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Notes du mont Royal Ceci est une œuvre tombée dans le domaine public, et hébergée sur « No- tes du mont Royal » dans le cadre d’un exposé gratuit sur la littérature. SOURCE DES IMAGES Canadiana www.notesdumontroyal.com

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Page 1: Notes du mont Royal · Un songe qu'il eut, et dans lequel il vit la Science qui lui promettait de rendre son nom immortel, le déter ... voir, sur la fin de ses jours, cette immortalité

Notes du mont Royal

Ceci est une œuvre tombée dans le domaine public, et hébergée sur « No-tes du mont Royal » dans le cadre d’un

exposé gratuit sur la littérature.SOURCE DES IMAGES

Canadiana

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HÉJIE L 1 B R A I K I E . Envoi franco au reni du prix en timbres-poste

Recaeil gradué de morceaux de littérature, prose et poésie (exercices de mémoire), à l'usage des classes de grammaire; par M. Meynal, agrégé de l'Université, professeur au lycée Louis-le-Grand. (Classe de cinquième.) Troisième édition. 1 vol. in-12. cart. 75 c.

FENSION. —Dialogues des morts. Nouvelle édition contenant une intro­duction et des notes historiques, mythologiques, géographiques, philo­logiques et littéraires; par M. Caroii, professeur agrégé de l'Université. 1 vol. in-12, cart. " 1 fr. 80 c.

JUSTINI Historiae philippicae ex Trogo Fompeio. Nouvelle édition im­primée en gros caractères, avec notes historiques, géographiques et grammaticales en français; par M. Hallberg, professeur agrégé de l'Uni­versité. 1 vol. in-12, cart. " 1 fr. 25 c.

Recueil gradué de thèmes latins (Extraits des meilleurs prosateurs fran­çais), à l'usage des classes de grammaire; par M. Georges Edon, agrégé de l'Université, professeur au lycée Napoléon. 1 vol. in-12, cart. 1 fr. 25 c.

Le même, latin et français; par lé même 1 vol. in-12. {Sous presse.) Recueil gradué de versions latiaes, à l'usage des classes de grammaire;

par M. Meynal. agrégé de l'Université, professeur au lycée Louis-le-Grand. 1 vol. in-12, cart. 1 fr. 50 c.

Le même, latin et français, par le même. 1 vol. in-12, br. 3 fr. Recueil gradué de versions grecques, à 'l'usage des classes de grammaire,

par M. Pessonneaux, agrégé de l'Université, professeur au lycée Napo­léon. 1 vol. in-12, cart. " 75 c.

Le même, grec-français. In-12. 1 vol. br. 1 fr. 80 c. Evangile relon saint Luc (texte grec). Nouvelle édition imprimée en gros

caractères, collationnée sur les" meilleurs textes, renfermant des notes grammaticales, littéraires, historiques et géographiques, en français ; ".ne vie de l'auteur et une élude sur la langue et le style des évangé-lisfes, avec une carte de la Palestine; par MM. Louis Dumas, ancien professeur au lycée de Montpellier, et Al. Marion, ancien élève de UEcole normale, professeur au même lycée. 1 vol. in-12, cart. 80 c.

Edition autorisée par l'Université. XENOPHON. Anabase. — Extraits 'texte grec), imprimés en gros ca­

ractères, avec des notes historiques, géographiques et grammaticales en lrancais, par M. A. Jacquet, professeur agrégé de l'Université. In-12, cart. 1 fr. 60 c.

Le même, grec et français, par le même. 1 vol. in-12, br. 3 fr. 50 c. PLDTARQDE. Extraits des vies des hommes illustres ('texte grec), im­

primés en gros caractères, avec sommaires et notes historiques, géogra­phiques et grammaticales en français, etc.; par M. Feuilleret, agrégé de l'Université, professeur au lycée de Bordeaux. In-12, cart. 2 fr.

Le même, grec et français; par le même. In-J2, br. 4 fr. Cent exercices gradués de versification latine, par M. Rogier, licencié

es lettres. In-i2, br. 1 fr. Le même, suivi des corrigés et des développements; par le même. 1 vol.

in-12, br. 2 fr. Les corrigés cl développements seuls. In-12, br. 1 fr.

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AOÏKIANOr

AIAAOrOI NEKPON

: DIALOGUES DES MORTS DE LUCIEN

(TEXTE GREC)

NOUVELLE LDITION

CONFORME AU TEXTE ADOPTÉ PAR L'UNIVERSITÉ,

AVEC.DES NOTES HISTORIQUES, GÉOGRAPHIQUES ET GRAMMATICALES EN FRANÇAIS

• P R é C é D é E D'éTUDES PRéLIMINAIRES

sririE

D'UN L E X I Q U E N O U V E A U De lous les mois contenus dans les Dialogues

PAR M. DITALYDY D O C T E U R E S L E T T R E S , I N S P E C T E U R D ' A C A D É M t E

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PARIS LIBRAIRIE CLASSIQUE D'EUGÈNE BELIN

RUE DE VAUGIRARD. X° 5 2

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Toutes mes éditions sont revêtues de ma griffe.

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Soint-Clou !. — Imprimerie de Mrae Vf BELIN.

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ÉTUDES PRÉLIMINAIRES.

VIE DE LUCIEN. — HISTOIRE DU GENRE LITTÉRAIRE APPELÉ DIALOGUE DES MORTS. APPRÉCIATION DES DIALOGUES DE LUCIEN.

I. Vie de Lucien. Lucien naquit à Saraosate, dans la Comagène, province de Syrie.

La date de sa naissance n'est pas certaine. Ce qui est indubitable c'est qu'il vécut sous les Antonins, dans le 11e siècle de l'ère chré­tienne, et qu'il mourut nonagénaire.

Son oncle maternel était sculpteur. Sa famille voulut lui faire apprendre la sculpture : elle voyait là pour lui une carrière toute trouvée. Mais dès le premier jour le jeune Lucien brisa une table de marbre qu'on lui avait donnée à dégrossir : faute impardonnable aux yeux d'un sculpteur. Aussi Lucien fut-il rudement battu. La statuaire n'allait pas à sou génie : ce mauvais traitement la lui fit prendre en horreur. Un songe qu'il eut, et dans lequel il vit la Science qui lui promettait de rendre son nom immortel, le déter­mina à quitter cette carrière et à embrasser celle des lettres.

Dès ses premiers pas dans cette voie nouvelle, il rencontra plu­sieurs obstacles. Sa famille, dont il contrariait les vœux et les espérances, dut contrarier, à son tour, sa résolution ; de plus il était pauvre; et si la pauvreté est un stimulant pour l'étude, elle fournit difficilement les moyens d'étudier ; enfin il n'avait reçu jusqu'alors que les premières notions de littérature : c'était toute une éduca­tion à compléter et peut-être à refaire. Son courage surmonta tant de difficultés. Il devint avocat et plaida devant les tribunaux d'An-tioche. Mais son ambition avait grandi avec sa science et son ta­lent. Il trouva plus profitable à sa fortune et à sa renommée d'aller de ville en ville et de donner, aans tous les pays où la langue grecque était entendue, des séances publiques de déclamation et d'improvisation oratoire. Il parcourut ainsi l'Asie, la Grèce et la Gaule, et séjourna longtemps dans cette dernière province, l'une des plus lettrées de l'empire. 11 passa ensuite en Italie, et s'arrêta à Rome, dont les suffrages consacrèrent sans doute sa réputation d'ha­bile et brillant sophiste. De Rome il se rendit pour la seconde fois en Grèce et vint chercher daDS Athènes, où il se lia avec le vieux philosophe Démonax, les moyens de perfectionner son goût et de compléter ses connaissances. Alors, en possession d'une fortune peut-être considérable et d'un nom déjà célèbre, mûri par les voyages et par l'étude, il se décida, vers l'âge de quarante ans, à écrire pour la gloire; et le but qu'il se proposa, ce fut de combattre sans relâche la superstition et la corruption de son siècle.

Il obtint en effet la gloire qu'il avait rêvée. En outre, l'empereur Marc-Aurèle lui confia en Egypte d'importantes fonctions admi-

DLALOG. DBS MORTS. a

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VI ÉTUDES PRÉLIMINAIRES. nistratives et judiciaires. Là, ses ennemis l'accusèrent de n'être pas aussi désintéressé que possible. Il écrivit, pour sa justification, une Apologie qui nous est restée. Fut-il disgracié? nous l'ignorons. Mais à l'avènement de Commode, fils de Marc-Aurèle, la faveur impériale vint encore une fois le chercher, et probablement pour toujours; car il mourut dans les premières années du règne de cet empereur, vers 192 ap. J.-C, accablé de vieillesse, et pouvant entre­voir, sur la fin de ses jours, cette immortalité de son nom que la Science lui avait prédite au début de sa carrière.

II. Histoire du genre littéraire appelé Dialogues des morts.

Lucien est sans contestation l'inventeur du Dialogue des Morts. Cependant, aussi haut qu'on remonte dans l'antiquité, on trouve comme des germes de ce genre de fiction. Ainsi Homère (1) fait converser Ulysse avec les âmes de Tirésias, de sa mère et de quel­ques héros grecs par lui évoquées. Virgile ose davantage (2). Enée, son héros, descend aux enfers sous la conduite et la protection de la sibylle de Cumes, et s'entretient avec les âmes de guerriers troyens, surtout avec celle de son père Anchise. Après Homère et avant Virgile, on avait vu le poète comique Eupolis (3) évoquer, dans les parabases (4) de ses pièces, les morts fameux auxquels il prètaitsuc la scènedesconversations politiques. Dans les Grenouilles d'Aristopuane, Bacchus se rend aux enfers; et devant ce dieu, à la fois dieu du vin et de la tragédie, les ombres d'Eschyle et d'Euri­pide débattent leurs titres poétiques et se disputent le sceptre de leur art. Enfin l'une des satires d'Horace (5) est un véritable dia­logue des morts. Ulysse ne veut pas quitter l'ombre de Tirésias sans consulter ce devin célèbre sur le moyen de réparer sa fortune ruiuée par les prétendants de Pénélope. Tirésias lui conseille plai­samment de capter les testaments des vieillards, et lui enseigne tous les artifices auxquels on avait recours, au siècle d'Auguste, pour escroquer des héritages. Cette satire rappelle, à s'y tromper, plusieurs dialogues de Lucien, et notamment celui qui a pour titre Pluton et Mercure. Mais Lucien n'en doit pas moins être considéré comme le créateur et le père de ce genre de littérature; car, le premier, il le cultiva pour lui-même et en fixa, pour ainsi dire, les lois. En France, Boileau (6), Fonteuelle et d'Alembert écrivirent des Dialogues des Morts. Ceux de Fénelon sont plus connus. On en compte soixante-dix-neuf, qui roulent sur les matières les plus va­riées : politique, philosophie, morale, poésie, éloquence, peinture même; mais la politique y domine, parce que l'auteur les com­posa pour l'éducation du duc de Bourgogne, petit-fils et héritier

rompant l'action, s'adressait directe­ment et en son nom an publie.

5. La 3e du liv. II.

1. Odyssée, ch. xi. 2. Enéide, ch. vi. 3*. Eupolis, d'Athènes, florissait vers

le milien du ve siècle av. J.-C. 4. La para! ase était cette partie de

l'ancieune comédie où le poète, inter-(lo:

6. Boileau (1636-4744); — Fontenelle 637-1757) ; — d'Alembert (1717-1783).

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ÉTUDES PRÉLIMINAIRES. vil de Louis XIV (1). Les exemples y sont tirés de l'histoire grecque, de l'histoire romaine et de l'histoire de France, et les idées qu'on y rencontre sont à peu près les mêmes que celles qui sont exposées dans le Télémaque.

III. Appréciation de» Dialogue» de Lucien. • Lucien passe pour avoir emprunté à Platon l'art du dialogue.

Sans doute l'art qu'il y déploie est grand; mais on peut, sans faire tort à l'imitateur, le placer bien au-dessous de son modèle. Son style, pour être correct, élégant et ferme, ne vaut pas, ce semble, le style de Platon : il n'en a ni l'éclat, ni la souplesse; son atti­cisme est un atticisme de seconde main, une sorte* de pastiche heureux. Sa politesse est médiocre, son ironie plus amère que fine, son rire plus bruyant qu'agréable, ses intentions plus honnêtes que bienveillantes. Enfin l'on ne trouve pas chez lui ce je ne sais quoi de sain et de bienfaisant qui circule dans tousles dialogues de Platon.

Au moment où il écrivait les Dialogues des Morts Lucien était évidemment en délicatesse avec le genre humain. Il lui voulait mal de mort. L'idéal de l'homme était alors pour lui un cynique, c'est-à-dire un gueux en haillons, portant bâton et mendiant, ne voyant pas plus loin que ce bâton et en frappant indistinctement tout le. monde. On comprend que dans le cours de ses voyages à travers l'empire romain, Lucien ait dû être témoin d'une foule de turpi­tudes et qu'il en ait profondément gémi. Le spectacle de Rome,entre autres, ne l'édifia pas beaucoup, comme l'atteste son Nigrinus. Mais s'il était en droit, s'il fit bien de châtier sans miséricorde le vice sous toutes ses formes : lâche amour de la vie, basse cupidité, sordide avarice, folle ambition, orgueil insensé, superstition gros­sière, charlatanisme de rhétorique et de philosophie, on a peine à l'excuser d'avoir méconnu et outragé des hommes tels qu'Aristote, Platon et Socrate. La sagesse, la science et la vraie vertu ne sont pas seules livrées aux aboiements irrespectueux de ses cyniques ; la noble ambition, la vraie gloire ont encore à souffrir de ses in­justes attaques. Toutefois l'excès même de son zèle témoigne de sa bonne volonté ; la haine vigoureuse qu'il ressent contre le vice absout presque ses méprises en expliquant ses fureurs. Voilà pour­quoi ses Dialogues des Morts, au point de vue moral, non moins qu'au point de vue littéraire, sont dignes d'être mis entre les mains de la jeunesse : les quelques erreurs qu'on y trouve, et qui d'ail­leurs partent d'une bonne source , sont faciles à corriger; au con­traire, les vérités qu'on y rencontre sont innombrables, et nul ouvrage peut-être n'en réunit autant sous une forme aussi précise et aussi divertissante. A. DITANDY.

4. Le duc de Bourgogne était devenu I de son père; les Dialogue» furent n * l'héritier présomptif en 4741 par la mort | bliés en 4742.

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TABLE DES MATIÈRES.

Dialogue Ie' i — II 4 — UI 6 — IV 8 — v io — VI 13 — VII 15 — vin 17 — IX 19 — X 20 — XI 23

Dialogue XII 25 — XIII 26 — XIV 28 — XV 32 — XVI 38 — XVII 43 — XVIH 46 — XIX 53 — XX 56 — XXI 59 — XXII 63

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AOYKIANOY

MAAOrOI NEKPQN.

DIALOGUES DES MORTS DE LUCIEN.

AÏAAOrOS A'. — DIALOGUE Ier.

Les rois Crésus, Midas et Sardanapale regrettent amèrement dans les enfers les biens qu'ils ont perdus. Le philosophe Ménippe répond à leurs plaintes par des insultes, et les poursuit partout de son rire vengeur.

KP01202' , nAOÏTilN, MENIIIII02, MIAA2 KAI 2APAÀNATIAA02.

K P O I 2 . OÙ ©SCOJA8V, CÔ IlAO'JTWV2, M £V 177770V 3 TO'JTOVl

TOV y.ùva Trapot/CoÙvTa* COGTS r, EV.SÎVGV 770t /.araGG-Gov, :?)

yiLtïç a£Tot/-'/;cou.£v eïç erecov TOTTOV.

I1AOYT. T t G)' ùu.a; oV.vùv £p*ya^£Tat, ou.ovr/.co; cov;

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VG)V p.£[Avy,[/.svoi T ô V aveo, Mio-aç* p.èv OùTOGI TOO yp'JGlOU,

1. KpoMJo;, Crésus, roi de Lydie, contrée de l'Asie Mineure, fut célèbre pour ses richesses. Son nom même si­gnifie encore parmi nous un homme pirissamment riche. Crésus se regar­dait comme le plus heureux des hom­mes, se croyant pour jamais à l'abri des coups de la fortune. Mais vaincu et pris par Cyrus (548 av. J.-C.), il rornnnnt. miton raison dn l'instahilité reconnut qulen raison de l'instabilité des choses humaines, nul homme ne peut se dire définitivement heureux

.sur la terre. 2. IIAOûTCOV, PZufbn, dieu des en­

fers, était fils de Saturne et frère de Jupiter, de Neptune et de Jnnon. 11 avait épousé Proserpine, fille de Cérès.

MAL. DES MORTS.

3. MsV.irnoç, Ménippe, philosophe cynique. On appelait cyniques, dans l'antiquité, des philosophes qui se van­taient de dédaigner les bienséances et professaient l'impudence du chien (x'Juv, xuvoç). Ils foulaient aux pieds tout ce que les hommes recherchent d'ordinaire : la richesse, la puissance, le plaisir. Ménippe se lit un nom par l'ironie mordante de ses satires mêlées de prose et de vers. C'est même de lui que les satires où règne un sem­blable mélange se sont appelées Mé-nippées.

4. M'.oaç, Midas, roi de la grande Phrygie, contrée de l'Asie Mineure. Il eu coûta cher à ce monarque pour

4

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2 DIALOGUE I.

EaprjV^aAoç * àè rr,ç -oAYr> Tpixpviç, èyà> èïè TWV Gr-cau-

ccov, c'-iyeXà y.al s^ovgL 'Zctrfràv^pàTuo^a xal2 xaGàpj/.aTO'

r,y.à; â-oxaAtov" èvtore cïè xal aùocov £7TiTapaTT£i •qfi.wv Taç

oipuoyâV xal oAcoç, lu7T/;pr>; g«7Tt.

I IAOÏT. Ti TaÙTa çaertv3, w Méviira;

MEN. A^.Y.GT;4, ô IIAO'JTWV. Miao) yàp aÙToùç àyevveî?

xal oAsGf»'o*j; ovTaçjolç où/, èxvfgtiïi puovai xaxwç.jà/vAà

xai aTo*Ja%/ovT£; eri v.c'avr.vTa*, xal TîepisyovTai TûV àvco.

Xxipco3 Toiyapo'jv âvioùv aÙToùç.

nAOYT.*,'AAA où Xpv"j* ")vU7ûo0vTat yàp où p*.t*/.pwv GT£-

fO'JU.SVO'..

3ÎEN. Kal cù G [Acopalveiç , to IIAOÙTWV , op/J-J/vi-poç ôV

TOIç TOùTCOV GTSvayuLoîç;

Ï I A O Y T . O ù A a a w c • à.AV où*/, àv gGeV/iGaïai GTaena-

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M E X . K a l p/Àv, co xàxiGTOi A u ô ô v , x a l «Êouywv, x a l

AGGUptCOV, O'JTCO ytVtOG/.£7£ ê)Ç OÙrJfi TTaUGOjAEVOU [AO'J7* £vGx*

avoir préféré les accents de la flûte à ceux de la lyre. Apollon, irrité de ce qu'il avait adjugé le prix du chant à Pan son rival, lui donna des oreilles d'âne. Midas, élève du poëte Orphée, ayant rendu service à Silène, et s'é-tant fait initier par lui aux mystères de Bacchus, le dieu du vin, pour le récompenser, promit de lui accorder tout ce qu'il demanderait. On sait quel vœu ridicule exprima Midas, et com­ment il fut obligé de se rétracter. Sous sa main, le pain se changeait en lin­got ; l'eau et le vin formaient une ri­vière d'or dans sa bouche. Divesque miserque, « riche et pauvre en même temps, » dit Ovide, mourant de faim, il obtint enfin de Bacchus la permis­sion d'aller laver sa sottise dans le Pactole qui, depuis cette époque , roula des paillettes d'or (Y. pour ce qui est relatif à Midas les Métamorph. d'Ovide, p. 154-159 de redit, de M. Auberlin)'.

1. S-^pSavd-aAoç , Sardanapale, roi d'Assyrie. Ce monarque mena une vie si efféminée dans les premières années de son règne que, malgré l'ac­tivité et le courage qu'il déploya plus tard, son nom est resté comme le sym­bole du prince voluptueux.

2. Kat, après un mot, a le sens de aussi, même, comme et en lai.

3. Ti vaûvi oaatv; construisez: xi çatnv (oâvTsç) xaûxa ; que disent-ils ('disant; ces c/tases? c.-à-d.: gue disciU-ils là ?t

4. A'AT,6TI , sous-ent. Tîpayjiaxa : des choses vraies, c.-à-d. la vérité.

5. Xaicto.... àviwv aÙToOç, rîi. k m.: je me rejouis chagrinant eux, c.-à-d.: je me plais à les chagriner, à les tourmenter. Cette tournure est parti­culière à la langue grecque et revient assez fréquemment.

6. Kal CTJ, toi aussi. 7. PiviôJXEXS w<; où5è ttaysouivoy-

u-o'j, construisez : Yivu>xx.sxi JAOO wç

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DIALOGUE I.

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K P O I 2 . T a u r a o>/ Gêptç 2 ;

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MI A. Oco'j p.sv syto ypueroG !

SAPA. OGTîç è>' èyw Tp'jor;; !

M E N . Eùyg, OGTCO woieVre, o&upgcGe ptèv JULSIç* syco àg,

TO r v ô O t c a u T o v * TcoXXaxiç cuveiocov, gVaerot/.ai v>atv

TipsTrot yap ùV* T a î ; ToiauTai; oip.wyaî; cVaàoy.svov.

o-jos -îta'jïop.svo'j, m. a m. : pensez de moi comme ne devant pas cesser, c.-à-d. sachez que je ne cesserai pas (de vous tourmenter).

1. "EvGa àv fr/rs, partout où tous irez.

2. Tauta où/ G6piç, s.-ent. £~T(. 3. KTT,u.ixtùv, s.-ent. àœ-flpT.uai,

je suis privé, devant chacun des trois mots : XTYIIKXTWV, youyou, TçJçJ?,;.

4. Tè rvw8'. cauTov, le (proverbe) Connais-toi toi-même. Cette sentence, u'on attribue à l'un des sept sages

Venaient l'adorer. Au rapport de Xé-nophon et de Platon, Socrale faisait de la maxime : Connais-toi loi-même, le point de départ de toute la sagesse humaine.

On sait que Fénelon, dans son Té-lémaque,Mt descendre le liisd'Ulysse aux enfers. La première ombre que ce héros y rencontre'est celle de Na-bopharzan, roi de Babylone, comme Sardanapale, et qui, comme Sardana-paleaussi, regrette lâchement lesdéli-ces où il vivait plongé. Deux esclaves, faisant l'office du Ménippe de Lucien,

e la Grèce, était tracée sur le mur ! le tiennent enchaîné et l'accrdilent des du temple d'Apollon à Delphes. C'é- j plus cruelles insultes. Ils lui reprochent tait nn principe de conduite et comme ! entre autres clmses d'avoir oublié qu'il un avis que le dieu donnait à ceux qui] était homme {Télêmaque, liv. xvm).

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4 DIALOGUE IL r-,

^ac

AlAAOrOS B'. — DIALOGUE II. r

Mercure réclame de Charon le prix de certains objets qu'il lui a fournis. La somme se monte à peu de chose; cependant Charon déclare ne pouvoir l'acquitter sur-lechamp. Satire courte mais vive contre quelques vices.

EPMH21, KAI XAmX*.

E P M . Aoyicioc/.sGa, co TTOOGLUD, a cV/.£Ï3? ÔTroffa pan

oçsO'.ciç rjcV/;, or.oiç u.r, aùOi; spf£toi/.£V 7t 77£pl aÙTcov.

X A P . AoytGco-LuOa, to Epuy/7 âpuivov yàp cbpiaOai 7T£pl

aÙTcbv, y.al àTrpa .'tAOVc'cTTScov.

E P M . iW/.'jcav £v7c:7c7L?.£V(o &y.ou.i?a TCVT8 o>payu.âiv4.

XAP. noVAou 5 A£y i •.;.

E P M . Nvj TOV V^cuvéa 6 , TWV TT£V7£ obv/icap//iv* y.al 7 c o -

TTWT^Ca J oMû Ô^GAcbv.

X A P . T^tei 77£V7£ c^payu.à; y.al OOOAOù; d»uo.

E P M . Ka l â.y.£77pav ÛTràp TOO IGTIOU* T;£VT£ o£o/\oyç eyà>

xa7£^aAov.

X A P . K a l 7ooTOu; 7:poc;7i9£i.

E P M . K a l y.r.sov w; ï'zvr:Aacrai 700 G/.aoto^'ou 7 a dv£M-

1. 'Eçu-if,;, 3fercurc, Ois de Jupiter et de Maïa. Il était le messager de Ju­piter et des autres dieux, le père de la lyre, le dieu de la ruse, des vo­leurs et des hérauts ; enfin , il était chargé de conduire aux enfers les âmes des morts.

2. Xâctov, Charon. Fils de l'Erèbe et de la Nuit. Il était le nocher des morts auxquels il faisait traverser les eaux du Styx. Le prix du passage était l'obole (environ quinze centimes) que les anciens mettaient dans la bou­che des morts.

3. El ooxsl, sous-ent. co:. 4. Asï/uuov, drachme, unité de

monnaie chez les Grecs. Elle valait

d'abord 92 centimes ; elle n'en valut plus, vers le ne siècle après J.-C, que 87, ou 17 sous et demi.

5. noAAoû.... la phrase complète serait : Aéyïi; (xop.:7a'. aé-rr/v àvvl) TOAAOû (à'vyjcloo ) , tu dis (l'avoir achetée pour) beaucoup (d'argent), c.-à-d., c'est bien cher.

G. 'AïctovÉa, Aïdonée, l'un des noms de Pluton. Ce mot n'est pas sans analogie avec Aîor,?, A'or.ç, Iladès, nom de Pluton très-commun chez les poètes grecs. Il n'en est peut-être qu'une forme allongée.

7. Tpo-wrqsa. Devant ce mot sous-ent. tôvr.Tiapv, comme devant àxé-cvpav, xT.pbv, f;Xoyç, xaAwciov, qui viendront tout à l'heure.

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DIALOGUE IL

yora ! x a l fiAoo; è)e, x a l xaÀco&tov acp* où TYJV ô r a p a v £7:0'//;-

t raç , 8vo £pay[/.c5v àTravTa 2 .

* ^ * — " X A P . E u y e , x a l a ç t a T a O r a <nvr[oco 3 •

E P M . T a f j r a scTtv *, et \).r\ Tt OXàO rlptaç oùs^aOev5 sv TO>

'^ t ^ / 4. INV % 4 « > ^ / t* <»

AOYicuLco. IloTe à O'JV Taux aûodcocjstv o r , ; ;

v X A P . N-jv w/ev, co Epi/.-/], a o u v a T o v Y.V eu Àott/.o; Tt ; r,

iroXepto; xaTaWL/.ur/; aÔpoou; Ttvàç 6 , èvéara i foTe à-oxëpcjV-

va t 7 èv TO) 7wV/)0et 7WpaÀoyi'C/jL/..evov Ta TZQCJHU.SXCC. w---~EPMrNCv pùv eyw xaQs&>rj{x.ats, Ta xâxtr jTa eùyo'pvîvo;

y e v é a ô a t , cbç av àrfo TOUTOJV c«7:oAauotu.t;

X A P . O ù x eGTtv aAAco; 9 , co EOL/.Y]. N ' JV £ oÀtyo t , cb;

o o a ç , âotxvouvTai r1.u.tv etpriV/j y x o . I l V ' 4 4 4 i 4

E P M . jAuteivov ourco; , et x a l TîLUV rrapaTcivotTO ûr:6 cou

^ T O 6(p7y/jL4a.Ûl7wViv fitAA ot u i v TraÀaiol , co Xapcov, o icQa

o t o t 1 0 t rapsyiyvovTo, àvopetot aîravTeç , a t y . a r o ; âvar;Xeco7

x a l Tpam/.aTtat ot TîOA^OI* vOv oè y) cpapptâxco T t ; ii OTTO TOU

TCatào; arrooavcov y, UTTO TV,; y u v a t x o ; , v, UTTO Tpuor , ; s^coor,—

xcoç TYJV yacTe 'pa 12 x a l T a cxsXvj * cbypol y à p àVravTc; 13„

x a l a y e v v s t ; , oùcjè optotoi sxs tvot ; .^Ot àï TTKCIGTO'. aÙTtbv oùà

^prjptaTa rixoyctv £77t£ouA£'Jov7£; à^ÀviÀot;, co; eo txac t .

*

• 1. Tèt (p-épir,) àvîcpyoTa, les (par­ties) ouvertes, c.-à-d. les fissures, les crevasses. •>» 2. Aôo Spaytatov dfaavxa , même

tournure cm en français : le tout pour deux drachmes. , 3 . "AÇia xaûxa covïfsco, m. à m.:

tu as acheté ces choses dignes (du prix que tu y as mis), c.-à-d.: tu as fait là un bon marché. i 4. TaOrd è<rc;v (rdvxa â dwicrd-H-TVV), vot'fà tout (ce que j 'ai acheté).

5. AiéXaOev. Ce verbe se construit avec l'accus. de la personne, comme son correspondant latin : lateo, es, ui, ère.

6. 'AOpdouç Tivdç, sous-ent. àvOpw-«ouc.

7. 'A-oxspôdvat. Devant ce verbe s.-entendez jxs, auquel vous ferez rap­porter le part. v:apaAoy^ou.evov.

8. NOv ouv èyài xaOsôoùaai, m. à m. : maintenant donc je serai assis, planté, c.-à-d. me voilà donc réduit à.

9. Oùx ItTîiv âXXwç, s.-ent. TOIT-trat. "EST'.V a ici le sens de: il est per­mis, il est possible.

10. OToi,gue/s,c-à-d.dansquelétat. 11. Tiç, s.-ent. àvOpcoTCOç -rapay:-

yvcTat. 12.E tyjOT1xto<;(xaTûc)TYivyxsT£pa>

enflé (selon) te ventre, c.-à-d. te ventre enflé.

13. "Axavtsç. Après ce mot s.-en­tendez -xpaytyvovTr. ou tls:,

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G DIALOGUE III.

X A P . Ilavu y à p rspiTToO^Ta £CTI Taura .

EP3I . Oùx-ouv oùo' èyèo do'^aïu.!. àv àuv*/fTavstv, Twixpoj;

à—aiTwv Ta o^eO.ou.sva 77acà cou. -,

A I A A 0 U 0 2 r . — DIALOGUE III.

Plusieurs jeunes gens cupides circonviennent le vieillard Eucrate par d'hypocrites démonstrations d'amitié, dans l'espoir d'hériter de son immense fortune. Pluton engage Mercure à laisser vivre le vieillard longtemps encore et à lui amener ces jeunes gens le plus tôt possible : ce que Mercure lui promet de faire.

nAOÏTŒV. KAT EPMH2.

I I A O Y T . T o v 1 yô'povTa olcOa, TOV TTôVJ yeyvipax.oTa

>.£^'(0, TOV TTVJ'JC'.OV EÙ/.paT'/iV 2 , CO 777.10£Ç J/.5V OIT/. £tc!v, G'.

TOV xJrjpov rjc or,pcovT£;, -svTaxtcj'.vpio'. 3 ;

E P M . Nal , TOV Sizucoviov 4 or ' r . T i oùv 5 :

I IAOYT. 'EX.ôTVOV UAV, m Epp.v;, '(yv è'acov, érrl6 TCA;

£W£vr'x.ovTa STSCW à (3c^io//.cV £77iy.£Tpr/ca; à/\Xa TOcauTa7 ,

£i*v£ olo'v T£ viv 8 , x.al £Ti Tïlfi-'w 9 ' TO'Jç cVs y£ xo7.ax.ac a'JTOU,

Xaoîvov TOV v£Ov, x.al Aau.cova 1 0? x.al TOùç aA^ov;, x.aTacira-

cov £<p£î;*/;; «TravTa;.

1. Tov. Ce mot est répété trois fois à dessein. Pluton désigne ainsi très-expressément le personnage dont il parle à l'attention de Mercure.

2. EJxpaT-r.v, Eucrate, nom ima­ginaire , mais s'appliquant parfaite­ment a un homme riche. R. £Ô, bien, beaucoup; v.zoLiéoi, posséder.

3. ïïv/'zzv.'.zij.-jy.o'., cinquante mille, c.-à-d. un très-grand nombre , une foule. Le latin streenti, mille, le fran­çais cent, mille, sont des locutions analogues.

4. S'.x-jwv.ov, de Sicyone. Sicyone était une ville maritime du Pélopon­nèse, située à une petite distance de Cuïnihe. Le territoire fjr.i en dépen­

dait était un des plus beaux et des plus riches de la Grèce. Voilà pourquoi sans doute Lucien fait de l'opulent Eucrate un Si-cyonien.

5. Tt oov, hé bien? 6. E-î, au dtléi, en sus de. 7. ' A/iXa zozo.'jxa, s.-ent. ïrt\. 8. Efy£ (TOûTO) oîdvTsf,v, si tou­

tefois cela se peut, litt. se pouvait. 9. IIAîLCO, sous-ent. STT). 10. Xapïvov... Aâp-tovx, Ckarinus,

Damon, noms imaginaires, mais qui semblent empruntés à des personna­ges de comédie. Ces jeunes gens hy­pocrites jouent, en effet, la comédie pour duper le vieillard.

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DIALOGUE III. 7

EPM. "ATOTUOV av 5ô;g».s TOTOIGUTGV ! .

I IAOYT. OGfAgvoGv, aklk of.y.a'.07a70v. T t yàp r/.cvvoi

TiaôovTê;2 euyovTat ctTroOavstv gxgîvov, 7] T û V ypyaaTcov

âvTtTwOtOÎiVTat, OUOeV 77pOG7f/.GV7£C3:£P 5è TTaVTOJV £G7l aiapo)»

;7aTOv, 07t, y.al 7otau7a £ÙyGi/.£vot, OIACO; ^parauGosiv , sv ye.

TW cpavepû* jcal V0GGGV7G;4, à aèv po,j).£,Jov7ai rraGi —po-

àr. Aa b* 6uG£tv 0*6 6'{A(o; Ù77tGyvGCrv7a'., yv paicr," y.al o/.coç ,

ro'.x.&AYi Ttç 7î y.o/\ay.£ta 7tov àvopâiv G. Atà Tai/ra o t/.gv

• ÊG7w à0xva7oç, ol 5 e 7:poa7:t70)Gav aiVroO7, p.ary.v iû ' . ya -

V0V7£Ç *y

/XV E P M . r£/ .oîa 7r£iG0V7ai, Travo-jpyoi ov7s;. IIoAÀà 5s y.à-

y.svvoç sO {/.a/ a 5iaêouy.GAg7 aÙTO'jç /.ai s—gATriCe'.' /.al o>.(o;,

àsi 6avo/v7t ioiy.ojç, s£f corai TTO'A'J aaAAov 7cov vicov 9* ot

5è , r,(ï'f\ 70V y»Av;pGv s'y cç iG t 1 0 5ir,or,[/.svoi, po/Gy.ovTat^&)-/;v

y. a /.a c (av* * 77 : • o c g av. 70v ; 7 */i iv 7 s £.

I I A O Y T . Oùxou? 6 [/.sv à—oo'jaay.gvo; 70 yv;paç, toGTrsp

Io/vgwç12 , àvrâ€'/;Ga7co* 01 5 , àr;o [/.d'acov 7cov é7v7:i5tov 7ov

6vgipoT70/\7i6g'v7a 77A0O7GV a7707.i770V7gç, 7//.57toc?av YÎd'/i y.a/.oî

xa/.co; âî7oOavov7£ç î 3 .

1. Toioûxov, forme att. p. XOIOôTO. 2. TiYôtp èXEîVOI xa8o'vx£ç, ni.à m.

car quelle chose ceux-ci ayant sentie, •c.-à-d. d'après quel sentiment, pour­quoi?

3. OOôev 7cpot7T xovTî<;, s.-ent. t y yépovci.

4. Kal vovTOÛvxoç, S.-ent. SCJTOû. Génitif absolu.

5. IIpdÔTjAa, s.-ent. ESTé. 6. *H xoAxxeta (xouxtùv) TûV àv-

€pûv. 7. AûTOO. Ce génitif est gouverné

par irpd, deirpottictTiûTav. 8. MdtTivèxiy^avdvxsç, s.-ent. xqTç

yp^ctae TOO Yépovxo;. Postquam in-hiavtrunt frustra {opibus senis).

St. Twv vétov. Ce gén. est le com-plément du comparatif TTOàù JIôCAAGV.

10. 'Ev 5a{vTi,c?i eia-mcmcs_, c.-à-d. en idée, en espoir.

11. ZWT.V piaxaptav, etc., complé­ment de T'.Oévxîç, lequel se construit après pdsxovxai..

12. 'ïo).£a>;.forme attique pour'Id-Aao:, Iolas. Neveu d'Hercule, il fut conducteur de son char et partagea quelques-uns de ses travaux. Il éïait parvenu à. une extrême vieillesse, quand deux astres s'arrêtèrent sur son char, et l'enveloppèrent d'un nuage d'où il sortit plein d'une jeunesse nou­velle. Ces deux astres étaient Her­cule et Hébé.

13. Kaxol xxxw: àro9avdvx£ç, mé­chants morts méchamment, c'est-à-dire, morts comme des méchants qu'Us étaient.

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8 DIALOGUE IV.

E P 3 I . AttsV/iGOv, OJ IlXouTcov pLSTe^EUGoaai y a p cot yjcvn

apTOù;/.a6' g'va * éc,v;ç; érr-à è c , o i a a i , Etca.

I I A O T T . KaTacrr;a. O ai —apaTCSja^si gV.acTOv, OCVTL y£-

povTo; aùOiç TcctoÔvyo*/;; v£vot/.;Vjç2.

AlAAOrOZ A'. DIALOGUE IV.

Un captateur de tcstameut raconte à un parasite de ses amis com­ment, en voulant hâter un héritage, il imagina,Une ruse qui tourna contre lui-même et lui coûta la vie.

ZHSO<PÂ>*Tn2 KAI XAAAIAHMIAH2.

ZIUV. 2 ù o*è, tô Ka^ ià r . jA ià r , , TTM; à ra t iavs ; • syco j / iv

yap 07i TTaoaciTOç 4 wv Acivioo TTACOV TOO i/.avoij èy.oaytov

OTTCTTV/^V, oicrOa5, Trapvjc yàp âTToOv/fczovTi p„ot.

KAA. flaor.v, oô Zr.vo'oavTc;. To ci4 s a o v c rapacm^o'v

71 éVc'vcTû ' . - O l a ô a yàp /.al cru Trou IlTOiooojpov TOV yg—

pGV79 a ZHN. Tov aTEîcvov, TOV TCVJUGIOV, û

8 ce Ta r;oA),à vjdgtv

GUVOVTa KAA. 'EZ-SIVOV aÙTôv âsl gQgpà-guov, û-LGyvoopvgvQv ë V

êJJLOI9 Ts0v/;;£cj6ai. 'E-sl c»è TO Tjpâypva sç p.v;/.'.<7Tov C'TTC-

1. Kaô' £va, un à un, /os uns après en bons mots. Philippe, roi de Ma­ies autres, en bit. singxdos. 0 p. ? à : cédoine, en avait un nommé Cliso-cause de l'esprit rude qui surmonte > phns, qui jouait à sa cour à peu près l's dans lui. \ le même râle que jouèrent plus tard

2. JAVT: vsso'/roçaùe-.î-cwOrÇY,; j les fous à la cour de nos rois. ysvduLîvc;, ' faetus rursùs àdmodàm 5. OlzQi. Construisez : 0176a yàta ;urc;'U.s ex s eue.

3. ZTjVO-fàvTT.ç, lênophante; K-XA-A'.OT.aîÔT,:, Calb.démide; noms imagi­naires, comme AS-.VIïç , Binias, et UTO'.OOOJSOî , P/œvJore.

4. U;'.'pd7'.To;, parasite. Le para­site était en général un homme pau­vre, gourmand, paresseux et spiri­tuel. Il vivait à la table des riches et payait son diner en boune humeur et

OT'. £yco JAïV... a-£-vtyTjV. 6. To ô* èjiov, s.-eut. Trpâyga,.

mais mon affaire, mon aventure. 7. "EyévîTo, aor. 2 de yîyvoga:,.

servant de parfait au verbe eigî. Tra­duisez par le présent de l'indicatif.

8. ri2 adjectif relatif gouverné par la prép. cjv de cuvoVra.

9. 'E-'ègo'., pour moi, àmon avan­tage, c.-à-d. en me laissant ses biens.

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DIALOGUE IV. .)

ytvsTO, x a i O-rèp TOV TIOWVOV * 6 yspcov £*£•/; , STTLTOO.O'V T I V »

ooov éVt TOV y.VVTjpov è^EOOOV. Iloia'AEvor v a s oaoo.ctx.ov,

avETCEtça TOV otvoyo'ov, e—sto-àv Tay .oTa 2 o riTO'/j^ojco;

aÎT7]rjy, TT'.ETV (TîIVEI & £7;tEtX(o^)*{ojpoT?povJ, iy^aAovTa i ;

xuXuta, ETO'.O.OV Êyeiv ai>TÔ3, x>al ÈTTtooovai aoTÛ • eî o è TOOTO

Trot'Zoct, sD.E'jOsoov sTTtooyio-apVAV âep7ÏG£!.v aÙTo'v.

Z H N . T t oôv sy&vsTo; TTXVU yap Tt, —apaôoc/jv £ps~v Eoix.a;.

K A A . 'ETCôI Totvuv VuGapvcvot.4 v;y.oy.cv5, ry-jo rioV, 6

p-.ctpax.iGX.o; xù/V.x.aç éTOIO-OU; sy&yv, TT.V JJLÈV TW I I T O I O -

ôcopto, T7,v syoucav TO oap^.ax.ov, TT,V 6 ' ÉTÉpav &1/.01 ,

c o a l e l r oox. olty' 07:0--, sitôt u.èv TO oxcj/.ax.ov, IlToio'jwst» » ' , J » k , I k k ' V '

oè TÔ âoaoïxax.TOv èTTEO'COX.EV. .'E'.Ta 0 aèv ETTIVEV, ÈVGJ cïè 4 k » ; 4 ' l

aÙTtx.a [AaXa6 ix.Taôr.v SXELO,//1V , Û7;ooo/\iy.aîo; àvT ix.2:-

vou VEXûO;. T t TO'JTO ; ysAaç;, co Zr.vooavTe; ; K a l {/.Èv oox.

eoet VE ETK'.GCO avopt e—ivEAav.

Z H N . 'AaTEia yap 8 , Ka77toV,u.$Y), TJérrovGaç. O yepwv

oe Tt Trpoç T a i r r a . ;

K A A . ITGôJTOV »A£v uT:ETao::y6yi 77po; TO a i o v t à t o v : ctTa k k k / s . k ' 4 . /

cuvelç, olpvsct, TO yEyevr.o.c'vGV, ÈyE/\a x.al GCOTÔ; o i à y£ o

otvoy/o'oç a p y a c T a t .

Z H N / n^yjv â ^ V oùo'è ce TV;V S T O T O ^ O V 1 0 i'fffii Tpa-f-

cGafvlxe1 1 yàp av cot o tà TYç Isoi^opou12 âa<paA£GTcpov?

Et x a t 67tyw ppa&JTepov. 1. Titoovdv, Tithon, fils de Laomé-

don et frère de Priam. Aimé de l'Au­rore, il obtint des dieux l'immortalité à la prière de son épouse. Mais ayant oublié de demander aussi la jeunesse, fl se lassa de vivre éternellement dans la décrépitude et s'estima heu­reux d'être changé en cigale.

2. 'ETCSU&V Tâyisra, aussitôt que. 3. ÀOxd, s.-ent. ©Tpuotxov. 4.. AOUTCXU,SVOI. On prenait ordi-

nairement un bain avant le repas. 5. "HXOJJL'.V. Ce verbe, quoique au

présent, a le sens d'un passé. 6. AOi-ixa taâXa, à l'instant même. 7. Oùx îot:, s.-ent. àv, il ne fau­

drait pas,-il ne convient pas de. 8. Txp, c'est que. 9. Té -r:p6; xaûxa, s.-ent. elirs OU

è7C0ÉTt7î. 10. Tf.v è-éTGUOV, s.-ent. ôoo'v. 11. THx=, s.-ent. ô x7â,pô;. 12. A'.ct TT,; (ôôoO) Aswadpo'J, pur

la route qui porte le peuple, c.-k-:!. par le grand chemin.

I.

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10 DIALOGUE V.

AlAAOrOS E'. — DIALOGUE V.

Deux hommes riches étaient convenus que celui d'entre eux qui survivrait à l'autre hériterait de ses hiens : aussi souhaitaient-ils mutuellement leur mort; mais ils périrent ensemble dans un naufrage. Réflexions sur les effets pernicieux et la vanité des biens malériels.

KPATH2 > KAI AI0TENH2.

K P A T . Moipiyov 2 TGV TTAOUCTIOV syivoiiîtsç , 03 Aicjyever,

TGV TZyjVU 77VJU<7'.OV, TGV SX, IvGC''VOG'J 3 . TGV TOT, TZoWv.C 7 i ^

ô^aao^aç â'yovTa; GJ àvs-laoç 4 ApiTTsaç, TIGUTIOç xa l aù-

TGÇ WV, GÇ TO Gfj//;p'//.GV EXclVO gltoÔsi £7ïl/\sy£lV, « II LA

âvasip , y; syco-cs0 . >»

A l O r . T'-VG; e v e x a 6 , w K p a r / î ç ;

K P A T . EÔepaTîSuov àXV/p.ouç , TGV X/TY;cou svsxa s/ .x-

TSGOç, vîAixiwTai OVTêç, x a ; Ta ; èiaO'/;xaç s ; TO oavepôv

STIOSVTO 7 , AptcTÉav ptèv 6 Moipiyo; , et TîpoaTîoOavoi,

SecTOTYiv âoielç TCOV savTGv TravTcov, Moipiyov oè 6 A.pt-

1. KpâtT.ç, Cratès, de Thèbes, ca­pitale de la Béotie, était un philo-sophe cynique. Aiovévr,;, Diogène, né à Sinope, ville d'Asie, sur le Pont-Euxin (mer Noire), fut le maître de Cratès. Il vécut d'abord à Athènes, puis à Corinthe où Alexandre le Grand le vit et l'admira.

2. Motpi/ov, iMœrichus ; 'Apisriaç, Ans/éé, noms imaginaires.

3. KopfvOov, Corinthei ville située sur listhme de ce nom, entre la mer de Crissa et la mer Saronique. Grâce à sa position et au génie industrieux de ses habitants, les richesses af­fluaient dans son sein: elle comptait plus d'un Mœrichus et d'un Aristée.

4. 'Avsevidç. C'est à dessein que Lucien suppose que ces deux hommes sont parents. Il veut montrer par là que la soif de l'or ne respecte rien, J

pas même les liens sacrés du sang. 3. Cette parole d'Homère : « En­

lève-moi, ou je t'enlèverai. » ILIADE, eh. XXIII, v. 724. Homère met ces paroles dans la bouche d'Ajax luttant contre Ulysse. Lucien, en les mettant dans celle d'Aristée, joue sur le mot ivaEÎpw, qui, comme tollo en latin, présente un double sens, celui de sou­lever et celui d'enlever (faire mourir).

6. Tîvo; evsxx, pourquoi, S.-ent. me dis-tu cela ? et non pourquoi disait-il cela ? Car il semble plus na­turel que Diogène réponde à la pre­mière proposition, qui est principale et inlerrogative, qu'à la seconde qui est subordonnée et affirmative.

7. Ta; ôTaOrJxaç s; Tô epavepôv itfivno , ils mettaient leurs testa­ments au grand jour, ils se les fai­saient voir.

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DIALOGUE V. M

« r é a ç , £ Î 7rpoaT:s>.Ôo'.«ùTO/J ! . TaOra cdv syéypa-To . Oî Oc

èftapàrauov aAAvîAouç 6~£s^aÂÀoa£voi TT; xiÂxxsia. K a l en

|X!3WT£ii; , £IT£ àTTO TtOV àciTGCOV T£X{AaipOt/.£VOl TO [/.OlÀOV,

«tre OSTCO T û V 6vstpaT0>v 6>ç ys XaXctaiwv îraïcifi; 2 , aAÀà

xa l 6 IIuOioç aÙTo;3 àpTi u.èv 'ApiGTÉa -acsvys TO -/.S y TOC,

apTt cYè Motptycp* xa l Ta TaAavTa 4 TTOTô r/.àv £TTI TOOTOV, ~ k\9 , , , ~ w» e

VOV 0 £7C SXSIVOV eppSTTS.

** A l O r . T t oùv TC£pa; syÉvETO, to KcaTYîç; 'AxoOTat yàp vc açicv.

KPA.T. A.'AÇto T£Ôvàcjiv 5 £-1 «.taç, YÎr/.soac* oi cïs x./.r>

oot éc Eùvoutiov xa l 0eaeroxÀ£x6 TCSOIYJAÔOV, XULOCO c i r - r ô -» ' k k k * / i i t t

V£ÎÇ OVTaC , OUcYs TTCOTJGTe 77C0ttaV7£U0l/.£V0,JC OU TCO vsvacOat ' • * ' k k k * i

TauTa 7 . AtxTkÂÉovTEç yàp à - ô Sixuôvo; 8 Eç Ktppav , x.aTa

{/.6CÎ0V TOV TTOpOV TwAayiOJ 7CSpi7T£Ç0VT?Ç 7W 'iàiTuyi °, â'/c-

TpaTr'/icrav.

AIOF. Eu £7:oty)Gav. H'/.£i; èïè, ôTTOTE EV TCO ptcp T.U.EV,

OÙd£VTOIOUTOV £V£VOOU{A£V 77£pi âAÂvpvWV O'JTS SytO TCCOTTOTS

1. A-JTOO. Ce génitif est gouverné par itpd de irpoairéAÇot.

2. XxAéaîcov iraï8sç, les enfants des Chaldéens, c.-à-d. les Chaldéens. Ce peuple était célèbre pour son ha­bileté dans l'astronomie et dans la divination.

3. l 0 IlûÔioç aÙTdç, le Tythien lui-même, c.-à-d. Apollon, ainsi surnommé pour sa victoire sur le serpent Py­thon. - 4. T2t TOLUWCCC, les balances.

5. TeSvôhnv, contr. de TôôvaxTtv,

Jour TE0v7jxa<ïiv} 3e p. pi. duparf. de

vïfrxco. 6. E'Jvdp.'.ov xal OpaauxAÉa, Eu-

nomius et Thrasyclée, noms imagi­naires, mais qui semblent choisis à dessein pour désigner des personnes honnêtes et dignes du bonheur qui leur arrive, car le premier signiiie u quiade bonnes moeurs » et le second

a célèbre pour son courage. » 7. Lucien aime à convaincre d'er­

reur les devins et les oracles. Heu! vatum igname mentes.

(Virg. JEn.l. IV, v. 63.) 8. Stxucôvoç, Sicyone; sur cette

ville, voy. la note 4 du Dial. m. Kîiiav, Cirrha, ville de Piiocide, au pied du mont Parnasse.

9. Mâ-uyi, Vlapyx, nom de vent. 11 soufflait de l'Apulie, province ita­lienne, qu'on appelait aussi Iapygie. Ce vent était favorable à ceux qui d'Italie passaient en Grèce. Ainsi Virgile se rendant à Athènes, son ami Horace souhaite que tous les vents se taisent durant sa traversée, tous excepté Vlapyx (Od. 1. i, 3). Mais il était contraire à ceux qui de Sicyone, par exemple, naviguaient vers Cir-rha.

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12 DIALOGUE V.

yi'j;àj7//;v'AvTtfJÔéV/i * cc7;o6av£Îv, <bç xAr^ovo^Gaipu2 TT;ç

pay.T/1c,'a; aÙToO (etye o*è 7:àvu xapTspà-v, èx. X.OTIVOU TTOIV)-

caw.svoç)' ours, olpvat, où, CO KpaTnç, £77c6up//;Ga; y./v/ipo-

vo'Xcîv âikOÔavovToç £L»-O0 Ta y.TTjovaTa, y.al TOV TTIGOV, y.al k ' k ' k ? 7

TT;V Tk'/jpav yotvix.ac3 cïùo Gépucov é'youoav.

KPAT. Oùrôèv yàp pvot TOOTCOV £cY£i * aAÀ' oùo'è GOI, O>

Aïoysvsç* à yàp eypYÎv4, GV Tô 'AvTiGÔevou; ëV.ArmovojJiY]-

Ga;, y.al syto GOG», TJOAAÔ) [A£i o> x.al cej/.voT£pa TY;ç IΣC-

GGOV àpyyç. -

A i o r . Tiva Taora ©vie :

KPAT. Sootav, aù?àpy.siav9 aAyGaav, TcappviGiav, s7v£u-

Gscîav.

A i o r . Kvj Ata, j/.£i/.vr,{/.at y.al TOOTOV oaao>£;à[/..svo<;5 TOV

TT).OOTOV 7:ap AVTIGOEVO'J; , y.al GOI ITI TrAaeo x.aTaAtTcov.

KPAT. AAA 01 aÀAot fi'jjÂAovy TCOV TOIOUTWV y-T/jUtà.-

TCOV, y.al oùàslç èGspàTcs'jsv YÎpvaç, y.7kr,povoL///iG£iv rpocoV-X.GOV' Iç, (]l TO yp'JGLOV TOVTcÇ eëXSTTOV.

AIOF. EIZO'TCOç • oo yàp eîyov £vGaG àv cîét'aivTO TO:

TOtaoTa i r a s ' 7,{JLWV, oieppu/jX-oTSç ûTéO Tpucpvîç, xaGàTrep Ta

GaOpà TCôV pa^avTi&>v7, MOTS et TTOTE y.al ip.êaAÀoi T : ç

sç aÙTOÙ; vi oocpiav, r, TTappyGiav, r, âV/îOsiav, eçsTriTTTEv

£Ù6ùç, y.al Stéppet, TOO TTUGIASVOç, GTsysiv où ôàjvajAsvou.*

ctov Tt TaGyouGiv al TOO Aavaoù aÙTai TrapGÉvot8, èç TOV

1. 'AvciaOsvr,, Antisthcne, philo- • xavaAraôv, ?e me souricus, aya:iî sophe athénien, fondateur de l'école reçu, a?/a»imisse,c.-k-d.d'aroi> reçu, des cyniques et maître de Diogène. j d'avoir laissé; tournure familière a la

2. KÀTipovopyqcTaipu.. Le verbe XAT,- I langue grecque, povouito gouverne tantôt le génitif 6. Où yàp £Tyovëv0a,?iori habebant

nbireconderent/ils n'avaient rien pour recevoir.

7. Ta ca8pctTU)v3aAavTtu>v, comme xàaaôpà paÀdvTia.

8. Danaiis, roi d'Argos, avait cin­quante filles, qu'il mariaaux cinquante lils de son frère Égyptus, mais en leur

(^axTT(p{ac),ettantôt l'accusatif (XTT;-p.axa, plus bas).

3. Xotv.xaç, chénix,mesure grecque de capacité pour les choses sèches. Il valait un peu plus d'un litre.

4. "A ydp è-/pr,v, nain quod decebat (nos anobis invicem accipere).

ô. M*jAvr,jxai.... ô:aôï;djj.svo; commandant de tuer leurs époux la

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DIALOGUE VI. 13

Térpuir/ipiÊVOv TCtGov ér;avT"Ào-DGai. To o*e youGiov ô&OùGI xa i

*V ovu£i xai irac/j (/.yyavr, ècpÙAaTTov.

K P A T . OùxoOv Yjuyiîi; ptèv eÇojASv xàvTafjGa * TOV TTAOù-

T O V ot cïè oêoAov VJ^OUGI XOIAI£OVT£ç, xa i TOOTOV aypi TCTJ

1TOpG[JL£(i);.

AJAAOrOi: Z'. — DIALOGUE VI.

La beauté ne mérite pas qu'on lui fasse de grands sacrifices. C'est un avantage périssable et qui ne nous suit point aux enfers. Là, laideur et beauté se confondent dans une commune horreur.

MENinnOS KAI EPMH2.

M E N . II où o*à 01 xaAoi £ÎGIV, y] a i x a À a i , w Epu.y ;

c^vàyyioov u,£ v£y,Xuv ovra .

E P M . Où cyokr, [AOI, ô M/VI-TTô • 7:7.-/, v y.y.-z' cV.sîvo aÙTÙ

aitoo Aeyov, w ; tTti Ta oec/.a , £vua o l a x i v u o ; d T£ £GTI

xai 6 Napx iGGo; 4 , xa l o Nipsù; 5 , y.ai ' A y ^ e ù ; ° , xa l

nuit même du mariage. Toutes obéirent, excepté Hypermnestre, qui « glorieusement désobéissante envers un père parjure,» comme dit Horace (Od. 1. m, 8), épargna son époux Lyncée. Les Danaïdes furent condam­nées, dans les enfers, a la tâche im­possible de remplir des tonneaux percés.

1. Kàvraûe-z, même ici (dans les enfers). Antisthène, fondateur de l'é­cole cymque, disait en effet : « Les biens dont il faut faire provision sont ceux qui pourront surnager avec nous après un naufrage. » (Diog. Laërce, De Anfistaene, vi, 1.) Le sage Si-monide venait de faire naufrage, et seul ne s'inquiétait pas de sauver ses richesses. Quelqu'un lui demanda :

Simooide, taeiopibusnilsumis tuis? Mecum, inquit, mea sunt cuncta.

(Phèdre, 1. iv, fable 17, edit de M. Aubcrlin )

Sophocle a dit aussi : « La piété suit les mortels au delà du tombeau; qu'ils vivent, qu'ils meurent, elle est im­périssable. » [VhilodHc, v. 1442.)

2. cûç è- t ta ôîij'.oc, un peu à droite.

3. TdxivOoç , Hyacinthe, jeune homme d'une grande beauté, qu'Apol­lon tua par mégarde d'un coup de palet et changea en une fleur qui porte son nom.

4. NipxicjToç, Narcisse. Ce jeune homme, en se mirant dans une fon­taine, s'éprit tellement de sa propre beauté qu'il mourut de faim et de langueur sur ces bords dont il ne pouvait se détacher. Il fut changé en narcisse. (Voy. les Mêtamorph. d'O­vide, 1. m, iv, édit. de M. Aubertin.)

5. Nipsûç, Nirée, le plus beau des Grecs après Achille. Il fut tué devant Troie.

C. 'A/: AAîûî, Achille, fils de la Né-

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U DIALOGUE VI.

T J - C O 1 x.al EàéV/I 2 , '/.où. Aria*a 3 , x.al oXcoçTa à p v a i a v.ctXkr\

77a v Ta.

MEN. OTTO" pcovov ôpôj, x.al x.pavla, TCOV eapx.wv yuu.và,

cTovv.a Ta TroAAa.

E P M . KAT* uLr.v gx.sîva SCJT'.V, à TcavTe; 01 TTO'.r.Tal ôau-

VA'VJG'., Ta ô e T a , tbv eu i W . a ; x.aTaopovsîv.

MEN. Oaoo; TYJV EASVAV IAOI cVi îov .où 72'p «V. ^ i a ~

yvo*//;v é'ycoys 4 .

E P M . TOUTI TQ x.pavlov 7 E/iv/j £CTIV.

M E N . E l r a a i v i c i a i VA s; cïià TOUTO £?:À7GtoTAC7av £,£

«Traex,; T7; EAAaàoç, x.al TOTOOTOI STrseov EXAT;V£ç Tô x.al

^ a p o a c o i , x.al ToeauTai TTO).£'.ç àvaeTaToi ysyovaeiv ° ;

~"* E P M . 'AXA' OOX. elcïe;, <o MeviTTîTs, £weav TYJV yuvavx.a * \ > £07; yàp av x.al eu âvejaéV/iTOV 6 £ivai

Toi^'î' àuçù yjvawl TTOàùV Y.poV.v àXyEa Trâa^etv.

'ETTSI x.al Ta avôr, $7pà ovTa et T I ; pXéTTOt aTToêeëXrçfcOTa

réide Thétis et de Pelée, roi de Phthie.

1. Topai, Ti/ro, fille de Salmonée, roid'Élide.

2. 'EAÉvr,, Hélène, femme de Mène­ras, roi de Sparte. C'est l'enlèvement d'Hélène par Paris, fils de Priam, qui causa la guerre de Troie.

3. Ar/Ja, Lc'da, rnère d'Hélène, de Clytemnestre, qui épousa Agamem-non, et des demi-dieux Castor et Pollux.

4. « Que sont devenus, s'écrie saint Basile, ces généraux, ces satra­pes, ces monarques? Ils ne sont plus que poussière, ils ne sont plus qu'un souvenir. Quelques os, voilà ce qui reste d'eux. Penche-toi sur ces tombeaux, et vois si tu pourras dis­cerner le pauvre du riche.... la force

de la faiblesse et la beauté de la lai­deur. » (S. Basil. 'HOix. Aoy. ta'.)

5. Le siège de Troie ayant duré dix ans, on peut juger combien de Grecs et de Troyens y périrent. Dès la neuvième année du siège Achille se vantait d'avoir détruit douze villes maritimes, et onze autres villes sur le territoire dTlion. On sait que Troie fut prise et livrée aux flammes, que Priam fut égorgé par Pyrrhus, fils d'Achille, et que les membres encore vivants de sa famille furent réduits en esclavage: tout cela pour Hélène.

G. 'AVEUEVCVOV, pardonnable, excu­sable. Le vers qui suit est tiré de Ylliade (eh. m, 136). Homère le place dans la bouche des vieillards, qui du haut de la tour des portes Scées contemplaient Hélène avec admira­tion : et le Mercure de Lucien le ré­pète assez ironiquement.

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DIALOGUE VIL 15

TYJV pacpvlv, apioptpa OYJ'XOVOTI aÙTw c^o^ci • OT£ [/.evrot àvÔcî

xa l âyei TYJV ypoiàv, x a ^ X i c r a £GTLV.

M E N . Oùxouv TOùTO, OJ Epavî, Ô a m a ^ w , ei pv/j cuv 's-

cav * 04 'Ayatol 7T£pl TTpayt/.aTû; OUTOJ; oXiyoypovio'j xa l

par)ico; âiravÔouvToç2 770VOOVT£^.

E P M . Où oyo)//) pLOt, où MsviTC-g, CJUJAçI^OCOçSIV COI*

C0<7T£, '£7TlXe$a(/.£V0Ç TOTTOV IvGa OCV sOÉV/i? , X£4<70 XXTa^Z-

àWV ceauTov. lEyco &£ TOI>; ay.T.ouç vexpoù; 7$7i [A2T£X£Ù-

coy.a.1.

AIAAOrOi H^ " ^ DIALOGUE VII.

L'homme le plus sage peut tenir en public de beaux discours contre la mort, mais au fond la mort l'épouvante. Le cynique seul n'a pas peur de la mort, parce qu'il a dédaigné la vie.

MENIIHIQS KAI KEPBEP023.

M E N . H Kgpêfips ( 'Guyyev/jç vap etw.t c o i , xùcov xa l

aÙTo; oW), £tTt*é p-ot, arpoç T?,ç E r j y o ; * , otoç Y,V 6 Scox.oa-

T/;ç 5 , OTTOTE xaT7)£t irpo; ù(/.àç • s ixo; o\ <TS, Gsç OV OVTa, 1/.7}

TTOVO'JVTSÇ, 1. El p.^ auvlssav.. m. à m. s'ils n'ont pas compris se donnant de la peine, c.-à-d. qu'ils se donnaient, etc.

2. 'Paôîwçà-ûavOoûvro?. Comparez les beaux vers de Malherbe :

Et, rose, elle a vécu ce quc~vivent les [roses,

L'espace «l'un matin. {Ode à Duperrier sur, la

mort de sa fille.) et surtout ce passage de l'oraison fu­nèbre d'Henriette d'Angleterre par Bossuet : a Madame a passé du matin au soir, ainsi que l'herbe des champs. Le matin elle fleurissait; avec quelles grâces, vous le savez : le soir nous la vîmes séchée... »

^ ^ L Kép6sûoç, Cerbère. Ce chien ^^^vue-ux , chargé de la garde des

enfers, avait trois têtes et une queue de dragon; son cou était hérissé de serpents; et de sa gueule, comme de celle des vipères, dégouttait un noir venin.

4. npôç TTIî ET'JYCç, par le Stj/x. Le Styx était le principal fleuve des enfers. Les serments qu'on faisait par lui étaient inviolables, non-seu­lement pour les hommes, mais encore pour les dieux.

5. Ztoxsdrer.ç, Socrate,célèbre phi­losophe. Le premier il enseigna la morale comme une science, en lui donnant pour base la connaissance de soi-même. Il se fit de nombreux en­nemis, et finit par succomber sous leurs accusations calomnieuses. Il fut condamné à boire la ciguë, l'an 100 av. J.-C.

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46 DIALOGUE VII.

ÛAa/.TcTv oco'vov, a/ . / .a / . a i av 0 :(077i/.w; oOsVvsTÔai, ô r o V k 7 k I ( j 7

. r £03

K E P . r io:£o/ jsv uAv, cd M s'y 177773, 77avTa77aTiv là 67.11

àTCSTTTCO TÔd 7730TCÔT0> TTCOT.c'vai , / .a l 77COT-..3Tyai TGV Oa-k • • k I ; k

V/.TOV ôo/ .wv, / .a l TOOT' i'j/yJ;rj.\ T O I ; eico TOO TToaiou

STTCOTIV IbzJ.oyj i . Errsi ô S /.aTs'/.oivSv SITOO TOô" yâVoçaTo:,

/ .ai sic) s TOV ^ ç o v , /.àvco 2 STI oia^.sAÀovTa a-jTov oa/.cov ' l 7 I k

TCo /.CoVclCO /.aTETTaTa TOO 770003, (0.0773 0 Ta [oOSÔY/; cV.ld/.'jS , - 7 . ' k l ' 7

/ . a i Ta saoToo 7-aio-îa OV)ç»CSTO , / . a l 77avToîoo '3 S'-.'SVSTQ.

ME>~. Od/.oOv TOOITTT; : ô av^scoiro; â.v, / .a i oo/. aAr.Om; / ^ / 4

/ . y. . c ^/ ^ j / w . . J J i . v y. . J*S. , J -. , • i i 1 i 7

K E P . O ' J / . * à) . / . . 37731773: àvav/ .a îov aoTO s w o a , / .aTS-

GcaodvsTO , OJO oâ.Oîv oô/. à'/.cov TOSITO'OCSVO:. o TTavTw: set:'. i 7 k v

77ao3iv, co: Oaov.aTOOTai 01 OsaTai. K a i o ) x o : , rrsol TravTcov 7 ' 1 - " k

Vc Tcd'V TOlOOTtOV 317731V à 7 37 0l'Ai % £0)3 TOÔ TTOOCIOU) TOA-4 / . k 7 ? i

!A7, 301 / .a i avo 33101* T a Ô 370)0 J3V, 3A3V703 0Ç/-0lO7,Ç ° . « ' i i ' » / . - k "

ME_\~. E*'to àè 77003 TOI /.aT3A7.AoOs'vai i'o-oca:

K E P . Movo ; , cd AIêV.TTTTS , à-ii'-o; TOO y sVyj : 7 , / . a l A i e -

V£77,0 7730 TOO' 071 ly.7( àvar/.a-OO.SVOt sV.o'siTS, fA7/J O)0o'j-i " k k ' < ' k • " k OÎSVOl, à ) . / . ' 303AOOT101, VSA0JV7S3, OlLCOd-SlV 77aoa7Y£&aV7£3 8

k 7 ' i ' 7 k > i i ' " 0

aTra.Tiv E 1. Il s'agit desdisciplesetdes amis ; C. Ta o' èVOOOîV (èrriy) D.îvyo:

avec lesquels Sociaie s entretint dans à/.y.Zr,:, m. à m.: mais les choses'de sa prison le jour même de sa mort, et , dedans ( sent ) une pierre de touche qu'il s'efforça de consoler en leur prou- , exacte, e.-k-d. mais on ne les connaît vant l'immortalité de lame. \bien que lorsqu'ils sont entrés.

2. Construisez :xàyà> O'x/Àrj z-j-zb-; j 7. 'A;-co; TOJVéVO'Jç, m. k m.: (tu c.aaé/.AOvTa iv. Tû) y.ajvsîoj. L'effet , es entré, d'une manière digne de ta ra­de la ciguë était déglacer et de raidir i ce, c.-k-d. en vrai cynique. les membres. Quand le froid avait ! 8. Oiaoit^îiv -asay^O.avTeç. Les gagné le cœur, le condamné mourait, I Grecs disaient également Aéyw ou~a-Lucien suppose plaisamment que l'om-, pa-'yé/./.oa soi O!U.CJ>E'.V. Cherchez ol-hre de Socrate était tout engourdie. aoïÇr.v.

3. DavToîc; èVéVETO, m. k m.: Il der>:enait de toutes les manières, c.-k-d. il faisait mille contorsions.-

4. Toô -pigixaTo;, C.-k-d. TOû 6a-VaTO'J.

5. E:.-ET.V àv l/y.\i.'., je pourrais dire.

9. Lucien se trompe en prétendant que Socrate craignait réellement la mort, quoiqu'il affectât de ne pas la craindre. Une telle hymocrisie e j ^ i e telle peur ont toujours été ' l'kme de ce sage.

ie pas la ie et. niift

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DIALOGUE VIII. 47

AiAAoros: Z'. — DIALOGUE VIII.

Charon a fait passer le Styx à Menippe, qui ne peut pas le payer. Grande querelle; mais que faire? Charon est bien forcé de re­noncer à son obole.

XAPftN, MENinn02 KAI EPMH2.

XAP. Axdo\);, <o xaTapare, Ta iropôu.era.

MEN. Boa, et TOUTO' oot vi^tov, to Xaptov.

XAP. 'ATeoèoç, <py,u.i, âvd' oov GS o*t£7rop8[i.£ÙoaG.£v ! .

MEN. Oùx, av Xaootr icapà TOU L».YJ eywroç.

X A P . "EGTI Si T I ; ôêo},àv u.vj eyoïv;

MEN. Et t»,èv jeat coCkoc, T^; , oùx, oi&a* èyto o e oùx

XAP. Kat ov/;v ayÇeo. ce, vyj TGV IlÀoÙTcova, w puapè, * \ > ^.. . r,v p.*/) aTroowç.

MEN. Ràyà) Tto c;ù7vto cou 2 TraTa^a; tuaÀÙGto TO xea -

vtov.

XAP. Mar/îv oùv l'or, 7T£r)v£uxu><; TOGOUTOV TTàOùV 3 :

MEN. O Epuv?;; ùûèp ip.ou cot (X-OOMTCO, o; (Jte Tcape-

OCt)X£ GOt.

EPM. Nvj Ata, ovat[x.7,v, £t \JÂX)M y£ xal ù-epexTtvstv

T&)V vexceov. XAP. Oùx a7;oGTrJ'Gou.ai GOU.

* MEN. TOUTOU ye evsxa vs(d/\X7j'ejaç TO Tropôu.siov, x a p a -

jisve 4 * 7wV/iV à/vV, o ye uv/) I'YCO, T;COç av Âa£ot; ;

1. 'AûGôOç... (xàtTopOjxsîa) àvO'wv, p. àvrt wv, m. à m. : donne... Ze pco e contre Zeguet..., c.-à-d. paie... le prix

.moyennant lequel... "2. Joignez cou à xoaviov. 3. Construisez -KAOûV avec Icy, re-

«Xeuxojç, et comparez les expressions latines analogues : vivere vitam, pu- j

gnare pugnam, etc.Bossuetaditaussi: Dormez votre sommeil.

4. TOJTOU ye svsxoc m. à ni. : ayant tiré pour cela ta barque sur le rivage, affends-(moi), c.-à-d. si c'est pour cela que tu as tiré ta barque sur le rivage, tu peux m'atlendre.

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J8 DIALOGUE VIII.

ix

XAP. 2'j cV O'JX r.rjst; toç xota^eiv c éov ' ;

MEN. Ho"£iv JASV, ovx elyov r)\s. T i oùv; £yp7v o*ià

TOùTO V.Y) aTroÔavetv :

X A P . Movo; oùv a ù y r ' a a ; —poîxa TT£-/\£ir/.svat ;

MEN. Où TTcotxa, co Pe'^TiGTe* xa l yàp vivT^*/;aa, xal

T A ; XOJTTT; c,jv£7re7aêo/L///;v, xa l oùx EX.àX&OV p.ovo; TWV aX-

)xov eTTiêaTcov.

X A P . Oùrîèv TXOTX îTGQ; TX 7:op0y.£~a2 * TOV ôêoVjv

KTTO^o'jivai ce 0£i • ou yàp Oeai; a7).to; ysvecOat.

MEN. Oùxovv â v x y a y e 3 fy.£ aùù'.; s; TOV plov.

X A P . Xapisv 7syei;7 l'va xa l r-X/iyà; £?TI TOUTW Tcapà

Tov Ataxoù 4 77GOG7,XOW.

M E N . MTJ svoyA£i oùv.

X A P . AeTcov TI ev rr, rsr'ccc eyéiç.

M E N . 0£py.ou; , ei Oslet.;, xa l TY;; EXXTT;; TO O*£Î-

77VOV .

X A P . IloOev TOOTOV 7a îv . à Epi///), TOV x u v a v ' y a y e ; ;

O la 6e xal ù.yjx. 77apà TOV 77/,OùV, TCOV STiêaTÔiv à r : a v -

TCOV xa7ayc).c5v, xa l £77'.GXCO77TOJV, xa l p/.ovo; ao*wv, OIJACO-

«OVTCDV exevvcov .

1. Construisez.... 6:'/?//, oéovxo-U-i '.V (ôOVAOV) .

2. Oào'rv Taj-ra 'ècvV ~p6: TX-op-0;jiîla, ce/a /fa pas de rapport au, 'pas­sage.

3. 'Avxyxyt, impér. aor. 2. act. de àvàyto; traduisez-le comme un impé­ratif présent.

4. Alxzoù, Êague, fils de. Jupiter, père de Pelée et a'ieul d'Achille, régna sur file d'Haine et déplova tant de jus-îiee dans son gonvernernent qu'il mé­rita d'être établi juge des morts avec Minos et Rhad nnantlie.

5. TT,; 'EXXTT,- vô Oîï-VOV, /e sou­per d'Hécate. On appelait ainsi un re­pas ordinairement compose d'œufs et de fromage que les gens riches of­

fraient aux pauvres, tous les mois, à l'époque de la nouvelle lune. Cette fête se nommait la fête des Hécatésies. — Ménippe n'avait pas eu le temps, parait-il, de manger son souper. Il l'offrait à Charon, ainsi que des.lupins et d'autres choses encore, en échange de l'obole. Mais Charon ne voulait que l'obole et n'admettait pas d'équiva­lent. Il faisait passer le Styx au mé­chant muni de ce viatique", mais il laissait sur le rivage le pauvre hon­nête homme qui n'avait pu s'en pour­voir. Les railleries de Lucien contre cette fable de l'obole sont donc par­faitement motivées.

6. 0;.UO>ÇO'VTIDV èxîfvwv (àmCot-TMV) , gen. absolu.

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DIALOGUE IX. 1!)

•""-EPM. k.yvo£tç, w Xapo.v, ôrovbv avo*pa cVte7ropôu.£uc;a<;;\

éXeuÔepov aV.ptêû;, xoùcYevôç aûTÛ pi&Xei- OCJTOç ECTIV 6

Mewinroç.

KAP. Kal |JLT|V av ce Xaêco 7U0T£...

MEN. Av XaéV,ç, co PE^TIGTE* OTç o*è oùx av Xaêot;1.

AIAAOrOS 0 ' . — DIALOGUE IX.

Ce dialogue rappelle tout à fait le dialogue IV. Un captateur de tes­tament voulait enrichir sa famille avec le bien d'autrui; c'est le contraire qui arrive, et sa famille est ruinée.

KNHMftN2 KAI AAMNIIÏIIOS.

KNH. TGûTQ SXSLVO 3

TO Tvîç TrapoiuLiaç • « O veêpoç TôV

/ iovra 4 . »

AAM. Tt àyavaxTEÎ;, w Kv/iu.tovj

KNH. IIuv6av/] o TI ayavax.Tco ; K).yipovou.ov àxoucio; x.aTaXs'XoiTra, xaTacotpicGsl; 6 aOXto;, où; £êouXo(/.r,v àv (/.aXiara er/zïv Taaa rrapa^Troov5.

AAM. nâ>; TOUT' ÈYE'VSTO;

KNH. Eppftaov TôV ?\:avu TTXOUCJIOV, cmxvov ovTa> EOE-

paTweuov £7vl GavaTtp6- xâxsîvo; oùx âr^w; TY;V Gsoaîreiav TrpocteTO. Eooc,£ o*/; p.oi x.ai coepov TOUT eivat, oscoai àia-Ô'/ixa; g; TO çavepov7, sv a i ; sxsivco xa-aXs^oirra Tauvà 7rav-a, w; xâxsîvo; ^XoSceie, xal Ta aÙTa 7rpa;ste.

1. Alç 8s oOx âv Àaêoi;, ma/s ht ne me prendras pas deux fois (parce qu'on ne passe le Styx qu'une seule fois). Oo ne voit point deux fois le rivage des

[moris. a dit Racine (Phèdre, acte n, se. v).

2. KVTîUXùV, Cnémon ; Adu-vin-no;, Pamm'ppe, noms imaginaires, comme TBpuvoTvxo;, Hermolaùs, plus bas.

3. Construisez : TOGTO èxsïvo (STTV) tb (pY,u.a) TT,; -apo'.jiî'jt;, ceci même

(est) le (dit) "du proverbe, c.-à-d. voilà bien ce que dit le proverbe.

4. c0 vtozbc, (EîAî) TOV XéOVTX, le faon (a pris,, le lion, pour dire, le plus faible a vaincu le plus fort.

o. II/paA'.rrwv'TO'JTO'jç) oC:sêco-AO'UTJV âv aaA'.sT?. ?'/~~.v Tàjxà i p. va S;JLX xTf/aaTx), ayant ruiné ceux', etc.

6. 'E- l OavxTw, dans l'attente de sa mort. ' ^

7. 0éï8XI 5IX8T(XX; è; Tô savepdvi Vov. la note 7 du dial. v. ' v

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20 DIALOGUE X.

AAM. T i oùv 0*7) èxeîvoç1 ;

KJsH. O T I p.èv oùv aÙToç sv&ypa<|;6 TOûç éauTofi d a a -

Svfx.a'.;, oùx. oîo*a • iyw yoùv a<pvoo> aTriôavov, TOO Téyouç p,ot

£77t77£covTOç2 * x.al vÙv Epp^oÀao; eyet T à p . à , ôJOTTcp T I ;

Aa£pa>; x.al TO ayx.iGTpov T û o>£*XéaTi3 ouyxaTaoTcaGaç.

AAM. Où p.dvov4, a/O.à xa l auTov ce TQV aXtéa* COGTC

GooiGp.a x.avà cauToS Gi»vT£()£ix.aç.

K N H . Eotx.a 5 * o'!p,co£co Toiyapouv6.

AUAorox r. — DIALOGUE X.

On n'emporte aux enfers ni sa beauté ni sa puissance; et quant à la magnificence des tombeaux, elle est moins propre que l'éclat de la vertu à éterniser la mémoire des hommes : c'est ce que le cynique Diogène prouve au roi Mausole.

AIOrEISHS KAI MAï2f>A027.

A l O r . H K à p , £7:1 TIVL p.£ya cppovsîç, x.al TravTaiv

vVp.tov TrpoTijJ.aoÔai àçioTç;

M ATX. K a l 8 £7:1 TY; (JaGtAsia p,èv, eo Stvco-aù 9 , o ; Î O

&6aGiA£'JGa Kap taç p.èv â-y.GTt<;, vipSa èïè x.al Afoo'ûv

èviwv 1 1 , x.al VYîGOUç O*£ Ttva; Ù7rr,yaydp//iv, x.al a£p i Mi-

. 'Exeïvoç, s.-ent. f-paçî. f 7. Maûo-w/\oç, Afausole, roi de Ca-

. Toù TÉrou; u-Giè-i-sGoVro;, gé- rie, contrée de l'Asie Min. Sa femme Artémise lui éleva après sa mort (353 nit. absolu

3. Tô) czkey.il. Ce dat. est gouverné par la préposition o-ùv renfermée dans le participe GOYxaTaa-âGac.

4. Construction pleine: (EoyxaTx-cTcâGaç) où uo'vov (ayx-.jTfov xal 6é-Àsap',, ày.Aa xaî, erc.

5. :Eo'.xa, j'en ai tout l'air. 6. On ne peut guère lire ce dialo­

gue sans se rappeler le vers de Phè­dre si connu : Aoùttit mcrilo proprium, qui alienum

[appétit. (Fab. Iil>. t, A).

ans av. J.-C.) un tombeau si magnifi! que qu'il passa pour une desseptmerî-veilles du monde. Le nom demausolée, que nous donnons aux monuments de ce genre, n'a pas d'autre origine.

8. Ka£, s.-ent. piyoc opovw. 9. StvtoTCî'j, Sinopien. Diogène

était de Sinope, ville de Paphlagonie, sur le Pont-Euxin. V. la n. 1 du dia­logue y.

10. "0; , înoi qui. 11. A oowv èvttûv, quelques Lydiens,

c.-à-d. une partie de la Lydie.

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DIALOGUE X. 21

A'/frou1 èr;£b\iv, Ta iroXXà T ? ( ; Icovîa; xaTaerrpsçoptevo; *

xal xaXoç riv, xal p- iya; , xa l èv T;OA£«.OI; xapTepoV TO

5e ULSYICTOV, OTt £v AXtxapvacGtp" u.vY.aa Tjay.o.ô'yôOc; lyc*

£-T'.X£tpt£vov, TîXIXOV oùx aXXoç vsxpo;, àXX oùùè O-îTCO; S ;

xàXXoç 6£7)<JX7i{Jiévov3, ITT-WV xa l aV^pcov c:ç TO oxpiêficrra-

TOV £.XaO»A£V(OV 4 , XlÔOU 5 TOÙ XaAXlGTO'J , OlOV où&s vswv

fO'cot T Iç av âaSiojç. Où oV/.co cot ^ixatcoç STTI TS&UTOIç «xiya

©cov£Îv:

A l O r . ' E r t TY) pactXeta cpr,;, xa l TW xa>>Asi, xa l TW

&aoet TOU Ta©ou 6 : * l 4 '

MAT2. Nvj Ai', eVt TO'jTot;.

AlOr . 'AXX', à) xaXs MaùowXs, Où'T£ YJ tcv/ù; t r i coi

CXSIVY), OÙ'TE 'h aopcpvi TcapscTtv. E t yoOv Ttva éXoijAsOa o txa -

GTYJV eùo.oûotac TJEOI, oùx fy to 7 £t77£tv Tivor é'vsxa TO COV

xpavtov 7rpoTtt///;9ct'/) av TOO SOYOù* cpaXaxpà yàp accote- xa l

Yuowa* x a l TOÙç o&o'vTa; opvotco; 77pooatvot/.sv, xa l TOÙ; oep-

OaXp-oùç aap-/;p-/faeÔa, xa l Ta; ptvaç à—ocso'trAwu.sOa8^ O c>£

Taooç, xa l ot TroXuTsX&t; èxîîvoi XtOot, A/axapvaGCS'jGt u.v*

ïcwç £t£V9 èTwt^fitxvucÔai xa l ©iXoTt|A£iG0at r p o ; TOÙ; ^fvouç,

ô); tîvî Tt {Jt&ya otxo$o{/.'/)[Aa au TOI; £GTI* cù è>è, ce éSsXTiGT£,

1. Mi^rjxo'j, Mïïef, ville célèbre de l'Ionie, contrée de l'Asie Mineure.

2. 'Âuxapvaa-û, Halicanwssc, ca­pitale de la Carie,' et patrie de l'his­torien Hérodote.

3. 'HXlV.ov è;7jïxT,v.évov, fcZ çu'auctm autre mort n'en a un qui l'é­gale en grandeur et en beauté.

t\. TTTTXDV xal àvSpwv , etc., gén. absolu.

•5. (èx) Atëov. 0. Diogène résume les motifs que

croit avoir Mausole de s'enorgueillir, pour préciser la question , ou pour donner au roi de Carie le moyen de se reprendre s'il s'est trompé." C'est j à montrer avec raison que Lucien a chargé L)io-1

gène plutôt que Ménippe de confondre l'orgueil de Mausole. Le cynique que la vraie grandeur d'Alexandre n'avait pas étonné était bien propre à rabais­ser la fausse grandeur du Carier.. Voir la note 1 du dial. v.

7. Oôx ï/(ji V.T.Z~.V. Voir la note 5 du dial. vu, p. 10.

8. Voir au sujet de ces idées le rhal. vi engendrai, et particulièrement la note 4 de la p. 14.

9. "ITCO; sl£v è-iOîixvoaOat, m. à m. : seraient peut-être à montrer, c.-à-d. dignes d'être montrées. Comp. la tournure française: cela est à voir,

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O'.J DIALOGUE X.

oùy opio o n àTTOÙXaùsi; aÙToù, TTXTJV £i p/p TOÙTO <pvi;, o n

p.aAAov yp.cov à/y6ocpop£Î; OTTO TYM/.OÙTOI; XIÔOI; T»IS^OU.SVG;.

MAY2. 'Avovr-a oùv rioi sV-siva TravTa : xa l IGOTHAOC

CGTat BIa-JG(oAo; /.al Aïoysvr.çj

A l O r . Où/. iGOTip/);, co Y£vvatoTaT£* où y a p . MaÙGto/.o;

uiv yào o']'iwl£Ta'-, f i s avv i ivo ; TCOV Û77£p YYC, sv o l ; £Ù-k j t k - ? k k i * k j * ' ~

dV.tp.ov£Îv cp£TO * Aïoyévr,; o£ xaTaysXaGSTai aÙTOù. Ka l

TaOOV 0 |1£V £V AA'./.aOVaGGÛ £C£l éa'JTO'J ÙTTO 'AûTSULlGta:, 1 k k > k k k " '

TT.C yuvaixôc /.al adsXov.cj1, xaT5G7.euaGu.svov 6 AiovtV/.s " I " 4 ' k I

o s , TOù u.Èv Gcou.aTo; si /.ai Tiva Taoov eysi, où/, oioVv oùoè

yào SUSASV r/.ÙTio TOUTOU2 , AQVGV àè TOI ; àpiGTOt; 3 TTSCI

< k k • i k ' i

aÙTOÙ /.aTalsAoïTTSv, àvdpô; (liov pcoiw/.co;4 ùij/TiXoTecov, co

Kapcov âvo^oaTTOo^w^sGTaTe5, TOù GOù p.vr,p.aTo;, xa l sv p £ -

êaiOTspco ytooico xaTSGXSuaGu.svov. k ' / . k i k

1. Tr,: yjvïtxôr xal àôsAyr,:. Les Cariens permettaient le mariage en­tre frère et sœur.

2. Diogène avait ordonné qu'on je­tât son corps dans un fossé, mais ses amis l'ensevelirent avec honneur. On dressa sur sa tombe une colonne sur­montée d'un chien. Il mourut à Co-rinthe l'an 323 av. J.-C. âgé de 90 ans.

3. Toi: àc-rroi:, aux gens de bien. 4. B:ov SôCtwxojç.Yoirhnotc 3 du

dialoguevni. —'dyTAo'T pov. Diogène

compare la hauteur morale de sa vie à la hauteur du monument funèbre (fjLVY xaToç) de Mausole.

5. ' û Kastov àvopar:oôo)0£7TaT£, 6 le plus senile, c.-k-d. le plus mé­prisable des Cariens! La Carie fournis­sait beaucoup d'esclaves. Mais pour­quoi Diogène, qui avait été lui-même esclave à Corinîhe, adresse-t-il un pa­reil reproche à Mausole? C'est qu'il n'avait été esclave que de corps, tan­dis que Mausole, bien que roi, l'avait été d'esprit et de cœur.

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DIAI.or.lT. XI. •23

AIAVOrOA IV. — IUAl.Ui.lT. XI

Aj.ix no peut donn-r au un-1 ! - • :i ri e ri;^ui du >a l'l\>>e, m.u> eetU- heu-' .M p.u> ! .te <]'.:• lu. ; meute ;u>jue do.ii> k> «.nf.r>.

AUï- KM MAMIAlAuN : .

A T A A I . Y.l TJ •j.y.-.v.z, ( J A i m , ZIV.J-.'- i'rv..

\'fzyz '-i ;.:•:: r v à : y-y.~:'.z. ~: . v . T . ù T U . < » • t

^ • - ' x — * _ . . - _ ' C'J Te .. 11 Té 1 . * V* "." -» '.(*J TS1» M'» J I M T *> T T __..'. »* . . *• / . . . . c , . , .

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Y.-xi'

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24 DIALOGUE XL

f A I A 2 . N a l , Tayg TOiauTa1* oixeia yap p.ot YW 7) i r a -

vo77>.ta, TOû âvg^tou2 ye oùca . K a l ôptetç oi aXXot, TTO/VJ

àpLgivouç 3 ôVrgç, (XTugiTracOg TOV a y ô v a , xa l vrapgy wp/içaTé

[Aot T ô V aÔÀarv • 6 cYe AaépTou 4 , ôv gya> 7îo/\/\axiç grjcuca

xivouveùovTa xaTaxexocpGai ÙTca TWV <ï>puyû>v 5 , âp.givojv

viEto'j givai, xa l gxir/irlYgtoTgcoç lyeiv Ta oTrAa.

A r A M . A t T t û 6 TOtyapouv, w yevvaTg, TTîV 0 é r i v 7 , 7),

cYg'ov 8 coi TVJV x7\rtpovoruav T ô V OTTàGOV TcapacïiGyQvat, cruyyevcî

yg 9 OVTI, cpé'pouca iç T 6 xoivàv xaT£0gTO aÙTa 1 0 .

AIA2. O'JX. • aAAa TOV 'oiïuGejéz, ôç avTc7U0iY$Yi ptovoç.

A r A M . 2uyyve5p!.7) u , eo Alav, et, àv0p&>77oç ôv , ôpgyÔyj

^OSTîç, VJCÏIGTOU Trpayp-aTo;, ûirèp où xa l vî[AÔv exaerTOç xiv-

o\rv£v£iv uîrgpygtvgv • g—gl xa l gV.paTTjGg POU, xa l rauTa , î japà

T parai cYtxarjTaî'ç.

AIA2 . O u ï a gyô YJTIç 1 2 piou xaTeoVt'xaagv • aXV où ôsau;

Xèyeiv Tt Trepl T ô V Ôeôv. TOV youv O c W c i a pv» oùyl {/.tcjeîv

oùx av o uvaipLTiV 1 3 , a> Ayaptg|/.vov, oùè)' et aÙTVj ptot A07jvâ

TOÙTO gTClTOTTOl.

1. Na\ (T,|{buv) râys Toiaûva. 2. 'AvsvlaoO. Achille était cousin

d'Ajax, Péïée et Télamon étant tous deux fils d'Éaque.

3. 'Ajisîvcvjç^us braves et non pas meilleurs. Ajax n'estimait que le cou­rage.

4. e0 SI AaépTou, s.-ent. uldç. 5. ^p-jyôjv, les Phrygiens. La Troa-

de s'appelait aussi petite Phrygie. — Un jour , entre autres , Ulysse , seul au rnilieu des Troyens qui le pres­saient de toutes parts, allait succom-

6. AiT'.ox, 2e p. s. de l'impér. prés, d atTiaou-ai-cJuat.

7. 6éTIV, la néréide TMis, mère d'Achille.

8. A éov, au lieu de. 9. Ts, quoique. 10. q>spo'J3-a.... aura, les mit d'elle'

même au concours , c.-k-d. : s'avisa de, etc.

11. Suyyv(ôu.Ti (SCTO). 12. "H-rtç. C'est Minerve, qui fit

triompher Ulysse. Allusion à ce vers d'Homère :

fier, quand Ajax, dit Homère, « ac- ; naïSe; StTpdiwv &ixa<7avxatn«uà? Mini. courut, portant son bouclier, sembla- {Odyss. xi, 516.) ble à une tour, et se tint près dTJ- 13. MT) O,JYA....O,JX av ôuvatu-nv, lysse; les Troyens effrayés se disper- je ne pourrais pas ne pas.... Non Bos­sèrent çà et là (Iliade, xi, 485-487). ! sim non.

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DIALOGUE XII. Si

AIAAOrOS IB'. — DIALOGUE XII. Tantale aux enfers se plaint de ne pouvoir pas boire et d'être tour­

menté par la soif. Mais comment une ombre pourrait-elle boire, et comment peut-elle éprouver un besoin de ce genre? Les autres ombres ne boivent pas, et elles n'en sont pas plus malades.

MENïniïOS KAI TANTAA02'.

MEN. Tt '/Àaeiç, co TavTaAe ; vj TI ceauTov ocïùpr,, ÊVt T?,

Aip.vvj éGTCOç;

TANT. t )Ti , à) MeV-îre, a7:oAcoÀa OTTO TOù O\'CWJ;.

MEN. Oûrio; àpyoç et, OJ; y;n STTix.uOa; TTULV, Y, /.al v/j

Ata ye àpoGapvsvoç xotAvi TY; y£'.pt;

TANT. OùcYèv ocpsAo; et £77i/.ocpaiLU * Çcùya yàp TO

UCÏtOO, £7?£lOaV TTpOC'.OVTa aÏ0"()r,Tai [./.£. Hv 0£77G7£Xa'. âc'j-

Gcopvxt, xal TTpOGSvsyxo) Tcp G70[/.a7!, oo oOavto ,Sp£c;a;

àxcov 76 ysïAos, /.al oià TCOV èïaxTÙAtov cYiascuèv , où/, olo*'

OTTCOç, aùÔtç àroA£iTT£t 2 çvjpàv TYiv v£Îpa [/.ou.

MEN. TepacTtov 7t TracTY^ei;, to Tav7a7.£. A.7ap et-e

p.ot, Tt yàp Séri T o O n a v ; où yàp Gtoaa â/etç* aAA'e/.etvo

txèv sv Auo ta Trou TeÔaîwTat, orrep xal Tretvvjv /.al iïi'bïy ècïù-

vaTO ' cru d£, vj y'u/T' » " ^ a v £ 7 t '1 ^yte-y;;, 7i ~* v o - s ;

TANT. TOUT' aÙTÔ r) xoAactc £G7t, Toôid/Tiv ovou TYV 7 i i k

yWjyr.v tô$ G topa oùoav.

- MEN. AAAà TOùTO pÈv OUTCO 7CiG7cÙGop.£v, g—£t cpv;; 7to

1. TdvraAoç, Tantale, fils de Jupi­ter, régna sur la Lydie ou la Phrygie. Ayant servi aux dieux son fils Pelops à manger, il fut précinité dans les enfers et condamne au supplice d'une faim et d'une soif éternelles. L'eau d'un lac lui venait jusqu'au menton, et chaque fois qu'il se penchait pour en boire, cette eau disparaissait sous la terre. Do beaux fruits, tels que des poires, des grenades, des pommes, des figues et des olives, pendaient au-

dessus de sa tête, et chaque fois qu'il étendait la main pour les saisir, le vent les élevait jusqu'aux nues. (Homère, Odyssée, xi, 582-593.)

2. Où çOàvto 3p^«T xal otapi'jtv à-o/\£*-îi. Avant que j'aie mouillé... s'écoulant à travers... elle laisse...

3. 2 J OS, f, CVj/jrî, m. à m. mais toi Z'cme, c.-à-d.' mais toi qui n'es ilus qu'une âme.

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26 DIALOGUE XIII.

rjtdùet xo/\â£e<;Qai. T t cY' oùv croi TO o^eivôv eVrat ; yj ô^oAa;

p.r, svo^eia TOù TCOTOù" ctTroÔavr.ç ; oùjr opto yàp aXXov p.£-à

TOOTOV aobr.v, v) Gavavov evTsOGev eîç eTepov IOTTOV.

T A N T . fopGcb; p.èv Àéyet; * xa l TOUTO O" OùV p.epo; TY;;

xaTaouxvi;, T ô s?r^0op:srv TCicTv, p/zic^èv o^sop-evov.

M E N . A7,p£i;, w TavTa7,e, xa l cô; â / ^ G ô ; 1 TCOTOù" O V ï -

oOat oV/.si;, ày.oaro'j ye s7\/\e€opou2, VYJ Aia, O O T I ç 3 T O ù -

vavTtov TOI ; ù—ô TCOV "XuTTwvTOJv xuvwv o£oV;yp.evoi; T ï£-

TTOvÔaç, où TO ùd\op, à X l à TY;V cYiuvav r;s<Do(oVJp.évo;.

T A N T . OùcYè TOV âXXsêopov, où MfivwTTcs, arvaivoLiai TTISïV

y£VOlTO p.oi p.ovov4.

MEN. 0app£i , tô TavTa/\.e, où; oùre où, oùre a/\7.o; izii-

Tai TOôV vexpôv 5 • àdùvaTov yap* xatToi où Travre;, wcnrcp

où, £x xaTa^ixr.ç â ' . '^wo:6 , TOù ûOV/TOç aùvoù; oÙ£ ÙTcoutf-

VOVTOÇ.

AIAA0r02 i r . — DIALOGUE XIII. Certaines gens dans l'antiquité se tuaient pour se soustraire à la

monotonie de l'existence, comme s'ils ne devaient pas rencontrer dans les enfers une monotonie plus grande encore. Ce sont eux que raille Lucien dans la personne de Chiron.

MENinnOS KAI XEIP.QÎNTÎ.

BIEN. H x o u o a , co Xstparv, fc>; Geo; à v £7riGup//;o£'.a;

âTToOaveTv.

j . Q s aAT.Otb;, bien certainement. 2. 'EAl.sêdpo'j. L'ellébore, plante à

laquelle les anciens attribuaient la vertu de guérir la folie. Elle croissait aux environs d'Anticyre, ville de Plioeide, sur le golfe de Corinthe.

3. "O-TI:, toi qui. 4. révo'.To u.o: u-dvov, pmissc-je

seulement en avoir ! 5. Construisez xwv vsxpwv avec

OX/.G:. 6. OO èx xxvaÔtxTj; o. Ôxn,

ne sont pas condamnés à avoir soif. 7. Xetowv, Chiron, ûls de Saturne,

moitié dieu et moitié cheval. Savant dans tous les arts, il futle précepteur d'une foule de héros, tels que Pelée, Achille, Hippolyte, etc. La Fable ra conte qu'il mourut pour s'être blessé avec l'une des (lèches empoisonnées d'Hercule. C'est donc assez gratuite­ment que Lucien le représente comme ayant mis volontairement un terme à son existence.

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DIALOGUE XIII. 27

X E I P . 'A/XYJGY) TOCUT' viy.oucaç, w MsviTTTce • x a l Te'Gv/;y.a,

a>; opâç, âGàvaTo; eivat o*uvap.£voç.

MEN. T i ; 0*5 ce TOU Gavârou ê'peoç éc^ev, àvepacTOU T O I ;

icoX/vOt; y pvjptaTo; ;

XEIP . l îpw 7cpoç ce oOx, acuveTOV ovTa • oiîx f,v é r i 1 vjSu

tXTeo/ auetv «ni; àGavacia ; .

M E N . Où^ vj^ti r,v £ôvTa âpav TO ©Wç ;

XEIP. Ou*, o> MevtTCTre • TO yàp 7,0*1» èyorye Tûoty.iAov TI

xa i oùy^ àir/vouv yVyoOp.ai eivat * eyà> è>£ eÇtov àe i , / .al âTî i -

Xauov TO5V 6p.ot(i)v , vî7\iou, ©COTQç, Tpo©^;* a i cbpat oe a l

aÙTal, xa l Ta ytyvo|/.eva aTravTa écy?); ey.acTov2 , (bc-ep

àxoXouGoOvTa Qarepov GaTe'pq)3 • èv£7r/V/icG'/iv yoCiv aÙTwv.

Où y à p èv TW aÙTw â e l 4 , aXkk xa l ev TM pteTacyeîv5 , oÂ;a>

TO TepTCVOV TjV.

MEN. Eu /xéyei;, J> X s t p w v Ta èv aètou 0*6 T;W; ©épet;,

a© où6 Tcpoe)vdptevo; aÙTa viy.et;7;

X E I P . Oox àrj&to;, w MéviTcrce' vi yàp tcoTipua Tra'vu

OYjptOTixov8, xa i TO Trpàyp.a oùo^ev eyet TO oV/'©opov, ev ©WTI

eivat, 7) xa i èv CXOTW* à)\/\co;T£9 oùcYe cTtuVo/, wc -ep àvco,

ooTe Tcetvvjv o*et, txXk' àjj2-£ÎS TOUTGJV àTfàvTwv ècjJLe'v.

M E N . t ) p a , ci) Xetptov, (/.-/j îweptûtTrT'/î; ceauTÔ, xa i èç

TO aÙTo' coi 6 /\oyo; -repicT-?,I0.

termine dans l'automne, l'automne finit dans l'hiver, et l'hiver dans le printemps. Tout passe pour revenir après.» (Sénèq. Epit. àLucil. xxiv.)

4. Ev tîj) aÙTtj) àsî, dans le même toujours, c.-à-d. dans l'uniformité.

5. 'EvTtp ^xîTacr/elv, dans le chan­ger, c.-à-d. dans la variété.

6. 'Acp1 ou (X?°VO 'J)î depuis que. 7. "HXEIC;, présent ayant le sens

d'un passé. 8. Construisez : yhp rj ICIOTIJJLîX

(ècrxl Tcpàypwt) irâvo ÔT(pumxdv. 9. "AA'àCOç TE, surtout.

1. Oûx.:. ITI , comme oùxéxt. 2. (THv) é^ç IxacTov... OàxEpov

Oaxépip, se succédaient à la file comme enchaînés les uns aux autres.

3. On peut rapprocher de ce pas­sage les paroles suivantes de Sénèque : « Quoi ! toujours les mêmes choses? se réveiller, avoir faim, se rassasier, avoir froid, avoir chaud? Bref, toutes les choses du monde n'ont point de fin: elles se fuient, elles se suivent, et sont liées les unes aux autres par un enchaînement qui recommence sans cesse. La nuit chasse le jour, pais le jour chasse la nuit; l'été se J 10. Eçxbaùxo'erot ôAo'YoçTtepiTrf,,

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2s DIALOGUE XIV.

XEIP. riwç TOJTO ov;ç ;

MEX. O T I , SI TtOV £V TW 6lù> 70 OIAOIOV del Xttl TaÙTôv

ê'Vc'vsTO coi Trpocxopè; *, Jtal eXraùGa ouiota ô'vTa rpocscopri

ôy.oi»; àv revoira, xal oY/pcei u.£TaêoAY;v ce G/f,7£iv riva xai

SVTSûÔCV s; aAAov (iiov, o~sp, ointai, à^ovarov.

XEIP . Ti ovv av TrdGoi T I ; 2 , Où Mevnnre ;

MEX. Orrep, oi(/.ai, xai cpaci, cuveràv ovra dpscxecôat

xal àva—àv TOTG —acoùci, xal fA7,cvèv aÙToùv dooor.TOv oie-

cOai.

AIAAOrOS IA'. — DIALOGUE XIV. Alexandre n'était donc ni fils de Jupiter, ni dieu, puisqu'il est mort;

et quant aux biens dans lesquels il se complaisait, leur néant prouve que ce n'étaient pas de vrais biens.

AlOrEXHS KAI ÀAESANAP02 3.

A lOr . Ti TODTO, co AAs'^avo'pe ; T£Ôv/;xaç xal cù, wc-

rep xal Y,pv£t; aîravcs;;

AAEE. Opa:, ci) Aïoysve; • ou 77apâcy"o;ov o*è si, âvOpco-

T;O; cov, ârreGavov.

AlOr . Oùxouv o VA|A|AWV4 £^£00£70, Mycov éauTou ce

slvat u'.ov ; cù ôè «ïH/.ITîTïO'J àpa r,c9a;

AAEE. cbiAiîTTTOu oV.Aao*-/; • où -ràp av eTeGvrixetv, Ajmcovoç

que ton raisonnement ne se retrouve au ; fils de Philippe et d'Olympias, roi de même point, c.-a-d. me tu ne fasses ! Macédoine, naquit fan 356 av. J.-C. un cerde vicieux, l'n* cercle vicieux ! Il succéda à son père en 336, baltit est un raisonnement dont la conclu- Darius roi des Perses au Granique, sion revient au point de départ. Ainsi 334, à Issus, 333 , à Arbelles, 331, Clairon, qui prétend combattre l'uni- et s'empara de ses Etats. 11 poussa formaté, en fait l'apologie sans le sa- jusqu'àlindeoù il vainquit Porus,32G,

et mourut à Babylone, en revenant sur ses pas, 323.

4. "Auuwv, Ammon ou Hammon, nom de'j'upiter chez les peuples de

A. Mm . . _ . . . , , .... „ .... a _ Libye. Alexandre, après la fondation sentirait quelqu'un ? c.-à-d. que penser d'Alexandrie enEgypte, 331,alla con-donc ? * I sulter l'oracle de ce dieu, dont il se

3. 'A}i;av5po;,A/eran(Jrcle Grand, J fit proclamer le fils.

voir. 1. Construisez : El TO SUO'.OV y.A

xaÙTÔv TôT/ '-pavqâ-rtov) èv Toi ziiù EvévETO rcc. T.zczv.ozic.

2. Ti O-JV iv -AO- .T- . ç , m. k m. que

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DIALOGUE XIV. 2;

<»v. NOv c'a ôpôi oTt oOoèv ùyièç 0'. TWV A[A«ACOVICOV TJçQ-

©rÏTai eXeyov1 .

AIOT, A7\7\à TO taùcYo; aÙTcov oùx, aypr.GTov GOI, w 'A A£-

Çav/Jps, rcpoç Ta Trpàyy.aTa eyévsTQ 2 * TTOAXOI yàp UTTS-

7CT71GG0V, Gsov eivat GE VOLV^OVTE;. ÀTap eirrs J/.01 , TIVl T7.V

TOGauTY.v apy7,v y.aTaXéXoirja; ;

A A E S . O ù * olcïa, où Aiayavs;* où y à p â 'oOaca3 imc/J/-

4)ai Tt Tfspl aÙTTJç*, vj TOùTQ JJLOVOV, OTt aTroOv/faawv TIcp-

o'tx.y.a5 TOV SaxToXtov c^réùW/.a. IlV/iv aAÀà Tt yeXaç, où

Atoyeve; ;

AIOT. T t yàp â'7.7,0, YJ âv£j/.v/jG9'/;v o ta £r;otet 7} E7,Xà;,

apTt as rcapst^'/KpoTa T7(v à.p774v * O \ « * S Ù O V T S ç 6 , y.at TTCO-

GTaTYjV a tpoù^svot , x a l GTpaT7,yov sVt TOùç p a p ê a c o u ; ,

evtoto*è x a l T O I ; èïoScW.a Gaot; 7 77poGTtÔsvT£C, a a t v s ù ; otxo-

o4op.oùo*.£vot, * a l GÙOVTEç. \Xk v.izi {AOt, Trou GS ot May-eSovs:

av; A A E S . " E T I EV B a £ u ^ u m 8 xs taa t TptT7,v v)u.£pav Taù-=

1. Lucien suppose à tort qu'Alexan­dre était ladupe desprêtresd'Ammon. C'est au contraire par son ordre que ceux-ci le déclarèrent Qls de Jupi­ter.

2. Alexandre se fit passer pour un dieu moins par vanité que par poli­tique. 11 suivait en cela l'exemple de son père Philippe qui plaça sa statue parmi celles des douze grands dieux. Plus tard César et Auguste firent re­monter leur origine jusqu'à Jupiter, aïeul d'Enée, dont ils se disaient des­cendus.

3. Où yhp f Gacra ÏTizy.r^nl v. icep\ aÙTTK, car je n'ai pas eu le temps de prendre des mesures à ce sujet. V. la note 2 du Dial. xu.

4. Bossuet dit aussi : « A l'âge de trente-trois ans, au milieu des plus vastes desseins qu'un homme eût ja­mais conçus* et avec les plus justes espérances d'un heureux succès, il

mourut sans avoir eu le loisir d'éta< blir solidement ses affaires... »

(Bise, sur l'Hist. univers. Part. III, v.)

5.n£pôfxxa,Peî'diceas,rundespIus habiles généraux d'Alexandre. En lui remettant son anneau, ce prince sem­blait le désigner pour son successeur.

6. KoAax£Ùovt£ç... aïco,';j.Evo'..Ces pluriels se rapportent'à "EXATJVEç contenu dans'EAAâc;. On dit de même en latin: Magna pars vulnerati aut occisi (Sali.); et en français : Un bon nombre furent tués ou blessés.

7. Toùç Scôôsxa Gôoùs, les douze grands dieux. C'étaient Jupiter, Nep­tune, Mars, Mercure, Vulcain, Apol­lon, Vesta, Junon, Cérès, Diane, Vé­nus et Minerve. Voy. la note 2 de ce Dialogue.

8. BOUS'JXûV!, Babylone, capitale ûe la Babylonie, puis du vaste royaume d'Assyrie. Alexandre voulait en faire

2.

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30 DIALOGUE XIV.

TY,V ! * 'jTTi'ïyvEtTai os nTO£;'.xTo;2 ô ÛTTaçTTiCT/jÇ, ry TTOTS

à r / y / ; cyo/:ry a770 Ttov Oopùêcov TCOV £V TTOGIV 3 , £ç Aivu-

77Tôv aTayar tov eu, Oa\l/£iv S / .EI 4 , to; yviwxry sic Ttov a i -

Y'JTTT.COV OstOV.

AIOT. MT; ygAaico, w A/.E^avo p£, opoov /.al ev àèou er i

GE atopaivovTa, /.aï £>vT7i ovTa yAvou£iv5 7, O a i p t v 6 •Y£V£-

c 9 a i ; Il).7,v à/./.a TaOra cùv , co OEioTaTE , [A7, EâTTIGT.; •

où v a s ùÉai; àvs/.feîv -vty. TWV y.r.y'àw.TÙ.vjciyyztùV Tr,v7u-

o'.vr.v ' /.al £ç TQ £IGGO TOO GTOL'.IO'J TraoelOovTtov 8 * où v a s k ' i k i k

cku.ù:rlz ô Aia/ .ô: , oùà» ô Kecêsco ; £Ù/.aTaocov7,To;. E/.£Î'vo

o£ v£ r/)zo)C av fxaOoiaiTracà GOV, - t o : ©£0£iç, o—orav EVVO'/J-

G^r OG'/;V sOoaiuLOviav ùTTIQ YY,; OTTOùATGOV âoic.at, GwuiaTo-i l k 4 ' v i ^ / k

otTAa/.ac, /.al ùr:aG7;iGTà;, /.al GaTpa-raç, /.alypuGov TQGOO-

TOV, /.al éOvr, TTpOG/.uvouvTa, / .al Baou/.ojva, /.al Ba/.Tpa 9 ,

/ .a lTa iuya) .a G/, c ' a 1 0 , /.al TiG,.7iv,/.aloo'^av, /.alTQ£7TiG7[aov

eivat eçsAa/JvovTa c^aàso-s'x&vov Taivia ).£'j/.vi TV;V /.eeôaÀTjv11, la capitale de son empire. Il y mourut, empoisonné, dit-on.

1. Tsîxr.v '/assav TXôTT.V, toità aujourd'hui trois jours que

2. nTO/.îaa:o;, l'tolcrnée, l*un des capitaines et des gardes d'Alexandre. Il devint roi d'Egypte, où il fonda une dynastie, qui dura près de 300 2ns.

3. TOJV OosôSwv xtov (ôvTtûv) sv r.ozbt, m. à in. des troubles étant dans les pieds, devant les pieds, c.-k-d. des troubles qui l'embarrassent mainte­nant.

4. ftxl/Eiv èXE7.. Alexandre , deux ans après sa mort, fut transporté à Alexandrie, capitale de l'Egypte. Son corps fut déposé dans un cercueil d'or massif, au temple appelé Soma (c-toua, corps).

5. "Avcoêiv, Anubis, dieu égyptien, qu'on représentait avec un corps d'homme et une tête de chien : d'où l'épithète de latralor, que lui donne Virgile.

6. "O-riciv, Osiris, ou le Soleil, l'une des plus grandes divinités égyp­tiennes.

7. AîUVT.V, le lac, c.-à-d. le Styx. 8. Virgile a dit de même : Quos circumlimus niger, et tleformis

[arundo Cocyti , tristiquc palus ioamabilis

[un da Alligat, et novies Styx in ter fusa

[c^ercct. {Georgiq. 1. iv, v. 478-481.)

9. Bâxxpa, Bactres, capitale de la Bactriane, province de Perse.

10. Ta u.Ev-tAa On,'îa, les lions, les éléphants.

11. AiaoîôîuÉvov (xaxà) XT(V xstpa-)kY,v xcr.v-a AEOXT,, m .km. ceint (selon) la tête d'une bandelette blanche, c.-à-d. le front ceint d'une bandelette blanche (comme les rois d'Orient). La même tournure existe en latin :

Vittis et sacra ml i mi tus tempora [lauro.

(Yirg. JEn. 1. IV, v.81.1

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DIALOGUE XIV. 31

Tîopçp'jpiàa èrtTf6'îTOp7r/;{/.£vov ' . Où àUTCô? TaÙTa GE ùTTO

TYJV [LVYfpYflV tôVra; T t cïaxpùsiç, w [/.aTate; oùcyè TaÙTa

CE o GO<poç 'ApiGTOTéX'/jç2 irjalci'euoe tj/ri GiecGat pc 'êaia sivai ,

Ta Trapà TY;ç TÙyv;ç ;

A A E H . O GO<poç 3 a77avTcov sxeîvoç xoAâxcov êTTVTGITTTO-

TaTo; cov ! 'EULS t/.ovov sacov 4 Ta AptGTOTÉXouç Eioévai, oca

p.èv VJT/îCE Tcap-' s [/.ou, o ia oè £ 7 V £ C T £ 7 A £ V GOç Si xaT£ypr (To

[/.ou, TTî Tcepl iraièïeiav <piAoTti/.îa GWTTCUWV, x a i £7raiva>Vj âpTi

|/.£v £ç TO xa7Xoç , wç x a l TOùTO p . lpo; ôv TayaGou, âpTi S' èç

Taç Tupa^Eiç x a l TOV T ; V J ù T O V x a l y à p au x a l TaùV àyaGov

7jyeÎT' £tvat, (î)ç u//i aïcyùvoiTO x a l aùxoç l a a ê â v o o v . To*/;;, co

Ato'ysveç, âvGpcrrcoç x a l TeyviT/jç5 . TlXr4v aA^à TOUTO y£ aTTQ-

XÉÀauxa aÙTOÙ TYïç Goolaç, TO XuTrsicGai, oo; STTI [/.sytGTOiç

âyaGoîç, sxeivot; à xaT7)piGa7,Ga> t/.ixpw y£ E'UVTTPOGGEV.

A l O r . A7.V oicGao opaas iç ; âxoç yàp GOI TT;ç Aurr/iç

u7roGr4GO[/.ai. 'ETTSI èvTaOGâ y£ OOiêopoç où <pu£Tai, eu Si

xàv TO ATîGYIç ùo\o p y av&ov s>:tG7raGât/.evoç m e * x a l aùGiç7T/i£,

x a l 7:oÀXaxiç. OùTGO y à p àv TrauGato èTTI TOîç ApiGTOTSAou;

âyaGoîç âvu6f/.£vo; 6 . Kal yàp xal KASÎTOV 7

EXEîVOV opw, x a l

1. Hopcpuptôa èjjLTcs'jrop'KTiusvov, m. à m. agrafé (selon) un manteau de pourpre, c.-à-d. revêtu d'un manteau de pourpre attaché avec des agrafes.

2. 'ApwcoTÉÀT.ç, Aristote, l'un des plus grands philosophes grecs. Il naquit à Stagire en Macédoine, l'an 384 av. J.-C. et mourut en 322, à l'âge de 62 ans. Philippe, admirant sa science et honorant son caractère, lui confia l'éducation de son fils.

3. 'O aoîpdç... sage! lui qui était... 4. Eps jxdvov èasov TOI 'Apirto-

TéAouç elôévai, m. à m. laisse-moi seul savoir les choses d'Aristote, c.-à-d. n'exige pas que je fapprenne ce qu'était Aristote.

5. Lucien fait dire à Alexandre des choses que ce prince n'a jamais dites

ni pensées. Aristote ne mérite aucun de ces reproches; et les calomnies dont Lucien l'accable ne font de tort qu'à leur auteur.

6. OOTW yctp àv Txjsaid... àvuo-P-EVOç, m. à m. car ainsi tu cesserais peut-être t'affligeant, c.-à-d. de Vaf­fliger.

7. K^eîxov, Clitus, général macé­donien. Il sauva la vie à Alexandre au passage du Granique, 334; mais il eut l'imprudence dans un festin de rabaisser les exploits de ce prince et d'exalter Philippe outre mesure. Alexandre, ivre de vin et de colère, le tua de sa propre main; puis, re­venu à lui, le pleura amèrement et lui fit faire des funérailles magnifi­ques, 327.

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32 DIALOGUE XV. j

Ka/.AiaOsV/;1, y.alaAÀO'j; TTOX7/J'J;2 êTTI ce oo'AÛvTa;, (ôç S ta- i

errra^a'.vTO, zai àu/JvaivTo os OJV 3 â'ôoarjac aÙTOuç. QOTS TYJV

gTc'çav4 Gù TauTY.v pzo'i^s" zal 7r?vs TTOÀAaz!.;, cbç â'tprv.

AIAAOrOS IE'. — DIALOGUE XV.

Alexandre prétend l'emporter en mérite sur Annibal. Tous les deux exposent leurs belles actions et plaident leur cause devant le tri- |-bunal de Minos, qui adjuge la première place à Alexandre, la j. seconde à Scipion et la troisième à Annibal\ j

AAEZAA'APOE, ÀcxA'IBAS, AIIX.Q2 KAI 2KHnif>^.

AAEH. Eu.ï ctst TTûozszpÎGÔat cou, où Aio\>6, àu.swojv

AXA. Ou asvo'jv, à Aà s y.e 7 . k ? k

AAEH. OJZO'JV 6 3Itvwç èi'/.acaT&).

MIX. Ttvcçâ' SGTg;

AAEH. OûTO; [ASV, iAvviêaç 6 Kapyrctovioç* eyco è)è,

AAcCavoCOO 0 dP'.A'.TTTTO'J . k

MIX. Xr, Aîa , âvotjcjoi ye àu.epoTepot* ccAAa T;epl TIVOç;

Ow.iv v; â'p'.;;

AAEH. Ils pi r;soscYota;* or.oi yàp OJTO; âjxstvcov yeysvvj-

COS'.L GToaTr.vo; saoy * svw oè, toGTrsp a—avreç; ïaaGtv, oùyj,

1. Ka/./.'-rOAr,, CalV.sthène, neveu : 4. 'Evépav (ôoôv) Bâoicjs. On et disciple d*Aristote. Ce philosophe, dit de même en latin ire viam. ayant refusé d'adorer Alexandre, fut j 5. Au dire d]un ancien historien impliqué dans la conspiration du jeune romain, nommé Claudius, cité par Herinolaùs, tramée contre la vie du Tite Live (liv. xxxv, c. 14), Annibal roi. Alexandre le fit enfermer dans donnait le premier rang à Alexandre, une cage de fer et porter ainsi à la et le second à Pyrrhus, après lequel suite de l'armée, 327. ; il se plaçait lui-même, déclarant

2. KA âAAo-jç T.OWO-'JC, et beau- ! qu'il se mettrait au-dessus de tous coup d'autres, comme Parménion et les généraux s il avait vaincu Scipion. son fils Philotas, qui périrent tous ! 6. "Q A£6u, o Africain. Les an-les deux victimes de la jalousie d'A- ciens appelaient Libye l'Afrique en lexandre. général; ils appelaient Afrique la

« T.". *~ r __\ • : « r..\ A u : . . u . . A . ^ . ^ 1 . . / . »

as

3. TQv soporsas, pour àvA TOô- province où était située Carthage. >v 4 ëopaTa;, des choses que tu leur j 7. 'AVA' èp-è (3s:TrpoxsxpiîQou trou). fait souffrir. j 8. '0 (uiôq;*i/,(wrow.

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DIALOGUE XV.

TOUTOU (xovov, àXkk TfavTwv cyeSov TGJvrpô eu-oî ©Tijù c t a -

vsyxfiîv * Ta TcoXépLta.

M I N . Oûxouv ev ptipei ÉxaTEpoç SITCXTCO • au o*è TT^ôJTOç

6 A i £ u ç 2 Xeye.

A N N . Ev [/.èv T O U T O 3 , w M i v w ç , <ï)va{/.Yjv, ÔTiÈvTaD6axal

TTJV iXkdàoL ©WVTJV e^eaaOov • ôSore oùcYè Taur/j TJXéOV GûTOç

ev&yxaiTo {/.ou. <ï>r,(/.l c*è TOUTO-Jç {/.aXiara Èiraivou à $ w u ;

eivat , OGO».4 , TO u-Ti^ev ér; âpyv iç 5 OVTEç, OJJLGJ; EVI (Ac'ya

Tcpoey^wpviGav, 4Y aùTtov ciïjvapuv TE TtEpiêa/.XoV.evo!.0, x a l

aç io t oo^avTeç âpyviç^. 'Eyco youv, [/.ET cVXiycov i£oct/.YJGaç

£Ç T7)V iê ' / ipiav, TO TwGÔTOV U77XGYOÇ U>V TOJ àoSÀOW 8 , [/.£-

yiGTtov vi^tcoanv, apiGTO-ç x p i u s i ç 9 , x a l TOUç ys K £ à T I £ T ; c a ;

eiXov, x a l r a X a T Ô v sxpaxr.Ga T ô V earepicov 10, x a l T X JAS-

y a X a o p r i 1 1 ÛTceoêàç, T X TTEGITôV Hoioavov XTCXVTX X X T E -

opa»/.ov, x a l âvaGTXTOu; £T:OI7(GX TOGauTaç r;o7\Etç , x a l T/.V

ICEOIV7JV I r aXtav ÈystpcoGaLvy;v, x a l ps.éy pi Ttov TrpoaGTEuov

T?)Ç TCpOGYO'JGTjÇ TCG-'/XsCOÇ 12 Y, "XÔOV ' Xal TOGO'JTO'JÇ OTÏSXTclVX

[Atàç vi[/.£paç13, OJGTfi TOUÇ o'aXTU/XlOUÇ aÙTÔJV14 [/.EGTpWOlÇ; X770-

1. «Trriixt 8'.£vîyx£Tv (xatà) T& TIO- j Annibal fut proclamé général par les /\é[ii<x (ëpYa)- Voy. pour cette tour­nure la note 1 de la page 30.

2. Su 8 è . . . ô A(6Uç, toi l'Africain. 3. "Ev u.èv TO'JTO... (ovâu.nv 8v.

evxa'jOa è£su.a8ov, j'ai du moins gagné ceci ( à être Africain ) gue j'ai appris là (dans ce pays)

4. "OJO'., guicungue. 5. 'E£ àpyjK, dans le principe. 6. Auvap.iv nspiêaA'Xdp.svoi,

s'étant entourés, ou environnés de puissance.

7. 'ApyjK est pris ici dans le sens de commandement.

8. Tô> dSsTvoôp. Il ne s'agit pas ici d'Asdrubal, fils d'Amilcar et frère d'Annibal, mais d'un autre Asdrubal, qui avait épousé la sœur du héros carthaginois et se trouvait ainsi son beau-frère. Annibal servit trois ans sous ses ordres.

9. Asdrubal étant mort assassiné,

soldats d'une voix unanime. 11 avait 23 ans.

10. raVjtxwv...Tiôv Éj—p-wv, hs Gaulois occidentaux, pour les distin­guer des Gaulois orientaux,ou d'Asie, connus sous le nom de Galates.

11. Ta p.syâXa ôp-rç. Ce sont les Alpes. Les anciens n'étaient pas d'ac­cord sur l'endroit où Annibal effectua son passage. Il parait certain aujour­d'hui que ce fut au Mont-Cenis.

12. TT,ç -po•jyoûsTjç -ùXSCùç. Il dé­signe ainsi Rome.

13. Cette journée est la journée de Cannes, 216 av. J.-C. Les Romains y perdirent soixante-dix. mille sol­dats, le consul Paul-Émile, deux questeurs, quatre-vingts sénateurs, vingt et un tribuns légionnaires et une foule de chevaliers. Annibal ne perdit que cinq mille cinq cents hommes.

14. Tou; ôaxxvfXt'o'j; a-jtwv. L'an

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34 DIALOGUE XV.

y.STpYJoai, x.al xoù; 7TOTa|A.où; ysipupôjGai vsx.poT;. K a i T a u r a

r avTa S7:paç,a, ours Aaacovo; uio; ovoaa'Co'asvo;, OUTS Geo;

eîvat TrpoGTTO'.ouasvo;, à /VX âvOpto—o; siva». oaoXbycov, GTpa-

Tr.yoî; TS TQT; GuvsTOJTaTQi;l avTei*eTaCou;evoç, x.al GTpa-

TicoTai; TOI; aayiaco-TaTQ'.; Guarïlsx.o'asvo; * où Mvfàou; y.al

ApasvLOu; x.aTaywvi'Co'asvo;, ÙTroipcùyovTa; TTOIV cncox.av

T'.và'2, x.al TôJ T0A7./Gav7i TraparjVjMvTa; eùGù; TTJV vix.v;v.

AÀsl;y.vo>po; «"s, -aTccoav âoy/jv TCaoaAaêcov, YîUC'/IGS x.al

TrapaTTOÀÙ sçsTcivs, yp'AGaasvo; TY; TT;; TÙV'/I; 6p[/.7j. 'ETTSIO

oùv svix.TjGS T S , x.al TovÔAsOpov3 sx.scvov Aapelov 4 sv 'IGGCO5

TS x.al Acê'/)Aoi; sx.ûâT7]GSv, à—OGTa; TWV TraTpcptov 6 , TrpoG-

x-uveioGai VîçLOU, x.al s; otatTav TVJV y.TjOix.TjV asTsàtV3T'/)GSV

sauTov, x.al sataioo'vst 7 sv TOI ; GOLCTTOGIOI; TOU; tpcAou; x.al

GJVcAaaoavcv5 STT'. (JavaTco. Eyco as r(pc;a £77 ICJTJ; TT*,; 77a-

Tploo; • x.al, STTS'.OT] 7.STST:S[A7;STO, TCOV TToAsatcov [/.eyaXtjj

OTOACO10 STT'.TwASUGaVTCOV T'A AlêuT], TaVSOX ÙTTAX.OUGa, x.al

neau était une des marques distinc-tives du chevalier romain. Avec les anneaux, des chevaliers restés sur le champ de bataille Annibal put remplir trois boisseaux qu'il envoya à Carthage. Le boisseau romain valait à peu près cinquante-deux litres, ou 4 de nos boisseaux.

1. Zvpy.TT.yoTr... -zo'.c, suvsTurrâ-TO'.;. Annibal exagère. Ai Sempro-nius qu'il battit à la Trébie, 218, ni Flaminius qu'il battit à Trasimènc, 217, ni Yarron qu'il battit à Cannes n'étaient d'habiles généraux. Mais les bons généraux romains, tels que Marcellus, Fabius et Scipion, le tinrent en échec ou le vainquirent.

2. Construisez : Trpîv -riva S'.ur/.srv

3. "O'AeOpov, pour ô/AGp'.ov, le substantif mis pour l'adjectif.

4. yxzi'.u;, Darius III Codoman , dernier roi de Perse. Il monta sur le trône en 333 et périt en 331, après la bataille d'Arbelles, assassiné ' par J dix-sept ans.

Dessus, satrape de Bactriane. Ce prince, qu'Annibal traite si durement, n'entendait pas, il est vrai, l'art de la guerre, mais il avait d'autres qua­lités, et il mérita d'être pleuré par Alexandre.

5. 'I774), Issus, ville de Cilicie sur le bord de la mer ; 'Ap6-qAoiç, Ar-lelles, ville d'Assyrie. Yoy. sur ces batailles, la note 3 de la page 28.

G. Twv TraTpwwv (è8ô>v), des (mœurs) de ses pères, de ses ancêtres

7. Allusion au meurtre de Clitus Yoy. la note 3 de la p. 28.

8. Allusion au meurtre de Parme nion, et au supplice de Philotas. Yoy la note 2 de la p. 32.

9. 'E~' ïrq:, aequo jure, endemeu rant l'égal de mes concitoyens.

10. Le sénat romain avait envoyé Scipion en Afrique avec une flotte et une armée considérables, pour forcer les Carthaginois à rappeler Annibal d'Italie, où il se maintenait depuis

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*

DIALOGUE XV. 3:i

ioifciTYiv ettauxov r;ap£Gyov • xa i xaxaoVzxGGslç, vjveyxa cô-

yvojpLovwç TO -Tpayp-a. Ka t xaOx èVjpa^a papoapo ; wv ; y.71

âîratoeoToç irai$eiaç xriç éXX'/jvixrïç, xa i Oô'TS "Oj/.r.pov',

wcjxsp oûxo;2, pauWa\ov3 , oOxs OT;' Api<7xoxêXEi TW GOOIGT-?,

itaioeuGslç, p.ov*/) t>è TYJ auss i âyaÔy yp7l5a[/.evoç. TaDxx

serxiv4 à syna A7v£$avo>poo âptsivcnv GYîIM eivat. El <$ 'in-'.

xaXXiorv O'jxoai, dioxi $ia$7Ju.axi xv;v xeoaXvjV cïte^scïeTo ,

Maxeoorji ptèv trjwç xa i xaOxa <7stx.va * 00 JAYJV OV/. TOOTO

âpt£tv&)v &oc;st£v àv ysvvaiou xa i cxpaT/jytxo'j âvc^poç, xv;

yvwfAr,5 xXeov 7brep xrj •TJVT) xsypr,iA£vou.

MIN. O p.èv eipvjxev oOx âyevvvj xov^oyov, o06s coç AIC/JV

eixoç r ,v 6 , ûîrèp aÛTou. 20 c)è, w AXs^av^pê, x i r p o ; Taoxa

AAEE. Eypvjv ttèv, 10 Mivioç, p.7,oèv7 irpo; avcïpa oGrco

Opacuv îxavrV8 y à p r, ©yav] èï t r a ç a i ce o'io; p.èv êyw ;3a-

GiXeùç, oioç cïè oOxo; X'V«7XT;; syévsxo • o[/.to; oè opa £ i x a x '

oTvtyov aùxo-O Sf/jvsyxa, ô ; , v so ; 9 eav exi, TrapcÀOwv £—1 TX

Twpay[/.axa, xa i xr,v àpyr.v xsxapayji.£V/;v 1 0 xaxixyov, xa i

xoO; ©ovsaç XOLî îxaxpo; 1 1 aexvi^.Qov, x à x a 1 2 , ooor.cja; x/.v

1. "Ou.ï.pov, Homère. Sur Homère, v. les notes 1, 2, 4, 5, 6, du Dial. xi.

2. Alexandre était un admira­teur passionné d'Homère. Il portait toujours ses œuvres avec lui dans un riche coffret. Il savait par cœur l'I­liade et une partie de l'Odyssée.

3. PaevipStôv, chantantàla manière des rhapsodes, déclamant. Les rha­psodes étaient des chanteurs ambu­lants qui faisaient profession de ré­citer en public des passages d'Homère, d'Hésiode, etc.

4. Taux* èsriv (xavot) y.... voilà les choses selon lesquelles, c.-à-d. voilà en quoi.....

5. Tf, yvcôp-T,, son génie. 6. Construisez : oOcTe w; s-xo; rjv

ûl6uv (èpîïv).

7.Après[xr,osv sous-entendez à~c-xp(vaï0ai, ou 'iàva:.

8. Construisez : Thz r, or^ct [ïz-T:V) txavr, ô-.oaçat Cî . . .

9. Néor tôv £v.. Alexandre mmu sur le trône à 20 ans.

10. TT4V àpyy.v TETapayu-ÉvTjV. Au dedans de son royaume, il eut àcmn-primer des dissensions ; au dehors, il dut étouffer, par de promptes me­sures, une révolte presque générale de la Grèce, et soumettre les T h ra­ces, les Triballes et les Illyriens.

11. TOJ? çovéa; TOJ vcaTpo;. Phi­lippe avait été assassiné par un noble macédonien, nommé Paus.mias, auquel il avait refusé justice peu de temps auparavant.

12. Kata, pour xai STTOC.

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30 DIALOGUE XV.

EAAao^a rr, 0r,oaitov à—tolôia1 , cTpaT^yo; 0~' aÙTwv ye i -

poTovr.Osl;, cmx. r .çiwça, TY-.V Maxs^ovtov àcyr.v 7T£pt£77oov,

à y a - a v ap'/yiv ôTTOCTCOV2 6 -aTv;p x.aTaX'.TTcv , àlYXà Tracrav

sîT'.vorîca; TY,V yv,v, x.al àsivov r.yr.caasvoç ei p/ ; àîravTtov

xpaTricaiy.»., oAiyo'j;3 â'ycov, scsêaAov s; TTJV *Aciav x.al

£7TL Te rcavix.to4 ïv.zyr.T^y. ij.vvj.r, uA'/r,, x.al TYV Auùtav

Aaocov, x.al I o m a v , x.ai $pvyiav ? x.al OACO; Ta £v TTOTIV5

àslystco'Jv-Evor, Y.AOOV STTI ITGOV, âVja AassTo;6 ÙTreuLStve, / . \ k " 7 7 k k '

txjp'.xôa; TTOAA'/; GTsaToO " â'ycov.

K a i TO àTTô TO'JTO-J, to Mivtoc, 'jaéT; ITTô OCOOC ô'Aiv VS-

x.co'1»:8 £77'. u.iy.z rtu.ézy.z vsj~i~z<):ly.. <T>Y,O"1 YOOV ô-ooOasùc » k ' % » k • ' i k k '

ar, à'.y.zyJçy.'. aoToT: TOTS TO cx.aoo:. à/.y.à avcôlac ù'.arr/;—

cay.sV.cu; Toù; VTO/.àOÙ: aÙTtov ôiaTTAcD'cjai. E a l TauTa c>i£-

7TGX.TTOV aUTO; TTOOX.'.vVjVc'JcOV9, X.al TiTscoc/.£cOai î0 àc iôv .

a: '.va coi u.r, Ta £v Tucm ] 1 U.Y/)£ Ta £v ACOY,AOI; OWîYY,-

cto'aai, à/./.a x.al u.f/z'y Ivowv ï.AOOV, x.al TOV Ox.éavov opov k 7 k / . k ' ' 7 f

1. Tf, 0r,€aîwv àrfo/.î-a. Sur un j la tète de quatre cent mille hommes faux bruit de la mort d'Alexandre, d'infanterie tt de cent mille chevaux. Thèbess'était révoltée pour!.-! secunde i Selon Arricn, son armée montait à foi-. Alexandre accourt, bat les Thé- I six cent mille combatiants. bains, s'empare de leur ville, et la ! S. "Orovç... Vî/.SO-Jç. Plus de cent rase oompLtemciit, ne laissant de- | mille Perses restèrent sur le champ brut que la maison de Pieuvre, l'un ; de bataille, ce ses'poètes favoris. 33o. | 9. A Issus. Alexandre chargea les

2. 'Ayr-âv ïy/z-.v TU'COV ôr.dzj. • Perses à la tète de son aile droite. ï-y.ziy v.'jr.it.'.rA/. I 10. Il fut blessé à la cuisse dans

3.'O/Ayo-jçi-'w/. Alexandre partit \ cette bataille, pour sa V u Go expédition avec trente 11. Ta. ï-i Tvsq>. Tijr, colonie phé­

nicienne, métropole de Cartilage, l'une des villes les plus commerçantes et les plus fortes de l'antiquité. Pour la prendre, Alexandre fut forcé de combler avec une diuue ou môle le détroit qui sépare du continent l'ile où elle était située. Il s'en empara après un siéee de sept mois, 332.

12. Ta £v"'ApSv.oîr. A Xrbdhs, Darius avait en ligne un million de fantassins et (lovas, cent mille cava­liers, dit-on. Alexandre le délit avec quarante mille hommes de pied et sept mille chevaux.

rmile fantassins et quatre mille cinq cents cavaliers.

4. rpxvLXÔ) , le Graiiiqv.e, petit neuve de la froade. Alexandre força le p -ïîqe de ce fleuve à la tête de s", c .v lerie. C'est dans ce combat q; •• Cîitus lui sauva la vie.

o. Ta. 'ovTa; èv rroaiv. ce qui était ù'.'.': t ;.:.]>>.(:•[?, devant moi.

G. Eve'.: AXSî-.O; •Ir.vj.f.oz, Darius en effet vint eombaitie en personne à Issus.

7. Mvv.'iox: vro/./.a: arerfroC. Da-Cus, selon DiOdore de Sicile, était à

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DIALOGUE XV. M

€irot7i<yapv/)v TVI; apyviç, x a l xoù; ÈTvc'cpavxa; aùxûv eiXov,

xa l n û p o v eyeipwe;ap;.7]v* xa i 2y.uGaç 5e , où/. eO/.aTacppov/;-

TOUç av#paç, Orapëà ; xov Tavaïv *, £viy.7,c;a [/.eya).-/; iTnropia-

yia* xa txouç ©iXou; £Ù £Troi'/i<7a, x a l xoù; EyGpoù; r jfrjvaar iv.

E î ^è y.al Gfiôç è^oy-ouv xoîç âvGpwTwOtç, GuyyvGicjX'jl £/.£ivot,

TrapotTÔ u.£veOoç xûv Tcpay[/.axo)V2 y.al xotoOxov T I û'.CJTSJ-

<raVT£Ç TTÊpl £(AOU.

Ta &' ouv T£}>£uxaîov, £yco p.èv paaO^uiov àirt'Gavov •

ouxo; oU ev ©ayr, w v> wapà I lpoucia xco BIGUVM 3 , xaGaarep4

ac;iov vjv Tfavoupyoxaxov y.al G^oxaxov 5 ô'vxa. 11; y à p c-r,

£y.paxr,G£ xûv IxaXûv, £Û l i y a v ox i 6 oùy. icry'jï, à/CXà axo-

v/ipta, x a l aTcicxta; /.al So^oiç* vot/.tp.ov o*è r, arpoçavè; oùoVev ' .

Earei O*£ (/.ot o)V£tcYtc£ T*/)v Tpno^v, £y.X£^cGai ptot o*ûy.£i oia

£TTOI£I sv Kaiuuvi8, TOÙ; xoù rroXéutou xaipoù; 6 Gauptacio; y.a-

Gr^uTtaGojv. EycocYè apvr,, p.y.pà x à EcjvTÉpia cVô^a;9, £-IXY;V

Ea> pwtX^ov coppvqera, xi av f/.£ya â'TJpa^a, Ixa/.tav àvai tuox!

Xa&ov1 0 , y.al Aio\r/;v, y.al x à (/.^ypiracWpcov11 ûnayopt£vo;',

'AXX' oùx a£iot/.aya âcùoje [/.oi îV.ctva, ùTro-xr'cGovxa rloV, y

y.al CÏ£GTTOXYJV ojAoXoyoGvxa. Etpr.y.a. 2ù &è, w Mtvco;, citV.aÇV

iy.avà vàp OTïO TTO^GV y.al xaOxa.

1. Tôv Tdvaïv. Il ne s'agit pas ici du Tanaës, ou don, fleuve d'Europe; mais de ridararie, au delà duquel ha­bitaient les Scythes asiatiques.

2 . Uapà TO {jLÉycOoç TûV TcpaYP-?.-TO)V. Lesanriens,ditBossuct, «étaient accoutumés à faire des dieux de tous les hommes où il éclatait quelque chose d'extraordinaire. » (Disc, sur Vllist.univ. partie II, ch. 20.)

3. Ilfo'Jïfa TU) B'.é'jvÔ). La Lithy-nie, contrée te l''Asie Mineure, bai-

6. Èô> AéVE'V 6T:. j'omets de dire. En latin : omi/ro dicere.

7. >*c'u. jJ.ov oï r, -pcoavè- ooeév, rien (chez lui) de juste ni de loyal.

8. Év Ka-'j-r, Capoue, ville d'Italie, capitale de la Campanie. Les histo­riens anciens ont beaucoup reproché à Annibal de s'être laissé vaincre par les délices de Capoue. Les historiens modernes lui ont rendu plus de justice.

9. Mi/.pà va izr.iz'.y. oo'çaç, regar­dant l'Occident comme petit, c.-à-d

gnée au nord par le Pont-Euxin. Pru- dédaignant l'Occident. sias II, à la cour duquel Annibal 10. Alexandre ne se vante pas. s'était réfugié, le livra aux Romains. Quarante ans plus tard, Pyrrhus, avec

i I,* A • ** K "r f f f\ i t* 1 * • f • ' „ _ 4. K.a0à-£S a '.ov f,v (àvOttoTrov) TravouçYOTïTov xai . . . fà~o6av£lv).

5. 'QU-OTOITOV. Le reproche de cruauté lait à Annibal n'est pas fondé. ! l'extrémité sud de l'Espagne

1H.U.. 1)1 i .MOl.lï. 6

des forces bien inférieures a ux siennes, obtint de grands succès en Italie.

11. raSEîpwv.GadY.s, auj. Cnd/ï, à

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8 DIALOGUE XVI,

2 K H I I . M / ; 1 TTûOTspov, r,v u.rt y,yX i a o ù CT/.OUGYIç.

MIN. T i ; yàp ei, tô PSAXTIGTS; r,'TTOOSV WV sp£%2;

XRHfl . iTaXtwT-/;; , 2x.*/;7TÎtov, GTcar /yo ; , o xaOsXùv

Ky.py/;ôova37xal x s a T r ^ a ; Aioutov u.eyaXat; p . aya i ; .

M I N . T i GùV xa l cù 3csT;;

2KLLTI. 'AXcCavdpo'j o.èv YJTTOJV s lvai , TOù CI' AVVI^OA»

a'Xîivcov oc idioity.. v./.rlGac aÙTov y.al ouvcîv y.y.Gy.vy.yyAcy.ç 4 • 7 • 4 , J "»

CITI-ACOç. r iw ; oùv ou/. avaw/jJVTo; OJTO; , o; -rrpo; AXs;av-

ôpov âyAA/.aTai, cpoùôl Xx.r.Trltov4 èvw, 6 v£viy.r,y.toç avVrov,

Try.Gaoy.AAEoOai âciw ; » - 7

31 IN. INr, A l , sùyvcou.ova or.ç, to ^y.r.îrltov • COGTC npcuTOç

v.vt y.zY.ziGiL>) AAciavoco:, u.cT auvov ôc, au • s 17a, et àoy.3!., 4 4 4 - 7 V 7 7 7

T : I T O ; Avvloyç, oodî OûTO; £'jx.aTaç»sov/;To; wv.

AIAAOrOZ IZ' — DIALOGUE XVI.

IK-ros illustres, monarques puissants, savants, philosophes fameux, la mort convainc tout de vanité, anéantit tout. La vraie sagesse seule brille encore aux enfers.

MEAinnOS, AIAK02 KAI $IA020<PÛI TINE2.

MENA LIcô: TO'J nXo'JTwvoç, w Aia/.à, T.izvrrçryy:. omt

Ty. 37 y Pou T.y.ny,

AIAK. Où pyp'.ov, co MSVITTT:;, aTTavTa.0, oaa pivTO'.

y.izyy.y.'.iodY , aavTJavc. OUTOGI uiv ô'TI KSOSC&OC SGTIV, l ' 4 4 4 4 '

1. MY 'Oû^TAYJ TTÎOTÎCO ... 2. lîvjiv wv =s£î'ç; IJ'Où éUnd d«-

r :.•-? ; ? o.-k-d. d'où e.?-tu et que di-re.s-t-?

3. KvAU/.wv Kas/r.dova. Scipinn i'i: Ad qu'il o détruit Carthapo. Un r r ; Us tiS il Urr qu il a v a ! Il i u A:. A'. 1. Lucien réunit cruic en un s- ' '. '. i é\u\ sri; : va- : ~~ : i r : •". ;i 1 A-tA_ ::.. uvA viéaaaA AruAAA a Z .:-.:.

en Afrique '202). et Scipion Émilien, petit-fils du précédent par adoption, qui détruisit Cartilage (149, et Nu-mance. en Espagne '133).

4. Oéd'î Ev.r.-'âov è-;w, pas Jv;A;lr //K'"! SAj.A,<. Et plus bas : oùoé ov-TO: wv. b// qui n'est po.s vo/;

5. "A~x/7a f " ^ ^ ' ^ ' ^ . ) .

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DIALOGUE XVI. 31)

olcÔa. K a l TQV rcopOpua TOGTGV , o; G£ èicTziçoLae y.al TàV

ÀipLVTiv * xa l TOV IIupi<pA£y£ÔovTa-, vi Y) étopaxa; fiGtwv.

M E N . O l 5 a TaDTa, y.al a è , OTI 7ïuAtop£Î;3* xal TGV (3a-

ciAga4 fil5ov, x a l TOCç 'EOIVVGç 5 , TOùç 5 ' àvOpoj-O'j; ptoi TGG;

77aAat ogijov, y.al [/.x\\iGTa TOùç £T7iG7lku.ojç aÙTÛv.

AIAK. O J T O ; (A£V 'Ayap-gjAvoiv • GûTG; 5e 'Ay IA).£G; • GGTO;

5è ,IO*G(J!«V£ ,J;C TzX'fioiov ' £7T£iTa 'O5UGGS'Jç • e t r a Aiaç, y.al

AiO|A7]'57]ç, y.al ol apurroi T û V EAlr.vcov.

M E N . B x ^ a l , co 0(i.r(p£, oia GGI TOJV pa^(;>5twv Ta y.£-

oa-Xaia y a ^ 1 eppiTCTai ayvtoGTa y.al au-opepa, XG'V'.ç TravTa,

y.alXrfpoç TCO^ùç7 , âptev/ivà wç aAr.Oca; y.apy,va. O û T O ç 6à, GJ

Aiaxè, T I ç £GTi;

• AIAK. Kupo'ç 8 £GTtv GûTO; 5è KoorGOç* y.al G i r ap ' aÙTto

2apo*avâTva^o;* G 5 ? ùîwip TGGTG'J; Mt5aç* £*/.£Îvo<; 5è E£p$*/iç9.

M E N . E l r a 1 0 G£, <o xaôapu-a 1 1 , vî EXXà; e<ppiTT£ Çeu-

yVUVTa 1 2 [A£V TGV EXVAÏGTTOVTGV, 5 l à 5fi TGJV ÔpÔV 1 3 TCÀfiîv

rius I" et petit-fils de Cyrus par sa mère Atossa, envahit la Grèce avec une armée de plusieurs millions d'hommes. Il fut arrêté longtemps aux Thermopyles par Léonidas et vit son immense flotte complètement dé­truite à Salamine par Théinistocle (480).

10. Ecrasé... T,'EAXOI; IçJIITTS...

1. TT.V A£[XVT,V, le lac (du Styx\ 2. ll'jp'.cpAsvÉOovxa, le VyriphUgê-

Ihon (~"J?,' feu, cpAEyÉQeo, brûler), fleuve des enfers qui coulait à l'op-posite du Cocyte et se jetait dans la partie la plus basse du Tartare.

3. Kat (oTôa) aé 8TU TJ-JAIDOETç, et (je sais) toi que tu... hellénisme, pour dire : et toi aussi, je sais que...

4. T6v jSaaiAéa, le roi des enfers, Pluton.

5. 'EpivvD;, les Furies, Tisiphone, Alecton, Mégère.

C. 'IGOUEVEûç , Idomcnce, roi de Crète ; Aiou-riôr.ç, Diomcde, fils de Tydée, roi d'Étolie, qui blessa Vénus et Mars au siège de Troie.

7. Kdvi; TrivTx, xal Af.po; r.okùc. Pulvis et muLra sumus.

(Horace, Od. IV, 7. 16.) ... Cinis et niancs et fabula lies.

(Perse. Snt. v. 152.) 8. Kûcoç, Cyrus, fils de Cambyse

et de Mandaue, né vers Tan 599 av. J.-C. fondateur de l'empire des Perses.

9. E£p;r,?, Xcrxès, fils de Da-.

Quoi! c'est toi... que..! Ce mouvement se trouve déjà dans le Dial. VI : Ecra ai /O.'.T. VT,îî Sta Toûto S-AT^IôOT,-aav,' etc.

11. ^QxâQapixa. Ainsi la Fontaine: Va-t-en, chétif insecte, excrément tb-

[la terre ! (Lih. II. faM. 6.)

12. Zî'jyvjvTa T6V cEV/vr[a~ov-vov. Xerxès avait joint les deux rives de ITIellespont par un pont de ba­teaux. On dit de même en latin : jungere flumen ponte, navibus.

13. A'.à.... TWV dpwv TE/.E.V. Xerxès avait fait percer l'isthme qui joint le mont Athos au continent, pour ouvrir un passage à sa Hotte.

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40 DIALOGUE XVI.

i—'.Ouy.o'jvra; Otoç de xal o Kpoicdc. se r t ! Tov SapèJavx-

TTXAQV 5è,w Aiaxè, TraTacai uoi xacà xdcôyc. C-ITCCUVJV.

AIAK. Mr.oapLÛç * oiaÔcvvbeiç yàp avTo/j TO zpaviov y j -

vaizsTov ov. Bo'JAet1 coi £?:•.<')a;w xal TOù; CO©OVJC;

MEN. N'y; Aia yg.

AÏAK. IISWTOC OJTO'C coi 6 nvOa^dcac 2 scri. i • < i

MEN. Xaîpe, à) E'joopêe 3 , 7, "ATTOYàOV, y; d Ti av

SOcAOlç.

I1Y0. Nr, xal c i ys , OJ MSVITTTTS.

MEN. OUZéTI VO'JCOOçO j/.r,co';4 SCTI coi; / - i ' i i ' /

0 . Ou yap . AAAx ©EGE idio0 EI TI COI socodipiov y;

y:/; p a s'y ci.

MEN. Rvay-ouç, eô 'yarJs6 • COCTE O*J TOUTO COI CO*COO*I|JLOV ' .

I1Y0. Adc u.o'vov * a/éXa Trac à vsxcoî: dovc-a/ra. *E'/.a6ov - i l l - « i l *.'àû cb; odcYÈv l'cov xbatAoi xal zsoaAal TV///fco.v s^Ôa&s8.

i i ' i »

A I A K . O J T O ; d e S O A O J V 6 E V / ; Z £ C T Î O * O ' J •> " * • & • 0 Z A Y J C

èXEÎVO;' xal TTZû' aÙToî; IIiTTaxd;, xal oî a/\7.oi * CTrcà de

cravTE; EICIV9, ob; doaç.

MEN. AA'JTTOI oÙTO*.10, (b AiaxÈ, pcovoi xal oaio*pol TCOV

. Bow.r . ((Oî; ZT.'SJV.Uù ZO\.

?.. II'jfJaYopa:, Pythagore, célèbre philosophe, né à Sarnos vers 584 av. J .-C, mort à Métaponte, en Italie, vers 504.

3. EOïopCs. Euphorbe. Pythagore prétendait que son âme, avant d'ani­mer son corps actuel, en avait déjà animé plusieurs autres : il aurait été d'abord Ethalidès. fils de Mercure ; puis Euphorbe, guerrier troyen tué par Ménélas; puis Hermotime: puis un pauvre pécheur. Ménippe l'appelle encore Apollon, par une allusion iro­nique à la foi aveugle que ses disci­ples avaient en lui. Toutes sesparoles étaient des oracles. Dès qu'il avait dit une chose, elle et ut vraie: -xi-Az ! byj.. i-ç-x, ipse dlxit, le maître l'a dit. I

4. Xsuroô: o u-r^ôz. Pythagore avait paru, disait-on, avec une cuisse d'or aux jeux Olympiques.

5. <Pézt tùo, allons ! que je voie. G. ~Q. ''adii. pour (b àyaôs. 7. Pythagore avait défendu à ses

disciples de manger des fèves, sous prétexte que ce légume avait été for­mé de la même matière que le corps humain.

8. Construisez : Trxz laaOov sv-fj'ïoz oh; y.'j-j.'i.o: '/.ri.: v.zzrCf/x: TOXTJCDV (Z'.Z'ï/. o'Joev trcv.

9. Les quatre autres sages sont : Bias, Cléobule, Périandre, Chilon.

10. Construisez : OùTO: ULO'VOI Ttbv a/.7.cov, (v.zW; ZU/J—Q: v.zù. c a t '

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DIALOGUE XVI. 4f

oXXcov. O o*à e7roo*o'j àvaTwA£'.o;, w c - s p gyy.pu©iaç *PT0?> r>

Tatç ©XuxTaivaiç oXoç sc//jv()T)y.ct>ç, T I ; EGTIV ;

AIAK. Ea77£oV/.À7i;*, à McvtTJTTc, *'ku.isoOo; àT^ô TY;ç

AÏTVTîç; irapwv.

M E N . Ci yaX/.oirou p£ÀTiGTe, T I TcaOcov2 cauTov à;

TO'Jç xpaT/ipaç évioaAeç; ;

E M f l . MsXayyûXta T I ç , co M ê V I I î î 7 8 .

M E N . Où p.à Ai', àXXà */.£voo*oÇta, xxl T»J©O;, xa l TroÀÀr,

xoû'j*£a • TauTa es àV/1v6p7//.coG£v aÙTaîç xpr.TJieiv3 où/.

âvà^iov ôVra. nXvjv âXV oùrjiv es TO eo©te[/.a cov*/;e£v •

s©topa6*/jç yàp TEÔVEWç4. O 2w/.pàTv;ç5 o*s, où A t a x é , TTOù

1UOT6 àpa EGTIV;

AIAK. M£Ta NseTopo; 6 x a l I l a X a p / ^ o u ç sxstvo; "kr.czl

Ta 7roXXa7.

M E N . O[/.0)ç âêouXofJLTîv îSeiv auTov, et TUOU svôao*s iotiv.

AIAK. O p a ; TOV ©aAaxco'v ;

M E N . A-avTsç ©aXaxoot £tetv* COGTS TuavTtov av elvi

TOUTO TO yv top teaa

1.'EJJLTOSOXâTIî, Empédode, d'A-grijrente, en Sicile, florissait vers le milieu du ve siècle avant J.-C. Pas­sionné pour l'étude de la nature, il descendit dans le cratère de l'Etna, sans doute pour y étudier le volcan, et ne revint plus. C'est ainsi que, plus tard, Pline l'Ancien périt victime de son amour pour la science lors de la

f 'ande éruption du Vésuve (79 après -C.). Lucien suit ici la tradition

commune, qui représentait Empédocle comme victime de sa vanité. Horace avait déjà dit :

Deus immortalis baberi Dum capit Enipedocles, ardentem fri-

[gidus i£tuam Insiluit.

{Art. poét. 461-466.)

2. T( ita8côv, qu'ayant ressenti.

c.-u-d. dans quel sentiment, pourquoi? 3. 'ATnyvOpctxttss ( <JùV ) aurai;

XpïyjrÎG'.V. 4. ' EîpwpaOïri; TsOvetô; , ru fus

convaincu par le fait d'être mort. Empédocle était descendu dans le cratère avec ses sandales d'airain;, mais le volcan les ayant rejetées, ou vit bien qu'il n'avait pas disparu de la terre d'une manière surnaturelle, comme il aurait voulu le faire croire y selon Lucien et Horace.

5. ScoxpotTTiç, Socrate. Sur ce phi­losophe, voy. la note 5 de la p. 13.

6. NsTropoç, Nestor, roi de Pylos; IIaAau.Tioouç, Palamède, roi d'Eubée. Héros habiles et ingénieux, ii's étaient plutôt orateurs qu'hommes d'action.

7. Atipsï va iroXAi, il ne fait qu* radoter.

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i2 DIALOGUE XVI.

AIAK. Tov cu/.ov 7\?'y(o.

TY1EN. Kal TOOO ôaotov ' cit/.ol vàc aTravTc^.

i U K . Et/A C'/ITSîç, w Mav t - r s ;

M EN. Kal |;.a7.a, t<> Scox.paTs;.

Si îK. T t T a ev ÀO/vai;1 ;

M EN. MoTO.ol TO>V Vî':.»V ofoocoopâv VAyooc, x.al raye

çvriaaTa a o i à 2 x.al Ta fiaoïTf/.aTa £i OedcatTO Tt;. dx.&ot

V.7.o'co'pOt.

2£2K. MaTvà TïO'XWJ; étopa/.a.

MEN. 'A A)à âtopax.a;, oîovx.'., olo; vy/e Ttrapà col ApiCTiTT-

TTO:! x.al IlAaTwv4 aÔTo'ç/ ô o\Av àr:orv£o>v IAOGO'J, ô oè TOO;

cv TLv/.ù.w. rupavvouç Osparjcoeiv £x.aaO(ov.

ï£îK. MtpW'AO'j oè TÎ ocovoô'ctv; r k » k '

•VI EN. IvV)ai|A(ov, o) Soi/.paTs;, àVjpeoro; cl rays cotao-

Tar> "rcavTeç yoov c£ Oaua.dc'.ov olovcat dvo^pa yeysvvîcOai,

•/.a». TcdvTa àyvor/ivat,, x.al T/aô'Ta (r)£i yàp, oip/.ai, TaAr/Jè;

y.aye'.vj ooocv £u)oca .

£ i îK. Kal aoToç, â'opacx.ov caoca Tcpoç aoroo; * ot oU eîpw-

vc'av (MOVTO TO 77pdy(7.7. àvat.7. 'A7.7// 7W7VY;CIOV r, JAôJV x.aTa-

x.etco, ci o»ox.£u 1. Tf Ta iv 'AOqvaur; ()»,c [ail-on.

à Al. h''•m'a? 2. A'JT'x il ie.i le. sens (le, sei/Vs :

plaisir. Il vivait vers l'an 450 av. .1.-0.

4. H/.'/TIOV, Vl.nlon, illustre pliilo-4 ce, considrrer t\u< •leurs allures, etc. ' soplie mer., né à Iv^ine en 42!) av. ///.si; a souvent, le même sens. Tite | ,1.-0., mort à Athènes en 347. H fut l.ive dit, qu'Arrhimède se, jouait, j le, disciple de Sur,raie et le maître seul et sans le moindre ell'orl, des j d'Aristote. Sa morale est des plu» travaux de siépe de toute l'armée ' pures, et, sa conduite fut toujours lomaine : \]>se yerlexi moment» lu.-ili/ii-nieliir (T. |,iv. I. xxiv, 34). Ivn français aussi même a quelquefois le sens de, seul : liientôt ils vous diront Qu'un ro i n'a d'autre frein (pie sa vo-

| loiilé même. (Kai-'nie, Alhalir, n e IV, s e 5.)

3. ApOruTC-o , Ari.sliji]it:, de Oy-

d'aeeord avec, ses écrits. Loin de llatter les tyrans de Sicile, comme l'avance Lucien, il déplut assez par sa franchise à Denys l'Ancien pour que celui-ci le vendit comme es­clave.

5. 'Y').'(* xty.'i'jïï (T.ç,'X*(\).'XX-J.) en s.-entend.-/av/, du moins à cet /yard.

«;. K'/A T'/OT'/ o'jokv elooxa, et rêne, ville d'Afrique. Oe philosophe cela, i\n.oa\ue lune susses rien, lai.-aif consOler le. honheui dans le 7. Quand Sociale disait : « ce aue

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I'IAIJV.IT. x \ fï

MRV. Mx A.'. Ï-. -.; K:-/.?-.. • arri'-jL'., -7*.V;T.V< -AX. - rt-y. X . T .-.-.. I . . .

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4i DIALOGUE XVII.

y.aTaysyeAy.o-Ta'., v imv £v6ao*£ TTOVACO TASIIO êmyE^afjojAs-

vov. E*/.£i yiv vàp £v âf/.oiêo).cd cot èTI 6 YéACOç Y,V , y.al

-o). 'j T O 1 . — T i ; yàp oXto; 0I03 Ta (/.ETSC TOV ptov; — Ev-

TaOOa de où TTXVJGY; pE^aico; y£Àov, y.aOa-îp èyto vûV "/.ai

{/.aXiTTa cTTEiààv oca; TG'J; T^OGGIOU;, y.al aarpaTra; , y.al

Tupavvou; O'JTCû Tarrsivoù; y.al aV/faou;, èx, aoV/î; oî|Awy7(;

dixyLvroGy.ov.f/oo;- y.al OTî. œaAOay.ol y.al ày£W£t; EITI, [/.£—

U.V/;UL£VOI Ttov avw.» TaOra Asvs aÙ7c~r y.al TTOOTETI. ÈuLTr/V/i-

caœsvov T/.V rrr,:av vjy.E'.v Oseatov T£ TTOA/.WV, y.al EITTQ'J EUOOI

£V TV] TC/j'oO) iv/.'/TV; dcÎTTVOV2 Y.IVJ.IWK 7, OVJV £7. X.aOxC— . ' ' k ' ' k

CIO'J 3 , 7J T l TOLOOTOV.

I IOA. A A A ' aTTaYY^w TaOra, w AïoyEvs;. tjTrco; cYè £t$c5

[AxA'.CTTa, ÔTTOIOÇTIÇ £0*71 TTjV oepiv 4 ;

A l O r . Tic tov, oa^ay.po; , Tpiêwvtov sytov r;o7oJ6upov,

aTTavri aAcœto àvaTTEûTauLSvov, y.al Ta?; E^irrruva?; TWV

pay.iwv TTO'/y.rAov • yfiXao* àc l , y.al Ta r;oA/và T O ù ; â7.a^ova;

TOUTOU; OO.OGO'GOV; êTTiGy.wTrra. j k k ^

IIOxA. Padtov cûp£?v àiro y£ TOUTIOV .

A l O r . Bo'J7.£'.5 x.al r p o ; aÙTOÙ; eV.etvou; ÈvT£i7\tvj[£ai T I

TO'J; ©O.OGOOGU;;

I IOA. AÉyfi • où papù yàp oOcïà TOùTO.

A l O r . To j/.£V o7vOv,7:a,Jo-aG6a'. a'jTo?;7:aû£YYija7//;poijlci.6y

y.al-TTfiol T ô V o7xov 7 èOI^OUGI, y.al x i c a T a ©UOUGTIV

8 aAV/Aot;, 1. Construction pleine : -/.al (TOG-

TO TO (pT.aa f,v) wAv (TOI), et sou-renf fit as dû te dire.

2. 'ExaTT^ Ssï-vov. Voy. la note 5 du Dial. VIII.

3. 'ilôv sx xaBaçTiou, wn œuf de purification. Les anciens employaient souvent des œufs dans leurs purifi­cations.

nisi se cenlum lustraverit ovit, dit Juvénal (Sat. VI, 518). Après la lustiation, on déposait ces œufs dans îcscarrefoursuvec le souper d'Hécate.

4. 'Qrroïo;... (xotTct) TT,V #I/IV. 5. Boô/kSi (uç) svTstAoJiJLa'..

Comp. Ja même construct. note 1 de la p. 40.

6. Ar.poGa"., èpît/JUTi, œuo'JTiv, TCO'.OGTI, ô'.oâTxo-jG!., sont des parti­cipes prés. act. au dat. pi. masc. s'accordant avec où-oTç.

7.Twv O'AOJV, l'ensemble des choses, le monde entier.

8. Kspotra OUOOTLV. Ce mot vient du fameux.argu.ment attribué au stoï­cien Chrysippe par Diogène Laërce:

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DIALOGUE XVII. 4o

xxi xpoxorXstXou; ro touer t i , xa t Totaôra â '-opa gpwTav o\c)à-

GXOUGl TOV VOOV. ' - - » , >

I10A. ÂAA £[/.£ àj/.a6vi xa l ctTraiàcUTov sivat GTi'cjo'jGt,

XOTYjYQpoûvTa T ? , ; GQGta; aoTtov.

AlOr . 2'J o*è otaw^stv aôTOÎ; 7:ap' grjLO'j Asys.

ÏIOAÎ K a l r a i / r a , à> Ato'yevg;, OTrayygAU.

Al O r . Tô t ; TCXOUGIQIç o*s, à) OIXTXTOV noloog'j/.tov, a r ry / -

YE/vXeTauTair^tp Yiaûv* « T t , ô [/.aTaioi, TOV ycuGÔv O'JAXT-

T E T E ; Tt o*È Tty.wpgt^Ôg sauToô;, Xoyt"Co|/.£vot TOÔ; TôV.OO;, xa t

Ta7\.avTa2 gVt TaAavTOt; GuvTtQgvTSç; oO;3ypv; gvxoêoVjv*

gyovTa; VIXEIV ULST OAtyov0; »

I l O A . Eîpr^sTat x a t T a û r a TTGO; ÉV.sîvov;.

AlOr . 'AXXà xxl TOT; ica/vCt; ys xa t ï sy jpoi ; /gyg, M £ -

ytAÀco TE TCO KoptvOtcp, xa t Aay-o^gvw6 TM rtoô.y.'.cj-r., OTI

i ras y4y.tv C/JTô r4 çavOy XO'JAY;, O'JTî Ta yaporrx r, y.£Aava

outptaTa, r, gpoOry.a éVi TOO TTOOGCOTTOO STI £GTIV, Y; vgopa gô-

Tova, 71 côutoi xasTEsot * aAAa TîXVTX ut ta TiiAtvxoyi;, G X C ,

xpàvta yjowa TOJ xaXAou;.

IlOA. Où y.aAg—'Vv oùo g Tavra EtTrgtv TTpo; TO-J; xa7.o*j;

xa t tGyopoJ;.

A l O r . K a t x o t ; TTCV/IGIV7, w Aaxtov 8 (TTOA^O! èy'eÎGt xa t

E? TWJX àT^êaAsç, TCôTG £/£'.; * xica-ta Ô£ oOx àTÉôaÀî;, xépaTï âpa ?y sic Ce qu'on n'a pas perdu, on l'a : or] tu n'as pas perdu de cornes; donc tu as des cornes..

i. Kpoxo8îi'Ào,jç îTO-.OûSC. Autre sorte de sophisme. Un crocodile qui a enlevé un enfant promet à sa mère de le lui rendre si elle dit la vérité. Aussitôt il lui demande s'il le rendra ou non. Quoi que dise la mère, le cro­codile lui répondra qu'elle se trompe et gardera l'enfant. Quintilien {Instit. erat. I, c. 10) appelle ce genre de sophismes : ceratinas et crocodilinas ambiguitates.

2. TâAavta. Le talent valait 5/S60 ff. 90 c.

3. OCK, VOUS que. 4. "Eva ôSOàO'V, allusion à Yobole

que les morts devaient à Charon. 5. Comparez, pour l'idée, ce vers

d'Horace ( Ode 1. I, iv, 15) : Yilae su mina Lrcvis spcm nos vclnt in-

[elioare longnm. et celui-ci, de la Fontaine (1. XI. fabl. 6) : Quittez le long espoir et les vastes pen-

•Si't'S. 6. M£Yw\Acp, Mégille, Corinthien

célèbre pour'sa beauté. Aau-oqévto, Damoxène,athlètesyracusainqui avait remporté le prix aux jeux Nemécns.

7. TOTî T£VT,7iv, complément in­direct de Aifs, qui se trouve après la parenthèse.

8. Aâxtov. Pollux était né à Sparte. 3.

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i6 DIALOGUE XVIII.

ày^6o/{A£votTÔJirpaY(xaTi, xa l otX7£tpov7£ç TT;V arroptav), Àéye

p.7)7£ ô^ay.puetv, p.yjT otp.cuÇetv, c tTîyYicrau.evoç TYJV eVraùGa

tcoTipuav, xa l or t ouvovTat * TOOç éxeî* 7TàOUGIOUC; oùcUv àp.st-

vouç aÙTtov. K a l Aaxe&atp.oviotc tïe TOÎç GOîç TaOra, et cYoxeî',

Trap ep„o'j £7rt7tj/.7,cov, Àeytov exAeToJGÔat aÙToùç3.

I l O A . Mr/ïèv, cb Atoyeveç, irept AaxeoV.tp.ovtmv JXeye • où

yàp àvejop.at ye * a cYe TCC,OZ TOOç a/Aouç ecpr.cOa, àr;ayy&Àc!i.

A i o r . 'Eaocoixev TOUTOUç , eiret coi cloxei* eu cle, olç Tîpo-

eiriov4 aT:év£y/-ov r;ap ep.oO TOÙç ^oyouç.

AIAAOrOX UT. — DIALOGUE XVIII.

Beauté, richesse, puissance, force, vraie gloire, réputation usurpée, tout s'évanouit à la mort. Le masque tombe et l'homme se pré­sente nu devant le tribunal de Minos.

XÂPiW, EPMH2 KAI NEKPOI AIA<POPOI.

X A P . AxoùffOTe coç l'y et ùpuv TaTcpayp,aTa 5 . Mtxpov p iv

r^pÂv, (bç 6 pare , TO Gxa<ptb\ov xalÙ7rocaÔpov 6 G T I , xa l o\appet

TaTroÀÀa6 , x a l , VJV Tpar;"?; eVt G a r e p a 7 , ov/y/jceTat rapt-

7pa7w£V * Op.etç cYe TOGOûTOI ap.a vixeTe, TroAÀa e^tcpepop.evot

exacTOç. Hv oùv p.eTa TOUTCOV epAv/iTe, cYeVyta p.-/) ùcTepov p.e-

7avo'/fc7)7c * xa l p.aAtc7a OTîOGOI veîv oùx eTctGTacGe.

N E K . Iltoç oùv TrofflcavTeç eù7cv\o-/icop.£v ;

X A P . Eyoj up.iv ©pacoj. Tup-voùç èiTtfoatvetv )£p7j, Ta z e -

1. Kal 8xi ôd^mal... Cette pro­position subordonnée dépend de àS-ye tout aussi bien que les proposi­tions infmitives ôaxpOstv, cntiiô^eiv. Dis-leur de., et que... Le latin et le français présentent en poésie quelques exemples de cette construction.

2. ToOç èxeï irAouaîo'jç, les riches de là-bas, les riches de la terre.

3. Sparte à cette époque était en pleine décadence.

4. Construisez : àitévïyxev 7ïap'

èuoO xoùç Adyouç (xoùxouç) olç itpo-elirov. Oïç pour oûç. Voy. note 3 de la p. 32 un exemple d'une sem­blable attraction.

5. eQç h/£\. ùuTv Ta icpâytiara, quomodo vobis (sese) res habeant, en quel état sont vos affaires, c.-h-d. quel danger vous courez.

6. (Kaxa) TOC TTOàÂCV, (puépTj), de toutes parts.

7. l'Triedxspa (gépTj), d'un côté ou dz l'autre.

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DIALOGUE XVIIL > /

piTToc TauTa xavTa èVi TT;; vViovo; xaTaXiTrôVraç • [AO/V.; yàp

à v x a l OUTO) o*£CyatTO opta; TO TropOiAEÎov. Sol èie, w Ecuv?;,

ue/oqejet TO OLTZO TOUTOU * [xr, à £ va -apaoéyecÔai aÙTtov, o; àv

pw) vJfiXoçTj, xal Ta £7Ti7r/\a, coç-ep £or.v, aT:oêa/\àv, Trapà

ctè T7iv âiroêaôpav £GT(o;, oiaylvcocTxe aùroù;, xal àvx/\ap>

>ave, Yupivoù; &m£aivsiv dvayxd'ojv.

EPM. Eu yKeyetç * xal OUTCO <7OI71G;OU.SV . OûTQGI T ( ; 6r;pco-

TOÇ £CTi;

MEN. MeviiTTTOç âycoye. *A/\V tôoù vî rr/fpa (JLOI, OJ Epav,,

xal TO pâxTpov £ç TV;V /davxv âTSppiçOwv 2 • TOV Tpi^cova èiè

OU' uà £XO puera, eu TCO'.ûV3.

EPM. Eptêaive, à MévtTr-e, dvcj*pàv apiejTe, xal TT.V

irpOco>piav â'y£ r:apà TOV xuêepvvÎTTiv èo' û^v;/.ou, OJ; ETTI-

CXOTCTI; d*iTavTaç. O xa/vô; cf OUTO;, T I ; SGTI;

XAP. Xapi».d/\£0);4 6 Msyapixo;6 , o s77£p.ac;To;.

9 EPM. ATTOO\»9I Toiyapouv TO xaATvo;, xal TTJV XO'UV/IV TY;V

padeîdv, xal TO STCI TOOV Trapeiôv épuSxova, xal TO oVpaaoÀov.

Eyjt xa/\6jç6 , eu^covo; et. ETciêaivs vioN). O rSe TYJV TTOC-

q/upioV7 oÛTorjlxal TO c)idc)Vjf/.a, o p/\oerupo;, T I ; àv Tuyyâ"-

ve t ; 8 ;

AAMII. AdpiTwiyo;, Te^àoiv9 Tupavvo;.

EPM. Tt oùv, à A a p u y e , TooauTa ïywt irdpei;

1. Tb àizb TOUTOU (/po'vou), doré­navant.

2. 'AAV lôoù TJ Tirjpa dbrsà-ptyQuv, mats voici gue... soient jetés, c.-à-d. tiens, je jette

3. Eu itoiœv, faisant bien, c.-à-d. j'ai bien fait de

4. XapuxJAstûç, forme attique pour Xapu-oAao;, Channolaùs. Channolaùs, et les personnages qui viennent après lui, Lamvichus, Damasias , Craton, sont sans doute des personnages ima­ginaires.

5. 'O MîY pifctÇ» de Mé-gare. Mé-gare était située entre Corinthe et Athènes, à quelque distance du golfe de Corinthe.

6. (Tb Tcpâvaa) ë^£l xaAw;, (rcs) bene (se) habet, c'est bien.

7. cO (eywv) TT,V iropcpupiôs. 8. Tîç wvc-jyyâvî'.ç, gui te trouves-

tu étant ? c.-à-d. qui es-tu ? 9. TsAtpoiv, les Gelons, habitants

de Gela, ville de Sicile, colonie rho-dienne et Cretoise, fondée vers l'an 605 av. J.-C.

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48 DIALOGUE XVIII.

AAMIT. Ti oùv; --Y pViV, co Epir?;, yutcvov yxeiv TJpavvov

avc^ca :

EPM. Tupavvov (AÈv ovc>ao;ô;, vexpov^èt/.aXa' coerre O;7îC>=

6ou TauTa.

AAMII. IcVo-j coi 6 T:7O'JTOç â-sppi7:Tat.

EPM. Kal TOV TOcpov aTroppuLov, co Aa^Triye, xal T/JV uTtep-

odaav • Sao-/;c£i yào TO T:OO6U.SIQV CTOVE^-EGô^TC/..

AAMII. Oùxovv âXXà TO o>,.ao>r)L/.a£acov •/.£ ïyew xal Trtv • 'y-

cCJSTTClOa.

EPM. 0'J^ao.cor, àXXà xal TaoTa a<D£c.

AAMII. Elav. Tt er t ; TravTa yàp âarrixa, cbç ôpaç.

EPM. Kal TV;V tojAOTr.Ta, xal T/JV avotav, xal TTJV û£ptv,

xal TT;V osyr.v, xal Tairra â'oeç. i l ' 4 *

AAMII. là ou coi iLtXos et tu. 4 ' 4

EPM. "Eaoaiv£ viàr,. 2ù cVè 6 Trayùc;, 6 TCoXucapxoç, TIç r •

AAM. ÂaaaoXaç 6 àdV/jT*^;.

EPM. Kal, â'otxaç • Gicla yap ce, TZQWXMç h TOîç 7:a7at-

CTpai; to tov.

AAM. Kal , co Epi/.vî * âX7a Trapac^ai p.£ 'yuu.vôv ovTa,

EPM. O J *7uifcvov, co (^ûTIC-TC, TocaoTaç; oapxaç iTcpi-

^eêXr.ptevov 1 • wcrTc âîToc^uÔi a ù - à ç , sTuei xaTaSuaeiçj TO crxa-

OCT, TGV ÉTS50V TTGOa UTTccOÙc JJLOVOV 2 . 'A/VXà Xal TO'JC CJTc-4 * ' I 4 * 4

oa'vo'jc TG'JTO'Jcà—GGît'i'Gv, x a l T a X7.oOVu.aTa. 4 v * k 4 4 ' k i k

A A M . IcYo'J CTGI yujj tvqç, « ; o p a ; , àX*/îÔGç s i t u , x a i

tcoiTaç.oçj T o i ; aXXot; vexpotç.

E P M . OOTCOç acu tvov ' àêaoYÎ ù v a r COOTE sw/oaive. K a l c ù

1. Les athlètes étaient renommés pour leur fainéantise et leur vora­cité. Dans un fragmentée son Auto-lycvs, Euripide leur reproche d'être esclaves de leur mâchoire et de leur ventre :

rviôo"! TS. 5-.Û/.0*,, vtjSûoç 8' TJtTcnigiéyot". 2. Tov 'éTspoy ITOÔCC.... u.o'vov, toi

pied seulement."JLZZçOZ, comme aller en latin, a le sens de Z toi des deux: par conséquent il peut sigtiifier toi aussi bien que autre.

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DIALOGUE XVIII. 40

&è, TOV TTXQSXGV àT7o6£[X£vo;, ob KOOTCûV, xal rr,v u.a).axiav o*è

TrpoGext, xal T/jv Tp'j(pv;v, [/.riàs T « e\xà<p'.a xo'juÇs, ov/.o^

Ta TOJV TrpoYQvojv àc .o>[Jt.axa • -/.axaAirs c è xal yc'voc, xal

ooc;av, xal £t 7707s as vj roXt; âvcxvipu^sv e'jSGysxy;v, xal

Taç TûV âvo*piavTiov STTiypacpàç* (7.7,o*£, oxt jasyav xàçov

c r i coi eywGav, Àsys' papuv£i yàp xal xaOxa y.vr.jy.ovsjo-

p.eva.

KPAT. Oùy exGJV.rx.sv. arocpi^oj o*£ * xi yào àv xal ira-

Go i a i i .

EPM. Baoai . 2ù Si o SVOTXAOç , xi pouÀs?.; 7, xi xô xoo'-

xraiov xoGxo ©sosie ;

2TPA. Oxi SVIXT]ca, GJ Eprxr, xal r,piGxsuGa, xal •/) TA-

XlÇ £Xl[A7iG£ (AS.

EPM. yA©£ç urrso 77? fô xporraiov * £v aôou yào sic/îvr,,

Xal OÙO*SV 077AGJV oV/fGSl. 0 GcpYvbç 0*£ OÔXOÇ OTTO y3 XO'j C'/'fr

ptaxo;, xal ppsvGuo'asvoç, ô xàç ôoppû; èVr.pxtoç, 6 s r l x ô v

©povxiowv2, xiç £GXIV, 6 xov paGùv rcorcova xaOciu.s'vo; 3 *

MEN. 4>IXQGO©Q£, xiç, cb Epr/Ji, tAaAAov bè yôV,;, xal xs—

pax£iaç p.£Gxoç. tia^e àVjàuGov xal xoOxov * o^'ei yàp TTOAIX

xal Y£Aoia ùTîO xco IjAaxiw GX£77o'o.£Va.

E P M . KaxàGoi» eu xb Gy 7 f/.a rpèoxov, £ixa xal xauxl

r a v x a . i l ZEU, ôGTIV [ASV XYJV aAa^ovslav XOJAI^SI , OGY,V bè

âpiaÔiav, xal epiv, xal xsvoo*or;iav, xal éptox^Gstç aTcopo'j;,

xal 7voyou? axavQcobaç, xal svvoiaç 77o7tur;Àoxouç ! aAAa xal

{/.axaiOTCOViav [jAlct 770AA7(v, xal Aypov oùx oAiyov , xai

GÔàOUç, xal {AixpoAoyiav ! "Srt Ata, xal ypuGiov ye xouxl, xal

•flètuTcaôetav b*£, xal àvaiGyuvxiav, xal ooyyjv ? xal XCU©7JV ,

1. T( y&p &v xal xaOoiju; car que ] ytova , le ayant laisse descendre sa pourrais-je faire? j oar&e épaisse, c.-à-d. celui qui laisse

2. cO (tov) è~l Ttov opovxi'ctûv, ; descendre sur sa poitrine une barbe h étant sur ses réflexions, c.-à-d. J épaisse. Cf. l'expression latine bar-l'homme absorbé dans ses pensées. I bam promittere.

3. ' 0 xaOr.uÉvo; «civ Qafov -KO')- |

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oO DIALOGUE XVIII.

y.al uia7\ax.tav (oùXe/Y/iOe yap u.£, il y.al fxàXa rspiy.puTCTei;

a ù x à ) . K a l TO dyeùdo; tkl OTîôOOU , y.al TOV TUCDOV, xa l TO

oicaOat âasivco à v a i TCOV OXACOV1, côç, el'ye îràvTa Taûra

lytov saêa»/ / ; ; , 7701a 77£VTr//.o^Topo; deliaiTO àvcje;

<I>IA. ATTOTIOELAXI TOLVUV auxà , È7rei7csp QUTCO x.sXsuetç.

MEN. AAXà y.al TOV TTcbyeova TOUTOV àicoÔEcOo), co

Eppv/j, papuv TE ovxa x.al Aaaiov, cb; opa;- TTSVTê p.vcov2 Tpi-

ygç etcl TovÀàyiGTov.

EPM. Eu /Uysiç. 'A770600 x.al TOUTOV.

<Ï>IA. Ka l TI'ç 6 a770x.£ipwv âVrat;

E P M . MSVITTTWOç oÔTOCt, 7\aécov 77£A£x.uv TCOV vaoTr/iyt-

y.cov, â77oy.o^£i aÙTbv, ITTIXOTCM TTî àvaêàGpa ypTicapoevoç.

M E N . Oox., co Epp.v), à/YXà 77ptovà L/.QL àvàcVoç yg/Xoid-

T£pov yap TOUTO.

E P M . O 77£A£x.uç Ix.avo'ç.

M E N . Evye • àv6pco77ivcoT£poç yàp viïv àvaireV/ivaç. Bou-

7\£i 3 pE.tx.cdv à©£Xwaat x.al TCOV ocppucov;

E P M . MaXiGTa • ûirèp TO L/.£TCOT70V yàp x.al Tauraç £777 p-

y.ev, oùx. oid* sep' orw 4 âvaxeivcov éauTov. TL TOUTO; x.al

dV/.puc!.;, co x.àGappva5, y.al 77pbç Ôàvaxov aTwO^tXtaç;

£H07(Gl d ' oùv.

M E N . Ev er i TO papuTaxov 1V770 {/.àX^ç 6 eysi.

E P M . T t , « M£VL7777£; / •— * V

M E N . Ko7\ax.£iav, co Eppv/j, 77o7\Àa êv TCO [OICO yoy)C7i-j/.£uo"ao"av auTtb.

1. Kal to otî38ai àp.s(vto elvai 7t"ov a/Aojv, et le penser... c.-k-d. et J'o-pinion que tu vaux mieux que les autres.

2. Mvwv. La mine était à la fois un poids et une monnaie. Comme poids elle valait 43G grammes; comme •monnaie, 92 fr. G8c.

3. BoOAei (eus;)... àseXiou.21. Yoy.

sur cette construction, la note i de la page 40 et la note 5 de la page 44.

4. 'AVOITSCVWV Éamèv oùx otô1 ècp* Srio, se redressant je ne sais pour­quoi.

5. ^ii xâ0afixa. Voy. note 11 de la page 39.

G. T - ô gixXT.ç, il a sous Vaisselle, c-à-d. il emporte à la dérobée.

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DIALOGUE XVIII. :;i

«MA. Oùxouv x a l où, OJ MeviTrrre, tzTroÔoi» TY,V eAcoOépiav,

xa l Trapprioiav, xa l TO àAoTrov, /.ai TO yEvvaîov, /.al TOV

y A u r a • (xovoç yoov TCOV âAAcov ysAaç.

E P M . Mr,oVp.(oç * * àAAà /.ai lys TaÙTa, 7.009a ys xa l

?ravi> eùapopa ovTa, xa l 7:00c TOV /.aTàVrAojv ypr'oi{/.a. K a l

Ô Ô*/fTCf>p 0£ OÙ, tXTCo'OoU TCOV pr.JXaTCOV T7,V TOOaiÎTT.V à.TTc-

pavToAoytav, xal âvTiô&'osic, xa l Trapiocoosiç, /.al 7720100*00:,

y.al iSaptoapioaoùç, x a l TaAAa paprj TCOV Aoycov.

P H T . "HV iVjoù àTCOT^sixai.

E P M . Eu syei. fioT£ Aus 2 Ta â r o y e i a , TT(V arroo'ao'cav

àvsAtojxeoa, Tô âyxypiov àvEOTraoSco' TTETaoov Tô IOTIOV, Eù-

fbvs, cô TfocÔy.eù, TO Trr.&aXiov. Eu TraOcoiuv3. T i OIOUO^STS,

cô o.aTatoi, xa l i/.aAiOTa 6 oiAooocooç où, 0 àpTÎco; TOV TTCO-» / k 1 » ' k

Ycova o*eo*r,co u.svoc; :

M A . t ) T i , to Epir / j , aOavaTov cot/.r.v Tr.v «Luy7,v ùrraû-

yciv.

M E N . T£oo*£Tat* â'AAayàp soixs AUTTSIV aÙTÔv 4 .

E P M . T a TTOia;

MEN. tOTi [/.7,XETt o*£i7rvr'o£i TTOAUTCAT; o*sîrtva, /.al é'CO-

Gsv sÇaTcaTtov T O ù ; V£OU; ST:1 TTJ 0091a àpyjpiov Ar/ùsTai*

TaoTa AUTï£Î aÙTÔv.

M A . 2ù o*£, co MsviTîTïg, où/. ayôV; ârcoOavojv;

M E N . II co ; 5 , ô ; âoTTS'joa EVI TOV OavaTov, y.aA/oavTo;

p.7jO*£Voç6; AAAà, [/.£Tao,ù Ao'ycov, où xpauyvf T I ; à/.oÙ£Tai,

tî)OTf£p TIVCOV à—ô y 7;; 4SOCOVTCOV;

E P M . N a l , to MsviTkTTTS , où/, a© svo; y£ ycocoj* à'AAoi

1. MTi ajjLtoc, sous-ent. àTo'800. 2. AGs s'adresse à Charon. 3. E'J riBwixsv, comme s'il y avait

eùitAowjjLsv/ûisons une6onne traversée. 4. Tàp àAAa èoixî à'JTSîV aùvov,

car on ro/f bien que c'est autre chose qui l'afflige.

5. IIwç, comment {le serais-je fâ.-ché)?

6. KaAÉaotvToç IXT.SEVO'C. On dit en effet que Ménippe, devenu usurier à Thèbes, se pendit pour échapper aux railleries que lui attirait cet infâme trafic.

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52 DIALOGUE XVIIL

JAîV, i; TYJV £/./.}.•/; cjiav CJVSAOOVTSç, àVjAcVOi vsÀeôeji T;avT£;

crrl TW Aaa.TTiycvj GavaTto, /.al r, yjvv; aÙTO/j crdyz~:<zi TTOO;

TCOV yjvai/.îov, /.al Ta Traie)ta, vêoyvà ô'vxa, oaoïto; /.à/.cîva

û-770 TWV vraie) cov (2aAÀSTai a.oOovoi; T O I ; >.IOOI;* aA/.oi oYè

AïoçavTov TOV p v; TOC a iTTaivoociv £v XI/.'JCOVI J , éîTiTaoïoo;

Aoyoo; ôiîCjiovTa STTI KpaTcovi TOOTW. Ka l , vr, Aia ys , h Aa-

p-aTioo 'J.'/'Y.Q /.co/.oo'jTa £c,apysi TOU Opr/vou oùv yuvai^lv 2 ,

£T:1 TW AatAac;ia. Xè crè oùcVi;, to AICVITTTTC, oa / . c Je i , /.a.0'

r.Tuy lav ô£ /lierai JAOVOç.

M E X . Ooôaaco; , à.AA CAY.V'JGY, Ttov y.uvcov JAST' ÔAiyov

tocjO'Asvcov ol'/.TicjTov £~ sw.ol, /.al TOJV y.ocaV.cov TUTTTOaÉvOJV I l k 7 I I

TOlCTTTcCOÎC, OTTOTav CJ'J7£A6OVT£; OaTTTCOTl fA£. I - 7 ' k

EPAI. rcvvaôa.; £i, ô MS'VI—TTS. 'AAA , £77cl y.aTa-STTAc'j-

y.av.cv r/Aci:, értASic CAîV ÔT:IT£ TTCOC TO ôi/.acTr'oiov, eodcTav l ' i - ' l ' l I ' I 7 £/.£'///;V TTCOlOVTcC 3 ' c' CO èè /.ai 6 T70c8'A£'j; aAAO'JC lÀcTc-

i - 4 k l 3 k

A-'JTO|Ac0a.

M EX. EITTAOCITô , cô ECIAT/ TTOOICO'ASV CU / .al r 'aeic. T i • i k i i k -

oôv £Ti /.al IA£AA£T£; Trav.Tto; rji/.ao"Ov*vai ôeriosi* /.al Ta ;

/.a.Tar)i/.a.; oavlv civai (3ap£ia;, Tpoyo' j ; , /.al yd r ra ; , /.al

AIOC/J; . A£iyr/;o"£Tai èù o é/.aoTG'j (iio; à/ .ci^w;. .

1. Ev Lu/.eÔj/i, à Sï'-.yo/iC. Voy. sur cette ville la note i du [liai. m.

2. HV/ -;vva::.vv. Ces femmes étaient sans doute des pleureuses à gages, chargées de relever par leur deuil mercenaire la pompe des funé­railles, il y en avait chez les Ro­mains comme chez les Grecs. On en trouve dès la plus haute antiquité. Dans 17/mde fch. xxiv. v. 720-723) on voit autour du corps d'Hector des chanteurs qui soupirent des airs lu

3. n oï-oVirsç èxsivr.v foobv) =è-Oîîav, suivant celte route et maïclnxt droit devant vous. Cf. la note 4 de­là page 32.

4. Tpoyolir, Ytj-aç, 7.(9o-jr. Allu­sion aux supplices subis dans les en­fers par ixion, Titye et Sisyphe. Ixion était attaché à" une roue qui tournait sans cesse ; le foie de Titye était la proie toujours renaissante d'un énorme vautour logé dans sa poitrine ; Sisyphe roulait au haut

ombres et des femmes qui gémis- I d'une montagne un lourd rocher qui sent. " i retombait toujours.

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DIALOGUE XIX. 53

AïAAOrOS 10'. — DIALOGUE XIX. FTiilippe rabaisse les exploits de son fils : il lui reproche la facilité

de seS victoires, le meurtre de ses amis, son abandon des mœurs macédoniennes, ses mésalliances, sa témérité et surtout sa pré­tention d'être adoré comme un dieu.

AAESANAP02 KAI «MAUTITOS.

«MA. Nîïv (/.èv, co 'AXs£av$p£:, où/, av i'Japvoç ysvow u.vj

OUK spLoç uîoç e i v a i 1 , où yàp av £T£Ôv/;/.£i;, Aaacnvo; ys

c*v.

AAEE. Oùo* aÙTo; r,yvoo'jv, oô TTOTSû, cô; IIHAITTTTO'J TOV

AJAÙVTOU ulo';2 e t ju ' OCVA' dosJfzW.vTO [/.avTc'jjAa, O J ; ' ypriV.-

aov èç Ta 7Tpay[j!.aTa oioœsvo; slvar..

«MA. Tito; Àéygi;; y pr^ctœov iooV.ci çoi TO rrapsysiv Gcau-

Tov gcjaiTaTrjO'/icou.evov OTTO TWV —coGr.Twv ;

AAEE. Où TOOTO • <zXk oî Baooaco'. zaTS7r).âYf.o"av IAô*.

xaloùoV.ç art àvÔiffraro, oioy.svot6sw fj-ayscôat'COCTS caov

sxpârouv aÙTiÙv.

«MA. Ttvtov &xpâV/;o*aç o»j yg àc/ouaycov avr^ptov, o ; oV.-

Xoiç âel c;uvvjv£yGvic, To£apia, '/.ai TreÀTapia, xalygppaoïcrJVva

i?porjeo^Y)fJL£voiç; E à V O / W V xpatcîv fpyov r ,v° , BO'.OJTOJV 6 ,

x a i 4>0)X£a)v, xa l AÔrivabov * /.al TO 'Apxaœcov7 Ô7wAiTixov,)cal

1. Oùx àv... eivai, tu ne saurais plus nier que tu es mon fils.

2. Tldç «PiXtxrco'j TOO (uloô) *A-JJL'JVTOU, fils de Philippe, fils lui-même d'Amyntas.

3. *ûç est explétif. 4. KaTSû:AaY"irj<Tâv ps, me virent

avec effroi, me redoutèrent. L'aor. pass.^a ici la signifient. moy.

5. Epyov T > , était une affaire, ç.-à-d. était difficile. De même en la­tin hoc opus, hic labor est (Virg. Mn. vr, 129).

6. Bouoxûv, les Béotiens. La Béo-tie, contrée de la Grèce centrale, au

N. O. de l'Àttique, avait pour capi­tale Thèbes. — «PGJXSWV, les Phoci-diens. La Phocide aussi dans la Grèce centrale, au N. 0. de la Béo-tie ; elle avait pour capitale Elatée. Philippe fit raser les vingt-deux villes de la Phocide en 346.

7. 'ApxâSwv, les Arcadiens. L'Ar-cadie était située au centre du Pé-loponèse. — ©STraT 'v, la Thessalie au N. de la Grèce. — 'HXsuov, les Êléens, habitants d'une petite contrée du Péloponèse. — Mavrivéwv, les ha­bitants de Mantinée, ville d'Arcadie, célèbre par la victoire qu'Epaminon-

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54 DIALOGUE XIX.

TT;V OsTTa).r,v ITTTTOV, xa l TOù; taÀeîcov à/.ovTtGTaç, xal TO

AlavTiveojv 7T£A7aGTi/.àv, v; © p a / . a ; , Y; 'iXAupwjç, fj xal

l lxiovaç y£ipcoc;aGGai, Taû ra (/.EyaÀa. M7]5&>v 5e , xal l l ep-

GÔv,xalXaXoatb>v, xa l ypoGOÇopcov àvGpcorTcov xa l à ê p ô v *,

O'JX OlcGa â>; TTpQ GG'J UL'JpiQl 2 [/.ET3S KAEapy-ou aV£A.GoVT£Ç

sxpaT/;cav, oùcï' £; ysipaç. •jTrou.etvavTwv èAGEIV exEivcov,

àAÀa, Trplv Y) TO Toçs'jaa sEixveÏGÔxL, o£uyGVTwv;

AVEZ. A A A ' ol Xx'jGai y£ , co Twrep, xa l ol Iv5â>v £Xs-

cpavTE; où/. £ÙxxTaopovr,7ov TI epyov. K a l oiuo; où 5taGT7j-

c a ; aÙToOç, oùoè TrpodoGcai; tbvoojAsvo; Ta ; vi/.aç, expaTOuv

aÙTwv, ovo* £7ruos/.r,ca TTCOTTGTS, .TJ ùvrocyoacvo; èù^euGau!.7,v,

7; arr.GTOv â'—pac// T:TOU .v.xav é'vr/.a3. K a l TGù; EAXrjvaç

oè, TOÙ; IA£V àvaiL/.coTl TrapsÀaéov4, 07 ,êa io ' j ; àl IGO)Ç âxovJsiç

. 0770); [/.ET'?, AGoV 5 .

<î>IA. Ol'5a Taora T a w a . KAEîTO;-6 yàp àVfryyeiÀ& p.ot,

O V G ù , TW ôopaTiç) O'.cAaGa;, 'ASTa^j ÔE'.TTvoovTa7 êaoveu-

Ga;, OTI pis rrpo; Ta ; o à ; r:pàc.£'.; sTratvsGat sT-ÀuTiGS. SU-OS,

/ .al TY;V L/.a/.c5ovi/.-/;v v A a a ^ a /.avaoaAcbv, xavouv 8 , a i ;

<pa.Gi, [AETEVSO'J;, xa l Tta-pav ôpO'Àv9 s-iGou, /-ai TrpoGXUvet-

das y remporta sur les Spartiates, Cléarque dans son camp et le tua en363.—epix-y.:, les Thraees,peuple (403). L'Athénien Xénophpn le rem-barbare et belliqueux , habitant au plaça dans son commandement, et A. E. de la Macédoine. —TAX-JS'-O-J:, dirigea cette immortelle retraiteront les Ulyriens; ils habitaient les côtes il fut plus tard l'historien, de l'Adriatique, à 1*0. de la Macé- j 3. Alexandre ne dit ici que la vé-doine.— Daîova:, les Pœoniens, tribu rite : la politique de son pèrefutteu-belliqueuse de la Macédoine. jours, habile, mais rarement honnête.

1. Xpusoçop.cjv dvOptûTrojv xal , 4. EXXirjvar, •jtapéXaêov. Voy. â6pwv. Voy.' dans Q.-Curce le dis- ' note 10 de la page 35. cours de Charidème à Darius (1. III, ; 5. BT.êai'oa: U^T^AOOV. Voy. c. n) : Hic, ( exercitus) nitet purpura note 1 de la page 36. auroque;fulgetarmisetopulentia,etc. i 6. K"AC"îTOç , Clitus. Voy. note 1

2. Môpioi, les dix mille. Treize ' de la page 31. mille Grecs sous la conduite du Lacé-j 7. MsTod-o Sei-ovOvra, au milieu démonien Cléarque aidèrent Cyrus d'un festin, en latin inter cœnandum. le Jeune contre son frère Artaxerxes II ! 8. Kivouu, sorte de tunique à Mnémon. Après la bataille de Cunaxa ; manches en usage chez les Mèdes et où Cyrus périt (401 av. J.-C.), Tis- ; les Perses, sapherne, général d'Artaxerxès, attira j 9. Tiipxv ôpOr-v, la tiare droite. Le

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DIALOGUE XIX. ; >. »

>GT)«Ifjî»o Maxe&ovwv, £X£I>Ô£ûG>V âvo^pwv , Y)$IOU;* y.al, TO

IWVPWV yeXotoTaTOV, syt[/.o'j Ta TCOV vcviy.y,y.£vwv ' . Eco yàp

XèVetv oca aX/\a I rpaÇa ; , Xsouai erjyy.xTax.^cîcov Trc-aioeu-

usvovç àvtjpaç2 , xa l y a y o o ; TOUWTOU; yay.cov 3 . Kv srrr'vsGa

«.ovov axouGaç, OTI TY.? TOû Aapeiot» yuva«cô; y.al TY.ç j/.y,-

Tpoç aÙToO xa l T ô V 6uyaT£pfc>v sra[AeX'/jQ'/;; * paai/.'./.à yap

TauTa*.

ÀAEE. To m&oxivcWov èïè, co rcaTfip , oùx £Twaiv£Îç, y.al

TO £v 'oÇuS'paxatç irpÛTOV y.a9a7\aGÔai £iç TO ô'VTO; TOS TSI -

^ouç 5 , xa l TOoauTa Xaêfiîv T p a u y a T a ;

4>IA. Oùx £Twatvô TOOTO, to ^éc^avo'oe* oùv; OTI VYYJ y.a-

7\ov oipvat £tvat y.al TtTpcoGXEG6a£ TCOTS TOV p a a O i a G , y.al

TwpO)CtVO*UV£U£tV TO'J GTpaTOO * à/\/\' OTL GOl TO TOIOOTOV v;y.i-

GTa Guv£<p£p£. 0£oç y à p elvat ooy.cov, et T;QT£ tpcrtGeir.ç, y.al

P>.£TfOl£V GS <popaO*71V TO'J Tîo'XfiaOU 6XXQ[Al£o'JE.EVQV, aiyaTi-

pEOtAEVOV, ottAtoÇovTa £TTI Tco TpaupcaTi7 , TaOra yO.to; Y(V8

T O I ; ôptoGt • xa l 6 j\[/.ytov yo'/sç xa l tJ»£i»o>o»i.avTtp vi/Asy-

roi seul pouvait la porter de cette façon.

"l. Tôt (ëOifj) xwv vevixTrijjiévwv. 2. Callisthène et Lysimaque. Voy.

sur Callisthène la nolte 1 de la page 32. Lysimaque, disciple de ce phi­losophe, ayant osé plaindre le sort de son ami, Alexandre le fit, dit-on, enfermer dans une cage avec un lion. Mais, lui, tua cette bête féroce en lui enfonçant dans la gueule sa main enveloppée de son manteau et en lui arrachant la langue. Après la mort d'Alexandre (323), Lysimaque devint roi de Thrace)

3. Allusion aux mariages d'Alexan­dre avec Roxane, fille d'un satrape; Statyra, fille ainée de Darius; Bar-sine, l'une des femmes de ce prince. La polygamie était en usage chez les rois de Macédoine.

4. Aussi quand Alexandre mourut fut-il pleure de la mère de Darius.

5. IJpôVuov xaOâXasSai. Non-seu­lement Alexandre sauta le premier dans l'intérieur du fort, mais il y sauta seul. Dallait périr quand trois de ses généraux accoururent et le protégèrent de leurs boucliers. C'est là que Ptolémée mérita le surnom de Sojxrip, sauveur (du roi).

6. Philippe n'était pas sans avoir reçu lui-même quelques blessures. Ainsi au siège d'Amphipolis une flèche lui avait crevé l'œil droit.

7. Cet argument est mauvais. Les dieux de l'antiquité, pour être im­mortels, n'en étaient pas moins vul­nérables et sujets à gémir et à crier. Dans Ylliade, Vénus et Mars sont blessés par Diomède ; leur sang coule; Vénus pleure, et Mars remplit de ses cris d'e douleur tous les palais de l'O­lympe.

8. T/aùxa vé"X«ç 7}v, sous-ent. âv, cela eût été un sujet de rire pour

/ '

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56 DIALOGUE XX.

y s T o 1 , /.al oî TTpoo^Tai /.o7\a/.s;. H TIç où/, av èysXaaev,

opoùv TOV 7où A'.o; 'j'.ôv AS'.TTO^uyoÙvTa, ùcoasvov TôJV ia7pôv

(^oxOciv ; Xùv UL£V yàp , 6?:oTc 707. TsOvr/z.aç, où/, ove». TTQàXQÙç

c'.va'. TOÙ: 77, V TTûOOTTOir.O'.V £/.£lV7V &~'./.£OTOiAO,JV7aC, 6nwv7aç ' k k k - ' l '

7Ôv vs/.cov TOOOCOO iy.-y.àY.y /.îlasvov, (xu^éovTa ri^r, / .al i$eo-

or / .oTa 2 / .a7a VO/AOV 7Ôv cioc/.aTtov â7av7tov ; ÙAAAGJ;: 7£

/.al 70 y ç77'.AOV, ô £ 0 7 ; , A / i^avocs , 70 ô ià 70Ù70 zpa7sîv

CaO'.OO:. TTOAÙ 7£ 7 7 ; ($rjZ\Y' OVGGCVTO 7C0V y.a70S0,0,J'A£Vfa)V3 •

Tàv 7 à 3 £dO/.£'. £VÔ££3, Ù770 GcOÙ 7iv£O"0ai oV/.oOv.

AAEZ. Où 7aù7a osovoùciv ol âvOsmïTOi TTîCI Ètxoù, « A A '

IIca/.Àct /.al A'.ovùcxo ivaov.AAov 7,.ol£a7i 'A£. Ka».70». 77v 1 « 1 i '

"Aopvov s/.îiv/jV4, où'oT £7£ûOU £/.£ivet)v Aaoov7o;, £yà> ao'vo;

iy £'.: co 7a A7,v. (MA. Ocàc Ô7i 7aÙ7a où; olo: AUVACOVO; A£Y£ic, 0; Hca-

. . ^ ' ' i k ' i - ' ^ k

/.AcT /.al A.ovùcw 77a£aoaA7v£!,; 7£ao7ov ; K a l où/, aisyôV/;, w

AA;£.avd:s, oùùe 70v 7ooov à r roaa^e r / ; , / .al 77000*7, c£a*j7ov.

/.a/. C'JV?C 7Ù7 v£/.cô: tov °. . • k

AIAAOrOX K'. — DIALOGUE XX.

Achille aux enfers regrette d'avoir préféré la gloire à la vie; cl les sages observations d'Anliloquc, son ami, ne pemerït adoucir sa peine.

AXIAAEÏ2 KAI AATIAOXOS 6.

AXT. Oia r:3co7(v, 'Ay.AAcù, TTOO; 7OV 'OoVjcssa 701 £i-

1. 'HÀÉ-'/gTo', sous-ent. 5v. 2. AîxAv ajèôjvTa rvr. y.a:

à;woT,y.o"ra. Le corps d'Alexandre resta trois jours à. Bubylone sans sé­pulture.

3. rA/./.co: ~t V.-J). TôJV xaeo:

quelque distance de l'Indus et tel­lement haute que les oiseaux n'y pouvaient atteindre i priv. et 6p-v.:, oiseau). Hercule et Bacchus

| avaient échoué devant cette place. ' Alexandre, leur émule, s'en empara,

0OV;J.£VCJV. D'ailleurs f.t avantage dit-on. dont lul'L lais,6 Ah.-.'Mf, ';•• •,'}•rade.•;•£• I 5. Ka\ TUVT^ rjor, vsxpôç tov; et aisément par la, t'wk' '1 Uaucoup de • ne comprendras-tu pas enfin que in es la gloire de tes u\ • •'/.: s. I mort?

4. TYV 'Aopvov îxt'./r.v, ccf/e /"'/- ! G. 'Avrî/.o/o;, Antiloque, fils de '/roe.sf Aon/os. C'était une citadelle a i Nestor, roi de' Pylos. Ce héros, un

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DIALOGUE XX. •n

« i r a i 1 ire pi TOU BavaTOo2 ! to; àysvv-?; /.al aval; ta TOIV 5 I -

îaaxaAotv àpiçoïv, Xelpwvo; Te /.al 4>oiv./.o;3 ! HxpouovY.v

•yàp, 01COT6 8(pv)ç PotjAeaBat eTcapoupoç uv B'/îTêUEIV rrapa Tivt

TôVâxV/jpcov, w [/.Y) piOTo; TTO/Ù; si'/;, p.âAXciVY) r:av7(ov àvac-

CJSCVTôV vexpcôv*. TaCîTa p.£v oùv àygvv?) Tiva oppuya, o*e».-

Aov, x a l icépa ToOxaAôiç ÏYOVTOç 5 (piAo^coov, I'GWç &yc7;v 7 i -

y e i v TOV n*/iAe<o; o*e u tov 6 , TOV cpiVjxivduvoTaTGv r.poW/

àxavTtoV, Taxeivà OUTCO irepl éauToG ô^iavosÏGBai, TTO/A.Y; a i -

Gyuvv], x a l èvavriOTYiç r p à ; Ta irg—payu.sva aot èv T « [310/

oç, è£ov7 âxAew; TToAuvpo'vtov £v TYJ <I>BUOTI§I8 PaG».7.£'J£'.v,

é/.cov TîGoetAou TOV [ASTa Tr.ç âyaBviç ovjcy/iç BavaTov.

A X I A . ' O - a ï NéaTOpoc, à7.Aà To're j/.èv axs tpo; ï~\ TôJV

evrauBa9 tov, xa l , TO pgXTtov SXSIVGJV 6"OTêGOV/IV1 0 , àyvotov

des plus jeunes, des plus beaux et des plus braves de tous ceux qui -se distinguèrent devant Troie, périt en défendant son père. Ami d'Achille et de Patrocle, il fut déposé dans le même tombeau qu'eux.

1. Soi £?cT,T.ai, ont clé dites par toi, et non à foi.

2. Lorsque Ulysse évoqua les om­bres des morts, celle d'Achille s'en­tretint longtemps avec lui. Voy. sur cette évocation les noî* s '1, 9, 0 du Dial. xi.

3. Xsicojvo'ç T£ xal «PGéV.XO:, Clii-ron et Phœnix. Sur Chiron voy. la note 7 de la page 26. Phœnix, fils d'Àmyntor, fuyant la colère de son père, se réfugia auprès de Pelée, qui lui confia le gouvernement du pays des Dolopes et l'éducation de son liïs Achille. Phœnix suivit son élève au siège de Troie.

4. Dans l'Odyssée (xi, v. 488-492) l'ombre d'Achille dit à Ulysse : Jli) £TJ J4&1, ôttvatôv -je Tafa j5a , çal5'.;x'

[ 'O^'J'S'TVj • Bvj).ot;ii)v x', ITôSO-JSO; LWV, b^-vjipv/ ak't.w 'Av^fl TJL'J àx).if;ou), « |xi) {UOTO; zo/.ù; tir,, JI -âoiv •tix.-'jiCG: /.aTa:0'.;xivo'-'7'.v àvàçTï'.v.

Va, ne me console pas de la mort, glo­

rieux Ulysse; j'aimerais mieux, sirr.} lt laboureur, être aux gages d'un autn-, chez un homme peu favorisé du sot I, qui n'aurait pas grands moyens d'exis­tence, que de régner sur tous ceux que la mort a détruits.

5. IlÉpa TOU xa/.iô; à/ovTo;, an delà dece qui est convenable,plus que de raison.

0. La proposition infmi'ive TCV Urfhieoc, •jlo'v Crr.c.e'jT. est le s;:' d de ïzr:\ sjms-ent., qui a pour -tiiibut r.Cj../à, a'.T/Jvc, xal èvav-TaOTTn.;

7. 'EEov, au lieu de. 8. *I»0ii.k-.5:, Ph.thiotidc, petit pays

de la Thessalieau temps de la guerre de Troie. Achille réenait sur les Phthiotes.

9. TÔJV svTx-jea, l'état des choses ici, dans les enfers.

10. T6 3É7.TOV àx£:v(ov br.dizzve f,v, yuc?/e éfa/ï la meilleure de ces deux choses, à savoir la gloire ou la vie, Go;ic:ov, £(O-J. Je puis choisir, dit-on, ou beaucoup

[d'ans sans g!oir«\ Ou peu de jours suivis d'une lon-uo

[mÔlllO!! I'. (Racine, Jphitjcnie, r.cl. I, se. 2 )

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58 DIALOGUE XX.

TO dO*G77(VOV £*/.£lVû C^apiOV 7TpO£Tl{ACi)V TGO (3tOU. Nov &è CJV-

17,7.1 ridr, cô; £X£iv7,1 ptiv àvoJOcAr.ç, £i xa l OTI [/.OXISTOE oi

avco çaytodriffouo"'.2, 7.£Ta v£xccov cjè o7.OTi7.ta* x s l 0'JT£ TO

xaA/.o; £/.£i'vo, cô AVTD.OV£, OOT£ r, icyù; TrapECTiv àX)à X£t-

7.£oa arravTs; OTTO T U aJ-co £ooco OULOIOI, xa l xaT* oùcjèv

O\A///;/.IOV ôiaospovTc: ' xa l oors o'. TCOV Tpcôcov v£xpoi &£-

oiv.ai 7.£, OOT£ O'.TCOV Avaiwv (j£pa7T£,Jo,JO*tv • tT7,yopta &£ àxpi -

ê r , ; 3 . xa l v£xpo; oao to ; , «r,y.£v xaxô ; , 'r^è y.al £CÔXo;4. *

TaoTa u.s. àv ta , xa l ayOoaai OT». 7.7, 67,T£'Jto v â v .

AXT. OLUOç TI oôv av Tt; vraOoi, cô Xyù\A£o; T a O r a y à p

£ÔOÇ£ T7, G'JTcl °, TTaVTto;6 (XTToOv/fTXc'.V aTTaVTaç 7 . QOTc

ver. £u.y.=v£'.v Tcô vo7.w, xa l 7.7, aviacGai TOÏC SiaT£Tavi/.£-/ . k i i k • 3 i ' ' i l

VOi; S . A/.).Co; T£ Ôpà; TÔV £TaiCWV 00*01 7.£ol CS £<77.£V OtC)£ •

J/ATX {/.'.xpdv eu xa l 'Orj'jcro-s'j; â©i$£Tai TTXVTO);. <ï>ip£i &£

T.v.zy.wh'.y.y xa l T; xoivcovla TOO «rsa/vu-aTOs, xa l TO 7.7; ULO-k l k I i ' ? i l

vov aoTÔv TTc-ovoi'vai. O p a ; TOV H e a x / i a , xa l TOV Mfiz-ia-k • k 3

v s o v 0 . xa : y././yyjzbyj'J.y.G'r/jz avôca r , oi oox av. G'.7.ai, ô i -» k •' ' k * k - 7 ' k '

çaivTO àv£A7 = iv , £i TL: aÔTOor àva77£7.'!/£'.£ Gr.Tfi'JcovTa;

y.yj:f,zrj'.z y.y.i y.i'vs.z à v ô c a c v . 1. ''Ev.îL'/r . ?'"«ri?-.? lit. 0 .:a S. TXP'.OV,\-OVT:. Allusion aux

i Oc te 5 qui devront chanter yôuf? tard , ]•:-: CXploitE d'Achiik Ci i:iïi":i7.î-t;_ili~.:-ï' i

?.. '\z-t;yy.-j. àxp.o/ r , puk 'k |.rr- j /V;A. D-ili? lêS CljklS. COUiIllC le (lit ' Properce 'K! : r . m . 3i, on ne distingue > ]À;s le rkue Crésus du înendient I;n= : L; dir-Pidicitio n>-T\ di=tnf rvcp^nsal. Iio.

A. V-oicI le ver? d'H^in-re ampiei e-E'" ernpvuîepe cette citation :

///in/.-. IX. v. 519.. L>. 'Lê'ork TT zlri:. i Jau't ïïatv.ïj..

/.: .;•-/ é o ai d :. " ' ; 9. : .k / ix ;pov, jk 'k 'a j rc /dsd 'Œné' ' C. II xvTt.: :..-'...;•;." ••; / 'ce. Pl'ïsha?. ' or. k- M :r i et d 'Althée.cékbre hé. • ^

TTX7TCO; E;^:;i;;..-.a ]"..;.-•/.,•' j \ ;,.'.;/.:.-i .iode:]]. r;ui piit part k l'exjiéditi a 7. Ce.::•! iêz h.- VCIE de M:lhé:é.-: ' '".-•< A:c.,ô;iutes et tua le SaiieheT de

Le pauvre en sa cabane où le ch nu nu­lle COUMi-

Eet sujet ù ses lois, Et la garde qui veille aux barrières (in

[ L O U V ï C

A'en défend pas nos ro;s._ (Ode ù Duperrier.'

3. Cnnmarez encore les vers de MkhorLe : De murmurer contre elle et perdre pa-

[tienee Il est Lors de propos :

Vouloir ce que Dieu veuv est la se;;!.' [icier.ee

Oui nous mette en repos. (i:-,id.)

l1 l i .

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DIALOGUE XXI . 51»

A X I A . ETaipixr , p i v h r ; a p a i v ê G i ; • ép.è 5è oùx o i 5 ' OT:OJ;

^ p.vrjp.rj TOJV rcapà TOV piov à v i a • oip.a'. 5e x a l î>p.6jv e x a -OTOV1. E t 5 è p.?) ôp t tXoye i re , TaoTr, yelpoi»; £*GT£, xaO' yécu-y^iav a u r a 7cao;yovTeç.

A N T . O û x , c&X âp.eivouc, OJ Ay/tXXeu* TO y à p àvojC/£Àèç. TOU Xeyetv 6p6jj/.ev. Sicairâv 5 è , x a l cpepetv , x a l àvé / eGOa i 5é5oxTai rjp.iv2, pr/j xal ye^coTa o<pXojp.£v3, <oG7t£p GÙr

TOtauTa eùyo'p.evoi.

AIAA0r02 KA'. — DIALOGUE XXI. A la mort, chacun regrette la condition, quelle qu'elle soit, qu'il

avait sur la terre : le pauvre lui-même regrette sa pauvreté.

AIOrENH2, ÀNTI20E1NH2, KPATH2 KAI IITftXOS TI2 .

MOT. AVTIGGSVEç xal KpâV/;; , GyoX/jv à'yop.ev • WGT£ TI

oux af]Ptp.ev sùGi» tr.ç, xa8o5ou4, rapiïraTricrovTe;, ouyouLSvc,'. Toùç xartovraç, oiol Tivéç SIGI, xal TI exaGTOç aÙTÔv Trois?;

ANT. A7îtcop.£v, ob Aiôyevsç. Kal yàp àv rj5î> TO Ô£«p.a yévoiTo, TOU; p.èv oaxpuovxaç au TOJV ôoav, TOO; 5è î/.£T£u-ovraç âtpsGrivat* SVIQVç 5e p.oÀi; xaTiôVra;, xal, èVi Tpàyr,-Xov OJGOUVTO; TOO Epp.ou, op.eoç àvTto'atvovTa;, xal ôTUTLVJ;

âvT£p£i5ovTaç, 0'j5èv -5ÉOV.

KPAT. 'Eyco yoDv xal 5ir,yrlGop.ai i»p.?v à el5ov, ir.'r.i

xaTvfeiv, xaTa TY;V 65O'V.

AlOr. Af/iyr.Gai, OJ KpâV/;ç • eoixaç ya'p Tiva éwpaxfva'. icayysXoia.

| KPAT. Kal aÀXoi p.èv TTOXXQI G'jyxaTg^awov r,p.iv • ;'v aiiTot: 5' ÈîTtGr/AOt, '1GU//;VO5COSO:

5 T£ 6 TTXOOGIOç 6 r,v.£-

1. Tuiôv sxaTTov est gouverné' que nous ne devions paslerîre, c.-à-d. par àv.âv sous-entendu.

2. Horace : Duriira. Soil levius fil palientia

afn que nous ne prêtions pas à rire !\. TT,; xaOoooo. Ce génitif est goa-

IJiirura, pou levius 11. paoenua v c r n g p j r £ / 6 J , 1 ) 0 u r £ . : o . : . Qiiiuqiml corrigero ost nclas. A ' l

O.io I.xx, 19, 20.; ! 3. "'lïavcowpo:, l.si;!t';.'0d<:;T. 3. Mr. VéAWV^ 6'-j/.o)p.Ev, a/ùj ; im.icjii'iairo pin-i q:;c '

'L ' ; M i l » . ' i l

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ï GO DIALOGUE XXL

TSCO;, /.al 'Apaaxr.ç o Mr .d . a ; 1 uTjapyo;, /.al 'Opo.TY.ç 6 Ap-

[/.svio;. O piv oùv Iop.yvotjojpo; (sTugmovsuTO y à p ûTTO XVJTTûV

Trapà TOV KiOaiptova, i ; EXsuctva, olpvxt, (oaàiC^cov) loTevé

T£, /.al T 6 Tpaùaa £v Talv ygpotv £ly£' /.al Ta TraicTia Ta

VEQVVX, a /.aT£7£7o'.r:£'., àv£/.aA£tTo, /.al éauTco £T;£IA£OVS£TO

Tr.i TOOJAY.:, O; KiGaicôjva ùTJCGO^XàACOV , /.al Ta recel Taç

È/.kVjGgpà;2 yojpia, r:av£pri[/.a ovra ùTTO TWV 7Jo7.spt.wv, o io-

Ofcùwv, c ùo p.ovou; ol/.£Ta; drjri'yîTO * /.al TaOra, oiâ/Xaç

7J£VTS yp'jcraç /.al /.vu.êia T£Ttaca t/.EG' éauToO i'yojv.

O è» 'Apod/.YÇ, yy.paiôç / $ / , , /.al v/) Ai' où/. aagpivoç TVIV

o'ùtv, £ ç T O papêapi / .ov 3 vryGcTO, /.al yqyavxxTgt 77g£oç (2a-

û£ojv, /.al v)Ç.ov TôV IVJTJOV aÙTÔJ4 TJpooayGyvat * / .a l ydo

/.al o ITJTJO; aÙTÔi GVVETCGV7//.£I, p.ia TjXyyy àp.ooT£poi r W -

7JaC£VT£;5 ÙTJO Gpa/.G;TlVOCTJ£7.TaOTOÙ6, £VTïl ETJITW Apàc/n7

repos TOV KaTjTraèfo/.r.v crjjxre7.o/.vJ. O piv yàp Apoà/.r.s

£7jv;'7.a'jv£v, eo; oiY.ygtro, rgo7À> TOJV d77.ojv repoîhëgçopp/rÎG'aç,

ùrjoreràç c>£ 6 0 c à ç , TV; 7JC'7.T*/î p.Èv ùreooùç; , dreocreitTai

TGù AoG-d/.ov TGV/.GVTG'V • ùreoGcl; été TY,V adotOGav, aùro-'v

T£ 5ia7J£10£l /.al TGV 17J7JGV.

A X T . n ô ; olo'v T£, OJ KpaTY.ç , p-ia i:\rtyrt TOVTO yg-

v i cOa i ;

1. M- ôfar,-VAh'e, grande contrée d'Asie, capitale Ecbatane. Constituée en royaume à la fin du premier em­pire d'Assyrie (759 av. J.-C.), elle fut plus tard englobée par Cyrus dans l'empire des Perses (530). —'Apué-v:c:. Arménien. L'Arménie , contrée de l'Asie occidentale, s'éfendait entre le Caucase, la mer Caspienne, l'Eu-piiiate et le Tigre. — K.Oamwva, le Çithcrcn, montagne de la Béotie. — 'E/.svsïvx, Eleusis, bourg de l'At-tique, cédcbre par le cube de Cérès et de Proserpine.

2. 'E/.e'jO^çâ:, Eleutbcres, petit 1cmmr de la Beotic entre le Cifbéron

et Eleusis. 3. 'E; T6 (T.ôOç) Sasôxpixdv, à la

façon des barbares. 4. Aûvâ), datif gouverné par cùv

de CJV£V£0vrJxîi. 5. A;x'fdv£poi Sixzapsvrsç, nomi­

natif absolu, qu'on pourrait expliquer par l'ellipse de ï~t\ r>av.

6. n-./.TaTTOj, pellaste, fantassin armé à la légère, poriant la TCéâTT), ou petit bouclier sans courroies.

7. Â?x;r„ VAraxe, fleuve d'Ar­ménie, tellement rapide que Virgile a pu dire de lui : pontem indignatus Armes. [En. vin, 728.)

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DIALOGUE XXI. Gi

K P A T . PaGTa, cb AvTtGGevg; • d tjlw y à p &V/fXauv£v £ixc-

eaTfriyuv Tiva XOVTOV TkpotfséXr.Lc&vc;* d ©fàt; o*è, èTTSIOV, TYJ

TCfiX*n) airsxpouGaTO TTIV irpoGÊcAviv, xa l 77apr,ÀGsv aÙTOv 7}

axuXY), gç TO ydvu oxXaGaç, o^eyeTat TT; capiacrr, 1 T/-,V £776-

l a c i v , x a l TiTpoWxgt TOV ITTTJOV Ù776 TO GTSCVOV, OTTO Gup.oO

x a l GCpoo'pOT'/iToç éaoTov oHa77£t.pavTa* oAeAavveTat. cvè x a l

d Apoaxr.ç . Opaç otdv Tt £y£V£TO* ou TOU à v d p d ; , aAXà

TOO tinrou p.àÀ>.ov TO â'pyov. 'HyavaxTEi cU d'p.o>; dp.o'Ttp.o;

à v ToTça)xAotç, xa l ^Çtou t77T7sù;2 xaTt&'vai.

O o*£ ys OpoiTrç d IOVOTTIç xa l Travu à r r a l d ; r,v TW

7700*6, xa l oùo*' êcTavai yaixal , ody ôTTWç paon^Eiv3 £0*uvaT0.

I l acvoua i o*' aÙTO aTsyvco; Mr.&ot ravT&; , èTTTIV aTroêôoi

TWV 17T77COV, <OG77£p 01 £77'. TfcOV àxavGcoV £77'.£atV0VT£Ç àV.pO-

TTOONITI [/.C'A'.; (rjao'tCouGiv. KaTxêaÀtov oùv éauTÔv â'xetTO,

x a l oOc^sp.ia pvr.yavv) àviaTaGGat vîOsAev • d o*è [déATioTo;

Eppv*?,ç, àpap.£vo;, aÙTôv gxdaiGsv aypt Tccd; TO TTOCOU.EîOV

£yo) ࣠eys/xcov.

A N T . Kayd) o*£, O-O'TS xaT/'siv, oùcV avgp.ti;x Èp.auTôv

TOîç aAAOt;* c/Xk\ ctcpslç oip.cd^ovTaç aÛToù;, —poG&pap.ùv

èVt TfOpGpLetov, rpoxaTÉÀaêov ycdpav , tbç av STTiTr/Uico;

TrAeuGatp.i. K a l Trapà TOV TCàOVV, ol piv so^axcuo'v T£ x a l

ÈvauTUov * èyà) GU p.aÀa £T£p7co/u//;v £77 aÙToT;.

A l O r . 2ù p i v , to KptaT/;ç , xa l AVTIGGEVEç, TOIOUTGOV

£TUy£T£ TtoV JuvO^O^o'pOJV ' Êp.ol 0*£ B7x£UVia; TS 6 o'aVElGTTiÇ,

d £X l l s i p a i â ç 4 , xa l Aap.771; d A x a p v à v 5 , Çevaycç tbv, xa l

Aap.tç d 77àOUGIOçO EX KocivGoû, GuyxaTr^Gav d p.èv Aap.tr,

1. 2Lap£ainçi, sarisse, lance de la longueur de 14 ou 16 coudées, par­ticulièrement en usage chez les Ma­cédoniens.

2. Iirûeûç, à cheval. 3. Où/ 8-ïOù; fiaoïÇsiv sôùvrco,

loin de pouvoir marcher. 'Eoùvxro gouverne à la fois érvivai et £ïoi-

Çnv. 4. lli'.paia);, le Pirée, port d'Athè­

nes. 5. Àxacviv, Acarnanieu. L'Àcar-

nanie, province de la Grèce cen­trale, baignée par la mer Ionienne, fournissait de rudes et vaillants sol­dats.

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02 DIALOGUE XXI.

VS ' ÙT7Ô 700 777.160: 2/. oy.caa/.«x)v arroftavcov, 6 ^è Aatj.TTi;, à

£?o>7o: aTroToâça; éauTov * 6 &s BAsvî/ia: AIIACO ô aftXio:

sAsysTO â"£çy.Ar//.£vat, /.al E6Y,AOO ôE yE, wypo; Èç uTrepëo-

7./,v y.ai ACTTTO; S ; TO aV.ciêETTa.Tov çaivoy.Evo:. Eyo> &è ,

/.ai77£S EIôOJ:, àvcV.c.vov OV TSOTTOV à—oOavoiEv. EiTa Tto uièv 4 - ' 4 4 i r

Aaov.6i aiT'.ioasvco TOV OIOV • « Où/- a6i/ .a JAEVTOI £7ra6cç,

IGY.V, ' J - aoTOo. o; TaAavTa eycov 6ovoo 1 y i A t a 2 , /.al Tpu-

GWY aoTor, iwcvr./.ovTasT'/;: wv, oy.Tto/.aiÙE/.aETci VEaviT/.co

TîVraca : ôoo7.oô: 3 T.y.zv:fiz..—Xô 6è , w A/.a:vàv (ecTSvs . - 4 A - ? 4 V

v a s z.a/.Eivo:. /.al /.a.TY.saTo). TI aiTià T6V â'scoTa, TaoTov » 4 ' - 4 / ' • .4 7

O £ 0 V 4 * O; TOOS JA2V TTOACOV/JO: OOÙE 77 CO 7707£ £Tp£CaÇ, à X X à

GIVJ/.IV^JVOJ; r,vcovf>vj TTS6 TWV aAAojv, ùTTO oè oa/.put^v 4 7 i - 4 f

7 r

/.al c~i,y."<j.C-y/ ° 2a7xo: 6 vEvvaio;. » O IAÈV v a s BAsvvia: 4 4 ' 4 l i 4 i -

ÉaoTOo a-ÙTo; /.aTYV'o'sci oOa.Ta:6 770AAr,v TY.V àvoiav, OTI i 4 i '

ycr'y.aTa EGOA/TTE TOI: u.r.ôsv 77SOT7//.OOTI /.7.Y,GOVOVOI:, E: / - > . 4 t * i 4 4 4 " ' '

àcl fo.OjTSTÙa'. ô y.aTaio: voai-ojv. nArv i'fAoïTS où T/IV T J -i 4 ' 4 - ' 4 i '

yooTav -CSTTO/AY;/ rracETyov TOTE TTEVOVTE:. AA7. Y, or, t/.Èv

£TT1 TOJ TTOv.iio ETOVE'V rx77oé*A277Eiv 6E yc-v; /.al OTTOT/OTTôI/ I • 4 / - 4

TTO'ôGOJOEV TOO: aGi/.vooo.Evoo:. B a o a l TTOAAOI 72, /.al 7701-4 4 4 4 4 7

Z.I'AOI, /.al TT/VTE: Oa/.:oov7E: , TTAY.V TOJV VEOYVWV TOOTCOV ? 4 - ? 4

y. ai VYTTIOJ/. A A A a /.ai 01 rravu YEYY. sax/jTE: ôoosovTai. Ti 4 4 1 ' 4

TO'JTO : a : a TI GIATCOV aoToo: EVEI TOO £100; TOOTOV GôV TOV 4 1 4 / - * '

o-£sy7,:ojv ÈsEoOai Sou7.oy.ai. Tî àa / .pos i ; , TY.AI/.OOTO; â î ro-

6avcCv: TÎ a/'y.va/.TEi:. co SE/XTITTS, /.al TaoTa yspwv âoiy-i - / 1 / 4 4 4 4

' A E V O : : 7,7700 0 7 . T I 7 . E O ; Y o O a : 4 - . ' 1 ' 7

O n T O X O X . Oôoav.oj:. 4

AIGU, .\77.a Ta.TEaTTY.: T I : ' ;

i . ( . . - .v . . 7 v ..;.,,.

i . fi '•'' .'./.•.i

5. ±-/y.yyy, V.-J:. 'Zfn.-yj.Cyy Ce Cv/.-,-,/.!. ?.',r;t l e ; hiViio:- et I-? }..k.iutes df? i-i

v'"; 1.000 i'i-1 f<_-jrjrri-:- l'i'i'll ;ii;:-|..:;t (A p u a r l aqne lk "•'À <: ot'l- I il ='eC 114é.

0. <lAy.zy.:, nva<,t rrri:< les diïQrf?,

r. . x. /• I '.me.

7. I r : v y . - r : Tir, SOUE-Clit. ï,T ria.

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DIALOGUE XXII. w

O n T Q X 0 2 . OùO*£TOUTO.

AlOr. Apa oùv ETrVj'JTeiç, eiTa àvta ejs, TO TzoXkry Tpu<pr,v

0t7îoXt7wOVTa TEÔvavat;

O n T O X 0 2 . OÙO£V TO'.OUTOV dXk £TYj {Jt,£V 8Y£YOV£W à|/.<pl

Ta £vvevY{y.ovTa'4p'.ov Si aTwOoov à-rro xaXapLou /.al oppua; '

£iyOV, £ÇUTC£pêo>.7iV 7TTCOYOÇ OJV, àr£XVO; T£, / .a l 7CpOG£Tl 7(0-

Xoç, xal âfjLucfpov PXSTCGJV.

AlOr. E i r a , TOtouxoç cov, C//;v vifteXsç;

O I lTnXOS. Nat * T,O*ù yàp YJV TO <pw;, xal TO TeOvavai

£IV0V Xal <p£UXT£0V*2.

AlOr. IlapaTcata;, to yÉptoV, xal (/.£ipaxi£Ùyi 7:06; TO

Y^p£(6v xal Tau-a, TPAXIGJTT;; a>v TO'J 7ropO[/.£to;! Ti oùv av

TtÇ £Tt XéyOt TCSpl TtOV V£0)V, OTCOTfi 01 TYiXlXOUTOl <pt.\o(tOOi

eiaiv, ou; éy pvjv ottoxeiv TOV ÔàvaTOV, ib; TûV £V T ô yv'pa

xaxcav <pap|/.axov ; AXV OTricopLev YîOV,, [/.r, xal TIç **tu.a; ùTTI-

OYîTai tô; ocTcdrypaGiv pouXeùovTa;, opôv Tfeol TO GTQUV.OV et-

XouptEvou;»

AIAAOrOS KLV. — DIALOGUE XXII. Le plus beau et le plus laid des hommes ne se distinguent plus

l'un de l'autre dans les enfers.

NLPEÏ2 3, 0EP2ITH2 KAI MEN111II02.

N I P . 10*01» Sr) , MeviTTrco; OùTOGI o*.xac£t 77ÔT£po; E ù -

u.op©oT£pd; èGTIV. Etrcè, to MSVITTTTS, où xa>Aiîi)v GOI 0*0x00; 1. KaAdjxo-j, c'est proprement

le roseau, la canne de laligne, et ôp-juic. le fil de la ligne.

2. Tô TîOvdvai ôsivôv xort cpeu-xxéov. Malherbe : La mort a des douleurs à nulle autre

[pareilles. (Ode à Duperricr.)

Mais ne bougeons d'où nous sommes: Plutôt souffrir que mourir, C'est la devise des hommes.

•L. I, fab.M.} Cf. Esope, fab. 2.

3. N-.psùç, Nirée. Yoy, sur ce héros note 5 de la p. 13.

1. espîfrr.ç, Thersite, le plus laid Cet épisode du pauvre, qui aime , et le plus làcbe des Grecs qui vinrent

la vie quand même, rappelle la fable au siège de Troie. Il était brave en de la Fontaine intitulée la Mort et le paroles et assaisonnait ses railleries Bûcheron, et dont voici les derniers d'injures grossières, qui lui attiraient vers: • de dures corrections. Un jour Achille

Le trépas vient tout guérir; le tua d'un coup de poing.

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tir DIALOGUE XXII.

M E X . T t v s ; d £ v.v.\ icT£ • TTCOTCGOV, û iy.at , y or, y à p TOUTO

t i à c v a i .

i \ I P . X ' . G S O : y.al © C G G I T T ; ; . i t "

M E X . HoTcGoc oov o XiGcùr, y.al TTOTSCO; ô 0£GC1T' / ;C ; » ' i • ' i ' i ' *

GOOSTTCO yaG 70070 ^r./ .ov.

0 E P . Ev »xlv vier. 7007 ' ê'yoj.oTt oaoïoc £'!LU cot, y.al oùàÈv t • / . * t • t *

Tr.A'.y.o'jTov àî.aoc'ûé!.:, YA'./.OV es lO'AYGor éy.clvoc 6 TUO/VOC t k ' ' i k ' ' • '

ETTYVéCêV, àTTaVTOJV 20f'.0GO07a70V 7rS0C2i~O>V * aAA 6 OOC.ÔG I ' k k I t I ^ '

s v c o 1 , y.al'JéôvoG, oùoév yg iowv 2 èOXVY.V T W èiY/.acTY» v»Ga

CO Ô£, 03 XIcV.TTTTc, OV7'.va / .a l 20 Y.0GO07cC0V 7YY • 7 ' k t t k i i

j \ I P . E 'AS 7£ 3 7c,v 'AvAaiac y.al XaGOiroç, « ô ; xaA/\tC7o; k i 4 5 k ' '

aVYp O770 IA40V Y.AOOV*. »

M E X . A/VA ooyl y.al orro yyv , w ; oîjxa'., y.aAlX».c7o; r ,À-

Gêr * à A/.à 7 a LV.CV ô c c a OY.o-.a, 70 0*2 y.saviov TauTv; ao'vov k t 7 k . 1 a s a otay.Glvo'.70 àr:o 700 0 £ G C I 7 O O y.Gavloo, OTifiuÔcjTTTOV TO

k k 1 , 1 k

co'v * àAarraovôv y à p a o c o , y.al 00*/. àvo*GÔao*cÇ sys t ç .

N I P . K a l jA7,v ES 00 b GV7.GOV OTTOTO; rév , ÔT707£ cuvECTpa-

Té'jov 70T; Av/aiof:.

M E X . Ov£iGa7a c o t AEV'êV;* £vfo o*è à ÔA£77to, y.al vov k 4 4 ' 4 » *

v = •> ~ kV t / »' n £y£'.;° * gy.g'.va ô£ 01 7072 ' . c a c v .

X I P . Ooy.oov £vw iv7aoOa COG.OSOOVEûOG EVJV., (b MEVITTTTC: 4 k k 1 r ' k '

MEXT . Oo7£ ci1 , 0072 aA-Ao; £'jt/.opcpoç • icoTitAia y à p iv

$000 , y.al 00.0101 a r r a v T c ; 7 .

0 E P . E0.0I ixev y.al 70070 v/.avov.

1. <î>o;6s l^cô. Homère dit de lui : 4>i;c<; ITV y.j.a/.T.v, •GC)VT> 5' i-îvr//c ,)î"/.iy/T,.

•(IZi'ade, I I , v. 219.) « son crâne s'en allait en pointe, et sur ce crâne poussaient qucdques rares cheveux. »

2. Xîipcov, pire, ici, phcs laid. Xe confondez pas /yr-'.-wv avec y£;pû)v, génitif pi. de yîis, /aai/i.

3. Èas'vî, sous-ent. ciça. 4. Fin de vers d'Homère :

» £•„ N-.jîlt;, IvO-atr,; v ; . i ; Xctjôro'.ô

N ' . S ï V ï , ô; y.â/J.'.T-:o; «VT,S VR' V'.'.5V V . O î / .

(I/t'ade, il, v. C72-673.) 3. 'ETOJ 6 î (?7T,ai) #S>.£7:ii> xa'i

(a; VJV !•/£'.?. G. 01 os VO'Tî ï^aT'.v èxslva (â Àé-

v £ ' . : j .

7. Ev aoov Sao'-tv- a - r / r s : . Cette idée, et engénéraltoutes celles de ce dialogue, se "trouvent déjà dans le Dialoeue VI.

TEA05.

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LEXIQUE DES MOTS

SOUTENUS DANS LES DIALOGUES DES MORTS DE LUCIEN.

N. B. Les explications qui ne sont point données dans le lexique le sont dans les notes, et réciproquement.

ATE AAH A : en nombre, celte lettre vaut ignoble ; lâche, vil; faible de

a n , quand elle est surmontée cœur. R. à priv., ^cvvaw, en-de l'accent aigu, a. gendrer.

"A, nom. et ace. pi. neut. de o;, AvxtoTpov, ou (ro), hameçon. R. sÂ, o. à-peat, bras.

Aêapr'î, t';, g. io;-tis, ad}., qui "A-pcupa, a? (in), ancre. M. R. n'est pas pesant, léger. R. à 'A-pwpiov, eu (ro), petite ancre. priv., Bapo;, poids. R. ay/.upa.

"Aêtcç, GV, o. GU, ad}., qui n'a pas 'AvXaia, a;(r,), Aglaé. R. àvXac;, de quoi vivre, pauvre. R. à brillant. priv., Bio;, vie. Aposoi-w, f. rîcro), p. rYpir:/.?

A€po;, a, GV, ad}., mou, délicat, (gén. ou dai.), ne pas conn;-.i efféminé;—beau. tre, ignorer, méconnaître.

Aya-vr., att. pour à-pp, 5 e pers. R. à pn'y., •YVGW, •yvôju.i, vivr>-sing. subj. aor. 2 act. d'à-yo). axa), connaître.

A*Y«6Oç, r),c'v, ad/., bon, ver- "A-poicrcç, cv, g. ou, inconnu, tueux, courageux : Tô â-j-a.- méconnaissable. M. R. ôG'V fjrpâ'Yu.a), ce qui est bon, "Av co, / d'ây/ju. le bien, la vertu. "AYXW> P- ^T7.a» étrangler, suflb-

*A"Yau,s'u,vu)v, o. GVOç (d) (D. xti). quer. R. àvy.î, près. A"yava)GTSW-ô), f. rlow, p. riva- vAvto,/. âçw, p. rj^a, a//, xrrr.yx,

vâxrr.xa, s'indigner. R. àvav, aor. 2 rryov, «M. riva^cv, con-trop, beaucoup, àyô&y.ai, se duire, amener. fâcher. Âva>v, ûvc; (d), combat. R.àvw.

Ay^Tfaw-â», f. rata, p. rvâW<- Xvœvî£Gu.at, / . tacuat,/. 2 toj-xa, in/, àvaraetv-àv, aimer, p.at, p. pass. rrp»viau.at, com-êlre content de ou si. battre. R. à-pâv.

Moyen, à*ra^âcu.at-â)u.a(, 'Ao'eXœrî, r& (ri), sœur. R. àoNïX-m. s. «poç.

AyyôAft»,/. eXw, aor. i e r i r n s i - Ao>eX<po;, ou (d), frère. Xa, p. rrrYsXxa, annoncer. "AoV,;, eu (d), les enfers ; Plu ton :

Avtvvr;, =';, g4 eoç-ouç, ad}., êv àoVj (-rorto) ; s; âSou (TOV-V\

4. '

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2 AIP

dans les enfers. R . i priv., e'^fo, v o i r , où l 'on ne voit point .

AoV.cç, cv, g. eu, ad}., in juste . R . à priv., 8Ur,, jus t ice .

'A'VûvaTcç, r,, cv, ûf/j., incapable de ; faible ; — impossible. R . à p?ù ' . , àûvarcç, qui peu t .

*Aôw, p . àcî'îco, / . ao-œ, p . T>.7. , chanter.

Aïî, «de., toujours : è; àeî, pour toujours, à jamais.

"Ar/îwç, at/f., désagréablement, avec peine. R. àr(o\ri;, de à p?/y., r/5uç, agréable.

'A0y.v7.(7'!x, a; (r,), immortalité. R. 7. priv., ôâvx-c;, mort.

'Avâvs-.Tcç, cv, oé«. eu, ad/., im­mortel. M. R.

Avr.vâ, à; (r,), Minerve, protec­trice d'Athènes. R. AÔvm.

Arrivai, wv (ai), Athènes. Aur.vaïc;, eu (c), Athénien. 'A9Xr.Tr.:, eu (cj, athlète. R. à*6Xcç,

combat. "AôX'.cc, a, cv, ad/., malheureux.

M. R. AôXcv, eu (TC), prix du combat.

M. R. AuXc;, eu (ci), combat. Afbc'oç, a, ev,adj.,pressé5— fré­

quent, nombreux, en grand nombre.

AIT

etXev (de Cinus. fXw), / . 2 éXw, prendre, se saisir de ; — choi­sir, élire ; —enlever du milieu des hommes (lollere è medio), tuer, détruire

Moyen, atss'cu.xi,/'. r,<rcu.at, p . de form. pass. r)pr.u.ai, aor. 2 moy. eîXeu.r,v, prendre, choisir, préférer.

Aieot), / . àpâ>, p. rpx.a, aor. 1 e r

rsa, lever, élever, enlever. Moyen, m. s.

Aîaôâvcu.xt 'prim. aïoOscuai), f. TiO-eu.ai, p . de form. pass. r,<jfir,u.y.:, aor. 2 m o j . Vio6sp.rlv, sentir, comprendre; — s'a­percevoir d e , animadverlere.

Ato-6r-ca, 5 e p . sing. subj. aor. 2 d'atoCâvettai.

Xl<rj(ùu.x'., Ve p . s ina. subj. prés, du m.

I. A!<r/uvr,, r,; (ri), honte, déshon­neur. R. ata/cç, honte.

II . Aùr/jivri, 2e p. si/ia. d'aiayû-veu.at.

Aîo7;jvfc>, / . uvâ», faire honte, faire rougir.

Moyen, atV/ûvGu,7.i, f. ai-cnr,uveûu.xi, / . 1 e r pas*, aiaxuv-br,<j'.y.7.i, p. pas*. r3<rXurtH,ai» aor. 1 e r pas*. f4<ryjjvÔTiV, avoir honte, rougir de.

AîTC'W-û,/. rlaco, p. 7jTY,xflc, de­mander quelque chose à quel­qu'un , Tl TIV3C, OU TUTO-pà Tl-VOÇ.

Moyen, aÎ7sc(u%t-GÛ{j.at, f. r.Gcy.7.1, ao r . 1 e r TpTnaâar.v, m . s.

I . Aîvîa, aç 'r j) , c ause , mot i f ; — cr ime , accusation.

II. Airiâ, conlr. d'aî-iârj, 2 e p . sina. de

AtTieéetiai-ûaxt, y. â<jcu.at, ac-

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A.KO AAH 5

Cuser, reprocher, se plaindre Axouo,/ . cuo-w, aot. 1 e r TXVJO-X,

de, ri ou-zvii. R. atria. entendre, écouter5 — enten-Afrtcç, a, cv, adj^, qui est cause, dre dire.

auteur de. M. R. Moy., ày-vûcu.*-.,/. cûo-cu.x-., Amâ, conlr. d'atrtâcu, impér. p. a/f. ày.xxca. (pour T./.:7.) ,

pr. d*aÎTiâou.at. «or. 1e r r,/.vjaau.r,v, wi. s. Atrvx, xç (x), Etna, montagne "Axca/rc;, cv, g. eu, adj. , sans

volcanique de Sicile. mélange, pur. R. à prit»., /.=-Aî«m'o\o?, a, cv, adj . , imprévu, pâwuu.t, mêler.

soudain : rcpô; Tô aîsvtôicv Ây.piox';, s;, O. £c;-:Ù;, adj., (Trpâ-Ypva), à cet événement exact ; parfait. inattendu. R. af<pvx;, à Tim- Ay.p-.€à>;, adv., exactement, par-proviste; à prit»., oatvo, pa- faitement. R. ay.p-.ex;. raltre, àçxvx;, imprévu. 'Axpcâcu.xi, / . dacu.xi, p. peu».

Aicmc;, cv, o. eu, adj., éternel. xxpcau.ai, m. s. ou'ixcûto. R. cuûv, temps. 'Axpc7rcdVrî, adv. , en marchant

"Axavôa, <tc (x), épine. sur la pointe des pieds. R. AxxvOûdxc, es, o. ec;-cu;, adj., -où;, pied, o/.pc;.

épineux. R. ôxxvAa. "Axpeç, a, cv, ad/., haut, extrême ; Axapvdv, âvoç (0), Acarnanien , —grand CTapacîàxpci,la poin-

d\Acarnanie (en Grèce). le des pieds ; ôV.pci oiXcccçc, Axiorpa, a; (x), aiguille. R. de grands philosophes.

ôxecpxt, coudre. Axwxx, x; (x), pointe. R. sc/.x, AxXeûç, adv., sans gloire, bon- m. s.

teusement. R. à priv., x/.s'o?, "Axwv, cuca, cv, g. evrer, adj. y

gloire. forcé, comme inviius, maigre "AxXxpoc, cv, g. eu, adj., sans hé- lui, etc. R. à prit'., s/.oîv, vo-

rilage, pauvre. R. à pn'y., Ion taire. xXxpoç, sort, héritage. ÂXaÇcveta, a; (x), fanfaronnade,

AxoXcu6éoj-ô>, / . xffw, p. xxcXcû- jactance, ostentation, charla-ôxxa, suivre, accompagner. tanerie. R. âXa &iv.

AxcviTt, adv., sans poussière, AXaÇoiv, cv, g. ôvc;, adj., fa n fa-sans se couvrir de poussière ; ron, charlatan. —sans peine. R. à priv., xo'vtc, AJ\a7raé\ô;, x, cv, ad/ . , facile à poussière. piller, à briser, faible , déli-

AxovTtorxç, cû (0), celui qui lance cat. R. àXa-x^w, dépouiller. le javelot. R.àxcvTÎÇo, lancer *AX-pç, g. ec;-eu; (ro), douleur, le javelot. mal.

"Axoç, eoç-coç (Tô), remède. R. AX£qavàNpc;,cu,(c), Alexandre. R. «uceu, guérir. à/.si-w, pousser, xvxc, homme.

AxcnSocvre, 2 ep.p/ .aor. Ier impér. AXxOr.x, a;, (x), vérilé. R. àXx-flTdbccou. 6x;.

Axcûato;, ov,c. eu, adj., invo- AXx&x, ace. s/na. m. oup/. weu.. Ion taire, forcé. R. à prit;., de ixttv, volontaire. 'AXr.Qx';, h, g. EO;-Cù;, adj., vrai.

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4 AAT

R. à pril)., ÀrlOco, Xavôavw, ca­cher.

'AXY.9&>:, adv., véritablemcnt.R. àXr.Orl;.

AX'.rj;, su; (G), pécheur. R. aXç, mer.

AX'.y.asvaaGsu;, s'u;, a d / . , qui est d'Halicarnasse.

'A/.'.y.apvxGGG;, ou (r,), Halicar-nasse.

AXia/.u, f. àXuGU (du prim. âXow) , p. v.ujta, af r-. iâXuxa, ao?*. 1 e r

Y.XWGC, a t i . iâXuaa, aOï*. 2 r./.wv, a i t . sâXuv (rfl* prim. àXioat), in/". âXôr/o».'., p a r t . â).G'j;,prendre.—L'aor. 2 et le par f. ont le sens pass.

AXX' pour àXXâ. I. 'PôXZ,conj., mais,cepcndanî;

or : àXXà x.7.1, et même ; àXX' i-y.ryz'/.ô) T7/jTa,va, oui, je fe­rai cette commission.

I I . 'AXXa, 7fom et ace. p/. «eut. a a/./.GÇ.

!A)3.T.>.G'J;, ace. de

AXXviXuv, pc/i. p/. ; ad/, récipro­que sans nom. ; les uns les au­t res , mutuellement : TTCCG; àX-XY'XCJC, les uns contre les au­tres. R. Z'/Xc; répété.

'ÂXXcç, r,, c, adj . , autre : y.ai 7a aXXa, et le reste, et cœlera; ens.-ent. v.y-y., et du reste, et pour d'autres raisons ; — 77. ô" à).}.a, mais à propos.

"AXXu;, adv., autrement 3 d'ail­leurs. R. Z'/Xt;.

'AXo'vwç, adv., sans raison; — sans cause, sans motif. R. à p r i e , Xo-rcç;, raison.

"AXu—c;, CV, a. eu, adj . , qui n'a pas on qui ne cause pas de chagrin : 70 âXu-cv,égalité d'esprit,gaie­té. R. «.priv., X'JTTCI, chagrin.

AMT

"Aaa, adv., ensemble, avec ; en même temps ; dès, dès que.

'Aaaôrîç, sç, g. écç-cSç, adj.,igno­rant 3 grossier. R. àpriv., uav-8âvw, ttaOw, apprendre.

Aaaôîa, a; (Y.), ignorance. M. R. 'Aa907âvd>, / . àaaoTXGGaai (du

prim. àaapTsu), p. TjaâpTY.xa. aor. 2 Y,aas7Gv, se tromper, pécher.

Àaaprsîv, aor. 2 inf. du pr. Aasivcoç, p . àaeivGveG-oeç-ou;, on

àastvGvaç-&a;-G'jç, nom.ou ace. pi. d'àasivwv.

'Aasfvu, p . àu.sivcva-oa-u, ace. s/'j7a. 07/ nom. et acc.pl. neut. de

'Aasîvuv, cv, g. eveç , compar. vr-rég. d'àp.ÔGç, meilleur : âast-v:'y ;SCT7'.), il vaut mieux.

'Ao.cXsw,/. YGU, p . YjasXY.îta, né-gl iger 3 — ne pas se mettre en peine3être négligent.R.à pr. , as'Xst, on a soin.

AasXriç, se, o. se;, adj., négli­gent. M. R.

Ay.sXy.Gcv, aor. 1 e r impér. d'iyjc-~j.i(ù.

Ay.svY.vc';, Y!, G'V, adj., faible 5 léger, fugitif. R. «priv.,y.i-ver, cœur.

'Aa'.XXâcaai-waai, /*. r'ccaa»., lut-ter contre, rivaliser. R. âuiX-Xa, combat.

vAy.y.wv, wvo; (G), Ammon. Aauûvia, uv (7a), fêtes en l'hon-

neur de Jupiter Ammon. "Auopoc;, cv, g. eu, adj., infor­

me, difforme, sans beauté. R . à priv., aopori, forme.

AaucYpo;, a, G'V, adj., obscur, im-perceptible3 faible.—AauSpov, pris adv., obscurément : àau-5'GGV fiXsTrs'.v, voir à peine, être presque aveugle.

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AiNA ANA fc

AfwvatvTc, 5 e p. pi. aor. 1 e r opt. forcer. R. àvây/./i, nécessité. moy. d'àuûvu. Ava-pcaîoc, a, ov, adj. , nècessni-

'Afiûvra;, eu (o), Amyntas. rc, inévitable, indispensable. Auûvw, j*. ovù, aor. Ie r r,u.ova, M. R.

repousser, venger ; défendre, Avâ-vu, conduire ;—élever ; en-porter du secours. lever. R. àvâ, à^w.

Moy., ày.ûvoaai,/. uvoûuxt, Avao*io\i>u.t, f. àvaoNowo, aor. 2 aor. 1 e r r,uuvâariv, m. 5 . — àvs'owv, rendre;—répandre; En outre, se venger, se ven- — donner, jeter. R. àvâ, £•-ger de quelqu'un, -rtvâ. oWi, donner.

Au.cpt, »rép. a 5 cas; — avec le Avââo;, aor. 2 impêr. du pr. gên., autour, à cause, lou- Avasîçoj, lever en h a u t ; — e n -chant;— avec l'ace, autour, lever. R. àvâ, àsîcto, m. s. sur, environ ;—avec le dut., 'Avaiuorrî, adv., sans effusion de pour, à causede,quant à, au- sang. R. ipriv., v euph., al-lour. u.x, sang.

Apçt'SoXo;, ov, g. ou, adj., dou- Avxîvcaov., / . eçcuai, iwip. àvr.-leux, équivoque, incertain : vo'pr.v, refuser. R. àvâ, an-èv àpcptêo'Xo) elvat, être dou- cienne négation, a».vcy.a-., ter-teux. R. àu/pt, $âXX<i>, jeter. minaison de verbe, comme

*AaooT£po;, a, ov, adj., l'un et negare de nec. l'autre, tous deux. R. âuepto, Avztpsu, enlever, lever;—prcn-èrepo;, autre. . ' dre, emporter ; — détruire,

"Aucpu, g, ovv, adj., deux, les tuer. R. àvâ, aips'o. deux, tous les deux. Moy., m. s.

"Av, conj.—En tête d'unephrase, AvaiayuvTÎa, a; (ai), impudence, avec le mbj., sign. si : âv tk- de ôij;, si vous venez.— Dans le AVXî<T/UVTOç,OV, g. ou, adj., impu-corps de la plurase, avec l'im- dent. R. à prii»., v euph., y.:.-parf. de l'ind., le prés, ou les G/UVY), honte. aor. de fopt., l'inf. et le part., AvxxaXsw, appeler à haute voix, elle équivaut ànolrecondition- nommer. R. àvâ, xxXsu, nel : fXôoi; âv, ei, vous vien- 3 /oy. , àvaxxXsou.ai-o-ju.7.tt

driez, si. / . (GOUM, m. s. Avâ, prép. qui régit l'ace, par. Avajorpjoow, att. ûrro, / . û;r•>,

— Eu composition, elle mar- p. àvoxsy.r.pu/a, aor. 1er pas*. quemouvementdebasenliaut: àvsy.r.oûyCixv, proclamer. R. àvaCaîvêiv, monter ; ou réci- àvâ, CTIOûO-GU, publier.

Srocilé: àvatXauoâvciv, repren- Axaxoîvo),/. ivû, p. àvx/o/x.p'./.a,

re. s'informer, interroger, de-Avaêto'u-û, revivre. R. àvâ, mander. R. àvâ, xp-vw, juger,

Pio'u. examiner. Xva^a-pv, cùax, ov, aor. 2 pan. AvotXaaSâvu, reprendre, recou-

d'àvâ^u. vrer ; — prendre , enlever. Ava-pcâÇco, / . âau, p. xjvâYxxxx, R, àvâ, Xauoâvw, prendre.

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6 ANA ANE

Avaai-yvuy.i,/. àvauîe> (du prim. tout plein. R. àvà , ffXic*ç, àvau.i'Yfii), mêler. R. àvd, u.î- plein. •yvuyv., m. s. Avao-Trdœ-ôj, tirer en haut, r e -

Xvsutu.vr.axfo, àvxuvàa, / yîow, tirer ; —lever l'ancre. R. àvà, p . àvay.sy.vr./.a, aor. 1 e r àv£- airat», tirer. y-vr.o-a, faire ressouvenir : àva- 'Avàû-aa, / . àe>>, régner sur, g. uvrio-u os, je te citerai des ou d. R. âvaÇ, roi. exemples. R. àva', y.vàto, faire Xvào-Tarcç, cv, a. eu, a d j . , non souvenir. stable; — détruit : àvàaraTcv

Moy., àvaa'.u.vr'(7xc4u.at,àva- Trei^cai, renverser, détruire. p.vàcu,ai,/. r,ocy.xi,p. de form. R. àvà, néo., oràw, ior r iu , pass. àvau£u,vr<u,at, aor. l € r placer. zd. àv£y.vrl<79r,v, se ressouve- Xvareîva,/. evâ, aor. l*r avéra-nir de, auec l'ace. va, p . àva-éraxa, élever, éten-

Xvau.vàw, f. àvauiuvraxo. dre : àvarsîvetv iauro'v, avoir 'Avaavriaw, r,;, r,, aor. 1 e r s id j . un air hautain. R. àvà, reivw,

du pr. tendre. 'AvavTWYeSvtG-Tc;, cv, a. eu, adj., XvaTpsTïoj, p . pass., àvaTérpau.-

sans antagoniste, sans concur- p-ai, renverser. R. àvà, TDéTTW,

rent. R. à pn'y., v. euph., tourner. àvra^'oivieràç, antagoniste. 'Avacpaîvw , montrer , découvrir.

XvàEicç, cv, g. eu, adj., indigne. R. àvà, ©aîvw^wi. s. R. à pria., v euph., àE/.cç, d i - - A/oo., àva<patvcu,ai, p, àva-gne. TTsV/iva, aor. 2 pass. àvecpà-

'Ava-£t8(d, / . £io-w, aor. 1 e r àv£- vr,v, paraître. ratera, persuader. R. àvà, TCEI— "Avo'pa, acc.f, d'àvàp. Ou, m. s. 'Avo*pà7ro£cv, eu (rd), esclave. R .

Xvara'y.rao,/.éu.$<ù, aor. 1 e r àve- àvrip, homme, raùe, pied, m. ray.ya, jeter en haut ; — ren- à. m. homme enchaîné par les voyer. R. àvà, ray.-a, e n - pieds. voyer. Xv3parac)woY)ç, eç, a. ecç-ouç,

Xva-£y.y£'.a, aç, £, aor. 1 e r opt. adj., qui a Pâme servile, vile. éol. dupr. R. àvSpdracJOv.

Avararrraiiévcç, YJ , cv, part. p . Xv^pàai, dat. p/ . d'àviip. pass. de 'AVCJCûCç, a, cv, adj., viril, ma-

XvaraTàvvutu, àvarerà», / . àaw, le ; — robuste, — courageux. aor. 1 e r àvera'-ao-a, ouvrir, R. àvrip. déployer. R. àvà, ra7àvvuy.t, Xvo'pîaç, a. avroç (ô), statue. wi. s. M. R.

Passif, àvaraTàvvuuat, être Xvo'paoïiç, a. écç-cûç, ad j . , viril, déployé, ouvert, ^dat. part. p. qui a un grand cœur. M. R . àvarararaffuévcç. 'Av£3caX£Î-o, 3 e p . s. IMO}. moy,

Xvaraç-/;va, aç, s, p . mow. d 'à - d'àvaxaXéto. vaoaîv&j. Xv£x.àpu^a, aç, e, aor. ler<fàva-

'Avàrâsœç, u ; n. pi. a , adj. ait., xr;pûor<7<t>.

ï

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ANE

jxvicptyov, eç, e, imp. d'dvaxpîvw. Xvctâudx, al/, pour dvrîXu8a, p.

met/. d'àve'pxofAat. AvaXSvt'v, aor. 2 iw/. , id. Xv&M, YJç, ri, aor. 2 s « 6 j . , id. Av&Ofov, oûaa, ov, aor. 2 part., id. Xy&Xttaai, v», virât, aor. 2 «M/»,/.

moy. d'àvaipe'ti). 'AvêpiffYiTo;, ov, 9. ou, ad/. , i n ­

nocent, irréprochable. R. à pria., vEaeadw, s'indigner.

AvepuÇa, aor. 1 e r d*dvauÎYvoai. 'Avép.vTioây,v, v.- dvau,iu.vYiaxw. 'Avcttoç, ou (6), vent. Avs|ou,at, v. àvs'y/a. AVS'YCEIO-X, 0. âvairEÎflw. XvÊTrvjer,;, e'ç, 9. EéOç-EOùç, adj.,

qui n'a pas besoin de. R. à prit»., v euph., èTr'.oYiiiç , qui a besoin (èicî, sur, cVê'oaat, j'ai besoin).

'Avsp, i»oc. 5. d'àvvip. AvipacToç, ov, 9. ou, adj., peu

aimable, odieux. R. à priv., v euph., Épxo-To;, aimable.

Xvspxouai, remonter, revenirsur la terre ; — survenir : dvs'p v„s-cOat ô5ov, refaire la route, re­venir sur ses pas. R. «xvd, ïz-XOUXL'., venir.

Avso-nrao'o, doêa), p . imp. pass. d'âvaaftdcD.

'AvcTpotTTflv, YJç, ri.... r.aav, aor. 2 pass. d'àvarpsiro).

Avî'jroj, f. é|w, aor. 2 àvîo-/ov, élever, soutenir ; — retenir. R. dvd, è*x/i), avoir.

Moy. , dvExouai, / . s'gouat, aor. 2 dvê07,0a/)v, lever, sou­tenir ; — endurer, supporter 5 ace. ou gèn.

Aved/toç, où (ô), cousin. AvEW-yw;, uïa, 0';, p. par/, mow.

d'dv:t")f<!) ; — àvcw-j'ora, ace. s. ??iasc., nom. et ace. pi. n.

AJSI 7

Arr,cd(o-â>, f. xow. redevenu jeune, rajeunir. R. %•>%, i.ér. jeunesse.

Xv7i6r,adp.Y,v,fr>,xT0,aor. 1e r mou., «/"9W. act. d'dvY.ëdoi.

'Avrlp, 9. dvd'po;, homme 5 mari ; c'est /e vir des Latins.

Av6', p. dvrt, dey. une voyelle as­pirée.

'Avdsî, con/r. d'dvOs'st, 3 e p. s. prés, de

'Avôê'w-w,/. YîGûJ , être en fleur, fleurir. R. dvfloç, fleur.

"AVôY,, conlr. aTavOea, n. ou ace. p/. d'dvôoç.

'AvôîoTY.at, opposer une chose à une autre 5 — résister. R. dvrt, to-TY.at.

Moy., àvôîaraax'., / . T.OC-aai, m. s.

lAvôo;, eo; (TO"), fleur. 'Avôcoru.îar, ou, adj., odoriférant,

parfumé. R. dvôoç, ô£û>, sen­tir.

'AvepwTTsîu;, adv., humainement. R. àvôpoiiTor.

'AOpto—txwç, ady., m. s. AvOptômvo;, 7), o v , a d j . , qui

regarde l'homme, humain. M. R.

"AvOpœTcoç, ou (ô), homme. 'Avià, p. dv.dsi, 5 e p. s. pr. iwd.

de Avidw-ô, / . daco, aor. 1 e r pass.

vr/tdôviv, attrister, chagriner, désoler. R. dvîa, chagrin.

Moy., dvidcaai-tôaxt, s'at­trister.

'Av'OTYiai, faire lever. —L'aor. 1 et le p. ont le sens du moy. R , / « . avx, laTY.a:.

Moy., dviOTxaai, f. àvtoTr'-ooaai, se lever, se relever.

XvioiaEvo;, Y), cv, part. moy. d'a­viso.

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8 AIS'T

'Awioaç, eu (£),Annibal. "Avc.a, a; (Y,), folie, SOltisc. R.

àpriv., VOCî, esprit. 'Avoîyw, /". ct^w, aor. 1 e r àvEwi-x

OU r.voiçx, p . àvé'wya, aor . 2 rvo-.-ycv, ouvrir. R. àvâ, cfyto, m.s.

Pâss. etmoy., àvu-yc-aat, p . àv£w«yp.at, aor . 1er àv£o>-7.6/.V, aor . 2 àv£b>y/-lv,p.moy. àvsto"yx,ctre ouvert,s*entr'ou-vrir.

AveV/iTcç, cv, a. eu, ad/ . , inutile. R. à priv., v euph.t GVY.UI, être utile.

'XvcuSi;, icV&ç, ace. iv (c), Anu-bis.

\VT' , de», une voy. pour àvTt.

'AVT£^£TX^O, f. eécw, faire des in­formations contre quelqu'un. R. àvTt, contre, il, d'après, £7o£co, examiner.

Moy., àvre^eTa^cttat, aor . l"r pa$S. àvTe^/iràcôr.v, se porter partie contre, s'oppo­ser à.

AvTi eTxcfisîç, ETGX, év, aor. 1 e r

part. pass. du pr. 'AvTcTreir.ôr.v, v,ç, vj, aor. le rpa$S.

d'àvTtTTClc'cO.

'Av7£5£ÏcV6), /â EîGM, résister. R. àv7Î, £pîîàx(o, appuyer.

%k-i-'.,prèp. à un seul cas legen.: pour, au lieu de; à l'égard de; à cause : àvO' Ivo?, pour un ; à/7' éV.c'v&u, à sa place.

A v7:&xîvtur marcher en sens con­traire ; — lutter contre, ré­sister. R.làv7Î, Jjaîvw.

V. /7Ï0cG'.;, £W?H^}, antithèse, op­position , tenne de rhéto­rique.TH.. àv7Î, 7Î6r,o.'., placer.

AVYîXO/Gç, eu (ô), Antiloque. AV7IT:CI{W, f. vicco, p . Y.îCX, faire à

AÏTA

son tour, rendre la pareille], R. àv7t, T.dito, faire.

Moy., àv7t7rciscp.xi, f.r,ai-u.xi, aor . 1 e r de /"orni. pass. àv7£77otY>/iv,revendiquer,s'ar-roger; tâcher d'obtenir.

AvTtoÔî'vr,;, ECç-OU; (i) , aCC. Vf, Anlislhène.

'AvrXs'co, f. r.Gco,p. TjV7XviJea, vider la senline. R. av-Xcç, sen-tine.

wAv6), adv., en haut, d'en haut; —jadis : 7a àva>, les choses d'en haut; ot à'vw, ceux d'en haut, les vivants.

'Avwcp£X/,ç, Éç, g. éssyadj.t inu­tile. R. à priv., v euph.,*aoÉ-XE«, servir.

'Al;tv75, r,ç (ri), hache. R. oep», /^ a.l<ù, briser.

'A^iou-a/o;, cv, o. ou, ad/ . , digne de combattre oit d'être com­battu. R. p.âyri, combat, et

"Ac!toç, a, cv, ad/, digne de. 'Al'.6(à-<a9f. âo<a, aor . 1 e r xÇîto-

GX, p . r&Wx, juger digne, ju­ger à propos ; — croire juste, ne pas refuser;— estimer, penser. R. àçto;.

Ar/'<ou,a, a7o? (70), dignité, titre. M! R.

ÂÀy.wv, contr. d'àÇtouv, pa r i . aqtob).

'Ar/co;, ado. , dignement, d'une manière digne de. M. R.

ATrâ-ya-p, ait. p. â-a-yE, aor. 2 tmp. d'àirârw.

Aîra'ya'yûiv, GùGX, CV, ait. p . àTrx-•yoiv, aor. 2 par t , du ra.

'A-a-rysÀXw, f. ùM, aor. Ier

àr;Y.^~s'EiXa,p.àrjr.yr^jca, an­noncer, rapporter. R. àyyÉX-/.«, m. s., y-o, de.

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AIIE Ano 9

'Awayw, emmener, mener; — Airs'veYxov, â:w, aor. 1" imp. ramener. R. àoro, de, à/yw. act. d'àr;oç>spG>.

Aira&suTo;, ov, a. ou, ad;., sans ArE7r«YY;v, Y;, Y , aor. 2 pass. iostruclion, ignorant, ai*, le d'i-c-r.^u. gin. R. à prii\, Traujeûw (irai?, A-ETTG) (inus.), aor. 1er à-Evrr*, enfant), instruire. aor. 2 à-EÏTrov, refuser. R.

Aicoi'.Ts'oj-Gj, / . r,otù, p. Tprr.xa, àiro, néo., ETTû), dire. réclamer, exiger. R. à^d, de, d/ou., à-f-ouai (iims.), aiVè'b), demander. aor. 1er à-ei-âu.r.v, m. 5.

'Awavôsto , ' / . Y.ato, se défleurir, *A77£oavTo?.oy'a,a; (Y.), loquacité, perdre sa fleur. R. àird, de, bavardage. R. Xd-Yoç, parole, à âvOc'co, fleurir. priv.,-r.izv.:,fin,-spatvoj, finir.

ÀiraXàç,r», dv, ad;., délicat, mou, ÀTTspyxSouat, achever ; — fairc ; faible. — rendre. R. à-d, de, S'OYO --

Àxav8paxd6>-Û>,/'. OSOOJ, aor. 1 e r a ai. à7mvôpot/.wo-a, réduire en char- A77S3"yx<iac8at, aor. 1er f/z/î/r. bon. R. àird, de, àvôpaç, char- du pr. bon. A7T£ppiu.u.ai, uj*ai, iirrai, p. pass.

"Aicavra, ace. s. m. oa nom. et d*à-ocpÎ777G). ace., pi. neut. d*àTrae. A-Epptœôwv, 5e p. due/, pa?/.

'ATravTav/i'ÔEv, de tous côtés, de impér. pass. du m. toutes parts. R. à-rcavra/pù, AT.so7cXY.xEva'., par/, inf. d'xTzi-partout, 8EV, ind. le lieu d'où axXYjM. Convient. A—so-ydaY.v, ou, ETO, V. à~s'y/ta.

"Axaç, âVraffa, àVrav, g. avroç, Ar:s'yoY<is,v. à—dyoY. ctor.ç, avroç, adj., tout ensem- A-s'y/w, s'abstenir. R. à-d, de, ble, tout entier. R. à augrn., ïyj&. irâç, tout. Ifou., àîTsypaa'., / . àçs'c):-

Airâariç, i». /e pr. aai, aor. 2 i.~t(r/iu:r:), m. s. "AiTaoi, da/. p/. du pr. ATr/jvôpàxGXja, aç, s, v. à-avôpa-Aîrs'ôavov, E;, E, aor. 2 d*àr;o6vé- xdw.

oxo. "A-iôt, impér. d'àTrs'.u.t. "AOTEIIAI, prés, et fut., à—icv, imp., "A—IUEV, l r e p. p/. prés. ind. du m.

àrnila, temps passé : s'en aller, A-io-rîa, a; (Y,), défiance ; — per-aller. R. àTrd, de, SUAI, aller. fidie. R. à priv., TCîGTI; , con-

A.Y£ir;àu.Y,v, ta, aro ; 2 e p. pi. fiance. 0.78s, v. àiziTztù. "AirtoToç, ov, g. ou, adj., incré-

"Awsipoç, ov, g. ou, adj., inexpé- dule ; — suspect, incroyable, rimenté, ignorant. R. àpriv., perfide. M. R. iTEÎpa, essai. "ATTITS, 2e p. pi. d'oraO*..

ATCS'XXEIOV, Eç, E, imp. d*àT:GxXsî(i>. A-nîo), Y.;, Y,, WIASV, aor. 2 su/y*. ATrexpouo'àu.YiV, cw, oaTo, aor. 1er d'à-£iu.t.

moy. d'àr;oxpoû(i). ATCXGOç-Gùç, àTïXoVrî, àrrXdcv-oùv, Airs'xTsiva, aç, E, aor. 1er afà- simple, toujours le même.

«OXTEÎVU. Arcd, prép. à un seul cas, le gèn. : '6 D U L . DES MORTS.

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i o A n o ÀÏIO

de, par, delà part de. — En Àircduaâjj.evo;, r,, cv, aor. let

comp., point de départ, éloi- part. moy. du m. gnement ;—privat ion, néga- ÂTroduacv, 2e p . s. aor. 1 e r

tion. impér. ad. de A-oêaôpa, a; (r,), échelle de vais- ATrcdûa, àTvo'duu.'.,/. ûo-a, ao?-.

seau, pour descendre, de 1 e r à-£du<ra , dépouiller, se A-oëaiva, descendre. R. à-o, dépouiller de. R. &~6, nég.,

patvœ. dôœ, revêtir. ATTcoa/.Xco , je ter , r e j e t e r ;— Moy., àrcGd'joax'., / . ûcro-

laisser tomber. R.à-o,SàXXa. p.ai, m. s. A-:OXAWV,OO<77., ov, aor. 2 par/. A77cdâ, âç, ai, aor. 2 su/y. d'à-

dupr. 77Gdîdau,i. A-oëac'.:, eaç (r,), descente, sur- AToodâo-a,/. ind. du m.

tie. R. à?7ooaiva. A-côavcïv, aor. 2 inf. d'«7ro6vr,-A-oo£b/.r,/.â;,uîa,oç,ace. s. masc. a/.a.

6-7., p. part. d'à-oêâ/.Â<i). ATTGôOCVCIU.»., ctç, c , opl.,id. "ATTOSàC'TTCO,/. £yo), p. à77Cb£b>.£- ArroSàva, rç, 7, su/y'., fd.

ça , regarder de loin ; — dé - A77o6xvâv, oùca, ov, 0. G'VTGç, ex­tourner les regards vers ou ar,:, C'VTGç, aor. 2par/ . , j 'd . sur. R. àiTo, [J>.£77W, voir. A77C6E'U,SVGç, r,, ov, aor. 2 par/.

À77oo£'}ov, aor. 1erimpér. du pr. moy. d'à-s-ibr.y.:. A-cêâo-t,, 5 e p. p/. aor. 2 sidy". 'AOTOGéGOW, 3 e p . d'àTro'Oou.

d'à.TTobaivw. A—o6vxcr/.6), mourir, se mourir ; Â-o-Aï'.a, (ov (TOC), amarre, cor- — périr. R. à-o, Ovr>/.(o.

daoe pour attacher le vaisseau ATTOôCJ, p . à77oÔEo-o, aor. 2 impér. à la terre : Xvk'.và-oTï'.a, dé- J?îOU. d'à-orîôr.a1.. marrer. R. 2770, y?,, terre. ATro/.îipa, / . toZ>, aor. 1 e r àrzi-

ATTCdY.Xcàa,- y^ àerco, aor. 1 e r y.Etpa, tondre. R. àrro, /.£ipw, â—sdeiXiacTX, p . à77Gd£d£iXîaxx, 7/7. s. craindre. R. 2770, oV.Xiàco , A77o/.£pdaïva, / . avâ, aor. 1 e r

777. s. àrra/.Epdava, retirer du profit A-o^Éy/.aat,/. d£qo|j.ac, recevoir, de, gagner. R. à-o, -/.Ecdac-

accueillir; adopter. va, 777. s. Arrooc'/cu, impér. dupr. A-rrox^odàvai, aor. Ier inf. du pr. A-cdïco, s'en falloir d e ; — ê t r e \-r/J.v.iù, f. eio-w, aor. 1 e r à77É-

éloigné d e ; — être inférieur YJ.V.OI., p. T.T.V/àYJ.V:/.%, exclu-à. R. àno, dâ , il faut. re ; — fermer; — enfermer.

AToàcdwL/.i,rendre,payer;—at- R. à77o, de, y.Xî-'a, fermer. tribuer. R. £770, dioau.».. A77G/.vaia,/. aîca, tourmenter.

A-o'oc:, o'ra, aor. 2 impér. dupr. R. 2770, x.vàa, racler. A-odXxvat, aor. 2 inf. du m. A770/Co'777a,/. o'oa, p . à—cx.É/.oox, A77o'd?aG'.o, £aç (r,), fuite, éva- aor. 2pass. àTTEy.oVrr.v, retran-

sion. R. à77o, dpa'a, fuir. cher, couper. R. àrro', X.O-TW,

A-oo'à'jO'., 2 e p. s. aor. 2 wrpér. couper. '/'àrreb-jw. A-cx.oya, EIC, £'.,/. du pr.

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ÀÏ10

À-cxpîvaaflat, aor, 1 e r inf. may. de

'Aitoxoîvtuaî,/. cûuat, «or. 1 e r

à*Bxpivdu.Y,v, «or. 1 e r deform. pose. àiîixoîHv, répondre. R. a-KÔ, xpivto, juger.

Arcxpcûto,/. oOato, repousser. R . àico, de, xccûto, frapper.

Mot/. t àrocpcûcjxxt, y. cû-acuat, m. 5.

'AïrcxTeivco, tuer. R. àïTO, XTEï-

w . AoroXaûtD, f. aûato, aor. 1 e r àorE-

Xauoa, p. àiroXE'Xauxa, jouir ; — retirer du bien ou du mal de : o rt aircXaûe*.; COùTCû, quel fruit lu en retires ; TOô-O -YE

àircXs'Xauxa, rvi; accota? aurcD, le fruit que j 'ai retiré de sa philosophie. R. àrzi, Xaûto, jouir. >

ACTOXEITTG),' f. eîtjxO, p. CCTTcXs'XEt-epa, aor. 2 à-s'XtTfov, abandon­ner , laisser. R. à-o, XEîTTCO,

m. s. A—cAs'Xa'jxa, v. àircXaûco. A-cXwreîv, aor. 2 ni/", d'àrrc-

XEÎTTCû.

A—GXIîJOVTS;, n. p/ . JNOSC. de

AITOXIïïOÔV, cûca, cv, aor. 2 parf. du m.

A7roXXuu.t, perdre, détruire. R. cforo, OXXUJAI, m. s.

Mot/., à77oXX'jy.at,/.lcr à-o-Xsacu.a.t,/'. 2 à—cXcùt/.?.1., aor. 2 à—coXc'p.r,v, p . àoroXtoXa, périr, dire perdu.

A7roXXwv, wvcç, i». cv (c), Apol­lon.

A-o'XcoXa, a?, E, r . à-o'XX'ju.t. ATop.a8r,c7i, 2 e p . aor. 1 e r nîoy.

de Attcaxv9âvû>, désapprendre, ou­

blier. R . à-o', uég.y jjtavOàvco, apprendre.

A n o i l

A7TGU.S7f £<•>,/. T.OM, ttor. 1 e r %T.l-u.É7pr.aa, mesurer. R. àro, txs-TOE'tO, m. 5.

A-cp.E7pTÎaat, aor. I e r inf. du

A-CTCXE'W, mettre à la voile, par-l ir .R. ài?o, TTXE'û), naviguer.

AïTCTTVE'CO,/". EÛato, aor. 1 e r àr;;-rr^Euaa, p . à cTCETrvEUica, exha­ler, gén. ou ace. R. à-o. 7TVECL», souffler.

A77G— vt-j'co, f. t^côaat, aor. 2 à—E'7T«*J'CV,p. à—c—s'—vt- x, suf­foquer, étouffer. R . à-o, -vi-•YW, m. s.

A-cpia, a; (r,), embarras ; — manque, besoin, indigence, de

"ÂTTcpc?, cv, a. CJ, ad/.., imprati­c a b l e ; — difficile, embarras­s a n t ; — pauvre. R. à prb:., wc'ccç, passage.

'Aîrcppi—7<o, E'W, jeter. R. à-- , p(—7(0.

'A-o'pôtôcv, 2 e p . s. ao?-. 1 e r

impér. du pr.

A—caîicua'., / . etacaot:, écarter. R. à-c', cctto, agiter.

A-caEata<.>p.s8x, l r c p . pJ. d'x-7roaEaiu.tou.50t, toaat, cor y.:, p. pass. de

A—catu.o'to-â), y . tôato, rendre ea-mard : à—caEaiu.wu.EOx 70:0 piva?, nous avons le nez ca-mard. R. K-O', atu.or, camard.

A"c'axXr.ui, f. riaw, p . à—EG:'./.T.-

xz, aor. 2 àTos'axXr.v, se dessé­cher, dépérir. R. àrro, ax/.ru.:, wi. s.

'A-ca/.o-Eto,/. zato, regarder de loin, observer, épier. R. à-o, axe-j'o, regarder.

A-oora'?, àaoo, àv, aor. 2 part, zootarr/zt.

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12 API 'Aîrc<TT»<TcpLat,Tj, STOU,/. 1 e r moy.

du m. ATï&coâsG»,/. â^w, aor. 1 e r àrs-

aoa£a, aor. 2 à,n;e<x<pa*j'Gv, égorger. R. âïro', a«pât*o&, wi. s.

A-n-G<jcpâ£a;, aaa, av, aor. 1 e r

par*, dupr. ÂTTG-iôrp.'., déposer, mettre bas.

R. àïTO, Ttô»U.t. Moy., m. s.

ATTccps'pfc), emporter. R. OLTZô,

ospa), porter. Moy. y m. s.

Airojrp», aor. 1 e r oV7rs'vp»<7£, il suffit. R. àrco, néa. , ^p», il faut, c.-à-d. il ne faut plus, il suffit.

'A- pa*yp!.av£OT£pcç, moins embar­rassant, comp. de

'ATTpâ-yp.tov, ov, g. GVGç, adj., qui ne cause aucun embarras. R. à priv.y irpâ-raa, affaire.

'ATTov.E'.a, a; (»), perte. R. à^oV Àuut.

Apa, àpa^£, interr.y est-ce que? Âpâp,£voç, », ov, aor. 1 e r parf.

moy. afatpo). 'AsaÇ»ç, ou (ô), Araxe, fleuve

d'Asie. Apo»Xa, wv (TOC), Arbèles. Ap-p'ç, », ov, adj., oisif, pares­

seux. R. àpr.t £ppv, ouvrage. Apppiov, ou (TO), argent; —

pièce d'argent, monnaie. Apéroo), / . àpÉffo), aor. 1 e r »pE-

ca, p. »p£/.a, plaire à quel­qu'un, se le rendre ami.

Moy.y àpÉoxou.at, / . àpÉcc-ttat, aor. 1 e r »p£aâu.»v, m. s . ; d« p/as, être satisfait, se con­tenter de.

AptoTEaç, ou (o), Arislée. Apioreûto, / . EÛaoi, p. »pÎTT£UXa,

se distinguer, exceller. R. ctpicTGç, très-bon.

A2E

ApîaT'.mro;, ou (6), Aristippe. "ApioToç, », ov, superl. d'àyaBoç,

très-bon, le meilleur, excel­lent ;— très-brave 5—homme de bien : et aptorot, les pre­miers d'un Etat. R. "Ap»ç, Mars.

ApicrroTÉX»ç, EOç-OUç (ô),Aristotc. 'Apxâc, dSoç (ô), Arcadien. 'ApaÉvicç, eu (6), Arménien. 'Apcocx»ç, ou (G), Arsace. 'ApTEu.toîa, a; (»), Arlémise. vAprt, adv., à l'instant ; — tout

récemment, naguères ; àpTi uiv... apn 0% tantôt... tan­tôt.

'Aprtco;, adv., tout récemment, tout à l'heure. R. ap-n. •— Parfaitement. R. âpvioç, par­fait.

"ApTGC, ou (0), pain. 'Apuo-ocfjLsvoç, », ov, aor. 1 e r part,

moy., et 'Apuo-wplat,», »T<zt, aor, lersubj.

moy. de 'Apûcù, / . ûCTOJ, p. »puxa, puiser,

prendre de l'eau. Moij., àpûop tt, / . ûaouat,

m. s. Apvaîos, ata, aîov, adj.y ancien,

de " Ap-/ii, ?is (•%), commencement,

principe ; — commandement, domination, autorité, empire.

"kçyjùyf. âp£w, aor. 1 e r »p£a, p. »pxa, commencer ; — com­mander, dominer. R. àoyr,.

Moy.y àpxGp.ai,/. apE/vua»., aor. ler»p£âa»v, commencer, se mettre à , gin.

"Aasuvoç, ov, g. ou, adj., qui n'inspire pas le respect : où/, âamvo;: T»V ctyiv, d'une phy­sionomie assez noble. R. à prit»., aEu.vo'ç, vénérable.

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ATP A<DE 13 "Acnu-o;, ov, g. ou, adj., sans dis- ble, constant. R. à prit;., Tpe-

tinctioa ;—obscur, inconnu. TU, tourner. R. à pri»., ovju>a, marque. Au, aùôi, auôtv, auôiç, adv., de

AoÔsvrk, Éç, g. éoç-oùç, adj., fai- nouveau, encore. We. R. & pria., <rÔs'voç, force. AùÇâvca, imp. r.ùÇavov, et

"Aojàvoç,/,, ov, adj., joyeux, COD- Aùt>, / . tiau, aor. 1er r.Sjjr.cx, lent. R. ri8cu.au, se réjouir, p. p.r.ûe/r.xa, augmenter;— croî-pass. rop.at, part. rîau.évo;. tre.

'Aaoûptoç, ou (6), Assyrien. /,aw.,au^cu.ai,/. aùÇr.ôr.ao-•AoraToç, ov, g. ou, adj., qui est !*». a o r ' *" r'ù^6rv» »• ^

sans stabilité, inconstant, in- r*». ê l r e ««gmenté, croître. certain. R. <x prit;., rarrev., Aupiov, ad»., demain. établir. * Aùrdcxeia, aç(r), contentement

AOTSîOç, a, ov, adj., citadin ; — de son sort ; — modération , civil, agréable; — fin, plai- tempérance. R.âaxéu,suffire, sant : à<rreta,des chosesplai- aùroç, lui-même, c.-à-d., santés. R. âoru, ville, finesse. état d'un homme qui se suf-

"AffTpov, ou (TO), astre. fit à lui-même. » / ï A " f I' r

Aoùve-roç, ov, g. ou, adj., impru- J- Aui7i,/em. a ouroç. dent. R. à pria., ffuvtrlU.i, com- M ; Aùrri,/ém. d'aùroç. prendre. Aùrîxa, adv., aussitôt, sur-Ie-

•AoçaXeff-èpov, cojwp. d'àff aXr;? ; champ. R. aùroç, comme il-—adv., plus en sûreté, plus licô de ille. sûrement. Aùroç, vi, o, prow. et adj., il, lui-

'Aa<paXrîç, eç, g. eoç-oùç, adj., même, elle, elle-même, le, sûr. R. à priv.,o ©âXXu, ren- la ; — même ;— avec Cari., verser. ' Ie même, la même.

Àra'o, conj., mais; — au reste. !• Aùroû, ad»., là. R. aùroç, "Are voç, ov, a. ou, adj., sans en- „ c o™m e Mc

t de i l I e-

fants. R. à pri»., réxvov, en- n ; Aurou, p. eaurcu. fant. Aùy#Éw,/. no-w, p. nvyr.y.z, se van

'ArEyvûç, ad»., réellement, sans ter. do'ute. R. àpn»., re'xvvi, art, 'A?' P- *"' (*™). devani une artifice. voye/le aspirée.

'Artawç, ad»., honteusement, 'Aoawéu, ôter, enlever, arra-ignominieusement. R. àprio., Çner» yi nvoç, nv. ou nvx. R. Ttpnn, honneur. (*7ro'> «p ««•

"ATO», pi. neut. de Ôçrtç.l 'Acpavûç, ad»., tout à coup. R. "AroToç, ov, o. eu, adj., qui n'est \priv., ©atvu, paraître,

pas dansson lieu, déplacé ; — Aodpu.axToç, ov, adj., qui n'est inconvenant; — absurde. R. Pas empoisonné. R. à pri»., à pria., TOTCOç, lieu. cpâpp.axcv, poison.

"Arpeirroç, ov, g. ou, adj., qui ne 'AOJEôEîç, eïffa, év, aor. 1e r pari. peut être.tourné j — immua- pass. d'àcpÎYip.1.

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14 A«DI

AoJsSfjvai, aor. 1 e r iw/. pass. du m.

Xopeîç, stoa, s'v, g. Évrcç, t\<rr.ç,

evTo;, aor. 2 part, du m.

Açs'XwfAai, 7i, yjTat, aor. 2 subj. moy. d*àç>atpe<«>.

"Aç>sç, e'vfc), ao r . 2 impér. d ' à -cpiru.'..

Âcpwa, a?, s, ao r . 1 e r du m.

ÂGpripcÎTC, conlr. aTàcpr.psVro, 5 e

p. imp. moy. cfàopatpsfa). A'jTJpr.aai, o a i , - a i , p.e8a, p.

pass. du m. 'Acpr.csiv, / . iw/. d'àçir.a*.

AcpTÏoct), et;, si, / . ind. du m.

"Açôjvcr, cv, arfj., a b o n d a n t ; — i n n o m b r a b l e . R . à priu. , G>6S-

vc;, envie . Aaiet;, sîaa, sv, pr. part, d'à-

oir.y.'.. Àorvps'vcç, v;, cv, p. par/, d'àipi-

xvc'cp.ai. Aotr.ai, laisser aller, lâcher, lais­

ser échapper. R. àî70, tr.u,i. Ac5tx.vscu.at, partir, arriver, se

rendre. R. à-rro, t/.v£cu.ai. Aoï^ai, 2e p. s. p. du pr. Aœî^caai, TI, s ra i , / . du m.

AXP

XçîcrrriU.i, éloigner ; — aor , 2 e

par/., s'éloigner : àvroorac Tô>v Trarpcôcov, ayant abandon­né les coutumes de ses pères, de ses ancêtres. R. àuro', torr,-pi.

"Aipvo, ado., subitement. R. à priv., «paivw, paraître.

A'.pcpYiToç, cv, adj., insupporta­ble. R à priv., cpcpeco, porter.

A<ppo'vcoc, adv., follement, étour-diment. R. à priv., cppriv, es-

, P"t. Ayaio';, a, o'v, adj., Grec. "Ayôcpai, / . ax.8socp.ai, aor. 1 e r

rxOc'oOr.v, supporter avec pei­ne, être- chagrin de, gén., dat. ou ace. ; — se fâcher, s'indigner contre quelqu'un. R. àyôc;, fardeau.

Axôccpcpiû), / . r,o(ù, porter far­deau. M. R. et cpcps'ca, porter.

'Ax,iXÀ£Ûç,e'6)ç, voc. su (é), Achille. "Aypr.orc;, cv, adj., inutile. R.

à priv., v.pyxrro'ç, utile. "Ay.pi, aypi; dev. une voyelle,

adv. où conj., jusqu'à, jus­qu'à ce que ; — si longtemps que : àypi; eu, jusqu'à ce que.

B

BAI

B : en nombre, cette lettre, sur­montée de l'accent aigu, p', vaut deux.

Baêaî, inlerj., oh! ah! Ba&u/.oSv, œvc; (r,), Babylone, v. Baoï^to, / . îow, / . 2 là, p. fisëâ-

oY/.a, aller, marcher. Bâà'idu.a, arc; (Vo'), marche, dé­

marche, du pr. Baîvoi, prim. $r.y.i, &d<ù,f. moy.

$r,oou.aL:, aor. 1e r E£r,G9., aor.

BAA 2 SOYJV, p . Ps'Syi/.a, aller, mar­cher.

BaSûs, eîa, 6, adj., profond , épais.

Box.TTipîa, aç (r\), bâton. R. pà- , jcvpcv, m. s.

BoV.rpa, tov (TO), Bactres, v. BoK-pcv, eu (TO), bâton. R; Ren­

voi, marcher. BaXâvr.cv, eu (TO), bourse. BaXXw, / . fîaXô», aor. 2 s€aX:v,

/

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BEB BOT 15 p. BeêXr,** , lancer, jeter ; me; — fixe, sûr. R. Baîvu, p. — frapper. Bsêaa, marcher.

BapëapiÇ», / . îffw, p. txa, affec- Beëaî»;, adi»., solidement; avec 1er les mœurs des Barbares, certitude. R. Bsêatoç. imiter les Barbares. R. Bdp- Bsét»x»;, O'TCç, p. part. act. de êapo;. Bio».

Bapêaptxôç, vi, ov, ad/., barbare, Bs'XviaToç, YI, ov, sup. d'à-Ya6o; : M de barbare. M. R. Bs'XTtars, ô oone / 6 mon cher !

BapSapiau-oç, où (0), mot bar- R. Bs'Xo:, trait, c.-à-d. celui bare, barbarisme. R. Bapêa- qui lance le mieux un trait. p. BSXTIWV, OV, 9. ovo;, comp. d'àvx-

Bapêapoç, ou (é), Barbare, nom ôo'ç. donné par les Grecs à tout ce B-.ôuvo';, où (6), Bilhynien. gui n'était pas grec. Bîcç, ou (ô), vie, d'où

Baps'a, pi. n. de Bapûç. Bîoroç, OU (ô ) , vie; biens, for-Baps'», f. via», p. Beêdprixa, tune.

charger, accabler. R. Bdpo?, Biow-û, / . B ™ , p. BsêW.a, poids. aor« 2 sëîwv (de B{»u'., iuus.),

Bdpyj, conrr. de Bâpsa, p/. de v ivrC- R- &"?• Bxpoç, eo? (TO), poids, fardeau. , MoV'> P^ai-oùua-., / . •n > a > coaoaai, aor. 1er so'.oaaar.v. B7.0U, v. papuç. ,, _ • a • c 1 „ * / J a „ , Bi»vxi, aor. 2 in/. du pr. Bapuv», / . uv» p. BeSapuy-a, B l W ( n ( j f ) a i ) / . imr m o „ du p r .

charger, accabler. R p W . B > s V , £ v 5^ ^ •[ de

Paes Bapuvoaat, être char- BX.- j ,M, flor 4er f g , ^ gé, accablé ;—supporter avec R . ^ ^ r e g a r d e r f v o i r ; peine, ace. , , , . Bx6^a;, ou'(ô), Blepsias.

Bapuç, su*, u, g. soç, «oc, soç, B ) o ( r . ^ ^ flfl.. t e r r i b , e a «oc. *. m. uv, ace. p/. Sapsaç- Yoi

rr> f a r o u c h e <

sic, lourd ; - pénible ; — re- Bj, cœUr de ^ ^ impér de doulable. Boâo-Ô,, / . via», / . moy. Bcvi-

BaatXsa, ace. s. de BaaiXsuç:. ^ ^ , > fl0J. i e r fe(_a> p. BaaiXsta, a; (vi), royauté, de Ssëor.xa, crier. BxaiXsûç, soç, a», swç (0), roi , Bor.ôsœ, f. via», aor. 1e r ioori-

prince, d'où ôyjo-a, p. BîêVr.ôr.y.a, venir au BaciXsû»,/. sua», aor. 1er sëa- secours, secourir. R. Bori, cri

atXsuaa,p. BsëaatXeuxa, ré- de secours. gn«r, gouverner, gén. BGIMTWç, BOIWYO'ç, où (ô), Béotien.

BaaiXixo;, vi,ov,adj., du ou de roi, de Béolie. royal ; — qui convient à un Boa*»,/", via», aor. lersëoV/.r,ay., roi. M. R. p. BeSo'a/cry.a, faire paître.

BftOYÎ, vi; (r,), teinture, couleur, 3/og.,Bôaxou.at, se repaître. coloris. R. Bâirr», plonger, p. Bouëcôv, wvo; (ô), aine. Be'êacpa. BoûXst, p. BOUXYî, V. BoûXoitai.

Biêato?, a, ov, adj., stable, fer- BouXsû», / . sua», p. Ssëcû/.sux.?.,

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16 Bon délibérer, projeter ; — être d'avis de : ™ ; èocuXeûow ; comment t'es-tu décidé?

Moy., (3ou).EÛcp.at , f. eucc-ttat, aor. 1 e r È€ouXeu<jâp.7]v, p. de / . pass. f>eooùXEuu.at, m. s., de

Bc6Xcp.%t, EI, Erai, / . r,<jou.y.if aor. 1 e r de / . pass. ÈëcuXr.Or.v, p . id. (bU£oûXr,u.ai, p. mon. j3é-ëcuXa, vouloir.

Bc£)v, confr. de {3od«v, pari, de podw.

BPE

Bpcuïûc, EÎa, u, ad/., lent. BpadXrrspG?, a, cv, comp. du pr,t

plus lent ; — plus long. Bpev8ùop.ai, être arrogant ; —

s'enorgueillir de. R. Pps'vôoc, arrogance.

Bpsl-aç, acroc, av, aor. l^r part. de 3p£y.w*

BpEopvi, contr. de (SpÉcpsa, pf. de Bps pcç, eoç-ou; (TO), enfant. Bps'yu , / . 6c>, aor. 1 e r eëpéi-a,

aor. 2 eëpay ov, p. ^éëpsy#a, p. mot/, fisëpoya, mouiller.

TEA

r : en nombre, cette lettre, sur-montée de l'accent aigu, -y', vaut trois.

râoNstpa, wv (TOî), Cadix, y. raXaV/iç, ou (6), Galale, Gau­

lois, p. Ta.u.iiùyf. éatù, aor. 1 e r êy/iaa,

p. ETap-Yisca, épouser, se ma­rier, d'oà

r cette;, ou (6) , p/. vdp.ci, wv (oî), noces.

rau-iôv, OùVTO;, contr. de -yc>.y.étùv, E'OVTG;, pr. part, de -yau-s'oo.

Tâp, conj., car, en effet ;— mais. R./ye, dp a.

raorxp, Ts'poç ou rpor. (yi), ventre. TE, conj., certes, au moins, oui. r£V£vv;p.E'vov, ou (TO), le fait, ce

qui est arrivé, p. part, de yî-V0U.5U.

revnp5«ca>; , uïa, b;, p. part, de 'ppao-Ku.

rÉ-yova, a;, s... aor, p. mon. de •yivoitat.

m a , a;, 2e et 3e p. s. de reXocw-5>, / . dffio, / . moy. doo-

TEP

u.at, aor. 1 e r èvÉXaax, p. vevs-Xcwca, rire ; se moquer, rire de, dat. ou ace; d'où

reXoïoç, a, ov, ad/.,visible, plai­sant.

rsXciv, £>cra, £>v, contr. de >yi-Xdwv, dcuo-a, aov, par/, dé »ys'->.aGJ.

reXwoi, (ùM (oî), Gelons, p. re'XoiS, ooToç (ô), rire. R. EXOCW. rs'veiov, ou (TO), menton. TEVEo-ôat, aor. 2 inf. de «pou.at. rEwdô'a;, ou (o), bien né ; — gé­

néreux;— brave. R. ^swaîw, engendrer.

TEwaToç, a, ov, adj., de noble origine ; — généreux ; — brave : Tô ^evvaîov, la force d'âme, la noblesse de senti­ments. M. R.

revot'u//)v, «o, OITC, aor. 2 opl. de •yivop.su.

TE'VOç, eoç-ouç (TO), naissance ; — race ; — famille. R. -vivoixaé.

rs'ppov, ou (TO), bouclier, fait d'osier.

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ripe»-», OVTO; (6), vieillard. rvcW,, r; (f.), sentiment; — ftyupoWd,/. <ô<JG>, aor. 1er èys- prudence. R. •ytvûaxu.

çûpwo*, jeter un pont sur, rvw?iGu*,aToç (TO), marque dis­joindre par un pool. R. •yÉou- tinctive. R. -YVOJO O), recou­pa, pont. nailre.

reçopèiaat, aor. 1er inf. du pr. rvioop., 2e p. de «rvciaoua'., v. «p-r«» T"î (*>)> l e r r e> champ. VCûOXGJ. rvipa, p. -pipaTi, da(. de pÀpac. roY.ç, XTO; (ô), enchanteur ; — IVipaio'ç, a, o'v, adj., vieux. charlatan, imposteur. Ixpaç, aTGç-ao;-<oç (TO), vieil- ro'r j j aTCC (T0), p/. fcvara, daf.

lesse, cfoà «Yo'vaci, genou. rxpâaxw, Woi^.âaoj.p.^Yr;- r c G v ? p ^ ^ £(My. ^ c e r l e s ^

paxa, vieillir. d o n c . _ e n e f r e l . __ d u

rivopvai, pipouat, pnm. «ïEVCO, / . m o i n s > c e p e n d a n t . •Yevxaou.at, aor i « de f. pass. rpavtxoc, oii ( ô ) j Qranique, rt. eyEvr.ôrrv, p. id. 7£yvxu.xt, p. ^ y. ^ flor 1<!r . ,, mou. 7ETGV«, aor 2 moy. E7E- ' p" « o a , aor. 2 passi'à-,:*-voaxv,naître;—être, exister; £ ' £ • ' — devenir; — s élever;— , . , ,. •,. provenir; — être âgé de, r ^ v * ' ov' adj> n U ; ~ " d é " _ ' pouillé ; — chauve.

rivoSaxsTE, 2e p. p/. impér. de rùvai, roc. de pré . rtvcôoxta, prvoiaxfc), prim. pou, IV/aixa, ace. du m.

/ . poiaoaat, aor. 1er èpiaea, ruvxucsîo;, a, cv, adj., de fem-aor. 2 epojv, p. Éptoxa, con- m e» efféminé. R. pvr.. naître ; — reconnaître ;—s'a- ruvxiiji, dat. pi. de pwi. percevoir de, ace. ; — résou- rûvaiov, ou (TO), courtisane, de dre, décider. ruré, g. aixo'ç, de pva».!;, inus.

rvû, ô)ç, S», aor.1subj.dupr. (T.), femme. rvôjfti,p«ÔT6j,aor. limpér. dura, rûc), u~o; (ô), vautour.

AÀK AAM A : en nombre, celle lettre, sur- Aoxpûw, / . ûaw,p. uxx, pleurer.

montée de l'accent aigu, 5", R. oNxxpu. raid quatre. AXXTûXIGC, ou (ô), anneau, de

A', p. Se, de», «ne voyelle. AôXTUXGç, eu (6), doigt ; — dac-Aoutvcd, inus. oxxw,/, $riÇouai, tyle. R. ô'sîxvup.t, montrer.

aor. 1e r loV.ça, aor. 2 iSaxov, AaxoSv, oùaa, o'v, g. o'vroç, aor. 2 p. 8i8TK)ta.,aor. 1er pass. êo\i- part, de Saxua. X<hiv, mordre, piquer. Aau.a<itaç, ou (6), Damasias.

axxpu, uoç, o*outpuov, eu (TO), Aâuuç, lôvo; (6), Damis. larme. Aâp.vnrïjcç, ou (é), Damnippe.

5.

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18 AEI AHI

Aâpuov, ûJVCç (ô), Damon. AH-' W, V. le m. Aau.oÇevcç, eu (c), Damoxène. AsITTVC'OJ-£>,/. r,aoi, aors lerèô*ei-Aavao'c, cû (ô), Danaùs. Trvr.ca, p . v,xa, souper, de Aavetorx;, cù (6), usurier. R. é\x- Asûrvov, eu (TO), souper, repas.

vEi to, prêter à usure. Aeîaôai, prés. inf. moy. de 8k-Aapsîoç, ou (ô), Darius. p.at. As, conj.9 m a i s ; — e t ; — cer- As78r.G-Gu.a1, 7, s r a i , / . pass. de

tes ; — or ; — en effet ; — o'eî/cvuu.t. p u i s ; — e n f i n . — Souvent As'Xsap, evreç. (TO), amorce, p à -opposée à jxs'v, d'un côté. . . ture. R. £0X0;, ruse, d'un autre : où uiv Xs'-j-siç, iyoi As^at-o.... atvTo, 3 e p. ». ei pt\ ^è Trpacato, toi tu dis, et moi aor. 1 e r opt. de 8iyou.xi. je fais. Asc/o;, d, o'v, adj., qui est du

AcoV.7u.sv0;;, y,, ev, p . part. pass. côté droit : eVi r à ôVi-tâ, à la de ÔVCJCVGJ. droite,du côté droit. R.oVUvu-

As§Vi&)u.ai, v. oV.o'to. u.t, oVîi-to, montrer. AsoTitou.s'vo;, p. part. pas», du m. Sky.x\,f. 8tr,Gou.xi,f. def.pass. As'èVa, a;, s... aor, f. oVioVo. osr,8r,o-cu.ai, aor. 1 e r id. èèVr,-AsoVs'vai, in/, dn m. 6Y;V, p. id. o'eo'eyu.ai, prier, de-As'ôV.rat, 3 e p. s. p. pass. de 8c- mander, gén. R. oV'tt, avoir

XECO. besoin. AS'Tî, subj. de 8v.; — 2 e p. ». de As'ev, OVTOç, part. neuf, de Sel, ce

Sku.9.'.. qu'il faut ; — lorsqu'il con— AsTiast, / . de 8iî. venait : oùoVv oV'ov, sans u t i -Asyorç, eo>c (y,), prière. R . 8k- lité.

u.ai, prier. Ae'pu.a, arc; (TO*), peau, cuir. R. Asï, v. unip. ; f. oVr.o-st, aor. 1 e r ospto, écorcher.

èoVV.Gs, imp. soY., il faut, il est Aso-rroTr,;, eu (6), maître ; — des­besoin d e ; — il s'en faut de : pote. oùoVv oY/.ost, il ne sera nul le- As'/xu-ai,/. 8k,cu.xi,p. def.pass, ment nécessaire. oVo^u-at, recevoir, admettre;

AsîdVo, / . et'o-6), p . SiScv/.x, p . — prendre, accepter. moy. 8i8ix (sens du prés.), As'w, / oYiio-w, aor. 1 e r èoV'r.o-a, craindre. R. oYo;, crainte. p . o'eoYr.y.a, avoir besoin, man-

Asî/.vuu.», prim. ôYiy.G>, / . Sv.^oi, quér de, t». oYou-at. aor. 1 e r loVi-a, p . 8i8tiyx, p. Av», adt»., certes, donc, réelle-pas», o's'o'si-j'u.ai, montrer. m e n t ; — or ; —« encore ; —

Ae-.Xo'ç, y',, o'v, craintif, timide. R. même. 8k;, crainte. Ayôev, adt»., sans doute, à sa-

Asivîaç, ou (ô), Dinias. voir. R. oVî, 8sv, point de dé -As ivov, où, chose terrible, cala- part.

mité, mal, n. de Ar.ïow-w,/. OSO-M,p. pass. OYOV)ù>-

Asivoç.vî, o'v, terrible; — fâcheux; u.ai, ravager, dévaster, dé -— étrange. R. 8k;, crainte. truire : oYôYioou.at TOV TVGWûJVûC

AeTÇov, aor. 1 e r impér. de oYV.vuu.'.. (j'ai été ravagé quant à la bar-

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ATA

be), on m'a coupé la barbe. R. oV.îcç, ennemi.

\rX*Sr,, ado., m. s. que Srt. R. 8r„ orXc;, évident.

ArXcv (s.-ent. lrn\ il est clair, "évident.

ATiXcvcTt, adv., oxXc'v (îO-TI) or-., il est évident que, c.-ù d., évi­demment, sans doute, assu­rément.

AvjXc;, CV, adj., clair, évident, manifeste, certain, d'où '

Ar,Xow-S),>/*. œ<jw, aor. 1 e r eor!-Xtoax, p. wxx, rendre clair; — montrer, faire voir.

Ar,,ttT/rr,p,Tejc; ou TOC; (r,}, Cérès, R. OTî, p. yc, terre, ux/rr.p, mère.

AYJU.GTIXC;, ri, cv, ar/;., qui con­vient au peuple, populaire. R. oViUc;, peuple.

AXO'ù),/. cjdto, p. SzS^<ar.x,m. s. ave o'r/icto.

A-.', pour Sisi. I. Atct,prép. à 2 cas ; avec legén.,

par, à travers, le long de; — en, pendant ; — après : SA Xpo'vcu, pendant quelque temps, quelque temps après. —"Avec l'ace, pour, touchant, à cause de ; — par le moyen de.

II. Ata, ace. de Zzùz. AiaêouxoXs'w,/. xati, tromper par

de vaines espérances, amu­ser. R. SA, (kuxcXs'fe), faire paître.

Ai7--pvo>!7xto, distinguer, discer­ner ; — reconnaître. R. SA, yvoiaxw.

Atayvcnr.v, aor 2 opt., et Atxyvâ>vxi, aor. 2 in/, du pr. AiaJStSzu.hr,; t r,, cv, p. part. pass.

de SixSitù,

ATA 19

AIXOE;XU,2VCç, T., cv, aor. l*r pan. moij. de

A'.7.'j"r//.u.xt, f. -l-cux:, aor. | r r

o'iï'i'ê âuLr.v, p. de f. pans. S:x-o*ï''j*£vuxt, recevoir par succes­sion ; — succéder a, rempla­cer. R. SA , Si/yy.%:, rece­voir.

AizSétù,/. T'CM, p. S:zSiSry.x, p. pass. SizSiSzy.z:, ceindre. T.. Six, Siio, lier, d'où

A-.xoV.ux, XTC; 'TC'), diadème. S:x.bry.r,, T.; (r.l, testament. R.

S:x-ibry.:, disposer. A'.xbyj~bi,f. Û'IiO, p. à'.XTî'TC'jrjX,

casser; — amollir. R. SA. ôcJTrrtd, briser.

Atatcso), partager, diviser. R. dix, aicîto.

AîXITX, T.; (r,), manière de vivre, régime.

Aicvxptvcîa7.v, cto, G-.TC, prés. opt. pass. de

A'.xxpîvw, distinguer, discerner. R. SA, XOIVW.

Pass., 17*10X3-'vcu-xi, f. o\x-xç-.ôrio-cuxi, aor. 1e r o\£xcï9r.v, p. oiaxïxsiux'., être distin­gué, etc.

A'.aXavôâvw, être cache, ne pas être aperçu ; — échapper à, ace. R. SA, Xxv6xvw.

A-aXc-yc;, ou (ô), dialogue. R. >.c--j-c;, discours, SA, entre.

Aixj.(na,/, ûoo), p. uxa, dissou­dre; — fendre, rompre. R. SA, Xiu, délier.

Aixu.ê'XX<i>, f. r.atù, différer tou­jours, larder. R. u.iXX», être sur le point de, SA, toujours.

A-.au.-a;, adv., d'un côté à l'au­tre, de part en part. R. SA, à travers, aux, ensemble, TTX;, tout.

A'.xvcî'eux». - cuux'. , f. r,<sou,zi 0

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20 AIA

aor. Ie" de f. pass. Sirizrfixv, penser. R. Six, VCE'O), m. s.

A-.-j-.y.zv.z, IïGX, £•/, aor. 2 par/. p«5S.

A-.x-rîpa;, aax, av, aor. 1 e r par/, act. de

Aiy-.v.ziù,f. £5Ô), aor. 1 e r O'.E-T:£'.27., aor. 2 SIZTXZZ-J, trans­percer. R. o\a, TTs-poj, percer.

A-.a—/içau.evsç, aoi\ 1 e r moy. de A:y.rrnjrju.-., joindre ensemble,

former ; — construire. R. Six, Trf.yrju.i, ficher.

A'.y.-AeOoa'., aor. 1 e r inf. act. Aix—ÂsycâvTOJv, o. p/. aor. 1 e r

par/, de A'.y.-'/.ibi, f. V'JGU, aor. 1 e r Sii-

TT/.S-JGX , traverser en navi­guant ; —passer. R. o\â,7rX£ii>, naviguer.

A.y.-cpôy.E'jw, / . cûoo), faire pas­ser. R. Six, TrcoOu.c'jto, r». s.

Moy., dixrzzzbu.vjzu.xi, f. VJGZUXI, aor. 1 e r dXsrrcpôasy-caar.v, m. s. ; de plus, passer soi-même.

A-.j.z/.iaxi, aor. 1 e r inf. de Aixz/.iiù, f. esco, p . oNr'pr.c/.a.,

suffire à. R. Six, xv/.iu, m. s. Aixzzitc, couler à t r ave r s ;—se

r é p a n d r e ; — s'échapper. R. Six, p£o), couler, d'où

A.xz'zuzîç, V.GX, SV, aor. 2 part. Aiy.GT.xax.rnz, 5 e p . p/. aor. 1 e r

op/. mo!/. de A-.y.GT:x(ù-ô),f. XG(ù, p.StiG7zx.y.x,

aor. 1 e r pass. SIIGT.XGV-M,tirer en sens contraire, séparer de force ; — mettre en pièces. R. Six, GT.XIù, tirer.

Moy., SixG77xza.y.'.-biu.y.i,f. XGZU.7.1, m. s.

Aix^TT^y.;, XGX , av, aor. 1 e r

pari, de SiiGrxu.i. Aixrxoabi, ait. a—co, f. xz\m,

AIE

aor. 1 e r d\s7a£x, p . SixHxx-yx. p. pass. Six-îra.fu.%1, aor. 1 e r pass. o*i£7â/6r<v, arran­ger, établir ; — ordonner, sta­tuer : 7a Six.rzrxTiu.vix, les choses établies. R. ôia, 7âaca>, tasser, d'oà

A'.a.7£7a-v'u.ïvc;, •/;, cv, p . part, pass.

A'.a7S'.ox, xz\ (f,), délai, retard ; — temporisation. R. Six, -pi-Su, user, consumer.

A-.xcpspu, différer ; — l'emporter sur, valoir mieux, exceller : X.7.7' GÔ5*£V àX>.T,).WV o\aÇSpGV7£Ç,

ne différant en rien les uns des autres. R. Six, çs'pw.

Aiacpsûyw, s'enfuir, s'échapper. R. o\x, G5£Û fc).

Atâçcpcç, cv, adj. , différent ; — le neut. pris subsl., ce qu'il y a d'important. R. o\a<p£pu.

A'.acvj'Yùiv, cùoa, c'v, aor. 2 par/, de Sia'ps'J-j'oj.

A'.<5ac>.'., aor. 1 e r m/ , act. de SlSxOY.Gi.

A'.oao-y.xXciv, o. duel de A:o*àV/.x).oç, eu (6), maître, pré­

cepteur, de AISXGYM, f. X%<ù, aor. 1 e r êo'iSV.-

%x, p. StSiSxyx, enseigner quelque chose à quelqu'un, T ! 71VX.

Aiouai, prim. Sou, f. Sûou» , aor. 1 e r iSbi'AX, aor. 2 eo'wv, p . SéSià/.x, donner, offrir, pré­senter.

AîSWt, 5 e p . s. ind. du pr. AizSiSzro, 3 e p . s. plus-q.-p. pass.

de Siy.Si(ù. A'.EÀaôcv, E;, £, aor. 2 de o\xXav-

6xvw. LIù.XGX.%, XGX., av, part. aor.

1e r pass. de A'.î/.aûvu , oXê/.a'a), / . affw, aor

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A10

1 e r 3iréAa<jx, transpercer. R. oisé, èXaôvu, pousser.

AicV8*pe2Îv,aor. 2 inf. deo\a©£pii>. Atcletp.'., prés, e/ fui.; àieÈ-îcv,

imp.,* ouÇtevat, inf., discourir; — réciter, déclamer. R. 3iâ, à travers, e , de, EIUI, aller.

AteÇiûv, cû<rx,ov, part, du pr. Aterepxaa, v. oiaTrepâcd. A'.eiropôu^uaa, r. otaïrGc6u.Eiiw. AieTropô|A6'jaxu.r.v, a>, aro, i». ôia-

•7Tcpôaeûa>. Ateppei, 5 e p. s. imp. de Siao-

pe'û). AuppuTixûc, uîa, o;, o. o'roç, p.

part, du m. Air.-yeÏTO, 5 e p. s. imp. de Air,<YÉcaat-cjjjt.ai, raconter. R.

oïd, Yj'Yscu.at, conduire. Air/)pr,cxu.evoç,r,, cv, aor. 1erpart.

du pr. A'.x'YXO'Gu.ai, vj, ETXt, f. du m. A'.Tj-rrioû>u.x'.,Tp, rirai, aor .1ersuhj.

du m. Atrlve"rxa, a;, e, aor. 1 e r de oia-

cps'po). A'.vipr1(uÉvG;, n, cv, p. par/, pass.

de oiaips'o. Aiionnai, séparer, diviser.R. o\aî,

larrtu,i. Atxdi>, y . OCG-GJ, juger, décider.

R. ouoi, justice. Aixaioç, a, ov, adj., juste ; — mé­

rité. M. R. KotMtùÇy adu., justement ;— avec

raison. R. cVîxaiGç. ^.xaaaxto, 3 e p. s. aor. 1 e r impér.

de dixâÇa. Aixasâvjvzi, aor. 1 e r inf. pass.

du m. Aixacrrripicv, ou (TG), lieu où Ton

rend la juslice, tribunal. R. Slxri, tampu, oroto.

Aixa<mnç, où (ô), juge. R. GYixâÇtû. Aïo-rèvr,;, eo;-cu; (ô), Diogène.

AOS 21

A'.oSVjw, / . E'jfffc), aor. 1er O\G>-oYjaa.p. OICôO'EOXZ, imp. o\cd-OYJGV, traverser en passant. R. ôiâ, à travers, GOVJG>, faire route.

AicpviioV.ç, EG;-OU: (G), Diomède. AIGVJGG;, eu (6), Bacchus. AIGç, g. de Zzù;.

A-Ion, conj., parce que. R. o\x, 071.

A'.G'wavToç, eu (ô), Diophante, h. Aïs, adi\, deux fois. AïJ/a, r,? (ri), soif, d'où Aiyào-â), / . T.G*6), aor. 1 e r è5"ï-

dr.ca, p. o^tyr.xa, avoir soif. A'.yrv, a//, etdor. p. o\^âv, comr.

de oiyxEtv, inf. du pr. AîyGS, ECç-OUç (TG), soif. Aiycpris, ait. p. oi^«ç, contr. de

oiyàct;, 2 e p. s. opl. de S\-C/OCG).

i

Aiytom, contr. de ôVyâc'jon, 3 e p. p/. prés, du m.

AicôxG), / . cor co, aor. 1 e r èo'ïoacix, p. ôïEoW/a, poursuivre.

AG-JU*, arc; (TG), ce qu'on croit à propos de faire ; — décret ; —avis, opinion, de

AGXEU-GJ, f. JG' G) , quelquefois d'GXTjG-d), aor.1e r EO'G X, p. pass. SiScfu.zi, £xt, xrai, paraître, sembler ; — passer pour; — penser : u.c. TETr.prxÉvai Sc-xiô, (je me semble) il me semble avoir observé ; CVS&V&XTXï U.C. , il m'a paru bon, j'ai résolu de.

AGXGûV, contr. de CVGXEGV, part, neut. du pr.

Acxâ), contr. de 8c/.i(ù. AG'àG:, G-J (G), ruse, fraude. AG^Z» "te (r,), estime, réputation,

gloire. R. Soxiiû. AG^aiat, aiç , a i , aor, 1 e r opt.

du m.

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22 AÏN

AoÊ-apiov, eu (TO), vaine gloire, gloriole. R. «ci-a.

Ad;a;, aox, av, aor. 1 e r par*, de

AftP

trEouvyy.at , 007". 1 e r

£oNuvr,o-aia-/jv, pouvoir. wou

c-oy.Eto. Asîc'.a, a;, E, éo/. p . uo;aiy.'.. Ao;w, si;, st, / . de Soy-ios. Aosàrtov, ou (TO), javelot. R. udou,

lance. As';, où?-. 2 imper, de SiScou.:. Apa/.tôv, ovro; (a), serpent, dra­

gon. Aoacto, st;, s~,y. de opaw. Azy.yu.r,, y; (y,), drachme. Aoao), y. du«, cor. 1 e r iSozaz,

p . SiSoz/.y., fuir. A u 1 , p . CY6C.

Auvaîur.v, aie, aiTO, opr. fie Auvauat, y . ycoy.at , ao?*. 1 e r

fie y . pass. Eouvriôr.v, p . ifi.

Aûvay.'.:,cojç(y;), puissance, force, faculté. R. uûvotp.ai.

Aûo e/ oûw , o. ouoïv, fiof. ouct, Of//'. 7777772., dCUX.

Aûorr.vo;, ov, adj., malheureux. R. Su:, pari, qui marque dit-fieuîté, pe ine; toTr,p.i, aor. 2 inf. arrivai, placer, être.

I . Aû&>, p. Sùo, deux. I I . Auto, OYJVOJ , S\jy.>., y. oôcto,

aor. 1 e r fcWx, aor. 2 s'ouv, p. cYê'cYuxa, p. pa55. us'a^cuat, entrer dans ; — revêtir ; — descendre.

Atoosxa, ad/, ni/m., douze. R. cvûto, deux, oeV.a, dix.

Acbpov, ou (ro), don, présent. R . SiSiùuu, Sôos, donner.

EBA

£ : en nombre, celle lettre, sur­montée de l'accent aigu, g, vaut cinq.

'EâXtov, a>;, w, 77. â/.fay.to. I . 'EJi:i9co7ij. qui veut le subj., si.

R. et, av. II . 'Eàv, inf. d'ïits. "Eaoov, ârto, aor. impér. du m. '£«o-to, y.ç, r,, aor. 1 e r S77/>j. du m. 'EXUTOù, rç , cù pro7?. ré/Z. sa775

no??!.,de soi-même,soi-même, de soi, à soi, se : TO. sauraù (TraâyuaTa), ses biens. R. a, ace. du pron. prim. où, ot, I, soi, aÙToç, même.

'£âto-to, 7772p. staov-tov, stas;-a;, eïas-a, y . cào-w, aor. lerg?aora, p . Etaxa,laisser;—permettre; —omettre.

*rô? EoV.Ctt').EU(X7., 7.Ç, E, l». (jaC'.AE'Jto.

ErK

'Ecoop.yy.ovTa, adj. num., soixan­te et dix, de

\ESoop.o;, septième ; y.cvra mar­que les dizaines.

'Ecttov, to;, to, 77. [oio'to. "EOàETTOV, e;, s, 7'77ip. de pÀs—M. 'EGOUàEUcoeur,v,w, ara, 77. (oau/.EÛto, 'EoouXour.v, ou, ETO, inip. de poû-

'/.0U.OLI.

'£T-yp«cçto, inscrire. R. ET, p . gv, dans, "vaoccoto, écrire.

' I l » '

'E-j'ê-j'dvEtv, si;, Et, plus-q.-p. de -j'îvcy.a'..

'ETSV? xrrro, 5 e p . 5. pl.-q.-p. pass. de -ysotow.

'E'-Ù.ZGZ, a;, s, e. -ys>.aw. 'E 'EAteV, a;, E, ?>?2p. d2( 7/2. E-vsvcp.r.v, ou, ETC. ?'. y.wj.y.i. 'E-'tvwcy.ov, E;, e, wzp. de-yivtoGy.to. '£-;/• :uopta;, ou [ï), S.-ent. âsTo;,

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EJA Ein 25

pain cuit sous la cendre. R. p. EÎoV.a, voir; — p. t?tot/. êv, xoÙTrrta, cacher. clSa, claôa'p. cïVixaâa), je sais,

'E-yvinxa, i>. -YIVWO/.CI). je connais;—pl.-q.-p. T,OY.V

'Epeaxsvat, p. in/, du m. ou zï$u-f (ion. T/ÎEX, ait. 4,h,). *£**;«, g. u,o0, su-cû, moi, je. je savais, je connaissais. "Evwys, moi-même, moi du Eiâov, Eç, s, r. /epr.

moins, equidem. R. È-ycà, fs', EtoVra, ace. s. musc, de Certes.' Eîduç,uïa, oç, a. OTOç, p. EÎoV.xoiç,

'Eîaxpuov, eç, e, imp. de oaxâûco. uta, o'ç, p. part. act. du m., VEO*EI, y. o*eî. sachant, connaissant. 'EOTîXOU, contr. cTè iiXoe, 3 e p. 5. Eiev.att. p. Eincxv, 5P p. p/. d'str.v,

imp. de oV.Xocd. opt. d'eiu.-', ils seraient, qu'ils 'ESicoija, aor. 1 e r de oicôxco. fussent;—soit, eh. bien, soit. Eooxcuv, £iç, et ouv, imp. Etr,v, r,;, r,, i». /e pr. "EooÇa, aç, e, aor. 1 e r de £oxïa>. EÉxâÇw,/. âo-co, aor. 1er c*/.7.7s, "Eopaaa, aç, E, V. opâu. p. pass. Eixacaat, imiter, re-'Eouvâur.v, ao, TO, imp. de Su- présenter au naturel. R. EÎ/.W,

vau.at. . ressembler. 'Eo'fôotu.oç, cv, adj.t bon à man- Eîxa<rp.£vcç, p. part. pass. du pr.

ger. R. iS(ù, manger. Eîxo'ç, OTOç (ro), u. d'iUâ;, le "EÇr.v, YIç, 7i, dor. p. è wv, a;, a, vraisemblable, le convenable :

imp. de X,ito. wç EîXO'ç (ECFTI), comme il est "Eôatpa, v. 'ôâTrrw. vraisemblable, convenable. *E6eX7Îoauxt,aor. 1eropt. d'Èôsî.to. EîxcaâTrrixuç, u, ad;., de vingt *EôeXouaioç, qui agit volontaire- coudées. R. TTâ/Uç, coudée, et

ment, de bon gré, de Eîxoat, adj. mon., vingt. *E6s'X<i>,/". ïîaw, p. TÎÔsJ.r.xa, vou- EîXOTMç , adt \ , avec raison ,

loir. R. 6éX<I), m. s. comme il convient. R. EîXO'ç.

*EôepaÉTCEUOv, êç, E, imp. de ôspa- Eixto.p. moy. sotxx, ressembler, Tcsûb). d'où

"E6VYI, pi. de EîXWç,OTGç, p. part. moy.,v. EîXO'ç.

"Eôvoç, EOç (TO), peuple, nation. EI/.E, r. EIAOV.

"Eôw, p. mot/. Ettoôa (s. du pr.), Eî>.s'ou.a».,/. ro-cLiat, se trouver avoir coutume. près, versari. R. EîXEW, rouler.

I . Ei, 2 e p. s. d'tiu.i. EcXo'u.r,v, ou, ETO, aor. 2 mo?/. II, Et, conj., si. — Lejut., après de aîos'w.

eî,se rend par /e prés.— Eî SE EîXcv, E:, E, y. aips'a>. [XTÎ,mais sinon ; Eî P-Tî, si ce n'est I. Eîu.î, / . Éo-oaai, imp. rîv, être, que JEîXXî, si même, quoique, II. Eiai, prés, e t / . , aor. 2 fov, etsi; EI 7TOU, si par aventure, si p. mot/, xïx, plus-q.-p. T.EIY,

par hasard, avec /'opt. eiç, E-., aller, venir. Eî/YS, si cependant. R. sî, -ye'. Eivai, i«/ . d'EÎuî I. EîSeînv, Tiç, 7i, prés. opt. d'tï$<ù. Eiirov, ârto, aor. 1 e r vnpér.; EîSe'vat, p. eîSinxsvai, p. inf. de EITTE', aor. 2 imper.; EiSw, / . efaouat, aor. 2 EÏSGV, Eîrrsîv, aor. 2 inf.;

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24 EK

EMTOV, eç, e, aor. 2 cfeiru. EITTOTE, conj., -si quelquefois, si

jamais. R. et, TTOTè.

EîîTCJ, con;., si quelque part. R. ei, TCCû, là, dans quelque endroit.

E'Z^X'TU.XI, aoxt, aorat, i». Èp-pc-fcaxt.

Eîpr.xx, aç, e, u. eîpw. Etprxstv, pl.-q.-p. du m. EtsDuat, p . pass. du m. Eîpr.ae'voç, p . par/, pass. du m. Etpvivri, r,ç (ri), paix. Eipyoouat, r , e rx t , / . 2 pas5. de Efpto, / . èpâ), p . eîpr.xa, dire ;

parler. Eîow>era, aç (r,), ironie, raillerie.

R. etpw. I. Eîç ou èç, prép. qui régit l'ace,

dans, à, vers5 s u r ; pa r ; en ­vers ; pour.

I I . Eiç, atx, fi, g. svo'ç, utàç, évo'ç, cdj. num., un, un seul ; —unique : et; TIç, quelqu'un.

EïçcaXXto, se jeter dans ou sur. R. Eîç, pâX'/.w, jeter.

EîçEtat, aor. 2 etçtov, p7-é5. inf. etçiî'vai, entrer dans, entrer ; —venir en. R . Eîç, Etat I I .

Eîo-t, 5 e p. pi. d'Etat I . Eioto, ady. qui réqi/ /e gén. ou

l'ace, dans, dedans, en de ­dans ; —yers : Tô EIOCO, le de­dans.

EIT' dev. une voyelle, pour Etrx, adr . , ensuite ; — quoi I Eiv/cv, Eç, E, v. f/jta. Efw9x, u. ÈÔ(o. EîûÔEIV, EIç, et, pl.-q.-p. <fs6a>,

(s. de l'imp.). EÎ080Ç, 07CÇ ( T O ) , W. d'EÎû>6tûÇ,

pris substant., la coutume. Eto>9tôç, uîx, o'ç, p . mou. d'eùtù. *Ex (il, dev. une voyelle), prép.

qui régit le gén., de, à partir

EKDJ

de, de la part de ; — à ; — par. — En comp., èx marque point de départ, séparation, division, exclusion, excès.

"EXXOTGç, vj, cv, adj., chaque, chacun.

'Exarspoç, a, ov, adj., l 'un des d e u x ; — l 'un et l 'autre.

'Exx-n, r,ç (-h), Hécate. 'Exxro'v, adj. num., cent. 'EXEï, adv., là (sans mouv.). R.

EV.EîVOç, celui-là, comme illic de ille.

'EXEfar,v, 00, TO, imp. de xeîuat. 'E/.Etvcç, r , c, pron., celui- là,

cel le- là ,cela;—ce, ce t te ; — il, e l le ; lui ; le, la.

'ExxXr.ota, aç (r,), assemblée. R . èX, xx).£cd, appeler.

'Exxoafîfw, exporter; emporter. R . ÈX, XOuîÇt!).

"EXXXICV, imp. de xXaîo. 'ExXavôâvu , prim. Xrîôw, f.

Èx/.YÎocû, aor. 2 Èiçe'Xaôov, faire oublier. R. èX, Xavôâvu, ca­cher.

Moy., ÈxXavôàVcaai,/. ÈxXri-ocaat, aor. 2 Èi-eXaOoarîv, p . de f. pass. ÈxXe'Xr,cuat, o u ­blier, d'où

'ExXeXfioôai, p . do y . pass. «?/. 'ExXeXûaôat, p . pais, inf. d'ÈxXûo). 'ExXxpcvour.ax, y. xXr,povoaÈ(o. 'ExXûw,y. ûoft), aor. 1 e r élçéXuaa,

p . ÈxXe'Xuxa,délivrer ; — a m o l ­lir, énerver. R. èX, Xûo>,délier.

Pass., ÈxXôop.at, f. uOrioo-uat, p . ÈxXÈX'juat, se relâcher ; — être énervé.

'Exa%6<ôv,GÛa%,ov, aor. 2 part, de 'ExaavOâvu, apprendre à fond.

R. Èx, aavôâvto. 'Exo'utax, aç, e, v. XOLUÇGJ.

'EX-ITTTM, tomber de. R . ex, Ï717T7GJ .

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EMÀ *E/-?âT7,c«, a;, e, V. /.oa/rs'a. 'Expàrouv, et;, et, tmp. du m. 'ExTocîiiv, adw., tout du long, de 'Exnvm,f. evw. p . èjcT£Taxa,éten-

dre. R. ex, Tsîvto. 'Extôy.uov, e;, e, tmp. de XCMCOCO.

'E/.oiv,où<ra, o'v, a. o'vTcç..., adj . , qui agitvolonliers, librement.

"EXaêov, e;, e, V. Xau.6dvca. *EXâXouv, etî, et, tmp. de XocXs'cd. 'EÀotx,tcTc;, m, ov, sup. d'èXayû;,

le plus petit nombre. 'EXÊ-Yoïtinv, imp. pass. ; "EXE-YOV, es, E, tmp. act. deXèp>. "EXE-T^OS, eu (é), démonstration,

preuve, d'où 'EXs'ry.tû, f. E'-Yç>>, p . r]Xvr/%, con­

vaincre; — découvrir, trahir. 'EXîVYI, me (in), Hélène. 'EXsuÔs'pat, tav (aî),Eleulhères,v. 'EXeuôsptx, aç (in), liberté, de 'EXSUOEOO;, a, ov, adjf., libre. R.

èXeûôco, aller. 'EXeuoîv, îvos (T.), Eleusis, .v. 'EXèoas, avro; (6), éléphant ; —

ivoire. 'E>Mh,aor. 2in/\ d'ioycy.xi. 'EXXàç, âSos (m), la Grèce: m 'EX-

Xàc epoovri, la langue grecque. 'EXXÉSopoç, ou (6), hellébore. 'EXXmv, mvoç (ô), Grec. 'EXXmvixo;, in, o'v, adj., grec. 'E TnoTicvTGc:, ou (6), l'Hellespont.

R. 'EXXas, WJVTCç, mer. 'EX-îl)o>, f. tcM,p. fjXmxx, espé­

rer, attendre, de 'EX-îs, t^o; (r,), espérance, at­

tente. 'EXrdo-to, vjc, YI, aor. 1 e r subj.

d'èXmi/i). "Eaaôev, E;, E, aor. 2 act. tnd.

de u.av8âvoi. 'Eiz-auccû,-?,;,où,pron. rè/ï. sans

nom.t dat. y, *),(•>, ace. dv, mv, d, de moi-même, à moi-

EBin 25

même, moi-même. R. èucù, moi, aùrde, même.

'EuSâxXw, jeter dans, verser. R. Èv, fjxXXco.

'Euo'xtnv, r,;, r,y aor. 2 opt. de 'Eaëaivw, entrer. R. èv, fia'.vw. vE_».Sr.6i, aor. 2 impér. d'vj.Zx'.-uù "Eu&rj-e, 2 e p. p/. aor.'2 subj.

du m. 'EUE, ace. d'è'Ytô. "EaêXe, v. u.èXei. 'Ei/.ÉXt£a, a?, e, aor 1 e r deitEXiÇco. 'Eu.'.aitûdvet, cottlr. d'èu-iaiocvEE,

5 e p. s. imp. de p.taiçovèo>. 'Eu'.p.où, COMr. d'èacaècu, 3 e p.

s. imp. de p.{p.è:u,ai. 'Eu.tfcsvtù, / . £vw, aor. 1 e r èvs'p.Ei-

va,p. Èu.u.Eu.£vr.xa, rester dans. - R . £V, L/.EVO).

Ep.c, v. î-vfc). vEp.i'/YS, daf. d'ë-Yto E. 'Ep.de, m, o'v, ndj., mon, ma, le

mien, la mienne. 'Ep.où, 0. d'èpi ou ci'ip.de. 'Ep.77EcYGy.Xm;, èou; (G) , Empé-

doclc. 'Ep.77ET;oo7rr,p.èvc;, r,, ov, p. pass.

part, d'èu/rrop-àco. 'Ep.77Xr.8co, / . T.OYO, aor. 1 e r èvi-

TrXr.oa, p. èp.Ttè-Xr./.a, p. pass. èaiïÉTïXmcu.a1., rassasier. R. èv, TTXY.ÔûI, .remplir.

Moy., èp.7rXin6oiw.a,.,y. r.ac-uat, aor. 1 e r èvEirXr.aâu.mv, wi. s.,d'oîi

'Eu.7rXrjO-au.Evo;, m, ov, aor. 1 e r

part. 'EaTTos—âto-û, / . r'o-co, aor. 1CI

'èvE-dpTrr.crx, attacher avec unt agrafe, agrafer. R. èv, ïropinn, agrafe.

vEp.775oo-8£v, ade, en avant, de­vant : EÎ? TG ElATTOGO-âcV, Ml avant. R. èv, irpd, devant (i;pd-GO;), qui est devant.

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£0 E.SE ENT

T.v.V7.y>,inus.. f.tu.y.i,aor.2èv- 'EVE'CTK, I». Ivetrri. E-JX-.-'-V , manger avidement, "EVEOTI, V. IVEIIM.

avaler, dévorer. R. èv, çwvw, "EvOx, adi\ , ici, là ; — o ù ; — manger, d'où alors. R. èv.

Ey .p^ôv , cDffx, cv, ao r . 2 p a r t . 'EvôaSe, odr., ici, là. R. âvfia, 5*3. 'Ea'paîvto, faire paraître. R. èv , 'Evî", dat. de et; I I .

çatvto, (i'oi* 'Ev'x.r.cx, a;, s, v. vuxw. 'E;j.çrvxi, a o r . 1 e r t r i / . "Ev.ci, tov (ci), n. eVa, certains, 'Evprép. qui régit le dat.,à, en, quelques-uns, quelques (per-

dans; — pour, par. sonnes ou choses). R. ev., p. "Ev, v. ET; II . EVETTI, :?, il est des gens qui, 'Evx, ace. m. du m. suni qui. '£-»miÀ).c;,cv, aà*;.,émule, rival: 'Evtcre, adâ., quelquefois. R.

y.è ÈvâaiÀ/.cvTiôsaoï.ilsmecom- In cTè, il est lorsque, il est des parent à... R. èv,âutÀXa, lutte, fois que.

'Evavri:;, a, cv, ad / . , contraire, 'EWEVYI/.CVTX, adj . num., qualre-opposé. R. èv, àvrt, devant. vingt-dix. R. èvve'a, neuf;

'EVXVTIOTV;; (r,), contradiction. X.CVTX marque les dizaines. 'EVX/JTî&JV, a;, a . . . cov, imp. de 'EWCE'O-ô),y. r.aa, p . èvvsvcr.jca,

vxjT'.ât). rouler dans son esprit, mé-'Evîir.:,c'?, O.ECç-Cûç,qui manque diter, penser. R. èv, vol»,

de,incomplet, imparfait.R.èv, penser, d'où âècuxi, avoir besoin, d'où 'Evvor.o-co, r,;, r,, aor. Ier subj.

*XvoY.a, a; (r,), besoin, manque, "Ewcix, a; (r,), pensée ;—con-pénurie. jecture. M. R.

\Xvo\6ev, atft;., de dedans , de "EVCTT'AC;,cv,adj.,revêtudesesar-l'intérieur. R. èvJcv, dedans. mes, armé. R. èv.ôrrXov, arme.

.EvoYc/.;, cv, a d / . , glorieux, Ce- Eve;, v. et; I I . lébre. R. èv, <3Y£a, gloire. T/cy/ei, con/r. d'èvoyXee, imp. de

*E-tiZyj.'yi, z;,z,aor.(2 d'èv.oâXXti). 'Evc/Xew-w,/. r'.aa), aor. 1 e r èvoô-Xve-yy.aîarv, aie, atre, aor. 1 e r '/fr.aj., p. èv©y).r,xa, troubler,

opt. moy. de^izta. importuner, ennuyer, ace. 'Evè-ypail/a, a;, e, aor. 1 e r d'è-p- oz/ daf. R. èv, o/Xc;, trouble.

-••esbu. 'EvTaôôa, a d e , m. s., que evfta: "Evitai, / . èvescaat, imp, èvriv, à-eipc; T;V TUV èvraùda, j ' i -

parf. èvo'iv, cjcra, cv, être dans gnorais ce qui se passait ici ou dedans; èv, staî I . (aux enfers).

L'unipcrs. IVEOTI, / . èvé- 'EVTCCçICV, eu (TO), sépulture; — a??.., il est permis. ornements funèbres. R. èv,

''Evexa, eve/.êv, ady., à cause de, ôXTTTW, p . TïTacça, ensevelir. pour. 'EvTci/.âaEvoç, r<, cv, aor. 1 e r moy.

Evsvcc-jv, ei;, s i , evaev, imp. pari.; d'èvvcèco. *Ev7£Î/.û>o.ai, Yi, r<7at, a o r . 1 e r

XvETîXy.fty.v, a o r . 1 e r pass. d'iu.- subj. moy. de TTXTÎSO). "EVTéXXW,/ . eX&>, a o r . 1 e r èvereùa,

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ESE EOI 27

p. «vrvraXxa, commander, en- imaginer. R. èx, eùpîaxca , joindre;—charger quelqu'un d'où de quelque chose, ri TIVî. R. 'ESeùcov, e;, s, aor. 2. tv, riXXw, faire, ou crre'XXw, or- uTJ-r.xïarîo'a;, ou (o), Exécestide. donner. "EçT.vOr.xa);, p. pari. d'è-javOeo).

Moy., èv7e/\Xcu.ai, / . eXoû- 'E r.icaTXGÔa'., p. m/, pas*. d'è im­itai, aof\ 1 e r èvsT€t/.au-r,v, p. èv- aTcarctw. TEToXa, m. s. 'E^îiç, ad»., d'une manière con-

^vreùôev, ad»., d'ici, de là. R. linue, de sui te;— avec or-evôa; 8ev marque point de dé- dre. R. e/^w,/. ê w, avoir, tc-part. nir.

*EVTO'ç, adv., dans, ç/én. ; — de- ÏS;r,ouiru.èvo;, n, cv, p. part. paw. dans, en dedans. R. èv. d'è;aax=fc).

*EvTpuopao), faire ses délices d e ; 'Ec/xvscuai-oùu.at, aor. 2 èçixo-— agir insolemment avec P-Y.V, p. def. pass. è t-yu-a»., par-quelqu'un. R. èv, rpucpâo. venir, atteindre à. R. è/.,

'EVûTTVIOV, ou (ro), songe. R. èv, îxveeu.a»., aller. ûirvcç, sommeil. 'Ec/wv, cùaa,ov,uor. 2 part, d'î\-

Eç, ». ex. Eiixi. 'E^av6e'oj-w, / . riot), p. ï%kfcr;/.y., *E;GU$ÏG>, f. Y!GM, p. è;woV.a.,

fleurir; —se couvrir de pus- s'enfler, enfler. R. èx,'cu>:a>, tules. R. ex, àvôew, fleurir. m. s.

'E^xiraTaw-û,/. TÎMO, aor. 1 e r 'E:;ov, n. d'èçwv, part. d'H-soT-.. è YjTrocrrjGa, p. e r,T.aér-/;xx , —Ce mot s'emploie souvent tromper, séduire. R. èx, irca- d'une manière absolue : ïfy-i Ta©, m. s., d'où |aot, étant permis à moi,

'E|airaTr,6Yioo'aevoç, r,, cv,/. pass. c.-à-d., vu qu'il m'est, qu'il pari. m'était permis.

"ÏÇsuwoç, ou, adj. y qui nie. R. 'E;oveicY£<o,/. ÎGGO, accabler d'où -ex, àpvscaxt, nier. trages, de reproches. R. è;,

*E *?7.«», / . âpc>, p. è^pya, ovet îÇto, m. 5. commencer, gén. ou ace. R. »EçooaflrUï s e précipiter, s'élan-èx, apX«, m. *. ce^ R ^ i itaf d où

^«(rxeov,/r,Gco,p. eçT.Gxr.xa.tra- .£,- • ^ a o r > l c r

yailler avec soin, perfection- » ' R , , , pur t.

.ex, aoxect), exercer. ¥ „„ r /• *•-"EÇ.UM, sortir. R. èx, du. II. J; ? « » "*• "• / • d Y'A u

^«Xaûvco, chasser de, chasser ; II- Eço>, ad»., hors de, dehors. — s'avancer à cheval. R. èx, R. eç. èXauvoi, pousser. 'E^cVxxwç, uïa, o'?, p. par/, at7.

Te spaSov, e,, e, aor. 2 d'èxp.av- ^ rfèÇotciew. 6âvo. "Eoixa, ». e?x«o.—"Ecucs, unipers.,

W ^ ^ û V , eç,e,fmp. d'èxTfi'rrrto. il semble, il paraît, il sied. 'EÉereivov, eç, e, aor. 2 d'èxTcîvw. d'où *Fx;eupîoxo), trouver, inventer, 'Ecixoi;, uïa, o;, o. c7c;,uîac,07c;,

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28 ERE Eni semblable; —vraisemblable ; 'E77EÎ77sp, cowj., puisque réelle-— convenable. ment. R. i-iit rre'p.

*ET7', dev. une voyelle, p . e'irî. "EîTcira, ad i \ , ensuite. R. im, 'ErraS-oo, amener, emmener. R. tlix.

i~i, Ô/YCO. *EaeXaGdu.Yiv, CJ, E7G, aor. 2 d*i-Moy., ÈTrâpuai, / . â;op.ai, 77iXauoâvoo.

m. ». *E77£'Xaaiç, ewç (in), invasion, i r -'Errao'to, / . aaco, p . irrry.x, ac- ruption, choc, de

compagner de son c h a n t ; — 'E-sXaûvoo, avancer, se porter chanter. R. èrrî, oî^w. contre ; faire une irruption

"Errxô^v, v. rAv/tù. Sur. R. E'TTI, ÈXaûvco. *E—o.îiîcuoa, aç, E, V. TraiSeûto. 'ETTEX—i to, f. îato, p . ETrriXTrixx, 'E-aivE-jxt, aor. 1 e r inf. ad. de faire espérer, nourrir quel-,£-aivEo»-ô),/'. s'aco,/. mo;/. E'G-O- qu'un d'espoir. R. èTTî, èXrrî-

U.XI, aor. 1 e r È7nnvE(7a,p. e*77r'- Çco, espérer. VEXX, aor. i e r pass. i-rrryiibr.-t, 'ErrEpLEXinôinv, t». È7riueXs'Gt».at. louer. R. è~î, aîvE'eo, m. ». 'E77eu.£u.<po'L'.Yjv, eu, ETC, imp. oVi-

"E77X'.VGÇ, CU (é), lOUange. R. £77'!, 77lUs'u.ÇGl/.Xl. aivcç, m. s. 'ETTE'OxoTo;;, ov, ad;., aimable. R.

'Erry.ipo, é lever ; — froncer les Èpato, aimer. sourcils. R. £77:, aîpoo. 'ETre'ppEi, 5 e p . ». imp. d'èmçbéa*.

E-x-i ,conj. p, È77êl av, après que, "ETTEO-OV, V. -177700. quand. 'E77E'G-7EXXCV, Eç, E, imp. d'i-xi-

*£77ttv7XEM-ô), / . incto, verser, OTéXXOO*

épancher sur ; —puiser, épui- ,E77£çovEU7o,5ep. ». pl.-q.-p.pass. s e r ; — remplir. R. èrri, àv- de çGVEûOO,

7>.E'OO, puiser, d'où 'E77r<p'u.y,v, ou, E70, imp. moy. 'Ev77av7Xc.fjcx:, pi. fém. part. d'ETrà-rco. 'E—àpeuGeç, ou fo;, laboureur. R. 'E77r;Xauvov,Eç, t,imp. d'eVreXaûvoo.

ET;'', depeupa, terre. 'ETTT'V, conj., lorsque, puisque. ,£77ao-ou.ai, y*, mo?y. d'Èrra^oo. R . S77EÎ, àv. 'Errs&nv, aor. 2 d'È77'.oaîv6o. 'ETrrîvEcra, aç, E, a. itzxwitù. 'ErrE-rëVGu/nv, eu, E7G, aor . 2 d'£- 'ErrTipxa, p . d'ÈTraîpoo, d'où

77»."vivou.a'.. 'E-y.pxoôç, uîa, o'ç, p . part . 'ErrEocoxa, aç, E, aor. 1 e r d'£- 'E77Î, prép. à 5 ca».* avec le gén.,

77to''!o*ooia'.. sur, en, parmi.—Avecledat. , '£773600, p . ÈTTEÔEce, 2 e p . s. d'à- dans, en , parmi ; à cause de,

77E7EU.7JV, f. È77'.7'!u\ai. après ; près de : £771 TîVI ; au su-'£77c0jar,era, aç, E, y. èTT'.OJU.E'OO. jet de quoi? ÈTrlrpavixô), près 'Errsi, conj., après que, depuis du Granique. — A v e c l'ace,

que ; — lorsque ; — puisque, sur, vers, pour, par, pendant : vu que. È77i7pàyjnXev WUEïV, pousser par

'E-vAxv, conj., après que ; — le cou. — En comp., £771 mar-lorsque ; — dès que. R. èTTEI, que arrivée au but, superpo-& , av. sition, addition, excellence.

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E n i

iBm&uva, monter sur, marcher sur, s'avancer. R . èm, patvw, d'où

*Etn€aTT,î, eu (6), passager sur un vaisseau.

lEmêcuXcûcd, / . eûuto, aor. 1 e r

•freëcuXeuera, p. euxa, dresser des embûches. R. im, {Scu-XttW, projeter.

Pass., Èm^cuXsûcuat, être l'objet des embûches d'un au­tre.

"Em-reXato, rire de, se moquer de, ace. ou dat. R. èrâ, "rs-Xâ<o.

Moy., È?rtreXâc-p.ai, / . âcc-fiat, m. s.

'Ewivwcaat, •ytpop.at, naître sur ou après 5 — survenir : E; arl-xitrrov èîre'YîveTo, eut traîné en longueur. R. ETCI, y'-Ycuat.

'E-t-j'po'.e.T,, y ; (ij), inscription, épigraphe, titre. R. èTTî, vp«-cpio, écrire.

*Ero£sixvyu.i, montrer, démon­trer. R. S77t, oVIxvyu.i.

"EirtcyEÎÇco, y . du pr . *Eirt£i£ioui, donner en outre, a-

jouter à ; — abandonner à, céder. R . éVi, cYîoœai.

*EîTtcYcûvat, aor. 2 inf. du pr. *EITISUCû;, adv.y suffisamment,

passablement. R. i~i, EîXOO,

être convenable. *EiriÇr,TE'to-co, / . y.oto, p . Ircct/r;-

rr.xa, demander avec instance. R . Èirî, Çy.TEû), chercher.

'Eraôyas'cù-tù, f. xco, aor. 1 e r

ÈTTEÔûayica, p . È^iTEÔûuy.xa, désirer ; — être épris de. R. è.TI, 80110;, cœur, esprit.

'Emduuy.aE'.x, a;, E, col. p . a i -p.1, ai; , ai, aor. 1 e r opt. du pr.

*Eitiy.où.éb), f. E'GO), p . ÈTrtxs'xXxxa, appeler ; — taire un crime

EIIl 20

de, reprocher. R. t r î , XXXE'M.

"EirixEiaxt, / . Etc.aat, être posé, établi, placé sur. R. «rt, •/.="-wai, être étendu.

'Eir.txEpTcu.Éto-ôi, f. y'uti), railler, se moquer de, plaisanter sur, ace. R. èTTI, /.£STcu.3w, piquer par des railleries (/.fp, cœur, Ts'u-vcd, p . moy. TETCUX, cou­per).

"ETTIXOTTO;, cy (ô), billot de cui­sine. R. ETTt, XOTTTW, couper.

*ET7ty.y77Ttt),/. Cyco, aor. l«r £77=-xytl»a, p.'ÈTrixÉx.yoa, se pencher sur, baisser la tête. R. i-l, y.y77Tco, s. m., d'où

'Errisc-oÇa;, aaa, av.aor. Ier pari. 'E77'.Xau.oav(i>, s'emparer de ;

prendre, mettre la main sur. R. ÈTïI, Xxu.Sxvco.

Moy., È-iXxu.oxvcaat, m. î. E-û.i-viù, tu.y.i, f. E'J-caxt, aor. 1 e r

ÉTrsXsiîaay.v, ajouter à ce qu'on a d i t ; — s u r n o m m e r ; — choi­sir. R. à—1, XE'-YW, dire, choi­sir, d'où

*E77».XE?otu.sv;r;, y,, c-v, aor. le rpa>7. 'E7ïto.sXs'cu.ai-o,jaai, f. r.atu.7.1.

aor. ier de / , paw. i-zu.z\rjbr:>. p. id. ÈîT'.u.Eu.EAxu.at, avoir ou prendre soin de. R. IT.':, y.i-XEï, on a soin.

*E77*.a£'açscu.a'., f. iu.<Lcu.m:, se t i l t ' 9 / t 1 à '

plaindre de, gén. et ace. R, E771, Lts'axoiAxt. s. ni.

*E77tu,ET5s'to, ajouter à la mesure, mesurer en sus. R. èTTI, a ï -

7 * TOE'CO, d'où

'E77tu.E7pr.cra;, aaa, av, aor. 11 !

parf. "ETïIVCV, S;, E, hnp. de Tct'vro. "ETTICV, E;, E, v. le m.

"Erric-px/eo-êo, f. yîato, p. È—tcopxr.-xa, se parjurer, faire un fauv

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m

30 ETI1

serment . R . è—î, con t re , cpx.ee, se rment .

*Eî:irîffwv, CVGX, cv, ao r . 2 pa r / . de

'E- i - t^Tw, tomber sur ou dessus. t \ . £77'., 771777(0.

"E-irrXx, cov ( r â ) , mobil ier , m e u ­b l e s ; — bagage. R . èTV.TT/.ECO,

t ransporter par m e r , c . -d-d. , ce qu 'on peut t ranspor ter , quœ moveri possant.

'F-<.-1OLG9.'., aor. 1 e r inf. de

'ETT'.TTÂaffGO), ail. OCTTû), endu i r e . R . £77t, TrXaaaa), d'où

'Erd-XxGvcç, cv, adj.,enduit; — feint, faux.

ETT'.TTXE-JGXç, acx , av, ao r . 1 e r

pari, de ::--.TTXîW, naviguer vers ou c o n ­

tre . R . £77'!, TTXSV).

'E-:~rj-/r„ r,', (r, , pièce. R . STT!, TTT-JGCCO, p . -irrrr/y. , p l i e r , couvrir .

XTT.çCECO,/. EôGO), couler s u r ; — alïluer. R . ëTT!, çëO>, couler .

'Y.-'.Gr.y.c;, cv, adj.,remarquable, d i s t i n g u é , célèbre. R . èTT-, -rcg.a, m a r q u e .

'E—'.GT.ç, «de. 'sous en/, U.EçOJ'Cç,

p a r t ) , é g a l e m e n t ; — d'égal

a égal . "E771G///Î777W, f. rlyro, «or . 1 e r

£-£G-/.7.yc., r ep rendre , b l â m e r ; — recommander . R . ëTT!, GV/C-TTTOj, s 'appuyer , d'où

'ETT'.G/.r.ycv., «or . 1 e r jw/. T.TT'.CX.CTTE'W-Ô}, /". Y!GO), «or . 1 e r

Ë7TEG/.C777,GX, p . £T7ECT/.C7T7,/.X, TC-ga rde r , observer : — e x a m i ­ner , v id te r . R . èTT:, G/.CTTE'GO,

regarder . 'Er.-*G/.cÔ777o>,/. wûco, railler, plai­

santer. R ÈTT'!, C/.M777'0, m. s. CTT'.GTTT'.GCU.cVCr, 7.,

p«rf. mou, de cv, aor. Ici

Eni 'E77lG775Cfc)-W, / . OCGû), ÙOT. i e t

È77£GTraGa, traîner vers soi, at­t i rer . R . £7Tî, GTracj, t i rer .

•Mot/. *, È77'. G-y.cy.7A - <ay.y., / . aGcu-ai, aor. 1 e r ÈTTEGTTaaa-p.Y,v, m. s.

'E77ÎG7au.3U, GX», Tat, MWp. 6771-G70tU.T)V, GC, 7C, a/1. rTflGTcéjXY.V, / . £77'.GTT.Gcp.a», savoir, connaî ­t re . R . èTT'!, ÏGTyy.y.i, se ten i r .

'ETTIGVE'XXW, f . EXCô, ao r . 1 e r g r s -

G7£'.Xx, p . mot/. È77£G7cXa, e n ­v o y e r ; — a n n o n c e r ; — m a n d e r , o rdonne r . R . ET?»!, G7c'XXto,m. s.

'£77'!G7£*JCV, SÇ, £, WJp. de 771G7E6<0.

'E77i7asaGGW, a//, àVrco, / ! âEco, t roub le r .R . È77'!,7X5»!GGOJ, m . s.

'Err'.TaGGw, ail. OCTVCD, mander , o rdonner . R . £77!, riaao).

'E77:7ay.cç, cv, adj., funèbre . R . £-'!,6x777Q,p.7£7aça, ensevelir .

'E77<.7Y!CVEIC5, CV, adj., p ropre à, commode, convenable . R . =771-77.CV7!;, m. s., d'où

'E-iTTiSzio);, adv., c o m m o d é ­m e n t .

'E77'.T'!0r.at, me t t r e sur on dans , imposer . R . ëTT!, rtir.y.:.

Mot/., i~'-'My.y.\, f. ëTTIOT!-

GCUXI, aor. 2 ë—E6ëU.Y;V, m. s.

'E-'-iy.yo>-à. b l âmer , répr iman­der . R . £77'!, 71U.â(0, d'où

'E—'-'.y.r.G'st, aor. 1 e r impér. 'E~[-:cy.cc, cv, adj., raccourci ,

abrégé . R . ëTT!, TëU.VO>, p . 7?ïOU.

TËTcu.x, couper . 'ETT'.Vçë-W, pe rme t t r e . R. ëTT!,

75 £77(0, d'où

'ETT!7C£'0CV, ao r . 1 e r imoér. 'ET7!7p'.TT7cç, cv, adj., d igne d ' ê ­

tre écrasé, scélérat. R . ëTT!, 7c!c.o), brover .

"ETT'.yËcco, porter en sus o/£ sur . R . £77*. CTECCO.

JUoy., i-'.oizcy.yA, aor. 1 cr

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EPI

êirr,ve^x«ar,v, m. s.; de plus, apporter.

Emyjxiw, bâiller après quelque chose, désirer avidement. R. «ri, vjxîvo), d'où

*Eî«Xavt^v» w<*xi &v» aor- 2 part. "Eiruâpxr.ox, aor. 1 e r d'ÈTT'.cpx.EG). *E7?Xv)pciôïiv, r,;, YS... r.cxv, aor.

1 e r pas*, de 7r>.r.30û>. *Etc).c*Û7ci;, 2 e p . s. imp. dexXcu-

TECi). "Eîroir.ca, a;, e, u. GTGIE'O).

*Errcir,aâp,r,v, « , XTG, i>. /e m. 'ETTCIOUV, et;, £i, conlr. a"è-OîEGV,

ee;, es, imp. du m. 'ETTO'UVUU.'., uo), jurer sur une

chose, affirmer avec serment. R . ÈîTÎ, 00.700.'..

Moy.,£7ro'p.7'jy.ai,y. èTTGU-OU-

p.xi,aor. lerÈ7Ttoy.0Gxu.r,v, m. 5. "Errpa^a, a;, e, v. rrpxGGO). "ETrparrov, e;, s, imp. du m. 'ETTTX, adj. nwn., sept. "ETCU (imts.), aor . 1 e r E;.~X,

aor. 2 el-cv, dire, ace. '£TT(dU.C<J3(U.r(V, V . ÈTTOU.VUU.'.. *Epâv, inf. de 'Esâw-w, y. âcw, aimer.

Pass., Èpxcu.xi-û(y.x'., ao7\ 1 e r xsotffOr.v, être épris d e , yen.

*Ep"YaÇop.at, imp. E-p^xtc'aviv, / . èpvacrcaai, aor. 1 e r E'pqxox— U.T,V, p . de f. pass. Eijrxsw.;, travailler, de

"Eî-J-GV, eu (TG), travail, ouvrage; — action ; — chose, affaire.

'Epsï, 5e p. s.f.; 'Epcîv,/. inf. d'Etpw. .EpiÇouoi, da/. p/ . prés. part, de tpii/i>, / . îcco, disputer, se que­

reller. R. epi;, dispute. 'Epivvu;, 6o; (f), ace. pi. 6a;-ù:,

Furie .

EZ1T 31

"Epi;, ISG; (f), dispute, querelle, débat.

'ESUEXç, p. rEouvri:. 'Epu-ri;, Gû (o), Mercure. 'Epy.o>.xo;, eu (G) , Ilermolaùs. "EGOU-XI, f. f.Gcux*., aor. 2 f ce'-

y.T,v, interroger, questionner ri T'.vâ. R, el'pt).

"Èpcu, impér. du pr. "EppîTTGv, imp. de Gî'—W. vEpô'.u.y.xi, C/xi, 7rrx i ,p . pass. de

ôîTTTG).

"Epp&jaai, OT.'., TXI, p . pa.15. do p (ûv vu u.i.

'Ec66r,u.a, ave; (TG), rouge, rou­geur. R. spu9po;, rouge.

vEc/cu.xi, inus. èàE66(O,/. è/.EJC:-

O.XI, aor. 2 X'/.ûGV, p. fv.uux, a» . èxf>.u9x, venir, aller.

' EGôJ , / . d'sipco oupr. d'àpaw. "Epco;, WTG; (G), amour, amitié.

R. èp*G), aimer. 'Ecûai, 3 e p . p/ . d'Èpao). "Eporo;, a. rf'i'sco^. 'EpoTxco-ô), / . f.ow, aor. i o r

fpwT-r.Gx, p . fiSw—r./.x, interro­ger : ri T'.VX ; — demander , s'informer. R. EICO, d'où

'EC(ÔTY(G'.ç, ECO; (f), demande , question.

'EpwTi/.G;, fi, G'V, adj . , d'amour. R. epw;.

'E;, p . e-!;: à*; TE, jusqu'à ce que. 'E;xù9i;, adv., une autre fois. R.

£;, aùSi;, m. s. 'E;EGX).GV, £;, £, aor. 2d'G;oa>.'.-:,

p . £Î;oâ>6».M. •*-,'5-.^'-, P» w.,..j./...

"EGYI, 2 e p . 5. / . d'v.y.i I . jE;f.£i7,£'.;, e-, tempspasséd'ï:-.:.:. 'E;'.W7, part, du m. 'EOTTî'P'.C;, a, cv, adj . , du cou­

chant, de l'occident. R. ïz-i-px, soir.

"EGTTEUCX, a;, £, r . arrEÔo'to.

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32 E1T

"Eorouca, p . Éarr.xa. 'EffTavatjp.ÉoTaxsvat.p.in/.ac^.

de ferrât. "Eersvcv, i m p . de orévw. "E<rrr,y.x, V. ferr/iai. 'EcjTÀor, r , cv, a d j . , brave. vE<776),5ep. S. twip.d'eîu.il, soit. 'EGVCô:, foGx, toc, p. ÔJ70Î, cSar,;,

CôTCC, p. =77a/.ciç, par / , de èVrx/.x.

'E77â)7»., daf. p/ . m. et n. du pr. "Eo-y cv, Eç, E, v. e/,w. "EffUGa, aç, s, r . ccôtxi). 'Evxipa, a; (r,), maîtresse, cour­

tisane. R. É7aïpc;. '£7x'.p./.3G, ri, ov, ad]., qui dé ­

note un ami,amical, de 'ETXîOGç . eu (G) , compagnon ,

ami. R. E7Y;ç, m. s.

'EvEftvr'.x.Eiv, si;, et, pl.-q.-p. de ôvrcîcw.

"E7£GG;, a, cv, adj . , autre, l ' au­t re .

'EVSCTTCW.V, GU, £70, imp. mou.

de vs'p—co. "Eveca, daf. pi. d'è*7Gç. 'Evr,, contr. d'frsa, nom. e* ace.

pi. du m. "E-:, adv., encore, en outre :

eux. £7-., ne plus. 'EVIÔEW.V, eao, ère, imp. moy. de

Tiôrw.».. 'E7tar,<ja, v. viaâco. "Evciuvc;, r., ov,adj., prêt, prompt. 'E7G"/.u.y,cx, a;, e, aor. 1 e r ind.

de 7GÀu.âci>. vEvc;, ec; (73), an, année. E7ÛS7X, V. 7pECO.

"Erjyov, v. TUY^âvto. Eu, adv., bien, heureusement :

EU UA'J.T., très-bien. R. eu;, bon.

Euve, interj., courage ! fort bien ! R. eu, qs'.

Eùvevr';, ec, g. ec;-cu;, adj. , no -

Eïn ble;—généreux, brave. R. eu, qÉvoç, race.

Eùyvtàu.cov, GV, adj., en partant des choses, raisonnable, juste. R. EU, «TVCôUAT,, sentiment, d'où

Eù*rvwu.Gvù)s, adv., avec douceur ; — avec résignation.

EùS*atu.Gvê'(i),/. T.aw,être heureux. R. £Ùo>at'u.(i)v.

Eù5'aiu.GV'a,aç (r,),bonb.eur.M. R. EùdNa,!y.ci>v, cv, o. GVGç, adv., heu­

reux. R. eu, ôV.îLMOV, divinité, destin.

EùepveVr.;, ou (ô), bienfaiteur. R. eÙE3-jE7Éw, faire du bien, de eu, epq'ov, ouvrage.

EuÇtovc;, GV, adj., dispos, leste. R. eu, Zârr., ceinture.

Eu6pu-7oç, GV, adj., facile à rom­pre , fragile, mou. R. eu, 6pj-7(o, rompre.

Eù6u, EÙôûç, adv., en droite l igne; — aussitôt, tout d'abord, in­continent. R. eùôôç.

Eùôûvw,/. uvco, aor. 1 e r euôuva, p . euôuy/.a, diriger «a course vers, de

I . Eùôu;, ela, u, o. eo;, eiaç, s'e;, adj., droit.

I I . Eùôûç, v. eùÔû. Eùx.x7xopGvr,7G3, cv, adj., mépri­

sable. R. eu, y.aracppove'iù, m é ­priser.

Eùx.pârr.ç, ou (é), Eucrate, h. Eùitcpcpia, a; (r,), beauté, de Euu.Gpcpcç, GV, adj., beau. R. eu,

u.cocr/i, forme. Eùvvi, r,i (YJ), lit. Eùvc'uucç, ou (ô), Eunomius, n. Eù!bxu.r,v, aor. 1 e r d'euy^ouvxt. EÙ7:'AGÉto-G<, / . y.ato, naviguer

heureusement : eù-Xoeïre, na­viguez heureusement, bonne navigation, bon voyage. R . eu, TTXC'C:, navigation.

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E*P EfiZ 33 Eupetv,aor. 2mf. de eôpîcxw. 'EeûXarrcv, eç, 2, iwp. de <pu-Eup$, 3*p. s. aor. Zsubj. du m. t Xârrto. Eùptaxtû, inus. eupco, f. TIOO, 'EcpwpâOr.v, rjç, r, aor. l"pass.

aor. Ier eupnaa, aor. 2 eupov, , «*« <pa»?aoi-to. p. eupwca, trouver, d'où 'ExeiptoaàiMiv, o>, aro, v. xeipoto.

Eûpotui, ou-, «, âor. 2 ope. 'EX??0'" *. Ç"' a^'-> e n n e m i - R -_ / ' j - r • • «x^s. haine. EÔTcvcç, ov, adj. fort, vigoureux. , * " .

R. eu, TO'VGç, ton (qui a beau- JW™>rWr» , # coup de ton). E*«» '"«*• «X». «"V- «%«./-

„- I ,,.' _ . . eÇ<ù, aor. 2 ear/cv, p. eoyry.x, Eupopcoç, eu (o), Euphorbe. a y o i r ) p o s s é d e - . __ ê l re'\ _ Eucpcpoç, ov, ad;., qu'on peut avecunadv., marque l'état ou

porter facilement;— expé- la disposition du corps ou de dilif. R. eu, <pépo>, porter. r>âme : être disposé bien ou

Euy.cu.ai,/'.eûÇou.ai,p.de/,.pas.9. mal. euvrwu, prier, demander avec "Eyuaa, v. y wvvuut. instance. R. eùxrî, prière. 'E VjdVu.Yiv,&u,eTo imp. de ^eûdV

*£©âvr,v, r,ç, n, i». cpaivoa. 'Ey'su sa u.r,v, w, aro, aor. 1er

*E«eacxov, eç, e, imp. de aào-xo). moa. du m. 'Ecpeo'peûw, / . eûo-co, tendre des I. "Ea>, g. ou ace. d'êcoç, aurore.

embûches. R. éV (èm), ecipa, II. 'Eu, contr. d'èâu. siège, comme insidiœ (in, se- "EOôïV, adv., dès l'aurore, dès le dere). matin. R. ewç, aurore, ôev

'Ecpei-riç, m. *. que éiçriç. marque point de départ. "Eçeorpiç, id oç (TI), manteau. R. 'EtopaxoSç, uïa, o';, aff. p. ùpaxoSç,

é V (èîrt), éwuai, se revêtir, p. part, de épâto. éaôïîç, vêtement. 'EcSpcav, aç, a, a«. p. capwv, a;,

"Ecpnv, nç, v), v. OTJU.Î, d'où a, contr. de upacv, aeç, ae, "Ecpnçôa, att. p. iyr,;. imp. du m. "E«pôaaa, aç, e, v. <p8av&>. I.f'E<aç, g. eca, et eooç-cuç (ri), 'Eepo'veuaa, aç, e, v. cpoveuoj. l'aurore, l'orient. • *E©opdti>-fc>, voir. R. ècp' (èm), II."Eeaç, cory". et adv., jusqu'à

opâto. ce que ;—jusqu'à; — en at-"Ecpoirrov, eç, s, imp. de cppûro-w. tendant.

ZEY ZHA. Z : en nombre, cette lettre, sur- Zeuvvuu.i,/. £eû£&>, aor. 2 IÇuy.v,

montée de l'accent aigu, X,', p. iteuxa, joindre. vaut sept. Zeôç, a. A'.o'ç, d. Au, ace. Aîa,

Zâto-5>,/. rio-w, aor. 1er eÇrio-a, Jupiter;—l'air. p. IÇr.xa, vivre. ZYIXOW-W, / . oSaca, p. èÇïiXoaxa,

Zsû, voc. de Zeûç. tâcher d'égaler; — imiter. 6

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34 ZHT

R. Çf.Xc;, émulation , d'où ZT.Xwceioc , eiaç , ete , éo/. p .

c/riXa)Gaiu.t, aiç , a t , aor. 1 e r

opf. Zf.v, dor. p. Çàv, in/", de Çdw. Zr.veçâvTr;, eo;-euç (o) , Zéno-

phante. Zr.Tc'w-w,/. T.acù, aor 1erEt/r.Tr.aa,

p . Èt/rr./.a, chercher, recher­cher; — demander.

ZQ2

Ze'çec, eu (o), ténèbres. Zorri, r ; (r,), vie. R. Çdw. Zœv, ww, ©v, conir. de Çdwv,

deuGz, dev, pari . M. R. Zâ>vra, y. Çôiv. Zwse'ç, a, e'v, cdi., pur. Zoopvrspeç, a, c-v comp. du pr. ;

tjcopoTEpev (et/ev) EU.&XXZEIV , verser de meilleur vin.

Zâ><ïa.v, acc.f. de £wv.

H

HAE H : en nombre, celle lettre, sur­

montée de l'accent aigu, r,, vaut huit.

I. 'H, fém. de é, r„ re. II. "H, fém. de ee, r„ o. III. VH, conj. o u ; — que (après

un comp.). IV. TH, interj., est-ce que? eh! V. rH, pe p . 5. imp. d'cty.î, I . VI. 'H, 5 e p . s. prés. subj. du m. 'H-.-avev, v. d-y», Hyavd/.TS'., 5 e p . s*fmp. d 'àya-

VOlY.Tc'lù. * - .

'HysÎT'dey. une voyelle, P.TTY/TO,

conir. de rrvESTo, 5 e p . s. iw>. de

riiv£eu.a'.-eùu.ai, _/*. Y'oeaa'., aor. 1 e r r-v-r.o-dar.v, p . d e / , pass. Y.-;raa-., penser, croire, r e ­garder comme. R. dy&>, imp. vi-ev, conduire.

"•Hyç, 2 e p . s. du pr. 'Hy/.odp.Eve;, r(, ev, aor. 1 e r pari,

du m. 'Hyvecuv, imp. d'à-pcc'a). 'it-j-ov. eu.Y.v, eu, ère, imp. d'à-j-co-

vi.ei/.at.

'lï'jî', co?y\, e t ; — soit ; — cor-rél. d'rty.v>, soit... soit.

riOc'.v, E I ; , s-., y . clOCO.

ii-jï'to:, ady., agréablement ; —

, « « i

HKO ^ ^ volontiers, avec piaîSir^Jl . r,ou;, agréable.

"HSïI , ady., déjà. "HO\<JTCç, r , cv, superl. de r.<3uç. 'Ho't'wv, ev, a. eveç, comp. du m. "Ho^eu-at, v. fi$iù. 'Hcvovr, 7Ï; (r,), plaisir, joie. R

rriuç. 'flo'uvdu.y.v, ce, 70, a/f^^ffEouvd-

p/cv, imp. de £ûy*faai. 'H&Wdôsia, sprfp),'\ie volup-

lueuse^irîbllesse. R. Trac/©, aorJÏ E-aOev, sentir, e£

'Hgvârç, EÏa, û, o. =:;, six?, e' adj . , agréable, d'où

Hào, / . T.GW, aor. l e r r/ra, p . r^x^réjouir, charmer,

Moïf».f,<$cu.a.'.9 / . Tîceaai, aor. 1 e r ae>/ pass. TiGÔr.v, p . id. xGo.ai, seîSéiouir d e ; — se réjouir.

vH0cXev, E ; , E, imp. d'èflÈ 'fll'ojv, eve? (o), rivage. 'H/.s'-waav, 5 e p . pi. imper

de YJXW.

"HxiGTa, adv., très-peu ; — n u l ­lement. R. TJXIGTO;, sup. d'y-jwt, doucement, peu à peu.

THicov, E;, E, imp. de r;/.©. vH/.euev, imp. d'd/.eû©. VH/.OUGX, aç, E, y. /e m.

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HNE

"fixpooijAr'v, u, aro, iwp. moy. a^bopoôou.xt.

wï\yuùtf. x;«, p. x /a , aller,venir ; — s'approcher ; — arriver.

'HXe^'aïiv, ou, ère, imp. pass, d'èXi-y/jû.

'HXeïoç, ou (é), Eléen, d'Elide. THXÔcv, te, s, y. epy/.u.at. *HXiy.:oi7r.ç, eu (é), qui est du

même âge. R. xX»«a, âge. "HXUCOç, n, cv, adj., combien

grand ; — tel que ;—corrét. de TXXUCCùTOS, il se traduit par que.

"HXtoç, ou (é), soleil. *HXos, ou (t), élou. 'Hajiefpl. d'i^â.

us'Xcuv, imp. d'àu.eXî'ci). I . 'Hp.ï'v, cory., certes;—soit ,

H.THuiv, l r e p. pi. imp. Cï'EÎLU I. 'Huipa/fH^Vi), jour, journée :

p.s6' 7\u.£p«il quelques jours après.

'Hu.£Têpc;, a, ov, acjv, notre. R. v\uets.

*Hu.Σ0)6oç, ov, ad/., à demycuit, à demi rôti. R. xpu, à moiûi lipo, aor. 1 e r pass. scpôr.v, fairî cuire.

'Hu.lX)v£)V70, p . OCOVTO 3 e p . p / . imp. de au.tXXxou.xi.

'Hu.uvdp.xv, v. àp-uvco. I.'Hv, conj., si, soit. R. et, dv,

d'où exv-xv. II. "Hv, ace. f. de es, x, o. III. *Hv, l r e ou 3 e p. s. imp.

d'eàû I. Pp. TM, voici : xV 10*06, m. s.

'Hve'rXa, y. oéaco.

HX0 35 "HvrXxox, a;, e, aor. I e r d'à.-

TA50) »¥Tr » Hç/.ouv, ou;, ou, confr. d'xv'^'v,

oeç, ee, imp. d'àv.ow, d'où 'Hc/tôflxv, r.s, x, aor. 1 e r pass. 'H^îwaa, a?, e, y. le m. He/i>, v. ry.'ù.

"H-ep, conj., ou; — que, que même, après an comp. II. x III, TTH'P, certes.

'H77ta7ap.r,v, ao, TO, V. i-'.OTV.u.y.:. I. VHT:CU, adw., certes, sans

doute, assurément. R. x, cer­tes, trou, adv. de lieu.

II. "HTTCU, interr., est-ce que ? M. R.

'HpxxXÉxs-x;, 9- e'ous-oùs, l'oc. ees-ets, Hercule : ai 'Hpx/.Xe:,-, ô Hercule! par Hercule! R. THpx, Junon, JOXE'O;, gloire.

'Hpâjôxv, xs, x, y. èpâoi. 'Hpto*av:s, eu (ô), Eridan, Yô,jl. *HptoT£uaa, as, e, aor. 1 e r d'à-

pioreûai. *Hp;a, as, e, y. ap/o>. "Hpœs, <oos (ô), héros. THaxv, 3 e p . p / . imp. d'etaî I . *HsOx, a», p. xs, 2 e p. de xv III. "Haowv, y. XTTCOV.

yjx, as (x), repos, paix, tran-illité : xxô' xouy^av, en paix,

sarhyrien dire. R. xcny/.s, tranqi

vHT£t, con/rNTx7£E, 3 e p. s. d'xi-750). > .

"HTXOX, as, e, ao?S^ec du m. "Hrrajv, cv, ait. p. xWfey, moin­

dre, inférieur, yen. R v x x x , peu. ^ v

Huçixa*, as, £, y. aùÇavoî. *N 'HyJhW.v, ou, 570, imp. d'dy.dcitx:.

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©EA ©NH © : en nombre, celle lettre, sur- ©Eacaîu.y.v, ato, atro, aor. 1 e r

montée de l'accent aigu, 6', opt. vaut neuf. ©sarii;, oû(ô), spectateur, M. R.

©âXaac;, ou (é), chambre à cou- ©eîo;, a, ov, adj., divin. R. ©éô;, cher. Dieu.

©xXfk, Tjro; (O), Thaïes. ©EXTC-G), et;, et, / . de ©avare;, ou (o), mort. R. ôvr',- ©E'XCO, m. s. qu'èbikut.

axai, aor. 2 eôavov, mourir. ©sut;, tcVo; (r,), loi; —justice ; ©avoiv, oùca, dv, aor. 2 pari. —droit. R. riôr.u-i, aor. 2

du m. part. moy. ôéu-evo;, poser, ©arrro),/. 6âd)<o, aor. 1 e r é'ôadva, établir, régler.

aor. 2 eracpov, p. rs'raœa, en- ©sd;, où (o), Dieu. sevelir, inhumer. ©spa-Eta, a; (r,), soin, remède;

Qâppst, impér. de — guérison, de ©app£w,/. rco , aor. 1 e r Èââp- ©spaTîEÛw,/. EûG-W, aor. 1 e r 16e-

py,o-a, p. rsôdppy/xa, être plein pârrEutxa, p. rEÔeparrEuxa, aor. de confiance, se rassurer, d'où Ier pass. È6epar;£Ûôv;v, rendre

©âpaet, p. 6dpo££, impér. de des soins à quelqu'un; — cul-©apo-s'iû, / . rîo-œ, m. s. one 6ap- tiver;—honorer. R.èepâ-uv,

psw. serviteur, ©xpao;, se; (rd), confiance;— ©spu-o;, ou (é), lupin, légume.

audace ; — fermeté. R. ÔÉpoo, p. pass. raôspiMu, ©drape;, a, ov, adj., l'un des chauffer.

deux, l'un ou l'autre. R. o, ©spo-irv;;, ou (é), Thersite. a. roù, êrEpc;, autre. Qiabxi, aor. 2 inf. de rî6r(u.t.

©xuuoci/u, / . daw, aor. 1 e r Èôau- ©s'ri;, to'o; (r), Thétis. (jLaaa, p. raOaûaaxa, regarder ©srraXdç;, d, dv, ait. p. ©scraaXd;, avec admiration, s'étonner. adJ-> Thessalien. R. Ôaùaa, admiration. ©r.ëaïo;, ou, adj., Thébain.

Moy., Ôauu.dr/.p.ai, / . acre- 0r,pd<a-5i, / . daw, aor. 1 e r EÔYT

tixi, m. s. paaa, p. rEÔvipaxa, chasser, ©auadoto;, ov, adj., admirable, chercher à prendre, poursui-

merveilleux. R. ôaup-âÇai. vre. R. ôr.pa, chasse, ©auaaord;, ri, 6^, adj., m. s. ©riptov, ou (ro), bête farouche; —

M. R. bête, animal. R. ôrip, bête. ©auu.âao>tu.ai, ri, r.rat, aor. 1 e r ©r.caupd;, où (é), trésor.

subj. du m. Orirsûacdv, ouca, ov,/. part", de ©a-l/ôtv, / . inf. de ôârrra). 0-/ir£Ûw,/. EÛaw, travailler à ga-0eau.a, aro; (rd), spectacle, de ges ; — être gagé, salarié. ©sâou.ai-ûu.ai,/. âaop.ai, aor. 1 e r R. 675; ou OT/TEû;, mercenaire.

Èôcaoâar.v, regarder, voir. R. ©vricrxw, inus. ôa'vw, Ôva'w, / . 6a-Ôî'a, vue, d'où voùixat, aor. 2 IGavov, p. TS-

06

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epr Ovxxa,p. moy. Te'ôvaa, mourir.

eôpu&c, eu (6), trouble, tumulte. «xpâc;, axd;, adj., de Thrace,

Tbrace. 45-paauxXx;, ecu; (6), Thrasyclès. Gpaoûs, EîX, 6, arf/., audacieux,

téméraire, insolent. R. Opâao;, audace.

0pxvo;, ou (6), pleurs, lamenta­tions.

^p$, 9- "rptxo'ç (x), poil, cheveux. ©aûxrto, f. ûij<atf. 2 ucpû, p. TS-

rouça, rompre ; — énerver.

enn 37 Pass., Osurrreuat, / . user! •

ccu.ai , p. TE'Ôsyaaxt, être énervé, corrompu.

e-j-j'â-rre, 0. TEpc; et rpc;, fille. 0yac';, cù (é), cœur, cou rage ; —

colère. 0Opa, a; (in), porte. 06 as iv, f. inf. de 0-jto, / . 6ato, aor. 1er e5ya-/, p.

TS'ôUXX. , immoler, sacrifier, mettre à mort.

©wTTEyio,/*. Ejaw, flatter, cares­ser.

I

IKÀ I : en nombre, cette lettre, sur­

montée de l'accent aigu, î, vaut dix.

"iaÉcu.ai-wu.xi,/'. âacaat, aor. 1e r

ixaxuxv, p. de f. pass. îxu.x'., guérir, ace.

IOCïTJ , u^e; (6), Iapyx. 'Iâaxi, aor. 1er impér. moy.

d'iàcuat, d'où *lxrpc5, ou (6), médecin. *lSxpîa, a; (x), Ibérie, Espagne. IcVeTv, aor. 2 inf. d'v.Sio. *I«7r.;, 2e p. s. aor. 2 su/y. du m. *Id\cdTr.s, eu (é), qui mène une

vie privée, particulier. R. îo\o;, propre à soi.

'Iooasveû;, E'C«>;(6), Idoménée. *l5c6, adv., voici, voilà;—voilà

que. R. EIOCD, voir, "loca, x?, x, v. "Sx.;. *Io*<âv, ouax, dv, aor. 2 part, du m. WIXTE, 2 e p. p/. d'tto, aor. 2 sa//;.

d'Etat II. "Ixavoc, x, dv, ad/., propre à; —

suffisant, assez nombreux ; — convenable, d'où

*Ixavû;, adv.f suffisamment.

120

'IXETêÛCû,/'. Euato, supplier. IXXuptd;, a, cv, adj., Illjrien,

d'illyrie. 'JUXTICV, eu (rd), habit, vêle­

ment. R. éVVUIM, p. pass. sl-uxt, vêtir.

"Iva, conj., afin que, su6/. 'Ivocî, êàv (eî), les Indiens. 'IOXêCOç, O) (é), Iolas. Idvrx, ace. d'iâi. 'iTîTTEyç, E'COç (é), cavalier. R. fo­

rce;, cheval, d'où 'i-rccaxyja, a; (x), combat à che­

val , charge de cavalerie. R. p.xx.x, combat.

Ircrco;, eu (o, x), cheval ; —ca­valerie.

"Icxat, 5e p- pi. dTaxat. 'Iar.vcpia, a; (x), égalité. R. tac;,

égal, à-yopsuti), parler. "Ior.at, r,;, xat, savoir. 'Icrar.vdcYcopo;, eu (o), Isméno~

dore. *Iac; et tao;, x, cv, adj., égal, pa­

reil; — juste. 'JGCXTXXIC;, cv, adj., qui est d'un

G.

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58 I2T IQN

poids égal, équivalent. R. u.<xt, se tenir ferme, debout. îo-oç, arâoiç, immobilité. Moy., foxxu,xiff. oTyocuat,

*IGC-IU.îX, aç (T.), égalité d'hon- aor. 1 e r èax-r,cxu.r,vf m. «. neur, de pouvoir; — condi- 'IOTI'CV, ou {xo)y voile de vaisseau. lion égale, de R. toroe, mât.

'IO-OTIUO;, cv, adj., qui jouit d'un IcYupo'ç, â, o'v, ad/ . , fort, ro -honneur égal. R. ?GO;, TIU.TI, buste ; — puissant, de honneur. rl<r/yc, ùoç, ace. 6v (in), force,

*IGGO;, où (é), Issus, v. puissance. "IO-TS, p. to-a-s, 2 e p. p/. aTaïioa. * i o w ç , a c 7 t , v également;—peut-"IoryiM, prim. GTOCO), / . <rrr,o-©>, être. R. IGOç, égal.

lie moy., steti, steteram. , , Pass., farxuxi, / . oraflr.<T0- Iwv» o o r - 2par*. d eùxt II.

oxi, aor. 1 e r toTder,v, p. fora- ^vt 'a, *? (*)r Ionic»

K

KA0 KA0 K : en nombre, cette lettre, sur- Kaôso'oûu.at, / . 2 de

montée de l'accent aigu •/.', vaut KaôsÇcu-ou, imp. Exa6eÇo'u.yjv, être, vingt. rester assis. R. xaô' (xarâ),

Kà^oî, p. x.ai 1-yoS. ftbuai, s'asseoir. KxÔ', p. xxrâ, dey. une voyelle Kaôet'u,svoç, y,, ov, p. par/, paw.

«sp«>««. de xaôîytu. Ka6*i?iw, abattre, ruiner. R. KaesXwv, OÙGX, o'v, aor. 2 part.

<ytf (xarsî), xtp s». rfe x a ô a i p g ' w . Kxto&ixoôxi, aor. 1"inf de Kaôy W ô s o o - Û , / . yo*>, passer Kxjxttcxxi, smiter «te Aatif en , e t ûmJ | e f . ^ R

KxôT—'con' ' "comm^RTr *V * a ô ' ^ a a ^ . ' "'* W 6 e î a -a x<.Sj«, conj., c mme. . xx Ka&wiut, faire descendre. R. i/.xxx), a (p/. n. de oç, y, o), », , ' >\ » 77£p, m. a m. pour ce que > ". r , -cer7eS KaôixveofAat, toucher; — frap-

KxBxpux, aroc (xô), ordure; — .. P e r ; R ' Jca8 ' l * 3 " ^ 'l*V£V"> homme vil, méprisable, mi- "" 4*o u

sérable. R. xx6xîpo>, nettoyer. Kx6ixou.6voç, y, ov, aor. 2 par/. KaôâpGio;, ov, adj., expiatoire; Kaô-bryai, fixer; — s'établir.

— le neul. pris subst., puri- R. KXô' (JoaTa), tanuzi. fication, expiation. R. xaOapo';, Kâôûôvoç, ou (y), descente. R. pur. ' A8' (xa-d), ôeb';, chemin.

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KAN

Kat, conj., et, même, aussi, encore.

Kouvoç, ri, ov, adj., nouveau, neuf;—extraordinaire : xxi-va Taùrâ (èOTI), voilà du nou­veau.

Kawrep, conj., et même, quoi­que. R. Xaî, 77=p.

Katpo'c, où (G), temps favorable, occasion ; — circonstance , conjoncture, temps.

Kairoi, conj., et même; — ce­pendant ;—quoique. R. xxi, TOI, certes.

KOUEÎVOç, p. xas éV.s?vcç;. Kâxtaroç, vi, çv, 5»p. de xxxo'ç,

très ou le plus méchant ; — le plus lâche.

Kcotoîatjztùv, cv, ad/., malheu­reux, misérable. R. xaxo;, âaîu.wv, destin.

Koucov, où (-6), mal ; — malheur, de

K.03COç,T, o'v,ad/.,inéchant, mau­vais; — lâche ; — vil, d'où

Koucûç, adt»., mal, mécham­ment ; —- malheureusement.

KaXau-oç;, eu (é), roseau ; — gluau ; — ligne de pêcheur.

KXXXEI, dai. de xâXXoç. KaXXtGVr)u.îcVYiç,cu (é),CaIlidémide. KaXXic0év7)ç, eoç (6), Callisthène. XâXXtora, adv., très-bien, le

mieux du monde, à merveille, de

KflcXXio-rç?, vi, cv, sup. de xxXo'ç. KaXXtwv, cv, g. ovoç, comp. du m. KâXXoï, eos-cuç (TO), beauté, de KaXo'ç,vî, o'v, adj., beau ; — bon ;

— honnête. KOXGSO\GV, GU (TO'), petite corde,

ficelle. R. xocXuç, corde. Kôv, p. xal âv, et si, si même ;

— quoique.

KAT 39

Kavô\»c, ucç (ô),manteau persan. KivTaùôx, p. xoù èvTxù5x. KaTTTja oxr.ç, GU (G), habitant de

la Cappadoce, Cappadocien. KaTrûvi, r,; (r), Capoue, v. Kap, apo; (ô), qui est de Carie ;

— Carien ; — homme vil. Kâp/ivov, GU (TO), tête, sommet.

R. xxpx, m. s. Kapîx, a; (y,), Carie. KapTEpc';, â, ov, adj., fort, ro­

buste ;—puissant. R. xparo;, xoepre?, force.

Kapyjr.oNmGç, a, GV, adj., Cartha­ginois, de

Kapyjr.GVwv, o'vcç (r,), Carthage. Kaptôv, g. pi. de Kâp. K.XT1, p. xxrâ. Kovra, prép. qui régit le gén. et

l'ace. : avec le gén., sur, con­tre, par : xarà VOJTGU, par der­rière; xovrà xoppr.ç, sur la j o u e ; — a v e c l'ace, selon, touchant, sur, quant à; près de; le long de; pendant : XXT' Gùô SV, en rien ; y.xby xu.=-pav, chaque jour.—En comp., x.xTx marque mouvement de haut en bas, perfection, so­lidité.

KaTaëaîvGo, descendre ; — pion -ger. R. xaTOc, ^aîvo.

KaTaêâXXti), abattre, renverser ; —payer. R. xaToé, (JOXXM. d'où

KaTa€aXoSv, cùaa, o'v, aor.lpart. KaTa€vivai, aor. 2 inj. de XXTX-

6a(v<i>.

KxTaysvsXao-Tat, 3 e p. s. p. pass. KaTa-reXotorcLtat, ri, erat, v. le s. KaTayeXâw-â), rire de, se mo­

quer de. R. xavâ, ysÀoco. Moy., xaTayeXoccLtai-waat,

f. arrouxi, m. s. KaTa-ytov^Gu.at, / . îacuai, vain-

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40 KAT

cre. R. xocrx, à*r&>vîç*oaat, combattre.

KaraoXxxÇco, f. «cw, aor. 1er

X7.7ed\'x%cz, condamner. R. y.xTix, à\xâ£<o, juger.

KxTa^iy.aoÔsî;, eïaa, év, aor. 1 e r

p a r i . pass. du pr. KZTZO'IXY),r,; (r,), condamnation.

R. y.xTjc, oW,, jugement. KaTxSuvb), plonger, enfoncer

profondément, subrnerger.R. y.xTa, ouvo>, 8ù(û, entrer.

Kxra5a), /". aato, chanter aux oreilles de quelqu'un, l'é­tourdir par ses chants. R. y.xToc, ao\o, chanter.

KxTxâcy, p. y.arâ6£iw, CLOT. 2 impér. moy. de y.xza.-iQr.y.:.

KarxOpaayvcaxt, avoirde l'auda­ce, faire bonne contenance.R. y.xrâ, ôpacrjvoLta»., s'enhardir.

Kxray.stuLX'., fut. X£,'GOU.7.I, être coucher,secoucher,s'étendre.

K7.77.xsy.Vc.9ai,p. m/". paSS. de Kx7a>4S7r7co, . o'Ço), aor. 1 e r xz-

TcV.o x, p . xsxocpa, couper en morceaux. R. y.xTz, y.V7rr&>, couper.

Kx7xy.y7rro>, f. û'yco, aor . 1 e r xa-7=V.y a, se pencher ; — re ­garder en bas. R. xx7sc, xy-7T70), m. s.

Ka7a>£''77Cd, laisser, abandonner; — laisser par testament. R. y.a7a, XEITTCû, laisser, d'où

Kx-aXsXoiTrz, aç, s,p.mOî/.,Wl.S. Kx7a>.'.-£, 2e p . impers, du m. Kx7a).'.7:cov, &y<7x,o'v,aor. 2 part.

du m. K 7.7av7.y/.a^o), ". âcw, aor. 1 e r

y.xr/;vâ^/.a<77.,forcer,contrain-dre.R. xz7st, xy.j.y/.x^m, wî. S.

K.7.7xvay/iXGX£, as i , av, aor . 1 e r

pa?i. act. du pr.

KAT

Kx7a7rsu.7rtj, faire descendre. R. xz7â, TTs'y— u, rf'où

Ka7Xî7£a<Ltij, r,;, T„ aor . 1 e r SUO/\ KxTaTTÉTrXsyxa, a;, E, p . de Ka7a7r).c'co, aborder au port, ar­

river. R. X7.7CC, TïXSG). Ka7a7rXxcGCi), ait. r,77<o, épou­

vanter, frapper de terreur. R. y.7.7a, ïïXr.GGco.

Ka7x-).ocç-cy;, o. ooy-cfj (ô), tra­jet. R. X7.7X~XEti).

K%Tapxcu.%i-â>u.ai , f. r'oop.at, maudire, faire des impréca­tions contre, gén. R. xxrâ, àpacu.ai, prier, d'où

K7.7ap7.7cc, cv, adj. maudit, scélérat.

K7.7xpiôy.£c>-â>,/\ r.aiù, aor. 1 e r

xx771p»'9p.rlGX, p . y.7.Tr,oiBy.r>KX, énumérer, compter. R.xzrâ, àpiôWco, m. s.

3/op.,y.a7api9u.Écu.at-oytu.xt, f. xocuai, m . S.

K7.77.G/.£jx to, préparer, cons­truire; — façonner. R. XXTîX, G/.EyâTcj, faire.

Kocrzaco^u, f.iam, p. ix.x,aor. Ier pass. y.y-ta^'.oBrn, trom­per. R.y.7.77',<j;o£tû, imaginer.

K7.77.GC'p'.G6=îr, £107., £V, UOr. i " part. pass. du pr.

Kx-zxa-x, contr. de y.x~zQTzx&y

prés, impér.; KxvxG-aGov, aor. 1 e r impér. de KzrxGTzxu, tirer en bas, entraî­

ner. R. y.x7a, GTzzvi, tirer. K7.7â<r7r,Gov, aor. 1 e r impér. de

y.7.bi<rrr,u.i. Ka.TflCGrpEcpto, '. E'C/M, aor . 1 e r xa-

TEGTpS'fX, aOr. 2 XX7£G7paCp&V, p . y.7.7£G7pEça, rcnverser,bou-leverser. R. zx7a, a-peepo, tourner.

Moy. X7.77;GTp£O0Uat, f.

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KAT

itycwti,aor. 1 e r xxr£oTpE<|ocu.xv, m. s.

KamTÏ6x|*t, déposer ; — placer, mettre. R. XXTOC, 7Î8xp.t.

Moy., xaraTiÔEu-at, m. s. lLaxtttçiyjtù, ravager par des in ­

cursions : rà âVravTa xxTs'cVpa-t*ov, je ravageai tous ces pays. R. xarâ, rps'y/ti.

K.aTaoo€É(i), épouvanter. R. xa-TOC, pjoêe'o).

KaTatyoëxoac, aaa, av, aor. 1 e r

part. dupr. Ka7a<ppovs'<tt-w,/. viao), aor. Ie1"

xxTEcppovxaa, mépriser, ace. ou yen. R. xarâ, tppcvî'w, pen­ser, d'où

KaTacppovxToç, o'v, adj., mépri­sable, à dédaigner.

Ka7axpxGp.ai, abuser de ; — dé­penser, dal. R. xarâ, /pâc-p.ai.

KaTs'êaXcv, ES, E, aor. 2 de xara-GofXXoo.

Ka7EcY(xx<ra, as, E, V. xa~a$txccÇ<>>. KaT&pap.ov, E;, E, aor. 2 de

xararpéx*»). KaréÔETû, 5 e p. s. aor 2 moy.

de xaraTiâxai. KaTEÔpafjuvop.xv, oy, ETO, imp. de

xxTaflp aG*ûvop.at. K.aTEi).£ft>, / . xca>, envelopper.

R. XXTOC, EDVSW, rouler. KaTEtu.i, descendre. R. xaTa,

Elp.t II . K.a7ExyT

,a, as, e, u. xaTaxÛTCTco. KaTEXsAoïTiEiv, EIS, Et, pl.-q.-p.

moy. de xaraXEiira). KaTeXxXyâÉvat, p. in/, moy. de

xaTc'pxop.at. KaTÉXirrov, ES, E, aor. 2 de xa-

TaXéiTcw.

KaTÉTSEp. a, a;, E, aor. 1 e r de JMt7a7T£p.7T<0.

KEI a i

KarEirXâ"jxv, xç, x, aor. 2 pats, de xaTXTrXr.ffati).

KaTEp*yâsop.at,/. â<iop.at, aor. 1 e r

xaTEip-j'aoap.xv, fa ire;—tra­vailler, façonner. R. xara, Ip'yâ^op.at, faire.

KaTEoxEuaop.E'vcs, x, cv, p. pari, pass. de xaTaa/.£yà^ti).

KaTê'onraaa, as, E, aor. 1 e r de xaTaoTrâa).

KaTÉcrrxv, xs, x, aor. 2 de xxO-Î0TXU.t. •

KaTEayov, ES, £,aor. 2 de xaTÉyo. KaTECppcvEt, contr. dexarEocovEê,

3 e p. e. imp. de xaTa'jpcvr'w. KaTE/pxTO, 3 e p. s. imp. de xx-

Taysâop.at. KaTc'xw, retenir, arrêter. R.

xarâ, éy/o. KasY/ppEt, contr. dexarr/pcé:,

3 e p. «. imp. de KaTX"|'cpE'ti)-w, / . x'atvj, «or. 1 e r

x<xa, p. xxa, accuser, blâmer. R. XXTOî, àyopEÛoo, parler.

KaripEiv, £ts, Et, v. xaTEtp.'. et Eip.1 II.

KaTxpàro, contr. de xxTxpdsTo, 3 e p. s. imp. de xaTapâcp.at.

KaTxpt8p.xcto, 2 e p. 5. aor. 1 e r

mo|/. de xaTapi9p.£(o. KaTtê'vai, in/, de xxTsip.1, d'où KaTioSv, cyo-a, ov, aor. 2 part. KaTcp6cup.£vos, x, ov, prés. part.

pass. de KaTcpôc'to—u, / . wo-to, aor. 1 e r

xaToipôwaa, p. wxa, réussir, avoir du succès. R. xaroî, c:-ôc'w, dresser.

J/ow., xaroc6ocp.at-cyp.ai, réussir, en parlant des choses.

Kéîp.at, aat, Tat,/. x£Îo*cp.at, être couché, étendu par terre; — être enterré.

KeÎGxi, v. le pr. KEïO-O, prés, impér. du m.

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42 KAE

Kêxst'côto, 3 e p. s. p. impér. pass. de xpivw.

KsXEÛo-a;, a<ra, av, aor. 1erpart. ; JVEâEUGGV, aor. 1 e r impér. de K.EXEû&>, / . sûao, aor. 1 e r SXE'-

Xsuaa, ». XExs'XEuxa, ordon­ner ; — exhorter ; — deman­der. R. JCE'XW, m. s.

KïX-rîêr,?, y.so; (6), Celtibérien. Kevcoogîa, a; (r,), vaine gloire,

gloriole. R. xsvo';, vide, o*d;a, gloire.

Kï'pa;, arc; (TO), corne ; — ar­gument cornu, captieux, so­phisme.

KE'OSG;, so; (TO), gain, profit. Ksp^aîvw,/. avw, aor. 1 e r SXE'O-

oava, gagner. R. y.Epoo;. KjpoEpo;, ou (o), Cerbère. KssâXaiov, eu (TO), le principal,

Timportant ; — sommaire. R . xEcpaXr,, tête, d'où

KîooaXaitôoV.c, s;, arf/., principal. KsoaXri, r ; (r,), tête. Kc/oyasvo;, y, ov, p . par/, de f.

pass. de y p âouai. Kroor, où (ô), cire. Kvipu-yaa, arc; (ro), proclama­

tion;—proclamation du vain­queur. R. y.?.z\)G<j(ù,parf. pass. v.zY.r.zwyu.7.1, publier.

Kiâaipiâv, ûvc; (ô), Cilhéron, m . K-.vâopa, a; (r,), odeur de bouc,

puanteur. KïYJUVEûCO,/. cûo"o>, aor. 1 e r èXIV-

uvsuoa, p . suxa, courir r i s ­que ; — s'exposer; — être en danger, de

KîvSuvo;, eu ;é), risque, péril, danger, hasard.

Kiôsa, a; (r,), Cirrha, v. KXaîo), ait. x.Xao, y . xXaûo-fe),

aor. 1 e r sxXauo-a, p . xs'xXauxa, pleurer.

KXs'apv.o;, ou (o), Cléarquc, /t.

KOP

KXEîTG;, OU (ô), Clitus, /i. KXÉTrrfa),/. eyw, aor. 1 e r lx>.s!|;a^

p . xExXeox, dérober; — faire à la dérobée.

KXrpovop.Ew-S), / . yaii), aor. 1 e r

xora, hériter de ; — être h é ­ritier. R. xXripG;, héritage, VC'UM, p . moy. vEvcua, distri­buer.

KXypovoayaaiLv., ai ; , ai , aor. 1 e r

opt. dupr. KXr/povou.riaêiv, / . »//". dti m. KXr,povop.ia, a; (ri), succession,

héritage. M. R . KXypovo'ac;, ou (o), héritier.

M . R . KXypo;, ou (o), sort ;—hér i tage . Kvriuwv, (ovo; (o), Cnémon, h. KolXo;, r,, ov, ad/., creux, con­

cave : y.oîXT, TYJ /.cipî, dans le creux de la main.

Koivo'c, ri, 6v, ad/., commun. Koivuvîa, a; (y), communauté de

biens, société, participation. R. y.oiviovso), participera.

KoX⣫û,/". àow, a o r . l e r exo'Xao-a^ p. axa, punir, châtier.

KcXaxsia, a; (Vi), flatterie, de KOXOXEOCD, / . EûOXO, aor. 1 e r

Ey.oXar.suaa, p . Euxa, flatter, cajoler, de

Ko'Xa;, axo; (o), flatteur. KdXao-i;, EGO; ( X ) , punition, châ­

timent. R. xoXaÇo, punir . Kdp.y), r,; (y), chevelure. KoalÇco, f. iocd, aor. lerlxop.:(7a,

p . ir.a, porter, apporter ; — emporter. R . XOLUGO, avoir soin.

Ko'vi;, EGO; (y), poussière, cendre. KOVTO';, où (ô), croc de batelier;

— longue pique. Kdpaç, axo; (6), corbeau. Kopîvôio;, a, ov, de Corinlhe r

Corinthien.

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KPE

ILcfivooc, eu (6), Corinlhe. K.oppn, mç ou xo'ppa, et; (r,), tête ;

— mâchoire ; — joue. Reput;*, n< (ri), orgueil ; — folie. Kenvoç, ou (ô), olivier sauvage. K.GÙobEVc'c,p. xal cùoW;,y . cùâY!;. Kpavetcv, ou (TO), Je Cranion. Kp*vîov, ou (TO), crâne. R. xâp«,

télé. Kpocrepo';, et, ov, flrf/., fort ; —

puissant, gros, cCoit KpavTE6>-&>, f. rlcfto , aor. 1 e r

Èxpovrr(<ra, p . rxa , être le maî­tre de ; — commander, d o ­miner, gén. ou ace.

Kpevnip, riper. (6), grand vase ; — cratère d'un volcan. R.xspav-vuut, xEpaco, y.pâa>, mêler.

KpocTTiÇ, TiToç (ô), Craies. KpaTr.G"aip.t, atç, ai, aor. 1 e r opt.

de xparso), d'où Xparrloaç, a c a , av, aor. 1 e rpart .

KpotTio-roç, m, cv, sup. formé du prhn. xparû;, fort, c.-à-d., très-fort, le meilleur.

KpeiTcç, ECç (TO), force, puis­sance.

KpotTwv, wvcç (é), Craton, h.

Kpauyio, r,ç (r,), grand cri, c la­meur. R . «nîtw, crier.

E y

KpîiGG&rv, cv, ail. y.oéiTTCùv, cv, g. ever, comp. du prim. xpaTÛç, fort, c.-à-d., plus fort, plus puissant.

KSslTTWV, V. XpSlO-GCOV.

KP.II 43 Kar.TTtç, i$c; (i,), b a s e ; — pantou­

fle, chaussure. KsiOciç, EÏaa, e'v, aor. 1 e r part,

pasi. de Kpîvw,/ . ivâ), aor. 1 e r E/.oiva,

p . y.EV.oiy.a, juger ; — accuser; critiquer, condamner.

KpcÏG'.ç, eu (o), Crésus. KpcxocV£i}.c;, eu (é), crocodile; —

argument captieux. THrf.u.7., y-cç (TO), ce qu'on a ac­

quis, ce qu'on possède, pos ­session, bien. R. y.Tocey.ai, p. Y.i/-f.u.y.>., acquérir.

Ku€£pvrTY.;, eu (ô), pilote. R. y.u-CEOVOM, gouverner.

KûxXoc, eu (6), cercle : èv y.û/.>/;> ou y.jy.).w, tout autour, à l c n -tour, en cercle.

KûXiç, i/.o; (r,), coupe. KûaSiov, eu (TO), vase. R. y.ûy.c.V.

barque. Kûva, ace. s. de xûtov. K;jvi/.o;, r!, e'v, de c h i e n ; — c y ­

nique. R. Y.'jOi-/. Kuvwv, g. pi. de y.ûwv. Kûsie;, eu (é), maître, seigneur.

R. x.ùpo?, autorité. Kôpor, eu (6), Cyrus, h. Kûtov, g. y.uve; (é), chien; —

philosophe cynique. Ktoy.ûw, f. ûGW, aor. 1 e r ï/j'y/.j-

<;%, p. uy.a, pleurer, se lamen­ter.

Ktôvîiev, eu (TO), ciguë. Kcirr/;, r.r, (T.), rame.

AAB AAB

A : en nombre, celte lettre, sur- Aâ&eiuii, ciç, ci, aor. 2 opt. du m. montée de l'accent aigu, X', Aoécpaç, axe; (o), loup marin. vaut trente. Aoéou, r.c, r., aor. 2 su'j. de

àZSEîV, aor. 2 inf. de Xay.ëavoo. Xaucavco.

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44 AH A AYII

A-?'- '-- , c - z z , c'y, a o r . 1 part. AyOy, y? ' y ) , le L é l h é , j7 . (/': m . Ar.sî'to-â), / . visa), radoter , n ia i -

A:.i:~'.:, eu ( : } , Laë r t e , h. ser , de Ar.'.r. 3 ' p . 5. «o r . 2 5««j. de I . Ay; : ? , eu >:), niaiserie , r a d o -

Àz-.Ozvw. t age . A:A;zhu? , « d e . , s e c r è t e m e n t , I I . Are:?, eu, adj . , qui dit des

fictivement. R. Àa'jpzî::, se- niaiseries, radoteur. cret r/.zvOâva, >.T/>>. cacher1. Arccùs-, d«(. p/ . m. prés. part.

A z^eziacv:::, tvv (: :.\ les Lacé- de /.ypûo. démoniens. Ayzry?, Cù (:), brigand, voleur..

Az.A:'cv-w,y. riî'.o, cor. 1 e r £>.z- R. >.yir:y.zi, piller. Âraz, p . /.=}.z"/.7,/.z, parler j — Ayûcy.zi, r , £TZI, y. ).zu.6âvt>. babiller. Ai Sûr., r.; T.), la Libye.

A-.y.'-zvw, pn'??7. ~/.r,Z'j),f. /.yùc- AîSu?, u:;, «ce. uv (ô), de la L i -u.zi, aor. 2 i/.zScy p. n«. EI- bye, Libyen. >.ygz, prendre, s'emparer ce, Aîû:?, eu : et r,\ pierre, rocher. saisir, gén. Aîy.vy, y.; vr;, étang, marais.

Azy.-i?, :dc; (:), Lampis, /i. Aiy.c'ç, où (:), faim. A?i'j-'.v/.:, :u (:_>, Lampichus, h. A:-p'f:u.zt,/. izcu-zi, aor. 1 e r £>.:-An.rzvw, pr,:?77. >.yûto, / . /.y'zco, -yizzu.yv, p. de f. pass. >.£>.:-:-

rror. 1 e r £>.r.cz, «or. 2 £..z6:v, ay-zi, compter, calculer; — 71. "707. /.i'Xr.Oz, se cacher ; — réfléchir. R. /.éy:;, compte, être caché ; — être oublié. R. d'où A-.v;y, oubli. Ac-'iou.::, cù (:}, compte, calcul.

Azr. : : , cv, «dj., couvert de poil, Acvjz«u.zi,y, yrzi, aor. lers«/>;. velu. d*l m.

Ai'-;"--.,/. >.££>>, aor. 1 e r £>.£iz, p. A:'-;-:?, eu ; : ) , parole; — raison ; >.£';.3/z, dire, parler. —compte . R. >.E-;CO, dire.

A:\~i-y, f. '/£•'OJ, «or. 1 e r êV.EIÛZ, Aciu.c?, cù icy, peste, fléau.

«or. 2 ÏJ.'.T.VI, p . "/.£".- .EICçZ, p . Acuzzy.Evcr, y,, cv, «or. 1 e r par/ . îîicy. >.£>.:i-z, laisser, aban- de donner, d'où Acûco, / . /.cûcrw, aor. 1 e r

EAOUGZ,

A-.-'.i-jyJ'o, f. TIîC-J, tomber en p . /.C'ACU/.Z, baigner. défaillance. R. ùuyy\ âme. Mog., >.cvcy.zi,/. Xcuocy-z*,

A:':.•.'.•;»:, zç. H. r. Àzvûzvw. aor. I e r ÈXcuzzy.yv, se baigner. A feu 71, dut. ;;/. de >.iV,. Auoîz, z : fy), la Lydie. A;-?: ': , y, :v, adj. , mince, mai- AuoV?, cù (:), de Lydie, Lydien.

gre, lluet. Aû/.£i:v, eu (TC), le Lycée. A : . . : : , y, c'v, «dj., blanc. . V J - î O - W , / . yzw, aor. 1 e r i/.û-AcV.v, cv7cç'c;, lion. TTY.CZ, p . y/.z, aor. 1 e r pas.s. Ai--.•_:;:?. :/. ad;'., qui porte le î'/.u-yûyv,attrister, chagriner,

peuple. R. >.-;co:, a», p . Àxc'c, de peuple, çécij. p . ??;o?/. 77:0-- Aû-y, y? ( v , tristesse, chagrin. ez, porter." ' Au-yçc'?, oc, c'y, adj., affligeant,

Ayez, 7.; (y;, Léda. triste. R. /.ûrrr..

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AÏ2 Aïfî 45 Auff<rât«, ail. Xorracw-â, / . riao», AUTTOCW, V. le pr.

avoir la rage, être enragé, au A ù M , / . ùaw, aor. 1 e r fXu**, p . pr. et aufig. R. Xûo-a», rage. XE'XUX.X, délier; — lâcher.

M

MAIS MFT

M : an nombre, celle lelire, sur- Mxvôàvw, prim. p.aôw, p.riôw, / . montée de l'accent aigu, p.', p.aoricrco, p.a6r,7op.at, aor. 2 vaut quarante. £*p.aôcv, p. p.Euà6r,;cx, appren-

Mà, adv. affirm. avec vxî, wJrjr. d r e ; — connaître, concevoir; avec où : val. p.à Aîa, oui, par —découvrir. Jupiter ; où p.à Aîx, non, par Mxvîa, a; (ri), fureur, folie. R. Jupiter; — scid, p.à, me tou- p.aivcp.at, être furieux. jours; — l'ace, qui le suit est Màv7£up.a, arc; (TO), oracle, pré-régi par op.vup.t s.-eut., je diction, de jure, je prends à témoin. Mav7êùcp.ai, / . vJacu.tu, aor. 1 e r

Mâôotp.i, ci;, et, aor. 2 opt. de èp.avT£uo-àp.r,v, consulter Pc— p.avôàvw. racle. R. p.àvnç, devin, d'où

Maîvcuai, f. oùp.at, aor. 2 ep.à- MavTsuaop.£vo;, rf, ov,/. p«r/. vr.v, p. p.£p.r,va, être saisi de Mar-rivëo;, cy, adj., deManlinéc fureur, être furieux. Màvn;, E&>; (éj, devin.

Moucàpio;, a, ov, ad]., heureux. Marato7Tovîa, a; (r,), vain travail, R. p.xx%p, m. s. peine inutile, de TTOVC;, tra-

MoucsdVnxc;, ri, ov, adj., m. s. vail, et MwcsSwv, o'vo;, d. p/. cm, adj., Màratoç, a, ov, adj., vain, inu-

Macédonien. tile;—frivole; — sot, d'où MxXa, adv.,beaucoup, fort;—ex- Màrr.v, adv., en vain.

trcmemenl; — assurément : MaùcwXo;, ou (ô), Mausolc. jcxl p.àXa, précisément, oui Mà/r,, r,; (ri), combat, bataille. assurément. Màyip-oç, ou, adj., belliqueux,

MxXaxîa, a; (ri), mollesse, de aguerri. R. p.àyr„ MaXxxo;, ri, o'v, adj., mou, effé- Mày/p.7.1, f. é<rop.ai et rio-cp-ai,

miné; — lâche. aor. 1 e r £p.ayr,o-àp.r,v, p. d e / . MàXr(,r(; (ri), aisselle. pass. p.sp.ây;/ip.ai, combattre; MaXôoxo';, ri, ov, v. p.aXax.o;. se battre avec. M. R. MàXiora, sup. de p.àXa, le plus, ME, ace. d'iota.

le plus possible;—surtout : MÉra, n. de p-sra;, grand; — on ptàXiara, le plus possible. pris adv., grandement; — fîè-

MXXXGV, comp. du m., plus, d'au- rement. tant plus; — plutôt : u.àXXov ME-vxXa, pi. n. du m. ;— prie ri, plus que, plutôt que. adv., m. s.

Maveiç, EÏoa, s'v, aor.2 part. pass. MsràXn, p.£ràXot, p.£-jàXcu, du m. de p.xivcp.x'.. Mfyav, ace. s. masc. du m.

ni A!., u s MORT». •

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46 MEA

Ms-yaory.d;, YI,O'V, ad/. , de M égare. Ms-ya;, âXri , a , 9. dXou , âXr;ç,

OACU, grand, d'où Ms-ysôo;, EC;-CU; (-0), grandeur. AîryiXXo; (6), Mégille, h. Ms-virrc;, r„ cv, 5np. de y.i^y.;,

nés ou /e plus grand. M î ' O W C ; , eu (c), médimne. AlstV, p. L».£Ta, dee. une voy. as­

pirée. MziZbi, p. u.£>t)ovx-oa-ft>, ace. s.

m. el f. ou pi. n. de Ahiïwv, 9. evoç, comp. irrég. de

y.i^y.ç, plus grand. Ms:5xy.cûcu.ai, r,, s r a i , / . sû&rcp.a'.,

agir en jeune homme, de îîc'.soV.'.cv, C-J (TO), jeune homme.

R. u.aîoac, ni. s. Ms'.pax'ov.oç, ou (6;, jeune enfant 5

— jeune esclave. M. R. MéXavu-oÀix, a; (r,), humeur

noire, mauvaise humeur, ac­cès de mélancolie. R. y.ù.y.:, g. avoç, noir, ////.r,, bile.

Aïs'Xava, ace. .s. HZ. ou nom. el ace. pi. n. de

M s/a;, aivx, av, 9. avec, aîvr,;, ave;, adj . , noir.

ilsXsa^oc;, eu (d), Méléagre, //. Mi/.v., v. impers. ; —hnp . s JASAS,

f. u.i'/xni'., p. acl. y.iy.i/.r.y.z, p. moy. y.iy.rj.t, il est à soin, on a soin, on se soucie de : ou y.', y.i'i.v., je me soucie fort peu.

^UXT.O-C'., v. le pr.

.MîXltxo, f. lia, démembrer, dé­pecer. R. U.ï'XO;, membre.

MSAXCO, fr.Go>, aor. 1 e r iy.uXr.Gy., devoir, être sur le point de, avec le prés, ou le f. inf. ; — différer, tergiverser.

5IEA"/OV/, OUG-X, OV, pari, dupr.; — 70 U.î'XACV, les choses futures, Tavcnir.

MET

Msu.wsu.ot'., axi, TôT, f. u.vàcii.ai. Meu.vT|U.ï'vc;, r , ev, p . part, du m. Miy.Tr.GZ,, inipér. du m. Mit, part., à la vérité, certes,

assurément, v. Si. Mî'V'.-TTOç, eu (6), Ménippe. Mî'vTct, conj., cependant. R.

U.s'v, TOI.

Mspo;, se; (TO'), part, partie, por­tion : sv u.s'ost, à son tour.

MsV.;, r,, ov, ad]., médius, qui est au milieu, du milieu.

MSG-TO';, T, OV, ad]., plein. Msr', dev. une voy., pour MSTOC, prép. gui régit le gén. et

l'ace. : avec le gén., avec ; — avec l'ace., après, pendant, entre. — En comp., y.i-y. marque changement, muta-lion, passage.

MCTXCVAT;, r ; (r,), changement. R. u.sTaêâXXt), changer.

Mô7xo\xi7aco-to, f. T;<JM, changer son genre de vie. R. u,sra', ôviai-rr,, genre de vie.

M37avos(o-(o( f. - T',G-(O, aor. \!r

y.i-vrWiGx, changer d'avis ; — se repentir. R. ;ASTX, vos'co, penser, dioù

MsTavoxo-r.Tc, 2 e p . pi. aor. 1 e r

Sllbj. MiTa;û, adi'., entre, au milieu,

parmi ; — pendant. R. U,ïTX,

Hûv, ail. p. cûv, avec. MîTarriy.~cy.ci.'., f. iy.tyoy.zi, aor.

1 e r |A£TS77eu.Cyau.7,v, mander. R. IASTX, 7:iy:7:oy.y.'., m. s.

MsTxo-ysîv, aor. 2 inf. dcy.zriyiy. MsTîôV'.yiT/.oTSv, 5 e p . s. aor. 1 e r

de v.i-y.h''.y.'.-y.iù. jIîTEASÛorou.ai, f. de u.zrizyzu.y.'.. MïTSvoûfe), f. \>G'ù, aor. 2 JAST-

SVî'O'UV, revêtir un habit au lieu d'un autre. R. y.i~y., svSuo, revêtir.

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MHN

MGZ$«OUV, u ; u, aor. 2 du pr.,

ME7E7TS{AÏ7GU.r,V, OU, ETû, ÎOTp. niOlJ. de y.l70LTZÎu.TZCU.0.l.

METEpy.cu.ai,faire v e n i r ; — pour­suivre, venger : TGù; çGVC'X;

TCù warpôç U.êTTIX6GV, j 'ai puni les assassins de mon père. R. JXSTX, epycp.xi.

Mere^w, partager, avoir part à. R. p.srâ, sy6).

METTïXôCV, aor. 2 de u.sTs'pyGu.ai. MêTctx£<»-ô>, f. r.GOi, aller habi­

ter ailleurs,changerde séjour. R. p.£Ta, ow-'fc), demeurer.

MsTpttu;, nrfy., modérément ; — médiocrement. R. o.rrscv, mesure.

Mî'Tt<>77Gv, GU (TG), front. R. U.ET5C, <o<|/, g ùTCG';, œil, visage.

M=xp'., i;, conj.y jusqu'à ce que, tant que, pendant que.

M/i, adv., ne, non, ne. . . pas ; — de peur que, ne.

Mr,S\ p. y.r.Si, dcv. une vog. Myo\xu.wç, adv., nullement. R.

àao;, quelqu'un, et XLr,Si, ni , ne . , .pas ;— pas même.

R. U.7), Si. Mr.^îi;, p.yo'su.îa, y.r,Sh , adj.,

nul , aucun, personne. R. y.r.­Si, si;, un.

Myo'sy, M. du pr., rien ; — pris adv., nullement.

Slr.&x, et; (f,), la Médic, d'où MyoV.G;, r',, GV, ndj., de la Mc-

die, des Mèdes, médique. MT#Gç, GU (O), Mède. MT'/.C-I, adv., ne . . . plus. R. y.y,

Y. cuph., ETi, encore. Mri/.ioTo;, r , cv, «d : . s/m., très-

long, de Mv/.î, £&; (TG), longueur. Myy, mais, cependant; — o r ;

certes : :ù uv'v... àXXx, non

MNH 47

pas seulement cela,. . . mais ; cependant.

MypG;, GU (6) , cuisse. MT.T', dcv. une vog., pour MT'.TE, conj., ni, neque. R. u.y, r : . Mymp, g. Tî'SG; ou 7-.G; 'T.), mère. My/avr,, r ; (r,), machine; —

moyen, artifice, adresse. Mîx, à;, /é/u. de E'; I I . MtatcpGvsG)—w,/. yo-o, commettre

un meurtre,assassiner. R. y.>-aé/o), souiller, ov/s;, meurtre.

Mixpo'ç, a, c'y, adj., souillé, im­pur ; — scélérat. R. y.vv.i'.i.

Mltfx;, GU (6), Midas. Mî/.CGXG-J'ÎX, a; (y), discours rem­

pli de minuties. R. XG'-YC;, dis­cours, et

Mt/.5cv, u. de. U.'.X.GG; ;—pris a d e , peu, un peu : y.irk p.'.y.pcv (ypGVGv), dans peu, bientôt.

Mi/.cc';, â, c'y, ad/"., petit ; — de peu de valeur : uc/.c<"> (U.EGS:\

pour peu de chose. MiXyrc;, eu (r,;, Milct, f. MIU.E'GU.X'.-GùU.X», f. r\r,wj.\% imi-

ter, contrefaire. R. y.Ty.c.:, mime, bouffon.

Mévco;, coo; (G), Minos. M'.O*EM-û>,/. r'.o-w, aor. I e r ycx,

p . y/.x, haïr. R. u.ï*;c;, haine. Myx, x; (r,), mine. Myscw,/. yoc->, aor. 1 e r lu.vy ex,

p . usy.yyx.x, faire ressouvenir. Moi/., y.yxco.x,.-wu.x,.,/.y-j:-

y.y.', f. 2 d e / , pas s. y.su.yyo-:-u.x'., p . id. y.iy.-rr.y.y.i [ci lut. niemini), acr . 1 e r id. Èy.r/> aôr.v, faire mention de ; — se souvenir, d'où

Myyy.x, arc; (TG), monument. MvyW,, v,; (y», mémoire, souve­

nir : r, u.vyu.y :wv 777. G x T:V S-:-/, le souvenir de* choses de la vie. M. R.

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48 MOT MO» Mvyu.oveûw, / . eûaw, m. s. que Muc>aw-w, / . y'cw, se moisir, se

p.vâop.at. pourrir, d'où Mo'-yt; ou aoXt;, ode., avec pei- MucSwvTa, p. u.uo'âovTa, occ. s.

ne ; — à peine. pari. Moî, daf. c/'èy.'i. Muptâc, â6"ûç (y), myriade, nom-Mcisiycç, ou (G), Merichus, h. bre de dix mil le;— innom-Mc'X'.ç, v. aoyic. brable : TfoXXàç; u.upiâc*aç. crrpâ-Ivlc'vcv, aofy., seulement ; — tou- rou, une armée innombrable,

jours. de Movovouy;!, adv.y presque. K. u.i- Muptci, as, a, g. «v, ad;., dix

vcv, où, OùJC, oùyj, autant qu'il mille, d'où en faut pour ne pas, taniùm Mupîo;, a, ov, ad}., innombra-non. ble ; — infini ; — immense.

Mo'vo;, y,, cv, ad}., seul, unique. Mûprio;, eu (y,), Myrlie, / . Mopcyy, y; (y), forme, figure:— Mwpaîvw,y. avw, aor. 1 e r iu.tr

beauté. pava, être fou, extravaguer Mcù, g. d'èyw. R. atopo';, fou.

N

NEK NH

Naî, adu. oui, certes, vraiment Nsx.pdç;, a, cv, adj., mort; — oui. pris subst. cadavre.

Kao'ç. où (G), temple. NEvt/.y/.wç, uîa, d?,p. part.act.

KâpjMoao;, ou (6), Narcisse. d e v:î6*w» d ' o ù

Naù/rr/paoç, ri, ov, arf/\ cons- Kevtxyitsvo;, y., ov,p. part.paSS. tructeur de vaisseaux, char- Neo^dç, où, ad). , nouveau-né. pentier. R. yypuu., ficher, R - T W * . naître, et clouer, et Ns'oc, a, ov, ad j . , nouveau, jeu-

Naù;, ads, ail. vewe (y), vais- ne> — J e u n e homme. seau, navire, d'où NsVrwp, opo; (6), Nestor, /î.

NauTiâw-fô, avoir des nausées, Neùpcv, ou («'), nerf, muscle. vomir. New, / . veûo-cu.xi et VEOCOUU&V.,

Neavîa;, ou (o), jeune homme. nager. R. vs'cî, jeune, d'où NEWàXEW-W , f. Y,G(ù, tirer les

Ncaviov.c;, ou (d), m. s. vaisseaux ae la mer sur le NeSpd;, où (d), faon, jeune cerf. rivage. R. vau;, att. vew;,

R. vîapdç, m. s. ouevsoç. vaisseau, eX/.w, tirer, d'où NeV/.u;, urîcî, a t i j . , nouveau Ni«>râaS , cura, av, aor . I "

venu, nouvellement arrivé. part. R. véô;, sXsùOco, MltlS. d'ï?/;.- N £ f ^ ' » (*)» att . p . *asç. p-at, aller, venir. TSr., part, afftim. : vy Aîx,

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1

NOM

j'en atteste Jupiter, oui par Jupiter.

Rvieç, n. pi. de vaù;. Srircioç, ov, adj., jeune enfant,

B , wi , p r . , eÎTreîv , dire , parler, comme infans ( in, fart).

Nrlooc, ou (vi), lie. Wnùç,(ï.vr(d;(Yi),t<)n. p. vaùç. Nixâû>-â>, /". yjaw, aor. 1 e r èvi-

xvjaa, p . vevîxYixa, vaincre; — l'emporter sur, surpasser : rôvucàv, pr i s subst., la vic­toire; de

Ni'xn, YJ; (-h), victoire. Ntxrsaa;, aaa, av, aor. l*r par t ,

de vtxdo.

NTN 49

Ncpeû;, ew; (o), Niréc. Ncaî^w,/. IOOJ, aor. 1 e r èvop.iaa,

p . ixa, croire, penser. R. vo-p.o;, loi.

Nop.iu.oc, n, ov, ad/ . , h'gilime, juste, de

Nop.ce, ou (6), loi;—coutume. R. vs'p.w, p . moy. vé'vcaa, distribuer.

Nocc<d-w, f.r.atù, aor. 1 e r evô-or.aa, p . r.x%, être malade. R. vo'aoe, maladie.

I . Nocwv, g. pi. de vdo-cç. II. Noo-wv, part, de vGoita, Nuxrwp, adv., de nuit, nuitam­

ment. R. vu!-, nuit. NOv, adv.% maintenant.

EEN

2av8oç, YJ, ov, adj. blond;—bril­lant.

Seva-Ys'cj-ôj, f. viato, aor. 1 e r èçe-vâ-yvjaa, servir de guide à des

' étrangers, à des hôtes. R. \i-voc, étranger, OVYU, conduire, d'où

Sevi-YTco-Gv, aor. 1 e r impir. Seva-ydc, ou (ô), chef des troupes

étrangères soudoyées, M. R.

SYH

Uvoe, ou, adj., étranger. îspÇr,;, ou (6), Xerxés. î/ipoe, â, ov, ad / . , sec, aride. îû).ov, ou (TO), bois, bâton. îuvYjvé/ôvi;, a i t . p . GUVYivs/ÔY.e,

2 e pers. s. aor . t e r p a s s . de oTUacos'sti).

, » .

ÎUVOO'otTÎOpOÇ, OU ( Ô ) , V . <JUVOÔ*Cl-

YTo'pOÇ.

O

OBO OAO

I . ' 0 , T I , TO, art., le, la, le ; — "O-je, vi-je, rrje, adj., lui, oui ôp.Èv...ô 0% l'un, l ' aut re : lui. R. ô,-je, certes. è,7itiennent souvent lieude « 0 ^ ^ 6 > - ^ af}jf celui-ci, fils: ô AaepTou.lefilsdeLaërte „ ^ c e c L R 6 w #

(Ulysse). I I . "o, n . de Se, v,, S. 'OSovr*;, ace. p i . OùGVTCOV, g. 'OooXo'ç, ou (ô), obole. pi. d'cSoôe.

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50 OIM

Oc).;, CJ [r. , roule, chemin; — voyage.

"OcYcjÇjcVrc;, d.pl. cj<r. (i .dent. 'G'îjccu.7.'.. r*". cju.7.1, p.def.pass.

Cji'jzu.y.'., se lamenter, gémir, pleurer : Tî CUCVJTCV CCVJCY; ; pourquoi déplores - tu ton sort ? d 'où

'OcYjpcj, î'G6W, impér. 'Oo*j;:JL».£vc;,y.,cv,/'.parf. du 77Î. 'OCVJGGEJ;, EC: 'c), Ulysse. I. Oi, n o m . p£. m . de c. II . Ot, nom. p / . m . de c;. III. O ï , interj., hélas!—clac,

malheur à moi ! net mihi ! 0'.%,pl. n . de ce ; . O-T, dec . une tôt / , p. Olài*., t . clo"tt>. Olr,, 2' p . S. d clcp.7.'.. Oî/.cc;, a, cv, a d j . , domestique;

— de famille; — propre, le sien. R. ci/.c;, maison.

0Î/.ET7.;, CJ (c .domestique, ser­viteur, esclave, etc. M. R.

OIX.S'OJ-ôJ, / ï d . T.GOJ, habiter. OtV.r!çtov,parr. /"ur. ac t . de c -

/ . C - j - b ) .

OùccS'caîto-cô, /". M'!», aor. itT

w/.co'cy.Y.Ga, p . ôj/.cci'cay.y.a, bâ­tir, construire. R. cl/.c;, cti-p.o>, bâtir.

JUoy., cy.co"cy.Eca7.i-câa7.i, ^. XGCU.7.1, a o r . 1 e r co/.cocar,-cïu.r.v, se bâtir, se faire bâtir une maison, d'où

Oèx.cocW.L».?., arc; (TC;, bâtiment. Ov/.TEÎÇCJ, /". EClv, aOr. l t r èj-

/.7EÇ7-, avoir pitié de, ace. R. cly.7c;, pitié.

0l/.7-.G7c;, r., cv, a d j . s u p . d'et-x.7çc;, très-digne de pitié, dé­plorable : — l e ncut., pris adv., d'une manière très-pro­pre à exciter la pitié.

(j.t.7:.% imp. <j'i:t;>, t . clcj.7.'..

OKT

OlU.C, t . Cl III. Oi'j.uyy., f.; (y(/f gémissement,

lamentation. R. cîawllo. 0'JJ.CJIIÉ7WG7.V, 5 e p . p / . p rés . OhJ.uy\tù, f. alto, gémir, se la­

menter ;— actic, déplorer: oîçiLullciv Ttvl /.Éqetv, envoyer quelqu'unpromener,en/atm, vapula, va te faire battre, va te promener. R. clact.

Moy., dy.ûfcu.w., f. cicyc-p.7.t, m. s.

OiuGjçcp.7.'., %, ê77.'., v. le pr. Olvc;, CJ (i), vin, d'où Otvcy/Jcç, CJ (cj, échanson. R.

yitù, verser. OlCUXl-cTp.7.:, itiip. 6)Cp.T,V-«p.r,V,

f. ùr.o'-'j.y.i,aor. \'T0.rhiy, p. de f. pass . wr.p.7.1, croire, pen­ser, s imaginer.

oTcv, adv., comme, de même que ;—presque . R. cîc;, tel.

OïCVTE, V. cîc;.

Otcvri, adv.,comment? de quelle façon ? R. ce ; , 7t.

oie;, ct7., clcv, adj., corr. de TCïC;, quel;—tel que : ctd;7E Etp.'., je suis capable ; CIOVTS'

È«j7t, il est possible; TTôJ; CICVTE;

comment est-il possible ? Ot;, d. pi. de c;, x. c. oUix, sync. p. dàxabx., ait. p.

clcta.;, 2 e p . s. d'cl^y.. OtcTJïvo;, cv, adj., d'osier. R. ct-

(rj7., osier. olyc.i.7.1, f. T.çcp.7.'., aor. itrdef.

paSS. ùyx&y.v, p . td . wyyp.xt, s'en aller, partir;—périr.

'Q/JAZSù, f. irnù, s'agenouiller, mettre un genou enterre.d 'où

'Ox-j-dca;, 7.G7., av, a o r . 1 e r pa r t . '0/.7oi, adj. num., huit. '0/.7coy.7.tcV£y.7.E7r;, E'C;, adj., âgé

de dix huitans. R. cV.7to, huit, y.y.'t, et, cVÉy.7.,dix, E*TC;, année .

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OMO

"OX&;, eu (o), félicité, bonheur ; — richesse.

'OXeépio;, <x,cv, adj., pernicieux; —pervers, misérable. R. oX-Xutv., oXexta, perdre, d'où

"OXéôpcç, eu (6), mort; — fléau; — vaurien.

*0>.vraef oXéycv, adv., un peu. OX^eç.n, ev, adj., petit;—peu:

asT'oAÎ-rev, peu de temps après, dans peu; irpèçè>.î"rev(y#pov6v), pour un peu de temps; oXî-•YG> rXsTcv, un peu plus.

'OXrreypo'vioç,ev, adj., de courte durée. R. e).iyeç,7,ee've;,temps.

'OXx.â?, atSoç (rj), vaisseau mar­chand, navire. R. éY/.w, CX-xsÇu, traîner.

"OXo;, Y,, a,adj., tout, tout en­tier: Tô p.èv oXcv, enfin, en un mot; ri 5).ev, le tout, entière­ment.

"Q).«aç, adv., entièrement, tout à fait : %ai oXcoç, en un mot. R. 8Xo;.

"Ou.r,ptxo;, ri, o'v, «c//.,d'Homère. "Ou.r,poç, ou (ô), Homère. 'Ou.tXsw-ô>, jf. rlsa), nor. 1 e r cWl-

Xr,<jx,p. n/.*, fréquenter, avoir commerce avec. R. oa-.Xo;,as-semblée.

"Ottuta, ara;, (TO), œil. R. c—ra>, p. puss. tùu.u.%i, voir.

*Ou.o*YcVTiç, ê'o;, adj., parent. R. épôç, semblable, q-svc;, race.

'Op.cïc; et Sactoç, a, cv, adj., semblable, pareil. R. cV,';, d'où

'Ouoioiç, adv., semblablemeut, de la même manière.

"OjA&XcYïta-w, f. TJofw, aor. 1 e r

ÙLicXorrora , p. r,za, avouer, reconnaître, convenir. R. ifju>c, Xcre», dire.

0 3 T 51

'Ouo'véxpoç, cv, adj., semblable aux autres morts. R. ou.*' vÊ/.po';, mort.

OacTiu-a, a;(ri), égalité d'hon­neurs, de

"OçtoTiLco;, cv, adj., qui jouit d'un honneur égal, égal en dignité. R. caoç, -vj.i, hon­neur.

'Oaoô, ad//., ensemble. R. cy.c;. 'Oao'yr.cpo;, cv, adj., qui est de

la même opinion, qui ap­prouve. R. cy.c;, yr/pc;, suf­frage.

I. 'Ou.û;, adr., m. 5. r/ae ô;/.c!w;. II. "Oy.w;, coiij., cependant,

toutefois. I. "Ov, ace. A. m. de c;, r., c. I I . "Ov, 11. d'fcJV, CU77., cv.

'Ovxîar.v, aor. 2 opt. mo?/. d'e-vîvr.y.»..

'Ovsi'îîliw,/. ÎTM, aor. 1 e r ôr,;--o\<jx, p. './.a, outrager, insul­ter, de

"OVîIO'Oç, ec; (rc), opprobre. 'Ovïîac.Ta, wv (r i ) , songes, rê­

ves j — contes en l'air. R. ovao, d'où cW.cc-, songe, d'où

Ove'.pc7ToXïfa-f7>, / . Y.ïW, rêver, voir en songe. R. -CXî'W, être versé dans.

'Ovi'.çc—cXy^êiç, sîoa, (j}aor. l t r

part. pass. 'OVT.CSI, 5 e p. s. / . de

'Ovivr.u.'., prim. cvzu, /*. TITM,

aor. 1er torr.Gj., p. Y./.Z, aider, servir; — gagner.

Moij., cvlvaucv., /*. èvTlcîcaa•., aor. 1e r ùvr.oaur.v, aor. 2 ùvâ-ay.v, retirer du profil de, oc/;, on ace.

'Ovcy.ât/d,/". déco, aor. 1 e r or.c-u.y.Gx, p. ax.a, nommer, ap­peler. R. ôveu-a, nom.

"Ov77., 0V76Î, OVTC;, V. « v I .

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oz 2 o p r 0 2 0

"Ovrt, d. du m. ; — T û C'VTI, m. s. tion : oV op-yxç ou èV d=v>} çue é/E'.V T.VX, en vouloir à quel-

"OVTOJç, adv., réellement, en ef- qu 'un. fel, véritablement. 'Opryw, içi-rnux, f. ££œ, aor. 1 e r

"OVJ; , uy-c; (6), ongle, griffes, <o?e;a, p . sy.a, t endre ; — pré-serres, senler.

*0ij();7>.7.'.,(ov(&î),0xydraques,p. Stoy., ioiy.u.%'., f. si/.uxi, 'OT7C5, n. de c:-ss. aor. 1 e r ti>pe:;d.u.r,v, id. de f. 'Q-ÀiT'./.c:, r , cv, oaj'., de sol- pass. wsî'y/Jr.v, désirer, o/é/i. *dats pesamment armés ; — /e "OOY;, p/ . a"esc;.

Jîeut. prissubsi. : bataillon de *0;8cç, ri, cv, ad/\, droit, juste, soldais, e t c , d'hoplites. R. 'Oc6a>:, adv., b i e n ; — juste-c-Àîrr,:, soldat, etc., de ment, avec raison. R. ccôc';.

"O-'/.cv, eu (TC), arme. 'Opit/o,/". îGM-ôJ, aor. 1 e r dz:ox, 'O-cïc;, a, cv, ndj. feorr. de p . pass. wciay.a'., terminer. R.

TCîCç, tel), quel, arec ou sans opeç, borne, d'où interr.: c~cîc; r i ; èTTI ; com- 'Opîaxt, aor. \eT inf. ment est-il? ' O p u â V û , / . ™ » , aor . 1 e râsur.-

0-ccrc;, r., cv, od/. (cor?-, de TC- «J^ w Y|JCXf s'élancer, se pré-ccç, aussi grand, autant), que. cipiter avec impétuosité, de

'OTTCT', p. 6-CT3, dev. une voy. -Oou^ ^ ^ , f impétuosité ; — Orrc-av, p . C-CT xv, m. s. que ^ ^ e s s o r > OTTCTî, adv. (corr. de TCTS, «« , _ , , , , . , „ ,

, ' , v J Ocaix, a; (r,), ligne de pécheur. alors;, lorsque, q u a n d : — . r* _ _ . , , puisque; - q u a n d m ê m e : 0?«*»v, «vto;, p a r t , de o? laa». c-cV ibikv.',, supposé que lu 'Opo-.Tr;;, ou (6), Orete. le voulusses. I. "Occç, eos-ou;, montagne.

'O-cTcpcr, a, cv, ad]., lequel des II . "Occç, ou (ô)) borne, limite ; deux. R. c, TTCTccc;, qui des frontière. deux? 'Ozyézu.y.'.-oôu.cf.'., f. riacuai, aor.

"0-TCU.X:, / . d'ùcu.a'., aor. 1 e r Ierùsy/.Gxarjv,danser, sauter; ùyxu.r.v,p. ai-x, poéf. c-w-x, — trépigner de joie. p. pass. oyj.u.y.'.,aor. 1 e r id. ci- 'Oçw, y. ccaito, d'oà cçOr.v, voir. R. toy, OJ-C':, œil. 'Oswixêv, conlr. deopaoy-Ev, l r e p .

"0-w;,co?//. f comment, comme ; p/. ; — afin que, de manière que 'Ocwv, ô»VTCC, pr. pari, du m. ou à ; — que : cùy cx-co;, il 'OCWG;., conlr. decoxcuGt,5ep. pl. n'est pas que, loin de. ou dai. pl. prés. pari, du m.

"Oçx, conlr. de csxs ,impcr.; "0;, r , o,pron. rel., qui, lequel, V>cà:, 2e p. 5. i?ic/. ou sulj. de laquelle; — avec y.Év et Si, 'Ocxtv-w, p. écôpx/.x, voir ; — l 'un. . . l'autre : ày 'cû , d'où,

regarder, examiner : ccx c-w? d'après ce que, puisque. y.-/., prends garde que. . . ne "Oo-.s'.;, '.oc; (c), Osiris. (t'ide ne), v. v.Sbi et o—op-at. "Occç, r„ cv, adj. (corr. de TC-

'Op-rr., c; (r,), colère, indigna- GC; ou TCGCOTO;) , combien

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'T,A

OTA

grand ; — que : TGOGûTGV....

oaev, autant... que. "Oratp, wrep, OTïES, m. *. que Z;. 'Ocra, contr. tfoersa, p/ . de *OOTSOV-GûV, E'GU-Gù (TO), OS.

"Ocrtç, T T I ; „ 5 Tt, g. euriveç, r.;n-vcç, GUTIVOç, qui, quiconque. R . o;, TIC, quelqu'un.

"Orav, p . ôTE à/, arec le $ubj.> m. s. que

"OTE, conj. avec l'ind. (corr. de TOTE), lorsque, quand : EOTIV

CTE, il est lorsque, il est des cas où . . .

I . "O TI, n. de eçnç, ce qui, ce q u e ; — pourquoi, en quoi.

I I . "On, conj., que, parce que, en ce que : n on, quelle est la raison pour laquelle?

"OTW, ait. p. wnvi, d. de Z;r:; : ÉV ôTW ; pourquoi ?

I. Ou, g. de o;. II. Où dev. une cons., eux dev.

une voyelle non aspirée, eùy; dev. une voy. aspirée, ado., non, ne . . . pas : eu U.T,V àÀÂâ (non-seulement cela, mais), au reste, au surplus; eu •vas, non en vérité.

Oùè°, p . Cù<îE, dev. une voy. Où5ap.â>ç, adv., d'aucune ma­

nière, nullement. R. àus;, quelqu'un, et

Oùcfs, ni, et ne, et non ; — ne. . . pas même, neque : IùSï GÙ7Cç

wv, n'étant pas lui - même; oùà* Eî, pas même si. R. eu, Si.

OùOEIç, GÙctsuia, cùo's'v, g. Gù3E-

vo'ç, où^eaià;, Gù&EVO;, nul ,au­cun, personne. R. cùSi, il;, un .

OùCTEV, n . du pr., un rien ; — pris adv., en rien, en aucune chose.

OùèWç, v. (.ùSi.l;.

0<I>e .)3

Oûo'eTTw, adv., pas encore, ne . . . pas encore. R. citSi, nu, en quelque façon.

Oùd'iTEoe;, a, GV, adj.t ni l'un ni l'autre. R. cùSi, ITECGç, autre.

Oùô', p.eÛTE, dev.une voy.aspirée. Oùx, v. eu. OùXE'TI, adv., ne . . . plus, ne . . .

pas encore. R. eùx.Én, encore. Oùxcùv, donc, c'est pourquoi ;

— est-ce que : eùxeùv à>.)d, au moins, au reste. R. eux, cùv, m. s.

0-jy.eveuv, non certainement. R. eu, y.î'v, cl

Ouv, conj.,donc, c'est pourquoi. R. è*ov, p . cv, cela étant.

Oûç, ace. pi. m. de l;. Ouo-a, r,;,fém. de wv I. Ouai, dal. pi. du m. Oùcta, aç (r,), possessions, biens,

fortune. R. EîUî I . OUTE, adv., ni, ne . . . pas même.

R. eu, TE.

OÛT-, p . eu r», en rien, de Oùri;, g. eÙT'.ve;, adj., aucun ,

personne. R. eu, ri;, quel ­qu 'un.

OJTCÇ, GVJTY,, TGÙTC, O. TCUTCU,

Taûry;;, TCUTCU, pron., ce, CCt, celle, ce ; — celui-ci, celle-ci, ceci.

OÛTec!, ail. p . eureç. OûTG), euro)? dev. une voy., ainsi;

— si, tellement, à tel point. Où/, v. eu I I . Où-/;!, ait. p. GÙy.. 'OÇEtAW, / . TCW, p . WGElATXX,

aor. 2 WçSAGV, devoir, d'où "OçEÀeç, se; (7e), utilité. 'Oç0a>.aoç, eu (6), œil. R. CTT::-

y.7.t, aor. 1 e r paw. wcpôr.v, voir, d'où

'0<p9etç, sïca, EV, aor. Ier part. pass.

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54 0*P OTO "OotXvip.a, aroç (TO), dette, amen- II. 'OoppDç, contr. d,o<pp6aç, ace.

de. R ocpeîXw, devoir, d'où pi. "OcpXw,/. X<TCI>, p. <0<pXrxa, de- "0<{/e;, 2 e p. s.f. d'ôVrou.ai.

voir, être condamné à. vO<j/tv, ace. de I. 'Ocppôç, uoe, (r,), sourcil; — v0^i;, ewç (TA), vue, aspect, de

sommet ; — orgueil. "O^oaai, r,, ait. ei, t». oicTou.a»..

n nAA

Ila-pfsXGiGç, cv, adj.,pleinement ridicule. R. rcâv, tout à fait, -YC'XGIGç, risible.

Iïaôsïv, aor. 2 inf. de izioyjù. nâ6ctp.i, aor. 2 opt. du m. lIâô«|Asv, l r e p. pi. aor. 2 subj.

du m. : eu îrâôtouev (soyons heureux), qu'un bon vent nous pousse.

n%6ûv, Gûca, G'V, aor. 2 par/, da m.

IlaT, voc. de rra!;. IIaïo*ac, iraîS'eç, v. le m. IlaioV'a, a; (r,), éducation, ins­

truction. R. iratSsû&o. naids£uOcî:,£Ïo-x, ev, aor. Ier part,

pass. de riaiSeûto, y. eûcfc), aor. 1 e r èiraï-

ôVjca, p. euxx, instruire, ap­prendre, ri riva R. rraïr.

Uato'tGv, GU (TO), petit enfant, de IlaioVç, g. de Ilaî? (ô\ Vi), enfant. ITatoveç, <ov (oj, Péons, p. nàXai, adj., autrefois : ci orâXai

(ôVreç), ceux qui existaient autrefois, les anciens, d'où

RaXaioe, a, G'V, adj., d'autrefois, ancien.

RaXaiorriç, où (6), lutteur. R. TroXn, lutte, d'où

riaXaicTpa, aç (r,), lutte. ria).ap.T,ôT,ç,£05-GU5(o),Palamède. IlâXiv, adt».,de nouveau, encore,

IJAP

une seconde fois ; — en ar­rière.

nap.p.£y£6rjs, eç, adj., tout à fait grand, très-grand. R. irâv, tout à fait, pLÉyedo , grandeur.

navc'pr,u.oç, ov, adj., tout à fait désert, ravagé, dévasté. R. •rcâv, £pr,u.&ç, désert.

TJavGTbXîa, aç. (r), armure com­plète. R. oràv, ôTCXGV, arme.

nav&ùpyoç, GV, adj., adroit; — artiûcieux, fourbe, trompeur. R. Tfàv, ê*pyGv, ouvrage.

ïlâvraç, ïrdv-e;, oravri, v. TC£ç. ïlavTaTîaai et iv dev. une voy.,

adv., tout à fait, sans excep­tion, généralement. R. or£;, rza.%.

IlavTGÎGç, a, GV, adj., de tout gen­re, varié. R. -*£?.

IlavTo'ç, TîàvTGJV, ». irôlç. navTw;, m. s. aae itavrairaot. IIxvu, m. 5. «7«e îravrôç. Ilap', p. orapâ, de», une voy. ïlapcc, prép. à 3 cas : avec le

gén., de, par, de la part d e ; — avec le dat., près, auprès, à côté de, chez ; — avec l'ace, au delà de, près de, pour. — En comp., •xa.çat. marque l'ac­tion d'aller à côté, de passer outre, de s'avancer au loin.

nacaoaXXw, comparer. R. rotea,. paXXco.

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IIâP

ITapa-rYEiXaî, aaa, av, aor. Ier

part, de napa-rY6XXci>, prescrire, annon­

cer ; — abandonner, permet­tre. R. Trapâ, if(ùj.<ù.

napa^vcuat, survenir; — s'a­vancer, s'approcher. R. Trapâ, •YÎvçj.ai.

napâo'si'at, aor. 1 e r impér. de napx£cxciu>7i,recevoir,admeltre.

R. Trxoâ, SiyCtXXi. napadidovai, inf. ; napad\5c6ç, o'vrcç, part, de napao\'o\du.t, livrer, donner ; —

transmettre par succession. R. TCXpâ, 010*6)0.1.

napâScrjcc, cv, adj., incroyable, étrange, extraordinaire. R. -jrapâ, tSc-a, opinion.

ilapaîvsi'.;, eta? (y,), avertisse­ment, instruction. R. Trapâ, atvs'co, louer.

lïapaXa&ov, oùax, ov, aor. 2 part, de

napaXaaêav©, recevoir, pren­dre ; — recevoir par succes­sion. R. Trapâ, Xau-ëavû).

napxXeîiro), laisser de côté, omettre; — frustrer. R. Tra­pâ, XCTCO), d'où.

IlapaX'.Tf&Vv, cùaa, o'v, aor. 2 part.

îTapaXo-rt^oaa'.,/. îo*ou.at, aor. i c r

TcapsXo-rKjâay.v, tromper : rra-paXcyi^eoôai Tî, tromper en quelque chose. R. Trapâ, Xo-•vîÇcu.ai, raisonner en sa fa­veur.

Ilapau.£v6), rester auprès, atten­dre. R. rrapâ, uivci), rester.

Ilapap.uôta, aç (T.), consolation. R. Trapâ, LE.u8icp.ai, dire.

IlapaTratb), déraisonner, rado­ter. R. Trapâ, Tcaio), frapper.

ITàP 5i

riapârrav, adv.,m. s. que Tcâvro;. R. Traoâ, Tràv.

napxTtEuTro), faire passer, ren­voyer. R. rrapâ, Trip.-to.

napâo-iror, eu (ô), parasite, qui mange souvent chez les au­tres. R. rrapâ, GîTC:, vivres.

IlapaaxEuâ^to,/. âow, aor. 1 e r

Trapéay.eûaaa, p. axa, prépa­rer, composer : rrxpEcr/.ïûxîUv iauTov, il se montrait. R. rra­pâ, axsuâ^ca, façonner.

ïly.zx<r/tli, aor. 2 inf. de rrx-piy/o.

IlapxTîîva),/'. EVW, aor. 1 e r rra-pîTEiva, aor. 2 rrapiravcv, n. rrapaTETaxa, étendre, prolon­ger. R. rrxcâ, rêtvo, tendre, d'où

IlapxTEvu'u.y.v, ce, CTC, pr. opt. pass.

ïlzçx'/jaoifù-ô), f. X76), aor. ll'r

Trxpsy/ôpr,<Ta, p. y./.a, céder, abandonner quelque chose à quelqu'un. R. rrapâ, -/topÉw, aller.

napî-rpsi, impér. de napE-]rpâci)-â>, / . rida), p. rrapr. -

•py.y.a, remettre entre les mains, livrer; — exhorter, dat. ou ace. ;— commander ; — annoncer. R. rrapâ, È---pâco, mettre dans la main.

nxp£-pcp.r,v, imp. de rrxpa-âvc— L/.X'..

n as 20*08x7, aor. 1 e r pass. de rrx-px&cYtopi.

IlapEo'cTE, 2 e p. pi. de rrxpiôV/. TlapEo'cdxa, a;, £, aor. 1 e r ; nacE'Jtov, aor. 2 de -'j.zxSiiïtû-j.'.. nâpe', 2 e p. s. prés, de rrxpîtp.'.. ïlapcâ, à; (y,), joue. riap£t>.y.ocTa, ace. s. m. p. part.

moy. de rrapx}.aa£âv&>. I. llâcî'.t;.'., f. TrasîV.aat, élrc

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S6 IUP prescrit, assistera; — paraî­tre. R. 7777, th.: I.

]J. I b : = x , aller v e r s ; — a r r i ­ver ; — se présenter. R. 77-' • J - ' J - U

. y - , t . y . , y , ,

Tiv.'.i'.yvi, iz, i, imp. de~7.'ri/vj. ll7.'rij.7.Z'^, er, é, a o r . 2 de -7.-

;7 . / . ïy .vâvt i» .

j]7."://;'uv/.J-;s'.v,aor. 2. p a r t . t /e -r.7^iyjy}.7.\.

Uz'A-fj.-ly., 7:, c, ao r . l t r de 7 7 - 7 7 : ' y . 7 0 > .

il*:::>;,..y.?.*., allerau delà, passer outre, dépasser. R. 7777, é";-yyj.7.:.

il : sr:7'.ïy7.^, r>e p . 5. i . p . de T.O.'.'j.Z/.-.jÔAioj.

Wv.yzz:. 5* p. pr. de T.7.'rv.<}.\ I. U-j.yz-jyj, iz, g, a o r . 2 de ijapr/co, donner, procurer; —

présenter, mon t re r : îo\u»T7,v ÎV.7..7.V rraiiV/'-v, je rnemon­trai simple particulier. R.77--

?*> s"/.'"-

/-Vis impers.,-x-.i/y.,il est permis, on a la faculté.

E;.;iy/yf7.<y7., 7.r, E, C/Or. I"1' de ~z.z-y.yyzi:-j.

IÎ7.:7>.6:v £?. E, ao r . me -y.z-iz— • 1 r il v '

IJ7.:-àv,T,r, 7; ou v;v, imp. de~7.z-ty.: I.

Ha^ iv : ; , -o 7 , jeune fille. .'!7.:is-.7.:, E'.r - J . égalité de

deux membres de phrase, sy­métrie des phrases, terme de rhétorique. R. 77p:77w ' 7 7 -- -.., 17:: , rendre égal.

?]-y.::L/.E'-y-5*, f. r,zw,aor. 1 e r 77.-E-.é/.r77, p. 7./.7.y habiter près, être voisin. R. 7777 , ci/.:'w, l . ; i p ; ! r r

Yiy.yxy'.y., 7.: 'i\ proverbe. R. 77.7 7, '."v.7, chemin.

nAT Tlz.yZz'., dat. pi. de T.o.z>ùi. Hxi'yf.zlz., 7.; r.], libcrlé avec

laquelle on parle, franchise. R. 77.77, en face, '?(<*, dire.

177.71-iv, 77777., 7V, paît, dt ~%y-E:;XI I.

n i r , 7777, 77V, g. 77.V77;, 77-zr.z, 77V77;, arf;., loul, loul entier ; éTT» oe 77VTE; eicîv, ils sont sept en tout, d'où

IIZLZ'., dat. pi. m. ou n .

l\y.z-/j.-j, prirn. orihu, 7zi-/uù,f. moy. -i'.z'y.7.\, aor. 1tr izrr.zo., aOr. 2 E77.07V, p . 7377,97, p . moy. 7E77-/J7., souffrir, sup­porter; — éprouver une sen­sation, un se mi ment quelcon­que, être affecté de manière ou d'autre; — éprouver, sen­tir : -.[ 77-0wv; d'après quel sentiment? pourquoi? z'<. zzi-b'.i 7'.; ; que pourrait-on faire? que faire?

117.77:-7*., aor. i'r inf. n7.7777;, 777, 7v, aor. YT part.

de Jl7.7Z7.Z~0j. f. %i\oi, aOr. i*r E-77-

77.77, p. o.-/7., frapper avec bruit.

Jly.rr.y p. 7;7r, père, d'où Yio.-.-.oÀ'.z, :v, a /;'., du père, des

a ïeui . Uo-y-yz., m. $. que le pr^ Uo.izxx, 1r p. $. aor. 1 e r opt.; U7.jz7.zb7.:, aor. Ierinf. moy.; Uo.'jzr., 2* p . s. f. moy., Uo.jziy.'.f.z, r ,sv, f. pari. moy.

de TJy.joj, f. 77.J7W, aor. i'T ï—TJ-

177., p . 7-U/.7., mettre fin à, faire cesser.

MOy. 77.JCU.7i, f. T.oJjfjr.-y.7.\, aor. Ier i-7.jzzy.7rt, p.

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ITEII

étf. pou. xExaojMu, cesser, nx/jiç, eîx, », adj., épais, gros,

lisérW;, T", CT», adj . , uni, put. R. xioV», sol.

IIs&;, x, «"», adj. , piéton. R. « S û î , pied, x ^ x , cherille du Pied-

HvÂm,f. tvm, aor. 1 e r fxcvsx. aor. 2 «tiscT, p. XéXîîXX, per-soadcr.

IJisvâv, eontr. de XEI^XV.-», m/, de Hii-rxt* t*,/. x a e , aor. i* r i-zil-

•xxx, aroir faim. R. « • « , faim.

I l t iyp, dor. p. xa:vx». LTsLSxec» , a. £«•;, da/. i~, ace.

E'X-X, le Piréc. ns:tr£:n,/. m/, de -il?**. ïliîc;«xx:, x, ETxi, r. ï i r / » . Tkzizi-xsrzz, T., v», 7 . par/, mov.

du m. Hi/£xjc9 i**z (i\, bacbe. llîi.TxsiM, ;» îr; , petit bouclier.

K . XîATX-Il3>-x'jTx;, ;Û ( i; , pellasle, *o/-

dai armé à la légère. M. R. I1î>.TXC7IX&;, x, ;•#, adj-, de pel-

taste ; — le neut. pris suisi., bataUlon de pel tas tes, de

nÊXrr., Xî (x), petit bouclier. Tkhr,',, xzzc. (si, pauvre, indigent.

R. xfwxxi, être dans I indi­gence.

nirraxtçuipict, x, adj. p/. nwn., aa nombre de cinquante mil­le. R- -svrzixnc, cinq fois, ;x„-otct, dis mille.

BETTE, adj. nwn., cinq. Il2Trxx;rr&ç;;,c» (i..x.-esu. >xû;/,

•aisseau à cinquante rames. R.xevrrz&vTXjCinqaanle,;; iz-cw, ramer.

TkœzcXvrxhzc, r , ;*», p. parf.

IIEP 57

pose, de zzuXvii*, ions rég., instruit, savant.

riïTÀî-jXîVxi, p. m/*, de rz'/ifa. ïli—~/j.\,sj»%,lx, iz, p . p?rf. du m. IïI—'.-AT., %C, I, r. —XTJ'*.

Ylirr.-éiiiz.:, p. in/, mcj. du m. Wi—zvr^xi-»'.z,r, '.t, p. part. pan.

de zzzxzz'*. ITî;X, adr., au delà, outre, plus

loin, d'où WIZTZ, xzze T : ' , fin; — pris

adc., enfin ; — a !a fin. WizzUe.x:, '.-i 'i] Perdieeas. I IE ; ! , prép. à 2 cat : arec le

gén., de, pou r : — arec l'ace., autour, en, tournant.

ftiyJLijjj*, entourer, ceindre, environner ; — revêtir : -z-;:£io>7xiV;; :z:/.;.; , flanqué de chairs. R. xi:: , >x>xt>.

Uiz-.ZiZi.rxirê'.z, T., v», p . par?, pas*, du pr.

ïliTÛvx:, aller autour de : — aï-1er ça et la. R. XE::, ilxi II.

Xliy.i-'*, f. ii<*, être assidu au­près : — favoriser ; — hono­rer ; — traiter quelqu'un Lien ou mil. R. --.-.'-., l-.-a, suivre.

UzzAzf.'xxz, tourner vers; — échoir. R. -ri;:, EV/VXX:.

ni::-'y#:xr., / . ïçvxx:, aor. 2 E-T//.XT.*, s'attacher, être atu-ebé a.

Wzz-.rri-.-s.-jj., conduire autour, montrer en détail. R. XE;I, X^Éi-xx:, d'où

Wzy.-irrr.-ziJ., aor. V* imper. Wiy.rjMt, E?, E, aor. 2 de xi—

Z !• ; Z"/ Z *XX1 •

ni;:trrr.;xî, placerT/aatoar ; — p. er aor. 2, se placer en fai­sant le tour, revenir au même point. R. XE;:, vrrrrxi.

Wiyrezjrzzn,/. ôtf<*, aor. 1 e r xs-s'.ixz-rix. p. »xx, cacher en

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58 I1ET

couvrant de toutes parts. R. 77£oî, xiôrrro), cacher.

Tj£p£y.E'.vo7, acr. 1 e r impér. de Tl£ptu£v(i) , attendre. R. irepî,

p.£vo>. Il£p'.vo£(o, embrasser dans son

esprit, méditer. R. rapl, UOE'OO,

penser, d'où Ilîptvcr.aa;, a-ia, 7.7, aor. l o r

par». Ilcpîo^cç, eu (r.), période, t. de

rhétorique. R. 77Ep£, ooso';, roule.

TÏ£p'.7T773W-â),/. T'(7W, p . T./.7., Se promener autour. R. TCEO:, 777.-Tô'W, d'où

TIêpi-aTvi7(07, ou s a , cv, / . part. JTCO'.—JO-GÔV, oùca, ov, ao r . '2 part,

de I. nap'.rrîrrrw, tomber dans ou

parmi : Éau7Ô>77êp'.77(777007, tom­bant en contradiction avec soi—même. R. TTESI, 7717:700, d'ow

I I . Tl£pi77£77700, Y.Ç, Y), pr. S.'d'J*. ITsp'.7706/170;, ov, adj. y trés-désiré

ou désirable. R. 77£p£, 7706É00, désirer.

ITsp'.cco;, Y',, ov, adj., superflu, i nu t i l e ;— l en . prissubst., le superflu, l'excès. R. rr£pî, avec une term. adj.

neptoTw, f;, f, aor. 2 subj. act. de —E pi 10-77, y.:.

ir£;'.7pa77££;, Eioa, EV, g. É7TO;,

EIO-Y.;, £770;, a o r . 2 p o r t , de Il30170£7700, f. £Ly00, aCT. 1 " 77E-

P'.EVpscya, p . £o>7 , renverser sens dessus dessous. R. 77£p£, 7p£770i, tourner.

Il£p'.770;, Oit. p. 77£pi<JG0;. nspo-r.;, ou 6), Perse. iU'Tacov, aor. 1 e r impér. de IT37777U}/.', prïm. 77£Tâ0), /". â<JÛ>,

IIAE

aor. 1 e r £Tr£Ta<Ta, déployer, ouvrir.

Il£05o6Y)(i.£vo;,Yl, ov,p. part. pass. de ovoosoo.

i

Ilrlyvuai, prim. TTY/YCO, / . rrri^w, aor. 2 £77aTov, ficher ; — as­sembler; — construire, bâtir.

MOI}., T7Y.pUU.al, / . TTYO— y.7.1, aor. 1 e r èTryi o£p.r,v, m. s.

nYÔvâXtov, ou (70), gouvernail. IIY.XEû;, £00; (6), Pelée. rtr.cjau.Evo;, ri, &v, aor. 1 e r part.

moy. de TT7)YVUU.I.

n / p a , a; (Y.), besace, sac. I1£E, aor. 2 impér. de 77(700. IïlÉ OO, / . £5(0, aor. 1 e r È77ÎE07,

p . Ex.a, presser ; — faire souf­frir, tourmenter.

II'.EîV, aor. 2 irtf. de TTIVOO,

IltETai, 5 e p. de 77(00.7.:, v. le m. n(<k;, ou (ô\ tonneau. II'.voo, prim. 77100, 7700),/. 77Îou.at,

aor. 2 £77107, p . TwÉTrtoîoa, boire. n(777to, prim. 77É70), / . dor. 7?E—

coùu.7.1, aor. 2 E77EGOV, p . 775-77700/.a, tomber.

Il'.a7£6a7.;, aoa, av, aor. 1 e r

part, de lj.lO"7£Ûoo, f. EUffOO, aOr. 1 e r £771—

G7EUC7., p . EU/.7-, croire, pen ­ser ; — se fier à : TOIOùTO'V TI

77iff7£ucav7£; 77£pt Èu.où, ayant eu de moi une semblable idée. R. 77(0-71;, foi.

n'.777./-o;, où (ô), Piltacus. nxây.o;, ou, adj., oblique. H/ârcov, wvo; (6), Platon. ID.EÏ07,11. de 77>.e£tov ; —prisadv.y

plus que, davantage, gén. nXt£o77., da m. ; — pris adv.,

plus, davantage. ÏIXEïOTO;, sup. irrég. de 770X6;,

très-nombreux ou très-grand, le plus nombreux ou le plus

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noA grand : et TTXSîOTG:, la ma­jeure partie.

UXftM», sync. et contr. p. rXstevot (ea-co).

HXCICAV, ov, g. OVGç, comp. de TCG-Xôc, plus nombreux, plus grand.

nXsev, n. de irXs'tov, p. nXetcdv. ÏIXeGç, a, GV, adj., plein, rempli. nXeûasuLLi, aie, at, aor. i cropf. de fixé*»),/. Eua*<i>, aor. 1 e r eirX.euaa,

p. 7î=7rX£uxa, naviguer ; — passer la barque (de Charon) : xeirXeoxG); TGOGùTGV TTXCûV , ayant fait un aussi long trajet.

nXÉb>;, ait. p. TCXS'Gç. IlXr.pi, vi; (vi), plaie, blessure.

R. irXvîaato, aor. 2 E—XSVYGV, frapper.

TJX^ÔG;, eeç (TO), multitude, fou­le. R. TCXS'G;, plein.

IlXriv, adt»., excepté, hormis : •JTXT.V EI ixri, à moins que, si ce n'est que ; 7?Xr,v àxxd, mais cependant, cependant, au reste.

IlXvipo'to—w,/. OSCOJ, aor. 1 e r ETTXY;-ptoo-a, p. cay.a, emplir, rem­plir. R.rXripyiç, plein.

UXyioÎGv, n. de irXr.aiG; ; — pris adv., près, proche : G! ïîXYI-OîGV, les parents, les amis, les voisins. R. TréXaç, près.

nXo'o;-GÙc, O'GU-Gù (é), naviga-gation, trajet : vrapà -ôVTTXGùV, durant la traversée. R. TTXEM, naviguer.

IIXGùV, ace. du pr. I1XGùç, v. le m. nXGÛoioç, a, GV, ad}., riche. nXGUTE'oj-â),/. Tiati),êlre riche, de

.IIXGù-G?, Gu (5), richesse, d'où nXooTOJv, tovo; (G), Plu ton. ilocta, ace. s. de T;Gô;. Iloô't, duel du m.

noA 59 IIGO'Gç, g. s. du m.

IIGôSV, adv., d'où? comment? IIGI, adv., en quelque endroit.

quelque part. IIGIî'IO-W,/. T,aw,aor.ier iizûrtay.,

p. T.nt'Âr;/.y.y faire, agir : >ta— Xwç ou VJ riva TTG.EîV, faire du bien à quelqu'un -, /.axw; TIVX TTGuïv, faire du mal à quel­qu'un ; su TTGicôv, faisant bien, avec raison, et j'ai bien fait.

ilOlJ. , 7TGt£G(i.Xl-G,JUSU , / . viaGuat, aor. l t r i7TGi»(jâp.r1v, »i. s., d'où

riGir.ay.p.evG;, r,, GV, aor. 1 e r part. llGiriaaç, a<ra, av, aor. 1 e r part,

act. ; Hiir.aiv, aor. 1 e r imper, act.; riGirlao), r,;, rtyaor. 1 e r subj. act. nGir,r»iç, GJ (6), faiseur; — au­

teur ; — celui qui exécute ; — poêle. R. îTGIE'W.

IIG'./.îXG;, Y), GV, adj., varié, di­vers ; — de diverses couleurs, bigarré.

IIGîGC, a, GV, adj., qui?quel?le­quel ?

ITGIOJV, contr. de Trou'iov, part, de TTGlî'w.

IIOXEI;, contr. de TTG'XEE; ou TTG-Xeaç, n. ou ace. pi. de TTG'XIç.

TIGXûMGç, GV, adj., ennemi : rà TTGXï'aia, l'art militaire, de

I1GXEU.Gç, &U (ô) , guerre. IIGXI;, E'to;(r,), ville, Etat. IlGXXâ, v. TTGAû; ; — pris adv..

beaucoup, souvent : rà 77GXX7, le plus souvent, la plupart du temps.

rioXXaV.:;, adt-., souvent, fré­quemment. R.-oXXâ, xi; ind le nombre.

IlGXXri, TTGXXCI, V. TTGAJ; .

TlGXXGO,a.du m.; — pris adv..avci un verbe de prix, bien cher.

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60 nop npA nwXXô>, d. du m. ; — pris adv., cher. R. Trdpc;, chemin, d'où

beaucoup : 7rcXXô> TCXEICU;, IIcpôpucv, ou (TO), péage, beaucoup plus nombreui . ndpcç, eu (c), passage, chemin ;

ïloXù, »i. du nu;—pris adv., — t r a j e t ; — moyen. R. 7rei-beaucoup ; où TTCXù à77cèNecvTa, pw, p . moij. TZZ—'.GX, percer, ne s'en fallant pas de beau- IIcpptoÔEv, adv., de loin. R. irdf-coup ; rrapà TTOXù, beaucoup. p«, en avant.

LTc/.'jSc'J>'.r,;, EOç-CJç, v. E; (c), Ilcpoypîç, t^c; ( r ) , robe ou man-Pollux. teau de pourpre. R. Tcopcpôpa,

ncXyoYjy.icv, eu (TO), petitPollux, pourpre. cher Pollux, dimin. d'amitié. Dcat, d. pi. de TTCù;.

ncXvôypc;,cy,adj.,pleinde trous. norauLoç, cù (d), fleuve, rivière. R. 6jpa, porte, et TToXyç. R. TTO'TOç, action de boire.

IloXyv, ace. s. de rrcXy;. I . IIOTE, adv., quand? noXy->.c;ccç, cv, adj., très-com- I I . IIOTE, adv., un jour, une fois,

pl iqué, t rès -embroui l lé ;— autrefois; — enfin;—répété , très-artificieux. R. TTXïV.W, p . tantôt.. . tantôt. moy. T.ïTJSS/.?., plier, et IIoTEpoç, a, ov, adj., lequel des

IIoXû:, m'/Xr., 770X6, g. TTOXXCù, deux ? r,:, où, beaucoup, nombreux, ITOTOV, Où (TO), boisson, b r e u -fréquent ; — grand ; — con- vage. R. TTîVO) (TTOW), boire. sidérable : et TTOXXOé, la plu- I . lieu, adv., où? en quel e n -part, le grand nombre. droit? T;Où WOTS àpx EOTI ; où

IlcX'jo-xo/.or, cv, adj . , très-char- est-il donc? nu , q u i a de l'embonpoint. I I . IToù, adv., quelque part ; — R. TTOXùç, o-apE, chair. en quelque façon ; — appa—

noXuTEXrlç, iz, adj., somptueux, remment. magnifique. R. TTOXùC, TE'XOç, IIcù;, g. TZC-Bôç (d), pied : rcù TTO-

impôt, dépense. Biz, par le pied ; èV 7:00-1, de -IîoX'Jxpdv.o:, cv, adj., qui dure vant les pieds ; ràèv Troo-î, les

ou vit longtemps. R. TTOXJ;, affaires du moment (qu'on •/sove:, temps. trouve devant soi).

IIOVEOJ-ôJ,/. r'.o-eo, aor. 1 e r èTTO— IIpàvpa, arc;(TO), chose, affaire; vr.o-z, p . TTïTTo'vry.x, travailler ; —action, exploit. R . Trpâo-aw, —se fatiguer.R. rrdvoç;,travail. p . pass. izéi:c>y.^u.a.if faire, cToù

novr.pîa, a; (r,), misère ; — mé- IIpâl-siE, éol. p. Trpaçai, 5 e p . s. chancelé, scélératesse. R . TTO- aor. 1 e r opl. vr.oiz (TTO'VCC), misérable, mé- npâc/.ç, EU; (T)), act ion; — af-chant. faire, de

flovcùvTE;, contr. de T.vtivt-.iz, ITpoco-o-w, aIt. sérreo,/. occjco, aor. n. pi. de TTcvc'tùv, pr. pari, de 1 e r Érroaça, p . -xi-oze/jr., agir, TTovîto. faire : jcaXw; 7:pâTTEtv, faire de .

nopOu.EÎov, eu (TO), bateau, bar- bonnes affaires, être heureux; que de Charon, de : « 77£-pa*yy.E'vxT'.vî, les actions

ncpôtieOç, EU; (d), batelier, no - de quelqu'un.

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V

npo npo et Jfot/.,irpâffaor».a:,/. â^cu.at, 1er devant soi, présenter ; —

• aor. 1 e r è7rpaÇâ{i.y(v, p . Trerspa- opposer. •Y«, m. s. npo£eS>.r(p.evc:, r,, ev, p . pnrf.

npàrrco, y. Trpa'o-ovo. pass. du pr. TlpsTrti, convenir, être convena- ripe-revec, eu (ê), aïeul, ancêtre.

ble. R. wpe, •vtveu.zt, p. - r e v r , np ' aaa i , /mp. È77siay.yv, acheter, naître.

d'où npo'oY/.er, y, ev, ne//., manifeste. riptau-Ever, y, ov, pr. p<ir/. évident. R. erse, <$y'/.e;, m. s. Usiv, adv.y avant, auparavant; npeoWx, a; (y), trahison. R.

on avant de ou que : TTOIV y, TsserJÎd'toy.'., trahir. avant que. npeE<5fia, a; (y), droit d'occu-

IJs'tov, eves. (o), scie. perla première place, preséan-ïleo, prèp. qui régit le gin., de- ce. R. 7733, f'îpa, siège.

vant , en avant ; — a v a n t : nsoétAey.yv, eu, Eve, r. 7rseatsE(->. -oèccù, avant lui : eî - s i êaeô, n s SE tut, s'avancer. R.-ss,ctut l i . mes prédécesseurs. riscêt-ev, aor. 2 t/e -r.yÂ-iù.

riseaipseo, tirer dehors. R. - s e , IlseEXey.Evss, y,, ev, nor. 2 de atss'w. 773 sotte ECO.

Aloy., 77poxtpseaat-cûu.ai, ITSSETTM, dire d'avance. R. - s i , / . rney-at, cor. 2 77po£iXsuv,v, e—w. préférer , aimer mieux ; — ripos7Îy.tov, a;, E, imp. de -SST:-

choisir. y.ato. ITpeâ7T£tL>.t, s'en aller le premier; noer/w, dominer. R . - s e , j 'yo.

— S'en aller de. R.î73e,à:7£iy.i, nosEy/ôsycav, 5 e p . p/ . aor. 1 , r

l'. eiai I I . de TssevGJSEco. IIpoxnéXOciu.i, etç, et, cor. 2 opt. nseTx.7., ode., gratuitement. R.

de Tspeir,, don. npca7r£p£cu.at, s'en aller le pre- iTssïw,y:, y, wj.zv...aor. 2 su/'/.

micr ; — mourir avant : st de -pséty.t, d'où -pea7T£>.6ei aureû, s'il s'en al- Ilsetwv, eùo-ot, ev, aor. 2 pa»7. lait avant lui. R. erse, à-is— nssy.a7aXau.eavw, se saisir d'a-yysaat, y. epysptai. vancc de, ace. R. 773e, y.a7x,

IlseamOt, ÎTW ; pi. t7£, iT&xrav. XauCâvw, d'où impér. de TZOCX—V.U.:. nssx.x7EXa£ov, s;, £, nor. 2 .

ÏIssxTrcâàvsuM, et;, et, aor. 2 IIssy.sy.etGflai, p . />?/. pnss. ne opt. de TTpey.stvto.

LpeaTreôvyaxw, mourir le pre- nscy.tvouvêûw, s'exposer le p r e ­mier, précéder au tombeau. mier aux dangers, s'exposer

ripeaorsiev, eu {70), faubourg. R. en combattant à la lèlc de. R. 7700, âaru, ville. 7730, xivô\vsûto.

npooâXXw, jeter devant, présen- nsc/.stvw, préférer. R. r.:s , ter. R. —po, (UxXXw. y.zi'tw.

Moy., TTseêetÀXeuat, / . eu- nscu.av7EJsy.at, apprendre d e -\uaf aor. a'wposSàXou.y.v, por- vancc par les oracles ; — pré-

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62 npo npo dire. R. TTOO, u.%\--ûou.y.>.fcon- Iloosuar.v, EO-O, ETO, imp. moy., sulter l'oracle. Ilpoçisva-., pr. inf. de

il 30;,prép. à5cas:gén., par,au Il3ocîy,p.i,/. TCGOCYG-W, admettre, nom d e ; — aa/ . , à, vers a u - recevoir. R. 77303, i'r.p.t, en -près, en outre, outre ; — a c e , voyer. à, vers, auprès, pour, par Moy., 77po3Îïua'., / . 770037;-rapporl à, contre : ÇWT.V p.a- ocaov., y„ ETOV., m. 5. y.aplav 77003 ÉauTcù? TtOc'vTEç, se Ilpoç'.oiv, oGca, ov, aor. 2 part, de promettant une vie heureuse ; irpoçeip.».. -?i Trpôç raGra of,; ; que dis-lu npo;y.oprç, s'ç, adj . , qui rassasie, à cela? qui cause la satiété ou le d é -

npo;a-jw, amener, apporter ; — goût. R. oroo';, y.o'poç, rassasie-approcher, présenter. R. irpoc, ment. àyw, d'où Tlpoçy.jvs'w-â, / . r.aw, aor . 1 e r

Ilposa/ôrvat, aor. 1 e r i?j/. pass. Trpois/.Gvr.o-a, p . 7rp03xsx6vr,y.a, riooçSXe'iTto, regarder. R. 77003, se prosterner devant, dat. ou

fcXsT76». a c e . ; — a d o r e r . R . 77303, X U -TTpoç^oXr', r ; (y,), c h o c , i r r u p - VéCO, a d o r e r .

t i o n . R . 7733;, [GâXXw, p . «20?/. Hpo;Xâo(o, y,;, y,, a o r . 2 s a é j . de fjî'êoXa, j e t e r . nposXau.ëâvo), recevoi r en o u t r e .

II 0030*0x3:61-û, f. rc-co, aor. 1 e r R . 77303, Xau-êàvco. TrpoîEo'oy.y.o-a, a t t e n d r e , e s p é - ITpoçcpâro, r e g a r d e r , vo i r . R . r e r . R . 77003, cToy-Éco, p e n s e r . 7733';, ôpxw.

Ifp:-,ôvpau.uv , oGoa, ov, aor. 2 ripo;oipou.at, r,, s r a i , / . d e 7730;-parf . de 77003733x0). 077700.0:1, o« i serf a n p r .

npo;E'oXs'!/a, a ç , E, a o r . 1 e r de Jls3Ç770'.Eoaai-oGaat, / . xorct/.at, 7730çëXs77o). « o r . 1 e r 77po;c770,.y.câu.y,v, fe in-

npo;Eiu. ' . , s 'avancervers . R . 7733;, d ie , simuler, contrefaire. R. siu.». H. ^ ? ^ , en outre , TTO'.E'GI, faire,

nooçEi77sïv, aor. inf. d'où npo;3'.77(ôv, oGo-a, ov, aor. 2part. npo:77oir,o-iç, ew; (y,), feinte.

de 77poç377tj. npoo-TaTy,;, 00 (ô), défenseur, pro-IIooçEvÉ -y.w, y.ç, y;, «or. 2 s-«//j. tecleur. R. 7733, tVry.at, <rràw,

de 773o;o3sp(o. placer. n33;É77w, parlera , dire. R. 77337, JJG037Î631, pr. inipér. de 7700371-

£77(0. Osa), inos. de 775o;Tt6yJf«. npo;ÉTi, adv., en outre, encore, npoçriôsiç, EÎo-a, E'V, part, de

qui plus est. R. 77333, IVi, m. s. nposTiôr.ai, ajouter. R. 77003, T£-npo3Y-jETw, 3 e p . s. imp. pass. de br,u.<..

77po;â^o). Ilposoîs'pc), approcher, porter à. ll3i3"cy.3*Jo-;, d. p/ . pr. parf. de R. 77333, ospw. ripo3y>.w, / . y.T/o, convenir à, ïlpo3o)77ov, 00 (73), visage, face,

concerner; —appartenir à. ligure. R. 77303, k\ty, œil. R. 77333, y.y.o, aller. ITOOTCSOV, adv., auparavant; —

n3o;y'o-ê7a:, r . 7rpo3'rlai, d'où premièrement, d'abord, de

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npn uni 63 ITpoT«poç, *, ov,adj., antérieur; npwrev.oiiTôTTSûTOV, ado.,pre-

— premier, le premier. R. miérement, d'abord, de *po, comme prior de prae. npûT6$,Ti, cv, adj., le premier.

np&Tiaàa8xi,p. asaôai, tn/*. p .de R. rpo, comp. «soTipo;, SWp. rJponu.â<i>, estimer plus que, TcpoTaTOî-Trpo'aTCîj-TrptoTOî.

préférer à. R. Trpd, rtuâto. nrepo'v, eu (TO), aile. ITpoTVAy.ôetT.v, 7i;, ri, aor. l'ropt. nroî^copo;, eu (o), Plœdore.

pass . dupr. nroXefMÛoç, eu (3), Ptolémée. npcùTCE cpu.â(i), se précipiter le riTwy 'r, Tî, dv, adj., mendiant.

premier sur. R. rcpo, iizi, êç , R. irroio-o-w, mendier. opp-ôw. ITuyin, r; (ri), fesse.

npoùTC£ty;pp.f,<Ta;:, aox, av, part. nuôsvYcpaç, eu (o), Pytbagore. aor.lcroct.de7cpcuî7eçopr«,3ca). nûOteç, eu, adj., Pythien.

ripoûoiaç, eu (6), Prusias, h. nuôuTÎv, évo; (6;, fond d'un vase, npoûyœv, cuaa, ov, p . Tcpoéywv, etc.

part, de irpoeyio. nuXupéa, f. TIO-M, garder la porte, npoepaîvw,/. avô>, aor. i" irpo- être portier. R. TCûXYI, porle,

ecpy.va,aor.2 npoÉcpavov, mon- wpa, soin. trer en avant, montrer d'à- ITuvôâveu.at, poét. reûOou.xi, / . vance. R. upd, epaivoi, faire ravo-ouat, aor. 2 e'rrjôiur.v, p. voir, d'où de/".pass.TîS-UCU.ai, interro-

TJpeoav7Î?,scadj,,évident,clair; ger, demander, questionner. — franc. nuptopXeTsôcov, ovro; (6), Pyri-

ITp3C37ÎTy,<;, ou (é\ qui prédit l'a- phlégéthon. Yenir,devin.R.Tfpd,c5r,aî,dire. rttôyov, coveç, (6), barbe.

npoxwpew-w, f. Y'.GOO, aor. 1" nôjp.a, are; (TO'J, boisson.R. ~i-Tcpoey/ pxca, p . TfOXE/ûpriicx, vio, 7:310, boite, s'avancer;— réussir..Pj^riV ntô-ers, ado., quelquefois; — X^peco, aller. frr*** quelque part;— jamais, sans

npcôr.v, ado., avant-hier;—L{ nég. R. TCW, quelque part, guère, dernièrement. T. ors, un jour.

JTJpioÔT.êr,;, ou (6), qui est de la Iliôpo;, eu (é), Porus, h. première jeunesse, adoles- n u : , ado. , comment? de quelle cent. R. TBîûTOç, premier, manière? TTCôCTOùTO 037;;; com-TÎoYi, jeunesse. ment dis-tu cela?

PAA PAR

PâScicç, ou (r,), baguette. ¥%?.<>),/. paiato, aor. 1er iziil-Paciiov, n. de c/a, renouveler la santé. R. PaoV/Ç, a, ov, adj., facile, d'où paùv, qui se porle mieux, d'où Paètîtoç, adi»., facilement, sans Paio-w, T.;, r,, aor. 1 e r siity.

peine. PxV.icv, eu (ro), vieil habit dé-

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1 6 4 PAfi

•chiré, h a i l l o n ; — p i è c e . R. cxx.cç;, m. s.

Pxov, 72. de çaov; —pris adv., plus facilement.

Px7Ta,Gdi\s2.p., très-facilement. PxycoOî'w,/*. r.Goo, aor. 1 e r Èçpa.—

yopoY.oa, p . r,/.a, faire des vers héroïques, chanter en vers hé­roïques, d'où

Paywo'îa, a; (f/, morceau déta­ché des poésies d'Homère que chantaient les rhapsodes; — composition de vers héroï­ques ; — rhapsodie, titre de toute l'Iliade ou de chaque chant séparé. R. pxrrroo, cou­dre, woV„ chant.

Pâtov, pxov, g. ovc;, CO???D. irrég. de sâo\c?, plus facile.

PftN

PcVrfcî,/. psO/oo, pencher, se por­ter vers.

Pc'w,/. peûfffc), nor. 1 e r eçpeuoa, p . eux*, couler; — s'écouler; — dire.

Pass., cscaat, dégoutter de. P T - W : , ope? (c), orateur, rhéteur.

U. 0 3(0. P:T:7&),/ . pîdvw , aor. 1 e r ecpcya,

aor. 2 ippiœcv, p . epptcpa, jeter en bas, par terre.

PcôvVUU'., Ûfc), ïnUS. SCdti), f. bdiCtù, aor. 1 e r Êppuaa, p . Ippioy.a, fortifier.

Pass., ptovvup.ai, aor. 1 e r

epsciGÔr.v, avoir de la vigueur, se porter bien : p . Eppuuat, je me porte bien ; pl.-q.-p. Èpocôu.r,v.

2I.Q

2x0poç, r., c'y, adj. , pourri, vieux. 2asdxava~aÂc;, eu ' c \ Sardana-

pale. 2XS'.GGX, r,? y,), sarisse, longue

pique. 2x'pç, (y. G7.sy.c; (r.#\ chair. 2XTS7TT/-,:, eu (é;, satrape. 2XU70V, GXU7CÙ, D. GEXU70U. 2s , ace . de Gû.

2ï7U7Cù, r.;, c û , p r o n . rc/Z., de toi-même. R. Gû, aÙ7c'?.

2sy.vo'?, -ri, cv, acf;., vénérable; — majestueux; — orgueilleux.

2".x.EÀîa, a; (r,), la Sicile. 2'.x.uô/, ôi-r,; (r,), Sicyone, f. 2'.y.uciy,.c;, a, cy, ad/ . ,de Sicyone. 2:ac'r, r , c'y, ad/. , camus. S'.ywTTEÛ;, c'eo?, v. EU (C), de S i -

nope. 2*.to7;ày, conlr. de G'.OOTTXE'.V, 77?/.

de

20Y

2:w—aG>-â), / . r'Gta, aor. 1 e r

ÈG'.tôrmGa, p . GEGiwvTT.xa, gar­der le silence, se taire. R.

.i-'.coî-r;, silence. 2b£ "lc.» >, eu (7c% petite barque,

2x.5ccçcç, EC; (70), barque. R . cy.x-7:700, p . EGx.x'ya, creuser.

2x.s'>.Ea-r,, p/ . de 2r.f/.c:, £c?-cu? (7c), jambe. 2/.E7;oo, y . sApco, couvrir, voiler,

cacher. 2y.r,7:îojy, eve? (ô), Scipion. 2/.C7CÇ, eu (6), ténèbres, obscu­

rité. 2/.Û6-/;?, eu (é), Scythe. 2cî, dal. de a-'j. 2o'/.(ov, oove? (c), Solon. 2cr, cri, Gc'v, adj., ton, t a ; —

le lien, la tienne. R. Gû. 2:û. o. de G:: o?? de Gû.

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2TP 2ÏM G>

Jkîpta, a; (in), sagesse. R. Gocpo;, ral. R. a7pz7o;, armée, âvo>, «agre» conduire, d'où

2oV.au»., arc; (ro), expédient; 2 T ? a T Y , T . « ; , y„ ,;v> aa»;.f j e gé-— ruse. R. ao<pîc>, imaginer, n é r a ) t q u i convient à un gé-d'où néral.

^ s T b i s ' t " ^ V O i n d i S C ° U r C U r ' 2TParno ; , où [i], général. M. K. ^ A . .* .. 2r?aroç, où (ô), armée. 2o?oç, m, ov, ad/., sage ; - pru- ? ' '

dent: ci ooffloi, les philosophes. --J Ç- °T>* (*•<• M v x -2T«ÛG*G>,/-. EÛGO>, aor. 1 " far^u- 2u> P r o n » Xu* {0t'

ax, se hâter, faire diligence. ZUYT-^î . e;, ad;, de même 2ro5Vç, où (6), cendre, poussière. r a c c i P a r c n t ' P r o c n e - R - C J1 - -y V ' l e r < p . auv avec, Tîvc;, race. 27XOIXÇ,G>,/. aoœ, nor. 1er EG7X- r , ' ' '

a i W être divisé en factions, ^ryvuur,, r"' (r,), pardon, cx-ôtre en discorde. .R. crâatç, cuse.R.ow1f(ayv)>T.»tur,f$cn-dissension.de tarr.ut, G-XU. timent.

2 7 £ > , / . sc>, aor.'1er |C 7 î;:a 2uTT^G79c, r.,o'v ad;\,pardou-p. srcyx , contenir; — sup- n a D , e - R - (wTf) CJV' 1 ™ « " > porter. i3 , Pa s 5« epwcuxi, ca t» GT3L:»

STêvaxuoç, où (à), gémissement, pardonner. soupir de 2o-pcx7xbxîvG> , descendre en—

2 T £ v a ^ , / . cû>, aor. 1 e r ècrrs- semble, avec. R. 007 (où*), vxÇx, gémir, soupirer. R. GTî- X * T * W » » » V - B *««• vo;, étroit. 2uvy.x7xx).sîo>, /". EîGW, enfermer

2TSVû>, / . 6v», m. s. M. R. ensemble, avec. R. cuv (oûv), . . .

2T£û6CI»,/. EO-CO, raw, p. soTÉps/.x, xara, fcAeico. rxx, p. pass. ÈoTspr.uav/oor.. 2uy/.x7XG-xGac, acx, xv, aor . 1 e r id. ÈGTepr.ôr.v, priver, frus- 1 e r part , de trer : uixpôVv Grepoùusvot, pri- 2uy/.»-aG^âw, tirer en bas, an vésde biens de peu de valeur. fond ensemble, avec. R . G>V

2ri'pvov, ou (70), poitrine, poi- (oûv), /.X-XG-XW.

trail. 2uy/.».7è'€xtvov, tmp. de GU^XX7X-27scpxvo;, ou (é), couronne. R. ëxîvo.

G7s'çti), ceindre. 2u-r/.»*6iui,descendre ensemble SroXe;, ou (5), flotte. R. G7SX>.G>, a v e c . R . ^ ^ ( a u v ) , xa7ç..j,.i, v.

p. WOM. êG7OXX, envoyer, du.: Il, d'où équiper. 2U"P.X7T'SGXV, p . T.EiGxv,3ep.pi.

v7C;ux, a 7 C; (70), J-uche, gueu- t ' L

l e ; — ouverture, d'où _ ... > A „„„„j„„„„0„mKi« , ' ' . 2uA).xubxvw, prendre ensemble,

2-oji.tov, ou (-0), petite bouche, a y e c R nX p o y v > XauL. ouverture, entrée. g ^

27?z7r.Wto, / . r,G6>, aor. 1 e r 2uui?X&w, fm 3 ^ joindre en-

eT75X7 -r/,<rx, commander une 'SCmble. R. GUU p . ojv, r é ­armée, les armées, être gêné- xo. nouer.

<T-

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06 2ÏN

Morj.f <rju.irXEXou.ai, f. éçC-u.ai, se mêler, en venir aux mains, être aux prises.

2uuirXcxx, x; (x), mêlée, com­bat. R. Guu.irê'<r>.&xa, p. mou. du pr.

2yu.i75cicv, eu (-o), banquet, fes­tin. R. OUU. (û"Ûv), TZVUù, 770G), boire.

ï jaoïsco, porter ensemble,avec ; — se mesurer avec ; — être utile ; — pris impers. (TJL/.OE-

SEI, il est utile, avantageux, i! importe. R. ouo. (cûv), OE'SO.

Pass., G-ju.oizc-j.y.:, aor. 1 e r

c'jvxvE/^r.v , en venir aux mains.

S-jaçtXco-cçî'fc), / . r'<70), philoso­pher ensemble, avec. R. cuu. (ou*}, çIXOO-OçE'CO.

2ûv, prép., avec, dat. 2uvo*oy.ci ft». impers.), imp. GUVE-

$y/.-i,aor. 1 e r G-UVECVOEE, il pa­

raît bon à q... conjointement avec... R. o-ûv, o'oy.ET.

SCVEIU.'., être ensemble, avec ; — avoir commerce avec. R. eûv, Etty.É I .

IJVEîSW, y. £9w, débiter. R. o-ûv, eîsfc), dire.

2uvîiç, E:O-X, s'v, aor. 2 de <rri'.r,<j.'.. 5-jvôXau.Savcv, s:, E, imp. de o-u>.-

>.ao.oavw. > j>iX0œ/, cùo-a, cv, aor. 2 par/.

de auvEsyîu.ai. S.VEV.—EGCôV , cûo-a, o'v, tomber

ensemble, avec. R. <TûV, EU. p. ÈV, 771—7t0.

1-ytizyt'j.z:. venir au même en-* * * i 7

droit, se rassembler, se réu­nir. R. o-ûv, ÈV/ci/.ai.

2UVETE0VT>.EI, 5 e p . .s. pl.-q.-p. de vythrenv.'Si.

2uvsoTpâ7Eucv, E:, E, imp. de au-C75a7E"JC0.

2*0 2UVETO;, r', ov, ad j . , plein de bon

sens , prudent ; — intelli­gent. R. <rjvir.ai, compren­dre.

2UVE'çS:.CV, eÇj e imp. de auu-

cps'oa). Z'rnyju, contenir ; — presser;

— retenir. R. oûv, é/a». Iwcn/Hv, r,ç, x, f. <rju.<pE'pa). 2uvxç, 2 e p . x. aor. 2 s«ty. de

o'jvir.ij.i.

2,JVGVW.W , mourir ensemble , avec. R. oûv, ôVXGXW.

Suvîxat, comprendre, concevoir, sentir. R. oûv, îxai.

2uvîr,v, T,ç, r,... ecav, imp. dupr. 2vv.eiv, où ex, ov, aor. 2 par/, de

crjvEiat. 2uvotoNcii7opoî, ou (0), compagnon

de voyage. R. oûv, éo^oiiropo; (ôCïO:, route, 779'po;, passage}, voyageur.

2uv7E'6Eiy.a, a?, e, p . ; 2UV7'.9EÎ7, EÎcra, s'v, pr. part, du 2UVTîGXU.'. , disposer, arranger,

composer. R. oûv, TÎÔyju.t. 2UVOJV, oùo-a, ov, pr. par/, de crûv-

eiuv.. 2uc7pa7EÛ<«),y. cûo-o), aor. 1 e r ouv-

so-TpavEua-x, p . euxa, faire en­semble une expédition, faire la guerre ensemble, avec. R . C'J p . e û v , <770a7SÛG>.

2ve7oa7i(ii-x;, ou (ô), compagnon d'armes. R. eu (aûvi, orpa-siu-7xç, soldat.

2o>aX>.&), y. aXw , supplanter , renverser, abattre.

Pass., cpâXÂcuai, aor. 2 EOOîXXXV, p . Eo-'jaXaai, ne pas réussir dans ; — se tromper.

2O;H";, o. covwv, p/. de ou, de soi. 2'pïo-i, da/. du pr. 2-loo'so7xç, x7o; (x), impétuosité.

R. o'pcfjpoç, impétueux.

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2X0 2fiM 67

Xxs&ux,; aç (f,), petite barque, 2û'c>, / . cci™, «or. 1 e r fowaa, radeau, de p. oiau*.*, f. l*T pass. awôr-

ZxidVv, adv., p r è s ; — presque, O-GIAX», aor. i c r iwbr;,, con-â peu près. R. eyu, C/EîV, server ; — sauver. R. «j-.'c:,

voir, tenir à sain et sauf.

• y y i l - / » \ / 1 o

gure;—habil lement , parure. du corps. R. o-y/.xian % ç-n-2x&Xrî, -îî; {r), loisir, repos. der.

T

TAY TEA

TîbYxôdv, p. TÔ à-yxôdv. TaÙTdv, a», p . TxÙTd. Tâ-ye, p . Ta f s'. Tâeo;, ou (6), tombeau, loinbc. Tàyxôou, p . TOù à*Yx8oû. R. ôXCTTM, p. TE'TX'JX, enseve-Taivtx, a ; (ri), bandelette : rx-.- lir.

via Xeuxri, bandelette blanche, TXV.E'U;, ado., vi le, p rompto espèce de turban. R. TEîVW, ment. R. TX/ûç, prompt. tendre. TX-//.<TTX, pi. n. de TX/IG-TC;, s>//\

TdXavTOv, ou (rd), talent. de rayû;; — pris adv., très-TàX-flârî, p . TccàXr.ôiô. vite, très-promplcmcnt. TàAXa, p . r à àX>.a, les autres, du TE, et, conj. qui répond au latin

reste : xxî TâXXa, et au reste. que. Tàu.d, p. Ta iu.%, mes biens. Te'-yo?, eoç-ou; (TO), toit. Txvxï;, EO; (ô), Tanaïs. Ts'6xay.xi, XCJXI, acrra'., p . ;JE:S5.

TavraXoç, ou (ô), Tantale. de ôXTTTOJ.

Tx—stvdc; , r i , o'v, adj., b a s ; — Ts9vàvxi, p. âsvxi, inf. de humble, petit. TE'OVXX, sijnc. p. ziQrr./.y., v. fc.v-

Txpâaaw, ait. OTTO), f. otqw, aor. exto. 1 e r ÈTdpa^a.p. TéTapaya, trou- TsOvscô;, p . Tsôvr.xcô;, d« m. bler, mettre en désordre. Ts'Qvr;xx, x;, e, p . acf. du m., d'en

Txùô', p . TXùTX, dev. unevoy. d - TêOvr.xcô;, uîx, dç, p . pmf. pirée. TE6vT.;e(j6at,/. »*/. pass., forme

TXùT' , p . TaÙTX, dev. une vo»/. ait. du m. non aspirée. TET/C;, ec; (rd), mur.

TXûTYI, d.fém. de GUTG;; —pris TîxaaîpGuai, aor. 1 e r ETExy.T-.px-adv., par l à ; — d e celte ma- ar.v, conjecturer. R. T:/.O.-/:,

iiière. signe. TauTÏ, au*, p . TXÙTX. TEXSUTXîG;, a, sv, adj . , qui est à TaÙTo, p . Tô aùrd (nsâ^u-a), la la fin, le d e r n i e r ; — / c »;.

même chose : xxrx TXùTO, en pris ado., enfin, de même temps, ensemble. T:'}.;;, EC; (rd), fin:—prrfec-

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6 8 T i e TOI

lion ; — m o r t : TTSô; Tô TSXCç, OSIXX, poser, placer, mettre : TS'àC; Se ou TS'XOç, enfin. — établir ; —exposer.

TepâoTTcç, a , cv, adj., prodi- Pass., riâsaxi, / . 8r.aop.ai, gieux, merveilleux. R. Tï'px-:, aor. 1 e r ëOr,xâur.v, «or. 2 èôJ-prodige, fable, d'où uxv, m. s.

Tï37.TE''X, OLç (x), imposture. TiOwvoç, cù (o), Tithon. Tîprrvoç, x , ov, ad ; . , agréable, TîXTM, prim. Tc'xw, / . Teî;ta»su.at,

charmant; — len.,prissubsl., aor. 2 èTSXCV, p . moy. TéTOXX,

plaisir, agrément, de enfanter. Tsp—o,/. Tsp^o), aor. 1 e r £7£;ya, Tatâw-îô, / . xcca, aor. 1 e r êri-

réjouir, charmer. ur.ox, p . TSTîUTXX, honorer, 3/oj/., TS5T:CU.XI, se réjouir. combler d'honneurs, de

TCSTCWàT, x; (x), m. s. r/ne rap- Ttu.x, xç (x), honneur ; -—pr ix ; TTVOV. — pe ine . R . rico, h o n o r e r .

Teaaxpeç, a , o. tov, d. Tî'G-G-xpa-t, TiiMopétu-û, /". xcw, a o r . 1 e r èr*.-adj. num., quatre. p-wsxo-a, p. TêTiaoipxxa, punir,

TsTapx*yu.svoç, r„ cv,p. part.pass. c h â t i e r ; — t o u r m e n t e r . R. de za.ooioa<ù. ''-^-v', opw, lever.

TâTpaxr.ttsvoç, x, a,p.part. pass. Moy., Ttueopeo|Asu - oûux'., de Tparrâft). /*. x<rsi/.xt, wi. s.

TS'TTXSCÇ, a, ant. p . 7£ooxp£ç, x. Ttvâ, rivx, t». TIC, I et I I . Tîyjhv/xi, aor. 1 e r inf. pass. de I . Tic, m. ef/., ri W., g. TIVOç,

TîXTM. pron. indé/.y quelque, quei-TiyvÎTxç, eu (6), fourbe. R. 7-'- qu'un ; — certain , un ; —

xvx, art, artifice. on. Tr.&Evvcç, ou (x), toge, robe Ion- I I . Tic, m. c i / , Tî, W. o. river,

gue des Romains. prou, interr., qui ? quoi? quel ? Tr.ÀixoÛToç, aÛTx, CûTO, adj., tel, lequel ? etc.

si grand; — si âgé. R. T T - TirpeSaxw, prim. Tpeôw, / . WTM, Xixoç, aussi grand, curer. . p . rïrpwxx, aor. 1 e r pass.

I . Tî, n. de ris, pron. interr., èrpwôr.v, blesser, quelle chose? quoi ? Tî rà êv ToVs, w. de ô-ye. 'AôXVXIç; comment vont les Toos, n. de oSe. aifaircs à Athènes? que fait- Toî, ado. affirm., certes, donc ; on à Athènes?—pris adv., —cependant , pourquoi? comment? en quoi? TciâSe, pi. n. de -c.o'çSs.

I I . Tî, n. de riç, pron. indéf., ToixùV, dev. une voy., pour quelque chose, un peu. TGIXUTX, de TC.CùTC;.

Tixpx, x ; (x), tiare, coiffure des Tcryâp, roivapcûv, conj., donc, Perses. o r d o n c , ainsi d o n c . R . -ci,

Tiôâ'xat, att. p . Tiôeîoi, 5 e p . pi. qâp , ouv. Tiôst, p . TÎÔsTt, pr. hnpér; Tc.fo", p.TOIT.Se, dat.f. de-y.6c.az. T'.flêîs, elca, sv, pr. part, de %- Toivuv, conj., donc , or d o n c . R . TiOr.p.!, prim. ôéCO, / . éxew, a o r . toî , vûv, à p résen t .

1 e r 19-AXX, aor. 2 !&r.v, p . T S - ToioçSe, âSe, ovSe, a d ; . , celui-ci ,

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TPA TPO OV» celle-ci , cec i ;—te l , tel le . R. T a r â ^ * , r,; (ri), table. TOîO;, tté. TpxT?»o-0xc, aor.2inf. moy. ;

T«oûTcç,*ÛTïj,&ÙTo,aii;.,tel,telle: TpxTrw, y,;, y„ a o r . 2 subj. ad. T«Y* xoiaùT* (s.-ent. XXTX), de TOETTCO. sous ce rapport, pour cela; ii Tpx77ù>,7i;;,Yi, aor. 2 subj. pass. TCTOCOOTO, ou quelque chose de-zi-u. comme cela. R. TOïOC;, OUTOç. Tpxûy.a, arc; (TO), coup; — blcs -

Tcxsu;,eoj; ,6,poét .père,parent. s u r e , plaie. R. 71750W.G», Twoitov, g. pi. de TMtîO;. rotito, blesser, d'où Tox6ç, ou (6), usure, intérêt de Tpxuu.x7Îxç;, ou (6) , blessé .

l'argent. R. TCXTG), p . mow. Tpâ/riXo?, ou (6), cou, gorge. TéTOXOC, produire. TpÉTrco, f. é^to, a o r . 2 érparr.y,

ToXit», r,; (in), audace; — i m p u - p . 757309a, tourner, agiter;— dence , courage, d'où Lncliner,pencher;-renverser.

ToXaocù-ca, f. rîato, aor. 1 e r èroX- Afoj/. Tpî'iroaxc, /f. éycu.ai. u r . o a , p . TeToXu.r,xx, o s e r ; — m . s.; de plus se tourner avoir le courage d e . vers, avoir recours à.

ToXitYipoç, oc, dv,ady., audacieux; Tpsy&>, t n u s . è^psaw, f. ôssÇou-ac intrépide; — ferme. R. TOX- et $pxuoûu.xi, o o r . 2£<ïpay.ov, U.OCC11, d'où p . ô'e^px'u.y.scx, p . poét.XiSs".-

TOXUTÎCTXç,cccra,av, a o r . l e r p a r t . tta, courir, accourir. To'vcti, OCC. 5. de 5cYe. T?ia,f.zoh>,aor.Vr(?siav.,p.-i-Toc-âpcx, p / . n. de 7ol*ocpicv. Tpsxx,trembler,craindre,ace. Toc-xpcov, ou (TO), petit arc. Tpixx.ov7x,a.nurri.,50.R. Tpêc;, Tdô;êuu.x,x7o; (7Ô),trait,llèche.R. trois, «vrx marque dizaines.

7c!Uûto(Toc;ov,arC;,lirerdel'arc. TpcSwv, wvo;(6), vieux manteau. TS'TOç, OU (6), lieu, place. haillon. R. Tpîow, user, d'où TOCTXùTX, aÛTxç, aÛTv.v, cas de TpiSwv.ov, ou (70), m. s. TOO-OùTO;, aÛ7r„ oû7o, adj., si To-o^oc, ou (r?, carrefour. R.

grand, si nombreux ;— tant. TOEî;, trois, ôSi;, chemin, tri-R. TO'CTO;, si grand, OUTOç. vium (très viae).

Tors, adv.t alors : oc 707s, ceux TsÎ7oç, y., ov, adj.^ troisième.II. d'alors, d'autrefois. ypâ:, trois.

Toùô'.p. TOûTOdev. unevoy.asp. Ts-yec, nom. pi. de OpcÇ. ToûXdyiTTOv, p . TO eXxyccTTOv, au TpoTrxiovOUTOGTrxïov,trophée.R.

moins . 733770), mettre en fuite. Toùvxv7cov,p.7b£vxv7iov,n.d'vt- Tpo-o;, ou (ô), manière. R. TOî-

«V7COî, pris subst., l e ç o n - TTW, changer. t r a i r e ; — a d v . , au contraire. Tpo9y.,f,;(7;),nourrilure,aliment,

Tour', p . TOûTO, dec. une voy. vivres. R.73590,nourrir . non asp. Tpor:o7T.p, xpo; (ô), courroie qui

TCUTC, att. p . TOûTO. attache la rame. R. TOOTTC;, ToûTo,ToÛTO'.ç,Toû7ov,c<lsde OUTO; . vaisseau. TCUTSVC, ait. p . TCûTOV. _ Tpcyo;, cù (o), roue. R. ';'-/.'>. TOûTO, TOûTWV, cas de oûro;. courir.

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70 T i n

Tsj7râci>-wty. T.CCO, aor. 1 e r Èxpû-irr.o-a, p. pass. TETpÛTnuiat, trouer.

Tçuoâw-ôb,>/. x<r<o, aor. 1 e r irpû-©xaa, p. TETpycpxxa, vivre dans les délices, dans la mol­lesse, de

Tcucpx, x; (x), délices, mollesse, VOlUpté. R. 6p67rT6), p. TÉTOU-©x, énerver.

Tpucpwv, contr. de rpuoâwv, pari, de TfU'pa&>.

TpwÔEÎYiv, aor. 1 e r op*. pass. de

T?wç, wd; (ô), Troyen. T'jy/âvw, prim. TEûV/O, f. TEûçG-

ULXI, oor. 2 (vjyci, p -ETÛyx-x.a, se trouver, être par ha­sard, être ; — obtenir, avoir en partage : TU-T/XX© ëyav (je me trouve ayant), je me trouve avoir ; TU/Oû<JX TESîTM->.x, un plaisir commun.

TûXTM, / . rri/M, aor. 1 e r ÉVu-

Tft

i a , p. TE'rucpa, battre, frapper. MOy.,TÛ7TTGrVXl, / . rû^opuxi,

m. s. TupavvEÛw, / . EÛaw, aor. 1 e r éTU-

pawEuax, être roi, régner, gouverner, et

TupawÉtt, / . xo», aor. 1 e r èru-pdvvxax, m. «., de

Tupawoç, ou(é), roi, prince ; — tyran. R. xôpoc, autorité, xoi-pavoç, maître, roi, etc.

Tûpoç, eu (x), Tyr. Tupô, doç-oûç (ri), Tyro. Tu<pXo';, x, cv, adj., aveugle. Tuœoç, ou (o), présomption, ar­

rogance, insolence. Tuy.x, xç (x), hasard, cas fortuit ;

— sort, fortune, bonne ou mauvaise. R. xu^avo, aor. 2 E7UY.0V, se trouver, d'où

Tuxeip.'., ctç, ot, aor. 2 dp*. ; * Tu/câv, où ex, dv, id. part. ï . Tw, da*. s. de ô, x, TO, OTOù,

II. Toi, dae/ m. ou w.

Y Y I ï à

'Yxxivôc;, ou (ô), Hyacinthe. l'Yop'.ç, EW; (x), injustice; — ou

trage ; — insolence , arro­gance.

'ïyix;, s';, adj., sain ; —raison­nable.

"Y«YMS, g. U&XT&ç, (TO), eau y«, pleuvoir.

' YGXoç, eu (é), niaiserie ; — bil.

Ytdç, eu (&), fils, enfant. 'YAXXTS'O, / . xaw, aboyer. I'XEîç;, nom. pi. de <rû. Yrr', p. ùTTC, dcv. «ne to«/. Y-ayo, soumettre, réduire. R

r # *» OTTO, a ^ f i ) .

s ba-

TnE

Moy., ùTrâycuai,/'. x^cuxi, rn. s.

'YX-XXGûM, écouter avec docilité, obéir. R. ûx:d, àxcûo.

"ïîrapx.os, &u (o), lieutenant; — gouverneur. R. Gard, àpy c;, chef.

'i'i:ioyjù9fm dpe>>, aor. l e rxpç>, être. R. OTTO, âp^o, commen­cer à être.

'Y-aaTuoTxç;, cû (ô),armé du bou­clier ; — garde, satellite. R. ûTTC, àcTTiç, bouclier.

'YirsîS'cu.ai, / . Eicouat, aor. 2 ùTrsio'du.xv , soupçonner. R. û-d. :?'?«, voir, smpicari.

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ïriE rno 71 "Yirt'pu'.v*, a;, E, V. ûxopivo. sèment, avec mépris. R. Or/s, *TTOÇupxiw'voç,x,Gv, p. part. pas.». oxr&u.ai, voir, despicere.

de ûxo£ope'<i>. *YxEpcp«a>-ô>, dédaigner, mé-<YirE7rrr,<iffov, E;, E, imp. de ûxc- priser, oén. ou ace. R. •/-•';,

irrxcaw. opaw, voir, v. le pr. 'YTCE'P, prip. : avec legén., sur, 'YxEpcxJ'îa, <Xî (r,), hauteur, dé-

pour, touchant;—avec l'ace, dain, mépris, arrogance, ». par-dessus, au-dessus ; — en ûxEpoxTtxû;. comp., ûxs'p maron3 supério- 'YxEpTÎtrr.u.». , poser ou mettre rite, excès, addition, etc. dessus. R. ûxs'p, -IHu.:.

Tirs'pa, aç (r), b y père, corde de 'ïxsrapâ/ôr.v, r,;, r, aor. 1rr

vaisseau; — cable. R. ûxs'p. pass. de ûxoTapâo-cco. 'Yxvpêatvto, passer un fleuve, etc. 'ïrr.-p/yoW.v, eu, src, aor. 2

R. ûxs'p, (iaivco. moy. de ûxx-rw. 'YxvpSâXXto, passer, remporter 'ïxriy.ouaa, a:, e, aor. 1 e r de

sur 5 — franchir. R. fais, û-axoûto. PdXXco. 'ixioVrai, 5 e p. s. aor. 2 . « d j .

Moy., ûxsp(>aXXc;u,at , / . de ûXEICYGU.*/..

aXcùpvxi, aor. 2 ûxEpsSaXc-'uxv, 'Yri^vMu.ai-sûu.ai,/. ûxco^xs:-m- s- u.x'., p. de f. pass. ûxs 07x0.7.:,

'YxBpêâç, àcra, a'v, aor. 2 part. fl0r. l e r w < {,-co/s'Or.v, aor. 2 de ûxEpGaîvw. ûxsay.oW.v, promettre. R.ûxo,

'YxEpêoXx, x; (x), excès 5 — hy- f^œ, 1070, avoir. perbole : etç on È; ûxspêoXxv, «YXO", prép." à 0 cas ; avec te g., à l'excès. R. ûxs'p, pâXXw, p. p a r > p a r j e moyen de, de la moy. Ps'SoXa, jeter. part Q ^ ^e, à cause de ; —

'YxE'pvxpttç,©, ace. ov, cdj., très- arec /e dat., sous, par, à cause vieux, accablé d'années. R. de;—avec l'ace, sous, dans, ùTCê'P, «vxpwv, vieillard. en, auprès.— En comp., ûxo'

'Yx-EpetSo), f. sîaoLiai, aor. 2 marque fraude, soumission, ûxepsï<yov, regarder de sa hau- diminution. teur, mépriser, rejeter. *Yxo6oXiaaîo;, a, cv, adj., subs-

"YxEpEXTtvw, payer pour quel- titué. R. ûxo, pôXXco, jeter, qu'un, gén. R. ûxs'p, èX, TîG>, placer. payer. 'Yxo'â\u.t, ûvG>,6ti>,y. ûo-to, aor. 2

'YxspÔEÎç, EÎoa, E'V, aor. 2 part. ûxso'uv, revêtir, se couvrir de; de ûxspTÎflxa.1. — se mettre sous. R. ûxo,

'YxEptè'xTE, 2 e p. pi. aor. 2 subj. $ûva>, W», entrer. de ûxspstd\i>. 'YXOôEîç, EÎ<ra, E'V, aor. 2 part.

'Yxc'oo-pcoç, ov, adj., trop gros ; de ûxoTÎÔxpt, d'où — trop lourd; — plein d'or- 'YXOôECUç, EW; ( X ) , sujet d'une gueil. R. ûxs'p, o-pcoc, tumeur, composition ; — argument ; orgueil. — système.

'YwepoxTtxw;, ado-, dédaigoeu- *Yx&8x<Tou.ai, v. ûxoTÎÔxpu.

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72 ïno er TircjxeCvaç, aca, av, aor. 1

part, de "Yirxttéva», f. EVô>, aor. 1 e r oir-

Ep.Etva, p. unop.Ep.Evr.xa, soute­nir ; — supporter, souffrir ; — attendre, demeurer. R. ûTJO, U,S'VG), attendre.

'YnonTrio-o-w,/. ric/d, trembler on se cacher de peur. R. OTTO, rrrriaffû), fa*.

*Yï7OG-a.0pc;, ov, adj., pourri,vcr-moulu. R. u77o, aaôpo';;, m. s.

*1"—ocra?, âcra, av, aor. 2 par*. de ûcpî<rrv;u.i.

"YT70O7CU.SVCÇ, aor. 2 part, de b'TZ'.Gyyicu.àc.'..

*Y7roTaoâc<7fc), a», CCTTû), trou-bler un peu. R. ûno, -7.0v.aata.

'YnoTi(toip.i, jeter sous, placer en dessous. R. une, TîÔïîU»..

YMH

Moy., ÛTZ&T'Oeaa'., _/*. &ws— 6r'ccu.ai, aor. 2 unEÔEp.y,v, sug­gérer, fournir, produire.

'YnGOEu-vt», s'échapper, s'esqui­ver. R. ÛnO, 06670).

"YnTic;, a, ov, adj., couché sur le dos, renversé en arrière. R. ititOyComme supinus de sub.

"YoTEp&v, n. de Corepoç, pris ad»., plus tard, après, ensuite. R. O-îTo , d'où ûnoTEpoç-UTmpoç., uoTcpoç;, comp'., plus en des­sous, inférieur.

'Yo', p. O-o, dev. unevoy. asp. 'YcptaTv.txi, placer dessous ; —

résister à, soutenir le choc. R. OTTO, ?<rrr,p.t.

'Yiv.sç, -t., ov, adj., haut, élevé : £o' ûy-r.XoO (TO'TTGU), en haut. R. ûi]/&r, hauteur.

<I>

<PAN

Oaiopo';, d, ov, adj.y brillant; — vif, gai, de

«Paîvt», f. avô), aor. 1 e r éor.va, aor. 2 Eoavcv, p. néoa-pca, montrer, faire voir;—neuf., luire, briller.

Pass., oa.vcp.ai, /". 2 epavri-ocaat, aor. 1 e r èodvôr.v, aor. 2 ÈoâvTiv, p. 7;£oap.p.ai, a«. nE-oaap.at, être montré ; — pa­raître, se montrer.

Moy., oaîvop.ai, f. cùp.ai, m. s.

4>aXaxpo;, d, ov, adj., chauve. «PavEpo;, d, ov, adj., apparent,

clair, manifeste : EV r&> oav£-pô>, en apparence; èçTô oavE-pov, en plein jour, au grand jour. R. oatvo), d'où

d>avrïvai, cor. 2 ivf. pass.

4>EP

<hdcp.axov, ou (TO'), poison ; — remède.

<t>aot, 5 e p. pi. de or,p.t, ils d i ­sent ; — on dit, dit-on, ©fou

4>d<72t(o, dire, dire souvent. <Pc:o\;p.ai, / . ©EÎo-cpva'., aor. 1 e r

£06t<rdp.r,v, s'abstenir de;*— épargner quelqu'un, lui faire grâce, yen. R. ©EIOW, épar­gne.

«Pspe, impér. de os'pta;— pris adv., allons! courage! çà donc ! eh !

<Pc'por, inus. oiû), i-pità, vibxtùyf. datù, aor. ieryjvs7xa, aor. 2 rve-yy-Gv, porter, emporter.

Moy., ospop-ai, /". ocaouai, p. rWGxa, ait. Èvrivoxa, aor. 1 e r

r.vE-pcdp.riv, m. s. et rempor­ter, obtenir :• nXéov ivs'vxa.

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«MA «J>PI 73 oéat, avoir l'avantage, gèn. «DiXcococ;, cv, adj. , qui s'adonne

• s û y © , / . ©EÛÇcuai et cùp.at, à la philosophie, philosophe. aor. 2 è'cpo'YGv, p . mog. irs'cpEU- R. ©iXc;, ecç ia, sagesse. •y* OM uya, fuir, s'échapper ; «MXcTius'caat-cûu.ai, / . 7I<JGU.XI, — aci., fuir, éviter : ©eûystv briguer les honneurs;—inf. TT.V rrarpioa, être exilé de sa pass. ©0.cTtuEÎa8ai, être vanté, patrie ; d'où de

«MUJCTE'O;, a, cv, adj., qu'on doit «htXortuïa, a; (ri), ambition ; — fuir, éviter ; — exécrable. ardeur pour. R. «piXc;, riari,

<fcu|cuai, ri, erai, v. ©sûy©. honneur. <Prian,n; (ri), renommée, bruit,de «PîXTXTG;, n, CV, sup. de ©t'Xc;. 4>»îu.î, prim. ©a©, / . ©ria©, aor. «PÎXTpcv, eu (TO) charme pour

1 e r Ecpxaa, aor. 2 Êcpnv, aor. 2 /a ire aimer, philtre, breuvage -mou. èoocp.r.v, dire ; — pré- enchanté. R. ©:XE©, aimer. tendre , affirmer, d'où «PXû/.Taiva, r,; (r), tumeur, pus-

«Pïi;, 2 e p . s. p»*. tnd . tule , ampoule. R. ©Xu© , «hrj;, 2 e p . s.pr. bouillonner.produiredesbul-<P0âvo>, fntiS. ©6âw, f. ©8x<xc»>, les.

a o r . 1 e r EoOaca, aor . 2 £©8r;v, <I>cc,£©, / . r'a©, aor. 1 e r È'pc'or.aa, p . Éœôxxa, prévenir, dcvnn- p . 7:ioitr;/.%, effrayer. R. œo-cer ;— faire le premier, d'où &;, frayeur.

«POx/ix;, ao-a,av, aor. 1 e r part. Pass., ©c€s'caxi-c5u.xt, / . ^ôs'yycuai,/*". ëy!;Gu.xi, aor . 1 e r r.ôrio-cp.x'.jaor. lerÈ©coTi6Tiv, p.

èc38Eyçâ|a-/iv, p . moy. EçOcrya, 7r£©ccocp.ai,craindre,redouter. p.def. pass. e©8syu.ai, par- «PcoT.o-cp.a'., r,, E7cv., / . moy. da 1er;—crier. pr.

«P8tw7i;, i5c; (ri), Phthiolide. «Pcïvic, i/.c; (ô), Phœnix. «PtcÉXri, r.çfri), fiole, bouteille. «berâ©-©, / . r.aw, aor. 1 e r Èçcî-<X>iXr.u.a, aTc;(7c), objet d'amour ; Triera, p. î7eçct7r,y.a, aller, aller

— baiser. R. ©IXE'©, aimer. et venir, aller souvent. «rnXtTCTccç, eu (6), Philippe. «PCVSJ;, EM; (C), meurtrier, de «PIXC^OIC;, cv, adj., qui aime la «PCVEû©,/. EûC©, aor. t c r èOC'VEU-

vie. R. cpiXc;, ami, Çtor, vie. o-a, p. orscpcvEuxa, tuer, de «PiXcaivouvc;, cv, adj., qui brave «Pc'vc;, eu (é), meurtre.

le péril, téméraire.—Leneui., <PcE/.;, ri, cv, adj., qui a la tête prissnust., témérité, bravou- pointue. rc. R. ©îXo;, y.ivouvcç, danger, «hcpàoV.v , adv. , en portant, d'où comme étant porté. R. ©c-

«PiXoxivouv©;, adi\ , en bravant le pa©, de ©sp©, porter. danger, témérairement. «PcxÇ©,/. aow, aor. terÉopao-a,

«PtXc;, r(, cv, adj., ami, chéri. aor. 2 Eopxcîcv, p. Trs'opay.x, «PiXciGcps'©,/. r'.o-w, s'adonner à d i r e ; — ordonner, d'où

la philosophie, philosopher,^ «ppâca;, a<ra, av, aor. 1 e r part. «PiXoaoœia, c ; (ri), amour de la «l'pîaa©, a» , irr©, IWMS. ©pi*©,

sagesse, philosophie, de / . te,©, aor. 1 e r £©ptr,a, p. TCE-

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74 *TA <M>2

«hûo-ei, o?af. de *ûcri;, ew; (TQ), na tu re , n a t u r e l ;

p.oVji TTJ cpjcît y^pr.aâiAÊvcç OVYX-Of,, n 'ayant pour aide que l'excellence de son na tu re l , de

sentir: «.ucpà «ppsvsîv, avoirdes q , . ^ inuSm 0^UAf, uffU, aor% Vr scntimenlsbas, être humble; fouaa, aor .2 «qwv, p . wiasixz.

©socx, frémir; — avoir hor-reur de.

â>oovs'o>-cô, f. r,<j<à, aor. Io3ovr,<rr., p . TCEcpao'vr.y.x, penser, avoir dans son esprit, sa pensée;—

W.î'YX opcvéïv, avoir des senti­ments élevés, être fier. R. oovyv, esprit.

«hpovoùor, dat. p / . m. ef neut. ou 5' p . p r . ind. du pr.

OOCVTî;, î'5*s; (r,), pensée, médi­tation. M. R.

<pp-j'-.«, a; (x), Phrygie, de «hôûc, u-jc; (ô), de Phrygie, Phry­

gien. dïursïv, aor. 2 inf. de ©iûyD. dvj-.rM T.: (T.), fuite, évasion ;—

exil: h ov~ô «"', étant fugitif, M. R-, d'où

<î»j-j(.}v, où ex, ovj aor.1 part. •h-j/.xce», a/t. ocTTto, /*. oc;©,

a07'. l r r suùXxiJx,/). TTcOÙXa x,

produire, engendrer, faire naître, pousser: ©ûeiv TX X ï -pxTx, pousser des sophismes. — Par/ , ei aor. 2 acf., p. moi/. T;S©'J«, senspass. ou neut. : être produit, naître; être.

Pass. oûoaxt, aor . 2 èaur, v, p . TCSOUU.XI.

«rw-rjç, éw; (ô), de Phocide , Phocéen .

(I>wv/i. TJ; (yj), voix, langage ; — langue, idiome. R. ©YIJM, ©XW, parler .

<j>o>sxca-â>, f. âew, p rendre sur le fait, surprendre un voleur.

garder, conserver,veiller sur; * © ; , g-, ©OTO'ç (TO) , l umiè re . R . — observer, épier. ©âo;, m . s .

X

XAA Xxîvw, / . y#avo5u.xt, «or. 2 Ixor-

vov, p. YJ/WZ, s'ouvrir, s'en-tr'ourrir ; — bâiller.

XXîOE, impér. dus.; — forme de salutation, bonjour.

Xxîpo),/. r.oiù, aor. 1 e r iyjxzr.ox, aor. 2 i/jiro, se réjouir... de

XxV.Sxîc;, cj'(o), de Chaldée, Chaldéen.

XXXSTTOç, rî, dv, ad/\, fâcheux, pénible, désagréable.

XxX/iOTrcj;, ctfo;, i>. ou, ad)., qui a une chaussure d'airain. R. TTCùC, pied.

XAP

Xxuxc, adu., à ou par terre, hunii.

XxvSov, ndv., la bouche béante ; — abondamment .

XxoUtc, S<JTX, ev, o. SVTOç, S'GGY.;, evroî, gracieux, agréable, plai­sant. — Le neut., chose pla i ­sante, R . v-jx?».;, grâce,

Xxo£ou.xt , / . iaoux'., ail. IOùO-XC, aor . 1 e r s-^astaâo.r.v, p . d e / , pass. xeyaptGaxt, faire plaisir, faire quelque chose d ' agréa­ble . M. R .

Xxoîvo;, ou (ô), Charinus, k.

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xon xnp 75 Xapuo).ifa);, « (6), Charmolaûs, n. jtat, aor . 1 e r cy^r.«xy./.v, p . de XstpeTfd;, dv, adj., agréable ; — f.pass. xs'xpr.iMit, emprunter;

bien, aznré. R. x0"?6»' 8 e re* — s e servir, user de ; — jouir, âty, œil, visage, aspect. s'approprier.

Xdpwv, *»VTO; (6), Charon. Xpéwvf7c),tna't;cd.,oraclc,décret XotpwtJ», «ire; et Xa'pciro-, eu (d), du ciel, destin.

Charops ou Charopus, h. X^rt(impers.),iinp.iyowff.y^r.--X doua, ocre; (TO), gouffre, abtmc. oet, il faut. R. y.pâw.

R. yaivu, s'ouvrir. Xprua, are; (TO), ce don ton peut XtîXe;, eo;-eu; (rd), lèvre. user, chose;—bien, richesse, Xeîp, d;(r,), d. p/. y.epen, main, argent; — affaire. M. R. XEICOTOVE'W-ôJ, f. r.oo), aor. 1 e r d'où

ÈxetpcTdvvxra, p . xsxetpovdvrxa, Xpr.axuEvcç, r., ev, aor. V moy. élire, créer. R. y.Eip, TEIVU, X^r.atuEJa), f. EûG-M, aor. t i r

tendre la main pour donner iyzr.Giu.vjoy., p. y.v/zr.G'.u.vjy.y.^ son suffrage. être utile, de

XeiperevrOEt;, eîo-a, EV, aor. 1 e r XpT,oiy.o;,r., cv, adj. utile, avan-parl. pass. tageux.. R. xpro-.;, usage.

Xsîpcuç, sync. et contr. de yv.- Xpda, a; (r.), couleur. peveçouxeîpcvaç, n. ou acc.pl. Xpotâ. àç(ri), m. S. deytiçwn I . Xpo'vcç, eu (d), temps, durée.

Xsiodu-û, f. cio-w, réduire en XpOcrec;, ir.,ivi, contr. eù;,ri,eÙ7, 'son pouvoir, subjuguer. R. ad j . , d'or, fait d'or. R. xpu-yEtp, main. GO'?.

Moy., xetpe'cy.ai-GÙtJt.at, / . Xpuori, v. le pr. uoeuat, aor. 1 e r Èxeipwoâ- XOUGîOV, eu (TO), et u.r,v, m. s. Xpuad?, eu (d), or.

I . Xetpeov, ev, g. eve?, comp. rap- XSUGOùç, où, V. xpÛGEc;. porté à y.c&.'iz (mauvais), plus Xpuccçdpoç, cv, adj., qui porte mauvais, pire;—inférieur. de l 'or, des babils brodes

II . XsCpuv, teve; (é), Chiron. d'or. R. yp'jGo'?, oiza, porter. XEiptoaaaôai, aor. 1 e r inf. moy. Xw).d?, ri, dv, adj., boiteux.

de yEipo'w. Xciwuy.'., f. yjûaw, aor. Ic riy/o-Xcpoîv, g. duel de yv.ç. G7.,p.y.iy(ùy.x, amonceler, éle-Xi'/.tei, ai, a, adj. num., mille. ver; — construire : TôçCV y/o-X).au.û?, ûoe; (r,), chlamyde, oai,construire un tombeau.R.

manteau. y/Je?, monceau de terre. XcmÇ, ixo? (x), chénix. Xûzx, a?(r,),Iieu,placc,cndroit, Xoi<ù-b>,f.r,G(ù,aor. lcrè*xpr.aa, et

p.y.iyzr;M., prêter. Xiocîev, eu (re), m. s., de Moy.yzxyt.xi-wj.y.'.,f.r.oz- Xr">eor, eu ( é ) , 777. S.

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7G

TET TTX

s\ -

i4*:»atov, tromper, frof ùCT. Moy., tyztààjUUyf. Escnp-a-,

aor. 1 e r èi}>eyo«paw, mentir.

Tcîvs'ç, T', ov, a d j . , chauve. «3 iyîsaxvTiç, te; (o), d o s p ro ­

phète. R. asevn;, der in , ef T:jfîc:, EC; (ro), mensonge, d u s - Tù.0;, x, cv, adj. ,mince ; — ne ,

seté, de sans poil. u'e-j'ï®,/. EÛffw, oor. 1 e r EWE-jcra, Ty^x, *îî(x), âme, vie. R. V'J'/.'-<

p . pas*. £&Eycruxt, aor. zd. souffler. O

OON OT I. riî, huer}, d appel ou cTadrni- "Cîvrriy 3 e p. pi. imp. d~V.VJ.-X'.

ration, ô ! II . Tî, dar. m. ou i?. de S;, x, S. I I I . Y2, x;, r;, siioj. d'Etat I . 'Qo jpo'axv, ou, ETO, imper, diiï'j—

oiuxi. "ilsTs, 3 e p. s. imp. dv.iu.kV.

"fisx, a; (x), temps, saison ; — heure ; —fleur de 1 âge, d'où

ïbaîc.ç, a, cv, adj., qui est dans la fleur de Page ; — beau.

Tbéx&xv, x;, T., î?. -àprjw. ïlpyxa«p.irv, *«>, atre, e. cpjrssu.x:

'OOeu, wôco,/. wôxott) eî ûco), aor. Vfc>u«, / . ûaw' p . 'y*x, 'fciurJer, I e r wfrr.cTx et ùay.. p . wx,x, p . pass. wou.il, aor. 1 e r id. wa&xv, pousser avec violence, chas­ser.

Ti/.Eavi';, cy ( î \ l'Océan. "fiax.v, imp. dv.vj.?s.. I.Yiao:, ou (&), épaule. II.'fiao;, x, c'v, ad]., cru • — d u r ,

cruel, impitoyable , comme crudus, crudelis, d'où

' î W T X ç , r-v; (T.), cruauté. I . Tb, oyez, ô'v, pr. pari. cTcty.: I :

T î orra, les biens, les posses­sions; TE 5v ou evra, le vrai.

I I . Yb, o. p/. de î ; , x, o. Yivaar.v, C5, 75, t'. 5vtvr(;j.t. YbEtStez, a:, E, r . OVE'.OLTU.

'OvEcaai-ovJax'.,/". xezazt, a or. 1 e r

àvy.çau.rv, acheter: — 4 7 7

nir. "ibr.GZ, a;, s,v. ovivr.at. ïzvxczp.xv, to, Z7C, r . àvs'ouai. Ïiv5yu.7.t, contr. du m. Ï2:'V/VJ (75"), œuf.

rugir ; — se lamenter. Mou., «pycp.au, f. UOOU.SE,

aor. 1 e r ttpyoauarrv, m. *. I.'fi;, rowj. avecl'md., t&pi. et

l'inf. : comme, de même qne y — en sorte que ; —lorsque ; dès que;—afin qne,ponr que, pour, etc. : *a; ZXTE/.6EIV, afin de descendre ; à»; âv, de façon à... ; w; -ye, comme par exem­ple ; ô>; à).x5w;, bien vérita­blement.

I I . "£lz, a d e , ainsi. rï>;77Ep, adt'., comme, ainsi qne.

R. < D î , XTE;

obte-

"fi^r', dee. «tn« roy., nom* "fiç7E, cor?j. arec finf.:en sorte

que, de manière à ; — c'est pourquoi, ainsi.

'fî^&u.xv, OU, £70, » » » . dtÂyiu.x:.

'ftype;, a, c», adj .v paie. T i î , è w ; , œil ; — m e ; — vi-

sage, «aspect. R. 57775*7.7, voir.

FI> Ï>1" LEÏÎfJl 'E.

*

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ESVOI FBAHCO AU REÇU DU PWX EH TUDRIS-1

THÈMES D'IMITATION SUR IFI rtTNCIPAUT AUTEURS ÉLÉMENTAIRES, LATINS

Cette méthode, don t l e principe est YimitaJLxon, se dirai placée sous un éminent patronage.

A un âge où les élèves trouvent encore diracilemenj propre et le tour convenable^ il est très-ntile de propos tation les textes qu'ils expliquent. .-'^

Ce procédé a un double avantagea à l'élève, il infaillible; pour le maître, c'est le plus simple et contrôles, limitation ne pouvant être fidèle, si le tel interpvété.

LHOMOND — Epitome historla sacra, précédé des éléments très-sirj indisfi.asabies aux commençants, sur les noms, les adjectifs et4 verbes latins, et suivi de Tfiémes d'imitation, par MM. Hanqnez

" ;rr.e édition. In-18, cart» •*, riris illnstrlbns urbis Rome. Nouvelle édition, acconif grammatical, d'un dictionnaire revu "avec soin, et

nien>s géographique?, historiques et mythologiques; papjjfeti Thèmes d'imitation, par M. Rogier. In-12", cart. / V • "

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HEUZET. — Select» e profanis scrlptoT&UJ historié. Nouvelle notes et un dictionnaire des noms historiques et géographiques; et Triaire, snivie de Thèmes d'imitation, par M. Rouzé. 1 vqt jjh-12»ji

ÉSOPE. — Fables (texte grec). Nouvelle éffifioa,avec déV 'oxique, par M. Aniel, suivie de Thèmes 'imitation, par Cart- ; / -W '.Aï'' .-WPr

Corrigés des Thèmes d'imitation. In-12r m*. ..§'-'- ^ -- "'£*•• Le jenne helléniste, contenant les Fables d'Esope annotées et.

cices mélodiques destinés à faciliter l'étude élémentaire^g d'imitation, avec des notes grammaticaleset on lexique M. Rouzé.i vol. in-12, cart/-

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Corrïaés des Taémes d'imitation. 1 vol. in-12, br. ; ;V^Np7