notion de réseau

7/31/2019 notion de rseau

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Notions de base surles rseaux

Volume 1.

. Gnralits.

1.1. Introduction.

1.2. Terminologie.

. Notion de couches.

. Les types de rseau.

3.1. LAN, MAN, WAN et rseau d'entreprise.

3.2. Diffrentes topologies logiques.

. Le cblage et l'aspect physique.

4.1. 10Base5 - Thick Ethernet.4.2. 10Base2 - Thin Ethernet.

4.3. 10Base-T - Cblage universel structur (UTP/STP).

4.4. Codage lectrique: Manchester Bi-Phas.

Volume 2.

. Mthode d'accs.

5.1 Tour de table.

5.2 Accs jeton.

5.3. CSMA/CD - Ethernet.

5.4. Segmentation physique Ethernet.

Notions sur les rseaux

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. Contrle d'erreurs (CRC).

. Les paquets Ethernet.

. Les protocoles de communication.

8.1 Adressage logique.

8.2 Gestion d'erreur et contrle de flux.

. TCP/IP.9.1. Mcanismes d'adressage.

9.1.1. Masques et sous-rseaux (subnets).

9.2. Mcanismes de communication TCP/IP.9.2.1 Noms logiques (DNS).

9.3. UDP, SNMP, Mail.

Volume 3.

0. Novell (NetWare).

10.1. L'adressage des rseaux Novell (Netware).

10.2. Les volumes.

10.3. Les drives (disques).

10.4. Le systme d'impression.

1. Les quipements rseau.

11.1. Les Tranceivers.

11.2. Les Repeaters.11.3. Les Bridges.

11.4. Les Routeurs.

11.5. Les Hubs.

2. PCs: les couches rseau.12.1. Les applications TCP/IP courantes.

12.2. Ping.




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3. Le rseau des Hospices.

13.1. Les protocoles supports.

13.2. Les connexions physiques.

13.3. Les interconnexions. 13.4. Les volutions dans un futur proche.

lain Bron, OIH, Groupe rseaux.




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media: Support permettant le passage de l'information: diffrents types de cble, ondes hertziennes, lc.

ande-passante: Comme en tlphonie ou en hi-fi, la bande passante dtermine la quantitnformations capables de transiter par seconde sur un media donn.

ackbone : Rseau physique (cble et matriel actif) servant de colonne vertbrale au reste du rseaunral compose de fibres optiques est assurant parfois une plus grande bande-passante (155Mbits/s)

nterconnexion: Ensemble matriel et logiciel permettant la connexion d'quipements utilisant des mdes protocoles diffrents

egment physique: Cble ou ensemble de cbles relis sans quipement lectronique d'interconnexioagit d'un seul domaine de collisions).

egment logique: Sous rseau regroupant des noeuds correspondant un mme groupe d'adressage; ugment logique peut englober plusieurs segments physiques.

2. Notion de couches.

es mcanismes utiliss sur un rseau informatique peuvent tre reprsents sous la forme de poupessses: la grande poupe extrieure reprsente les paquets d'informations qui circulent rellement sur lseau (l'information lectrique) chaque poupe intrieure pouvant tre vue comme un protocole, la

rnire poupe reprsentant l'information utile, c'est--dire ncessaire l'utilisateur final.

hacune de ces poupe a une fonction particulire, offre un service dtermin, qui sera dcrit dans lesapitres ultrieurs.

ous distinguerons essentiellement les couches basses, hautes et applicatives.


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a terminologie technique parle de couches organises en piles (stacks).

a normalisation mise en place par l'ISO (International Standards Organization) dfinit un modleorique 7 couches: le modle OSI (Open System Inteconnection) o chacune des couches estcapsule dans la couche infrieure.

es couches basses prcisent comment la connexion physique est ralise sur le cble et les couches

utes dfinissent l'interaction avec les applications finales, la communication entre noeuds s'effectuanrtuellement entre chaque couche.




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e modle thorique, trs lourd mettre en oeuvre, n'est pratiquement pas respect, sauf par quelquesites de protocoles de type plutt exprimental.

anmoins, on essaye toujours de se rfrer ce modle et faire concider tant bien que mal les

otocoles existant avec ces 7 couches (cf. annexe1).

3. Les types de rseau.

3.1. LAN, MAN, WAN et rseaud'entreprise.

orsque l'on parle de rseau informatique, il faut distinguer 3 types de rseaux dont les limites ne sontxes de manire absolue et qui peuvent former, ensemble, un rseau d'entreprise.

Les rseaux locaux (LAN: Local Area Network).

es rseaux sont en gnral circonscrits un btiment ou un groupe de btiment pas trop loigns les autres (site universitaire, usine ou 'campus').

infrastructure est prive et est gre localement par le personnel informatiques.

e tels rseau offrent en gnral une bande-passante comprise entre 4Mbit/s et 100 Mbits/s.

Les rseaux mtropolitains (MAN: Metropolitan Area Network).

e type de rseau est apparu relativement rcemment et peut regrouper un petit nombre de rseau loca




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niveau d'une ville ou d'une rgion.

infrastructure peut tre prive ou publique.

ar exemple, une ville peut dcider de crer un 'MAN' pour relier ses diffrents services dissmins suyon de quelques kilomtres et en profiter pour louer cette infrastructure d'autres utilisateurs.

a bande-passante peut tre de quelques centaines de kbits/s quelques Mbits/s.

Les rseaux distants (WAN: Wide Area Network).

e type de rseau permet l'interconnexion de rseaux locaux et mtropolitains l'chelle de la planteun pays, d'une rgion ou d'une ville.

infrastructure est en gnral publique (PTT, Tlcom etc.) et l'utilisation est facture en fonction du

afic et/ou en fonction de la bande-passante rserve, pour les lignes loues (une ligne loue est rservclusivement au locataire, 24h sur 24, pour la dure du contrat).

es modems sont un des lments de base des WANs.

a bande-passante va de quelques kbits/s quelques Mbit/s. Une valeur typique pour une ligne loue e

64kbits/s (en fonction des services offerts).

3.2. Diffrentes topologies logiques.

convient de distinguer la topologie logique de la topologie physique:

a topologie logique dcrit le mode de fonctionnement du rseau, la rpartition des noeuds et le type d

lation qu'ont les quipements entre eux.

a topologie physique dcrit la mise en pratique du rseau logique (cblage etc.).

a topologie des rseaux en gnral et des rseaux informatiques en particulier peut se partager en troioupes, qui peuvent de combiner:

Les rseaux en toile:

haque noeud est reli directement sur un noeud central: l'information passe d'un noeud priphrique

eud central, celui-ci devant grer chaque liaison.




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Les rseaux en anneau:

haque noeud est reli au noeud suivant et au noeud prcdent et forme ainsi une boucle: l'informatioansite par chacun d'eux et retourne l'expditeur.

Les rseaux en bus:

haque noeud est connect sur un bus: l'information passe 'devant' chaque noeud et s'en va 'mourir' xtrmit du bus.




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es diffrents types de rseaux peuvent trs bien cohabiter au sein d'un mme rseau d'entreprise: leckbone est un anneau grande bande-passante en fibre optique, les ordinateurs individuels sont reli

n bus, tandis que les ordinateurs du centre de calcul sont connects en toile.

ne topologie logique en bus peut trs bien correspondre une topologie physique en toile, suivantmment les cbles ont t poss, mais ce qui importe au niveau de la comprhension des mcanismes




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seau informatique est bel et bien la topologie logique.

4. Le cblage et l'aspect physique.

u fil de l'volution des composants lectroniques, diffrents types de cblages ont vu le jour, faisantpel des technologies diffrentes, le but tant toujours d'atteindre les objectifs suivants:

Grande bande-passante.

Possibilit d'utiliser ces cbles sur de longues distances.

Faible encombrement, facile poser et installer.

Connecteurs simples et rsistants.

Faible cot...

appelons que la vlocit (vitesse) d'un signal lectrique dans un cble est d'environ 200 000 km/s.

4.1. 10Base5 - Thick Ethernet.e premier cble Ethernet avoir t standardis est le cble de type Thick Ethernet(normalis 10Bas

pel aussi Yellow Cable,ou 'tuyau d'arrosage', en raison de sa dimension et de sa couleur. Il s'agit d'

ble coaxial blind de 50 Ohm, termin, d'un diamtre de prs de 2cm, utilisable sur une distance de00m sans r- amplification du signal lectrique. La bande passante est de 10Mbits/s.

es dimensions le rendent malais poser et sa 'connectique' est dlicate: en effet, il faut perforernveloppe du cble pour y introduire une aiguille permettant la connexion sur un tranceiver(metteu




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terne.

hysiquement, il s'agit d'un bus, puisque tous les noeuds se connectent les uns ct des autres (lastance entre deux connections sur le cble doit tre, pour des raisons de physique lectrique, d'unultiple de 1,5m).

a connexion d'une machine sur le rseau s'effectue travers son port AUI (Access Unit Interface) de

les, un cble AUI d'une longueur maximum de 5m et d'un 'Tranceiver' permettant la jonction physiqr le cble coaxial.

4.2. 10Base2 - Thin Ethernet.

e cble coaxial fin de 50 Ohm, appel aussi 'CheaperNet', termin et facile poser est apparu aprs le

hick Ethernet et prsente les caractristiques suivantes:ongueur maximum sans r-amplification: 185m.

onnecteurs de type BNC bayonnettes, branchement l'aide de connecteurs en 'T', nombre dennexions maximum par segment de 185m: 30.

bande passante de 10Mbits/s.

s'agit galement de cble de type 'bus', puisque tous les noeuds se connectent les uns cot des autre

a connectique dlicate en fait un cble facilement sujet des perturbations intermittentes difficilemenminables.

4.3. 10Base-T - Cblage universelstructur (UTP/STP).

e cble reprend le principe du cble tlphonique puisqu'il s'agit d'un cblage physique en toile (cha

ise est relie un noeud central, appel rpartiteur ou 'Hub'; il est donc structur) base de conductecuivre torsads entre eux afin de pallier l'absence d'un pais isolant (lutte contre la diaphonie).

haque cble est constitu de 8 conducteurs de cuivre, isols par un enrobage plastique et torsads parire.

n blindage (Schielded Twisted Pair) extrieur peut tre ajout afin de lutter contre les phnomnesectromagntiques: c'est la solution qui a t adopte sur le rseau des Hospices, vu l'environnement

gressif' du CHUV.

e type de cblage prend le nom d'universel, car il permet le passage de diffrents types d'information




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seau informatique Ethernet ou TokenRing, tlphonie, domotique, vido etc.

a distance maximum atteignable, en Ethernet et sans r-amplification, sur de tels cbles est de 100m

mpris les cbles de renvois et les cbles de bureau !).

a bande passante potentielle, pour des cbles certifis de catgorie 5, est de 100Mbits/s.

4.4. Codage lectrique: ManchesterBi-Phas.

e signal lectrique parcourant le cble doit correspondre des caractristiques permettant de rpondr

rtains besoins:

bonne immunit au bruit lectromagntique (parasites).

pas de composante continue afin de diminuer les pertes lectriques (effet Joule).

possibilit d'inverser la polarit.

e code Manchester Bi-Phas a t adopt: il s'agit d'une modulation en bande debase, c'est--dire qu

gnal binaire est transform en un signal de type analogique sans tre translat en frquence (parposition un signal radio).

.

a norme 10BaseT ajoute au signal Manchester contenant l'information des pulses lectriques permetts'assurer que la connexion point point entre l'quipement metteur (station de travail par exemple

quipement rcepteur (un Hub) est valide (link).




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Notions de base sur lesrseaux Volume2

. Mthode d'accs.5.1 Tour de table.

5.2 Accs jeton.

5.3. CSMA/CD - Ethernet.

5.4. Segmentation physique Ethernet.

. Contrle d'erreurs (CRC).



8.1 Adressage logique.

8.2 Gestion d'erreur et contrle de flux.

. TCP/IP.

9.1. Mcanismes d'adressage.

9.1.1. Masques et sous-rseaux (subnets).

9.2. Mcanismes de communication TCP/IP.

9.2.1 Noms logiques (DNS).

9.3. UDP, SNMP, Mail.

ain Bron, OIH, groupe rseaux

. Mthode d'accs.

e fois un quipement connect physiquement sur le rseau, il faut qu'il puisse recevoir et envoyer des informations a

res noeuds du rseau.

ns le cas d'une topologie en anneau ou en bus (nous laisserons de ct le cas d'une vraie structure en toile, devenue

solte), chaque noeud accde au mme cble; il s'agit donc d'un accs partag, qu'il faut rglementer.




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.1 Tour de table.

e des solution envisage consiste nommer sur le rseau une machine responsable de grer les accs en attribuant u

oit de parole chaque noeud de faon rgulire ou en fonction de priorits (un peu la manire d'un processeur qui

ribue des ressources CPU en fonction de l'importance des processus demandeurs); cette tche est en gnral accomp

serveur central.

tte mthode, appele tour de table oupolling, tient difficilement compte des besoins rels de chaque noeud et ne per

s une trs grande souplesse; elle ne subsiste plus que dans certains gros systmes base de terminaux.

'agit d'un systme compltement dterministe.

.2 Accs jeton.

droit de parole est attribu au possesseur d'unjeton (token) qui circule sur le rseau. Le noeud qui possde le jeton p

poser du rseau; il le restitue lorsqu'il a fini de transmettre ses informations; un autre noeud peut ainsi en disposer.

tte mthode, adopte par IBM (TokenRing), convient particulirement bien aux rseaux en anneau (ring).

fonction de la longueur totale du cble, du nombre de stations et du temps de latence (temps mis par le paquet

nformation pour traverser l'quipement) de chacune des stations, il est possible de calculer exactement la disponibilit

eau pour chaque noeud. Il s'agit donc d'un systme dterministe.

type de mthode (et en particulier les rseaux TokenRing) offre un bon comportement pleine charge, puisque de t

nire un droit de parole est attribu intervalles fixes. Par contre, lors de faible trafic, ce mode de fonctionnement e

nalisant, puisque mme si aucun autre noeud ne manifeste le besoin d'mettre sur le rseau, l'quipement dsirant acc

rseau doit attendre son tour.

s mcanismes rglant la gestion d'un tel rseau sont particulirement dlicats mettre en oeuvre.

.3. CSMA/CD - Ethernet.

protocole Ethernet se base sur la mthode d'accs appele CSMA/CD (Carrier Sense Multiple Access / Collision

tection) dvelopp par l'Universit d'Hawai et convient particulirement aux topologies en bus.

us allons procder une petite analogie avec le monde tlphonique:

rsque vous dsirez entrer en communication avec un interlocuteur, vous composez le N de tlphone dsir et espr

e la ligne soit libre; si vous entendez le signal 'occup', vous essayez un moment plus tard.

MA/CD se base sur le mme principe:

aque noeud du rseau est l'coute du rseau (si un paquet lui est destin, il le lit), et lorsqu'un quipement dsire m

paquet, il ne le fait que si personne d'autre n'est train de transmettre ses propres paquets. Si le rseau est 'occup', il moment (calcul de faon alatoire) et essaye nouveau.

mpte tenu des caractristiques physiques d'un rseau, un paquet (paquet 1) peut tre mis par un noeud mais pas enc

ectable par l'quipement dsirant mettre; celui- ci transmet son paquet (paquet 2) l'instant o le 'paquet 1' est

ectable: il en rsulte une collision.




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cas de collision, les noeuds impliqus mettent un signal pour signaler de faon certaine l'vnement l'ensemble d

eau, puis essayent d'mettre nouveau aprs un dlai alatoire.

en rsulte qu'un tel rseau trop charg fini par ne gnrer plus que des collisions, puisque tous les noeuds dsirent m

mme temps, alors que les 'plages' libres deviennent de moins en moins nombreuses.

considre que les performances d'un tel rseau chutent aprs 30-40% de charge (3- 4 Mbits/s, pondrer en fonctio

frents paramtres, tels que la taille des paquets, le nombre de noeuds etc.).

charge du rseau est donc un paramtre surveiller de faon drastique si l'on ne veut pas se retrouver face un rsea

mpltement surcharg et donc inutilisable.

r contre, ses mcanismes sont relativement rustiques et sa mise en oeuvre assez simple.

ur des raison de physique lectrique, la taille maximum des paquets envoys sur le rseau est de 1518 bytes (12144 b

apparat donc que l'information envoye doit tre dcoupe en un certain nombre de paquets pour tre expdie sur l

eau.

taille minimum est de 64 bytes (512 bits).




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quipement rcepteur a pour charge de remettre les paquets dans le bon ordre (dans le cas o, prenant des chemins

frents, les paquets arrivent dsordonns) et de les r-assembler. Cette tche est accomplie par les couches suprieur

.4. Segmentation physique Ethernet.

segmentation physique d'un rseau permet de le sparer en diffrents sous-rseaux physiques. Le but recherch tan

minuer le nombre de noeuds se partageant le mme segment pour ainsi augmenter la bande-passante disposition deacun d'eux.

atistiquement, le nombre de plages libres diminue avec l'augmentation du nombre de noeuds et le risque de collision

mme.

crant plusieurs sous-rseaux physiques (segments physiques), on diminue le risque de collision en crant plusieursmaine de collision.

tte segmentation est ralise l'aide d'quipements lectroniques appelsBridge ou Pont; si la segmentation physiqu

rrespond une segmentation logique, il s'agit deRouterou Routeur. Cette notion sera dveloppe au chapitre 11.

. Contrle d'erreurs (CRC).rsqu'un paquet d'information est envoy sur le rseau, rien ne garantit qu'il parvienne son destinataire en bon tat:

et, selon la qualit du mdia, des parasites et autres perturbations lectromagntiques peuvent dtriorer le signal

ctrique et, par exemple, faire passer une valeur binaire de '1' '0', ce qui peut rendre l'information inutilisable.

rs d'une conversation tlphonique, les deux interlocuteurs sont capables de reconstituer les bouts d'information rend

udibles, ce qui n'est pas le cas lors d'une transmission de donnes. Il faut donc s'assurer que l'information reue est

nforme l'information envoye.

cette fin, des mcanismes de contrle d'erreuront t mis en place au niveau des couches basses: il s'agit principalemCRC

(Cyclic Redundancy Code).CRC reprsente une fonction mathmatique (un binme) redonnant une valeur calcule sur la valeur binaire du paqu

te valeur tant calcule par l'quipement expditeur pour chaque paquet envoy et ajout la fin des paquets.

quipement rcepteur calcule son tour le CRC: si la valeur correspond au CRC reu, il considre le paquet comme

pourvu d'erreur; dans le cas contraire, il ne le rceptionne pas.

comportement de l'quipement rcepteur, en cas d'erreur, dpend de son protocole:

Il peut demander immdiatement le renvois du paquet en erreur (NetWare, par exemple), ce qui provoque un trafic

portant, surtout si l'on songe que chaque paquet correcte est acquitt au moyen d'un paquet d'accus de rception

knowledgment).

tte mthode est relativement simple grer.




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Il peut attendre l'arrive d'un certain nombre de paquets, et demander ensuite le renvois des paquets en erreur (TCP/

tte mthode gnre un trafic moins important, puisqu'un seul paquet d'accus de rception est envoy pour un certain

mbre de paquets reus (ce nombre varie en fonction de la taille de lafentre de rception ).

Il peut ignorer l'vnement, valider le paquet, et laisser les applications grer le problme (en provoquant une erreur

ns le pire des cas...): par ex. UDP/IP.

tte solution rustique est rarement utilise; dans ce cas, les applications doivent mettre elles-mmes en place des solut

contrle.

voit que la complexit du travail de gestion d'erreur (appele aussi gestion de flux, si l'on tient compte de la gestionngorgement qui pourrait se produire si l'quipement rcepteur n'arrive plus rceptionner correctement les paquets p

use de saturation) dpend de la qualit du service fourni par le protocole de communication.




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paquet Ethernet est compos, d'un point de vue logique, d'une suite de bits ayant une signification particulire en

nction de leur emplacement dans le paquet. Ce paquet est ensuite modul (Manchester Bi-Phas) afin d'tre envoy s

me d'un signal lectrique sur les cbles du rseau.

us avons vu que la taille maximum d'un paquet est de 1518 bits et la taille minimum de 512 bytes.

es premiers bits servent de dlimiteur de paquet et de prambule et ne sont utiles que d'un point de vue lectrique (S

a srie de bits suivant reprsente l'adresse Ethernetde destination (appele aussi adresse physique ou adresse MAC)

resse Ethernet est compose de 6 bytes, ce qui donne, dans un reprsentation hexadcimale, une suite du type '00 c0

02'; les 3 premiers bytes sont caractristiques du fabricant, les 3 derniers appartenant en propre l'quipement. Ces

resses sont uniques et attribues par le fabricant.

e adresse de type ff ff ff ff ff ff reprsente un broadcast, c'est--dire un message envoy tous les noeuds du rseau

e troisime bloc de bits reprsente l'adresse Ethernet source, c'est--dire l'adresse propre de l'quipement.

e champ suivant reprsente soit le type de paquet, soit la longueur du paquet, en fonction du type de trame utilises:

hernet IIou 802.3.

est la raison qui impose de devoir travailler avec deux types de paquets dans des environnements particuliers (TCP/IPge des paquets de type Ethernet II, tandis que NetWare peut accepter les deux types de paquets, en fonction de la

nfiguration des serveurs).

e plus grand champ est compos des donnes et des ventuels caractres de remplissage. Ces donnes ne reprsenten

donnes finales utiles l'application, mais correspondent au paquet issu de la couche prcdente (rappelons-nous le

odle des poupes russes).

es derniers bits donnent la valeur de CRC (Cyclic Redundancy Code) calcule par l'quipement metteur.




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notion deprotocole de communication est assez vague: est considr comme protocole tout ensemble de spcificati

cisant les moyens logiciels et physiques qu'ont un ensemble d'quipements pour partager des informations (et par

ension les logiciels permettant d'y rpondre).

us diffrencierons les protocoles de bas niveau (correspondant aux couches basses, comme le protocole Ethernet) de

otocoles de haut niveau.

s protocoles de haut niveau permettent de structurer l'acheminement de l'information travers le rseau (notamment rmettant l'adressage logique), la gestion des erreurs et le contrle de flux ainsi que l'interaction avec les couches

plicatives.

us mettrons par la suite en avant deux des protocoles utiliss sur le rseau des Hospices: TCP/IP et NetWare (Novel

CP/IP est issu du monde Unix et est en passe de s'imposer comme le protocole d'interconnexion idal pour faire

mmuniquer des quipements totalement diffrents (une sorte d'espranto), NetWare tant le protocole de communica

di la bureautique par excellence.

.1 Adressage logique.

dressage logique permet le regroupement d'quipements en fonction de leur localisation ou de leur appartenance u

oupe de travail et facilite la communication entre des machines distantes.

prenons notre analogie avec le monde tlphonique: les N de tlphone sont regroups par central tlphonique, pu

ion etc. Lorsqu'un numro est compos, l'appel est aiguill en fonction des premiers numros (qui reprsentent la r

qu' atteindre l'abonn final (symbolis par les derniers numros).

en est de mme pour le monde des communications informatiques: il serait en effet impossible de retrouver un quip

iquement en fonction de son adresse physique (adresse Ethernet dans notre cas) puisqu'elle est rpartie de faon ala

n numro dpendant du fabricant et de sa date de fabrication (l'adresse Ethernet '00 0c 02 d4 83 e0' pouvant se trouve

rseau des Hospices tandis que l'adresse '00 0c 02 d4 83 e1' sur celui de l'ONU NewYork. Il faudrait ainsi tenir jo

e gigantesque base de donnes pour parvenir faire communiquer ces deux machines).

regroupant les adresses de faon logique, on permet donc un acheminement efficace et structur. On parle de routag

formation.

s adresses sont gres localement sont contrle d'un organisme international, afin d'viter tout problme d'adresses

uble (duplication d'adresses).

.2 Gestion d'erreur et contrle de flux.

s protocoles des couches suprieures s'occupent de grer les paquets reus considrs en erreur (CRC faux, par exem couches hautes pouvant introduire leur propre systme de dtection d'erreur).

peuvent demander l'quipement metteur le renvoi d'un ou de plusieurs paquets et acquitter les paquets reus

rrectement (en fonction de la fentre de rception; si la fentre vaut 1, l'acquittement ou la demande de renvoi s'effec

rs chaque paquet; si la fentre vaut n, aprs n paquets).

ns le cas d'une r-mision, il faut veiller remettre les paquets dans le bon ordre.




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contrle de flux est rgl galement ce niveau: il vaut veiller ce que l'quipement rcepteur ne soit pas surcharg

cup autre chose, sous peine de perte des paquets, donc de l'informations; les protocoles de haut niveau grent donmmunications en avertissant l'metteur que l'quipement rcepteur n'est pas prt pour l'instant etc.

. TCP/IP.

CP/IP est un protocole de communication, issu du monde Unix, en passe de devenir le protocole de communication

ontournable pour interconnecter des machines diffrentes.

CP/IP est du reste le protocole utilis sur le rseau mondialInternet.

n dveloppement est antrieur la normalisation ISO et ses diffrentes couches ne correspondent donc pas exactemeodle 7 couches.

CP/IP est, en fait, une suite de protocoles comprenant galement une couche applicative et de services.

couche basse, situe juste en dessus d'Ethernet, est la coucheIP (Internet Protocol).Elle s'occupe principalement de

rer l'adressage logique et d'assurer l'acheminement des paquets d'un noeuds l'autre.

s adresses logiques sont du type 155.105.50.47 et reprsente un groupe de 32 bits. Un masque (mask) du type

5.255.255.0 permet de crer des sous-ensembles logiques (subnet).

couche haute, appele TCP (Transmission Control Protocol), s'occupe de grer les erreurs et de contrler le flux en

ttant en place des mcanismes de rptition de paquets et d'ajustage de fentre de rception (c'est--dire le nombre d

quets qu'il est possible de recevoir avant de les valider/invalider).

tte couche dtermine galement quel est le service (application) transport par le paquet au moyen d'un numro dep

numros de port sont normaliss et figurent en principe sur une table prsente dans chaque quipement.

suite de protocole TCP/IP met disposition des services (applications) comme telnet(terminal distance),ftp (File

ansfert Protocol, pour l'change de fichiers), nfs (Network File System, de SUN, pour permettre le partage de fichier

environnement de type 'bureautique'), lp (Line Printer, pour les impressions), smtp (Simple Mail Transfer Protocol,

messagerie), http (HyperText Transfer Protocol - Worl-Wide Web) etc.

xemple suivant montre les imbrications des diffrentes couches lorsqu'une commande direst effectue depuis une s




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netsur une machine Vax fonctionnant avec le protocole TCP/IP.

.1. Mcanismes d'adressage.

s adresses logiques TCP/IP, attribues localement, sont codes sur 32 bits et regroupes par convention en 4 bytes.

mode binaire une adresse IP prend donc cette forme:

10011011 01101001 00110010 01000101

aduit en mode dcimal, on obtient 4 groupes de nombres compris entre 0 et 255 (2 puissance 8 = 256); dans notre

emple: 155.105.50.69

s adresses uniques sont attribues par le NIC en fonction de la taille et de l'intrt pour la communaut Internet de la

cit du demandeur. Une plage d'adresses lui est assigne (qui correspond l'adresse de son rseau, libre lui de disp




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s adresses de cette plage).

in de permettre la cration de groupes d'adressage diffrents, ce protocole met en place la notion de rseau (network)

us-rseau (subnetwork) et de noeud (node), dtermins en fonction de leur classe.

ensons nouveau au monde tlphonique, o il existe un indicatif par pays, puis par rgion etc.)

dresse du rseau est constitue des n premiers bits, l'adresse ventuelle du sous- rseau des m bits suivants et l'adres

eud des derniers bits.

nombre de bits attribus l'adresse rseau (n), et au noeud plus l'ventuel sous- rseau (32-n) dpend de la classe de

resse.

niveau d'Internet (c'est--dire l'chelle de la plante), c'est l'adresse du rseau qui est connue.

fonction de la valeur des premiers bits, l'adresse sera dclare de classe A, B ou C.

le premier bit est 0, il s'agit d'une classe A (en dcimal de 1.0.0.0 127.0.0.0)

les 2 premiers bits sont 1 0, il s'agit d'une classe B (en dcimal de 128.0.0.0 191.0.0.0).

les 3 premiers bits sont 1 1 0, il s'agit d'une classe C(en dcimal de 192.0.0.0 254.0.0.0).

e adresse de classe A est compose de 8 bits d'adresse de rseau et de 24 bits d'adresse de noeuds. Il y a donc

tentiellement, au monde, 128 rseaux de classe A comprenant chacun quelques millions de noeuds (faites le calcul...

e adresse de classe B est compose de 16 bits d'adresse de rseau et de 16 bits d'adresse de noeuds. Il y a donc

tentiellement quelque 16 000 rseau de classe B comprenant chacun environ 16 000 noeuds.

e adresse de classe C est compose de 24 bits d'adresse de rseau et de 8 bits d'adresse de noeuds. Il y a donc

tentiellement quelque millions d'adresses de rseau de classe C comprenant chacun 128 noeuds.

e adresse du type 155.105.50.69 montre qu'il s'agit d'une adresse de classe B appartenant au rseau 155.105.0.0

.1.1. Masques et sous-rseaux (subnets).

in de clairement identifier la partie de l'adresse reprsentant le rseau et celle appartenant au noeud, un masque (mas

lis. Ce masque est compos de 32 bits: les bits reprsentant le rseau sont positionn 1.

consquence, le masque pour un rseau de classe B se compose comme suit:

111111 11111111 -- 00000000 00000000

011011 01101001 -- 00110010 01000101

eau -------------- noeud

prend donc la valeur 255.255.0.0 en mode dcimal.

est galement possible de crer, au sein mme du rseau de classe donne, des sous- rseaux (subnet, ou segment log

segment IP) destins crer des structures logiques au niveau du rseau d'entreprise.




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s masques de sous-rseau (subnetmask) ont t introduits cet effet.

e partie des bits d'adresse de noeud sont rservs pour dfinir les sous-rseaux; le nombre de bits ddis cette fin

pend du nombre de sous-rseaux que l'on veut crer (donc du nombre de noeuds potentiels qu'il y aura par sous-rsea

r un rseau de classe B, il est ainsi possible de dfinir 254 sous-rseaux de 254 noeuds en choisissant un subnetmask

s.

11111111 11111111--11111111--00000000

10011011 01101001--00110010--01000101

rseau---------------- sous-rseau--- noeud

ns ce cas de figure, le masque prend donc la valeur 255.255.255.0 en mode dcimal.

e adresse du type 155.105.50.69 montre qu'il s'agit d'une adresse de classe B appartenant au rseau 155.105.0.0 et au

us-rseau 50.

s Routeurs permettent l'acheminement des paquets entre les diffrents rseaux et sous-rseaux.

.2. Mcanismes de communication TCP/IP.

in de communiquer en mode TCP/IP, un quipement doit donc gnrer un paquet TCP, l'encapsuler dans un paquet I

is le passer la couche Ethernet qui le module et l'envoie sur le rseau.

couche TCP a pour tche d'identifier le service utilis l'aide de son n de port (23 pour telnet, par exemple) et d'att

n la session en cours (134 par exemple) afin d'identifier les paquets appartenant une mme session.

couche IP ajoute l'adresse IP de l'quipement metteur (adresse source) et celle de l'quipement destinataire.

couche Ethernet, quant elle, ajoute les adresses Ethernet de la source et de la destination, module le paquet et l'envle rseau selon CSMA/CD.

mcanisme inverse est effectu la rception:

noeud destinataire repre le paquet qui lui est destin grce son adresse Ethernet (!) et le transmet la couche IP.

couche IP effectue quelques vrifications et transmet la partie 'data' la couche TCP qui dtermine le type de servic

rt) mis contribution et le n de la session concerne.

voit dans cet exemple que l'adresse IP n'est pas utilise lors de la rception du paquet: en effet, lors de la rception,

couche Ethernet est mise contribution car, pour rcuprer un paquet transitant sur le rseau en fonction de son adre

gique (IP ou autre) il faudrait saisir chaque paquet et le passer la couche charge de l'adressage logique (couche IP re) pour dterminer si ce paquet est considrer ou non: il en rsulterait une surcharge inutile de travail pour

quipement rcepteur.

lecteur attentif remarquera que l'adresse Ethernet (adresse physique) du noeud de destination n'est, a priori, pas con

isqu'une connexion TCP/IP s'effectue sur son adresse IP logique.

mcanisme, appel ARP (Address Resolution Protocol), est mis en place pour dterminer quelle adresse Ethernet

rrespond l'adresse IP demande.

us ne traiterons pas de ce cas prcis dans ce fascicule. Un autre fascicule traitant de ce point particulier est votre

position auprs de l'auteur.




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dresse IP est donc uniquement utilise pour acheminer l'information travers le rseau.

.2.1 Noms logiques (DNS).

mme est il vite fastidieux de connatre l'adresse IP de plusieurs dizaines de noeuds diffrents, un systme de nom log

t mis en place: il s'agit du service de nom DNS (Domain Name Service).

chaque rseau correspond un nom particulier unique (nom de domaine,DomainName).

chaque noeud correspond galement un nom unique.

nom du rseau (domaine) est attribu d'entente avec le responsable rseau local par le NIC.

lecture s'effectue de droite gauche: la partie de droite reprsente le rseau et la partie de gauche le noeud; par

nvention, les socits commerciales se voient attribuer le suffixe 'com', les organisations militaires le suffixe 'mil' et

oles le suffixe 'edu'; les rseaux qui ne correspondent pas ces critres peuvent tre classs par pays ('ch' pour la suis

' pour l'Angleterre etc. Il n'existe rien pour les Etats- Unis !).

in de diffrencier les rseaux faisant partie d'un mme suffixe, un (ou plusieurs) nom reprsentatif de l'emplacement

nature du rseau est ajout. (HOSPices VauD: hospvd).

spvd.ch

nom de noeud est finalement ajout selon une convention propre l'organisation du rseau (n de bureau, nom de

tilisateur, type de la machine, nom commique etc.)

9500.hospvd.ch

usieurs noms peuvent tre attribus un mme noeud: il y alors un nom canonique et des alias.

ce stade, nous constatons qu'un noeud possde deux adresses logiques:

ne adresse IP de type 155.105.50.101

ne adresse 'nom' de type dg9500.hospvd.ch

correspondance entre ces deux noms est tablie soit travers une table locale l'quipement (ficher host) soit grce

veur de nom (serveur DNS).

rseau Internet contenant des millions d'adresses IP (et ce nombre augmente chaque jour...), il est donc impossible d

ir jour une telle table localement !

s serveurs de noms offrant ce service, en principe deux (un de backup) par rseau, tiennent jour l'ensemble des adre

(ainsi que le nom canonique et les alias correspondant) de leur rseau.

s serveurs de noms communiquent l'chelle mondiale et peuvent ainsi redonner l'adresse de n'importe quel noeud d

eau Internet !

rs de l'tablissement d'une communication entre deux noeuds TCP/IP l'aide d'un nom, le serveur DNS est tout d'ab

errog; ce dernier retourne la valeur de l'adresse IP correspondant au nom demand.




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rsque deux noeuds se trouvent sur le mme rseau (hospvd.ch par exemple), ils n'ont pas besoin d'utiliser le nom du

eau: la communication s'effectue sur leur seul nom (dg9500), car ils appartiennent au mme domaine.

rtaines machines htes (hosts) d'Internet utilisent le nom logique pour vrifier l'identit de l'quipement essayant de

nnecter. En absence de nom, la connexion peut tre refuse !

.3. UDP, SNMP, Mail.DP (User Datagram Protocol) est une couche haute situe en dessus de IP et en parallle avec TCP. Le mcanisme d'

beaucoup plus rustique que TCP puisqu'il ne met pas en place de solution de renvois de paquet(s) en cas d'erreur ou

rte. Cette couche est peu utilise, si ce n'est pour des applications ne ncessitant pas une garantie quant la russite d

aque transaction (tftp par exemple (Trivial File Transfert Protocol)).

DP/IP et TCP/IP peuvent cohabiter sur le mme quipement.

MP (Simple Network Managment Protocol) est le protocole standard de gestion d'quipement rseau. SNMP se situ

ssus de la couche UDP.




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ur pouvoir tre gr distance, un quipement doit videmment supporter ce protocole.

systme de messagerie (E-mail) SMTP (Simple Mail Transfer Protocol) permet l'change de messages et de docume

le rseau. SMTP est un service TCP/IP et ncessite un serveur de messagerie (serveur SMTP).

serveur est en contact avec les serveurs de l'ensemble de la communaut Internet, ce qui permet ainsi d'envoyer des

ssages dans le monde entier.

e adresse est compose du nom de la machine serveur SMTP prcd du signe '@' et du nom de la personne destina

expditrice du message.

[email protected]

s messages sont expdis sur le serveur SMTP local (qui accueille l'expditeur, celui-ci devant tre au bnfice d'un

ompte sur cette machine) qui les transmet, via Internet au serveur SMTP du destinataire (lui-mme propritaire d'un

ompte sur ce serveur).

s messages et documents sont stocks sur le serveur SMTP du destinataire jusqu' l'instant o celui-ci vient les reche

it manuellement, soit automatiquement toutes les x minutes et/ou lorsque l'ordinateur personnel est mis en marche).

dora est le logiciel utilis sur les PCs et Macintosh pour accder au serveur SMTP (hola.hospvd.ch dans le cas du r

s Hospices).




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Notions de base surles rseaux volume3


10.1. L'adressage des rseaux Novell (Netware).

10.2. Les volumes.

10.3. Les drives (disques).


1.Les quipements rseau.


11.2. Les Repeaters.

11.3. Les Bridges.

11.4. Les Routeurs.

11.5. Les Hubs.

2. PCs: les couches rseau.12.1. Les applications TCP/IP courantes.

12.2. Ping.


13.1. Les protocoles supports.


13.3. Les interconnexions. 13.4. Les volutions dans un futur proche.

lain Bron, OIH, groupe rseaux


http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-http://-/?-


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etware est le Network Operating System (NOS) cr parNovell (Novell tant une marque au mme

re que Microsoft, par exemple).

est compos des couches de protocoles ipx (Internet Protocol eXchange) et d'unNetware Shell (neour Netware 3.1x- VLMpour la nouvelle version de Netware 4.x) ainsi que d'applications propres

vironnement.

etware est construit autour de deux lments principaux: les serveurs de fichiers (File Server) et lesrveurs d'imprimantes (Print Server); comme ces deux lments peuvent tre runis sur une seule

achine, on parle frquement de serveur Novell sans autre spcification.

0.1. L'adressage des rseaux NovellNetware).

- le numro du rseau:

e numro du rseau est un nombre pouvant aller jusqu' 8 caractres hexadcimaux. C'est

dentification du rseau. Parfois l'appellation d'external netest utilise pour le dfinir.

- le numro du serveur:

omme pour le numro du rseau, il s'agit d'un nombre pouvant aller jusqu' 8 caractres hexadcimest le prfixe unique identifiant le serveur. En gnral, l'appellation utilise est internal net.

ous les serveurs relis sur le mme segment logique doivent obligatoirement avoir le mme numro

seau (external net).

adressage sousNetware s'effectue de la manire suivante :

our les serveurs : Internal net + adresse Ethernet

our les stations de travail : External net + adresse Ethernet

es adresses des stations de travail sont donc attribues automatiquement en fonction du numro du

seau (external net) et de leur adresse Ethernet.

es serveurs sont rfrencs sur le rseau l'aide d'un nom: SHC01, SHCCICpar exemple; il s'agit d

ur adresssage mnmonique.




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0.2. Les volumes.e disque dur d'un serveur contient deux partitions. Une partition DOS d'environ 5 10MB et une

rtition Netware qui occupe le reste du disque.

espace rserv Netware est en gnral divis en trois volumes :

Le volume systme

Le volume programme et (ou) application

Le volume data

e volume systme contient tous les rpertoires et tous les fichiers du NOS Netware. L'utilisateur a tru de droits sur ce volume. Cependant l'accs un serveur implique le passage sur ce volume puisq

pertoire de login s'y trouve.

accs au serveur s'effectue grce unLoginName et un Password. Il faut encore y ajouter un conte

ui fait rfrence la structure du Service des Hospices Cantonaux pour l'environnement Netware 4.




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isques locaux (Local Drive):

es disques locaux, nomms aussi disques physiques ou Physical Drives, sont les endroits o l'on peu

e et crire des donnes sur un support local. Sur un poste de travail, on utilise gnralement les lett

B,C,D,E pour les dfinir.

isques rseaux (Network Drive):

es disques rseaux, nomms aussi disques logiques ou Logical Drive (car ils ne correspondent pas

cessairement un support physique distinct), sont rpartis en deux catgories :

les ''Network Drive Mappings'' correspondent un point prcis (d'un rpertoire) sur la partition

etware du rseau. Selon nos standards, les lettres utilises comme disques logiques vont de F Z.

our dfinir la premire lettre disponible pour les disques rseaux, il faut insrer dans le fichieronfig.sys (Windows 3.1x) la ligne suivante:

astdrive = E (=Z pour les VLM)

qui implique que le dernier disque local utilis sera le E.




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nous voulons que l'utilisateur ALAIN puisse accder facilement sur son rpertoire, nous pouvons

er un disque rseau, qui sera reprsent, par exemple, par la lettre M:.

e mme emplacement dans l'arborescence pourrait tout aussi bien tre reprsent par la lettre R: po

tre utilisateur, et la lettre M: utilise pour un autre emplacement dans l'arborescence (par exemple:

HCCIC:\PRG\WINDOWS\WORD).

fin d'viter les confusions, les lettres attribues au disque rseaux ont t normalises:

F: disque de login.

K: rpertoire personnel

X: rpertoire de transfert inter-service.

Les ''Search Drive Mappings'' correspondent aux Path de l'autoexec.bat. On ne peut utiliseru'exclusivement les lettres K Z, dans l'ordre dcroissant soit Z, Y, X, etc.


es serveurs Novell sont utiliss pour grer le systme d'impression du monde bureautique (PCs).

es Print Serverpermettent la gestion de ces systmes d'impression.

ans le rseau des Hospices, deux types de Print Server sont utiliss :

Un module Netwarepservercharg sur le serveur de fichiers (File Server) dans le cas o l'imprim

t quipe d'une carte rseau ou si elle est connecte directement sur le port parallle du serveur. LemprimantesHP Laserjet 4 utilisent ce module pserver.

es imprimantes dotes d'une carte rseau supportent, en gnral, les impressions en mode TCP/IP: d

cas, la gestion des impressions ne passe pas par le Print Server Netware.

Les botiersEPS de Lantronix pour les impressions Novell etTCP/IP dans le cas o l'imprimante

s de carte rseau.

ans ce cas, les impressions peuvent tre gres directement par le botier d'impression (via son son

opre Print Server) ou par le serveur Novell (via un Print Server dfini sur le serveur Novell).a dfinition des imprimantes sous Novell s'effectue en quatre phases:

- Cration d'un serveur d'impression (Print Server).

- Dfinition des imprimantes.

- Dfinition des queues d'impressions.

- Mise en relation d'une queue d'impression et d'une imprimante.




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e travail est effectu exclusivement par l'administrateur du rseau !

imprimante sera relie une queue et un port parallle. C'est--dire qu'un port du PC est redirig

ne queue d'impression d'un serveur de fichiers.

n rgle gnrale, les ports lpt2 et lpt3 sont redirigs sur le rseau, alors que le port lpt1 reste libre po

s impressions sur une imprimante locale. Il se peut que certaines applications DOS ncessitent des

mpressions sur le port lpt1: dans ce cas de figure, lpt1 peut galement tre redirig sur une queue

mpressions du rseau Netware.

es queues d'impressions sont gres sur un serveur de fichiers. La gestion des travaux d'impression

effectue en fonction de la localisation du serveur d'impressions (sur la mme machine que le serveu

chiers ou sur un botier d'impressions).

es travaux d'impressions (jobs) sont envoys de la station de travail sur une queue d'impression (qu

fait, un sous-rpertoire du serveur de fichiers). La queue d'impression stocke les travaux en attente

squ' ce que le Print Server puisse les traiter et les envoyer sur une imprimante.




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1. Les quipements rseau.

infrastructure d'un rseau informatique est compose, outre le cblage cuivre et optique, de matrie

ectronique et informatique.


es Tranceivers sont des quipements de transformation de signal physique d'une nature en un autre

gnal d'une autre nature: de BNC-10Base2 FOIRL (Fiber Optical Inter Repeater Link), ou de AUI

Access Unit Interface) 10BaseT par exemple.

es quipements, qui ne possdent pas d'adresse physique, ne rgnrent pas le signal et ne peuvent

s augmenter la distance maximum de transmission (qui dpend du type de mdia, comme nous l'av

u).

1.2. Les Repeaters.

esRepeaters (rpteur) sont comparer des amplificateurs qui rgnrent le signal et qui permettnsi d'tendre la distance maximum de transmission.

peuvent tre munis de diffrents types de tranceivers et possder une adresse physique par port.




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e rseau reste unique, c'est--dire que le trafic entre les noeuds A et B se retrouve galement sur la

rtie droite du repeater et inversement; les collisions sont propages.

e type d'quipement ne ncessite aucune configuration logicielle.

1.3. Les Bridges.esBridges (pont) font partie des quipements d'interconnexion et possdent au minimum 2 ports m

Tranceiver ou de connecteur AUI ayant une adresse physique chacun.

e type d'quipement, logiciel et matriel, assure une segmentation physique et logique du rseau. Se

s paquets destins un quipement situ de l'autre ct du Bridge le traverse.

ela signifie que le trafic local entre les noeuds A et B ne traverse pas le Bridge et n'encombre ainsi

segment de droite. Le trafic estfiltr, les collisions ne sont pas propages.




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es Bridges effectuent leur tri (le paquet doit-il passer ou non) sur les adresses physiques des paquets

a configuration logicielle de ce type d'quipement est en gnral automatique; les possibilits de fil

nt assez restreintes et ne permettent pas une grande prcision.

1.4. Les Routeurs.

nRouter(routeur, appel aussi abusivement Gateway) est galement un quipement d'interconnexiuni de 2 ports au minimum et ayant une adresse physique etlogique pour chacun d'eux.

es ports peuvent tre connects sur un modem: on parle alors deRemote Router(routeur distant); d

cas, un autre Router muni d'un modem doit se trouver l'autre extrmit de la liaison tlphonique

a configuration logicielle des ces quipements est complexe et permet la cration de filtres trs fins

veau des couches de protocoles de communications (au niveau de IP, TCP etc.).

ertains quipements combinent les fonctionnalits de Bridge et de Router: lesBRouters.

ans l'exemple prcdent, il est possible de dcider que la station A peut communiquer en mode TCPec les noeuds C et D, tandis que le noeud B ne peut communiquer qu'avec A et qu'en mode IPX/N

autre grande fonction des Routers est l'aiguillage (routage) des paquets travers le rseau: les paqu

ssent d'un Router l'autre en fonction d'un chemin (route) calcul d'entente entre les Routeurs du

seau (et ceci l'chelle mondiale d'Internet), d'aprs une srie de protocoles de routage.

es paquets de l'exemple ci-dessous transitent du noeud A au noeud B en passant par un chemin qui

rier d'une fois l'autre (en fonction de la charge, des Routers hors-service etc.).




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1.5. Les Hubs.

es Hubs (concentrateurs) permettent la connexion de plusieurs noeuds sur un mme point d'accs su

seau, en se partageant la bande-passante totale.

a structure physique qui s'en dgage est une toile, mais la topologie logique reste un bus (pour

hernet).

es Hubs sont munis, saufsur les quipements de bas de gamme, d'un port Repeater (optique ou AU

rmettant la connexion sur le reste du rseau ou sur le backbone.

est en gnral possible d'y installer plusieurs types de modules (bridges ou autres).

2. PCs: les couches rseau.

es informations entrant et sortant de la carte rseau (Adapter) doivent tre gres par le PC.

a carte rseau est pilote, comme n'importe quel priphrique, par un driver.

es informations issues du driver (ou destines lui) doivent avoir un format tel qu'elles soient

ploitables par les protocoles (logiciels) suprieurs.

ans un premier temps, les fabricants de cartes rseau proposaient leur propre suite de protocoles, ce

itait les problmes d'incomprhension entre le driver de la carte proprement parler et le reste de l

uche rseau; cette faon de faire oblige utiliser un seul fournisseur pour la partie logicielle et

atrielle, ce dernier n'tant, deplus, pas forcment capable de fournir tous les protocoles ncessaire

ne autre solution consiste construire la partie basse du protocole de communication l'aide du drila carte: c'est le cas de l'IPX natif de NetWare.

es constructeurs se sont finalement allis afin de crer un standard qui permettrait d'utiliser n'impor

uel driver de carte rseau (rpondant ce standard) avec n'importe quelle suite de protocoles.

e ces accords sont issus trois standards principaux: Packet Driver, ODI(Open Datalink Interface)

ovell etNDIS (Network Driver Interface Specification) de Microsoft et 3com.

acket Driver est une spcification relativement indpendante des constructeurs mais assez dlicate

iliser.

NDIS est utilis sur les NOS (Network Operating System) du type LAN Manager de Microsoft et de

rivs (IBM-LAN server, Windows 95, Windows NT, DEC- Pathwork).

a spcification ODI de Novell permet, outre l'emploi de n'importe quelle carte supportant ce standa

tilisation en parallle de IPX/Netx de plusieurs piles de protocoles (TCP/IP et IPX/Netx par exemp

n parle de multi-stack.




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e logiciel 'ODI' charg sur les PCs se nomme lsl.com (Link Support Layer) et est fournit par Novell

che est d'assurer le lien entre le driver de la carte rseau et les couches protocoles suprieures; il est

onc capable de dterminer s'il s'agit d'un paquet IP ou IPX et d'appeler le programme correspondantcpip.exe ou ipxodi.com).

e driver de la carte rseau compatible ODI (du type driver.com) est fourni par son fabricant

e programme ipxodi.com (fournit par Novell) communique avec le programme netx.com qui lui-m

ansmet les informations aux applications.

n parallle, le programme tcpip.exe de LanWorkplace (Novell), qui comprend les couches IP et TCoccupe de la partie TCP/IP de la communication.

anWorkplace de Novell est une suite d'applications TCP/IP (telnet, ftp, ping etc.) et de couches rse

cpip.exe).

indows 95 intgre directement les diffrentes couches rseau mais reprend les mmes principes denctionnement.




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2.1. Les applications TCP/IP courantes

es applications rseaux TCP/IP courantes sont:

elnet: tnvt220.exe et wt3270.exe (Host IBM) sous DOS (LanWorkPlace)

ost Presentersous Windows (LanWorkplace)

PMsur Macintosh et Windows.

tp:ftp.exe sous DOS (LanWorkPlace)

apid Filersous Windows (LanWorkPlace)

mail: weudora.exe sous Windows.

udora sur Macintosh

www:Netscape sur Macintosh et PC.

2.2. Ping.

utilitaire 'ping' (construit sur une couche spciale au dessus de IP: ICMP - Internet Control Messag

otocol) permet d'interroger n'importe quelle machine fonctionnant avec le protocole TCP/IP et de

cevoir une rponse (...'pong'. '... is alive' ou '... responded'), si l'quipement et la liaison

nctionnent correctement.

est ainsi possible de savoir si la liaison rseau et l'quipement sont fonctionnels.

ous DOS, il s'agit de la commandeping.exe et sous Windows de l'utilitaireIP Resolver. IP resolver

rmet, en plus, de retrouver le nom logique d'une machine l'aide de son adresse IP, et inversement


e rseau des Hospices (hospvd.ch) est connect au monde extrieur par l'intermdiaire du rseau de

Universit de Lausanne (unil.ch, appel aussi parfois lunet).

es accords technico-commerciaux nous permettent ainsi d'accder au rseau mondial Internet et edline sur eliot.unil.ch.

a connexion du rseau de l'Unil sur Internet s'effectue par l'intermdiaire de l'oprateur suisse d'Inte

witch (switch.ch).

witch est une socit prestataire de services et assure la connexion au reste du monde Internet.




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es connexions physiques sont ralises l'aide d'un backbone de distribution 'horizontal' en fibre

ptique 100Mb/s (anneau FDDI) et de liaisons en fibre optique 10Mb/s (norme FOIRL).

a distribution au poste de travail est, sauf cas exeptionnels, ralise en cblage universel de type ST

lind). Il subsiste quelques segments en 10base5 (coaxial): Nphrologie, Pathologie, Secteur

echnique, IUMSP.

es connexions distantes (de type WAN) sont ralises l'aide de lignes PTT loues de 64kb/s au mo

a liaison sur l'Unil est galement 10Mb/s; la connexion entre l'Unil et Switch offre une

nde-passante de 2Mb/s.

es liaisons 'modem' via les lignes tlphoniques commutes permettent l'accs au rseau des Hospic

puis n'importe quel point du rseau tlphonique une vitesse de 57kb/s (travail domicile par

emple).

n schma du rseau sur trouve sur ce serveur Web:

/public/oih/reseaux/architecture/home.htm

3.3. Les interconnexions.

interconnexion des diffrents segments est ralise l'aide de Routers (de la marque Cisco).

haque segment reprsente la fois un segment physique et un segment logique, ce qui signifie que

aque segment possde ses propres zones d'adresses TCP/IP, Netware et Appletalk.

es Routers supplmentaires ont t installs afin de garantir la scurit sur certains sites ncessitant

ande confidentialit (Radiologie, EDM, Pathologie, Site Central).

es quipements (postes de travail, imprimantes, serveurs Novell, machines Unix) sont connects su

ubs de la marque Cabletron.

3.4. Les volutions dans un futur

proche.est prvu d'augmenter le dbit de la laison entre l'Unil et le rseau des Hospices en installant une

aison hertzienne 16Mb/s.

es serveurs qui ne seront pas directement connects sur l'anneau FFDI seront connects sur des swit

quipement rseaux assurant un dbit de 10Mb/s par connexion. Cela n'a rien voir avec l'oprateur

ternet Switch !) afin de leur assurer un dbit maximum.


http://if%28confirm%28%27http//www.hospvd.ch/public/oih/reseaux/architecture/home.htm%20%20/n/nThis%20file%20was%20not%20retrieved%20by%20Teleport%20Pro,%20because%20it%20is%20addressed%20on%20a%20domain%20or%20path%20outside%20the%20boundaries%20set%20for%20its%20Starting%20Address.%20%20/n/nDo%20you%20want%20to%20open%20it%20from%20the%20server?%27))window.location=%27http://www.hospvd.ch/public/oih/reseaux/architecture/home.htm%27http://if%28confirm%28%27http//www.hospvd.ch/public/oih/reseaux/architecture/home.htm%20%20/n/nThis%20file%20was%20not%20retrieved%20by%20Teleport%20Pro,%20because%20it%20is%20addressed%20on%20a%20domain%20or%20path%20outside%20the%20boundaries%20set%20for%20its%20Starting%20Address.%20%20/n/nDo%20you%20want%20to%20open%20it%20from%20the%20server?%27))window.location=%27http://www.hospvd.ch/public/oih/reseaux/architecture/home.htm%27


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notion de réseau

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