page 10 e mon incroyable aventure - ac-strasbourg.fr...fore de rond sans trou. ils comprirent...

5
PAGE 10 E milia et Antonio sont aspirés par le message laissé par Alice. Ils se retrouvent dans un monde blanc et lumineux face à une porte. Ils s’étaient offert mutuellement un collier de l’amitié qui formait le yin et le yang. Ils le portaient toujours. Les deux colliers se mirent à briller de plus en plus. Le deux amis se dirigèrent vers la porte et ils aperçurent une serrure en fore de rond sans trou. Ils comprirent qu’il fallait réunir leurs deux colliers. La porte s’ouvrit et ils se retrouvèrent dans une pièce où ils virent un coussin rouge. Sur ce coussin, il y avait une perle d’or. Ils n’en crurent pas leurs yeux. Avaient-ils touché au but ? Ils prirent la perle et partirent.. Ils avaient bien mérité un peu de repos. BIP, BIP, BIP… le réveil d’Alicie sonna. La petite fille ouvrit les yeux. Ce.e histoire n’avait été qu’un rêve. Elle s’empressa d’aller le raconter à sa mère. Antonio et Emilia resteraient à toujours des personnages imaginaires. Fin de l’histoire imaginée par les 6B Année 2014-2015 Mon incroyable aventure Une histoire coécrite par les élèves de CM2 de Roggenhouse, Rustenhart, Balgau, Dessenheim et les classes de 6° du collège F. Eboué UÉÇ}ÉâÜ õ àÉ |? g â xá à Ü ¢á v{aÇvxâå vaÜ àâ äaá ÑÉâäÉ|Ü ÑaÜà|Ü õ Äa Üxv{xÜv{x wx Äa Ñ xÜÄx wËÉÜA Xà ÖâaÇw àâ ÄËaâÜaá àÜÉâä°x? àâ ÑÉâÜÜaá Äa zaÜwxÜ vÉÅÅx ÑÉÜàx uÉÇ{xâÜA WaÇá Åa uÉâàx | ÄÄx? |Ä ç a Äx ÑÜxÅ|xÜ |Çw|vx Öâ| àx zâ|wxÜa äxÜ á âÇ aâàÜ x |Çw|vxA XÇ àÉâà |Ä ç a J |Çw|v x áA ` a|Çà x ÇaÇà Öâ x à â a á Äâ Äx Åxááa zx ? àâ w xäÜaá Äx ÜxÄ|Üx aààxÇà|äxÅxÇà ÑÉ â Ü àÜÉâäxÜ Äx áx Çw |Çw|vxA g â w x äÜaá ya|Üx ÑÜxâäx wx v Éâ Üaz x ? wË|Çàx ÄÄ |zxÇv x xà wx Ñx Üá°ä°Üa Ç vxA V{xÜv {x u| x ÇA gâ Ñaááx Üaá á±Ü xÅxÇà àxá Ä |Å|à x áA _x v{ xÅ|Ç áxÜ a ÄÉÇz Åa|á àâ Çx áxÜaá Ñaá w°†âA T| x Ä a yÉÜv x wx v{xÜv{xÜA Les élèves de CM2 de Balgau

Upload: others

Post on 27-Mar-2020

2 views

Category:

Documents


0 download

TRANSCRIPT

PAGE 10

Emilia et Antonio sont aspirés par le message laissé par Alice. Ils se retrouvent dans

un monde blanc et lumineux face à une porte. Ils s’étaient offert mutuellement un collier de l’amitié qui formait le yin et le yang. Ils le portaient toujours. Les deux colliers se mirent à briller de plus en plus. Le deux amis se dirigèrent vers la porte et ils aperçurent une serrure en fore de rond sans trou. Ils comprirent qu’il fallait réunir leurs deux colliers.

La porte s’ouvrit et ils se retrouvèrent dans une pièce où ils virent un coussin rouge. Sur ce coussin, il y avait une perle d’or. Ils n’en crurent pas leurs yeux. Avaient-ils touché au but ? Ils prirent la perle et partirent.. Ils avaient bien mérité un peu de repos.

BIP, BIP, BIP… le réveil d’Alicie sonna. La petite fille ouvrit les yeux. Ce.e histoire

n’avait été qu’un rêve. Elle s’empressa d’aller le raconter à sa mère. Antonio et Emilia resteraient à toujours des personnages imaginaires.

Fin de l’histoire imaginée par les 6B

Année 2014-2015

Mon incroyable

aventure

Une histoire coécrite par les élèves de CM2 de Roggenhouse,

Rustenhart, Balgau, Dessenheim et les classes de 6° du collège F.

Eboué

UÉÇ}ÉâÜ õ àÉ|? gâ xá àÜ¢á v{aÇvxâå vaÜ àâ äaá ÑÉâäÉ|Ü ÑaÜà|Ü õ Äa Üxv{xÜv{x wx Äa ÑxÜÄx wËÉÜA Xà ÖâaÇw àâ ÄËaâÜaá àÜÉâä°x? àâ ÑÉâÜÜaá Äa zaÜwxÜ vÉÅÅx ÑÉÜàx uÉÇ{xâÜA WaÇá Åa uÉâàx|ÄÄx? |Ä ç a Äx ÑÜxÅ|xÜ |Çw|vx Öâ| àx zâ|wxÜa äxÜá âÇ aâàÜx |Çw|vxA XÇ àÉâà |Ä ç a J |Çw|vxáA `a|ÇàxÇaÇà Öâx àâ aá Äâ Äx Åxááazx? àâ wxäÜaá Äx ÜxÄ|Üx aààxÇà|äxÅxÇà ÑÉâÜ àÜÉâäxÜ Äx áxvÉÇw |Çw|vxA gâ wxäÜaá ya|Üx ÑÜxâäx wx vÉâÜazx? wË|ÇàxÄÄ|zxÇvx xà wx ÑxÜá°ä°ÜaÇvxA V{xÜv{x u|xÇA gâ w°ÑaááxÜaá á±ÜxÅxÇà àxá Ä|Å|àxáA _x v{xÅ|Ç áxÜa ÄÉÇz Åa|á àâ Çx áxÜaá Ñaá w°†âA T|x Äa yÉÜvx wx v{xÜv{xÜA

Les élèves de CM2 de Balgau

Voulez-vous que je vous raconte l’incroyable aventure qui m’est arrivée ?

Je m’appelle Emilia. Dans mon enfance, j’avais un voisin qui se nom-

mait Antonio. On était inséparables, on partageait beaucoup de choses, on avait les mêmes notes à l’école, on aimait les mêmes plats, les mêmes couleurs, les mêmes livres, ceux qui parlent d’aventures, de mystères, les histoires qui vous emmènent d’un endroit à un autre… Nous habitions tous les deux en Italie, dans un petit village de la région de Pise mais nos chemins s’étaient séparés suite au déménagement de mes parents. Sept ans plus tard, lors de mon 13ème anniversaire, mes parents décidèrent, pour me faire plaisir, de m’emmener à l’auberge « Villa Veroni », réputée pour ses délicieuses pizzas. L’auberge était une vieille bâtisse, restaurée depuis peu et son décor, ses vieilles tables me rappelaient les châteaux anciens. Après le repas, on m’apporta un gâteau et au moment de souffler les treize bou-gies, je fis un vœu : « Je souhaite tellement revoir mon ami Antonio ». Tout à coup sortit des cuisines un garçon au visage qui m’était familier et à ma grande surprise, je reconnus Antonio. Il me dit qu’il travaillait là comme pizzaïolo. Il mangea un morceau de gâteau avec moi mais fit tomber une bougie. Il la ramassa et un instant après il cria : « Emilia, regarde ! » Je me baissai, Antonio ralluma la bougie… Sous la table était gravé un dessin qui semblait représenter l’auberge avec une croix au centre indiquant exactement l’endroit où nous nous trouvions. Des traits creusés menaient à une tour penchée. En baissant les yeux vers le sol, on pouvait remarquer la même croix sur une dalle qui n’était plus fixée.

« Que faites-vous là-dessous ? » s’étonnèrent mes parents. On ne dit rien, on reprit nos places et Antonio me chuchota qu’on reviendrait là à un autre moment puisqu’il avait la clé de l’auberge. On se retrouva une fin d’après-midi, impatients d’aller voir ce qui se cachait sous ce.e mystérieuse dalle ! On pénétra dans l’auberge, il n’y avait personne, c’était le jour de fermeture. Une atmosphère étrange se dégageait, les rayons du soleil faisaient danser les ombres dans la grande salle. On se précipita vers la fameuse dalle, on réussit à la soule-ver sans peine, un froid glacial surgit et il faisait noir, un frisson me parcourut tout le corps mais Antonio prit une lampe et me dit : « Emilia, suis-moi ! »

PAGE 2 PAGE 9

La porte d’Emilia était noire avec un énorme éclair jaune orangé. « Voilà donc la fameuse porte de l’éclair », pensa Emilia étonnée de l’avoir déjà trouvée. Elle essaye de l’ouvrir sans succès : il fallait une clé. Par réflexe, la jeune fille toucha sa poche et entendit un gling-gling. « La clé de la boîte verte !! Je n’ai qu’à l’essayer ! » Elle mit la clé dans la serrure et la porte s’ouvrit sur un couloir sombre. Une fois qu’Emilia avait passé la porte, celle-ci se referma. Elle était enfermée.

Antonio parvint devant une porte bleue avec des vagues et des coquillages. Il observa la serrure qui avait une forme originale : ça ressemblait à un grand coquillage. Le garçon réfléchit et fit le rapprochement avec le coquillage trouvé dans la boîte rose. Il approcha le coquillage de la serrure et il s’illumina. La porte s’ouvrit ainsi que le coquillage dans lequel se trouvait une fille qui grandit d’un coup.

Qui était-elle ? Un mystérieux papier tomba aux pieds d’Antonio qui le ramassa.

Les élèves de CE2-CM1-CM2 de Rustenhart

PAGE 8

Déterminés pour gagner la sortie, Ensemble vous y parviendrez. Chance ou malchance, tout peut

arriver. Heureusement la chance vous sou-

rit, Aujourd’hui vous avez réussi. Ne baissez pas les bras avant l’arri-

vée Car tout s’est bien passé. Ensemble vous avez triomphé.

.

Une fois le long poème lu, Antonio et Emilia ne comprirent pas tout de suite le

sens. Ils le relurent plusieurs fois et trouvèrent un indice en assemblant les premières le.res des vers. Ce qui donnait « Dans votre main droite suivez la ligne de chance ». Emilia regarda sa main droite et les amis suivirent sa ligne de chance qui les conduisit jusqu’à un chemin très étroit.

Sur ce chemin, ils virent des gravures sur le mur qui formaient le nombre 10430. « Ca peut nous être utile pour notre aventure, dit Antonio. Je vais le noter sur ma main ». Ils continuèrent de marcher et aperçurent deux chemins. Les amis décidèrent de se séparer : Emilia suivit sa ligne de chance vers la droite et Antonio prit le chemin de gauche. Ils arrivè-rent tous les deux devant des portes différentes.

La classe de 6ème D

PAGE 3

Après avoir descendu quelques marches, on longea sur plusieurs mètres un couloir souterrain qui n’avait sûrement plus été emprunté depuis des années. Les parois étaient humides et le sol glissant, heureusement qu’Antonio me tenait ! Nous arrivâmes à un endroit où des caisses étaient entreposées. Elles contenaient des bouteilles de vin italien, du Lambrusco. Sur les étique.es se trouvaient le nom de l’au-berge « Villa Veroni » et…mon prénom « Emilia » ! Etait-ce un hasard ? L’une de ces bouteilles a.ira notre a.ention : elle était vide mais un papier avait été glissé à l’intérieur. Antonio le retira délicatement et, à la lumière de sa lampe, on pouvait lire un message dont certaines le.res avaient été entourées. Ce message nous invitait à « partir à la recherche de la perle d’or » et en déchiffrant les le.res entourées, voici ce qui apparut : « Tour de Pise 7éme étage du côté où elle penche repasse sur le chat ailé. » Nous tenions notre premier indice, notre quête pouvait commencer ! On continua à longer le souterrain, on vit enfin de la lumière, on courut, grimpa quelques marches : on était au pied de la tour penchée, la tour de Pise ! Un escalier étroit en colimaçon s’ou-vrait devant nous : un passage secret ! « Direction 7ème étage ! » s’exclama Emilia. Arrivés tout en haut, on aperçut au sol, sur la dernière marche, une mosaïque représentant un animal avec des ailes : était-ce le chat ailé du mes-sage ? Il était tigré, blanc et noir et ses ailes majes-tueuses étaient bleues. Quelques morceaux man-quaient mais, tout à coup, les derniers rayons du soleil passèrent à travers la fenêtre placée du côté où la tour penche et illuminèrent la mosaïque : un autre dessin apparut…

Les élèves de 6C

PAGE 4

Sous les rayons du soleil nous

découvrîmes progressivement un bâtiment ancien construit en forme circulaire. Emilia dit : « Ca ressemble à un amphithéâtre ! » Il a l’air très vieux et très abîmé. Certains murs sont détruits. Il y a de nombreuses ouvertures. Antonio se demanda où pouvait bien se trouver ce bâtiment. « Il me semble que je le recon-nais ! » s’écria Emilia. « Il s’agit du Coli-sée qui se trouve à Rome. C’est un amphi-théâtre vieux de presque 2000 ans qui était utilisé pour les combats entre gladiateurs et fauves ». Antonio pensa qu’il fallait se rendre à Rome au Colisée pour trouver de nouveaux indices ! Emilia s’écria « Mais c’est beaucoup trop loin ! » « Je suis totalement d’accord, répondit Antonio mais il faut y aller pour trouver la perle

d’or ! Comment allons-nous faire ? Nous n’avons pas de chauffeur ! Nous allons faire du stop ! » Ils rassemblèrent quelques affaires dans leur sac à dos et se mirent en quête d’une voiture. Quelle chance ! Le cuisinier de la villa Veroni les prit à bord de sa voiture. En route jusqu’à Rome ! Ils se dirigèrent vers le Colisée, quand tout à coup la terre se mit à trembler, des gaz toxiques envahirent l’air, la terre se fissura, de la lave coulait en direction du Colisée et des bombes de roche volcanique étaient projetées depuis le volcan Monte Albano. Emilia et Antonio s’écrièrent : « Oh non !! Le volcan se réveille, nous n’arriverons jamais à temps !! »

Les élèves de CM2, CM1 et CE2 de l’école La Clef des Champs de Roggenhouse.

PAGE 7

Antonio et Emilia découvrirent un étrange poème, qu’ils décidèrent de lire aussitôt. D’arbre en arbre, de feuille en feuille et de poème en poème, Avant de découvrir le chemin conduisant à la perle d’or, Ne retenez des quarante vers de ce long poème Seulement la première le.re : celle-ci perme.ra notamment de retrouver le dehors. Vous chercherez une lumière Orangée, luisant au fond d’une caverne. Toutes les issues sont possibles, même

celle de la mer, Riant comme une reine. Ensemble vous trouverez quelque chose

de cher. Magnifique est votre pensée, mieux vaut

la protéger. Abracadabra ! La sortie est là ! Il n’est pas loin l’indice, il est à interpré-

ter. Ne pas trop y penser mais imaginer là-bas, Dans la maison en chocolat, dans un coffre Rouge, il y a un paquet bleuté avec marqué : « Oh ! Je ne pensais pas vous voir si vite, maintenant il y a une offre. Interagissez avec moi et dans un chemin enchanté Toujours vous me suivrez Et vous trouverez un autre indice ». Suivez le chemin de la destinée, Une autre lumière apparaîtra. Instantanément vous la suivrez, Vous verrez : l’énigme sera là. Ensuite vous devrez la résoudre, Zigzaguant entre la foudre. La solution est inscrite dans les éclairs Aussi bien que dans la lumière, La lumière se reflétant sur la montre Indiquera le dos de celle-ci et les Gravures inscrites derrière la montre. Ne surtout rien oublier : chiffres et le.res Et la porte s’ouvrira peut-être.

PAGE 6

Tout à coup, alors qu’ils se demandaient pourquoi ce parchemin était vide, passa un lapin

bleu. Emilia et Antonio l’arrêtèrent et lui dirent : « Pourrais-tu nous aider, nous avons découvert un parchemin, mais impossible de le lire. C’est une

question de vie ou de mort ! » Le lapin bleu s’empara des deux parties du parchemin et tandis qu’il tentait de déchiffre le

message, des lumières bleues jaillirent de ses yeux. Puis tout à coup, sans que les enfants ne s’y a.endent, il prit ses jambes à son cou et s’enfuit. Les enfants le virent pénétrer dans un terrier… Horrifiés, ils se mirent à sa poursuite, se précipitèrent à l’intérieur du terrier et…tombèrent

dans un puit, où ils tourbillonnèrent lentement au milieu de fleurs multicolores. Au fur et à mesure de leur descente, des chandeliers remplis de bougies s’allumaient sur leur

passage. Le lapin leur faisait des signes. Ils a.errirent en douceur sur un tapis de mousse et de feuilles.

Mais pas le temps de se reposer : le lapin avait repris sa course. Il s’arrêtait, chantonnait, puis repartait de plus belle :

« Soir de printemps, de bougie en bougie, la flamme se transmet. » « Je suis sûre que c’est le message du parchemin, dit Emilia, la lumière bleue de ses yeux lui a per-

mis de déchiffrer les le.res invisibles. » Bientôt, il disparut complètement. Heureusement les bougies étaient là pour les guider. Ils

arrivèrent dans une petite pièce toute ronde. Apres en avoir fait le tour, ils aperçurent une petite table sur laquelle était posée une bouteille remplie d’un breuvage coloré. Sur l’étique.e était inscrit EMI-LIA. Un message se trouvait à côté :

« Lorsque tu auras bu la potion, tu trouveras la porte pour continuer ton chemin, mais prends bien soin de moi car si tu me casses, tu n’auras plus les moyens de retourner chez toi. Ce.e boisson te donnera bien des pouvoirs. Il suffira que tu touches une personne pour que s’accomplisse ta volonté »

Ils eurent beau faire le tour de la pièce, aucune issue ne leur apparut. Le long couloir avait disparu ainsi que le lapin bleu.

Alors, ne sachant que faire d’autre, Emilia but la potion de sa main droite et de sa main gauche elle tenait Antonio.

Une douce brise les effleura et ils eurent l’impression que la pièce devenait immense. En fait, ils étaient devenus très petits. Tout à coup, quatre petits lapins apparurent : un vert, un bleu, un blanc et un rose. Chacun

portait une petite boite qu’ils posèrent à un endroit bien précis marqué d’une croix et sur la périphé-rie de la diamétralement opposées. Le premier lapin leur dit : « A.ention ! Chaque boîte porte un numéro. Il faut respecter l’ordre de ces numéros pour les ouvrir. Si tu suis bien la consigne, ces petites boites te mèneront à la perle d’or. » Ils se dirigèrent vers la boite verte qui portait le numéro 1 et l’ouvrirent…

La suite au prochain épisode…

Les élèves de l’école de DESSENHEIM pour les sixième D.

PAGE 5

Ils parvinrent, après bien des difficultés, aux pieds du Colisée. Une pierre enflammée

tomba aux pieds du cuisinier qui hurla : « Sauvons-nous ! » Emilia et Antonio ne savaient plus quoi faire. Ils se mirent à courir mais les gaz toxiques les aveu-glèrent et ils tombèrent dans une fissure due au tremblement de terre. Un tourbillon les entraîna jusqu’aux entrailles de la Terre. Une fois remis de leurs émotions, ils découvrirent une vieille porte en bois, l’ouvrirent et furent éblouis par une lumière. Quand ils rouvrirent les yeux, ils avaient devant eux l’âme d’un empereur japonais qui leur dit : « Suivez la lumière de la perle d’or qui se trouve incrustée dans mon sceptre. Elle vous

guidera. N’oubliez pas. La lumière sera toujours votre plus fidèle compagne. » Au bout de quelques heures, ils arrivèrent devant une nouvelle porte, l’ouvrirent et se retrouvèrent projetés au Japon, mais au Moyen Age. Soudain un samouraï surgit devant eux. Il sortit son sabre de son étui mais ne les a.aqua pas. Il leur dit : « Si vous parvenez à résoudre mon énigme, vous pourrez continuer votre chemin. Quel

animal garde l’entrée du palais de l’empereur ? » Les deux adolescents se concertèrent et répondirent au bout de quelques minutes : « Ca doit être un animal grand et fort pour repousser les ennemis. Mais bien sûr ! C’est un

dragon ! » Le samouraï s’inclina devant eux et Antonio vit au bout du sabre un parchemin qu’Emilia, en tremblant, prit. Le samouraï fit une piroue.e et disparut dans un nuage de fumée. Ils n’osèrent pas l’ouvrir car ils n’en avaient qu’un morceau. La lumière réapparut. Ils la suivirent pendant de longues heures et arrivèrent devant le temple de l’empereur.

« Regarde Emilia ! Le dragon ! » Ils s’en approchèrent. La lumière leur indiquait la tête. Après réflexion, Antonio déci-da de l’examiner. Soudain les yeux du dragon se mirent à briller comme des saphirs. Il ap-puya dessus. Le dragon les avala sans hésiter. Un tourbillon les emporta et ils arrivèrent dans un parc. Soudain apparut une geisha. Elle était magnifique dans son kimono rouge. Elle prit la parole et leur demanda :

« Qu’admirent les Japonais au printemps ? » Emilia qui adorait les fleurs répondit : « Les cerisiers en fleurs »

La geisha ouvrit son ombrelle et l’autre partie de parchemin en tomba. Emilia la ra-massa et les deux adolescents remercièrent chaleureusement la geisha qui soudain s’envola et disparut dans les nuages.

Antonio avait entre les mains les deux bouts de parchemin. Emilia voulut tout de suite connaître le nouvel indice qui les mènerait à la perle d’or. Surprise ! Il n’y avait rien d’inscrit sur le parchemin. Que devaient-ils faire à présent ?

Les élèves de 6A