organisation et gestion de la lutte anti-vectorielle ... · le «moustique tigre»aedesalbopictus...

Organisation et gestion de la lutte anti-vectorielle

contre le « moustique tigre » en Gironde

Le 4 mai 2019 – VILLENAVE-D’ORNON

La prévention au service de votre santé

République Française

SOMMAIRE

1 - L’EID Atlantique

2 - Les moustiques

3 - Le « moustique tigre » Aedes albopictus

4 - Les principes et la méthode de lutte



L’EID Atlantique

Etablissement Public Interdépartemental

pour la Démoustication

du littoral Atlantique

4L’EID Atlantique


L’EID Atlantique : près de 50 ans d’histoire…

5

� une structure interdépartementale créée en 1969 à l’initiative desresponsables de la jeune chambre économique de la Charente-Maritime

� création de l’Entente interdépartementale avec l’adhésion successivede la Vendée (1972) puis des départements de la Loire-Atlantique (1976),de la Gironde (1979) et du Morbihan (1997)

� en 2011, l’Entente interdépartementale devient l’Etablissement publicinterdépartemental

L’EID Atlantique


6

Le cadre juridique d’intervention

L’EID Atlantique, un Établissement Public Administratif qui assure 3 principalesmissions :

� l’information et la prévention sur les risques sanitaires et vétérinaires

� la veille et la surveillance entomologique

� la régulation des moustiques « vulnérants » et vecteurs potentiels de maladies

L’EID Atlantique

7


Loi du 16 décembre 1964 relative à la lutte contre les moustiques

Deux contextes réglementaires :

� d’une part, la régulation des moustiques nuisant

� Objectif de régulation = démoustication dite de « confort »

� d’autre part, la surveillance et la lutte contre les moustiques vecteurs demaladies

� Objectif de santé publique = démoustication dite « sanitaire »


L’EID Atlantique

8


Un pouvoir de police spécial des Préfets

Un arrêté préfectoral annuel qui :

� fixe les zones de lutte contre les moustiques

� présente les modalités pratiques d’intervention définies et retenues par lepétitionnaire (CD 33)

� autorise l’organisme de droit public désigné à procéder à ces opérationssur toutes propriétés publiques et privées


L’EID Atlantique


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La compétence territoriale

Une compétence territoriale sur 5 départements membres :

� Morbihan� Loire-Atlantique� Vendée� Charente-Maritime� Gironde

Une mission de veille entomologiqueet sanitaire sur le territoire des5 régions et des 22 départements de lafaçade Atlantique, Manche et Mer-du-Nord

L’EID Atlantique


Organisation et moyens de l’EID Atlantique

L’EID Atlantique est administré par un Conseil d’administration composé de20 Conseillers départementaux :

� 4 Conseillers départementaux par Département membre

� 1 Présidente élue au sein de ce collège : Madame Dominique RABELLE

� 1 Vice-président par Département (Monsieur Alain RENARD en Gironde)

10

Le Département de la Gironde finance l’intégralité des dépenses de lutte contre le « moustique tigre »

L’EID Atlantique

SOMMAIRE


2 - Les moustiques




Biologie et écologie

Les moustiques 13


Diptères ≠ Diptères piqueurs

Diptères = 80 000 espèces environ, occupent la première place en médecine humaine et vétérinaire

(rôle vecteur, nuisances).

Culicidés = 3500 espèces à travers le monde


Les moustiques 14


Les moustiques et leurs milieuxNotion de « moustiques cibles »


Les moustiques 15

3 500 espèces recensées dans le monde dont :

� 105 espèces en Europe

� 67 espèces en France métropolitaine

� 36 espèces dans la zone de surveillance del’EID Atlantique dont 80% représentent desvecteurs potentiels de transmission demaladies à l’Homme.

� 12 espèces spécifiquement régulées enfonction de leur agressivité, de leurabondance et du risque sanitaire


16

Les moustiques vulnérants et vecteurs de maladies

Les moustiques



Les moustiques 17



Les moustiques 18

Le risque entomologique ...

� les moustiques sont les premiers vecteursde maladies dans le monde

� 90% de l’humanité sont exposés à un risquede piqûres de moustiques

� 3 milliards d’individus sont exposés à un risqueélevé de maladies transmissibles

19Les moustiques


MOUSTIQUE COMPETENT ET ACTIF

CIRCULATION D’AGENT PATHOGENEPOPULATION SENSIBLE

20

Le moustique vecteur de maladies

Les moustiques

Les principales affections transmises par les moustiques


21

� le paludisme (parasite) : 212 millions de cas dontprès de 450 000 morts par an dans le mondeessentiellement en zone intertropicale

� la dengue (virus) : 50 millions de cas par an

� le chikungunya (virus) : 300 000 cas sur l’Ile de laRéunion en 2006plus de 1,3 million de cas en Amérique en 2013-2014

Les moustiques


22

� le West Nile (virus) : endémique dans le pourtourméditerranéen

� le zika (virus) : plus de 2 millions de cas enAmérique depuis 2015, avec des formesneurologiques graves (microcéphalie)

Les moustiques

Les principales affections transmises par les moustiques

Le coût financier d’une crise sanitairepour la Collectivité ?

L'épidémie de chikungunya de 2005-2006 sur l’Ile de la Réunion(850 000 habitants) a coûté 44 millions d'euros à l'Etat dont 17 millions d’eurosliés à l’absentéisme

SOMMAIRE


2 - Les moustiques




Aedes albopictus : une espèce invasive

� se déplace peu par vol actif (une centaine de mètres)

� emprunte facilement divers moyens de transports

� actif toute la journée (diurne et nocturne)

� compétent pour au moins 26 arboviroses


25Le « moustique tigre » Aedes albopictus

Aedes albopictus : une espèce opportuniste

� Pond ses œufs dans de nombreuses petitescollections d’eau

� S’adapte particulièrement bien aux « gîtesartificiels » urbains

� Ses œufs résistent à la sécheresse et au gel etpeuvent rester quiescents de plusieurs mois àplusieurs années



1. Larves et nymphes

Aspect général

Larve d’aspect plutôt clair avec tête sombre et siphon sombre et court



2. Imagos (= adulte)

Aspect général

� Petit moustique noir et blanc

� Nombreuses taches blanches sur robe très sombre (tête, thorax, abdomen, pattes) lui donnant un aspect « tigré »



Caractères diagnostics majeurs de l’imago (= individu adulte)

� Tarses ornés d’anneaux blancs inter-articulaires (1)

� Tergites abdominaux ornés d’une fine bande basale claire élargie latéralement (3)

� Ligne blanche médiane marquée sur le mésonotum, se prolongeant sur la tête (4)

2. Imagos


3. Œufs

Aspect général

� Fusiforme (œufs d’Aedes)

Caractère diagnostics majeurs de l’œuf

� Chorion (enveloppe) externe orné de réticulations polygonales avec un tubercule central très prononcé


� 1999 : première détection en France métropolitaine

(sites de pneus importés - 61 et 86)

� 2004 : implantation dans les Alpes-Maritimes (04)

� 2005-2006 : 300 000 cas de chikungunya à la Réunion

� 2005-2006 : plan anti-dissémination

� 2007 : 300 cas de chikungunya en Italie

� 2010-2014 : cas autochtones de dengue et de chikungunya en métropole

� 2014-2015 : épidémie de chikungunya dans les Départements français d’Amérique

� 2014 : passage du département de la Gironde en niveau 1

� 2015-2016 : épidémie de zika en Amérique – urgence sanitaire de niveau mondial (OMS)

� 2017 : 17 cas autochtones de chikungunya dans le Var

� 2018 : 1 503 cas d'infection humaine autochtone à virus West Nile (VWN) en Europe

� 2019 : plus de 6 000 cas de dengue à la Réunion depuis le 1er janvier

Rappels historiques



� Originaire d’Asie du Sud-Est� En expansion mondiale depuis 30 ans

Dans le monde


En Europe (données 2018)



1999-2004 2005-2010 2011-2014 2015-2017

La progression du « moustique tigre » en France


1er Janvier 2019

� En Gironde en 2018

� Implantation d’Aedes albopictus sur 88 communes (25 des 28 communes de Bordeaux Métropole, axe La Réole-Langon-Cadaujac, axe Langon-Cadillac-Latresne, 6 communes sur10 du pourtour du bassin d’Arcachon)

� Détections ponctuelles d’Aedes albopictus

sur 43 communes

� 2 points d’entrée du territoire surveillés au titre duRSI� Aéroport de Bordeaux-Mérignac et Port de

Bordeaux (3 terminaux : Bassens, Blaye et Le Verdon)

� 1 présence d’Aedes albopictus détectée sur leterminal de Bassens en octobre 2018

� 17 établissements de santé surveillés sur leurpourtour

� Aucun cas d’arboviroses autochtones enGironde depuis 2014


Critères d'évaluation du risque d'implantation du "moustique tigre" (Aedes albopictus) dans les communes de Gironde

(Cf. Instruction n° DGS/VSS1/2017/128 du 13 avril 2017 - Annexe B - Avis du CNEV relatif à la surveillance des moustiques invasifs au sein des départements en niveau 1 du plan anti-dissémination

de la dengue et du chikungunya en France métropolitaine)

Risque population(nombre d'habitants)

Niveau de risqueRisque touristique

(nombre d'établissements)Niveau de risque

500 1 Absence 1

3000 2 1 à 5 2

6000 3 6 à 25 3

10000 4 26 à 50 4

15000 5 51 à 100 5

>15000 6 >100 6

Risque localisation(distance de la zone colonisée)

Niveau de risqueRisque flux/déplacement

(réseau routier )Niveau de risque

Risque "Evènementiel" (spectacles, festivals et animations

temporaires ou permanents)fréquentation annuelle

Niveau de risque

>10km 1 Routes communales 1 <10000 15 à 10 km 2 Routes départementales 2 10000 à 50 000 20 à 5 km 3 Routes nationales 3 50 001 à 300 000 3

Commune à détection ponctuelle 4 Autoroutes 4 > 300 000 4Commune colonisée 5

Risque "aire de service" (distance aires de service, de

péage et/ou de repos -à la zone colonisée)

Niveau de risque

Risque RSI (points d'entrée du territoire

(ports et aéroports) et plateformes logistiques)

Niveau de risque VULNERABILITE

Score (addition des niveaux de

risque)

>500 m 1 Absence 1 Risque faible (7 à 10)

500 à 100 m 2 Plateforme, MIN, GPM, Aéroport 2 Risque modéré (11 à 15)

< 100 m 3 Site de pneus 3 Risque important (16 à 20)

Risque très important (21 à 25)

Risque maximum (26 à 30)

Commune colonisée


Carte du risque d’implantation du « moustique tigre » (Aedes albopictus) dans les communes de Gironde

En 2019


Au 1er mai 2018

Au 1er mai 2019



Le « moustique tigre » à Villenave d’Ornon

� Détecté en 2016

� Implanté en 2017

� Distribué sur l’ensemble du territoire villenavais

� 86 signalements recensés par l’EID Atlantique

en 2018


Caractérisation des gîtes larvaires


SOMMAIRE


2 - Les moustiques





LES PRINCIPES

� évaluation du risque entomologique

� contrôle du risque de transmission vectorielle

� maîtrise du risque épidémiologique

44Les principes et la méthode de lutte

1. L’information et la sensibilisation dugrand public et des professionnels desanté sur les risques sanitaires etvétérinaires liés aux moustiques



iMoustique®, une application grand publicpour :

1. faciliter le signalement grâce à l’appareilphoto embarqué

2. initier à la reconnaissance des moustiques

3. sensibiliser sur les « bons gestes » deprévention

4. répondre aux questions les plus courantessur les moustiques

5. informer sur les espèces de moustiquesprésentes dans l’ouest de la France

6. détecter le plus précocement lemoustique tigre (Aedes albopictus) surles territoires non colonisés

La surveillance par la veille citoyenne


La méthodologie de terrain


iMoustique®, une application grand publicpour :

1. faciliter le signalement grâce à l’appareilphoto embarqué

2. initier à la reconnaissance des moustiques

3. sensibiliser sur les « bons gestes » deprévention

4. répondre aux questions les plus courantessur les moustiques

5. informer sur les espèces de moustiquesprésentes dans l’ouest de la France

6. détecter le plus précocement lemoustique tigre (Aedes albopictus) surles territoires non colonisés

La surveillance par la veille citoyenne


49

EXPERTISE

SELECTIVITE

TRACABILITE

Les principes et la méthode de lutte


Une démarche responsable et environnementale :le choix d’un larvicide d’origine biologique

� une substance active issue d’une bactérie naturelle(Bacillus thuringiensis israelensis Bti - souche AM 65-52non OGM)

� homologué Nature et progrès® pour la production desel et certifié Ecocert ® pour l’agriculture biologique

� une formulation granulée, épandue en bouillie etpréparée avec l’eau du milieu

� un dosage appliqué en moyenne à 300 g/ha deVectoBac®WG soit trois fois inférieur à la dosehomologuée (1kg/ha)



� Compétence des Départements / Loi du 16 décembre 1964Compétence transférée à des opérateurs publics (ex. EID Atlantique)

� Mise en œuvre de la LAV

� Financement (participation des communes à hauteur de50% maximum, selon la clé de répartition fixée par le Département ;Charges de la LAV non réparties à ce jour en Gironde)

51

Cadre règlementaire général de la LAV



� Compétence des Maires Cf. CGCT (BH, SCHS) / Salubrité et hygiènepublique

� Application du Règlement Sanitaire Départemental (RSD)� évacuations des eaux pluviales� ouvrages d’assainissement� locaux souillés ou inondés par des infiltrations� réserves d’eau non destinées à l’alimentation� contrôle des insectes

� Gestion des déchets et des véhicules hors d’usage (VHU)

� Vigilance sur les pratiques des services municipaux :

� voiries� espaces verts� urbanisme

52

Cadre règlementaire général de la LAV



Le Plan anti-dissémination du chikungunya et de la dengue

• Niveau albopictus 0

� 0.a absence d’Aedes albopictus

� 0.b présence contrôlée (observation d’introduction suivie de traitement puisd’une élimination ou d’une non prolifération)

• Niveau albopictus 1 : Aedes albopictus implantés et actifs

• Niveau albopictus 2 à 5 (a et b) : Aedes albopictus implantés et actifs et

présence de cas humains autochtones isolés jusqu’à l’épidémie généralisée



Délimitation du cadre d’intervention de l’EID Atlantique

• L’EID Atlantique intervient dans le cadre de l’Arrêté Préfectoral pour :

� la surveillance entomologique (évaluation de la densité vectorielle)

� les enquêtes entomo-épidémiologiques autour de « cas suspects importés »

� les interventions de traitements autour de « cas » à la demande de l’ARS

� pour des opérations d’action/communication notamment dans le cadre des prospections domiciliaires

• L’EID Atlantique n’intervient pas pour la gestion de la nuisance ressentiepar les habitants liée au « moustique tigre »



Objectif : limiter la transmission d’agents pathogènes (virus, bactéries,parasites) par des moustiques vecteurs

Stratégie : détecter le plus précocement les espèces invasives et retarderleur extension sur de nouveaux territoires ; surveiller les vecteurs et limiterleur prolifération sur les territoires colonisés ; estimer la densité vectorielle

Moyens : une connaissance fine des vecteurs ; une surveillance baséesur des piégeages et sur le recueil de signalements ; des enquêtes ; destraitements


La surveillance entomologique active (piégeage) et passive (signalements)


Identifier les gîtes potentiels pour les supprimer, réduire le risque de

prolifération ou les traiter (anti-larvaire)


Supprimer les gîtes potentiels


� Connaître les gîtes larvaires

10 prospections domiciliaires en 2016

� 10 communes

� 1 111 maisons enquêtées

� 1 761 gîtes potentiels

� Indice Maison entre 0 et 14

� Indice de Breteau entre 0 et 52

� 70 gîtes positifs à Aedes albopictus

� 361 maisons traitées, 317 gîtes traités�6,5 kg de Vectomax© (anti-larvaire

d’origine biologique)

59

Evacuation des eaux (siphon,

regard, fosse septique)

4%

Dessous de pot de fleurs, vase, pot de

fleurs 2%

Petits déchets (pot de

peinture, casserole, conserve)

3%Petits

récipients (seaux, pied de parasol, barbecue)

7%

Récupérateurs d'eau (fûts,

citerne, bidon jardin) 83%

Bâche 1%

Répartition des types de gîtes positifs à Aedes albopictus

en Gironde en 2016 lors des prospections domiciliaires





� 13 communes

� 1 048 maisons enquêtées

� 422 maisons visitées

� 1 667 gîtes potentiels identifiés


� 350 gîtes potentiels détruits

� Indice Maison jusqu’à 60

� Indice de Breteau jusqu’à168

60

Dessous de pots de fleurs, pot de fleurs,

vase19%

Evacuation des eaux4%

Grand récipient6%

Petit récipient15%

Récupérateur d'eau55%

Bâche1%





Evacuation des eaux 21%

Grand récipient

18%

Petit récipient

11%

Récupérateur d'eau 48%

Bâche2%



� 8 communes

� 453 maisons enquêtées

� 424 gîtes potentiels identifiés


� 66 gîtes potentiels traités et 57 détruits

� Indice Maison jusqu’à 50

� Indice de Breteau jusqu’à133

61




� Une fiche pratique




La lutte contre ces insectes consiste en priorité à éliminer tous les« gîtes larvaires », que sont les réceptacles qui reçoivent et conservent del’eau. Ils constituent des lieux où les femelles moustiques pondent et où leslarves se développent.

∗ fermer hermétiquement les récupérateurs d’eau de pluie

∗ assurer l’écoulement total en tout point du réseau et éliminer toutesles eaux résiduelles, de début mars à fin octobre

� La récupération de l’eau de pluie

des éléments du bâti



des éléments du bâtiCaractérisation des gîtes larvaires


Un dispositif de stockage temporaire de l’eau de pluie et d’infiltration

� La noue enherbée

Un jardin d’eau, attention aux eaux stagnantes

� Y introduire des espèces « mangeuses de larves » (Gambusie, libellules…)


� De nouvelles solutions techniques :

� Des solutions techniques anti-moustiques adaptées au bâti (gouttières, regards)



AD21

JE RANGE A L’ABRI les récipients et les objets qui peuvent retenir de l’eau de pluie

JE TRIE ET JE JETTE tout ce qui ne me sert plus

JE NETTOIE une fois par an, les gouttières, les regards et les siphons

J’ENTRETIENS régulièrement ma piscine et mes bassins d’agrément dans lesquels je peux mettre des poissons se nourrissant de larves d’insectes (ex. la gambusie, …)

UN ACTE DE MOBILISATION CITOYENNE



68

des récipients suppressibles sur le domaine privé




� De nouvelles possibilités de traitement desrécupérateurs d’eau pluviale par un film àbase de silicone qui asphyxie les larves

� Action mécanique à la surface de l’eau� Exempt de classement� 1 ml pour 1 mètre carré



� Les bons gestes pour éliminer l’eaustagnante des soucoupes de pots de fleur

� Elimination physique de la soucoupe� Mettre du sable dans la soucoupe qui retiendra

l’humidité.

� De nouvelles peintures anti-insectes



� Des pièges à moustiques à glu

� Sélectif� Facile à poser� Autonome et discret� Elimine les femelles prêtes à pondre� Elimine la descendance� Permet de comptabiliser les adultes capturés� Efficace à partir de quinze jours après élimination

des odeurs



� Des pièges à moustiques à glu

� Achat de 1 000 pièges – distribution sur inscription au début de l’été

� Prise en charge par la Ville de 75% soit 7,5 € par piège



Merci de votre attention

www.eidatlantique.eu www.gironde.fr

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