nicéphore niépce

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Nicéphore Niépce Pour les articles homonymes, voir Niépce (homony- mie). Joseph Nicéphore Niépce Joseph Nicéphore Niépce, le 7 mars 1765 à Chalon-sur-Saône (actuelle Saône-et-Loire) et mort le 5 juillet 1833 à Saint-Loup-de-Varennes (Saône-et- Loire), est un ingénieur français, considéré comme étant l'inventeur de la photographie, appelée alors « procédé héliographique » [1] . Il est aussi l'auteur de la plus ancienne prise de vue et du pyréolophore, le premier moteur à com- bustion interne du monde. 1 Biographie 1.1 De 1765 à 1816 Joseph Niépce naît le 7 mars 1765 à Chalon-sur-Saône en Bourgogne, sous le règne de Louis XV. Son père est avocat et gérant de biens, et porte le titre honorifique de conseiller du roi. Sa mère, née Claude Barault [2] , est la fille d'un célèbre avocat [Qui ?] . Très aisée, la famille possède des propriétés dispersées autour de Chalon-sur- Saône lui procurant des revenus élevés [1] . Il adoptera le surnom de Nicéphore lors de la période révolutionnaire selon certains [3] , quand d'autres, expliquent qu'il a choi- si « Nicéphore » en 1787, après avoir été renvoyé d'un collège où il supervisait une classe [4] . De 1780 à 1788, ses études aux collèges des Oratoriens à Chalon-sur-Saône, Angers et Troyes font entrevoir pour Joseph une carrière ecclésiastique ; mais il semble que la vocation du jeune homme se soit émoussée. Il renonce à la prêtrise et s’engage dans l'armée révolutionnaire en 1792. Il s’installe à Nice et s’y marie avec Agnès Roméro qui met au monde Isidore en 1796 [1] . Dix ans plus tard, il est de retour en Bourgogne. À trente- six ans, Niépce retrouve sa terre natale, sa mère, sa sœur Claudine-Antoinette et ses deux frères Claude, l'aîné, et Bernard. Les années suivantes sont consacrées à la mise en valeur de ses propriétés et à ses inventions : le « pyréolophore [Quand ?] » moteur à explosion breveté en 1807, qui, bien que jamais commercialisé, apporte une notoriété nationale [réf. nécessaire] à ses talents d'inventeur, partagée avec Claude. Il soumet un projet pour la réno- vation de la machine hydraulique de Marly et mène des expériences sur la culture du pastel, dont le développe- ment est favorisé par le blocus continental. Tous ces travaux, l'état de guerre permanent propre au premier Empire, le renchérissement de toutes choses amènent leur cortège de difficultés financières et Niépce contracte le premier d'une longue série d'emprunts. 1.2 La genèse de l'invention 1816 est l'année des premières recherches « héliographiques », menées conjointement à celles du pyréolophore. Fin 1817, son frère Claude part en Angleterre tenter de vendre leur moteur et continuer ses propres travaux sur le « mouvement perpétuel ». La correspondance des deux frères durant les onze années suivantes sera un véritable almanach de l'avancement des recherches et des premiers succès photographiques. En 1824, enfin, Nicéphore peut écrire à son frère : « La réussite est complète ». Hélas la situation de la famille est catastrophique : les dettes s’élèvent à 1 800 000 francs (en 1987 [Quoi ?] ) et on songe sérieusement à vendre des propriétés pour rem- bourser des créanciers devenus impatients. D'après la lettre à son frère Claude datée du 5 mai 1816 [5] , il semble que c'est à cette date que Nicéphore Niépce ob- tient un premier résultat significatif : une vue depuis sa fenêtre. Il s’agit d’un négatif que Niépce ne parvient pas à fixer. Après développement, le papier continue de se noircir. Il appelle cette image rétine : « je plaçai l'appareil dans la chambre où je travaille ; en face de la volière, les croisées ouvertes ; je fis l'expérience d'après le procédé que tu connais, Mon cher ami, et je vis sur le papier blanc toute la partie de la voliere qui pouvait être apperçue de la fenêtre et une légère image des croisées qui se trouvaient moins éclairées que les objets extérieurs. » Une nature morte réalisée par Niépce et connue sous le titre La table servie a été considérée par certains cher- cheurs comme la première photographie, prise avant 1825 [6] . L'original, offert par le petit-fils de Nicéphore, Eugène Niépce, à la Société française de photographie en 1890, est aujourd'hui disparu. Il en subsiste une repro- duction réalisée par la SFP en 1891. Les recherches de J.-L. Marignier [7] ont, depuis, conclu qu'il s’agissait plus vraisemblablement d'une image prise en 1832 ou 1833 par un procédé original, le physautotype, mis au point par Niépce et Daguerre dans le cadre de leur collaboration entre 1829 et 1833 (cf. infra) [8] . En 1827 [9] , Niépce réalise la photographie intitulée le Point de vue du Gras, prise depuis la fenêtre de sa maison de Saint-Loup-de-Varennes, près de Chalon-sur-Saône. 1

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Biographie du pionnier de la photographie, Nicéphore Nièpce

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Page 1: Nicéphore niépce

Nicéphore Niépce

Pour les articles homonymes, voir Niépce (homony-mie).

Joseph Nicéphore NiépceJoseph Nicéphore Niépce, né le 7 mars 1765 àChalon-sur-Saône (actuelle Saône-et-Loire) et mort le5 juillet 1833 à Saint-Loup-de-Varennes (Saône-et-Loire), est un ingénieur français, considéré comme étantl'inventeur de la photographie, appelée alors « procédéhéliographique »[1]. Il est aussi l'auteur de la plus ancienneprise de vue et du pyréolophore, le premier moteur à com-bustion interne du monde.

1 Biographie

1.1 De 1765 à 1816

Joseph Niépce naît le 7 mars 1765 à Chalon-sur-Saôneen Bourgogne, sous le règne de Louis XV. Son père estavocat et gérant de biens, et porte le titre honorifiquede conseiller du roi. Sa mère, née Claude Barault[2], estla fille d'un célèbre avocat[Qui ?]. Très aisée, la famillepossède des propriétés dispersées autour de Chalon-sur-Saône lui procurant des revenus élevés[1]. Il adoptera lesurnom de Nicéphore lors de la période révolutionnaireselon certains[3], quand d'autres, expliquent qu'il a choi-si « Nicéphore » en 1787, après avoir été renvoyé d'uncollège où il supervisait une classe[4].De 1780 à 1788, ses études aux collèges des Oratoriens àChalon-sur-Saône, Angers et Troyes font entrevoir pourJoseph une carrière ecclésiastique ; mais il semble que lavocation du jeune homme se soit émoussée. Il renonceà la prêtrise et s’engage dans l'armée révolutionnaire en1792. Il s’installe à Nice et s’y marie avec Agnès Roméroqui met au monde Isidore en 1796[1].Dix ans plus tard, il est de retour en Bourgogne. À trente-six ans, Niépce retrouve sa terre natale, sa mère, sa sœurClaudine-Antoinette et ses deux frères Claude, l'aîné,et Bernard. Les années suivantes sont consacrées à lamise en valeur de ses propriétés et à ses inventions : le« pyréolophore[Quand ?] » moteur à explosion breveté en1807, qui, bien que jamais commercialisé, apporte unenotoriété nationale[réf. nécessaire] à ses talents d'inventeur,partagée avec Claude. Il soumet un projet pour la réno-vation de la machine hydraulique de Marly et mène desexpériences sur la culture du pastel, dont le développe-ment est favorisé par le blocus continental.

Tous ces travaux, l'état de guerre permanent propre aupremier Empire, le renchérissement de toutes chosesamènent leur cortège de difficultés financières et Niépcecontracte le premier d'une longue série d'emprunts.

1.2 La genèse de l'invention

1816 est l'année des premières recherches« héliographiques », menées conjointement à cellesdu pyréolophore. Fin 1817, son frère Claude part enAngleterre tenter de vendre leur moteur et continuerses propres travaux sur le « mouvement perpétuel ». Lacorrespondance des deux frères durant les onze annéessuivantes sera un véritable almanach de l'avancementdes recherches et des premiers succès photographiques.En 1824, enfin, Nicéphore peut écrire à son frère : « Laréussite est complète ».Hélas la situation de la famille est catastrophique : lesdettes s’élèvent à 1 800 000 francs (en 1987[Quoi ?]) eton songe sérieusement à vendre des propriétés pour rem-bourser des créanciers devenus impatients.D'après la lettre à son frère Claude datée du 5 mai 1816[5],il semble que c'est à cette date que Nicéphore Niépce ob-tient un premier résultat significatif : une vue depuis safenêtre. Il s’agit d’un négatif que Niépce ne parvient pasà fixer. Après développement, le papier continue de senoircir. Il appelle cette image rétine : « je plaçai l'appareildans la chambre où je travaille ; en face de la volière, lescroisées ouvertes ; je fis l'expérience d'après le procédéque tu connais, Mon cher ami, et je vis sur le papier blanctoute la partie de la voliere qui pouvait être apperçue de lafenêtre et une légère image des croisées qui se trouvaientmoins éclairées que les objets extérieurs. »Une nature morte réalisée par Niépce et connue sous letitre La table servie a été considérée par certains cher-cheurs comme la première photographie, prise avant1825[6]. L'original, offert par le petit-fils de Nicéphore,Eugène Niépce, à la Société française de photographieen 1890, est aujourd'hui disparu. Il en subsiste une repro-duction réalisée par la SFP en 1891. Les recherches deJ.-L. Marignier[7] ont, depuis, conclu qu'il s’agissait plusvraisemblablement d'une image prise en 1832 ou 1833par un procédé original, le physautotype, mis au point parNiépce et Daguerre dans le cadre de leur collaborationentre 1829 et 1833 (cf. infra)[8].En 1827[9], Niépce réalise la photographie intitulée lePoint de vue du Gras, prise depuis la fenêtre de sa maisonde Saint-Loup-de-Varennes, près de Chalon-sur-Saône.

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2 3 HOMMAGES ET LIEUX DE MÉMOIRE

Point de vue de la fenêtre, la plus ancienne photographie conser-vée, réalisée par Nicéphore Niépce en 1827.

Il utilise pour cela une plaque d’étain[réf. nécessaire] et dubitume de Judée, provenant de l'asphalte des mines deSeyssel (Ain). Après avoir reconstitué le procédé dansles années 1990 et en s’appuyant sur les témoignagesd'époque[10], J.-L. Marignier a estimé que le temps depose avait dû être de plusieurs jours[11].Parallèlement, l'inventeur lie ses premières relations avecle graveur Lemaître et l'ingénieur-opticien Vincent Che-valier, de Paris. C'est grâce à ce dernier que Louis Da-guerre écrit une première lettre à Niépce en 1826. Lescontacts entre les deux hommes sont peu fréquents :Niépce est assez méfiant, Daguerre plutôt pressant. Ni-céphore envoie avec parcimonie des échantillons (par-fois tronqués) de ses réussites tandis que Daguerre, lui,n'envoie que des promesses…1827 est une année décisive. Bien que miné par des diffi-cultés de tous ordres, Niépce prend conscience du degréd'achèvement de son invention et cherche des contactspour la faire reconnaître et la perfectionner. Claudetombe toutefois gravement malade et il faut partir pourl'Angleterre où la situation est là aussi calamiteuse : épui-sé par ses recherches, n'ayant pas réussi à négocier lepyréolophore, Claude sombre dans la démence et meurtpeu après. Lors de leur passage à Paris, Niépce et safemme nouent des relations avec des scientifiques, maissans suite. Mêmes résultats en Angleterre malgré de flat-teuses rencontres avec des membres de la Royal Acade-my.

1.3 L'association avec Daguerre et la mortprématurée de l'inventeur

Début 1828, retour à Chalon-sur-Saône : Daguerre semontre de plus en plus désireux de connaître de nouveauxrésultats. Le premier projet d'association entre Niépceet Daguerre voit le jour en octobre 1829. Le but del'association est de commercialiser les fruits de la nou-velle découverte, à parts égales. Niépce apporte son in-vention, Daguerre ses relations et son « industrie ». Aucours des années suivantes, la collaboration devient plus

étroite : une correspondance s’établit entre Chalon-sur-Saône et Paris. On use même, pour préserver le secret,d'un code chiffré désignant les éléments utilisés (13=lachambre noire, 56=le Soleil, 5=le bitume de Judée, etc.).Ce code compte jusqu'à cent une références. Les lettreséchangées montrent que Daguerre est surtout préoccupéde la gestion de son « diorama » et que les recherchessont essentiellement le fait de Niépce (bien que Daguerreparle de « nos » recherches).En 1832 enfin, Daguerre réalise pour Niépce un bilan deses propres travaux d'où il ressort que l'un et l'autre, avecles mêmes produits, obtiennent des résultats différents ;il est toutefois à noter — et cela n'est pas sans impor-tance — que jamais Daguerre n'a pu montrer à Niépce lemoindre résultat de ses essais. Mais les choses avancent.Début 1833, cependant, Daguerre, malade, suggère la re-mise à plus tard de certains essais.Le 5 juillet 1833 à sept heures du soir, Nicéphore Niépcemeurt subitement dans sa maison de Saint-Loup-de-Varennes. Il repose au cimetière du village.Le 3 juillet 1839, François Arago présente à la chambredes Députés son rapport sur le Daguerréotype[12]. Cettecommunication livre « à l'univers tout entier » le secretdu procédé de Louis Daguerre. Arago oublie seulementde préciser que l'invention dont il est question est née de-puis déjà quinze ans du génie d'un autre homme : Ni-céphore Niépce. En 1841 commence une polémique surla paternité de l'invention. Le fils de Nicéphore Niépce,Isidore Niépce, publie un livre intituléHistorique de la dé-couverte improprement nommée daguerréotype[13]. Il fau-dra quelques années pour que la paternité de l'invention,confisquée un temps par Daguerre, soit définitivementrendue à Niépce.Vers 1853, Abel Niépce de Saint-Victor améliore la tech-nique de son oncle sous le nom d'héliogravure.

2 Articles connexes

• Musée Nicéphore-Niépce

• À propos de l'invention de la photographie

• Histoire de la photographie

• Découverte de l'iode

• Prix Niépce

• Le festival de photographie Nicéphore + fait réfé-rence à Nicéphore Niépce.

3 Hommages et lieux de mémoire

• Musée de la photographie Nicéphore-Niépce. C'estle pôle de développement, de soutien et d’accompa-

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gnement de la filière « image et son » (NicéphoreCité) de Chalon-sur-Saône.

• Maison de Nicéphore Niépce de Saint-Loup-de-Varennes.

• Association Gens d'images Depuis 1955, cette as-sociation décerne à un photographe français ou ré-sidant en France depuis plus de trois ans, le prixNiépce, qui compte parmi ses premiers lauréats JeanDieuzaide, Robert Doisneau ou Jeanloup Sieff.

• Statue de Nicéphore Niépce par Arsène Letellier, 89rue Jeanne-d'Arc à Rouen

• Maison natale à Chalon-sur-Saône.

• Maison de Nicéphore Niépce de Saint-Loup-de-Varennes.

• Musée Nicéphore-Niépce de Chalon-sur-Saône.

• Prototype de moteur pyréolophore breveté par lesfrères Niépce en 1807.

• Vélocipède/draisienne des frères Niépce de 1818.

• Chambre noire de Nicéphore Niépce de 1820.

• Daguerréotype de Louis Daguerre.

• Plaque sur la maison natale.

• Monument de Saint-Loup-de-Varennes.

4 Notes et références[1] « Joseph Nicéphore Niépce », sur fiches.lexpress.fr

(consulté le 22 février 2014)

[2] Ou Baraut, selon son acte de mariage, ou Barrault, selonl'acte de baptême de sa fille, cf. Manuel Bonnet et Jean-Louis Marignier, Niépce correspondance et papiers, op.cit.

[3] http://www.bienpublic.com/actualite/2014/08/07/niepce-l-inventeur-qui-ne-sut-jamais-se-vendre

[4] Daniel Girardin, « Niépce versus Ste Véronique », in Ni-céphore Niépce, une nouvelle Image, Actes du colloque Ni-céphore Niépce, 15-16 janvier 1998, Société des amis duMusée Nicéphore Niépce, Chalon-sur-Saône, 1999.

[5] Manuel Bonnet & Jean-Louis Marignier, « Niépce corres-pondance et papiers », 2003 (consulté le 22 février 2014)

[6] « Catalogue des œuvres », sur Niepce.com (consulté le 22février 2014)

[7] Jean-Louis Marignier, Niépce : L'invention de la photo-graphie, Belin, 1999, 592 p. (ISBN 2-7011-2433-6), p.478-491

[8] « Le physautotype », sur Niepce.com (consulté le 22 fé-vrier 2014)

[9] Entre le solstice d'été et la fin du mois de juillet, cf. Jean-Louis Marignier, « Aux origines de la photographie : Ni-céphore Niépce »,Académie des beaux-arts, 25 juin 2008,p. 53-84 (lire en ligne) et Jean-Louis Marignier, « Histoirede la redécouverte des procédés de l'invention de la photo-graphie par Nicéphore Niépce », Histoire de la recherchecontemporaine, vol. 1, no 2, 2012, p. 145-156

[10] Le Constitutionnel du 20 août 1839, p. 2, « “Le procédéde M. Daguerre” », sur Gallica, 1839 (consulté le 2 mars2014)

[11] Jean-Louis Marignier, Niépce : L'invention de la photo-graphie, Belin, 1999, 592 p. (ISBN 2-7011-2433-6), p.532-536

[12] François Arago, Rapport de M. Arago sur le daguerréo-type, Bachelier, 1839, 54 p. (lire en ligne)

[13] Isidore Niépce, Historique de la découverte improprementnommée daguerréotype, Astier, 1841, 72 p. (lire en ligne)

5 Bibliographie

• Isidore Niépce, Historique de la découverte impro-prement nommée daguerréotype, Librairie Astier,1841 [lire en ligne] [PDF]

• Raymond Lécuyer,Histoire de la photographie, Bra-chet et Cie, 1945

• André Vigneau, Brève histoire de l'Art de Niépce ànos jours, Robert Lafont, 1963

• Yvan Christ, L'age d'or de la photographie, Vincent,Fréal et Cie Editeurs, 1965

• Joseph Nicéphore Niépce Lettres, 1816-1817 : Cor-respondance conservée à Chalon-sur-Saône, Rouen,Pavillon de la photographie du Parc naturel régionalde Brotonne, 1973, 190 p. (OCLC 462835035, LCCN74180136)

• Jean-Claude Lemagny & Christian Rouillé, Histoirede la photographie, Bordas 1986

• Isidore Niépce et Victor Fouque, Nicéphore Niépce :sa vie, ses essais, ses travaux (reproductions en fac-similé de : Isidore Niépce, Historique de la décou-verte improprement nommée daguerréotype, Astier,1841 ; et de : Victor Fouque, Nicéphore Niépce,la vérité sur l'invention de la photographie, Librai-rie des auteurs et de l'Académie des bibliophiles,1867), Jean-Michel Place, 1987 (ISBN 2907284126et 9782907284127)

• Paul Jay, Niépce, genèse d'une invention, Chalon-sur-Saône, Société des amis du musée NicéphoreNiépce, 1988 (ISBN 2907284126 et 9782907284127)

• Odette Joyeux, Le troisième œil, Ramsay 1990

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4 6 LIENS EXTERNES

• Jean-Louis Marignier, Niépce, l'Invention de la pho-tographie, Belin, Paris, 1999 (ISBN 2701124336)

• Manuel Bonnet & Jean-Louis Marignier, Niépcecorrespondance et papiers, Maison NicéphoreNiépce, 2003 [lire en ligne] (ISBN 2952092109))

6 Liens externes•

• Notices d’autorité : Fichier d’autorité internationalvirtuel • International Standard Name Identifier •Union List of Artist Names • Bibliothèque nationalede France • Système universitaire de documentation• Bibliothèque du Congrès • Gemeinsame Normda-tei • WorldCat

• Musée Nicéphore Niépce - À Chalon-sur-Saône

• Maison Nicéphore Niépce - À Saint-Loup-de-Varennes

• Biographie de Nicéphore Sur le site niepce.com

• Notice sur l'héliographie - Par Nicéphore Niépce, 5décembre 1829

• L'invention de la photographie : la vérité sur Da-guerre - Recherche sur l'invention de la photogra-phie

• Nicéphore Cité - À Chalon-sur-Saône

• Niepce correspondance et papiers

• La table servie Sur le site niepce.com

• Jean-Louis Marignier, « Aux origines de la pho-tographie, Nicéphore Niepce », sur Canal Acadé-mie, 2008 (consulté le 22 février 2014), enregistre-ment sonore de la communication du 25 juin 2008à l'Académie des beaux-arts

• Portail de la photographie

• Portail de la France au XIXe siècle

• Portail Saône-et-Loire

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7 Sources, contributeurs et licences du texte et de l’image

7.1 Texte• Nicéphore Niépce Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Nic%C3%A9phore%20Ni%C3%A9pce?oldid=112610256 Contributeurs : Rinal-

dum, Nataraja, Laurent, Orthogaffe, Céréales Killer, Howard Drake, Fred.th, MarcAugier, Tieno, Okki, Archeos, Fafnir, Phe, MedBot,Mbcmf217, Oblic, Phe-bot, Maha, ~Pyb, Jean-no, Notafish, Saxon, Matth97, Sebcaen, Bradipus, Bob08, Storm2005, Christophe.moustier,Neptune, Régis B., Barbe-sauvage, Eusebius, RobotE, Mbzt, Stanlekub, Zassenhaus, David Berardan, Arnaud.Serander, Gzen92, EdC,RobotQuistnix, Fugazi, YurikBot, Eskimbot, Myrabella, Kostia, Mutatis mutandis, Polmars, JeanPaul, SashatoBot, Remi Mathis, Frikar,Ptyx, GabrieL, Kertraon, Coccico2345, Thijs !bot, Grook Da Oger, Dantadd, Grimlock, Octave.H, Escarbot, Kyle the bot, JiPé, Arnaud 25,JAnDbot, .anacondabot, MirgolthBot, Apropos, CommonsDelinker, Numbo3, Wikig, Salebot, AlnoktaBOT, Vincent Lextrait, Père Igor,TXiKiBoT, VolkovBot, Theoliane, Evpok, Ptbotgourou, AlleborgoBot, Gz260, SieBot, Ordifana75, Louperibot, MystBot, Iafss, JLM,Alecs.bot, LordAnubisBOT, Vlaam, Lilyu, DumZiBoT, GLec, Damonking, Eyrennay, Spiessens, Roquencourt, Pmpmpm, Benj67200,HerculeBot, Letartean, SilvonenBot, Ggal, Tangopaso, Sunako, Guy Courtois, Herr Satz, Amirobot, Dickeybird, DSisyphBot, Le sourcierde la colline, Etemenanki, Xqbot, RibotBOT, Ytrezap, Wolfgang Pehlemann, StereoSanctity, *SM*, Roucoulou, Coyote du 57, RedBot,Super Bazooka, Dinamik-bot, EmausBot, Kilith, ZéroBot, Gyrostat, Franz53sda, WikitanvirBot, Bottine, Edouard Albert, Utilisateur dis-paru, LoveBot, OrlodrimBot, Le pro du 94 :), FRF 1, Pano38, Carembare, Orikrin1998, Titlutin, Sebhugber, Chrisanion, Altmine, Addbot,Bastenbas, Macadam1, Quilucru, HunsuBot, Vieillardemma, Sermont, Do not follow, Okokolilmmm et Anonyme : 94

7.2 Images• Fichier:Blason_département_fr_Saône-et-Loire.svg Source : http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/b/bd/Blason_d%C3%

A9partement_fr_Sa%C3%B4ne-et-Loire.svg Licence : CC-BY-SA-3.0 Contributeurs : ? Artiste d’origine : ?• Fichier:Disambig_colour.svg Source : http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/3/3e/Disambig_colour.svg Licence : Public do-

main Contributeurs : Travail personnel Artiste d’origine : Bub’s• Fichier:Flag_of_France.svg Source : http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/c/c3/Flag_of_France.svg Licence : Pu-

blic domain Contributeurs : http://www.diplomatie.gouv.fr/de/frankreich_3/frankreich-entdecken_244/portrat-frankreichs_247/die-symbole-der-franzosischen-republik_260/trikolore-die-nationalfahne_114.html Artiste d’origine : This graphic was drawn by SKopp.

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