NON CAPTVM SED DATVM VENIRE*Parution le premier Mardi du mois

*La devise des Aoucous : « On ne vient pas pour prendre, mais pour donner »

PENSEE DU MOIS : "L'arbitre ,c'est comme le vent et la pluie,il fautfaire avec....."

Lucien Mias

SOMMAIRE :• Éditorial p1• Le mot du Président p1-2• Qui es tu Vincent ? p2 • Raquettes à Matemale (JJ Fauré) p2-3• Le trésorier (E Platel) p3• Lu dans la presse p4• Gastronomie (D Larrieu) p4• Un arbitre en colère p4

AGENDA :• Tous les mardis soirs : Touché/Flag

• 1er Avril : Week end raquettes àMatemale

• 4 avril : Premier mardi du mois

• 20 mai : Tournoi des Branquignols

• 20 mai : Tournoi de Fronton

• 17 Juin : Tournoi des Aoucous

L'HOMME DU MOIS : CACHIN

Page 1Page 1Page 1Page 1Page 1Page 1Page 1Page 1Page 1Page 1Page 1Page 1Page 1Page 1Page 1Page 1Page 1Le journal des AOUCOUS de TOULOUSE – Numéro 3 – Avril 2017

EDITORIAL

e printemps arrive, les

Aoucous ressortent deleur léthargie, certains

rentrent d'une semaine dans lesAlpes, d'autres, d'un week-end

raquettes à Matemale et nous voilàplus nombreux le mardi soir à

l’entraînement...

L

Dans ce numéro, nous vous présenterons les

nouveaux gérants de l'Asado Café, vous ferez plusample connaissance avec Vincent,qui participe depuis

plusieurs années à nos entraînements, avec un groupede jeunes ,bienvenus parmi nous le mardi soir...

Eric Platel nous replongera dans la vie d'un petit club,comme nous en avons tous connus, entre bureaucratie

et pingrerie...

Nous publions aussi, le témoignage d'un arbitre,

catastrophé par la prestation de son collèguebritannique, M. Barnes...

Enfin et pour rester fidèle à la mémoire de notreprésident fondateur JJ Durand, je vous convie tous le

4 avril, premier mardi du mois, à procéder au premiertour de l'élection présidentielle. Le vote se fera à

bulletins secrets, avant le repas traditionnel.

JJ Durand aimait ce genre d’événements qui nous

remettent en phase avec le monde dans lequel nousvivons.

De mémoire, les résultats obtenus n'ont jamaisinfluencé, ni nui au véritable scrutin du 23 avril...

Là ou tu es Jean-Jacques, je sais que tu nouscomprends....

Jean-Jacques FAURÉ

OURS Siège social : Brasserie du TOEC – 8, rue Ernst Dufer - 31300 Toulouse - Directeur de la rédaction : JJ Fauré - Directeur de l'édition : F. Xancho -Photographe : M. Soula - Rédacteurs : J. Artero ; E. Platel ; M. Danielli ; G. Casail ; D. Larrieu

LE MOT DU PRÉSIDENT

Commande du rédacteur en chef : « Reportage surla semaine de ski de quelques Aoucous »

vant d’exécuter l’ordre je voudrai répondre auxallégations fallacieuses de notre ami Bruno sur

les entraînements et le comportement de l’équipecycliste lue dans la précédente édition de notrejournal.Dimanche 26/03, certains cyclistes e t non desmoindres, ont bravé la météo et affrontévictorieusement les pentes du Pic de Nore, je vouslaisse visualiser la photo . Ils ont au cours de l’étapeparcouru 80 km, passer le Pic de Nore, la côte desMartys et le col de Fontbruno et absorber un déniveléde 1670 mètres et quelques centilitres de vins deCabardès.

A

Après le repas ils furent victimes d’un accident avecune automobile qui traversant un pont étroit a projetéun cycliste sur le bas côté en contrebas du pont et unautre dans le torrent. Le directeur sportif a acceptéqu’on attende un des 2 cyclistes, mais a refusé qu’onrepêche celui tombé dans le torrent, ceci afin de tenirle timing fixé pour le parcours.

Pour rappel à l’heure du rendez-vous très matinal,suite au passage à l’heure d’été, 8 :30 heures àLabrugière. Et bien je suis arrivé en retard avec unquart d’heure d’avance. Dire que le directeur sportif aune poigne de fer sur le groupe et qu’il est très strictsur les horaires est un doux euphémisme. Luiprésident, nous passerons à table avant d’être arrivéau restaurant , et nous boirons l’apéritif après lerepas.

(Suite page 2)

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QUI ES TU VINCENT?

Depuis bientôt 4ans,à l'initiative de SylvainGarcia (fils de Jean-Marie),Vincent Rougale-Royer participe le mardi soir à tous nosentraînements. Il vient même souvent nousrenforcer lors de tournois au flag,quand il peut selibérer.

Son assiduité estremarquable,tout autantque sa gentillesse et sapatience pour supporterles raisonnements desvieux grincheux que noussommes.…

Très discret, peud'Aoucous le connaissentvraiment,c'est pourquoi

j'ai tenu à vous le présenter.

Vincent a 23 ans,est élève ingénieur à l'INSA deToulouse en 5°année.Il va effectuer sous peu sonstage de fin d'étude en Inde.Sa spécialisationdans le traitement de l'eau et les énergiesrenouvelables, est un sujet d'actualité trèsimportant. Il espère une fois son stageeffectué,intégrer dans la région une entreprise ouil pourrait se réaliser pleinement.

Nous lui souhaitons donc beaucoup de réussitedans sa vie professionnelle,nous comptonségalement sur lui pour dynamiser les Aoucous,onen a bien besoin...

WEEK-END RAQUETTES À MATEMALE

'obstination de Daniel GARCIA à vouloirorganiser ce week-end hivernal à Matemale, apayé. Prévu en Janvier initialement, Daniel a

eu raison d'insister pour nous emmener passer unenuit au refuge du col del Torn.

L

Neuf Aoucous encadrés de 2 Alls Boixs, Cachin etNicolas Rappoport (ex Colomiers), se sont élancés ducol de Creu, pour rallier le refuge après 2 heures demarche.

Les conditions étaient difficiles sans être extrêmesavec des giboulées de neige et un vent assez glacial.Le rythme assez soutenu de l'ascension démontrait ,sic'était nécessaire,la bonne condition physique desparticipants.L'arrivée au refuge,avec l'accueil chaleureux de notrehôtesse Dominique Bonnel et de son chien fidèleMoaï, nous a tous bien réconforté.

Tournoi de belote, apéro agrémenté de charcuterielocale, et repas montagnard avec entre autre unesoupe de lentilles revigorante. Domi notrechroniqueur gastro a apprécié la qualité des produitset de la cuisine.

La soirée au coin du feu fut un vrai bonheur, même sicertains rallièrent le dortoir plus tôt que les autres.

(Suite page 3)

L'HOMME DU MOIS : CACHIN

ersonnage incontournable de Matemale,Phillipe Sourjouf, alias Cachin, cumuleles fonctions de président à vie des Alls

Boixs ,conseiller municipal, membre denombreuses associations sportives, culturelles etcaritatives dans le Capcir et surtout ambassadeurdes Aoucous en pays catalan.

P

(Suite mot du Président)Pour revenir à la commande, notre semaine de ski àSt Martin de Belleville, je dois dire que depuis que jesuis sous la protection et l’encadrement de notredirecteur sportif, le même que pour le vélo, unequinzaine d’années peut être, les conditions météofurent les moins bonnes de toutes.Il est de coutume chez les skieurs de parler de joursblancs quand on n’y voit rien, c’est un peu comme lanuit quand on marche dans le noir. Et ces journéesblanches sont tristes comme des jours de deuil, où onporte du noir. Je n’imaginais pas le blanc et le noir siproche. Heureusement le groupe est fort et ne s’estpas laissé gagner par la tristesse, les professionnels desanté qui composent la majorité du groupe, 2dentistes, un pharmacien et une anesthésiste sur 12personnes ont depuis plusieurs années imposé unmédicament de base administré par voie orale, dont laposologie est contrôlé par moi-même, j’ai cité le teepunch.

300 cl de rhum blanc ont été consommés en 7 soiréespar 8 consommateurs, soit 56 doses de 5.36 cl. Ce quireste raisonnable, me direz vous, mais mon poste depréparateur, distributeur m’a permis de constater quecertains ont consommé plus de potions que d’autres,mais le serment d’Esculape m’interdit de lever lesecret médical.

Au plan sportif, la semaine reste productive, un quart

pratique la marche avec ou sans raquettes et plus oumoins sportive et les trois autres quarts chaussent lesskis pour chercher un restaurant sur les pistes, ilscherchent plus ou moins vite suivant que c’est jourblanc ou ou pas.

Dans tous les cas l’humeur du groupe reste joyeuse etconstante, doit on l’imputer au remède administréchaque soir, c’est une question que nous posons aucorps médical.

Le président

José ARTERO

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LE TRÉSORIER

Quelque part en France… Un petit club derugby :

éunion hebdomadaire des dirigeants duClub. Plus exactement 'pré-réunion'. Petitsgroupes animés. Quelques solitaires, assis,

plongés dans la lecture du 'Midol'. On attend lesretardataires.

REn bout de table, totalement insensible au brouhahaambiant, perdu sur son îlot de chiffres, isolé dans satour de comptes, le trésorier refait pour la nièmefois 'ses totaux'.

L'embryon de crayon au bout de la main pointechaque ligne de chiffres, descend en bas de lacolonne puis remonte.

On perçoit des:

- 7 et 7, 14. et 9, 23.

On devine des:

- Et je retiens 2.

Le tout entrecoupé de soupirs déchirants provoqués,sans aucun doute, par l'ampleur des sommes en jeuet la crainte viscérale de l'erreur.

Voilà bien trois fois qu'il compte et recompte etvérifie et revérifie le résultat, déjà donné d'ailleurspar sa calculatrice, une étrange machine sans âge,cerclée d'un caoutchouc jauni chargé de faire tenirun clavier récalcitrant et toute une liasse de petitspapiers mystérieux. Sait-on jamais, il vaut mieux seméfier de l'électronique japonaise, surtoutjaponaise!

Planté devant notre homme mâchonnant sa pipechalumeau définitivement éteinte, vous vous devezde patienter jusqu'à la fin de ses délicates etinterminables opérations. A croire que l’avenir duClub, voire du Rugby, est en jeu !

Ouf ! Il a daigné lever les yeux vers vous.

Bien sûr vous vous êtes salués tout à l'heure. Ouimais, à l’instant, oublié jusqu‘au souvenir de ceslongues saisons rugbystiques et fraternelles sous lemême maillot.

Oubliée même, un bon point pourtant, votreponctualité lors du paiement de votre 'cotise'annuelle.

Maintenant... vous n'êtes qu';un demandeur, pire, unquémandeur et de ce qu'il y a de plus précieux à sesyeux... l'argent du Club.

Il sait parfaitement le pourquoi de votre attente mais

vous marmonne quand même un glacial:

- C'est pourquoi?

- Pour la note du repas de mes Cadets.

Vous culpabilisez ; alors vous ajoutez, comme pourvous justifier:

- Tu sais bien... On en a déjà parlé !

Vous tendez votre précieuse note de frais. Lui nebouge pas. On dirait qu'il veut à tout prix retarderl'échéance. Vous lui agitez sous le nez, puis, agacé,vous posez le papier devant lui.

Il contemple, sans la voir, cette feuille, sans doutehautement compromettante, car il n'y touche pas.Peut-être espère-t- il en secret qu'un miraculeuxsouffle de vent…

Enfin ! Notre trésorier-inquisiteur a daigné prendreen main votre précieuse note de frais. De la paume,il la lisse soigneusement, tentant de rendreprésentable un document désormais officiel. Ilchange de lunettes et se lance dans un examenapprofondi, digne des plus fins limiers de la Courdes Comptes. Et commence là, interrogatoire auquelil est conseillé de répondre avec toute la précisionvoulue:

- Oui c'était prévu - Oui le Président était d'accord -Oui c’est toujours moi l’éducateur des Cadets - Ouiles accompagnateurs ont bien payé leur repas deleur poche - Oui, 18 repas parce qu'une équipe derugby comprends 15 joueurs mais également desremplaçants - Non ce n'était pas un « 3 étoilesMichelin » - Non le café n'était pas prévu dans lemenu - Oui les cadets boivent du café - Oui c'estmal écrit - Oui le tampon du resto est presqueillisible…

Et pour couronner le tout:

- Oui c'est bien des euros !

Accablé mais pas encore vaincu, il reprendl'examen du document, ne désespérant pas d'ytrouver un signe, un défaut, une faille. Rien aurecto. Il le retourne cherchant une trace, un détailpermettant de mettre en doute son authenticité, ouquelque chose comme un cachet portant la mention'Sans valeur' ou 'Annulé'. Rien de ce côté non plus.

Profond soupir et nouveau changement de lunettes.Fin de la première mi-temps. Mais vous n'avez pasencore gagné.

Commence une réflexion, plus exactement uneméditation dont la longueur n'a d'égale quel'intensité et qui s'achève par un summumd’hypocrisie:

- Et alors qu'est-ce que tu veux?

Ne pas perdre son sang froid. Surtout rester calmeet souriant:

- Que tu me rembourses.

- Aujourd'hui?

- Ben oui.

- Maintenant?

- Ben oui.

Long silence. Puis l'éclair de génie :

- Si on voyait cela, tranquillement, après laréunion ?

Méfiance. Refusez fermement. Prétextez n’importequoi.

Mais « Picsou », on ne saurait si bien dire, a plusd’un tour dans son sac :

- Tu veux des espèces ou un chèque?

Attention... piège!

Si vous choisissez 'espèces', et bien, comme c'estétrange... il n'en a pas. Même type d’échappatoire sivous préférez les chèques.

- Comme tu voudras.

Va pour le chèque. Et de vous secouer son chéquiersous le nez, ultime tentative pour vous fairerenoncer:

- T'as vu, il n'en reste que 2 !

Compréhensif, hochez la tête en silence, montrantainsi votre profonde compassion.

Le bout du tunnel. Erreur. Avec toute la lenteur ettoute la solennité voulue, il remplit 'votre' chèque,hésite encore un instant... puis le signe.

Considérant l'affaire terminée, notre homme,involontairement bien sûr, s'empresse d'enfouir lechéquier... avec votre chèque... non détaché, au finfond de sa mystérieuse sacoche.

Ne tenez pas compte de sonfaux étonnement :

- Je ne te l'ai pas donné?

Insistez pour recevoir, enfin,votre dû.

Eric Platel

Week-end Raquettes à Matemale (suite)

Après une nuit réparatrice et un solide petitdéjeuner,avec toujours une météo variable, nousreprenons le chemin du col de la Llose, et vers midinous nous retrouvons au refuge pour un dernierrepas avant notre retour vers Toulouse.

Dany, Dominique, Frédéric, Xavier, Valérie, Bruno,Daniel(Comolli) ,Daniel(Garcia) et moi-même,avons énormément apprécié la qualité del'hébergement au refuge,et la gentillesse et ladisponibilité de Dominique.

Le refuge du col del Torn, situé à 1870m dans leParc Régional des Pyrénées Catalanes, peutaccueillir 12 personnes. Dominique Bonnel gèretrès bien sa petite entreprise .

À toutes fins utiles voici ses coordonnées , c'est unbon plan de randonnée hiver comme été…

Tel: 0631119784Mail: refugedutorn@gmail.com

Jean-Jacques FAURÉ

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LU DANS LA PRESSE

ous la plume de Pierre Michel Bonnot, dansl’Équipe du 20 mars :S

" Pour vous dire si le Stade Français n' a pastoujours été un club de haut niveau, il nous estarrivé de le battre. C'était à la fin des années 1970,en honneur régional avec le CS Fontainebleau, quin'avait pas encore viré Rugby Sud 77 à la suite desa fusion réussie avec deux autres clubs en détressedes confins de la Seine et Marne.

A oui, parce que si, comme le chantait Brel y fautpas jouer les riches quand on n'a pas le sou, il fautvraiment être fauché pour que ces mariages deraison se passent sans hoquet.

Mais si le Stade Français, désormais menacé dedépôt de bilan, n'est pas à l'abri d'un retour auxabysses, tout s'est passé durant une semaine commesi son éclipse de 70 ans n'avait pas existé.

C'est que, comme l'a gracieusement fait remarquéBenjamin Kayser, Lorenzetti et Savare ont chié surles souvenirs d'enfance de toute une génération detrentenaires nés au rugby sous le ciel marine barréd'éclairs discos du Stade Français renaissant.Et, sans surprise, l'aimable garden party deBagatelle a viré au massacre. En terme de fiascomarketing, on fait difficilement plus réussi que laséance de guignols improvisée sur le site de lapremière finale du championnat par Jacky lesbonnes combines et le Petit Chose de la porte deSaint Cloud.

En une représentation exceptionnelle ils ont réussià compromettre la corporation des mécènes quientretient depuis les origines la prospérité du rugbyde clubs, à discréditer une fin de Top 14irrémédiablement biaisée et à saloper l'image déjàbien écornée du Racing à l'heure où il prétendaitinstaller son absence de popularité chronique dansun stade de 30 000 places. Chapeau les artistes !Tout ça parce que Lorenzetti débarqué du bâtimentavec des pompes de sécurité de 15 tonnes à chaquepied s'était obstiné à négliger cet affect qu'il s'estpourtant souvent étonné de trouver dans le rugby.Tout ça parce que Savare a voulu se payer un jouetau dessus de ses moyens en piochant 50 millions en5 ans dans la tirelire de ses sœurs.

A défaut de réussir l'impossible édition ducalendrier des Dieux de l'Immobilier, il reste unclub peut-être deux, et même à plus long terme lerugby d'élite tout entier à Paris à sauver.

Et il faut pour cela souhaiter qu'il se trouve encorelongtemps des richissimes disposés à ne pas s'aimerpour dépenser des fortunes à seule fin de se fairecouvrir d'ordures, quand l'affaire tourne mal."

GASTRONOMIE Notre chroniqueur gastronomique ,ce mois-ci ,nous présente le nouveau gérant de l'Asado Café.

Dominique LARRIEU

UN ARBITRE EN COLÈRE

on devoir de réserve, vis à vis de sahiérarchie, lui interdit de signer ces quelqueslignes,mais cet arbitre tenait à exprimer son

exaspération, après le match France-Galles dusamedi 18 mars.

S"Malgré la passion que j'ai pour l'arbitrage,je nepeux rester insensible devant la prestation indigne

de M. Barnes.Ce qui s'est passé samedi au Stade deFrance,va avoir des conséquences dramatiques ànotre niveau,quant au respect et à la considérationque nous sommes en droit d'attendre des joueurs etdirigeants des clubs que nous arbitrons.

Après une telle démonstration d'incompétence,comment passera notre message et commentsurvivront les liens et la confiance patiemmentobtenus aprés des années de conciliation…

Cette affaire est d'autant plus regrettable,que M.Barnes n'en est pas à son coup d'essai....Déja enavril 2010,lors d'un Connacht-Toulon, il a faitrefaire 9 mélées à 5 mètres,pendant 11 minutesd'arrét de jeu,sans accorder d'essai de pénalité...."