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L’information régionale d’Atlanbois ici&n°05 février 2013 PANORAMA DE PRESSE

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L’information régionale d’Atlanbois

ici&làn°05 février 2013

PANORAMA DE PRESSE

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- 1 - Ici & là n°5-2013 / Février 2013

Sommaire Ici & Là – Panorama de presse N°5-2013/Février

Construction bois .......................................................................................................................................................................... - 2 -

Bois énergie .................................................................................................................................................................................... - 17 -

Formation .......................................................................................................................................................................................- 26 -

Vie des entreprises .................................................................................................................................................................... - 30 -

Autres Informations Filière Bois............................................................................................................................................ - 35 -

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- 2 - Ici & là n°5-2013 / Février 2013

Construction bois

Novembre 2012 – CMP Bois

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- 3 - Ici & là n°5-2013 / Février 2013

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- 4 - Ici & là n°5-2013 / Février 2013

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- 6 - Ici & là n°5-2013 / Février 2013

Journal Ouest-France du mardi 20 novembre 2012 Edition : Angers Segre - Rubriques : Écouflant

L'architecture bois des bâtiments du centre-bourg semble plaire

Laure et Yvonnick ont accompagné musicalement samedi midi l'inauguration des bâtiments du centre-bourg. L'inauguration samedi matin des travaux d'aménagement du centre-bourg a permis aux habitants de juger sur pièce les nouveaux bâtiments qui ont poussé autour du logis de Bellebranche. Plus de 3 millions d'euros d'investissements pour l'agrandissement de la bibliothèque, le nouveau restaurant scolaire, les 14 logements locatifs sociaux et des locaux commerciaux sur environ 1 000 m2, où viendront s'installer au fil des semaines le salon de coiffure et la poste.

Si une majorité d'habitants se sont félicités de cette architecture en bois (lire ci-dessous), quelques voix font entendre leur différence. C'est entre autre le cas de Marie-André Rideau qui dénonce « un bunker en bois qui virera au gris, un bloc de bâtiments qui cache la perspective sur le logis de Bellebranche. Je ne conteste pas l'utilité de ses constructions mais cette architecture trop mastoc dénature l'entrée de ce petit bourg. » On est loin des satisfescits des élus qui soulignent le projet de l'architecte Bruno Huet « qui allie modernité et environnement pour des logements et des commerces plus attractifs ». Président de l'agglomération, Jean-Claude Antonini assure « que c'est au moment où tout va mal qu'il faut se remuer ». « Une mixité fonctionnelle pour un bourg vivant », a clamé le maire, Dominique Delaunay. Avant de lancer un message subliminal au président de l'agglomération, afin de ne pas pénaliser la commune au moment des discussions sur le nombre de logements à construire dans les années qui viennent dans le cadre du plan local de l'habitat (PLH). Deux zones seraient concernées, la suite de l'urbanisation de Provins proche de l'hippodrome d'Éventard et le secteur des Ongrois à l'entrée du bourg.

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Journal Ouest-France du vendredi 30 novembre 2012 Edition : Nantes Nord - Rubriques : Sucé-sur-Erdre

La petite révolution de l'habitat social est en marche

La remise des clés a eu lieu avec quelques semaines de retard. Innovation et développement durable marquent le programme de la rue Salvador-Dali. Les travaux rue Salvador-Dali ont commencé le 6 août. « En construction traditionnelle, nous aurions livré en novembre 2013. Ici, malgré un mois de retard, nous livrons maintenant », explique le directeur d'Habitat 44. Si elle semble révolutionnaire, la méthode de construction visant à assembler sur place des modules construits en usine est la résultante d'une prise en compte des nécessités d'espace (ici 518m² ), économiques (prix de revient par habitat, 123 856 €), écologiques (eau chaude solaire), associées à une liberté architecturale (bardage bois) et

à un confort des habitants. Des origines lointaines : Nasca est la corrélation entre les problématiques contemporaines de l'habitat social et les traces de la civilisation péruvienne de Nazca, qui visait à développer la vie dans la cité. La réalisation sucéenne comporte huit appartements, c'est un petit collectif qui favorise le lien social. Un concept unique : L'assemblage des huit logements s'est fait sur place. Réalisés dans les usines des Batignolles, les appartements ont été livrés sous forme de modules. La technique vise à réduire les délais de réalisation (pas d'intempéries, des équipes qui travaillent à un rythme régulier). La réalisation confiée à un groupement d'opérateurs, dont l'industriel Tangram et le cabinet Tetrarc, a permis à Habitat 44 d'échanger avec un collaborateur unique dans l'intégralité du projet. À la manière des chantiers navals : Première expérience en France, le programme sucéen permet d'ores et déjà de rectifier quelques données et d'améliorer la suite. Ossatures bois, blocs en bois ou métal finalisés en usine rappellent « la tradition des chantiers navals de notre région ». En effet, sur une courte durée les corps de métier interviennent en parallèle durant quelques mois. Des logements sociaux moins chers : Au final, la conception innovante reproductible à court terme et à moyen coût donne aux communes une bouffée d'air frais pour la réalisation des logements sociaux dans les meilleures conditions. « La maîtrise du coût de construction et la performance énergétique visant à limiter les charges nous permettent d'accueillir de jeunes familles », a souligné le maire.

Novembre - Décembre 2012 – Artisans & bois

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Décembre 2012 – Ek

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Décembre 2012 – Maisons & Bois

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Journal Ouest-France du mercredi 5 décembre 2012 Edition : Pays de Loire - Rubriques : Région

Le bois habille de plus en plus la ville

Pierrick Beillevaire, qui a fondé In Situ avec François Lanou, est ici dans la halle nantaise réhabilitée. Le cabinet nantais In Situ est friand de ce matériau « souple et raisonnable en prix ». Il l'a employé pour une vieille halle réhabilitée et bien d'autres projets... C'est une vénérable halle du XIXe siècle, au coeur de la Zac Madeleine - Champ-de-Mars, quartier à une encablure du centre-ville de Nantes, où industrie et artisanat se mêlaient. Elle a vu défiler des omnibus tirés par des chevaux. Ils transportaient des voyageurs en Vendée. Plus tard, on y a stocké du manioc d'Indochine. Une institution culturelle y a pris

ses quartiers. Au bout du bout, la vieille friche a failli disparaître. Le cabinet d'architecture In Situ lui a offert une nouvelle mission. Ici, on accueille bureaux et ateliers sur deux étages. La splendide charpente a été préservée et un système d'encorbellement permet d'incruster « des boîtes » pour mieux jouer avec les volumes. « C'est un espace semi-public. À la manière des passages parisiens du XIXe. Des gamins l'utilisent comme raccourci pour aller à l'école », se réjouit Pierrick Beillevaire, qui a fondé In Situ avec François Lanou. Ici, on va, on vient, on vit en permanence grâce à des usages mixtes. Un urbanisme écolo et dynamique, efficace, sans en rajouter. Cette halle, délicieusement colorée, est entourée de bâtiments neuf, locaux tertiaires en rez-de-chaussée et logements à l'étage. Le projet, engagé par un opérateur privé avec obligation de suivre un strict cahier des charges, a été réalisé « sans débauche de fric ». En pleine crise, le mètre carré a trouvé preneur à 2 800 € en 2008, alors qu'on atteint des 3 800 et 4 000 € aujourd'hui. Le projet a décroché un 1er prix national de la construction bois 2013. « J'ai toujours utilisé le bois. Un matériau flexible. Raisonnable en coût, il permet des surprises. Aujourd'hui, on sait le maîtriser », raconte Pierrick Beillevaire. Dans la région nantaise, In Situ aligne d'autres opérations significatives avec des vocations très différentes : une crèche flottante sur le bord de l'Erdre, un collectif, un chapiteau de cirque. Il a signé un projet de logements à vocation sociale dans le quartier des Dervallières, un ensemble mixte béton-bois prêt à sortir de terre. Sans attendre l'échéance, il vient de décrocher le prix Bepos, pour ses qualités de bâtiment à basse consommation. Construire en bois devient de plus en plus banal dans les Pays de la Loire. À Angers, le cabinet Matières d'espaces a conçu un programme collectif mixte de 64 logements. Il a décroché le deuxième prix national de la construction bois. La société Triade a décroché une mention pour sa réhabilitation de 146 logements sociaux à Cholet...

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- 13 - Ici & là n°5-2013 / Février 2013

Journal Ouest-France du mercredi 19 décembre 2012 Edition : Nantes - Rubriques : Communauté urbaine

Ecossolies : les travaux débutent en janvier

Les Roms, qui occupaient le site Larivière sur l'île de Nantes, sont partis. Le projet de réhabilitation peut voir le jour. L'architecte du projet, Christophe Theilmann, craignait carrément un abandon du projet. Finalement, le chantier Ecossolies sur l'île de Nantes va pouvoir démarrer début janvier 2013. Les quatre familles roms, qui avaient installé leur

caravane sous une grande halle, sont parties. Dès l'été dernier, un jugement d'expulsion avait été rendu : la présence des Roms avait empêché les travaux de démarrer au printemps dernier, comme programmé. Pour Christophe Theilmann, il est urgent de réhabiliter les hangars existant car leur ossature bois (en lamellé-collé) imbibée d'eau présente une vraie fragilité. Avec des risques d'effondrement. Une quarantaine de structures Le projet Ecossolies est de remettre en état les bâtiments existants (connus sous le nom Larivière) pour accueillir une quarantaine de structures dédiées à l'économie sociale et solidaire, pendant dix ou douze ans. L'idée est de glisser des bureaux et des constructions modulaires en bois sous les halles rénovées. Un maximum de matériaux disponibles sur le site seront revalorisés et réemployés sur place. Le site Larivière est composé de trois bâtiments qui, adaptés aux besoins spécifiques du futur lieu mutualisé, constitueront plus de 5 000 m² d'espaces dédiés à l'économie sociale et solidaire. Le projet financé par la Samoa, qui louera les espaces réalisés aux membres d'Ecossolies, s'élève à 2,4 millions d'euros. La livraison est espérée pour la fin 2013.

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- 14 - Ici & là n°5-2013 / Février 2013

Journal Ouest-France du vendredi 18 janvier 2013 Edition : Nantes - Rubriques : Communauté urbaine

Les travaux du lycée international sont lancés

Le lycée- un bâtiment de 210 mètres de long et 45 mètres de large- sera implanté sur un terrain de 35 000 m2, bordé par le Conservatoire et le stade Michel-Lecointre. Premier coup de mateau symbolique, hier, par Jacques Auxiette, président du conseil régional, William Marois, le recteur, et Patrick Rimbert le maire de Nantes. Agence d'architecture François Leclercq Premier coup de marteau, hier, pour le lycée de l'île de Nantes. Ce nouveau lycée général, professionnel et technologique aura une dimension internationale. Ouverture à la rentrée 2014. Vocation tertiaire et dimension internationale « Les évolutions démographiques obligent à

construire de nouveaux lycées. Après celui de Clisson et de Pornic en 2013, celui de l'île de Nantes ouvrira en septembre 2014. » Jacques Auxiette, président de la Région a cloué, hier, les premiers clins (planche de bois) du futur lycée international. Ce nouveau lycée est à la fois une construction et une restructuration. Il se substitue aux lycées Vial et Leloup-Bouhier. Et proposera un enseignement général pour les élèves du secteur. Mais aussi des formations professionnelles et technologiques tertiaires en pré-bac et post-bac (quatre sections de BTS, classes préparatoires aux grandes écoles, préparation au diplôme de comptabilité-gestion). Et surtout, une offre très large en langues vivantes avec sections européenne et internationale. « Aux côtés de l'anglais et l'allemand, il y aura un certain nombre de langues rares à déterminer avec la Région, précise le recteur William Marois. Nantes a une vocation internationale. Il est important d'avoir un lycée qui montre cet aspect. » Une section français langues étrangères sera aussi proposée aux ressortissants étrangers. Au total, le lycée pourra accueillir 1 600 élèves. Quant aux bâtiments de Vial et Leloup-Bouhier, ils devraient être mis à disposition du conseil général pour les collèges. Vial devrait apporter de l'espace supplémentaire à Guist'hau et Jules Verne. Des espaces partagés Le lycée sera implanté au coeur de l'île de Nantes. Situé sur un terrain de 35 000 m2 entre la voie ferrée, les rues Gaëtan-Rondeau, Célestin-Freinet et Alexandre-Millerand, il sera bordé par le stade Michel-Lecointre et le Conservatoire. L'idée : un lycée qui s'intègre au quartier, ouvert sur l'espace public et à d'autres utilisateurs potentiels. Plusieurs équipements seront ainsi partagés : deux gymnases avec vestiaires, une résidence d'hébergement de 162 lits, un restaurant scolaire ouvrable hors temps scolaire, une salle culturelle qui accueillera les répétitions de l'ONPL... Et le jardin des cinq sens, qui existait déjà, mais va être réaménagé pour l'occasion. Une rue intérieure sous verrière Architecturalement, le lycée a de l'allure. Point majeur ? Une rue centrale très lumineuse, sous une grande verrière de 11 mètres de large. Cette rue, colonne vertébrale du lieu, innerve le lycée : salle des professeurs, administration, maison des lycéens, centre de documentation. Aux étages, des salles de classe qui profitent de la lumière apportée par la halle. L'idée de départ ? « Il y avait avant une grande halle sur l'île. Ça nous a intéressés, rappelle Anne Carcelen, directrice du cabinet d'architecture parisien François Leclercq. On a retenu aussi la générosité des formes et des couleurs sur l'ensemble de l'agglo. On s'est inspiré de tout cela. On a voulu recréer une halle comme une ville intérieure. » Autre parti pris : le bois. Pour l'ossature de l'ensemble du bâtiment et le bardage des façades. Le cabinet d'architectes a déjà réalisé deux projets bois dont un lycée à Savigny-sur-Orge. Particularité de celui-ci : la rue intérieure. « On l'a travaillé longuement, car une structure bois pour un espace comme celui-ci, ça ressemble à une charpente de cathédrale. On a travaillé sur l'élégance de la matière. »> Elle sera prémontée en usine. Le lycée sera aussi innovant au niveau environnemental. « Il produira davantage d'énergie qu'il n'en consommera » souligne Jacques Auxiette. Il sera le 2e lycée passif à énergie positive construit en Pays de la Loire.

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Journal Ouest-France du vendredi 18 janvier 2013 Edition : Nord-Mayenne - Rubriques : Fougerolles-du-Plessis

École, garderie et cantine : un chantier de grande envergure

Réunion hebdomadaire de chantier regroupant l'architecte Marcel Hugain, les entreprises Ledauphin, Peltier, Fouilleul et les membres de la commission municipale des travaux. En mai 2012, la municipalité lançait le chantier phare de sa mandature : la réfection de l'école primaire, la construction d'un ensemble scolaire et d'un bâtiment périscolaire, une superficie construite de 598 m² . Ces travaux vont permettre de regrouper les écoles, maternelle et primaire, la garderie et la cantine, sur un site unique. Pour le maire, Stéphane Sicot, « le but du projet est d'avoir des bâtiments économes en énergie et situés sur le même site, afin de supprimer les déplacements des enfants,

rapprocher les enseignants et donner de bonnes conditions d'enseignement et d'apprentissage. Tout cela sans dénaturer notre environnement de vie et même en augmentant l'attractivité de notre commune. » L'école existante conservera son aspect extérieur historique. La maternelle intégrera un bâtiment en ossature bois, basse consommation, avec une toiture et des bardages en zinc. Quant au bâtiment périscolaire, c'est une construction conventionnelle où prendront place la chaufferie et le silo à bois. Le chauffage de l'ensemble sera assuré par une chaudière à bois déchiqueté « sur laquelle seront raccordés le logement de fonction de l'école et l'ancienne mairie », souligne le maire. Cette chaudière en remplacera quatre, dont une de plus de cinquante années, « le coût énergétique devrait être divisé par quatre ». État d'avancement des travaux. L'aménagement intérieur de l'école primaire a commencé, ainsi que celui de l'école maternelle, après la couverture et la pose des huisseries. Quant au bâtiment périscolaire, les fondations et le sous-sol sont achevés, le plancher du premier niveau a été coulé mercredi. Les locaux devraient être opérationnels pour la rentrée scolaire de septembre 2013. Depuis quelques semaines, la maîtrise d'oeuvre est assurée par l'architecte Marcel Hugain, de Mayenne, à la suite du décès de Jean-Pierre Rebuffé. Coût des travaux. Le projet, d'un coût final de 1 300 000 €, a bénéficié d'un fort accompagnement financier extérieur grâce au concours de l'État, des conseils général et régional, des fonds du plan d'accompagnement du projet (PAP) de la ligne très haute tension et de la caisse d'allocations familiales. Pour ces travaux, la commune a réalisé un emprunt de 350 000 €.

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- 16 - Ici & là n°5-2013 / Février 2013

Journal Ouest-France du lundi 28 janvier 2013 Edition : Nantes - Rubriques : Communauté urbaine

L'École du bois voit plus grand pour ses élèves

L'extension du bâtiment pédagogique a été inaugurée, vendredi dernier, à Nantes. En plein développement, la filière bois peut s'appuyer sur l'École supérieure du bois. Vendredi, elle a inauguré l'extension du bâtiment pédagogique et le lancement du projet de Plateforme régionale d'innovation. Une école en plein boom L'École supérieure du bois à Nantes se développe depuis vingt ans et voit ses effectifs augmenter. De 190 à l'origine, le nombre d'élèves ingénieurs est passé à 350, dont un quart vient désormais de l'étranger. Aujourd'hui, ils font leur entrée dans un

nouveau bâtiment, symbole de la vitalité du secteur. D'autres investissements sont effectués, par ailleurs, pour recruter des enseignants-chercheurs et acheter du matériel de pointe. Le soutien actif des collectivités locales Pour un montant total de 6,5 millions d'euros, la Région (75 %), le Département (12,5 %) et Nantes Métropole (12,5 %) ont financé cette opération d'agrandissement, les équipements restant à la charge de l'école. Une dizaine de salles de cours, deux amphis de 112 places et un laboratoire multimédia sont les infrastructures principales. « Dans ce projet, tout est collectif et mutualisé, précise Maï Haeffelin, vice-présidente de la Région. Nous ne pouvons pas aider chaque entreprise individuellement. Nous mobilisons donc des moyens sur un secteur donné, et celui-ci est particulièrement dynamisant pour les territoires. » Le bois en tête d'affiche Pour ce nouveau bâtiment, exemplaire quant à la mise en valeur du bois, rien n'a été laissé au hasard : consommation d'énergie optimisée, choix des matériaux, orientation du bâtiment. Suspendu à plusieurs mètres du sol par un système original poteau-poutres en bois lamellé-collé, ce nouvel espace de travail a été réalisé (comme le reste de l'école avant lui) par le cabinet d'architectes JP Logerais. Une PRI pour aider les entreprises de la filière Un atelier de 1 100 m² va voir le jour dans un futur proche : un immense espace d'expérimentation pour l'industrie de la construction (menuiserie, isolation thermique, acoustique). L'objectif est, à terme, « de faire accéder un maximum d'entreprises aux innovations grâce au lien direct qui sera mis en place », explique Arnaud Godevin, le directeur de l'école.

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Bois énergie

Journal Ouest-France du samedi 3 novembre 2012 Edition : Sarthe Sud - Rubriques : La Flèche Ville

Le Pôle santé mise sur le bois pour se chauffer

Le chantier d'installation de deux chaudières à bois a débuté il y a trois semaines à l'hôpital du Bailleul. Elles devraient entrer en fonction le 1er juin. Pourquoi ? Comment ? Pourquoi le Pôle santé a-t-il opté pour le chauffage au bois ? Jusqu'à présent l'hôpital était chauffé au gaz. « Nous allons faire des économies car le bois coûte moins cher que le gaz et ce système est plus respectueux de l'environnement », affirme Julien Collet, responsable logistique et environnement du

Pôle santé Sarthe et Loir. En quoi le chantier consiste-t-il ? Débuté mi-octobre, le chantier a d'abord visé à retirer une cuve à fioul de 100 000 litres, qui servait de secours en cas de problème avec les chaudières au gaz. Il s'agit désormais de creuser un trou pour accueillir le silo à bois. « Les deux chaudières arriveront d'Autriche au mois de janvier, assure Julien Collet. Elles seront installées dans l'actuelle chaufferie. » Combien coûte le projet ? 970 000 € dont près de la moitié est financée par l'Agence de l'environnement de la maîtrise de l'énergie (Ademe). Le Pôle santé est-il le seul hôpital à avoir fait ce choix ? Non. Les centres hospitaliers de Mayenne, de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), de Saintes (Charente-Maritime)... ont déjà sauté le pas. Comment ça marche une chaudière à bois ? Des camions livreront des plaquettes forestières (des gros copeaux de bois) qui seront stockées dans le silo à bois. Elles seront ensuite conduites par un tapis mécanique vers les chaudières. La chaleur dégagée par la combustion chauffe l'eau qui est ensuite acheminée vers les radiateurs et les circuits sanitaires de l'hôpital. Sera-t-il possible de réguler la température ? Oui. En jouant sur deux paramètres : la quantité de bois envoyée vers la chaudière et l'apport en oxygène qui facilite, ou non, la combustion. Et en cas de panne ? Si les chaudières devaient subir une défaillance où que l'approvisionnement en bois était rendu difficile, les chaudières au gaz, prendraient le relais. « Pour des raisons techniques, les chaudières à bois vont couvrir 72 % des besoins et le gaz fera le reste », précise le responsable logistique et environnement. Qui sera en charge du fonctionnement des chaudières ? Comme c'est déjà le cas actuellement, une entreprise sera chargée de faire fonctionner et d'entretenir les chaudières à bois. Ce qui pourrait générer des emplois. Quel impact sur l'environnement ? Actuellement, le Pôle santé émet 500 tonnes équivalent pétrole par an (1). Lorsque les chaudières à bois entreront en action, il n'émettra plus que 125 tonnes équivalent pétrole à l'année. Un investissement de près d'un million d'euros rentable ? « Les chaudières seront rentables sous sept ans, répond Julien Collet, qui a piloté tout le projet. C'est très rapide pour ce type d'investissement. » (1) La tonne équivalent pétrole est une unité de mesure de l'énergie qui permet de comparer les énergies entre elles.

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Journal Ouest-France du mercredi 7 novembre 2012 Edition : Sarthe Sud - Rubriques : Moncé-en-Belin

Conférence sur le bois, énergie renouvelable et durable

Chantal Blossier avait présenté son projet au forum des associations. Archives Trois questions à... Chantal Blossier, présidente de l'association environnementale Grain de sable et Pomme de pin. Pourquoi ces manifestations autour du bois ? Dans le cadre de l'année internationale des énergies renouvelables pour tous, un projet associatif départemental piloté par Sarthe nature environnement s'intitule « Le bois, une énergie renouvelable et durable ? ». Notre association Grain de sable et Pomme de pin organise une

journée de manifestations sur le thème du bois énergie, samedi. Le Belinois est-il équipé pour utiliser ce type d'énergie ? Oui. Nous aurons l'opportunité de visiter, samedi, des installations de chauffage spécifiques et instructives. C'est le cas de Gilles Guérin, qui possède une chaudière automatique bois granulés, Jean-Luc Coulon d'une chaudière bois déchiqueté ou Jean-Marc Coutard, un poêle de masse bois bûches. Nous donnons rendez-vous aux habitants intéressés à 9 h, chez Gilles Guérin, au 72, route du Lude, sur la commune de Saint-Gervais-en-Belin. Les différents domaines du bois seront-ils présentés ? Bien sûr. Les relais bois énergie et leurs missions seront présentés par des représentants d'Atlanbois, Adeas Civam, UD Cuma 72. Bien d'autres responsables interviendront, tels que ceux de la forêt FNE (France nature environnement) et ONF (Office national des forêts) et des professionnels qui se sont lancés sur ce marché. Samedi 10 novembre, de 14 h à 17 h, conférence-débat « Le bois, une énergie renouvelable et durable ? » au Val'Rhonne.

Journal Ouest-France du dimanche 11 novembre 2012 Edition : Future Sarthe - Rubriques : Moncé-en-Belin

Les granulés de bois, un autre mode de chauffage

Gilles Guérin et Chantal Blossier, devant la chaudière à granulés de bois. Dans le cadre de sa journée consacrée aux énergies renouvelables, l'association Grain de sable et pomme de pin a décidé de visiter les installations de chauffage au bois du Belinois. C'est pour cette raison que Gilles Guérin a ouvert la porte de son garage à une vingtaine de visiteurs, samedi matin. « Je possède une chaudière automatique bois granulés de 12 kW. J'ai bénéficié il y a trois ans, d'une subvention du conseil général pour réduire ma consommation d'énergie, précise Gilles Guérin. Ainsi, j'ai revu l'isolation de la maison, installé un chauffe-eau solaire et cette chaudière. Les granulés sont confectionnés à partir de la sciure des scieries. Compte

tenu du développement de cette technique, le prix est très variable, il est voisin des 200 € la tonne actuellement. Je stocke quatre tonnes de granulés pour une saison. » La présidente de l'association, Chantal Blossier, ajoute : « Le bois en bûche est encore majoritaire pour nos cheminées en Belinois, mais déjà quelques agriculteurs ont installé des chaudières à bois déchiqueté. Il s'agit d'utiliser les déchets d'élagage et autre déchets des forêts. »

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- 19 - Ici & là n°5-2013 / Février 2013

Journal Ouest-France du lundi 19 novembre 2012 Edition : Vendée - Rubriques : Montourtier

Découvrir une chaufferie avec bois déchiqueté Le département dispose de nombreuses haies bocagères, qui sont de véritables ressources d'énergies renouvelables et locales. L'entretien annuel de celles-ci permet une production de 25 000 tonnes équivalent pétrole, soit 29 millions de litres de fioul. Avec différents acteurs du département, et des relais bois énergie, cette filière voit son essor se développer. Aujourd'hui, on dénombre 28 chaufferies de ce genre en collectivité, 170 en individuelles et agricoles, mais aussi 5 dans les milieux professionnels. Le comité de pilotage départemental « bois énergie », animé par la fédération départementale coopérative d'utilisation de matériel agricole (FDCUMA 53), dont l'objectif est de mutualiser les compétences, propose, mardi, une opération portes ouvertes, en milieu agricole. Mardi 20 novembre, de 9 h 30 à midi, à la ferme de Thierry Denais, au lieu-dit est le « Bas Cléret ».

Journal Ouest-France du mardi 20 novembre 2012 Edition : Chateaubriant Ancenis - Rubriques : Fay-de-Bretagne

Apprendre à entretenir les haies du bocage Pierre Lechevestrier des Côtes d'Armor, est intervenu sur une nacelle de 28 mètres de hauteur pour une

démonstration d'élagage avec nacelle. À l'initiative du Civam Défis (Centres d'initiatives pour valoriser l'agriculture et le milieu rural), une démonstration d'entretien du bocage par des professionnels de l'arbre a eu lieu mercredi dernier, chez Véronique et Philippe Guitton, à la Violaye. Les haies sont souvent entretenues pour ne pas être « gênantes » et l'entretien réalisé n'est pas toujours respectueux de l'arbre et ne permet pas une valorisation optimale du bois. Un grimpeur élagueur, un bûcheron et une nacelle de 28 mètres de haut, ont permis aux 25 personnes présentes (agriculteurs, élus et services techniques de collectivités, représentants de syndicats de bassin-versant, particuliers) de découvrir la gestion du bocage. « L'allée pour se rendre à l'exploitation est constituée de vieux

chênes, qui au début protégés, finissent par mourir sans que l'on sache quoi et comment faire, indique Véronique. Nous nous sommes donc fixés pour objectifs d'enlever les chênes morts, refaire certaines clôtures, déléguer et replanter sur un linéaire d'environ 2 kilomètres, ceci pour valoriser entre autre le bois en bûches et en plaquettes pour alimenter notre chaudière bois-énergie. ». Véronique et Philippe ont réalisé un Plan de gestion du bocage sur l'exploitation pour planifier la gestion de la ressource en bois dans le temps. Informations Civam défis : [email protected]

Journal Ouest-France du vendredi 23 novembre 2012 Edition : Nord-Mayenne - Rubriques : Montaudin

Faire des économies d'énergie grâce au bois déchiqueté

Une quinzaine de participants est venue s'informer, mardi. Mardi, la fédération départementale des coopératives d'utilisation de matériel agricole (Cuma), représentée par Aurélien Philippe, et la chambre d'agriculture, représentée par Gérard Clouet, ont programmé une visite chez Dominique Lemonnier, à la Brosse. Cette visite, menée en lien avec les acteurs de la filière bois énergie 53, avait pour thème l'utilisation du bois déchiqueté en milieu agricole pour valoriser l'exploitation des haies bocagères. « Ce moyen de chauffage me permet d'économiser 800 € d'électricité pour l'eau chaude sanitaire et plus de 2 000 € de

fioul pour le chauffage », explique Dominique Lemonnier. L'installation de la chaudière est simple et facile d'utilisation, indique Aurélien Philippe. La fédération des Cuma est un relais bois énergie. Elle conseille les demandeurs porteurs de projet.

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- 20 - Ici & là n°5-2013 / Février 2013

Journal Ouest-France du samedi 1 décembre 2012 Edition : Nantes - Rubriques : Nord-Loire Sud-Loire

Le réseau de chaleur de la Troc'sur les rails

C'est à la Trocardière, face à la Halle (au premier plan), devant le terrain de foot synthétique, que va s'installer la chaudière à bois. Qui alimentera l'équivalent de 2 200 logements, notamment les immeubles du Château (an arrière-plan). Thierry Mézerette. Ville de Rezé. Projet au long cours C'est en 2008 que les bailleurs sociaux du quartier du Château (Atlantique habitations, Habitat 44 et la Nantaise d'habitation) ont fait savoir que le système de chauffage, qu'ils partagent, allait devoir être changé. L'occasion pour imaginer un réseau de chaleur dans ce quartier. Rapidement la Ville (avec ses équipements) et la Région (avec le lycée) se montrent intéressées. « C'est un dossier complexe, confirme Christine Colin, directrice générale des services techniques. Un dossier technique avec un

financement spécifique. » Pour la Ville qui a joué un rôle moteur dans ce projet, ce fut aussi une première. Acceptable pour le portefeuille Les études ont maintenant fait la preuve que ce réseau était viable. « Il fallait que le nombre d'habitations et d'équipement raccordés soit suffisant. C'est une des conditions du contrat d'objectif : la facture ne doit pas être plus élevée que le montant actuel. » Et ça rentre dans les clous. C'est l'opérateur choisi, l'entreprise Idex de Bouguenais, qui va financer toute l'opération, concevoir, construire la chaudière à bois et l'exploiter pendant vingt ans. Idex refacturera le coût de la chaleur aux différents utilisateurs. Suspendu à une subvention Si tous les clignotants sont au vert, reste une interrogation : « Nous attendons la décision de l'Ademe (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie), qui doit nous faire savoir, d'ici la fin de l'année, si elle accepte de participer. » Ce n'est pas une paille, car l'aide de l'Ademe se monterait à environ 2 millions d'euros. « Il est clair, indique Hugues Boutolleau, conseiller municipal en charge de l'Agenda 21 et des déchets, que si nous n'avons pas cette aide, cela bloquera le projet. Sans cette aide, la chaleur coûtera trop cher. » Bon pour la planète Le choix d'une chaudière bois s'est fait dans l'optique d'un développement durable. « Le bois reste l'énergie la moins chère. Et de très loin, par rapport au gaz. »> D'autant que le gaz montre une fâcheuse tendance à grimper depuis quelques années. Pour Christine Colin, c'est aussi une énergie qui tient compte du réchauffement climatique : « Cette chaudière correspond à une économie de 4 000 tonnes de CO2, par an. » Ca chauffera qui ? Cette chaudière chauffera 800 logements, un millier si la Maison radieuse choisit de se raccorder. « Au total, avec les collectifs et les différents équipements, cela représente 2 200 équivalents logements qui pourraient se raccorder. » Pour l'heure sont concernés : les immeubles des trois bailleurs sociaux du Château, trois copropriétés dans le même quartier, un gymnase, la piscine, les groupes scolaires de Château Nord et Sud, la halle de la Trocardière, les lycées (Jean-Perrin et Goussier). « Au-delà de ce périmètre de base, il pourra y avoir d'autres raccordements. Une étude plus affinée, qui va débuter maintenant, le déterminera. »

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- 21 - Ici & là n°5-2013 / Février 2013

Journal Ouest-France du mercredi 5 décembre 2012 Edition : Montaigu-Les Herbiers - Rubriques : La Flocellière

Chaudière bois : les travaux avancent

La tuyauterie de la chaudière bois est installée dans la rue vers la maison de retraite. La construction de la chaudière bois continue dans le secteur de la salle du Marquis-de-Surgères. Le bâtiment est élevé et la pose de la chaudière est en cours. Le parking est très encombré et il est demandé aux usagers de ne pas gêner les travaux avec un stationnement intempestif. Les tranchées sont en cours de réalisation pour la pose de la tuyauterie par les Ets Charpentier, vers le foyer-logement et aux alentours. Le centre de soins est en parti bloqué, il ne peut être abordé qu'à pied, encore pour quelques jours, puis tout rentrera dans l'ordre.

La chaudière bois doit desservir, le foyer des jeunes, la salle du Marquis-de-Surgères et l'ancienne mairie et la maison de retraite.

Journal Ouest-France du vendredi 4 janvier 2013 Edition : Nantes - Rubriques : Communauté urbaine

St-Sébastien - Basse-Goulaine. Une piscine pour l'été La construction de cette piscine est déjà bien avancée. Elle se trouve à la frontière de Saint-Sébastien et Basse-Goulaine, derrière le complexe commercial Pôle sud. Pour faire plus grand et moderne (construction BBC, chauffage au bois, eau traitée à l'ozone), les deux communes se sont associées et ont investi 10,4 millions d'euros. L'ouverture est prévue pour cet été. La piscine est dotée de trois bassins : celui des nageurs, un autre pour l'apprentissage et celui de la baignade ludique, complété d'une lagune pour les tout-petits.

Journal Ouest-France du vendredi 18 janvier 2013 Edition : Montaigu-Les Herbiers - Rubriques : La Flocellière

Une plate-forme pour le stockage du bois de chauffage

La plate-forme bois attend le placement du bardage qui terminera l'ensemble. Si la chaufferie bois arrive à son terme de construction, il en est de même pour la plate-forme du stockage du bois déchiqueté. Sa construction a lieu sur le terrain municipal de l'atelier technique, sur une surface de 500 m2 couverte. La municipalité a choisi des entreprises régionales du bocage, comme Alain TP de Saint-Prouant.

Le gros oeuvre a été confié à la SARL Maudet, Saint-Laurent-sur-Sèvre. La charpente et le bardage bois, ainsi que la couverture fibro-ciment, à ABC Construction, La Taillée. Les matériaux bois sont en châtaignier de pays. La maîtrise d'oeuvre a été réalisée par 6K, La Roche-sur-Yon. Le coût de l'opération est de 85 052 € HT. Le bois déchiqueté proviendra essentiellement des essences de la région. Un contrat rassemble un collectif d'agriculteurs qui fournira, dès le mois de mars, le bois nécessaire, avec plusieurs mairies du canton.

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- 22 - Ici & là n°5-2013 / Février 2013

Journal Ouest-France du mardi 22 janvier 2013 Edition : Nantes vignobles - Rubriques : Saint-Julien-de-Concelles

La chaufferie centrale à bois s'ouvre au public

La chaufferie centrale à bois. Des portes ouvertes organisées Si l'inauguration officielle de la chaufferie centrale à bois est sur invitation, des portes ouvertes de ce tout nouveau bâtiment sont organisées le samedi 2 février. « Cette visite permettra au public de découvrir le fonctionnement de cette structure, basé sur le principe de la biénergie », annoncent les services municipaux. C'est « une chaufferie centrale à bois avec appoint gaz. Ce système constitue une alternative durable face à l'épuisement des énergies fossiles (pétrole, gaz) émettrices de gaz à effets de serre. Il fonctionne grâce à la biomasse, énergie renouvelable issue de la combustion de matières organiques, ici le bois.»

De nouvelles structures alimentées Opérationnelle depuis octobre 2012, elle fournit déjà les écoles publiques maternelle et élémentaire, l'école privée élémentaire, la maison de retraite Théophile-Bretonnière, les logements locatifs situés rue de la Salmonière. À court terme seront aussi desservis le pôle de restauration municipale, la médiathèque, la mairie, d'autres bâtiments construits dans le cadre de la restructuration du coeur de bourg. Des avantages économiques et environnementaux Le bois est une ressource locale, dont l'approvisionnement se fait via une filière courte. Les copeaux issus de la taille des arbres de la commune pourront être recyclés en combustible. Non polluant car la chaufferie dégage des fumées équivalentes aux émissions d'une simple cheminée de particulier. Par rapport à un dispositif gaz, elle permet d'économiser 400 tonnes de CO2 par an, ce qui équivaut aux rejets de 150 voitures effectuant 17 000 kilomètres par an. Des avantages en utilisation Facile d'entretien car centralisé : la chaudière à bois alimente de nombreux bâtiments grâce au réseau de chaleur sous-terrain qui se déploie dans le centre bourg. En chiffres Surface : 126 m² , consommation annuelle moyenne : 804 tonnes de bois. Conçue sur le principe de la biénergie : la chaudière bois couvre 92 % des besoins en énergie, la chaudière gaz assure l'appoint les jours de grands froids ou en cas de panne du dispositif à bois. Pour un fonctionnement optimal, la chaudière gaz prend le relais pour produire en continu l'énergie requise. Samedi 2 février, de 14 h à 17 h, portes ouvertes de la chaufferie centrale à bois. Gratuit. Ouvert à tous.

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- 23 - Ici & là n°5-2013 / Février 2013

Journal Ouest-France du mardi 22 janvier 2013 Edition : Chateaubriant Ancenis - Rubriques : Le Cellier

La gestion pérenne du bocage et la filière bois énergie Une rencontre citoyenne est proposée par le Comité environnement et citoyenneté (CEC), vendredi 25 janvier. Le thème : la gestion des haies et la filière bois énergie. Les haies sont de véritables niches à trésors pour les essences bocagères et pour la biodiversité. Elles contribuent à réduire l'effet de serre en piégeant le gaz carbonique. La source d'énergie renouvelable est ainsi toute trouvée et pourrait être utilisée par la municipalité pour alimenter sa future chaufferie bois qui fournira l'eau chaude sanitaire et le chauffage des équipements publics municipaux. Et ce, à partir de bois déchiquetés provenant des haies. Lors de cette rencontre, deux agriculteurs témoigneront de leurs expériences en ce domaine : Monsieur Durand du Gaec de Rouillon, éleveur de volaille à la Meilleraie et Monsieur Coueffé, éleveurs de bovins à Drain. Vendredi 25 janvier, à 20 h 30, rencontre CEC, salle Louis-de-Funès, 23, rue de Bel-Air. Entrée gratuite. Renseignements à l'accueil de la mairie ou 02 40 25 40 18/[email protected]

Journal Ouest-France du mardi 22 janvier 2013 Edition : Montaigu-Les Herbiers - Rubriques : La Meilleraie-Tillay

De l'arbre à la chaudière pour un chauffage écolo-économique Deuxième étape : l'alimentation de machine à déchiqueter les branchages et la réception simultanée des copeaux. Jeudi après-midi, c'est à la ferme de la Gandouinière, gérée par Stéphane et Emmanuel Guilmineau, que l'union des Coopératives d'utilisation du matériel agricole (Cuma), relais bois énergie Vendée et le Sydev, ont organisé une démonstration de matériel. Baisser la consommation Ce matériel sert à l'entretien des haies et à la fabrication de copeaux de bois, permettant d'alimenter les chaudières à bois, tel que la chaudière de la Marpa mise en service l'année dernière. Ce moyen de chauffage permet de réaliser des économies en termes de coûts de consommation, tout en faisant participer activement les agriculteurs de la commune. Ils alimentent la plate-forme de stockage située dans la zone artisanale à proximité de la Marpa. La consommation annuelle, pour alimenter une maison de retraite de 50 à 60 lits, nécessite entre 150 et 200 tonnes de bois déchiqueté. Le tarif du bois déchiqueté s'élève à 60 € la tonne de copeaux verts et à 100 € en copeaux secs. En 2012, en Vendée, 4 000 tonnes de bois déchiqueté ont été nécessaires pour alimenter 85 chaudières de particuliers (1 500 tonnes) et 9 chaudières de collectivités (2 500 tonnes), pour un mode de chauffage de plus en plus adopté par les collectivités, par soucis économique et écologique. En effet, avec ce nouveau procédé, les souches sont enlevées par une pince qui n'enlève que le coeur de la souche et le reste des racines reste pour l'amélioration du bilan nutritif dans le sol.

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Journal Ouest-France du mercredi 23 janvier 2013 Edition : Chateaubriant Ancenis - Rubriques : CC Erdre et Gesvres

Le centre aquatique chauffé par une chaudière à bois

Les travaux du centre aquatique progressent à un rythme soutenu. Les travaux concernant le centre aquatique intercommunal sont en plein développement et progressent au gré des intempéries. Situé à quelques pas du centre culturel Cap Nort sur la route d'Héric, ce nouvel équipement sera baptisé au mois de février et ouvrira ses portes dans le courant de l'été 2014. Ce futur complexe comprendra un bassin sportif de 25 m et six lignes d'eau ainsi qu'un bassin loisirs-détente de 300 m2 et une pataugeoire pour les plus jeunes. À cela s'ajouteront un pentagliss (plusieurs toboggans en parallèle), un espace bien-être et des plages minérales extérieures. « Attendu depuis longtemps ce nouvel équipement est financé à

65 % par le conseil général, la région et l'État, le solde, soit 35 %, restant à la charge de la communauté de communes d'Erdre & Gesvres. La participation de la commune se limitant à la mise à disposition du terrain », précise Jean Goiset, président de la CCEG. Cet équipement sera chauffé par une chaudière à bois qui sera approvisionnée par la filière bois énergie qui est en train d'être mise en place par la communauté de communes dans le cadre du programme Agenda 21. Un grand nombre d'intervenants participeront à ce projet : agriculteurs, exploitants forestiers, ruraux, agents communaux, intercommunaux et particuliers susceptibles de produire du bois, créant ainsi une dynamique d'approvisionnement au niveau local. Une zone de stockage sera construite à cet effet. Toutefois des ajustements sont en cours au niveau de la chaudière à bois installée par l'entreprise Baudin-Chateauneuf. Le modèle choisi ne présentant pas les garanties suffisantes, il sera remplacé pour un coût supplémentaire de 53 500 €.

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Journal Ouest-France du vendredi 25 janvier 2013 Edition : Nantes vignobles - Rubriques : Rezé ville

Une chaudière à bois pour le quartier Château Les projections imagées d'Idex donnent une idée de l'allure qu'aura ce réseau de chaleur qui va s'installer à la

Trocardière, face à la halle. Un réseau de chaleur, c'est « un chauffage central à l'échelle d'un quartier ». Cette grosse chaudière à bois va chauffer les immeubles du Château, mais aussi écoles, gymnases, lycées... Au départ, le constat des trois bailleurs sociaux (Nantes habitat, Habitat 44 et Atlantique habitations) de changer dans un avenir proche de moyen de chauffage : « Les 800 logements que nous gérons, indique Jean-Baptiste Combrisson, directeur général d'Habitat 44 et

porte-parole des bailleurs sociaux, sont actuellement chauffés par un système de cogénération à base d'énergie fossile. On savait bien que cela n'allait pas pouvoir durer. » L'aspect environnemental et un coût accessible D'où cette idée d'un réseau de chaleur, une énorme chaudière à bois. Tout de suite, la Ville et la Région ont été partie prenante du projet. Plus que partie prenante, comme l'a souligné Jean-Baptiste Combrisson à l'attention de Gilles Retière : « C'est vous et l'engagement de votre collectivité qui nous a incités à participer à ce dispositif. » La complexité du montage tient au fait que les cinq fondateurs ont posé une double exigence : l'aspect environnemental en recourant à une énergie autre que fossile et un coût qui reste accessible pour les logements sociaux. Une double équation qui n'a pas facilité la tache d'Idex, entreprise de Bouguenais qui a été choisie pour ce projet. Mais ces deux contraintes ont permis d'obtenir une aide, substantielle (plus de 2,7 millions d'euros) de l'Ademe. En effet, les critères de l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie sont stricts, comme l'explique Christian Frouin, directeur régional adjoint de l'Ademe : « L'aspect énergie renouvelable était bien entendu un de nos critères, mais le coût aussi. Pour que l'installation puisse être subventionnée, le prix du kwat doit être inférieur de 5 % à celui issu d'une solution traditionnelle, utilisant l'énergie fossile. L'énergie à un moindre coût est fondamentale. »> Cette aide de l'Ademe s'est révélée prépondérante pour l'équilibre du projet puisqu'elle apporte 44 % du budget. Chiffres Le début des travaux est prévu pour fin 2013 et la mise en service est programmée pour 2014. Les travaux vont être importants car il s'agit d'installer un réseau de canalisation (pour le transport de l'eau chaude) long de 4, 5 km. Parmi les bâtiments chauffés par le réseau de chaleur : les 800 logements gérés par les bailleurs sociaux ainsi que des bâtiments publics : la halle de la Trocardière ; le stade Léo-Lagrange ; la piscine Victor-Jara ; les gymnases des Citées-Unies, Château-Nord et Lucien-Gavelin ; l'espace Diderot, deux groupes scolaires (Château Nord et Sud) ; le bâtiment Provence ; le CSC du Château ; la BaraKason ou encore le lycée Jean-Perrin. D'autres raccordements sont envisagés : la Maison radieuse du Corbusier, des copropriétés privées au Château (soit 800 logements), le Ponants (institut de travail social en train de sortir de terre actuellement), le collège Allende, les maisons de retraite Plancher et Mauperthuis et l'auditorium... Coût total de l'opération qui sera supporté par Idex : 7,4 millions d'euros.

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Formation

Journal Ouest-France du jeudi 1 novembre 2012 Edition : La Roche sur Yon - Rubriques : Talmont-Saint-Hilaire

Jérémy Barbeau, meilleur ouvrier de France

Sylvain Fortier, du centre de formation des apprentis de Bourgenay, a accompagné Jérémy Barbeau dans son parcours. La Société des meilleurs ouvriers de France a organisé les évaluations nationales du concours « Un des meilleurs apprentis de France », à Bourges, le 4 octobre. Jérémy Barbeau a décroché le titre de meilleur ouvrier de France dans la spécialité menuiserie aménagement. Tout a commencé le 15 avril, quand Jérémy a reçu la médaille d'or au concours départemental. Le 26 mai, à Cholet, il devient champion régional. En octobre, le jeune apprenti a présenté le concours national, à Bourges, avec l'objet qui a nécessité plus

de 150 heures de travail, en dehors des heures consacrées à ses études et à son emploi à l'entreprise Loué Bois, à Saint-Mathurin. « Il s'agissait de présenter un pupitre de conférence, construit en hêtre et bossé, bois exotique », explique Jérémy Barbeau. En apprentissage depuis 2010, Jérémy vient de passer son CAP en juin. Il est actuellement en 1re année de brevet professionnel à la maison familiale de Bourgenay. Jérémy sera reçu au Sénat, début 2013, pour la remise des prix.

Journal Ouest-France du lundi 12 novembre 2012 Edition : Pornic Pays-De-Retz - Rubriques : Pays de Retz

Ebénisterie : Pierre Nerrière parmi l'élite

Pierre Nerrière devant son oeuvre : un bureau en marqueterie. Pour les Olympiades, à Clermont-Ferrand, Pierre amènera ses outils et découvrira le sujet le matin même de la compétition. Le jeune de La Bernerie est finaliste des Olympiades des métiers, section ébénisterie. Il sera fin novembre à Clermont-Ferrand. Trois questions à... Pierre Nerrière, en finale nationale des Olympiades des métiers, spécialité ébénisterie. Comment est née cette aventure ? Pour les Olympiades départementales, une tisanière était à fabriquer. Ce sujet imposé mesure la rapidité d'exécution et la qualité de la prestation. Ensuite, je suis allé aux Olympiades régionales, à Angers en mars. Nous étions cinq à concourir et j'ai terminé premier. Il fallait faire une table de peintre avec un piétement en X. Toujours en temps limité. Réaliser un meuble sur place, c'est une question de rapidité. Quel est votre parcours ? C'est ma sixième année de travail. J'ai réalisé mon apprentissage pour obtenir mon CAP d'ébéniste. Ensuite, j'ai consacré deux ans pour décrocher mon

brevet technique des métiers (BTM). Cela forme des ébénistes capables de concevoir un meuble et des aménagements intérieurs. L'ébéniste maîtrise toutes les étapes de la conception à la fabrication d'un meuble. Où en êtes-vous aujourd'hui ? J'ai 21 ans et travaille depuis deux ans chez Thierry Rousseau, ébéniste à la Bernerie. Je souhaite me perfectionner dans l'ébénisterie. J'ai toujours eu une passion pour les beaux objets en bois. Du 22 au 24 novembre, finale nationale des Olympiades des métiers, spécialité ébénisterie, à Clermont-Ferrand.

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Journal Ouest-France du mercredi 28 novembre 2012 Edition : Pornic Pays-De-Retz - Rubriques : Corcoué-sur-Logne

Des formations autour du bois proposées par le CPIE Le Centre permanent d'initiatives pour l'environnement (CPIE) organise des formations autour du bois. L'objectif principal est la mise en valeur de cette ressource naturelle qu'est le bois. La formation se découpe en deux journées : la première consiste à se déplacer sur le terrain (dans les taillis) et à couper du bois, avec apprentissage des essences et de leur utilisation. Ce sera aussi le moment d'un temps théorique sur l'intérêt du bois et de la biodiversité dans les taillis. La deuxième journée est consacrée à la fabrication d'un objet. Le samedi 8 décembre 2012 et 13 avril 2013, fabrication d'un tabouret, le 19 janvier 2013 et le 25 mai 2013, fabrication d'un nichoir. Il reste encore quelques places pour les deux dernières sessions. Inscriptions, auprès du CPIE Logne et Grand Lieu tél. 02 40 05 92 31.

Journal Ouest-France du lundi 3 décembre 2012 Edition : Montaigu-Les Herbiers - Rubriques : Saint-Hilaire-de-Loulay

L'apprenti Damien Douillard honoré par la municipalité

Damien Douillard, entouré de ses maîtres de stage, Philippe Nuaud, à droite, et Philippe Amiot. Damien Douillard s'est distingué au concours du meilleur apprenti de France. Vendredi, la municipalité l'a mis à l'honneur, en le recevant avec ses formateurs et maître d'apprentissage. À l'issue de sa troisième année de formation, il a obtenu son CAP d'ébéniste. Pour le concours du meilleur apprenti il a réalisé une oeuvre imposée, qui lui a demandé 200 heures, en dehors de son temps de travail. Il a obtenu une médaille d'argent au concours départemental en Loire-Atlantique, puis encore une médaille d'argent, au concours régional. Damien est actuellement en première année de brevet technique des métiers. Damien a suivi son apprentissage à l'ébénisterie

Nuaud Landais, d'Aigrefeuille-sur-Maine. Philippe Nuaud, son maître de stage, souligne que « s'il y a quelqu'un à féliciter, c'est Damien, car c'est un gros investissement pour réaliser une telle pièce. » Philippe Amiot, professeur au Cifam, centre de formation de la chambre de métiers, souligne que « si nous avons des jeunes motivés, c'est aussi parce qu'il y a des entreprises motivées ». Des jeunes du Pôle jeunesse ont posé quelques questions à Damien et l'ont encouragé à venir leur montrer son savoir-faire, au Pôle jeunesse. En cadeau, la municipalité a remis à Damien Douillard, un casse-noix, réalisé par Gérard Fisson qui, à la retraite, s'est passionné pour le tournage sur bois.

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- 28 - Ici & là n°5-2013 / Février 2013

Journal Ouest-France du mercredi 19 décembre 2012 Edition : Le Mans Sarthe Nord - Rubriques : Le Mans

Au bout de l'achat du jeu en bois... l'insertion

Les accueillis se passionnent pour les métiers du bois, ils apprennent à manier la ponceuse, les pochoirs pour de très belles réalisations grâce à l'aide de Pascal Chevallier et Laurent Grebouval, les deux encadrants techniques, (à gauche sur la photo). Tarmac reçoit un public sur le chemin de l'insertion. Pour donner un coup de pouce à l'association, les accueillis vendent leur production de menuiserie. Dans l'atelier de menuiserie de l'association Tarmac, vendredi, les accueillis découpent, rabotent, poncent avec une grande application. Ils sont huit adressés à l'association par les centres d'hébergement et de réinsertion sociale (CHRS). Ils resteront trois mois, maximum.

« Ça me plaît de travailler le bois et apprendre beaucoup de choses, confie Virginie, après j'aimerais faire du ménage. » Mohamed, lui apprécierait bien de continuer dans la menuiserie. En attendant, sans aucune formation, ils tentent de se diriger vers l'insertion sous l'oeil bienveillant de Pascal Chevallier, un encadrant. « Ici, c'est un peu de formation, un peu de production et beaucoup d'écoute. » Vente et location de jouets pour faire vivre l'association Pendant cette étape, ils font des choses comme la fabrication de très beaux jeux anciens, en bois de pays qu'ils proposent à la vente pour les fêtes. Pour jouer en solo comme le casse-tête étoilé, le boomerang... Des jeux à partager : le passe muraille, la bille qui monte, le toc toc... On trouve aussi des planches à découper, des presses papier... Pleins de cadeaux faits main, « made in France ». Sans compter des jeux grands modèles proposés à la location aux écoles, associations ou particuliers. Et avec les sous ? Faire vivre l'association et rémunérer les accueillis : 150 € mensuel maximum pour un contrat d'objectif. « Cette vente, c'est aussi un signe de confiance et de valorisation », note Alain Vandevelde, le directeur. Réparations et fabrication Outre cette vente de jouets pour les fêtes, l'association propose, toute l'année, des travaux de menuiserie pour les particuliers avec des réparations ou la fabrication de petits meubles... Et comme dit le slogan de l'association. « Vous avez besoin de meubles, d'aménagement intérieur, sur mesure, ils ont besoin d'une activité. Allons ensemble vers la solidarité et l'insertion. Vers plus de dignité ! » Vente du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 12 h et de 13 h 30 à 17 h. Association Tarmac, 12-16, avenue Georges-Auric, Le Mans. Tél. 02 43 23 51 60.Mail : [email protected]

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- 29 - Ici & là n°5-2013 / Février 2013

Journal Ouest-France du samedi 19 janvier 2013 Edition : La Roche sur Yon - Rubriques : Le Poiré-sur-Vie

Un abri de jardin réalisé à l'Ehpad par des jeunes apprentis

Le formateur Sylvain Fortier, à droite, à côté de Gilbert Pelleray, le superviseur de chantier. Jeudi 17 janvier, quatre apprentis menuisiers, en classe de CAP constructeur-ossature-bois de la CFA-Maison familiale rurale de Talmont-Saint-Hilaire, sont intervenus à l'établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad), résidence Yves Cougnaud, du Poiré-sur-Vie, pour concrétiser leur projet pédagogique. De A à Z Épaulés par leur formateur, Sylvain Fortier, ils ont construit un abri de jardin en bois. « C'est un projet mis en place depuis septembre et qu'ils ont entièrement élaboré », confie le formateur. De la démarche vers le client, en l'occurrence, ici, vers l'Ephad, à la démarche administrative vers la mairie en passant par les fournisseurs, Flavien, Adrien, Bastien et Jérémy ont chapoté cet

ouvrage de A à Z. L'étude technique, l'étude de prix, la présentation et la validation des devis, la fabrication des éléments en bois à l'atelier jusqu'à la pose : « C'est vraiment un projet concret pour nous. » L'abri de jardin d'une dizaine de mètres carrés, terrasse comprise, a été baptisé Ma cabane, et accueillera les outils qu'utilise Gilbert Pelleray, un des résidants. « Il nous a suivis sur tout le chantier et beaucoup aidé, commente le formateur. Au-delà du projet, c'est un échange intergénérationnel qui s'est créé avec les résidants. » Dans cette optique « d'ouverture vers l'extérieur », chère à la directrice de l'établissement, Estelle Pualic, « ce projet a aussi permis aux jeunes de voir comment vivent les résidants au sein de l'Ehpad ». Ils ont en effet partagé le déjeuner et le goûter durant les quatre jours de chantiers. Les quatre jeunes en alternance poursuivront leur formation vers un brevet professionnel.

Journal Ouest-France du jeudi 24 janvier 2013 Edition : Nantes vignobles - Rubriques : Vignoble

Jordan Piveteau, menuisier aux doigts en or

Mis à l'honneur par la municipalité lors de la cérémonie des voeux, le jeune Palletais Jordan Piveteau a présenté son pupitre de conférence, médaille d'or du concours régional 2012 des meilleurs apprentis de France. Son pupitre de conférence en noyer et frêne vient de recevoir la médaille d'or au concours régional, avec la note de 19 sur 20 ! Particulièrement motivé, le jeune Palletais Jordan Piveteau ne s'est pas contenté de sa médaille de bronze au concours départemental 2011 des meilleurs apprentis de France. « Je me suis représenté en 2012 dans l'objectif d'obtenir une médaille plus haute, pour pouvoir aller plus loin. » Challenge réussi, et de belle manière. Son pupitre de conférence en noyer et frêne a reçu la médaille d'or départementale, ce qui lui a permis de participer au concours régional, où il a également obtenu la médaille d'or avec 19 sur 20 !

Il faut dire que Jordan s'est donné à fond pour réaliser sa pièce de menuiserie selon les critères imposés. « J'estime avoir passé au moins 120 heures », et ce uniquement sur son temps libre, soirées et week-ends, car il poursuit son apprentissage auprès d'un artisan en CAP menuisier-fabricant, après celui de menuisier-installateur. Il compte s'inscrire à nouveau à un concours, en 2013 ou 2014, mais cette fois aux Olympiades des métiers. À 18 ans, Jordan se passionne depuis déjà plusieurs années pour la menuiserie, dont il a fait son métier et son loisir. Une vocation confirmée par son passage aux ateliers de l'association l'Outil en main du Pallet, dès l'âge de 10 ans. « Je remercie sincèrement tous les artisans retraités qui donnent bénévolement de leur temps auprès des enfants », souligne Jordan avec reconnaissance.

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Vie des entreprises

Octobre-Novembre 2012 – Woodsurfer

Octobre-Novembre 2012 – Woodsurfer

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Octobre-Novembre 2012 – Woodsurfer

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Décembre 2012 – Journal des entreprises

Décembre 2012 – Le Journal Vendée

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06 Décembre 2012 – La lettre API

24 Janvier 2013 – Ouest France

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Autres Informations Filière Bois

Octobre-Novembre 2012 – Ecologik

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02 Novembre 2012 – Ouest France

02 Novembre 2012 – Ouest France

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Journal Ouest-France du vendredi 30 novembre 2012 Edition : Angers Segre - Rubriques : Saint-Sylvain-d'Anjou

La passerelle Téléthon mobilise jusqu'en Mayenne

Le comité de pilotage Téléthon s'est rendu chez le partenaire mayennais qui contribue à construire la passerelle de l'édition 2012 du Téléthon. Des représentants du conseil des seniors, des résidents du foyer-logement les Blés d'or ainsi que des membres du comité de pilotage du Téléthon se sont récemment rendus à Craon, en Mayenne, dans le cadre d'une opération intitulée « Promenons-nous dans le bois ». La société Alanbois, le bois à la source, partenaire local, a organisé cette

journée autour de deux visites sur site : celle du centre animation jeunesse de Craon, construit en ossature bois avec remplissage de paille, bardage oléothermie en bois douglas, et petit réseau de chaleur bois énergie ; et celle de l'extension de l'hôpital de Craon avec ses façades en ossature bois sur une structure béton. Cette visite s'inscrivait dans le cadre des échanges en vue de la construction de la passerelle Téléthon, tout en bois de chêne et douglas, qui sera inaugurée le samedi 8 décembre, à 16 h 45, dans le parc André-Delibes. L'objectif poursuivi avec cette construction est que la somme des éléments achetés par les donateurs (chaque élément étant gravé à leur nom) approche le plus possible des 10 000 €.

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05 Décembre 2012 – Ouest France

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Journal Ouest-France du lundi 10 décembre 2012 Edition : Nantes - Rubriques : Communauté urbaine

La tour, le séquoia et le conteur sur bois

La sculpture représentant un séquoia géant adossé à la Tour Bretagne a été remise à André Guéry. Haute de 1,70 m et pesant 40 kg, elle lui servira pour ses animations. Michelle Leroy Paul Corbineau, sculpteur, a remis une magnifique sculpture représentant un séquoia dominant la tour Bretagne à André Guéry, un homme aux petits soins des arbres. Une belle histoire. Paul Corbineau est un conteur d'histoire sur bois. La sculpture qu'il a remis samedi à son ami André Guéry, « l'homme aux petits soins des arbres » et élagueur en chef à la ville de Nantes de profession, est née d'une archive étonnante. « André Guéry, raconte Paul Corbineau, m'a remis une lettre datée du XIXe siècle. De 1864 exactement. » Dans cette missive l'officier de marine M. de Cornulier à son ami le général Marion de Beaulieu donne quelques détails sur les arbres géants, les Séquoias. M de Cornulier évoque une forêt proche de San Francisco « où se trouve le plus beau de ces arbres, celui nommé father of the forest » (le père de la forêt) qui est tombé depuis 3 ans », écrit-il

donc en 1864. « Je l'ai mesuré et je lui ai trouvé 413 pieds de long », soit 134 m de hauteur. On dit que ce sujet avait peut-être 3 000 ans. Ce père de la forêt, Paul Corbineau, le donne à voir dans sa sculpture et il le place à toucher la tour Bretagne. Et même dans le creux de la tour. Comme un symbole de la nature qui domine les constructions des hommes. Et, comme un rappel (à l'ordre) pour mieux ramener l'homme à sa juste réalité. Imaginons un instant que l'on plante aujourd'hui en 2012 une graine au pied de la tour. Et en 5012, un grand séquoia s'épanouira dans les ruines d'une tour du XXe siècle. Une jolie fable, non ? Faire mémoire Son oeuvre, Paul Corbineau l'a taillé dans un tronc de séquoia bien entendu. À l'aide principalement d’une simple râpe et d'une simple gouge. Le tronc a été abattu au parc de la Gaudinière. Il était malade et creux en son centre. Pour reproduire les lignes blanches de la Tour Bretagne, Paul Corbineau a joué « sur le bois d'aubier et le bois de coeur », explique-t-il. « On dit parfois qu'un sculpteur donne une seconde vie à un arbre. Mais, c'est faux, on lui fait mémoire simplement. En revanche il est vrai que toutes les anecdotes de l'arbre sont inscrites dans le bois. Par exemple, on devine dans les noeuds les branches. » Sa sculpture, comme toutes les autres, il l'a réalisée dans son atelier aménagé dans son garage de son pavillon de Saint-Herblain, dans le quartier de Preux. Avec au mur et au plafond des centaines de chutes de bois. Sur chacune d'entre elles, Paul Corbineau peut être intarissable. Comme il peut être aussi très bavard et passionnant face à un simple parquet qui lui donne matière à raconter le bois, l'arbre, le vivant. Pas étonnant que le Muséum d'histoire naturelle de Nantes face appel à lui de temps en temps. Mais c'est une autre histoire.

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Journal Ouest-France du vendredi 14 décembre 2012 Edition : Sarthe Sud - Rubriques : Sablé Ville

Sapins : le bon plan des pros et de François Fillon

Antoine d'Amécourt, patron de la scierie du domaine de Pescheseul. En décembre, le domaine de Pescheseul à Avoise vend des sapins Nordmann. Des arbres appréciés des commerçants et d'un Solesmien bien connu. À Avoise, les commerçants et les collectivités ont leur adresse pour acheter des sapins de Noël. La scierie du domaine de Pescheseul. L'entreprise exploite, entre autres, huit hectares de sapins. Des arbres dont le tronc doit grossir mais dont une petite partie finit, en décembre, avec des boules au bout des branches. « Dans les parcelles, c'est le moment où on éclaircit », précise le patron,

Antoine d'Amécourt. « Éclaircir », dans la bouche d'un exploitant forestier, ça veut dire faire de la place aux arbres pour qu'ils se développent bien. Et sur les sapins précisément, ça signifie « couper les têtes ». Un bon plan pour les collectivités, les commerçants, « ou les gens qui ont une grande maison », ajoute Antoine d'Amécourt. Car avant de courir acheter son sapin au domaine de Pescheseul, mieux vaut prendre les mesures de son salon. De 2,5 à 5 mètres de haut « On propose des sapins de 2,5 à 5 mètres de haut. On fournit surtout les communes alentour comme Solesmes, Le Bailleul. J'en donne à Avoise aussi », explique le patron, également maire d'Avoise. « Mon père, qui était conseiller municipal, donnait déjà des sapins à la commune. » Les commerçants également connaissent l'adresse. Car le domaine ne fait que du Nordmann, « le plus beau des sapins de Noël et celui qui perd le moins ses épines aussi ». Et puis, dans ce petit carnet de commandes de décembre, Antoine d'Amécourt compte un illustre client. « Monsieur Fillon met tous les ans ses chaussons sous un sapin du domaine de Pescheseul ! » Le patron de la scierie livre en personne à Solesmes l'ex-Premier ministre. « Cette année, ça va être plus simple. Parce que pendant cinq ans, il fallait que j'appelle à Matignon pour prévenir de ma venue. Et sur place, je devais montrer ma pièce d'identité aux gendarmes en faction devant la propriété... Oui, cette année, ce sera plus simple. »

22 décembre 2012 – Le Bois International

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Janvier – février – Revue des Pays de la Loire

03 Janvier 2013 – La Lettre API

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12 Janvier 2013 – Le Bois International

Journal Ouest-France du samedi 12 janvier 2013 Edition : Angers Segre - Rubriques : Saint-Barthélemy-d'Anjou

Un sentier pédestre dans la forêt communale reboisée Thao Verly (directeur des services techniques), Dominique Chevrier (ONF), Yves Pocher (responsable espaces verts), le maire et Thierry Tastard (délégué au développement durable) ici au point de départ du sentier pédestre du Bois de l'hôpital. C'est un lieu encore mal connu. La forêt communale dite le Bois de l'hôpital est située sur la gauche de la D 347, en direction de Beaufort-en Vallée. Pour arriver au point de départ du sentier qui l'enserre (environ 2 km), il faut emprunter la rue de la Pie-Hardie et s'arrêter à la jonction de cette rue avec le chemin du Bois-de-l'hôpital. Ce bois d'une superficie de dix-huit hectares a été acquis par la

commune, il y a une vingtaine d'années. « Il doit son nom au fait qu'en d'autres temps, il fournissait le bois de chauffage à l'hôpital Saint-Jean », explique le maire Jean-François Jeanneteau. C'est au cours d'une promenade sur le site, en compagnie du conseiller délégué au développement durable et de deux représentants des services techniques, que le maire a fait le point sur les aménagements réalisés et en cours avec Dominique Chevrier, technicien de l'Office national des forêts (ONF). La promenade a emmené les visiteurs jusqu'à l'endroit où s'est effectuée l'opération de reboisement, sur un peu plus d'un hectare. « 1 100 arbres ont été replantés : un peu plus de mille chênes et des arbres d'accompagnement : merisiers, châtaigniers, cormiers... », explique Dominique Chevrier. Ils occupent une surface où étaient exploités des pins maritimes et des pins Douglas pour une scierie. « Il s'agit maintenant de valoriser les sols les plus fertiles et de travailler sur la biodiversité du site ». À terme, un sentier pédagogique L'entretien de la forêt et son aménagement ont été aussi l'occasion de créer un nouveau sentier pour les promeneurs et les joggeurs. Il est d'ores et déjà tout à fait praticable mais l'idée de lui donner une vocation pédagogique est à l'étude. « En partenariat avec l'ONF, et après concertation avec les enseignants des écoles et du collège, des panneaux informatifs seront installés sur le parcours. » Et plus tard, une liaison cyclable avec Pignerolle est envisagée, sous réserve d'aménagements routiers.

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