder à une alimentation saine.
Mais dans la communauté de Mbocaya’i, avec l’aide de PLAN, les femmes ont décidé de changer les choses et d’agir pour la santé nutritionnelle
de leurs enfants. Elles ont ainsi créé leur propre comité villageois et, formées par des fermiers professionnels du Ministère de l’Agriculture, elles ont cultivé un jardin désormais remplis de légumes frais qu’elles vendent sur les marchés. Les revenus ainsi générés permettent à la fois de mieux nourrir les enfants et d’améliorer les ressources de la famille !
Beaucoup de choses ont changé et je vois les résultats chez les enfants. Ils aiment aller à l’école, avoir un jardin, manger des légumes et préparer leur propre nourriture ! mme regina, principale de l’école du village
Les enfants jouent pendant que leurs parents déclarent leur naissance.
A Mbocayá, les femmes ont formé un comité visant à améliorer la sécurité alimentaire, notamment en produisant elles-mêmes leur nourriture.
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NIVEA : une crèmepour l’éducation dans
le monde
Enquête satisfaction 2011
Les jeunes s’engagent pour PLAN
Une expositionBecause I am a girl à Lyon
En 2011, NIVEA a fêté son 100e anniversaireà travers une campagne mondiale.A cette occasion, elle a dévoilé son partenariat avec PLAN. Intitulé « We care & connect »,il a pour objectif de donner aux enfants un avenir meilleur grâce à l’éducation. Pour chaque boite bleue achetée,15 centimes d’euros seront reversés à PLAN. NIVEA contribuera ainsi à l’éducation de4 800 enfants dans 40 écoles au Guatemala.
Grâce à nos bénévoles, la médiathèque d’Ecully dans la banlieue de Lyon a accueilli l’exposition de photo Because I am a Girl pendant tout le mois de septembre. Cette exposition avait pour but de sensibiliser le public sur les droits des filles et le combat de PLAN pour les faire respecter. Les visiteurs ont pu ainsi découvrir les parcours de Gloria, Srei, Seema, Flor et Salimata afin de com-prendre l’importance de l’égalité entre les filles et les garçons.
En juin dernier, est né un réseau réservéaux anciens et nouveaux stagiaires dePlan France, afin d’encourager la poursuitede leur engagement et de leur mobilisationen faveur des enfants. L’objectif est desoutenir les actions de Plan France, d’une manière innovante, pour les jeunes et parles jeunes. En juin dernier, ils étaient nombreuxà participer à la Course des Héros,qui a permis de rassembler plus de 4 500 €pour les droits des filles.
En février dernier, nous vous faisions parvenir notre enquête annuelle de satisfaction. Vous avez été près de 2 000 à y répondre et nous vous remercions. Les résultats vous seront communiqués dans votre espace Parrains : espaceparrain.planfrance.org
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Les fêtes de fin d’année approchent :écrivez à votre filleul(e) !
Une mobilisation record sur Facebook pourBecause I am a girl
golf for Plan :succès de la 2e édition
Pour la fin de l’année il est toujours sympathique de faire un petit signe à vos filleul(s), même si un grand nombre d’entre eux ne suivent pas notre calendrier. Les enfants sur le terrain sont en effet toujours curieux de connaître nos traditions, nos symboles en ce moment festif ! Une carte postale, ou encore des photos seront une ouverture sur nos coutumes. Si vous n’avez pas envoyé la carte de vœux que nous avions jointe au Plan Info de l’année dernière c’est le moment de l’utiliser, sinon place à votre imagination...
Comme chaque année, autour du 22septembre, PLAN appelle à la mobilisation et à la reconnaissance de la journée mondiale pour les droits des filles. Cette année, notre campagne a investi le Web et les réseaux sociaux en créant
une chaîne de solidarité de plus de 100 jours sur Facebook pour que vous puissiez vous engager pour les droits des filles. Au total, plus de 8 000 nouveaux fans nous ont rejoint sur notre page Facebook.com/pageplanfrance. Les inscriptions sont encore possibles !
Le 10 octobre a eu lieu sur le prestigieuxsite du Golf de Saint-Cloud la 2e édition de Golf for PLAN. Les recettes récoltées vont contribuer à notre projet pour la scolarisation des filles dans le quartier de la Briqueterie à Yaoundé, au Cameroun. Cet évènement n’aurait pu avoir lieu sans la générosité du Golf de Saint-Cloud et l’engagement de son président ainsi que de toute son équipe, qui ont mis à notre disposition leur parcours pour cette journée, ni sans nos nombreux partenaires.
Découvrez le récit et les photos de cette journée sur www.planfrance.org/golf et rendez-vous en 2012 pour la prochaine édition !
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Legs, donations, assurance-vie
Une nouvelle brochure de parrainage
Vous avez été nombreux à vous déclarer prêt à effectuerun legs ou une donation à Plan France.Nous vous remercions de votre intérêt pour cette formede soutien, qui vous permet de faire des enfants du monde, vos héritiers. Vous serez contacté dans les prochaines semaines pour vous guider dans votre démarche.
N’oubliez pas que pour plus d’informations et pour toute question,Paul sanders se tient à votre disposition : > par téléphone : 01 44 89 91 89> par email :
Madee, 9 ans, est la petite fille que vous pourrez retrouver dans nos nouvelles affiches et brochures de parrainage, publiées cet automne. Son histoire (« exploitée à 5 ans, parrainée à 6 ans, première de sa classe à 9 ans ») permet d’illustrer le cercle vertueux apporté par le parrainage avec PLAN. Cette campagne de parrainage de filles s’inscrit dans notre campagne Because I am a Girl, et ne remet par en cause l’égalité de traitement sur le terrain, où filles et garçons bénéficient de nos programmes sans discrimination. Si vous aussi, souhaitez diffuser ces nouvelles brochures, n’hésitez pas à passer commande de votre kit depuis notre sitewww.planfrance.org, rubrique « agissez ».
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Transmettez-leur l’espoir d’une vie meilleure
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Depuis combien de temps parrainez-vous une petite fille ? Je parraine une petite Cambodgienne depuis janvier 2010, mais avant cela j’ai parrainé pendant 10 ans une petite fille du Pérou. A sa majorité, le parrainage s’est arrêté, elle était sur le point d’entamer des études d’informatique. Ça a été une très grande fierté pour nous !
Et pourquoi une fille ?J’ai fait le choix de parrainer une fille parce que je sais que dans de
nombreux pays, elles sont plus défavorisées que les garçons. Je me suis dit qu’en la parrainant, je ferai en sorte de rééquilibrer les disparités à l’intérieur même de sa communauté.
Votre parrainage vous paraît donc efficace ?Oui, grâce aux différents rapports que nous recevons de PLAN, nous avons un compte-rendu précis et détaillé des réalisations et des projets dont bénéficie notre filleule, sa famille, son entourage.
3 questions à Françoise J.marraine d’une petite Cambodgienne
Plan France11 rue de Cambrai 75019 Paris
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01 44 89 90 90
www.planfrance.org
« Grâce à ma filleule, j’ai été le témoin privilégié des actions de PLAN sur le terrain. À travers ses yeux, j’ai réalisé que cette approche spécifique peut apporter une vraie autonomie aux enfants et à leur famille. »
Marie Gillain, actrice et marraine de In, 15 ans, au Vietnam.
Comme Marie Gillain, parrainez une fille avec PLAN !
www.facebook.com/pageplanfrance
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Madee, Exploitée à 5 ansParrainée à 6 ansPremière de sa classe à 9 ans
www.planfrance.org
Parrainez une fille, investissez dans son avenir.
Partenariat entrePlan France etl’Union européenne
Inondations en Asie En septembre dernier, divers pays en Asie ont été touchés par des inondations. Des communautés PLAN de ces pays ont été affectées avec plus ou moins de gravité par cette catastrophe. Si vous désirez avoir plus d’informations sur ces évènements, n’hésitez pas à consulter votre espace parrains - www.espaceparrain.planfrance.org - que nous mettons à jour régulièrement avec toutesles précisions communiquées par le terrain.
L’Union europénne vient d’accorder800 000 euros à Plan France pour un projet de lutte contre le travail des enfants
dans les mines, en Tanzanie. Ce projet devrait bénéficier à 65 000 filles et 64 000 garçons de moins de 18 ans, sur 3 ans. Quatre volets principaux seront mis en œuvre par PLAN et ses partenaires : accès à l’éducation, application de la législation en matière de travail des enfants, sensibilisation des communautés et amélioration de la sécurité économique des foyers défavorisés.
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Le microcrÉdit :un cercle vertueux pour lutterdurablement contre la pauvreté
eaucoup d’enfants issus de familles défavorisées n’ont pas accès à la nourriture, l’eau, la santé et l’éducation parce que leurs familles ne dis-posent pas des ressources suffisantes pour couvrir ces besoins de base.
Une des principales missions de PLAN est d’assurer la sécurité économique des familles les plus pauvres, notamment à travers le microcrédit.
Pour permettre aux ménages les plus démunis de développer des activités économiques génératrices de revenus, par exemple un petit commerce ou une petite exploitation agricole, PLAN facilite leur accès à des microcrédits. Ceux-ci, combinés avec des actions de formation, s’avèrent particulièrement efficaces pour briser le cercle de la pauvreté.
Partout dans le monde, ce sont des centaines de milliers de personnes qui peuvent ainsi passer d’une logique de survie à l’amélioration durable de leurs conditions de vie.
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a l’opposé de l’assistanat, la démarche de PLan se veut globale. Garantir le bon développement des enfants, être capable de faire face à l’augmentation du coût de la vie et aux aléas et accidents de la vie comme les catastrophes naturelles, la mort ou la maladie, nécessitent d’atteindre avant tout, une sécurité économique.Pour cela, PLAN facilite en priorité l’accès des jeunes et des femmes aux services financiers comme le microcrédit, car ce sont ces catégories de la population qui en sont le plus souvent privées. Ce sont pourtant les plus à même de développer des activités génératrices de revenus, de les gérer avec sérieux et d’améliorer le niveau de vie de leur famille. Cette approche est résolument holistique, car les activités économiques qu’elle permet de créer sont destinées à accroître les revenus de façon durable et à en faire bénéficier les enfants. L’accès au microcrédit est ainsi toujours combiné avec des actions de formation et des actions de sensibilisation aux droits de l’enfant, en particulier dans le domaine de la santé et de l’éducation.
Un grand principe : l’appui à des structures de crédit locales un partenariat avec des associations et coopératives de crédit locales afin de mettre fin au recours de beaucoup de familles
à des « prêteurs » leur imposant des taux d’intérêt les plaçant rapidement en situation de surendettement ;
La création d’associations Villageoises d’Épargne et de crédit (aVec) : chacun des membres s’engage à y verser une contribution régulière en échange du droit de demander un prêt qui devra être remboursé, et chaque groupe décide des taux d’intérêt et d’épargne pratiqués, ainsi que des délais de remboursement.
Hun mai, mère de 7 enfants et commerçante prospèreGrâce à Plan Cambodge et à l’association locale Krousar Yoeung, qui lui ont prêté 100 $,Hun Mai a pu créer son propre stand d’épicerie et gagne désormais assez pour que ses enfants aillent à l’école sans être obligés de travailler à coté. Avec les économies qu’elle a pu réaliser, Hun Mai a même commencé la construction d’une nouvelle maison.
Dans sa région de Siem Reap,487 familles ont pu bénéficier d’un microcrédit pour démarrer une activité.En 2010, PLAN a ainsi étendu ses programmes de microcrédit à 6 autres régions du Cambodge, proposant des prêtsà plus de 3 470 personnes.
Microcrédit
Objectif : sécurité économique
Hun Mai,dans son étal demarchandises financégrâce au microcrédit
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dans le quartier de la Briqueterie, à Yaoundé, près de 60 % des filles en âge d’être scolarisées ne vont pas à l’école, pour des raisons culturelles et économiques. Ainsi, afin d’apporter un complément de revenusà leurs familles très pauvres, les jeunes filles exercent très tôt des petits métiers commela vente de beignets ou de jus de fruits.
Pour remédier à cette situation et garantir aux filles un accès à l’éducation, PLAN mène actuellement un projet reposant entre autressur l’augmentation des revenus de leurs parents,et tout particulièrement de leurs mères.
50 groupes d’une vingtaine de femmes seront ainsi soutenus et accompagnés dans la mise en place d’activités génératrices de revenus, comme la couture, la teinture ou le petit commerce, et ce en combinant amélioration de l’accès au microcrédit et actions de formation.
Des Associations Villageoises d’Épargne et de Crédit (AVEC) seront également mises en place, les femmes bénéficiant du projet s’engageant à y verser 40 % des bénéfices de leur activité : une épargne permettant d’une part d’allouer des prêts aux membres souhaitant créer ou développer leur activité et, d’autre part, de payer les frais de scolarisation des filles.
démarré en novembre 2010, ce projet permettra d’ici 2013 la scolarisation de3 500 filles de 6 à 13 ans dans 15 écolesdu quartier.
Le microcrédit, facteur de scolarisation des filles
Au cameroun
Ces micro financements, ce sont des femmes qui épargnent de l’argent et qu’elles remboursent doucement, ça leur permet d’avoir un capital, pour pouvoir faire du petit commerce, pour subvenir aux besoins de leurs enfants, pour aider les enfants, les envoyer à l’école, pour la santé.
Hawaou adamou, présidente de l’association Afhadev (Association des femmes haoussas pour le développement, partenaire de PLAN)
Ces femmes font partie d’une association villageoise d’épargne et de crédit (AVEC), pilotée par Plan Cameroun.Ce sont elles qui gèrent leur argent ainsi que les prêts qu’elles accordent aux membres de l’association.
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en 2005, PLan créait dans la province de shaanxi 5 associations de micro finance destinées à favoriser l’accès des femmes aux services financiers dont elles avaient besoin pour améliorer leur bien-être et la situation économique de leurs familles.
En plus des services de prêt, ces associations ont dispensé aux femmes des formations techniques sur la plantation et l’élevage des animaux, la gestion financière ou encore l’organisation régulière d’activités de divertissement.
résultat 5 ans plus tard : les associations détenaient un portefeuille de prêt de plus de 5 700 000 € et comptaient près de 25 000 clients, dont 95 % de femmes, avec un taux de remboursement de 100 %.
au total, le projet a ainsi couvertune population de 98 636 personnes dans 23 cantons, et bénéficié à plusde 50 000 enfants !
Une performance qui a permis à ces 5 associations de se convertir en Instituts de Micro finance (IMF) durables, fonctionnant désormais en toute autono-mie, sans le soutien de PLAN mais avec la possi-bilité d’obtenir des supports financiers de la part d’autres organisations locales.
Ayant en effet atteint ses objectifs, PLAN s’est aujourd’hui retiré du projet mais reste à la disposition des IMF en cas de besoin technique, tout en facilitant leurs liens avec les marchés financiers.
En chine
Près de 100 000 villageoisdésormais autonomes
En 2005, Sun Xiaolia bénéficié d’un prêt de PLAN.Elle est désormais à la têted’une boulangerie qui emploie20 femmes de son village.Elle a été récompenséepour son initiative par l’association de la Banque de Chine.
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La microfinance au service de la reconstruction
Parfois, j’arrivais à emprunter de l’argent à des amis, mais avec des taux d’intérêt très élevés. Par exemple, si j’empruntais 100 $, je devais payer 20 $ tous les mois ! C’était très difficile pour moi, et je me sentais humiliée parce que je ne pouvais pas m’occuper de mes enfants, je ne pouvais pas les envoyer à l’école. Alors je les ai confiés à mon père. Mais maintenant que je fais partie du groupe de micro finance créé par PLAN, tout va mieux : j’envoie mes enfants à l’école, je viens d’acheter une parcelle de terrain et, bientôt, je pense que je pourrai acheter une maison.
milène, une jeune maman qui a pu créer son commerce de chaussures d’occasion
En Haïti
Plus d’un an et demi après le tremblement deterre qui a frappé Haïti, les efforts de reconstruction se poursuivent mais le pays peineà se relever. Les inégalités au sein de la population restent en effet importantes, plus de 80 % d’entre elle vivant avec moins de 2 $/jour, dont 54 % avec moins de 1 $/jour.
Cette situation s’explique par l’effondrement des structures administratives et politiques du pays, dont l’économie est aujourd’hui largement dépendante de l’aide extérieure, mais également par la forte disparité entre la capitale Port-au-Prince, où se concentre 90 % de l’activité, et les zones rurales où vit la plupart de la population. L’accès à l’aide au développement, y compris l’accès aux services de micro finance, s’en trouve de fait fortement déséquilibré.
S’appuyant sur 35 ans de présence et d’action continues dans le pays, Plan Haïti s’est notamment donné pour objectif de faciliter l’accès des populations au microcrédit, qui s’est avéré un moyen efficace pour les aider à sortir de la pauvreté et à améliorer leur situation financière. Nos équipes travaillent pour cela en partenariat avec des organisations spécialisées dans la micro finance, le développement de l’enfant et l’accompagnement dans la création d’entreprise.
et dès cet automne, PLan mènera un projet d’accès au microcrédit et d’épargne à destination des jeunes dans les régions touchées par le séisme de 2010. un projet pour lequel nous avons besoin de vous !
Une vendeuse de rue vend des chaussures sur le marché de Croix des Bouquets en Haïti.
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Aidez des jeunes femmes haïtiennes à créer leur activité
Dès cet automne et pendant 4 ans,Plan France soutiendra un projet visantà faciliter l’accès aux services demicrofinance aux femmes et aux jeunes des zones du Sud-Est touchées par le séisme de 2010. Dans ces régions où la moyenne d’âge est de 20 ans seulement et où l’économie repose sur les femmes, beaucoup de jeunes vivent en effet de l’économie informelle, sans autre perspective d’avenir que de trouver au jour le jour les moyens de leur survie.
Grâce à ce nouveau projet de PLAN, ces jeunes - en priorité des jeunes femmes - pourront enfin sortir de cette extrême pauvreté en bénéficiant non seulement de microcrédits spécialement adaptés à leurs besoins, mais également de formations qui leur permettront de développer des activités rentables et pérennes. Au-delà des cours de gestion et de micro-entrepreneuriat, des adolescentes
seront formées dans des domaines aussi essentiels que l’estime de soi, la santésexuelle et reproductive ou encore la protection contre les violences, et pourront enfin s’organiser en groupes d’entraide afin de prendre pleinement leur vie en main.
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Pour les aider,
faites un don !
en soutenant ce projet, vous permettrez à des milliers de jeunes Haïtiennes dedévelopper des activités économiques durables et d’accéder ainsi à l’autonomie financière.
En Haïti
un don de 60 €** soit 20,40 € après déduction fiscale
un don de 200 €** soit 68 € après déduction fiscale
permet à une jeune maman de démarrer uneactivité en accédant à un microcrédit de 3 mois
D’avance, un grand merci !
permet à une jeune femme d’acheter 2 lapins et 2 chèvres pour lancer son activité d’élevage
Retournez le bulletin de don joint ou faites un don en toute sécurité sur www.planfrance.org
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retour sur... Urgence dans la corne de l’Afrique
En avril dernier, l’Éthiopie, le Sud Soudan et le Kenya étaient frappés par une sécheresse sans précédent qui continue de menacer 12 millions de personnes, les enfants étant plus vulnérables que jamais. Grâce à votre générosité, Plan France a pu affecter 50 000 € pour contribuer aux programmes de PLAN dans la région. Fortes de leur présence de longue date dans la région, nos équipes ont pu mettre en place une intervention rapide et efficace.
une priorité : l’aide alimentaireet l’approvisionnement en eauDans les premiers mois de la crise, les interventions de PLAN ont été en priorité tournées vers la distribution de compléments nutritifs et thérapeutiques et l’approvisionnement en eau. En septembre ce sont plus de 180 000 personnes en Ethiopie, 360 000 au Kenya et 110 000 au Sud Soudan, qui ont pu bénéficier d’une aide de PLAN.
et demain ?La sortie de la crise doit s’accompagner d’actions à moyen et long terme pour sauvegarder et soutenir l’agriculture : apport de bétail, de graines,d’engrais… Mais la sensibilisation des communau-tés aux risques encourus par les enfants constitue également un axe important de notre intervention. Car les risques de déscolarisation, de travail forcé ou d’autres formes d’exploitation et de violence ont tendance à se multiplier en période d’urgence, tout particulièrement à l’encontre des filles. PLAN s’attachera donc à faciliter le maintien ou le retour à l’école des enfants touchés par la crise.
notre objectif : venir en aide à 1 million de personnesAu 9 septembre 2011, les bureaux de PLAN du monde entier avaient pu mobiliser plus de 13 millionsde dollars pour l’ensemble de ses programmes dans la Corne de l’Afrique. Les besoins restent cependant importants, puisque nous devons atteindre les 20 millions de dollars pour avoir la capacité opérationnelle de venir en aide à 1 million de personnes.
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Que signifient pour toi les droits de l’enfant ? comment illustrerais-tu les droits de l’enfant ? en juin dernier, en même temps que leur document « education au développement », nos parrains étaient invités à faire participer les plus jeunes à un grand concours sur les droits de l’enfant.
Nous avons reçu une cinquantaine d’œuvres en tout genre, du dessin au poème, de la BD au texte libre… A tous, merci et bravo. Nous sommes convaincus que c’est en s’impliquant dès le plus jeune âge que l’on change le monde de demain.
Le choix fut difficile pour notre jury composé de 3 personnes et a désigné un gagnant dans chacune des 4 catégories : dessins, calligrammes, textes libres et BD.
Les enfants illustrent les droits de l’enfant
retrouvez un diaporama de l’ensemble des dessins sur votre espace Parrains !
Un grand merci aux écoles Blaise Pascal à Montpellieret Jehan Froissard à Quiévrechain et à leurs professeurs qui ont fait
participer leurs classes à notre concours.
BD : Sikandade C.,14 ans.
Dessin :anonyme
Calligramme : Delphine T.
Texte libre : Valérie P.
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a l’occasion de la campagne Because i am a Girl 2011, neelima une jeune indienne du projet de formation professionnelle saksham, est venue remettre au sénat et à l’assemblée nationale le rapport sur la situation des filles dans le monde. elle a pu témoigner de sa condition de jeune fille indienne mais surtout, elle a montré la voie à toutes les autres filles en inde.
Neelima est l’ainée de 5 enfants. Son père est conducteur de pousse-pousse et sa mère est femme au foyer. A l’inverse de beaucoup de filles en Inde, elle a eu la chance d’aller à l’école de son quartier. C’est grâce à sa mère, qui a su convaincre son père, que Neelima a pu être envoyée à l’école dès son plus jeune âge. Lors de son passage à Paris, elle a rappelé l’importance du projet PLAN dans sa vie :« Saksham a été une expérience qui a changé ma vie. Je suis devenue bien plus confiante, mes capacités de communication se sont beaucoup améliorées. C’est vraiment une grande réussite pour moi de me tenir ici aujourd’hui et de parler en anglais. Cela n’aurait pas été possible sans la formation que j’ai reçue grâce à PLAN. L’équipe du centre m’a beaucoup soutenue et encouragée.
Pour moi ils n’étaient rien moins que des héros… des modèles. »
Neelima est devenue un exemple de réussite et son parcours a convaincu de nombreuses filles à s’inscrire dans ce programme de formation professionnelle. Elle explique : « J’ai maintenant commencé à partager mes bonnes expériences à Saksham avec mes voisins. Je leur dis qu’il y a là un programme où les jeunes peuvent non seulement accéder à une formation professionnelle de qualité mais aussi trouver un bon travail dans de très bonnes entreprises. Mes parents espèrent désormais que mes autres frères et sœurs terminent aussi leur éducation et fassent de bonnes carrières pour eux-mêmes. »
sa venue à Paris et ses nombreuses rencontres avec les médias et nos institutions feront de neelima un véritable prote-parole des droits des filles dans sa communauté.
Le courage et la détermination de Neelima vont donc non seulement lui permettre d’avoir une vie meilleure mais vont également avoir un effet bénéfique sur toute sa communauté.
De retour en Inde, Neelima se mobilise pour les droits des filles
De Paris à Delhi
Neelima Sinkh, entourée de Geetika Jaswal, de Michelle Perrot et de la sénatrice Claudine Lepagelors de la remise officielle au Sénat du Rapport 2011 sur la situation des filles dans le monde
o Mlle o Mme o M. o Mme et M.
Nom
Prénom
Adresse
Code postal
Ville
Téléphone
Année de naissance
Profession
o oui, je souhaite parrainer une fille avec PLan pour 25€ /mois (soit 8,50€ / mois après déduction fiscale*)
o en Afrique de l’Ouest o en Afrique de l’Est o en Asie
o en Amérique Latine o je laisse choisir PLAN
Je peux écrire à ma filleule en : o anglais o espagnol o français
o Je règle par chèque mon premier versement de 25 e. Je recevrai mon dossier personnel de parrainage avec la photo de ma filleule et des informations sur sa famille et sa communauté villageoise.
Conformément à la loi N°78-17 du 6 janvier 1978, vous disposez d’un droit d’accès et de rectification pour toute information vous concernant, figurant dans notre fichier. Il vous suffit, pour cela, de nous écrire. PLAN s’engage à ne communiquer vos coordonnées à aucun autre organisme.
* Don déductible de l’impôt sur le revenu à hauteur de 66 % dans la limite de 20 % du revenu imposable.
o J’ai bien noté que je peux interrompre mon parrainage à tout moment (PLAN s’efforcera alors de trouver un nouveau parrain à l’enfant).
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Madee, Exploitée à 5 ansParrainée à 6 ansPremière de sa classe à 9 ans
Coupon à renvoyer dans une enveloppe sans l’affranchir à : Plan france autorisation 38126 75919 Paris cedex 19
Grâce au parrainage, madee* n’est pas seulement première de sa classe : les conditions de vie de tout son village ont été améliorées !
Car parrainer une fille avec PLAN, c’est assurer son avenir auprès des siens dans le respect de ses droits fondamentaux et agir directement sur son cadre de vie : construction d’écoles et de centres de soins, assainissement de l’habitat, accès à l’eau potable…
Pour savoir comment le parrainage change la vie de milliers d’enfants et demander une brochure d’information :
www.planfrance.org
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Parrainez une fille, investissez dans son avenir.
75 ANS D’EXPÉRIENCEPLAN intervient dans 50 pays
impactant la vie de 28 millions d’enfants
75 ans d’expériencePLAN intervient dans 50 pays et
impacte la vie de 28 millions d’enfants
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