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Bientôt, la Coupe du monde de football au Brésil. Engagés dans un match sans merci contre la faim, les paysans brésiliens nous montrent un chemin de victoire. Comme le rappelle le pape François, Jésus nous « demande d’être de ses disciples, de jouer dans son équipe ». Chaque chrétien est appelé à être instrument de Dieu pour la libération et la promotion des pauvres.

Rejoignez l’équipe de Jésus

Le champ. En plus d’être un lieu dans lequel on sème, le champ est un lieu d’entraînement.

Jésus nous demande de le suivre toute la vie, il nous demande d’être ses disciples, de « jouer dans son équipe ». La majorité d’entre vous aime le sport. Et ici, au Brésil, comme en d’autres pays, le football est une passion nationale. Oui ou non ?

Et bien, que fait un joueur quand il est appelé à faire partie d’une équipe ? Il doit s’entraîner, et s’entraîner beaucoup ! Il en est ainsi de notre vie de disciple du Seigneur.

Saint Paul, en décrivant les chrétiens, nous dit : « Tous les athlètes s’imposent une discipline sévère ; ils le font pour gagner une

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Pâques 2014 222009 2009

Bulletin du Secteur Notre-Dame de Foy

couronne qui va se faner, et nous pour une couronne qui ne se fane pas » (1 Co 9, 25). Jésus nous offre quelque chose de supérieur à la Coupe du monde ! Jésus nous offre la possibilité d’une vie féconde, d’une vie heureuse, et il nous offre aussi un avenir avec lui qui n’aura pas de fin, dans la vie éternelle. C’est ce que nous offre Jésus.

Mais il nous demande de payer l’entrée, et l’entrée c’est que nous nous entraînions pour « être en forme», pour affronter sans peur toutes les situations de la vie, en témoignant de notre foi. Par le dialogue avec lui : la prière. Père, maintenant, tu nous fais prier tous ? Non ? Je te demande... mais répondez dans votre cœur, pas à haute voix, mais dans le silence : est-ce que je prie ? Que chacun réponde. Est-ce que je parle avec Jésus ou bien ai-je peur du silence ? Est-ce que je laisse l’Esprit-Saint parler dans mon cœur ? Je demande à Jésus : que veux-tu que je fasse, que veux-tu de ma vie ? C’est cela s’entraîner. Demandez à Jésus, parlez avec Jésus. Et si vous commettez une erreur dans la vie, si vous faites une glissade, si vous faites quelque chose de mal, n’ayez pas peur. Jésus, regarde ce que j’ai fait ! Qu’est-ce que je dois faire maintenant ? Mais parlez toujours avec Jésus, dans le bien comme dans le mal, quand vous faites une chose bonne ou quand vous faites une chose mauvaise. N’ayez pas peur de lui ! C’est cela la prière.

Et, avec cela, vous vous entraînez dans le dialogue avec Jésus, dans ce fait d’être disciple missionnaire ! Par les sacrements, qui font grandir en nous sa présence. Par l’amour fraternel, par l’écoute, la compréhension, le pardon, l’accueil, l’aide de l’autre, de toute personne, sans exclure, sans mettre en marge.

Chers jeunes, soyez de vrais « athlètes du Christ ».

Carême

AU DÉSERT

Seigneur, tu t'es retiré au désert pour discerner les chemins qui s'offraient à toi. Et tu as choisi de vivre non comme un dieu, débarrassé des fragilités humaines, mais comme un homme, au milieu des hommes. Nous aussi, parfois, nous nous retrouvons au désert. Tout nous semble si dur, si aride : autour de nous, et en nous. Alors mes projets humains me semblent dérisoires et mes certitudes d'hier me filent entre les doigts comme du sable. Seigneur, quand tu es passé par le désert, tu y as tracé des chemins combien risqués. Ces chemins t'ont mené à la Croix mais ils nous ouvrent à l'Espérance, à la Liberté, à l'Amour. Au cœur de nos déserts, faits de nos fragilités et de nos doutes, tu nous invites, Seigneur, à cheminer et à lutter avec les autres hommes et à ouvrir des brèches sur cette Espérance que tu nous proposes.

Ce qui importe est d'aller vers le simple

et vivre de ce qui est vivant, et laisser mourir ce qui est mort.

Maurice Bellet.

Gens de chez nous

La rencontre du mois : Marie-Thérèse Baudoin-Floymont. Une personne très occupée !...

Vous connaissez la Ferme de la Tour, à Lisogne ? C’est là qu’est son « Quartier Général »… La maison est imposante, mais partagée, je crois…

Oui, la ferme est exploitée par la famille Floymont depuis 1829 (période hollandaise). Elle était à l’origine propriété d’un ordre religieux, les « Croisiers », puis de différentes familles aisées de la région. Mon frère et moi l’avons rachetée en 1983. Il semble qu’elle fut construite, du moins les étables, vers le 13°S. La tour date du 14°S. En résumé, vers 1800, elle avait son aspect actuel. Depuis 1983, elle est exploitée par mon mari, Philippe Baudoin, et mon frère, Victor Floymont. Nous occupons l’aile de la tour et mon frère et sa famille, le logis du fermier. Les deux épouses ont choisi un travail extérieur… Tu as donc opté pour un autre travail ?

Oui, depuis le 26 avril 1979, je travaille à l’I.M.P. de Ciney. Pendant les 10 premières années, j’ai été affectée à un pavillon de garçons adultes. J’ai suivi les cours de promotion sociale pour accéder au niveau A1. Pendant les 18 mois suivants, j’ai fait les nuits, ce qui m’a permis de suivre de plus près la scolarité de mes enfants. Ensuite, pendant 19 ans, je me suis occupée de filles adultes. Enfin, depuis 4 ans, je fais partie de l’équipe « Thabor », une équipe responsable de l’animation religieuse, en fait, surtout relationnelle. Nous y travaillons à 3 mi-temps. En quoi consistent les activités du « Thabor » ?

Nous veillons à la qualité des rapports entre parents, éducateurs, équipes différentes… Nous accompagnons les décès, par exemple. Le samedi, il y a toujours une messe ou une célébration. 50 à 60 pensionnaires y participent. Chaque année, nous accueillons pour quelques jours des réthos qui prennent ainsi contact avec le handicap, à travers des jeux, des exercices…

Nous allons aussi une fois par an à Lourdes, pour 6 jours. Les plus lourdement handicapés en avion, les autres en car. J’assure alors principalement l’intendance. Petit à petit, j’arrive en fin de carrière en prenant un mi-temps…

Que peux-tu dire de ton parcours à l’I.M.P. ?

Ces enfants « différents » sont vraiment attachants. Ils sont « vrais » !.. Mes sentiments vis-à-vis d’eux et de leurs parents sont très profonds.

Nous n’avons pas encore parlé de tes jeunes années !...

Née à Namur le 17 décembre 1958, j’ai vécu une bonne partie de mon enfance en dehors de Lisogne. En effet, 1 mois après ma naissance, maman a fait une trombose, aussi, j’ai été accueillie pendant 6 mois par mes grands-parents maternels. A 3 ans, j’ai été à l’école à Evrehailles, chez les Sœurs, en internat (rentrant quand-même du mercredi midi au jeudi matin chez mes parents). Une cinquième primaire à Yvoir, chez les Sœurs et une autre à Lisogne. Après cela, une sixième primaire et 3 modernes à Jambes, chez les Sœurs de Sainte –Marie. Je me retrouve ensuite en pédagogie à Namur, pour suivre 3 ans de pré-nursing chez les Sœurs de N.D. Enfin, à Sainte-Elisabeth, j’entame les études d’infirmière, que j’abandonne après presque 2 ans. J’arrête donc, et 15 jours plus tard, je suis engagée à Ciney.

Il y a aussi la famille…

La famille commence au bal, à la « Mirande ». Philippe a fait un pari avec son ami : un casier au premier qui séduit une fille !... Il gagne, il m’a conquise. Nous nous marions le 12 septembre 1980, devant l’abbé Servais. C’est lui aussi qui baptisera nos 2 premiers enfants : Daphné, en 1981 et Gwennaël en 1983, à la messe de minuit, car il est né quelques jours plus tôt… Pour Aurélie, née en 1988, c’est Jacques Fivet qui officie. Philippe, fils de fermiers, travaille chez ses parennts depuis l’âge de 17 ans. C’est donc tout naturellement qu’il reprend la ferme à Lisogne. Nos enfants nous ont donné 7 petits-enfants !... Chez Daphné, coiffeuse à Lisogne : Déborah (8 ans), Germain (6 ans), Martin (1 an). Chez Gwenaël, Iris(4 ans) et Thaïs (1 an). Et enfin, chez Aurélie : Louis (18 mois) et Flavie, née ce 16 janvier dernier. Quand je me souviens… Je revois ces années où nos enfants, jeunes, et leurs cousins, participaient aux jours des moissons… les ballots, les repas en longues tablées, préparés avec ma belle-sœur… toute une ambiance !... J’aime cuisiner, recevoir…

Tu participes aussi au secteur ? à la paroisse ?

On se souvient de Paula, à Lisogne. Quand elle m’a passé le flambeau, j’ai reçu une liste de responsabilités : Comment laver le linge (température, repassage…) comment préparer les offices, les ornements etc. Et quand Léon Vandurme a passé la main, il m’a demandé de le remplacer au conseil pastoral. A partir de 2004, j’ai pris en charge les catéchismes de Lisogne, Loyers et Awagne, Thynes par la suite. Pour les professions de foi, on travaillait avec Philippe Coibion. Dans l’équipe, il y a aussi Jacques Evrard, Vinciane Goulard et Christine Van Outryve, l’année dernière. Nous travaillons avec Yvoir et l’abbé Van Vynckt pour les professions de foi et avec l’Abbaye de Leffe et le Père Hervé pour les confirmations. En 2013, à Lisogne, la messe des professions de foi de 5 enfants fut une belle cérémonie, présidée par Dominique Jacquemin. C’était très « prenant » !... Mais il y a aussi des jours plus difficiles, des enfants chahuteurs… Autre chose : le P.O. de l’école… J’y suis depuis 27 ou 28 ans… à la demande de jacques Fivet. Nous y avons eu beaucoup d’activités, avec les enseignants , mais avec les années, le rythme ralentit…

Te reste-t-il du temps libre ?

Philippe et moi, nous aimons nous échapper pour quelques jours, un W.E…. Nous apprécions tous deux piscines et jacuzzis… Pour mes 50 ans, j’ai reçu de la famille une croisière en Méditerranée : un beau souvenir !... Avec mes petits-enfants, j’aime découvrir les parcs d’attractions, comme Disney-Land… Je me suis initiée à l’informatique… Je suis inscrite à un groupe « je cours pour la forme » (c’est récent) et j’aime la photo. J’apprécie les livres-photos qu’on nous propose aujourd’hui.

Et le mot de la fin ?

J’ai un peu l’impression de vivre à 100 à l’heure !... En famille, des parents à aider, des enfants, des petits-enfants… gérer, accueillir, garder… Sans compter avec la vie professionnelle, le P.O. le secteur, la paroisse… je n’ai pas le temps de m’ennuyer !... J’espère encore profiter longtemps de tous les petits bonheurs partagés avec la famille : se réunir… faire la fête !...

Propos recueillis par Annie CORNET

Carême. L'attention.

Attention : chien méchant. Attention : travaux. Attention : chute de pierres. Attention : route glissante. Partout, des appels à l'attention. Mais où sont les appels à l'attention que nous devons aux autres : les appels à la délicatesse, les appels au respect, les appels au partage ? Je suis distrait, Seigneur. Comment pourrais-je entendre ces appels, quand je suis préoccupé par ma santé, enfermé dans mes rêves, épuisé par mon travail, fasciné par la télévision... Pardon, Seigneur. Et tes appels, Seigneur, les Tiens, les petits signes que Tu m'adresses à travers les gens proches ou lointains, les grands signes que Tu m'adresses,

à travers l'exemple des saints, à travers les messages de ton Evangile, à travers les invitations à la prière, tous ces appels ne rencontrent souvent que mon indifférence... Pardon, Seigneur. Apprends-moi, je T'en prie à être attentif : à toutes les attentes, à toutes les souffrances, à toutes les espérances. Apprends-moi aussi : à déceler tout ce qui est bien derrière tout ce qui est mal, tout ce qui se cherche derrière tout ce qui est acquis, tout ce qui est neuf derrière tout ce qui est vieux, tout ce qui bourgeonne derrière tout ce qui se fane, tout ce qui vit derrière tout ce qui est mort. Montre-moi, Seigneur : l'enfant sous le vieillard, la plage sous les pavés, le soleil sous les nuages, et toutes les soifs cachées : la soif de pureté, la soif de vérité, la soif d'amour, la soif de vie.

Chemin de croix à méditer

1ère station « Jésus est condamné à mort ». Jésus t’aime infiniment tel que tu es… L’innocent meurt chaque jour d’avoir trop aimé…pour te donner la vie. Je vous salue Marie…

2ème station « Jésus est chargé de sa croix ». Comme toi, Il ne cherche pas la souffrance, mais on l’a cependant chargée sur son dos… Il ne l’a pas choisie mais acceptée. A toi aussi, Il demande de prendre part… Veux-tu ? Notre Père…

3ème station « Jésus tombe une première fois ». Dieu tombe… Par Amour… Pour l’homme. Il prend sur lui nos faiblesses et nos fautes… Pour mieux nous relever et guérir nos cœurs blessés. Je vous salue Marie…

4ème station « Jésus rencontre sa mère : Marie ». Deux cœurs blessés se rencontrent dans le silence et l’écoute profonde… L’accueil immense qui se donne et se reçoit en Dieu. Depuis ce jour, on ne peut plus jamais se sentir seul et abandonné dans la souffrance. Notre Père… 5ème station « Simon de Cyrène aide Jésus à porter sa croix ». Simon n’a pas choisi… Il a peut-être même râlé d’être ainsi dérangé dans ses plans… Mais son cœur a chaviré devant Jésus souffrant. Nous non plus n’avons pas choisi nos croix… Mais pourquoi ne pas les accepter maintenant ? Je vous salue Marie…

6ème station « Véronique essuie le visage de Jésus ». Elle a osé… Malgré la foule… Malgré les soldats… Face à l’injustice… Témoigner son amour. A mon tour, suis-je capable de braver et déranger ?… Pour venir en aide à la souffrance et témoigner de mon amour ! Notre Père…

7ème station « Jésus tombe pour la deuxième fois ». Dans la souffrance, Jésus continue la route avec Foi et conviction… Cependant Il retombe… Pour nous montrer la voie de l’Espérance…et nous signifier que chaque fois que nous tombons… Il est là pour nous relever et nous permettre de repartir à sa suite. Je vous salue Marie…

8ème station « Jésus console les femmes de Jérusalem ». Où va notre monde qui rejette tant de valeurs ? Pleurer sur le monde, sur les autres, c’est facile… Plus difficile est de faire notre propre examen de conscience quotidien… Seigneur ouvre nos cœurs pour qu’ils ne s’endurcissent pas. Notre Père…

9ème station « Jésus tombe une troisième fois ». La pire des chutes, c’est le désespoir complet… Et si Dieu, dans son Amour, a voulu se relever d’une troisième chute, n’est-ce pas pour nous dire qu’il ne fallait jamais désespérer de son Amour et de sa Miséricorde ?... Je vous salue Marie…

10ème station « Jésus est dépouillé de ses vêtements ». Quelle humiliation ! Lui, le Dieu, Créateur et Maître de tout, mis à nu… Comme le dernier des malfaiteurs… Comment ne pas y voir son désir, sa volonté, sa réelle compassion d’Amour, lorsque nous nous retrouvons nous-mêmes réduits à rien par la maladie, un handicap, la vieillesse, le rejet ? Ne voulait-il pas nous dire combien Il restait avec nous dans la douleur en nous offrant aussi l’occasion d’unir nos souffrances aux siennes pour la Rédemption du monde ? Notre Père…

11ème station « Jésus cloué à la croix ». Donner jusqu’au bout… Torture suprême : accepter la mort en don d’Amour … Parce que « seul le grain qui meurt peut donner du fruit ». Don de la mort acceptée en Dieu… don de la Foi, suprême confiance… Vivre, c’est apprendre chaque jour à mourir, comme un enfant qui meurt à son confort maternel pour s’ouvrir à la vie ! Je vous salue Marie…

12ème station « Jésus meurt sur la croix ».

Chaque jour, à chaque instant meurent des gens partout dans le monde… Seuls, abandonnés, rejetés, dans la misère morale, physique et spirituelle. Jésus, Marie, Joseph, nous vous les confions… Veillez sur eux, protégez-les… Notre Père…

13ème station « Jésus dans les bras de sa mère ». Seigneur…Regarde donc toutes ces mères qui souffrent dans la personne de leur enfant et ne savent comment y porter remède… Elles aussi portent leur croix… Regarde aussi ceux qui se dépensent pour leurs prochains, s’occupent des malades, des petits, des laissés pour compte… Je vous salue Marie…

14ème station « Jésus mis au tombeau ». Tout est dit… Tout est accompli… Seigneur, nous te confions nos défunts et ceux pour lesquels on ne prie jamais… Accueille- les tous au Paradis comme tu le fis avec le bon larron. Notre Père…

15ème station « Devant le Tabernacle ». La résurrection de Jésus à Pâques, notre joie, notre espérance ! Aujourd’hui, Le Christ est présent dans le pain, dans le vin, mais aussi dans notre cœur humain… Je vous salue Marie… Prière finale. Seigneur… Merci pour nous avoir permis de revivre ce lourd et pénible chemin que tu as voulu parcourir par Amour pour nous… Tu nous as fait comprendre la place que la souffrance peut prendre dans l’avènement de ton Royaume… Et surtout la Joie et le Bonheur qu’elle peut nous préparer quand nous nous retrouverons ensemble… là-haut, pour jouir pleinement du Bonheur et de la joie des Enfants de Dieu… Sous le regard de notre Mère du Ciel… Amen. Françoise

Horaire des messes du 5 avril au 11 mai

Samedi 5 avril 18h. Gendron et Lisogne Dimanche 6 avril 10h. Foy Notre-Dame 11h. Celles Samedi 12 avril 18h. Dréhance et Loyers Dimanche 13 avril 10h. Foy Notre-Dame 11h. Celles Jeudi 17 avril (Jeudi saint) 20h. Awagne Vendredi 18 avril (Vendredi saint) 20h. Sorinnes Samedi 19 avril (Veillée pascale) 20h.Furfooz

Dimanche 20 avril (Pâques) 10h. Foy Notre-Dame 11h. Celles Samedi 26 avril 18h. Custinne et Thynes Dimanche 27 avril 10h. Foy Notre-Dame 11h. Celles Samedi 3 mai 18h. Lisogne et Furfooz Dimanche 4 mai 10h. Foy Notre-Dame 11h. Celles Samedi 10 mai 18h. Loyers et Ver Dimanche 11 mai 10h. Foy Notre-Dame 11h. Celles (Prof. De foi)

Les messes en semaine

Mardi: Sorinnes (9h) – Mercredi: Celles (9h) – Jeudi : Loyers (9h) - Vendredi: Boisseilles (18h - Melles Hesbois)

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La semaine sainte dans notre secteur

Jeudi saint (17 avril) - 20h - Awagne Vendredi saint (18 avril) - 20h - Sorinnes Veillée pascale (19 avril) - 20h - Furfooz Jour de Pâques (20 avril) - 10h - Foy Notre-Dame et 11h – Celles

Souvenons-nous de ceux qui nous ont quittés

Madame Betty MATHOT (1929), épouse de Monsieur Emile GUISSET, funérailles le 26 février à Ciergon. Mademoiselle Isabelle FERETTE (1971), funérailles le 8 mars à Loyers. Madame Marie-José HUBESCH (1929), épouse de Monsieur Arthur MATHOT, funérailles le 12 mars à Celles.

Baptêmes

Les baptêmes ont lieu dans la paroisse où réside l’enfant. Prendre un premier contact avec Henri Tamuzi (082/66.60.21 ou 0495/27.87.06) ou une personne relais de votre village. Des rencontres de préparation sont prévues chaque mois de 20h à 22h à la salle Saint Georges de Leffe.

Se préparer au sacrement du mariage.

L’abbaye de Maredsous propose de vous préparer par une journée de réflexion et de partage avec l’accompagnement d’un couple et du Père François LEAR à l’abbaye. francois.lear@maredsous.com Dates : 27/4, 18/5, 29/6, 27/7, 31/8, 28/9, 26/10. PAF : 28€ (repas compris). Renseignements :082/69.82.11

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Profession de foi et confirmation en 2015

Les parents qui souhaitent la profession de foi de leur fils ou de leur fille en 2015 sont invités à l’inscrire au catéchisme. Il concerne les enfants nés en 2003, qui auront 12 ans en 2015, qui entrent en septembre en 6ème primaire.

Avant toute inscription, nous souhaitons parler de la nouvelle organisation de la catéchèse, préciser certains points, constituer l’équipe des catéchistes,… Une réunion de parents est organisée le 27 mai à 19h à l’église d’Yvoir. Il est (très) souhaitable qu’au moins un des deux parents soit présent. Des infos passeront par les écoles de notre secteur. Sinon, il y a lieu de contacter notre curé Henri Tamuzi (082/666.021) ou la responsable de la catéchèse Vincianne Goulard-Mewissen (082/22.73.17 – bernard.goulard@skynet.be) Pour le secteur Notre-Dame de Foy les professions de foi seront célébrées le dimanche 10 mai 2015 à 11h. (Endroit en fonction des inscriptions)

Carême de partage : compte n° BE68 0000 0000 3434 Entraide et Fraternité

 

Date à réserver : Cette année la fête du secteur se fera le dimanche 29 juin dans la paroisse de Loyers. Numéros de tél. utiles : Henri Tamuzi (082/66.60.21 et 0495/27.87.06) Joseph Jallet (0475/36.95.86) - Yvan Tasiaux (0477/31.12.51) – www.doyennededinant.com

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Cuisine Steaks de saumon aux tagliatelles et aux poireaux

4 personnes - Temps de préparation : moins de 30 min. Ingrédients

4steaks de saumon atlantique (surgelés) - 300 g de tagliatelles vertes - 3 poireaux - 2 dl de crème légère (15% de M.G.) - 1 verre de vin blanc sec - 1 citron - 2 c. à café de sucre - 1 c. à café de baies roses (bocal) - 1 c. à soupe d' huile d'olive - 1 c. à soupe de beurre - sel et poivre

Au préalable - Faites légèrement dégeler les steaks de saumon. Coupez-les en bandes de 2 à 3 cm de large. Arrosez-les du jus d’un demi-citron. - Coupez les poireaux en morceaux de ± 5 cm de long et d’1 cm de large, en laissant un peu de verdure. Préparation (10 min.)

1. Faites fondre 1 c. à soupe de beurre dans une sauteuse, sans le laisser colorer. Faites-y revenir les lamelles de poireaux, pendant 3 min environ, tout en remuant. Ajoutez le verre de vin blanc, 2 c. à café de jus de citron, 2 c. à café de sucre, le sel et le poivre.

2. Portez de nouveau à ébullition et disposez les bandes de saumon sur les poireaux, les unes à côté des autres. Couvrez et laissez cuire 5 min à feu doux.

3. Entre-temps, portez de l’eau salée à ébullition dans une grande casserole, avec 1 c. à soupe d’huile d’olive. Faites-y cuire les tagliatelles (voir temps de cuisson sur l’emballage). Egouttez-les.

4. Retirez délicatement les bandes de saumon de la sauteuse. Mélangez-y les tagliatelles, les poireaux et la crème légère.

Présentation Disposez un peu de tagliatelles et de poireaux sur chaque assiette et dressez-y quelques bandes de saumon. Décorez de baies roses et servez immédiatement.

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« Il a bien causé » … « Cause toujours … » Francis Lallemand (Curé de Anhée) Il arrive parfois qu’un compliment arrive aux oreilles d’un célébrant qui a pu toucher le cœur de quelqu’un par ses paroles ou sa façon de célébrer, en ajoutant aussi « Et si on avait plus de curés comme ça, j’irais plus souvent à la messe le dimanche » ! Mais … les paroles s’envolent … et le curé est toujours là !

Depuis quelques mois, c’est François, le pape, qui attire la sympathie d’un grand nombre de personnes par ses paroles et les gestes qu’il pose en cohérence avec celles-ci ! Ne nous privons pas alors de notre bonheur d’entendre parler en bien de quelqu’un qui devrait faire du bien à notre Église ! Devrait, oui, car il ne suffit pas de s’émerveiller de ses belles paroles, des beaux gestes et de le laisser causer tout seul du haut de son balcon.

D’ailleurs, il semble ne guère s’y plaire, perché là-haut, à bonne distance de la vie des gens. Il préfère atterrir auprès d’eux, face à eux, tout contre eux, avec eux, pour eux. Il dépose dans cette proximité le souffle d’une Église que l’on rêvait, que l’on essayait déjà d’installer au milieu de nos communautés. Il nous conforte dans nos options.

Mais il a beau causer et on a beau s’émerveiller : si des partenaires ne prennent pas le pas à ses invitations, si le réveil qu’il suscite ne sort pas les gens de leur lit, ce sera toujours le sur-place assuré, des belles paroles en l’air !

Et si ce temps du carême nous entraînait un peu plus loin grâce à l’Esprit, grâce à François, grâce à nous, grâce à… toi ?

Editeur responsable: Yvan Tasiaux Impression: Imprimerie Bourdeaux