nexus 38 - mai juin 2005 - haarp vaccination ovni himalaya (complet)

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8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

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~dit ion f r a n <;ais e~_

W38 - M A I-J UIN 2 00 5

ED1TE P A R~ CHAN TEGRE L - 24580_F leurac - France

T el - f ax : Q5'53-03-45·09

emai l : magaz1ne@nexus . f rs -rt ew eb : http: J lwww.nexus.fr

D lR E C TE U R D E PU BL IC AT IO N :

David Dennery

I N FOGRAPH1E :

Marie Dulon

T RA D UC TIO N S :Rondro tlenintsODChristele Guinot

CORREC TI ONS :Christian Bruyot

ILLU STR AT ION S D fSS IN S :

e SommerviHe

S E C R E T A R I A T :Marie Duton

IMPR IMEUR

lrnprimerie R 1C OB ON O --:

• '5, C he min d es Valettes - 83-49:0_ 'L~"MUY_'

C O MM I SS IO N P A RI TA iR E

N " Q10m8880

depo t legal Avril 1999

I SSN : 1296 -633 ), ;_

D IS T R IB U T ION F R A N c E !

N,M,P'P,

,BU R E~U _J :fN TR AL __-- ,

PO Box 3 0, M ap leton ; Q ld 4560 , Australle-at-: « (7 ) 5 44 2 9 2 8a '; F ax -: (Ol) 5442 9381

e-mail-:editof@~exusm-agaiine.comstte-: W'I'/W,nexusmag;,aine .c~

BU REA& li lf NO U\lE .L f£ ".~ E JJ \N Df -

PO Bo x 226 , Ru~seU, Ba y o f Islands,TeG : +64 (O ) 9 -4 03 8 19 6

e -mai t- : n exusnz@x tra ,c o ,n z -

D EC LA RA TlO N ,D E R AiS ON D !IT RECon:sdent qu e [!humanite - tr av er se u n e imeor tantepffiode de transformation,NEXUSs'efforce defOllllir des informations inectit6 ann d' a id er t ou t uncharun 11t ra ve rs er c es t em p s.- NEXUS n'est rattachea a uc un e id eo lo gie r e[i gie us e, p hit os op hiq ue O!J

poI.itique, ni 1 1 aucune organlsation, '

A UTOR I S A T I ON D E R EP RODUC T iO N '.La repruduct10n er ta dissernination de l 'informationc.ont:enue dans N E X U S soot a c ti v er r ie n t e l 1Coura~·;nei ! l ITlOin5, toute personne prise it en tirer u n a va n-tage I1nander sa ns n otre a cco rd e ~ aura it

enr en d re c omp te . NEXUS n'estaucunernent responsa-bl e de ta teneur de s artictes et annoncesqu i sontsous la seule respcnsabthte de leurs auteurs, Pourtout prcb lerne de sante, l es ! e ct eu r s sont invites aprendre! 'avis d'un rnedecin,

" " ' "edito

A la fin de ce mois de mai, les [rancars se determineronr sur le traite de Constitution

de I'Europe. Le s grands medias se sont surpasses pour epaulet Ie parti pris en faveur du

«oui», et les operations de «communication» (curieusemem, le terme de «pro pagan de»

semble avoir disparu du dictionnaire) se sont multipliees pour precher un discours

digne de l'alternative exposee par Bush en 2001 au sujet de sa Guerre centre Ie

terrorisme (<<ceuxqui ne nous s ou ti en n en t pas sont dueote des terroristes»}, Ainsi,

si vous n'approuvez pas 1a Constitution, vous eteS forcemenrann-europeen, Ce type

de chantage it peine voile ne semble pa s e co r che r la bouche de n om bre ux m ern br es de

notre intelligentsia. Le debar francais dans les medias audiovisuels 5'abaisse a un niveau

digne des dialogues de Ia teU realhe, Pourtant, malgre Ie consensus des prlncipaux

parris des deux ailes politiques, les sondages continuent de semer la panique dans les

etats majors.

V ous Iirez avec interet, dans cette perspective, l'article de David Guyatt qui met 11jourune etonnante conrinuite des coulisses du pouvoir,

Nous avons choisi dans ce numero de porrer a votre connaissance deux technologies

relativement simples perrnettant de reduire efficacement de moitie la consommarion

des moteurs therrniques, principale source de. pollution sur la planere. Combinees

entre dies ou avec les nornbreuses autres ameliorations possibles du rendement de nos

vehcules, comme celle de Paul Pantone (Nexus n032), n est edifiant de realiser que nous

devrions rouler propre et it moindre cout depuis longtemps.

Larticle denoncanr Ie caractere infonde du diagnostic de «trouble de deficit de I'attention»

chez les jeunes aide it comprendre comment s'inventent les maladies pour des profits

autres que celui de l a s an re , Idem avec le dossier consacre a l 'analyse des techniques

employees pour la fabrication des vaccins et leur danger, et 1 1 l 'e x ar nen s ci em l fi que desfondements bien minces qui om permis l 'etablissement du dogme vaccinal,

Dans "Horizons Nouveaux", vous trouverez divers comptes rendus dont les sources

etablissent serieusernent la realite d'une base ovni 11la frontiere indo-chinoise, Apres

l'Espagne, le Mexique I'an dernier, I'lnde devoile it son tour un aspect passionnant de

notre rnonde. Sujet egalement traite par un nouveau remoignage decrivant certains

e ch an g es d u t ro is ie rn e type avec l 'a rme e amer ic ai ne ,

Enfin, un article p ertin an t su r les resonnances de Schumann permet de mieux mesurer

la relation subtile existant entre les etres vivants et notre planere,

Je tiens aussi 1 1 vousexprirner Ie contenternent qui anime l'equipe du magazine a la

perspective de vous croiser lors du Colloque Nexus a Amsterdam les 13 -14 et 15 mal,

qui s'annonce part icnlierement riche.

Bonne lecture era la prochaine.i .

David Dennery

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LE MONDE--~----j, Mf;NACES NANOTECHNOLOGIQUESSUR L'AGRICULTURE, L'ALIMENTAIRE ET LEVIVANT

'';;NOMBRE CROISSANTD'ORDONNANCES DE MrSE AU S.ECRETSUR LES DEPOTS DE BREVETS

• HUlT societas DETIENNENT PLUS DE 70% DES MEDIAS DU MONDE

.• CONTAMINATION RADIOACTIVE DES ALIMENTS

-_UNE ANOMALIE CAUSE UN NOUVEL ECHEC LORS DUN ESSAI DE MISSILE ANTIBALISTIQUE AMERICAIN

• LE SENATEUR BILL FIRST DEFINIT LA "PARANOIA POLITIQue COMME UNE PATHOLOGIE MENTALE

u s

• LEMYSTERE DU "LAVAGE DE VOITURE" MARTIEN

• VIVES INQUIETUDES SUR UN PROJETDE LOI SUR UN DEPISTAGE OBLIGATOIRE

DE5ANTE MENTALEAUX USA

• DES CORPS D'ARMEE SECRETS DE L'OTAN LIES AU TERRORISME

.LITIQUE -

TDA 8 r . . TH AD A. EPlDEM IE .D 'U NE M A LA DIE FAN TO M E _Rien ne prouve que le «Trouble de Defid tde l'Ahe.trtitlni;dbserv~s chez les enfanrs ..._.__.;......~,., 'C.

de ce qui existe egalement chez !'adulte; cela n'empeche pourtant pas les med~in~ce trouble chez de plus en plus de [euneset de leur pi:eseri.t:_ede dangereuxnorrnaliser leur comportement. _ . .

LE CH A NT DE SI,RENE DE LAPLA NETE :- H AA RP-FREQ U EN CES .D E:·SG H U M AN NInstalle en Arizona, l'ingenieur-electridenBenjamin Lonetree utilise

sensibles pour ecouter, enregistrer etaJ1_a~$<trles signaux

it observe que nos ancetres etaientoien p 1 0 : 5 a l'unisson avec

nous .., " .

: : - . : .T EL EP HO NIE M O BIL E: Arguments sclenilflques justifianr l'apDnc~aIlLo.

precaution.. ...,.':'~J

P RO C ES US G LO BA L D 'E X.T IN CT IO N·: Us nouvelles tre(:,[.uenct:$.;d:¢'llJacelle de l'eau, indentiques a celles des fourli a micro-ondes (si

,,''''E4-LES DE LA SCIENCE ~~~------------:-fRN EBO UG IE R EV OL UT IO NN AIR E. FIRESTORM:Dne variance simple permet un allumage plus efficace multipliant par deuxle rende-

luent d'un moteur.IECH NO LOG IE UTO PIA:. Dne electrolyse a oscillation d'ondes qui dope a l'hydrogene les moteurs et entraine 20

a 60 % de gains de consommation.

Les puissantes familles et entreprises cornmerciales d' ori .

arnericaine concernees faisait des affaires avec l' , 1 . 1 , h · : ~ m . _ S l g ! , !J I : l ;_ ·~ . ~~ ~ ~ ~ t Y ; ~ l ~ ~ f ? l J ~ ~

se bousculerent egalement pour tirer profit de. labutin Nazi de tomber entre les mains des go ' . .

nuite des reseaux du pouvoir qui perdure depuisi~.~ri~'.~~.~i~·~~~Z~l~~j~tI~les loges fondamentalistes et implique les tetes couronnees ""...._~-v:I-)',l...'~lU'-.....,.

NEXUS n038

rnal-juln 2005

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De nombreux expertsDetalink: lors d'une conrerence

ges neurologiques causes par

autres adjuvants toxiques ..

VACCINS ANTITETANIQUES

Vne absurdite btologique..les..' -rendent incompatibles l e p '! .nn~~-lpe

HISTOIRE - BecHAMP OU

Historique edifiant de la sup .d'un livre devenu introuvable -

JiXOPLANETAIR_ES

LES EXTRATERRESTRES

Tandis qu'iloccupait un .

de I'DS Air Force, au _n~.lf~·.eU:-~,~;~;~~~iun groupe d'errestuaient des transferts de - ~ _ , - - , _ , . y~ , , : , - ,~ ! ' {

ENIGME DE L'EXPLOSION .......,,-;,...,.,-.

SeIon des temoins oculaires.iconfins de la.Siberie, seraita 1'.~.:rJ;~.lJl~

a detruire les meteorites. U"'~·~~en 1908.

NEXUS n"'38

rnai-juin 2005

L'HIMALAYA

'O'UNE BASE OVNI DU COTE INDIEN DE LA FRONTIERE CHINOISE

s sUPPLEMENTAIRES DE CONTACTS EXTRATERRETRES AVEC LE GOUVERNE-

INDIENNE ET CHINOISE DE L'ESPACE RESTENT DISCRETES AU SUJETRENCONTRESAVEC LES OVNIS

RRAIT-ErRE LA PREMIERE NATION A PARLER DES CONTACTS. S AU MONDE

ES JETTENT UNE LUMIERE NOUVELLE SUR LES CIVILISATIONSEN AMERIQUE

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SUR LE MONDE

~ U 5

N ,O ' U V , ELL,E S " 'M , ,E ,N , A C " ES SUR L'AGRICUL TURE,0:\l 'ALIMENTAIREET LE , VIVANT 11--------------i

W

Vue macroscopique de composant

nanotechnologlque

Dem ierem ent, le group e E TC , organisa-

cion internationale de r eche rch; er d e ~ re v~n-tion basee a O ttaw a, a annonce la publicarion

de " D ow n o n th e fo rm " , p remie re ana lyse com-

plete de la fa co n d on e Ies nano technologiesaffecten t la no urri tu re et I 'agricul ture,

Le domain e de s nanotechnolog ies regarde

la man ipulation de la m aciere, 1 1 ! 'ech~I ,e desatom es et des molecules mes ure e e ll rnilliernes

d e m ic ro nse t, p ,.,a u , ~ laqu~,I,lela p,h.ysiqu,e quan-tique p erm et d e d ete rm in er I e comp ortemen t

des partic~es, .,S elo n Hop e S han d, directeur de recherche

du groupe ETC: "Au cours d es ~ eux prochai-

n e s decenni es , les nanotechnologies auront un

p lu s g ra nd impac t s ur 1 ', ag r~ cu 1t uree~ l'agroa-limentaire que la mecan is ar ion ou «revolution

n I . _ , 1 " 1

verte n en a eu.Une ce rta in s n ombre de produ ir s a limen-

t ai re s cont enant de s a dd ir if s n an o te ch no lo gi-

ques i nv is ib le s e t non signaies par I 'e tiq~etage

s on t d ej a d an s le s ra yo ns d es su pe r~ ~ch es. E noutre, un certain nom bre d e pestlC ldes. ren-

fe rman t d es c ompo sa nts n ann te ch no lo giq ue som dejlt ete dissemines dans l 'environnement

et so nt d lsp on ib ies s ur le m arch e,

Ces substances possedent de s proprieees

d iffereme s d e ce lles e la bo re es a n ne e ch elle

su pe rie ure , e t les s cie nr ifiq ue s a nt d ec ouve rtde puis peu qu'dles scnr generalement Rlusr ea ct iv es e t mobiles si eUes penetrent dans I'O!"g an is rn e . S eu le s quelques e tudes toxicologiques

o nt e te m en ee s,

L a plupart d es mul ri na tio na le s d u secteur

agroalim enraire , cornrne Un i l e v e r , . N~s t l i et

K r a f t , conduisenr de s recherches e t develop -

pent (R& D) des nan? te0n?logjes interessant

le s p ro ces su s d e m ec an lsa tJo ~.' :I e t.ra nsfo r-m arion, d'em ballage et de disrribution d e s

compos'allrs et des addi tiEs.Les prmcipal es socieres d 'agrobusiness tel -

le s qu e S yngenta , B A SP , B ayer et Monsanto

reformulent l eur pest ic ides a un e nano echellepour les rendreb iolo giquem ent plus, actifs,

obtenir de nouveaux brevets et asseoir leursmonopoles,

L e rappon de l'ETC examine. un largee ve nr ail d esR&Dencours .a ll an t d es s er ne nc es

atom iquem ent m odifiees et de nan o senseurs

de precision, 1 1l 'e la b o r a t i o n d e p l a n te s c a p a b l e sde produire des nann p~tticules, ~e m etal, denano vaccins P O l i I les P O l S S O n s d e le va g e o u denano c od es -b an es p ou r l'acherninernent et la

g estio n d es flu x d es p ro du its , etc.En octobre, selon les observation s de

I'ETe le bureau US de s brevetet marques

depos~ a etabli une nouvelle c lassi fica tion

pour [e s b reve ts de nanot echnol ?g ie . " I I ~t

lronique qu'une comp ag nie pUlsse o bte n.:run brev et d e m onopole SU I un nano produit

r e c o n n u original a l O [ S qu e les organism.e .d~regulation sanfraire n om p a s encore O~Cla llS:;l a r econna is sance de produirs de cette ecl:;elle,

rema rq ue K at hy )o We tte r, chercheur de I ETCen C arolin e du N o rd .

En 2002 ,. rETC a dernande un repon de

la c ommerc ia li sa tio n d e nouve lle s s ub st an ce s

jusqu'a ce que des protocoles de product ion et

des normes scient mis en place po ur prendre

en c ompte le s c ara cc erisd qu es specifiques dece s su bstan ce s e t ju sq u'a c e q ue le ur s alu briteso ir d e rnonr ree .

Par consequen t, I 'ETC preconise qu e rous

le s produits alirnenraires e t les . b01SSo~s,con-tenant des nano particules soient renres de s

r ayons " . q~e . l, es .n?uvea,~ s ci en t i nr er di ts de

commercialisation Ju sq u a ce qu e les com pa-gnies e t o rgan ismes d .e ~eg~at ion demon~e ;Hqu'ils Ont p ri s en conside ra ti on l eu rs car ac tens -

tiques d'evolurion dans Ie temps, ,

De m em e, les form ules de nano produits

agricales cornm e Ies p~tiddes et les ~~S~tSdevraient etre empechees de rou te d is semina-tio n d an s I 'en viro nn emen t j usq u'a c e q u'u n 0 [-

ganisme de normalisation soir des igne pou r lestester e t q u'e lle s a le nt ere dererrninees sures.

Le rapport de I'E TC m et egaiem ent sous

Ie feu des projecreurs I e d omain e ernergeant

d e la b io lo gie synthetique qu i concerne l'ela-

horarion en labora to i re de nouveaux sysrernes

vivants programmahles pour des per fo rmancesim po ssib le s a ux o rg an ism es n atu re ls,

, Ces "machines vivantes" im pliq ue nt fre-

q ue rn rn en t l'in re gra rio n d e p artie s v iv an te s er

inerres egalemem connue SOllS le nom d e n an obrorechnologie. " Que faire si ces nouveaux

o rgan ismes v ivan ts , e ,n particulier,c, eux concn s

p ou r fo nc tio nn er, d ~ falfO n. a~ t0 ll; 0m e d ~n sI' en vir onn em en t s a ver ent d tf fic de a maitriser

ou Ii . contenir ? " inte.rroge le G ro up e ETC .

Erant donne les risques extrem es (que

m ern e Ie s sc le nriflq ues reconnaissent g ene-

ralem ent), le rappor~ " I?own~ n the fa rm ,"dernande un moratoire imrnediar sur I expe-rim en ta tio n e n l abor ar oir e e t [a dissemination

des rna ri er es syn rher ique s b io logiques j U S ; r ' ac e que la s oc ie re p~is se p ro ?e de r a une an YS,ecom plete de leurs im plication s p our Ia sante,l 'e nv ironnernent e t l a soc ie te .

(S ource: E TC G roup n ews r e le a se .23 nooembre

NEXUS n038

rnar-juln 200S

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UIT SOCIETES DETIENNENT PLUS DE70 % DES MEDIAS DU MONDE

_:.. iourd'hui, Ie fait Ie plus alarmant concernanr le pay-

__ medlarique mondial est la concentration de la propriete

direction des moyens entre les mains de quelques

~._s son livre «R ich M edia , P oor D emocracy> [Riches

---- Pauvre Dernocratie], Robert Me Chesney, de l'Uni---:;_de l'Illinois, presenre statistiques et analyses sur la

_'=!ZDtradon des medias aux USA et dans le monde dont

.... !!:::Lplications pour Ie fonctionnement de [a democratic

-: inquietantes. .

_:.l_:::ri, en 1999, selon McChesney, seules huit grands groupes

.: _ - ent plus de 70% des medias de la planete - non seule-

- -: la TV, rnais aussi journaux, magasines, radio, systernes

-- -res, cable, edition de livres, production et distribution- arographique et theatrale, operateurs Internet, affi-- " ' = - publicitaire ec pares a theme. Ces huit enrreprises sont. ; = _ et deja capable de s'adresser it des centaines de millions

: : . = §IDS sur ehaque continent, et it chaque instant.

~ huit geants sont: A O L T im e W ilrner, D isney , Fox/N ew s;: ;.;. - , W acom , S eag ram , G enera l E lec tr ic , S ony et Berte ls-

cznn.= . . e . trois premiers de la liste possedent a eux seuls plus de

S _"'0 de la toralire. Er, it I 'exception de Ber t e l smenn , ces 50-

: : . = : : e s dominenr aussi Ie m arche m ediatique U S_~ -=r ei degre de concentration ne saute pas aux yeux des non-

~es, c ar l es f il ia le s locales et me rn e i nr er na ri on al es o pe re nrdes noms divers, C N N , par exemple, appartient en fait

LO L T ime W ilrner, comme HB O , C ourt T V; W ilm er B ra -

;:as et C i n em a x f il m s, les magazines T im e and Fortune, pour-';;';1 citer que quelques uns parmi des centaines d'autres.

CONTAMINATION RADOIACTIVE DESAUMENTS

Disney possede les chaines de televisions et de radio ABC,

et les chaines satellite E SP N , L ifetim e, A d-E , History et E !Enterta inment parmi les centaines d' autres chaines et stations

et d'autres entreprises de medias dans lemonde,

Fox N ews L td possede 22 chaines TV US, plus de 130 quo-tidiens dans Ie rnonde, 23 magazines, la britannique S ky T V;Ie satellite A sian S ta t et Ie L a ti n S ky B r oa dc asti ng , panni descentaines d'autres.

Dans le monde inoderne, les medias sont devenus la princi-

pale source de connaissance. Et comme Ie dlt l'adage : «Quidirige les medias dirige Ie monde»,

(S ou rc e : P a r J erry M a nder, m ag azin e C om mon G rou p G ro und,D e cem bre 2004. A vec J ohn C a va na gh, fen ] M a nder est c o-ed i-

teur de l 'e di ti on f ra i ch em e nt s or ti e et d eve l op p e e d e A l t ema ti ve st o E c o n om i c G l o ba l iz ati on : , < . 4 b et te r Wo rl d i s P o ss ib le », p u bl ie

c h ez B e r re tt - K o eh /c r) -

. . : : : : k u x projets, etsblis auplus haut niveau, sont en passe d'etre adoptes :l 'un emanc d e la Commission du Codex ali-

::2~carius, I'autre d e la Commission ' In txrruu ionelc de Protection Rsdiologique (CIPR) et dcvront pcrmcttre, d'ici

=ou deux ans maximum, Is commercialisation d'sllments contsmines par des pollusnts radioactifs. L a aotme ne

=plus I'sbscnce de pollution mais une conteminetioa decretee acceptable par les eutorites. Le premier de ces

~es) examine par la Commission du Codex, Jegaliseral'importssion et l'expottstion des-denrees elimcrusises contsminees. I'auto-

zisaion seradeily-reesans limitation de temps et sans «voir a invoqucr la survenue d'un accident, sous la seale reserve que le tzux depoUuants soit inRrieur.i certains seuils : de) Bqlkg (bccquerelpar kg) pour les produits lesplus rsdiotasiques comme leplutonium

Qjusqu'a 10 000 Bqlkg pour lesptoduits supposesIes mains dangereux comme le technetium 99 ou le tritium. Le second piojet

emane de la Commission Internationelc de Protection Radiologique done les recommendations servant de base a I'eleboistion des

~ qu i regissenc notre protection contte les t zyonacmcnts ionlsents. Son projet 2005 sccommsnde (entre autres) I'insteuruion

C 1 . e . , seuils d'cxclusion » en dessous desquels 111.contamination d e notre environnement ne scrsi t plus prise en compte. Le terme

d'eavironnemcnt doh cUe compris aLIsens leplus largepossible : if design« tout ce qui nOLlScntoure : les sols, les mstetisux, l'eau,

leS objets et[usqu'e ux slimcnts que nous consommons. En dessous de ccs seuils d'esclusion, les aliments contsmines seront decretes

non radioactifs » et consoaunsbles sans restriction. Tomes les mesures de protection seront supprimecs. Du lair a .90 becquerelsd'iode 13 1 par litre pourra etre Iibrcment commercislise et utilise sans restriction pour I'slimencuion des eniiuus, y comptis des

nouaissons l Pour vous iaiormer ecagir contre ces projets, contectez la Commission de Recherche et d'Information Independaates

sur 111.Rsdiosctivite : CRIIRAD 471 avenue V Hugo 26000 Valellce- France «Te l . 04 75 41 8250. E-mail :[email protected]

site: hctp:llwww:criirad.coml

NEXUS n038

mai-juin 2005~_I~'-. - . .

8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

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REGARD' SUR LE

~:KMONDE

U 5

Une anomalie cause Ie nouvel echec d'un essai de missile- antibaUstique amerlcatn

Aujourd 'hui, 15 decernbre 2004, le vol d 'essai d 'un m issile de defense US d'une valeur de plusieurs m illions de Dollar a

echoue a lo es q ue I e m is sile d'Inrerceprion refusalt de decoller, so n sysreme s'etant deconnecte, declaraient les representants du

M i ssi le D e f en se Agency (M DA) du Pentagone aux joumalistes.

Ce vo l d'essal etait cense se d ero uler au dessus d e l'O ce an P ac ifiq ue . Son lancement depuis l 'Alaska fur un succes mais iln'a

pas ete intercepte au-dessus du P ac ifiq ue . U ne «anomalie» d'origine inconnue a verrouille automariquernent I e m is sil e i nt er -

cepteur dans son silo de la base d ' essai de Kwajalein, a ux l ie s Ma rs ha ll, selon Richard L ehner, un porte parole du M DA.

L e test avait deja e te repone 4 fois pour ditTerentes raisons, dont Ie rnauvais temps. L echec a coute 85 m illions de dollars

et entraine un important centre temps pour Ie bouclier d e d ef en se anti miss il es d es ti ne a detruire l es m i ss il es balistiques de

longue portee,

G eorge W . Bush s'est engage a ce qu'une partie du projet sole operationnelle pour la fin de l'annee 2004 et on s'attend aee qu'il declare cet objectlf atteint malgre ce loupe. D'apres de s fonctionnaires du Pentagone, la M i s si le De f en se A g e nc y pear

porter a son actif 5 tests d 'lnrerception couronnes de succes sur 8

effectues.M ais e ' eta it ily a 2 ans er depuis, des experts ont m is en doute les

cap acites du sy stern e face au x rec enrs e chec s et aux freq uen ts repo rts

de s essais prevus,

"Ne pa s avoir reussi une seule interception de vol pendant 2 an s

represente un serieux contretem ps dans Ie program me" a annonce

Philip Coyle, chef du controle de l'arrnernent au Pentagone sous

!e mandac de Reagan, ~ !'a ge nc e d e p re ss e Reute rs . Ce s ys te rn e d e

defense cocnstirue une version plus m odeste du projer de bouclier

anti m issile "Scar W ars» enonce par Reagan en 1 983 .

(S ou rc e: I ntern ation al R ela tio ns a nd S ec urity N etw ork, I SN S ecu rity W 'lztc h, 1 5

Decembre 2004 . hrrp:llwww.isn.ethz.chlnews/sw/details.cfmlid •.]0312)

B ase U S de l 'f fe de Kwsreiein

.d'instituer enno"iapolitique»

NEXUS n038

rnal-juln 2005

8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

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NEXUS n038

mal-juin 2005

Le mvstere du «lavage de voiture»

MARTIEN

Vives inquietudes sur un projet de loi de depistage---obligatoire de sante mentale aux USA

);?urtunt(j', lc robot de la. NASA sur Mars semble etrt: passi dans quelque

.:;:;ose resscmblent a u n l ev om e ti c qui a laisse sc s pa.nneaux so la ires beuicaup

?=propres que ceux de ~/nt, son jumesu. Ce l s expliouersit une serie de

~ inattendues de sa production de courant electrique.

~ sondes-robots ant stterris sur Mars en janvier 2004, a'Vec des cel lu lcs

~es cspebles de foumir plus de 900wattslheure par jour. Le rendement

~ Spirit a dsute a environ 400 wstts/heure, en partie J cause de 1apoussiere

zzenlenae ayant reconvert ses panneaux solsires . Au debut le rendement de

~ t?portuni&a egalement diminue a environ 500 watts/heme, msis a.u long

~ 6 demiers mois il a ptogressivement regagne en puissance .

..'licemment, ses piles soleires ont produit plus de 900 wsus/heur«

_h Erickson, direaeur de l'6quipe des «jeeps» au scin du.fet FmputSian Mba-

a;tOry de 1aNASA a Pasadena (Califomie), a indique au «NfUlJ'Scimtirt» qu'un

?,_'Vcessus [usque fa non-compris svsic a plusieurs reprises enleve Is pousslcrc

. : e s panneallx solsires.Quel que soit ce pmcesslls , il a lieu pendant que I'Opportuni& est gMe durant

_d auit msrtienne. Au moins a 4 occasions au cours des 6mois, lc rendemenc

~ puissance de 1a «jeep» a eugmente jllsqll'i! 5 % gr!1c" a ce llettoyage fortuit.

/S ou rc e : New Scientist, issues 2479/80,25 Decembr« 2004_ 1Janvier 2005)

- Opportunity-

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LE MONDE

U S

Des corps d'armee secrets de ,I'OTAN

lies au terrorisme ~--. ---. ------------_-

Au moment ou Jes experts s'interrogent

pour s av oir s i I'OTAN offre un cadre ap-

proprie It la conduite de la "guerre contre

l a t er ro ri sme " dans le monde, un e nou-

velle etude suggere que I'hlstolre secrete

de I'alliance a des liens avec le terrorisme.

En Italie, le .3 AOilt 1990, le PremierMinistre Giulio Andreotti a confirme

l'exlstence d'une arrnee secrete d'Etat,

donr le nom de code est «Glad io» (en

latin : epee). Son ternoignage, divulgue

avant la conduite d'une enquete sur le

rerrorisme par une suus-commission du

Senat italien, a cause une onde de choc

au sein du Parlement et de l'opinion pu-

blique, ampliflee par la speculation d'1.me

manipulation de la politi que italienne au

moyen d'acres de rerrorisme perpetres par

ce corps secret. Andreotti revele que I'exis-

tence de la Glad io a ete cachee au sein du

Ministere de la Defense sous la couverture

de sons-section du SISMl, les services

secrets militaires. Selon un document

de 1959 du SISMI, les armees secretes

avaient un double objectif strategique enEurope : tout d'abord, operer comme un

pseudo groupe "arriere" dans le cas d'une

invasion sovietique et conduire la guerilla

sur les territoires occupes, et rnener It bien

certaines operations nationales pour re-

pondre aux "situation d'urgence",

Felice Casson, le premier juge italien

ayant decouvert l'existence de La Glad io

au cours de ses enquetes sur le terrorisme

d'exrreme-droire, a constate que l'arrnee

secrete s'etait alliee avec les terroristes

d'extrerne droire dans ces "situations d'ur-

gence". Ces terroristes, arrnes par l'arrnee

secrete, realiserent sur des sites pub Iics des

attentats ala bombe dont la respcnsabilire

fut rejeree sur la gauche italienne et furent

ensuite proteges des poursuites judiciaires

par les services secrets de l'armee,

«Le but en etait tres simple: pousser l'opi-

nion italiennea se tourner vers l'Etat pour

demander une securite accrue. Cetee 1 0 -

gique politlque est a la source de tous les

attentats a la bombe testes impunis ainsi

qu'expliqua Vincezo Vinciguerra, ancien

terroriste de droire au sujer de Ia "suategie

de la tension" au juge Casson.

Le Senat Italien choisit d'etre plus expll-

cite et condut dans son enquere en 2000 :

"Ces massacres et ces attentats sont des

actions milltaires organisees, favorisees

ou soutenues par des hornrnes oeuvrant

au sein rnerne des institutions de l'Erat

italien et, cornme ill' a ete decouvert plus

recernment, par ·des hommes lies aux

structures des services de renseignemenrs

americains. "

A la decouverte de l'existence de cc type

de corps secrets d'armee, le Parlement

europeen a ernis une severe cridque, les

suspectant d' a voir ete irnpliquees dans

Ies manipulation liees aux operations de

terrorisrne en Europe.

Le Dr Daniele Ganser, eminent chercheur

au C e ntre f or S e cu ri ty S tu di es de I 'ETH aZurich et auteur de " N AT O 's S ec ret Ar-

m i e s " confirme pour la premiere fois que

des reseaux de renseignements it travers

l'Europe de l'Ouest, y compris en Alle-

magne, en France, en Es p agn e, au Por-

tugal, en Hollande, au Luxembourg, enBelgique, au Danernark, en Norvege, en

Italie, en Grece et en Turquie, om neces-.

sitl~ une planiflcadon srrategique issue de

Grande Bretagneet des USA. Les armees

de "l'arriere" etaient coordonnees a un

niveau international par le prerendu Co-

mite Clandestin AlIi6>(ACC)et le Comae

d'Organisation Clandestine (CPC)affilie

au QG supreme des forces de I'OTAN en

Europe (SHAPE).

Elles utilisaient des noms de cou-

verture tels que ,<Absa lom>au Dane-

mark, " P 2 G > en Suisse, " R O C » en

N orvege et , S D R A B » en Belgique. IIest interessant de rioter que, de gran-

des differences existaient d'un pays aun autre. Dans certains, les armees

secretes se sont changees en creu-

set du terrorisme, tandis que dans

d'autres, elles garderent un simple

role de prevention. En Thrquie, la

"Contre -Gu ir i /Ja" est irnpllquee dans

Ie rerrorisme local er les operations

de torture rnenees contre les Kurdes,

et en Grece, le «LO]( ' , a panicipe au

NEXUS ,,°38

rnal-juln 2005

"coup d'etat des «colonels" de 1967 pourempecher l'arrivee au pouvoir d'un gou-

vernement socialiste, En Espagne, l'armee

secrete etait utilisee pour soutenir la die-

tature fasciste de Franco, et en Allemagne,

les terroristes de droite ont utilise les

explosifs de l'arrnee secrete pour l 'attentat

terroriste de Munich en 1980.

Dans d'autres pays, ,vomme le Dane-

mark, la Norvege et Ie Luxembourg, les

soldats secrets furent entraines pour une

eventuelle occupation de leur pays natal

et n'ont jarnais pris parr aaucun acte de

terrorisme ou de manipulation. Dans Ie

conrexte actuel de la pretendue guerre

contre Ie rerrcrisme, les donnees sur la

Glad io souclennent l'idee que Ies gouver-

nements Occidentaux ont sacrifle les vies

d'innocenrs c.itoyens et couvert des acres

de rerrorisme pour manipulet Ie peuple,

Les allegacions s el on l esqu el le s rOTAN,

le Pemagone, Ie NIG , la CIA et les servi-ces de renseignernents Europeennes ont

entretenus des liens avec le rerrorisme,

les coups d'etats et la torture en Europesam evidemrnenc de nature extrernernent

delicate et leur verification necessitera de

furures enquetes.

(S ou rc e: In terna tiona l R ela tions and S e-

curity Network , ISN Security watch, ETH

Z u ri ch , S u is se , 15D e c em br e 2 00 4,

http://www.im.ethz.chlnewslswl d e t ai I s.

c iI md D " ,} 0 37 3)

- Les lois securitaires se renforcent vraime,.

8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

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GEOPO ...ITIQUE

u 5

T D A & , T H A D A

E P I DI:.:I E ,o .~ • ~ ~ \

1 ' 1 : \ 1 , 1 M A L A I I E , , : F~(;":Ji.~I),

Rien ne prouve la realit:e organique ou physiologique du "Trouble de Deficit de l'At-tention" que Iron attribue a des en£ants de plus en plus nOlllbreux; ce1an'elllpechepourtant pas les llledecins de dlagnostiquer ce trouble et de prescrire de dangereuxneurostilllulants pour no,clllaliser leur cOlllportelllent. '

Implications economiques, sociales,

politiques et juridiques

it1

I1I~tI

~Ii!

Ii

I!!

Le Trouble du Deficit de l'Attention (TDA) est un dia-

gnostic infonde et hauternent contestable. II motive

pourtant la prescription de dangereux stimulants aupres

de dizaines de milliers de jeunes occidentaux. Le TDA et

sa variante : Troublod'Hyperactivite avec Dtficit de L'At-

tens ion (THADA) n'ont jamais ete mis en evidence e c le s

efforts visant It populariser ces diagnostics se basent sur

des raisons pollriques et economiques n' ayant que peu

de rapport avec la medecine,

Au 21"n, siecle, quand un enfant a pour habitude de

"ne pas eue sage", on en deduir qu'il s'agit de la ma-

nifestation d'une "maladie". Or, on rema,rque surtout

l'absence de la moindre trace de cause organique ou

physiologique etayant l'existence d'une quelconque

affection. Voici quelques-uris des symptomes cites :

rester debour quand on recoit I' ordre de s' asseoir, ecre

tres remuant et faire les taches menageres ou ses devoirs

It con treco eur. Depuis quand ce comportement d'enfant,

a ll an t ti e n orm a l a dtsobeissant , est-if symptomatique d'une

pathologie organique?

Quiconque ayant une once de bon sens peut deceler

l'absurdice et Ie caractere fictif des criteres perrnettant

d' e tablir ces diagnostics. Lorsque la communaute me-

dicale et les compagnies pharmaceutiques, principaux

defenseurs de ce modele pathologique, adrnettent ne pas

savoir ce qui "provoque" cette etrange rnaladie, confes-

sant ainsi qu'i!s ne peuvent merne pas en prouver l'exis-

renee, l'amusement declenche d'abord par l'enonce des

criteres d'evaluarron se rnue en incredulite, Et lorsque

nous apprenons que des dizaines de milliers d'enfants

et adolescents se voienr en consequence administrer de

puissances et dangereuses drogues, on cede aisernent it la

tentation de crier carrernent au scandale,

Qualifier Ies enfants de "rnalades", en se fondant sur un

comportement considere indesirable, puis les bourrer demedicaments pour les faire obeir compone de serieuses

implications. Voulons-nous que nos enfants grandissent

en croyant que la reponse it leurs problemes reside dans

la prise de drogues? Voulnns-nous qu'lls se considerent

irresponsables de leur comportement et puissenr plurot

en rejeter les causes sur une rnysterieuse "maladie" ?

Voulons-nous laisser une psychiatrie instirutionnalisee

qui assimilait, il y a 25 ans encore, l'homosexualire it

une "maladie", qualifier leur mauvais comportement

des enfants de "rnaladie" en l'absence de route demons-

tration scienrifique ? Voulons-nous une societe qui

identifie la desobeissance It une pathologique et prefere

Ie conformisme it l'individuallte, it la creativite et it la

libre expression ?

Untegrite physique et le bien-etre affectif des jeunes

sont menaces par Ie diagnostic du THADA/IDA et la

proliferariondes prescriptions de neurostirnulants (am-

phetamines) qui en resulte, Ne vaudrait-il pas rnieux

depasser Ie jargon auto protecteur de la communaute

medicale I pharmaceurique et au moins faire en sorte

que parents et enfants soient informes de toutes les fa-

cettes de cette concroverse afin qu'ils puissent donner

un consememem eclaire aux ordonnances decoulant de .

ce diagnostic?

Points ch€!s

• Le nombre d' enfants occidentaux chez qui I'on dia-

gnostique Ie "THADA" (ou Ie "TDA") continue it

monter it Ileche,

• Un pourcentage important de ces enfanrs est mis

sous stimulants, medicaments extremernenr dangereux

presentant d'lmporrants effets secondaires a court terrneet It long terme,

• Le diagnostic du "THADA" manque visiblement de

fiabilite.

• La validite du diagnostic du "THADA" est douteuse.

• Ni les parents ni les enfants ne disposent de suffisam-

ment d'informarions p\>ur donner un, consentement

eclaire au traitement par neurostimulanrs,

• Le "THADA" s'avere eue un concept populaire et

seduisant et, en l'absence de contradiction, I'usage de ce

diagnostic et des stimulants va probablement continuer

It s'inrensifier.

NEXUS n038

rnai-juln 2005

l

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GEO'POLITIQUE

;( u

La popularlte du "THADA"

Le nomhre d' enfants diagnostiques victimes du THADA

ou du TDA est renversant et continue d'augrnenter. Le

succes de ce diagnostic aboutir it un nombre croissant de

jeunes rnis sous neurostimulants.

Depuis des annees, les cliniciens observent que ces pro-

duirs stimulants onr un effet paradoxalement calmant

sur les enfants, On a avarice une myriade de theories

tentant d' expliquer Ies raisons physiologiques d'un

tel phenomene, rnais aucune n'a ere universellement

acceptee. Au cours des decennies passees, l'indusrrie

pharmaceutiq ue a stipule que [e THADA contin uait it

rage adulte, preconisant I'usage de stimulants et medi-caments assirniles aux adulres aussi, Cela suggere que,

bien que l'effet semble "calmant", il aide plus Ii . une

concentration intense sur une .seule activite (ou sur rien

du tout) plutor qu'a l'apprentissage de la gestion de la

diversite de l'environnernent du patient.

I

II

II

I

Selon Ie S ydn ey S u n- He ra ld du 30 juin 2002 : "On

estirne qu'au moins 50000 petits Ausrrallens ptennent

desormais ces medicaments sur ordonnance. "\ I. : aug-

mentation a etl~ pour Ie moins fulguranre.

"Entre 1991 et 1998, le nornbre d'ordonnances de sui -

f ite d e de xa mp he za mi ne y a augmente de 2400 %, tan disque celles de Risa l ine ont augmente de 620 %."2

"La consornrnation australienne de dexamphetamine s'est

accrue de 592 % entre 1991 et 1995, randis que celle de

methylphenidate a augmenee de 490 %."3

La Commission de la jeunesse de Nouvelle-Calles du

Sud a dernande I'avis de la cornmunaute et a entendu

de nombreuses voix inquleres s'elever : "Beaucoup de

personnes ont fait part de leur inquietude face a l'usagecroissant de psycho tropes chez des enfants arteints du

TDNTHADA, et plus parriculieremenr de leurs eITets

it long terme. ".

Le C ou rier M a il de Brisbane du 1O J" juiller 2002 a ob-

serve que, proportionnellernent au nornbre d'hahitants

s

"plus d '~nfants prenaient des psychotropes en Auseralie

qu'aux Etats-Unis".' Si l'on estime qu'aux Elars-Unis le

THADA ne touche pas mains de 15 it 18 % des enfants

en ag e scolaire, cette tendance est alarmante et constitue

une urgence de sante publique en Australie.

les dangers des neurostimulants

Le s stimulants les plus courants utilises conrre le 'THA-

DA", la R i t al in e (m et hy lp h en i da t e) et la dexampbetamine ,

sam pharmacologiquement similaires it la cocaine. Tout

comme elie, ces medicament presentent d'Importants

effets. Ils rendent ies enfants plus dociles er plus obeis-

sants. Cela est vrai pour tous les enfants, dans Lamesure

a u ce qui rescale du mythe de la seule reaction positive

des enfants atteints du 'THADA" a depuis longternps

vole en eclats :

" A vrai dire, les stimulants se sent reveles avolr Ies merne

effets chez les enfanrsaneincs du THADA et chez ceux

consideres normaux (P eloqu in a nd K lo rm an, 1986; R a -

p oport, B uschba um a nd Monte, 1980; R a p op or t, B u se hs -

baum and Zabn, 1978). Ces resultars soulignent que le

diagnostic du THADA ne peat pas s' appuyer sur une

reaction positive aux medicaments. "6

Les enfants saus trairernent deviennent plus dociles er

obeissanrs et poseor "rnoins de problemes", contentant '

ainsi it Ia fois Ies parents et les enseignanrs, Mals ilarrive

que le jeune patient en paie le prix fort :

"Stephanie Hall, de Canton, dans l'Ohio, croyait que le

THADA etait une maladie. Elle prenait sa Rirallne, reli-

gieusemenc. Ses parents, Mike et Janet Hall, Ie croyaient

aussi. Stephanie Hall est morte dans son somrneil, 6[ours avant son 12emc anniversaire, non pas du THADA

(parce que cela n' existe pas) mais de la Ritaline, parce

que la Ritaline est une amphetamine et que Ies amphe-

, ramines sont depuis longtemps connues pour provoquer

des accidents cardiaques soudains, rneme chez les jeu-

nes","

Le certificat de deces date du 21/03/01 du petit Mat-

thew Smith

NEXUS n"'38

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8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

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dexamphetamine , aussi bien que le methylphenidate, sont

des medicaments conrrcles et soumis 11des conditions

specifiees avec une restriction supplernentaire en matiere

de delivrance et d'usage."?

Les stimulants peuvent mener It une depression et con-

duire au suicide. "La Commission parlementaire d'Aus-

rralie-Meridionale a ete troublee d'enrendre ou de lire

I'exemple d'un certain nombre d'enfants ayant exprimc

des pensees suicidaires."10 "L e suicide est une complica-

tion majeure du repli sur soi provoque par ces stimulants

et autres medicaments sembi abies aux amphetamines."!'

Les medicaments en general, et les stimulants en par-

ticulier, presentent un risque irnporatnt a long terrne

chez les enfanrs en raison de leurs effets potentiels sur la

croissance. Tout porte a croire que le s medicaments puis-

sants pourraient affecter le proce.~sus de croissance et de

developpemenr d'un enfant, cornme cela a ete largement

reconnu dans la presse de grande diffusion, y compris par

l 'A m e ri ca n P s yc hi atr ic A s so ci ati on e lle -rn ern e :

"L e terme de t ox ic i te d tv el op p emen ta l e renseigne des

effets secondaires uniques ou particulierement graves

causes par l'action d'un medicament sur Ie processus

de croissance et de developpement. Les enfants et les

adolescents grandissenr et se developpent non seulement

physiquement mais aussi cognitivernent ec affectivement.

II est important que les -medicaments n'interferent pas

avec !'apprentissage scolaire ou avec le developpemenr

de relations sociales au sein de la famille au avec les

camarades. "12

Inevitablernent, nous devons adrnettre quesi Iesstimu-

[ants affectent la croissance et le developpernent, il ya de

fanes chances qu'ils affectent celul du cerveau :

"II existe desorrnais une montagne de preuves demon-

trant que ces produits perturbent la production quo-

tidienne des hormones de croissance et peuvenc aussi

reduire la croissance generale de I'enfant, se traduisant

par une moindre augmentation du poids et de la taille ...

Diffidle d'Imaginer un signal d'avertissemenc plus grave

que l'inhibition de la croissance, puisque qu'elle affecte

tous les organes, y cornpris le cerveau." 13

- "Le medicament comrnunement utilise, surtout aux

USA et en Australie, pour soigner les jeunes arteintsdu trouble d'hyperactivite avec deficit de l'attention

peut provoqller des modifications II long terme dans le

cerveau, Des scientifiques de l'Universire de Buffalo ont

decouvert que la Ritaline produisait des modifications

similaires II celles observees avec les amphetamines et

la cocaine dans le cerveau des rats. I'aureur de l'erude,le Professeur John Balzer, a declare que ces decouvertes

dernentaient l'idee que la Rirallne, connue SOllS Ie nom

gene rique de merhylphenidate, avait un effet rap ide et

une action courte." 14

"En delivranr des psychocropes aux enfanrs, nous creons

en verite une interaction entre Ie produit chimique er

I' organisme en developpemenr, en particulier avec Ie

cerveau, qui est I'organe cible.")5

"Les neurostimulanrs eels que la Ritaline et les am-

phetamines ont des impacts extremernent nocifs sur

]'encephale, reduisant le flux sanguin, perturbant le me-

tabolisrne du glucose et provoquant peut-etre merne un

retrecissement ou une atrophic definitive." 16

Le spectre de ces effets negarifs sur la croissance et Ie

developpement parait encore plus inquietant quand les

enfants de moins de six ans se voient parfois prescrire des

stimulants, malgre les rnises en garde specifiques signa-

lant que leur usage n'est pas inoffensif chez des enfants

aussi jeunes. Certains enfants australiens ages d'a peine

15 II 18 mois se SOnt deja vus prescrire des psychostimu-

lanrs, et lors de la Conference sur la jeunesse de l'Etat du

Queensland qui s'est tenue a Mackay en 2003, une merea rapporre que son medecin lui avail suggere que son

bebe de neuf mois etait atteint du "THADA" et devait

etre mis sous medicaments (D i eu m erc i, e l le a re fu sE ).

Presque plus inquietant que les effets potentiels 1 1long

rerme des neurostimulants : l'etat de "zombie" rela-

tivement courant qu'ils provoquent chez les enfants.

Fait choquant, deux des plus grands defenseurs de la

biopsychiatrie aux Erars-Unis, 1. Eugene Arnold et Peter

S. Jensen, ont reconnu cette caracreristique dans [e cha-

pitre du C om p re he nsi ve T e xtb oo k o f P s yc hi at ry consacre au

THADA:

"La mine sombre et defaite occasionnee par Ies ampheta-

mines est inoffensif en elle-merne rnais inquiere certains

parents ... Son equivalent comportemental, allant de la

reduction de I'affect et de la spontanelte a 'un etat de

'zombie', pcut engager II une diminution de la dose, etnecessite parfois de changer de medicament." 17

Letar de "zombie" a ete decrit par Ie Dr. Peter Breggin

en ces termes : "Ce comportement docile induit par les

medicamenrs est provo que en emoussant ou en assujet-

tissant l'activire cerebrale superieure de I'enfant par des

substances chimiques. Cette partie du cerveau de l'enfant

requeranr creativite, liberre, jeu, activire energique, dis-

cipline coherence -et activires pedagogiques stimulantes,

risque Ie sous-developpement." 18

Compte tenu des taux de prevalence de ce "trouble" qui

montent en fleche, il est tres possible que notre societe

soit rapidement confronree a une generation d'enfants

dont la creativite, le raisonnement et I'esprit serontamoindris par des medicaments sans justification medi-

calc veritable.

NEXUS n038

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Geopo ITIQUE

u

Un problt~me de sante publique

en Australie

E n cla ssa n! le s p sych os tim ula nts p arm i le s me dica me nts del 'Annexe 8, Ie g ou ve rn eme nt a ustra fie n a va il de to ute e vide n-ce !'in te n tio n d 'e n re s tr eln dr e l's cce s . P o urta n t, f a p ro fifJ ra tio nd es o rdo n na n ce s de s tin e e s Ii tra ite r te "T HA DA · a re ndu ce sp sy ch os tim ufa nts fa cile me nt dis po nib le s p ou r u ne u tilis atio no cce sio nn etle da ns le s co urs d'e co le de to ute l'A us tra lie .

L 'u sa ge illicite de s m Mica me nts co ntre Ie T HA DA e st a eve nuu n p ro ble me m aje ur a u Q ue en sia nq , co mm e Ie fa it re ma rq ue rla C rim e a l7d M isco l7du ct C om missio n ." "L 'sb as de m edics-me nts ve ndus su r ordo nn an ce o on tre Ie T HA DA con stitu e u np ro bte m« o ote n tie /p ou r la so cie te , Ie sys te me de sa nte p ub li-qu e e t le s orga nisme s ch arge s de fake re spe cte r fa 1 0 1 . "1 9

E n N ou ve lle -G aN es du S ud, "O n.8 e xp rim e de s in qu ie tu de s,a p lu sie urs re prise s, q ua nt a u fa it q ue de s e co fie rs p uisse ntv en dr e, e ch a ng e r a u p a rta g erle u rs medicements"."

L 'O rg an e in te rn atio na l de co ntr6 1e de s s lu pe fia nts (O IG S )de s N atio ns u nie s a mis e n g arde con tre I 'usag e ludiqu e e !occssio nn el a bu sif cro issan t du me th ylp he ntdate dan s tem o n de e n t ie r .2 1 L ' u ti li sa t io n t u d t q u e de s p sych ostim ula n!s ae ga fe me nt e te e ss ocie e a d'e utre s fo rm es de to xico ma nie e tfa it sou ve n t o ffice de "p re mie r pa s" fa clle dan s Ie mo nde de

I 'aufomedicat ion.

"E liz ab eth W u rtz el,. dim s Ie N e w Y om - Tim es du W avd12000,eait q ue fa R ita lin e a va it fa it o ffice de dro gu e d'jn tro du ctio n

p ou r de n ombre use s pe rso nn es ave c q ui e lle ava it dia log ueda ns de s re un io ns de s IV arcp /iq ll8 sA no l7y me s, a u de s·m ere son t admis a vo!r e sce mote de fa R itarine p re scrife a le urs e n-ra nts e t e n a vo ir broye le s cach e ts p ou r t e e ' sni f fe rpresques a n s d is c on t in u e r '. "2 2 . \

La D rug E nfo rce me nt A dmln/s lra lio n (D EA ) de s E ta rs-U nisa dfr~ cte me nt a bo rde ce pro ble me , e x p o s e o t g U '" u n c e rt ainno mbre d'e tu de s re ce n te s de ca s de to x ico ma nie e t de te n-da nce s co in po rte me nta le s o bse rv ee s p arm i le s sdo le sce ms-e ! prove na nt de dive rse s sou rce s indiqu a ie nt q ue !'u sag ede me thy lp he nida te po uva it s tre u n fae fe ur de risqu e d'sbu sd'a lco olo u d'a utre s dro gu es " .23 F ait (e ve la le ur, v otci ce q u;areppon« la p re ss e em eti osi ne : "O ne re ce nte e tu de me miep ar de s ch erch eu rs de !'U n/ve rsile de C alifo rn ie a Be rke le y ,e tu de a ya nt s uiv i 5 00 e nfa .n ts p en da nt 26 e nn ee s, a n jv i!J 1tJqu e /a R ita line eta it a u fon d u ne 'drog ue d'in trodu ctio n ' ad'a utre s dro gu es , e n p artlcu lie r a la coca ine . Le e he rche urN adin e La mb ert, co mm e I'a r e p p o n « Ie W a ll S /re f!! J ou rn al, e na co ne lu q ue fa R ita lin e 're nda it /e ce rv ea u p lu s v uln era ble a up ou vo fr to xico ma no ge ne de ts co ca in e e t m ult/p lia !! p ar de ux/e ris qu e d 's bu s'. "2 4

1 / e st re co nn u, me me pa rmi le s fe rve nts de fe nse urs du mo-de le me dica l du "T H AD A ~ q u 'if e x iste d'au tre s fo rme s de"tra ite me nt" dis po nib le s, te lle s q ue te c on s ul ta tio n p s yo h % -g lq ue fa milia /e , le s s oin s a lte rn atifs e t l'e du cs tio n p are nta le .A ucun e de C B S mo da flte s n e risq ue de m ettre e n p erH Ie b ie n-e tre p hysiq ue de s e nfa nfs. A u V U , e n p a rtic ulie r d 'u n e r ece n teme ta -a na lyse ayan t de mo ntre . q ue te s e nfan fs ne re tira ie nfsu ca a a va nta ge e n ma tie re d'e du ca tio nla pp re ntlssa ge d'u n

fraf temenf a b a s e d e p s yc ho s tim u /a n ts ,2 5 if e s t c om p le t em e a ttnseas« de risq ue r de comprome ttre no n se u /e me nt ie b ie n- .

e tre de s e nfa nts tra ite s mais la s e n t « de I'e nse mb le de fe ursca ma ra de s e n co ntin ua nt de p erm et!re fa distrib utio n a to rt eta tra ve rs de ce s da ng ere ux m edica me nts .

s

Manque de fiabilite du diagnostic

La "nabilite" d'un diagnostic etablir dans queUe mesure

il est digne de confiance, independamment decelui qui

I' enonce er du lieu O U il est ernis, Par exernple, un bras

casse se diagnostique par une radio et il existe de forteschances qu'en se rendant chez 100 rnedecins orthcpedis-

res avec la merne radio, le merne diagnostic soil rerrouve,

s'averanr iei rres Sable.

Par contrasre, le diagnostic du "THADA" J'est tres peu.

" II n'existe pas de crirere objecrif pour l'erablir, pas de

symptcrne physique, pas de signe neurologiques et pas

d'anomalie sanguine ... Aucun exarnen physique ne peut

pe.rmettre de verifier qu'un enfant en est bien atteint."26

Lhypothese selon laquelle 100 diniciens ne seraient pro-

bablemenr pas tOUS d' accord pour confirrner le diagnos-

tic de "THADA" chez un enfant est eray&: par les ecarts

flagranrs entre les raux de prevalence intematio naux.

"La prevalence du THADA en Europe est generalementestimee entre 3 % et 6 % ou moins, tandis qu'elle est

au moins 2 a 3 fois superieure en Australie et aux Etats-

Unis. "27 Aussi choquant que cela puisse paraitre, cette

constatation signifle qu'en emrnenant pour examen

12 enfanrs atteints du "THADA" de Sydney a Paris, unseal verrait son diagnostic "confirme". En s'en tenant

alors ces chiffres, ce "trouble" est soit fortement surdia-

gnosrique aux Erats-Unis, en Auscralie et au Canada,

soit forrernent sousdiagnostique en Europe (et dans la

pluparr des autres pays du monde}. Dans un cas comme

dans l'aurre, ce n'esr pas un diagnostic sur lequel on peut

compter; i. I manque de flabilite.

Meme a l'inrerieur d'un pays, les larges ecarts entre le s

raux de prevalence exduent to ute flahilite. Par exernple,

une analyse de I'usage des stimulants centre leTHADA

aux Etats-Unis a revele que les "les jeunes du Sud avaient

environ 71 % (et ceux du Midwest 51 %} de chances de

plus de prendre ces medicaments que ceux du Nord-Est

ou de l'Ouest" ,28

Les profanes s'imaginent generalernenr que l'identifica-

cion d'un rrouble decoule d'un precede scientifique ou

objectif C'esr habrruellemenr vrai en rnedecine, rnais

rarernent en psychiatric. L ' Am e ri ca n P s y ch ia . tr ic A s so c ia -

tirm {APA} publie la "bible rnondiale" des diagnostics

psychiatriques : le ManueL diagnostique et statistique des

troubles men taux , qui en est actuellernent it sa quarrierne

edition (DSM~lV) it laquelle se referrent egalement Ies

psychiatres francais. En examinant d'un peu plus pres

les criteres de diagnostic et en comprenant comment

NEXUS 0°38

mai·juln 2005

8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

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precede le D S M , ce manque de fiabllire s'explique en

partie.

Un observateur des debars de 1987 au sein de I'APA ausujet du D SM fit Ia remarque suivante : "L e faible de-

gre d'effort intellectuel etait choquant. Les diagnostics

etaient erablis par vote rnajoritaire avec le degre de re-

flexion dont on ferait preuve pour choisir un restaurant.

Tu as envie de manger italien, j'ai envie de manger chi-

nois, alors allons a la cafeteria. Ensuite, ilsuffit d'entrer

l'information dans l'ordinateur,"

Un psychiatre americain de premier plan, ancien chef

du Centre d'erude de la schizophrenic du Natioiuzi

Institute of Mental Health, formule les choses ainsi :

"L e D SM - J V est ce sur quoi s'appuie la psychiatrie pour

se faire accepter par la rnedecine en general. Les inities

savent que c'est un document bien plus politique quescientifique, "

Le s propos du Dr. Lawrence Diller au sujet du proces-

sus de selection des criteres du D SM - ! V , illustrent le

caracrere politique flagrant de ce dernier : "Le principal

groupe d'etude avaic determine que seuls cinq des neufs

sympt6mes seraient requis pour etablir un diagnostic du

sous- type hyperact if /inat ren ti f du THADA [c'est-a-dire,

une version 'cornbinee' du trouble). Mais, Ie cornite de

supervision du D SM - J V rejeta, contre route attente,

cette decision et fit passer Ie nombre de sympt6mes re -

quis a six! Us pensaient probablemem que cinq criteres

ne suffisaient pas et risquaient d'entrainer un diagnostic

de type TDA chez un nombre trop important d'enfants,

mais Ie caractere arbitraire de leur choix n'a que peu de

rapport avec la science."31

Dans la societe occidentale, qui de if ie s ouven t les mede-

cins, les gens risquent d'etre extremement cheques de

decouvrir que ce diagnostic a ete cree de route piece par

un groupe simplement reuni autour d'une table, et non

par une equipe scientifique se basant sur des resultats

obtenus en lab0rato ire,

Le resultat du processus fondant l'elaboration du D SM

determine un diagnostic pour le moins categorique :

celui du TDNTHADA, totalernent arbitraire et base

exclusivement sur le comportement. Les criteres de dia-gnostic soulevenr des questions evidentes quant it la

validite (examinees dans la partie suivante), mais la seule

description des "sympt8mes" est deja. completement

subjective et done par essence non fiable. ABn de dia-

gnostiquer leTHADA chez un enfant, il faut que celui-

ci presence fait six des neufs sympt6mes d" inatren tion",

soit six des neufs sympt6mes d'''hyperacdvite-impulsivi-

te", Ces sympt6mes "doivent persister depuis au moins

6 rnois a un degre qui est inadapte et incompatible avecun stade normal de diveioppement"; Cependant, il n'y a

pas de recommandacion objective pour evaluer le degre

d'inadaptation requis ; il est laisse a.l'appreciarion de

chaque dinicien. Encore plus scandaleux, chacun des 18"sympternes" du THADA est qualifie par Ia conjonction

de temps: "souvent", Que signifie "souvent remuant"

ou "souvent en proie a des difficultes pour organiser des

taches et des activites" ? It n'existe pas de recornrnanda-

dons objectives. Pour un evaluareur donne, un enfant

qui est remnant tous les jours pourrait paraitre normal ;mais pour un autre evaluateur (peur-etre sans enfant !) ,

un enfant remuant beaucoup a une ou deux occasionspourrair ecre considere comme "souvent" remnant. Les

problernes de Habilite ne s'arrerent pas la.

"Le mot 'souvent' mis it part, Ie reste de la definition

regorge de cerrnes ambigus et vagues. Quel le s f au re speuvent etre qualifiees de 'fautes d'inattention' ? Que

veut dire a.qui I'on parle 'directement' ? Que signifie de

la 'difficlilte'a s'organiser ? Qui decide quelles sont les

activites qui necessitenr 'un effort mental soutenu' ? Que

veut dire 'facilement' distrait? Quand un petit mouve-

ment esc-il qualifie de 'bougeotte' ou de 'contorsion' ?

Qui determine les ca s O U I'on est 'cense rester assis' ?

A partir de quand courir, grimper ou parler devient-il'excessif" ? " 3 3

Certains des defenseurs americains du modele medical

du THADA les plus traditionnels, pensant qu'i1 s'agit

d'un trouble medical valide, om meme reconnu le man-

que de fiabilite du diagnostic. En 1998 , les National

Institutes of Health arnericains Ont organise un Colloque

de Consensus. sur le Diagnostic et le Traitement du

THADA et Ont entendu le remolgnage d'un certain

nombre d'' 'experts'', lesquels om presque rous soutenu

le modele medical. A la fin du Colloque, le president du _

cornire, Ie Dr. David Kupfer, a reconnu qu'i1 n'existait

" ac tu elleme nr a uc un ' test de diagnostic valide" ,34 et un

autre mernbre du cornite a succinctement observe que

"ce diagnostic etait un veritable foutoir".35

Manque de validite du diagnostic

La "validite" d'un diagnostic designe la mesure dans

laquelle il decrit quelque chose qui est bien reeletsus-

ceptible d'etre preuve. "Malgre les millions de dollars

consacres a. 1a recherche au cours des vingt dernieres

annees, -dont une bonne partie subvenrionnee par des

compagnies pharmaceuciques nourrisant de nombreuses

attentes, personne n'a encore ete capable d'Identlfier

c erte 'm ala die ' a pp ele e THADA. "36

Chose incroyable, beaucoup de professionnels haute-

ment respecces dans divers domaines reconnaissent pu-

bliquemenr que rien ne prouve l'existence du THADA.

Voyez p lu to c . ..

• Le Docteur en psychologie Diane McGuinness: "Des

recherches methodologiquement rigoureuses indiquent

que le THADA et l'hyperactivite en rant que 'syndro-

mes' n'existent tout simplernent pas."37

• Le neurologue Fred A. Baughman, MD ; "II n'existe

pas de surdiagnostic, de sousdiagnostic, de traiternent

inadapte ou de traitement excessif du THADA. Tout

cela n'est qu'une vaste fumisterie qui dure depuis 35annees .."38 .

• L e Professeur agrege Robert Reid, Docteur es science

de Universire du Nebraska: "Les causes du THADA

sont tout sirnplemenr inconnues. "39

NEXUS n038

mal-juin 200S

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u

• L:AUJtralian National Association of Practising P s y -

chiatrists (N APP) ; "Le THADA n'est ni un troublegenetique hereditaire ni une maladie organique" et "les

preuves scientlfiques susceptibles de soutenir l'existence

du THADA en tant que trouble ne sont pas etayees",10

• Le psychiatre Denis Donovan, MD : "Le TDA esc un

diagnostic bidon, Les parents et les enseignants courent

cornme des derates pour identifier une pathologie .., No-

tre pathologisarion actuelle du comportement abourir

a gonfler considerablemeat les rangs des malades, despenuches, des desequillbres et des handlcapes."!'

• Le medecin William B, Carey, MD, du Ch i l d ren~

Hospital of Philadelphia: "Ce que I'on decrir Ie plus

souvent aujourd'hul comme IeTHADA aux EcatS- Unis

semble ene un ensemble de variations comportementa-les norrnales. Cette divergence met en dome la validite

du concept. "42

• Le Docteur et psychologue John Breeding: "Le dia-

gnostic du THADA est, en lui-meme, frauduleux. "43

• Tunku Varadarajan, redacteur adjoint du Wr, ll l S t ree t

Journal: "On raconte autantde ballvernes surIe THA-

DA que sur le TDA. "44

• Lauteur Beverly Eakman : "Ces medicaments rendent

les enfanrs plus dociles, pas necessairement rneilleurs,

Le THADA est un phenornene social, pas une 'maladie

menrale', Puisque le diagnostic du THADA est fraudu-

[eux, peu importe qu'un medicament 'marche' ou pas,

On force des enfants it . prendre un produit plus fort que

la cocaine pour une rnaladie dam l'existence nest pas

prouvee, "45

• Le Docteur et psychoiogue Richard DeGrandpre,

citant une etude pame dans la revue rnedicale arne-

ricaine Pediatrics, montrant que 80 % des enfants

catalogues cornrnc hyperacrifs a ia matson ou a I'ecoleaffichaient un comportement exemplaire et aucun signe

d'hyperacnvire dans Ie cabinet du rnedecin : "Cetre

decouverte concorde avec les nombreuses etudes et les

dizaines d'arricles de journaux fuisant erat d'une forte

difference d'evaluation entre parents, enseignants er

cliniciens quant aux enfunts inclus dans la caregorie deshype ract ifs, Cela ne peut que soulever des questions

sur l'exisrence du THADA en rant que concept medical

reel, puisque Ie diagnostic se base exclusivernenr sur ces

syrnprornes. "46

• L e psychiatre Peter R Breggin, MD : "II est important

que le Comite de I'education comprenne que Iediagnos-

tic du TDNTHADA a ete elabore dans le but specifiquede justifier I'usage de medicaments pour maitriser Ie

comportement des enfanrs en dasse."47

• I'americalne Hillary Rodham Clinton, senateur: "Cer-

tains de ces jeunes presenrent des problernes n'etant den

d'autre que des sympt6mes de l'enfance ou de l'adoles-

cence."4B• Le psychiatre Sidney Walker III, MD : "La cornmu-

name medicale a eleve Ie Trouble du deficit de I'atten-

tion et le Trouble d'hyperacnvire avec deficit de l'arren-

tion au rang de diagnostics et la plupart des gens croient

5

q u'r l s 'a gr r de veritables maladies, Ce n'est pas le cas et

les medecins qui caealoguent des enfants cornme atreintsdeTDA ou deTHADA n'am pas Iemoindre indice per- '

mettanr de definir ce dont ils souffrenc vraiment, "49

• L:educateuf er chercheur Brenton Prosser, Docteures ,

sciences: "La definition dorninanre de cet etat '!'assi-

mile a un problerne physiologique devanr etre traite ~ve~des amphetamines, bien qu'aucun -element biologique

n'etaye ces affirmations, "SO

• Le Colloque de Consensus organisee en 1998 par

les US National Institutes of Health a conclu : "Nous

ne disposons d'aucun test independant valide pour le

THADA et den ne prouve que le THADA est du a undysfoncrionnernenc du cerveau.""!

Resre a savoir pourquoi les prariclens aussi bien que Iepublic designem le "THADA" comme un trouble de-

mon rrable, alors qu'll est largement preuve que' ce n'est

pas [e cas, Ce phenornene a ete explique par le Dr, John

[ureidini, chef du Departement de medecine psycholo-

gique au Women ! a n d Ch i ld re n 'sH o sp i ta l d'Adelarde, en

Ausrralle-Meridionale, en reponse a une question d'unecommission parlemencaire :

" I I existe une documentanon monumenrale qui con-

sldere comme acquis Ie fait que le THADA est une

pathologie neurobiologique et, parrant de la, erudie

Ies differences formes de rraicemenr, Une fois que l'on

a des milliers d'arncles publies sur un sujet, comment

quelqu'un pourran-il songer a se lever et a proclamer'ca n'existe pas' ? Je dens a souligner que je sais perti-nemrnent qu'il y a des enfants tres arnoindris it cause de

problemes d'Impulsivire, d'atrention et d'acrivite, Je ne

dis pas que ces enfants ne souffrent pas ou ne rnerirent

pas notre attention, Je dis simplernenr que, en tant que

trouble, IeTHADA n'existe paS,">2

En faisanr la distinction entre maladies [itterales et

maladies meraphoriques, Ie psychiarre arnericain Tho-

mas Szasz observe: ''Lidee que,. disons, ie SIDA et [e

THADA". SOntdes genresde maladies radicalement dif-

ferents - ou, plus preclsement, que la derniere n'esr pas

du tout une maladie - est si politiquement incorrecte

NEXUS n038

rnal-juln 2005

I

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qu'elle est balayee d'un geste de la main."';

Le s partisans du modele biomedical du THADA se

plaisent a affirmer que nous semmes sur Ie point dedecouvrir une eticlogie ; autrernent drr, sur le point

de decouvrir que le "THADA" existe bien. Mais il y

a plus de 20 ans qu'ils disent cela! Le fait est que, en

termes scientiflques, le concept d'une " rn ala di e" a pp ele e

THADA n'est pas valide,

Absence de consentement eclaire

II n'existe pas de. Droit de I'Homme plus . fondamen-

tal que le Droit it I'integrite physique. La plupart des

appareils j ud ic ia ire s p os se de nt la velleite commune de

proteger les personnes innocentes contre tout ce qui

peut arriver a leur corps sans leur consenternent, Selonun article paru dans Ie DePmt l [ournal of Health Care

L aw : "Le veritable consenternent consiste it faire un

choix eclaire, er cela suppose la p os sib ill te d 'e va lu er en

toure connaissance de cause lesoptions disponibles er les

risques attenant it chacune d'entre elles."54

La question du consentement des [eunes en matiere de

soins de sante fait I'objet d'un important rapport publie

en 1996 par la Commission de Reforme du Droit du

Queensland.v Des representants de diverses organisa-

tions ont egalement reconnu qu'il s'agissait d'une ques-

tion majeure dans toute l'A us tra lie :

"L e President de la Commission de I'enfance et de I'ado-

lescence a inforrne cette Commission que les questionsde confidenrialite et de consentement en matiere de

soins de sante chez les jeunes faisaient partie des preoc-

cupations majeures soulevees par des representants de

plus de rrente organisations en lien avec la jeunesse et

la same lors d u S omme r National sur la Sante

des Jeunes organise par I 'AustraLian Med ica l

Assoc ia t ion it Canberra en juillet 2001."56

Un consentement sans informations nest pas

un consenrernent, et les parents auxquels ilest

edicte que leur enfant souffre de "THADA"

ne sont pratiquernent jamais Informes du ca-

ractere non valide ou peu fiable du diagnostic

d'un point de vue scientifique. En general, onne les informe pas de l'absence de detection

de cause organique ou physiologique, ni que personne

n'a pour l'instant reussi it demontrer I'existence du

"THADA". Par ailleurs, les parents ignorent souvent

les dangers des neurostimulants, Le Droit International

(en particulier la Convention des Nations Unies sur les

Droits de l'enfant), les Droits de I'Homme er les Droirs

nationaux, qu'ils alent pour source la coururne ou la

docrrine, exigent que l'individu puissent exercer un

droit au consenrernent eclaire sur route atteinte it son

inregrite physique.

Les enfanrs n'Ont presque jamais l'occasion de donner

leur accord pour un traitement a base de neurostirnu-lams, pas plus qu'lls ne sent intorrnes du debar qui fait

rage au sein de la cornmunaute medicale au sujet de

ce diagnostic. Cette violation patente d'un Droit de

l'Homme fondamenral ne serait pas toleree si elle etait

commise ouverternent, mais sous l'apparence de "soinsmedicaux utiles", die devient plus insaisissable et diffi-

cile it cornbattre,

Pourquoi Ie diagnostic du THADA

est-il si courant dans certains pays?

Laugmenration du nombre d'enfants australiens dia-

gnosciques atteints du THADA au cours des 25 dernie-

res annees est tout simplement astronornique. Au vu du

manque avere d'une etiologic ou d'un marqueur organi-

que/biologique connu, la question demeure; Pourquoi

ce diagnostic est-il si courant? Pour quatre principaux

"groupes", le diagnostic du THADA a ete une aubaine

econornique, pratique ou affective.

1 - Les compagn.ies pharmaceutiques,

Le marche des stimulants specifiquement COll~US pour

traiter IeTHADA depasse chaque annee 600 millions

de dollars pour Ie s seuls Etats-Unis !Avec de rels pro-

fits it la cle, iln'est pas surprenam que les grandes com-

pagnies pharmaceutiques se scient declarees favorables

aux diagnostics psychiatriques en general et a celui duTHADA en particulier,

Novartis Pharmaceuticals, qui detenait le brevet originaldu methylphenidate (Riraline), le medicament centre Ie

THADA le plus populaire aux Etars-Unis, a fait enor-

mement de publicite aussi bien dans des revues profes-

sionnelles qu' aupres des medias populaires, publiant

dans ces derniers des messages publicitaires

destines it convaincre les parents que leur

enfant aurait tout interet it prendre des sti-

mulants. Novar t is fait egalement partie des

genereux donateurs du Children and Adults

with A t te nti on D e f ic it D i so rd er (CHADD), Ie

groupe national de soutien des parents con-

frontes au THADA.

Plus troublanre encore est peut-etre l'inquie-tude exprirnee par un neurologue et profes-

seur ernerite de psychologie de l'Universite du Michigan

; "Je suis convaincu que l'industrie pharrnaceurique

depense d'enormes sommes d'argent pour augmenter

ses ventes et ses benefices en influencant les rnedecins

et le public, par des moyens deformant parfois fa verite

et n'etant souvent dans l'interet ni de la science ni du

public."5?

2 - Les scienti6ques.

Si I'Idee du THADA comme trouble biomedical seduirles medecins, c'est d'abord parce qu'ils desirenc cue uti-

les it leurs patients. L'ensemble de leur formation et leur

fa~on de voir les choses sont irnpregnees du "modele

NEXUS n038

mai-juin 2005

i

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GEOPOLITIQUE

u

medical" : un patient vient les voir avec un symptome,

lis le diagnostiquent et Ie trairent. 5i IeTHADA n'existepas, et si ces comportements font partie de la gamme

d'experience normale de l'enfance au sont Ie reflet d'un

milieu perturbe, Ie medecin est, desarme, En outre,

commenous le verrons dans un moment, ies stimulants

qu'ils peuvent prescrire produisent bel et bien I'effet

souhaite par les parents et res enseignants, les medecins

paraissent done d'autant plus utiies a leurs patients (audu mains au x parents de leurs patients).

En rnerne temps, il serait naif d'ignorer la recherche

du profit dans -cette partie de I'equation. Le psychia-

tre americain Peter Breggin a note que "Les groupes

d'interet du domaine de labiologie

insistent depuis desannees pour s'ernparer du marche des medicaments pour

enfants et pour offrir leurs services professiormels'l.P

Tunku Varadarajan du Wal l S t ree t Journa l a ecrit ; "Pour

etre rernbourses par les caisses d' assurance maladie, les

psychiatres doivent trouver un moyen d'affubler ie pa-

tient d'une pathologie reconnue, ce qui explique qu'ils

reconnaissent de plus en plus de pathologies. Attendez

Ia sortie du prochain DSM, et vous decouvrirez qu'au

rnoins 50 nouvelles pathologies auront ete ajoutees it la

liste existan te, "59

3 - L es parents.

La force de soutien la plus vive au developpement du

diagnostic du THADA (et de l'usage de stimulants) est

representee par les parents. Sans "rnarche", Ie pheno-

rnene du THADA se serait eteint rout seul, Les groupes

d'entraide de parents, rels que Ie CHADD, demenrent

avec vehemence l'idee que le THADA est autre chose

qu'un trouble "reel", et beaucoup de parents affirment

que le diagnostic et les stimulants presents se sent averes

mlraculeux pour leur enfant et leur famille. Le caractere

seduisant de ce diagnostic aux yeux des parents est facile

a comprendre pour n'importe quel clinicien ayant deji't

travaille avec des families confrontees it des problemes decomportement d'un enfant.

Dans la societe occidentale, iI est suggere que si votre

enfant se comporte mal, c'est parce que vous etes un

mauvais patent (ne dit-on pas "mal eleve" ?) . 5i votre

enfant rnani fe st e con st arnmen t des problemes dans se s

relations avec autrui ou "s'attire des ennuis" it l'ecole, on

sous-entend que vous etes inapte au peu dispose it Ie dis-

cipliner correctement, tid€e qu'une maladie afflige ces

enfants et soit responsable de leur rnauvaise conduite est

parfaite pour dedouaner le s parents sur un plan affectif,

car i t s passent ausslcor du statut de rnauvais parents acelui de parents martyrs se demenant pour s'occuperd'un enfant malade, Au lien de se lancer dans une the-

rapie familiale et de cherhchera decouvrir pourquoi leur

enfant se compotte mal ou c e quils pourraient y £aire,

iI s peuvem aller dans des groupes de somien e t r ec ev oi r

des marques d'affection et de compassion pour avoir ere

rr ah es a ussl cruellement,

5

Linrroducnon des stimulants Hnit de les con vain cre, L es

etudes montreat de facon concluante que les stimulantsrendent tous les enfants plus obeissants et dociles, qu'ils

aient ou non des "problemes comporcerneneaux" ou

autres, De route evidence, les parents ernberes par la

"rnauvaise conduite" de leurs enfantsseront contents de

le s voir devenir plus obeissants. Plus d ' embarras vis avis des autres, plus de coups de telephone provenam de

l'ecole, Pas etonnant qu'autant de parents ne jurent que

par le diagnostic du THADA.

4 - L es eccles,

Force est dereconnaiere

que danslasociete

moderne,

beaucoup d'eccles publlques sont surchargees et ne

disposenr pas de ressources suffisantes. Les enseignanrs

ant souvent 30 ou 35 eleves, voire plus, dans leur classe

alms qu'ils essaienr courageusement de leur offrir une

instruction decente, Lorsqu'un eleve distrait ou derange

la classe, it est comprehensible que I'enseignant veuille

que cela cesse. Lorsque d'autres parents se plaignent de

I'€leve perturbateur it I'administration de l 'e co le , c el le -d

souhaite rnaitriser le comportement de I'enfant en ques-

tion. Si cette rnauvaise conduite peut faire l'objet d'un

"diagnostic" er erre traitee par des medicaments, la classe

et l'ecole ne s'en porteront que mieux, Cetre dynamique

a e re si puissante que plusieurs Ecars arnericains ont ere

obliges d'adopter une 10i interdisanr au personnel 5CO-

Iaire non medical de prononcer des diagnostics sur les

elev es et de leur recommander des medicaments.

Toutes ce s forces p uissantes se sont alliees pour former

une equipe pas si drale que cela et on comprend bien

rnieux pourquoi le THADA est devenu une "epide-

mie" dans certains pays comme l'A usrralie, L orsque le

diagnostic esr erabli et que l'enfant est mis SOllS me-

dicaments, tour le monde est content ; ainsi la boucle

est bouciee. La compagnie pharmaceutique realise une

nouvelle vente, Ie medecin a W1 nouveau client, les

parents sont mis hors de cause et I'ecole a lin probleme

de comportement de moins. Tout le monde esc content

sauf l'enfant qui lui, n' a pas voix au chapitre,

Recommandations

(Rernarque : Elles sont adaptees du livre: Quetmland

Children A t R isk: The Overdiagnosisof " A DHD " and the

Overuseof Stimulant Medication. 6 0 )

Les diniciens, ies educateurs et les chercheurs ont par-

fois tendance it user d'equivoques et it "edulcorer" dans

l'espoir de paraltre vralment "professionnels". LorsqueLasante physique et Ie bien-etre affectif de nos enfants

sont en jeu, ilest i:emps de se montrer tres directs. IIest

temps d'''aller a l'essentiel'', d'examiner les faits et de

dire la verite.

• 50m presents des medicaments puissants et dangereux

aux enfants pour lutter centre un "trouble" dont I'exis-

NEXUS n"38

rnal-jurn 2005

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tence n'a jamais ete prouvee,

• Des enfants sont exposes aces dangereux medicaments

rnalgre les preuves montrant qu'ils n' ont aucun efFet

positif et ne "rnarchent" qu'en creant des enfants plus

dociles et obeissants,

• Ni les parents, ni les enfants ne disposent pas des in-

formations dont ils ont besoin pour pouvoir donner leur

consentement eclaire, en violation de I'ethique medicale,

des Droits de I'Homme et du Droit International.

Les gens s' accordent sur peu de choses dans Ie dornaine

controverse du THADA, mais Ia plupart s'accorderaient

a dire qu'il faut effectuer de p lu s a rnple s recherches.

Actuellement, iI y a beaucoup trop d'inconnues, et

quiconque affirme qu'il existe des "preuves" ne di t pasla verite,

IIne faut pas tenter de traiter quelque chose avant desavoir ce que c' est. Au vu des dangers reconnus des sti-

mulants pour les enfants, les familles et la societe, c'est

une question de simple bon sens que d'arreter d'uuliser

ces medicaments jusqu'a ce que nous ayonsidenrlfie ce

qu'est vraiment Ie THADA, s'il y a lieu. Nous devons:

1) Declarer un moratoire sur l'usage des stimulants

jusqu'a ce que les chercheurs soient capables d'identifier

une etiologie organique specifique pour Ie THADA, de

rnontrer que les stimulants sont efficaces pour rernedier

a Ia pathologie decouverte et de montrer que l'usage

prolonge de stimulants ne presence aucun risque pour

les enfants en pleine croissance.

2) Nous assurer que les parents et les enfants sont par-faitement informes des deux focettes de la controverse

sur le THADA, et exiger que les uns comme les autres

donnent leur consentement eclaire avant d'accepter des

stimulants.

3) Exiger un examen par un specialiste en psychologie

infantile avant de commencer a mente un enfant sous

medicaments et exiger d'autres essais de rrairements

avant de commencer a utiliser des stimulants.

Mettre des batons dans les roues de la charrette folle

du THADA ne sera pas bien accueilli pat les parents

qui sont nombreux a compter sur Ie s stimulants pour

rnaitriser leurs enfants et s'absolvent du rneme coup de

tome culpabilire ou responsabilire, La nouvelle ne sera

pas mieux accueillie par les enseignants qui soutiennent

leur usage-pour apaiser les enfants diffici les en classe, Pas

plus ql'l:e-par les pediarres qui ne connaissent surement

pas d'aurre Moyen que de proposer des stimulants pour

cO'nufF&l~t-lecemportemenr. Sans parler des compagnies

pha'la1'{Qteooques, qui considereronr route discussion

(!)UVeFCe- elf lronnete comme une menace potentielie

pont" cemf poule aux ceufs d' or de plusieurs milliards

de d0'fra1l!$.,

Cerse p;rtllpositibn imploretous les individus concernes

d'exarrrmer de facon approfondie et honnete une ques-

tion concroversee, C'est une exhortation a proteger nos

enfants, qui ne peuvent pas se proreger tout seuls de ces

etiquettes et medicaments nefastes et inutiles. Enfin,

c'est un appel a celebrer la creativite, la sponraneite et

l'energie de l'enfance et a soutenir la beaure unique de

chaque enfant.

A propos de l'auteur:

L e Dr. Bob Jacobs defend l' enfance depuis plus de

30 ans, au titre d' e nseignant, conseiller, psychologue

et avocat. IIpossede un doctorat en psychologie de 1a

United States International University et un doctorat en

Droit de l'Universire de Floride. Parmi ses nornbreuses

autres activites, Ie Dr. Jacobs milire actuellernent pour la

justice egalitaire et siege au cornice directeur national du

reseau des droits de I'enafnts d'Amnesty International,

aux Etats-Unis.

Son article se base sur les vastes recherches qu'il a reali-

sees en 2002 en association avec le You th A f f ai rs N e two rkof Queensland (YANQ), la principale organisation de

la jeunesse du Queensland (Australie), ainsi que sur sa

longue experience. Le Dr. Jacobs pem etre conracte par

e-mail [email protected].

Notes de fin1. La psychologue Rosemary Boon, citee dans "50,000 hy-peractive children on pills", Th e S u n -He ra l d, Sydney, 30 juin

2002, 'p , 10.

2. Mackey, P . and Kopras, A, "Medication for Attention

Deficit/Hyperactivity Disorder (ADHD): An Analysis by

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NEXUS n038

rnal-juln 2005

8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

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GEOPOLITIQUE

x u

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AldenlEs5.html (derniere visite 7 aoftt 2002}

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5

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Hyperactivity Disorder, Hansard, 21 juin 2001, p. 9.

40. Gil Anaf, Temolgnage oral devanc la South Australia

Parliamentary Committee Inquiry into Attention Deficit

Hyperactivity Disorder, Hansard, 24 aottt 2001, p. 61.

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talin Sham", Mothering, juillet 2000, dispenible a http;1Iwww.wildcolts.com fderniere visite 7 mal 2002).

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damned ifIlet a psychiatrist near my son'", The Wall StreetJournal, 21 aofir 2001.

45. Eakrnan, Beverly, cite dans "ADHD" Facts 11http://www.fightforkids.comladhd_facts.htm (derniere visite

07105/02).

46. DeGrand pre, Richard, exrrait de Ritalin Nation

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a http:.!/www.flghtforkids.com/adhd_facts.htm (derniere

visite 07105/02) .

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on Oversight and Investigations, Committee on Education

and the Workforce, Chambre des Representants des Etats-

Unis, 29 septembre 2000.

48. Rodham Clinton, Hillary, dans USA Today Magazine,

mars 2001.

49. Walker III, Stanley, cite dans "Death from Ritalin: The

Truth Behind ADHD", disponible a hrrp:llwww.ritalin-

dearh.com/Page/Conrrol.hunl {dernihe visite 07105!02) .

50. Prosser, Brenton,~Hearing Silenced Voices: using nar-

rative research with marginalised youth", Flinders Institute

for the Study of Teaching, aout 1998, disponible a http://www.users.senet.com.au/-tollslranrcS/hearingsilenced.htm

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1998.

52. John [ureidini, Temolgnage oral devant la South Aus-

tralia Parl iamentary Committee's Inquiry' into Attention

Deficit Hyperacdvity Disorder, Hansard, 21 septembre

2001, p. 119.

53. S=, Thomas, Pharmacracy: Medicine and Politics in

America, Praeger, 2001, p. xxiv,54 ... Baker, J., "Tardive Dyskinesia: Reducing Medical

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55. Queensland Law Reform Commission, Consent to

Health Care of Young People, Volume Three: Summary of

the Commission's Report, Report No. 51, decembre 1996.

56. New South Wales Commission for Children and

Young People, "Inquiry Into The Use of Prescription Drugs

and Over-the-Counter Medications in Children and Young'

People", Issue Paper No.1: Background Issues, 2002, P :

15.

57. Elliot Vanetin citee dans "Death from Ritalin: The

Truth Behind ADHD", dispontble a htrp:/!wWw.ritalin-death. com IPage /Comro6 . html (derniere visite 5 juillet

2002).58. Breggin, supra note 13, r - 176.59. Varadarjin, supra note 44.

60. Jacobs, "Queensland Children At Risk", supra

note27.

NEXUS n"38

rnal-juln 2005

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II

8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

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s

( c c e ~ , § SGijt\~~~qSll~N.. .gl:~LA, .n6RR~; iPar Benjamin L onetree " . ! i f i i ,~ , 0 : ; ' .'$..'\ ";ii",·$'· :';;.'"{

s ite w e b, m a i 2 0 04 : http://siderea17.orgin troduc tion co-s ignee par lona Mi l le r http://www.geocities.com/iona_m

EOPHYSIQUE

,U

spectre des frequences de Schumann

-.

"I , &0 H z

(Pollution)

e. I e 18 29 JI! ~ 50 ~ 78 61 III 1M

Hz

En quelques mots, j'utillse la Terre comme une antenne pour ceo-ter et enregistrer les signaux a ultra basses frequences qui passenta travers la ptenete. On sait que les signaux electromagnetiquesdont la trequence est inft§rieure a environ 3Hz passent a travers laTerre comme 51/ n'y avait aucun obstacle. Autrement dit, la Terre

est un bon conducteur pour ces Irequences. L 'equipement que jeviens de mettre au point me permet nonseutement d'observerces signaux, mais aussi les perturbations du champ magnetiqueterrestre, I'act/vite solaire et ses effets sur la plenete, les signauxennoncleteurs de seismes, les pluies de meteorites, etc.

Benjamin Lonetree.

Installe en .Arixona, Finjfen'oieur-electricienBenjamin Lonetree utillse des instrrunent:ssensibles pour ecouter; enregistrer et ana-lyser les signaux eJectrOluagneuques de laTerre iif observe que nos anc(§tres etaientbien plus a FlU1.issonavec ces vibrationssubtiles que aous.

Etude de la theorie des vortex et dessignaux electromagnetiques

Depuis des annees, j'observe les energies EM (electro-

magnetlques) naturelles de la Terre et de l'ionosphere

dans les gammes de frequences ULF (ultra basses), Elf

(extremement basses) et VLF (tres basses). je mets it jour

un site internet (http://sidereaI7.org) afin de partager

Ie fond de ma recherche sur la resonance de Schumann !

!

!!~!II

IIIj!i

!!

r

(RS).

je me concentre sur les effets naturels. Par exemple :

comprendre I'action du geomagnerisme sur la RS dans

une zone geographique particuliere, En ecoutant Ie radarde Roswell, je me suis apen;:u que je pouvais entendre er

enregistrer le son d'une meteorite tandis qu'elle traversait

l'atmosphere. Mon appareillage enregistra les ultra basses

frequences de sa combustion mais seulement dans la

route derniere partie de SOil parcours.

Mes equipemenrs se sont egalernent moncre efficaces

pour l'observation et l'enregistrement des effets des EMC

(ejections de masse coronale), ou eruptions solaires, sur

la RS. La science a postule l'apparition d'une, coupure

de la partie basse de la premiere RS, it une frequence

approximative de 7,83 Hz, lorsque ces emissions attei-

gnent la magnetosphere terrestre. Cette frequence varie

Ugerement en fonction des differences saisonnieres de la

hauteur de l'ionosphere au-dessus de la surface terrestre,

La foudre et rnoi enrretenons une relation de longue

date. E1lem 'a frappe une fois et me manqua de peu it

d'autres occasions. Lorsque j'etais enfant, la maison de

rnes parents etait flanquee d'un tour voisine d'un puirs.

T avais rernarque que ma rour appreciair les orages aupoint d'artirer souvent la foudre. Pensant qu'observer

I'accumulation de I'electricite statique etait une bonne

idee, je construisis une grille d'un metre carre que je

posai horizontalement et connectee it la paroi du puits.Quelques centimetres au-dessus de la grille, r en rnontaiune deuxieme, parallele it la premiere et conneccee it

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mai-juin 2005

8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

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la tour. Lorsque des orages approchaient, particuliere-

ment la nuit, je sortais pour observer les etincelles qui

dansaient entre les deux grilles. Survint alors, une nuit

fatale, un orage particulierernent violent et la tour prit

un coup au bur, Les grilles furenr pratiquement vapo-

risees, mars la pompe irnmergee au fond du puits fut

carbonisee en merne temps. Bien entendu, mon pete.

rn'interdir dorenavant de faire encore des experiences 1 1 .

la Benjamin Franklin. ]e pense que le vieux Ben eut ere

fier de moi.;

GEOPHYSIQU:E

~~w::a;;~ ,..,=~.,_' ...~ .. u

Chacune des sept RSoccupe une bande de 1Hz ; autre-

rnent dit, chaque resonance a une largeur de 1Hz. rai

observe et enregistre la coupure dont d' autres avaient

subodore l'existence. En utilisant un autre equipernent

sensible aux tres basses frequences, j'ai enregistre les

premiers essais reels de HAARPen 1999. Je ne l'avais

pas cherche, rnais les traces etaient 1 1 1 . parmi rnes autres

rel eves. Sur mon site internet on trouvera les resultats

de cet essai, ainsi que l'experience en VLF de HAARP

de mars 2002.

Outre res donnees sur HAARP, vous y denicherez aussi

mon livre relechargeable S e u en S u b tl e V ib ra ti on s. Je vou-

drais encore ajouter beaucoup de chases a ce livre, parexemple demontrer que, contrairernenr a ce que certainsont affirme sans references facruelles serieuses, la RS n'esr

pa s en train de changer ni de glisser vers Ies frequences

beta des andes cerebrales, Les faits parlent tout seuis. A

I'origine, ce livre s'adressait a . un certain tourisme dans

la region de Sedona et j'y indique comment la premiere

bande de la RS peut etre ampliflee en des licux particu-

liers par l'activire de l'energie geomagnecique locale.

Si vous dernonrez un simple haur-parleur, vous trouvez

un cone en papier, un diaphragme, derriere celui-ci une

bobine de fil et enfin un gros aimant. Le signal audio

passe par Ill. bobineenrre le diaphragrne et l'aimant.

La bobine fait vibrer le diaphragme et cette vibration

est ampliflee par le champ magnetique de l'aimant.

La vibration est a son

tour arnplifiee par Ie co-

ne en papier. Certaines

conditions geophysiques

agissemcomme un sys-

rerne d'amplification er

de haur-parleurs, reridant

plus puissamment audible

La«voix» narurelle electro-

magnetique de la planere,

Je pourrais expliquer cela

avec plus de details, rnais

je dens a rester simple. IIfaut surtout se souvenir

que l'aimant permanentLes eatennes du

progrtuiune HAARP

5

[oue un rate important dans !'amplification du son d'un

haut-parleur.

Recherche surI'enerqle desvortex a Sedona.

Une bonne partie .de rna recherche" a pour onglne

Sedona, en Arizona, repuree pour se s energies dices «de

vortex». J ' a i choisi ce lieu parce qu'il est riehe en oxydede fer, en silice et en magnetite, l'airnant nature! de la

nature. Sedona est aussi un des sites les plus spectacu-

laires d'Amerique, repute pour sa beaute, ses montagnes

rougeset sa terre ocre.

Les Iegendes anciennes et la concentration d'oxyde de

fer alimenrem la renommee de l'energie vorticielle dont

la population locale chame les verrus, ]e crus d' a bord

que ce n'erait qu'UII srraragerne destine 1 1 . attirer le tou-

risme, mais je dus reviser mon jugemenr.

Avant de v is i ter Sedona, je rencentrai UII personnage de

la nation Navajo. n me demaada si j'avais e re la-bas car :«c 'esc 1 1 1 . que Ia Terre pad.,.]e momrai plus tard que son

affirmation craie exacte, mais de la legende a la demons-tration sciendfique, Ie chemin est long.

Peu apres certe renconrre, je decidai de parcourir a piedles kilometres de plsres, les serpentine de ravlns et les

. etroits canyom de Sedona. Comme dans la plupart de

mes avenrures, je m'erais muni de mon recepteur VLF et

d'une bOU5SoLe.]e marchais lard la nuit, car c'est apres Ie

coucher du scleilet avant l'aube que les frequences VLF

de l'armosphere sont les plus audibles ..Les phenomenes

VLF sonr expliques plus en detail sur man site internet.

Ce fut lors de cerre premiere randonnee, tandis que

j'ecoueais les signaux acmospheriques une heure ou deux

apres Ie crepuscule que j'entendis et enregistrai le test de

HAARP que je mentionne plus haul.

Parmi les anomalies que j'observai 1 1 . cette occasion, il y

em Ie fait que les signaux arrnospheriques etaient net-

rement plus puissants en certains points de la piste ; rnais

ce n'erair pas toujours Ie cas. ]e me dernandai si cette

variation de puissance avair un rappore avec la fame use

energie des VOrtex. Mon esprit scientifique me fi t dourer

; rnais au cours de randonnees suivantes, iI arriva que rna

boussole perdit Ie nord. Cependant aux endroits au Ia

puissance d'ernission atmospheriqueavart augmeme, ee

lorsque ensuite elle diminuait, rna boussole fonctionnait

a nouveau normalement.

je pensai d'abord m'etre arrete au-dessus d'un vaste

gisement de magnetite et que je me trouvais dans une

position comparable a celie du bobinage d'un haut-·

NEXUS n038

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http://slidepdf.com/reader/full/nexus-38-mai-juin-2005-haarp-vaccination-ovni-himalaya-complet 22/70

parleur, Le recepteur \1LF interprerait l'augrnentation

de puissance a une amplification des signaux atrnosphe-

riques, Cependant cette theorie ne tenait pas, car si celaavait ete le cas, l'intensite atmospherique a cet endroitparticulier aurait ere amplifiee tout Ie temps ; or tel

n'etait pas le cas.

[e cherchai done d'aucres causes possibles a ce que j'ob-servais. Bien que toujours peu convaincu de la realite de

l'energie de vortex, -[e decidai de pousser l'investigation

[usqu'a prouver que, soit cette energie existait, soir elle

n'existait pas. Une piste possible sembla resider dans une

recherche sur Ie geomagnetisme (le magnerisme engen-

dre par le magma interieur de la Terre).

Des etudes rnenees par IeUSGS [Bureau des RecherchesGeologiques des Etacs Unis] revelent la presence sur Ter-

re de lieux ou existent des flux d'enrree et des flux de-sor-

tie d'energie rnagnetique non polarisee agissant comme

des VOrtex."Non polarisee» signifie que, contrairemenr

a un aimant, ces phenomenes n'ont pas de poles nordet sud. Ce flux entrant ou sonant n'est que de l'energie

magnetique pure en mouv.ement dynamique.

Pour etayer rna theorie ilme fallait un materiel supple-

mentaire appele detecteur de flux magne t ique . Cet ins-

trument est utilise pour observer Ie champ magnerique

terrestre ou route autre source de magnetisrne. Tandis

que j'attendais qu'on m'expedie les cornposants dont

r avais besoin pour assembler cet instrument, je con-sacrai du temps a discuter de l'energie des vortex avecquelques residents de Sidona. 11sdecrivirent comment,

etant en presence d'un vortex, leur mental changeait ;

ils etaient envahis par un sentiment de calme et de paix.

Aujourd'hui, je suis d'accord avec eux, car j'ai eprouve

plus d'une fois exactement les memes sensations. II ne

s'agit pas seulement de man experience personnelle

subjective, rnais c'est aussi ce que mes appareils enregis-

trerent par la suite.

Comme je l'ai indique plus haut, la premiere bande deRS se produit it une frequence de 7,83Hz. II se trouve

que cette valeur se situe dans l'intervalle entre les deux

frequences cerebrales alpha et theta. II en exisre en tout

quarre : alpha, beta, delta et theta. Lorsque notre cerveau

fonctionne calmernent, essentiellernent dans la zone al-

pha-theta, nous sommes derendus et en paix. Le cerveau

humain fonctionne comme un circuit electrique appele

«boucle de verrouillage de phase». Un signal elecrroma-

gnetique externelocal plus puissant que nos ondes cere-

brales induit un effet de resonance par lequelle cerveau

se met en phase et se verrouille sur cette frequence.

Je pensais que si la premiere RS etait en quelque sorte

ampliflee par un puissant flux geornagnetique, cette

RS pourrait .influer sur I'acrivite cerebrale, Le premier

signal se situe done entre alpha et meta. Me placant

dans un vortex de Sedona, muni du detecteur de flux

magnerique, je pus observer et enregistrer sirnulrane-rnent la premiere resonance er Ie champ local d'activite

geomagnetique, er cette double observation confirma

rna theorie. Ce qui ne fur longternps que conjecture

s'avera demontre. Les resultars graphiques peuvent etce

consultes dans mon livre en Iigne.

!

1

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II

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I! .

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Tal aussi enregistre ce qui, je pense, influence I'energie

rnagnetique. Apres avoir observe la concomitance entre

l'inrensite de la premiere RS et l'activite geomagnetique,

u me restait it approfondirl'observation concernant tant

les flux de sortie que les fluxd' entree geornagnetiques,

mais rna recherche fut provi-

soirernent interrompue.

J' ai finalement analyse les

donnees recueillies sur deux

sites, soit deux spectres, l'un

a Kachina Man, l'autre a Ka-china Woman. Je crois que ce

que j'ai capte n'est autre que

l'interaction entre ces deux'

lieux. Cela commence par une serie de petit flux de

sortie et evolue vers un flux puissant. j'ignore encore ce

qui est proprement produit par l'une ou l'autre des deux

formations rocheuses. II me faudra deux detecreurs de

flux magnetiques installes simultanement en ces deux

endroits. ]e subcdore cependant que c'est Kachina Man

qui est a I'origine du flux de sortie et Kachina Womandu flux d'enrree. Lorsque 1'0n s'installe entre les deux,

on eprouve un indescriptible equilibre yangly in , male/fe-

melle, appelez cela cornrne VOllS voudrez, Je suis monte

a environ un tiers de la hauteur de Kachina Man et mesuis couche sur un bane de roche en surplomb. Les pho-

tos de Kachina Man prises au crepusculefont apparaltre

une forme de tete. Je In'etais place juste sous cette tete.Man corps devint tres lourd et ilme fallut faire un effort

pour me relever et m'asseoir, reus momentanement une

extreme sensation de vertige ; c'est un lieu exception-

nellement puissant! On se rend bien compte qu'il y a

interaction entre Kachina Man et Kachina Woman, qui

se siruent sur un axe nord-sud, Kachina Woman etant

au nord.

Sirene-Kachina Woman

On peut se demander comment une onde eleccrornagne-

rique de type Schumann, qui se peopage bien au-dessous

du seuil auditif peut etre percue par Ies humains. Le s

avis divergent sur cette question. On peut trouver debonnes sources d'informations concernant les effets de

l'energie electromagnetique sur Ie cerveau et le corps

sur le site web du Dr. Michael Persinger a la Laurentian

NEXUS n"38

mal-juln 2005

8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

http://slidepdf.com/reader/full/nexus-38-mai-juin-2005-haarp-vaccination-ovni-himalaya-complet 23/70

u

University, au Canada (cf. laurenrian.ca/jpeople/Persin-

ger.hrm), et aussi sur le site de James Beal, un chercheursur la sensibilite humaine aux ondes EM (cf. herp:IJ

www.emfinterface.com).

[eroslav Novak, alias «[arda», un electricien et biothe-

rapeute (cheque, pretend avolr pu observer (decernbre

2004) une relation entre la RS et un cerrain paramerre

biologique . Bien que la recherchesoit encore en cours,

«[arda» est certain que l'influence de la RS et des champs

EM ELF sur les organismes vivants peut etre demon-

tree. La RS varie en fonction des rythmes circadiens et

d'autres cycles temporels. II reste provisoirernent discret

quant au parametre biologique retenu,tandis qu'Il met

au point un dispositif peu couteux d'observation a .

domicile. Novak affirme que le parametre biologique

constitue un £aible signal qui necessite d'erre arnpltfie

100.000 fols, mais temoigne avoir verifie que les chan-

gements biologiques sont en relation avec les variations

de la RS.

Des recherches menee par une de rnes relations, doc-

teur en medecine, Indiquent que les sujets souEfrant

de troubles du sommeilet de fibromyalgie om un

raux superieurala normale de magnetite dans le fluide

de l'oreille interne. Chez 80% des sujets observes, ce

sont les femmes qui ont [es raux les pluseleves, Ayez.

du respect, Messieurs, pour la gent feminine, car u estplus probable que ses membres scient sensrbles aux

influences d'energies aussi reelles que subtiles et que les

hornmes ne peuvent percevoir ..

Erant donne que I'audition humaine norma!e se situe

entre les frequences de 60 a 20.000 Hz, iI est clairque des signaux inferieurs a 60Hz De sont per<;:usquepar d'autres rnoyens, ou pas du toUt. Cette perception

pourrait se faire.via la magnetite contenue dans l'oreilleinterne au, comme l' indique d'autres recherches telles

que celles du Dr. Persinger, le signal serait recu directe-

ment par Ie cerveau,

Vous disposez maintenant d'une comprehension basi-

que de rna rechercheer de I'extrerne sensibilite de l'ap-

pareillage qu'elle necessite.

Effets des champs EM sur

les humains.

Des donnees sur la vraissemblance de I'effe; de cer-rains champs elecrromagnerlques sur I'humain sont

accessibles sur http://www.thebackpacker.com!trailtalkJ

threadl24225.php. Ce site web oEfrel'extraie du brevet

US n"6.506.148 suivant, qui constlrue une reference.

en la matiere. II est intitule «Manipulation du systeme

nerveux par des champs electromagnedques diriges» et a

5

Rocher de Sedona

e te attribue le 14 janvier 2003 a Hendricus G. 100s, deLaguna Beach, Californie.

Extrait: "Des elfers physiologiques om ete observes SUI

un sujer humain sournis a des stimulations de la peaupar de faibles champselecrromagnetiques pulses it cer-

taines frequences voisines de 0,5 a 2,4Hz., au point deprovoquer une resonance se nso rie lle , U n grand nombre

de moniteurs d'ordinareurs et d'ecrans de television

ernettent, lorsqu'ils affichem des images pulsees, des

champs eleccromagnedques pulses d'amplitude suffi-

sante pour provoquer ces sensations. n est done possiblede rnanipuler Ie sysrerne nerveux d'un sujet en pulsant

des images sur un ordinateur au une television proche.

Concernant cette derniere, I'unage pulsee peut ecre in-

cluse dans le programme au superposes par modulation

d'un champ video, soir en rant que signal RF (radio

frequence), soir signal video. Limage affichee sur un

moniteur d'ordinateur pent facilement ~tre pulsee par

un programme informatique simple. Sur certains mo-

niteurs, les champs elecrromagnedques pulses capables

de provoquer des resonances sensorielles sur des sujets

proches peuvent etre generes meme lorsque les images

s on t p uls ee s a des intensites sublirnlnales."

La voix dela Terre.

Exemple de subtilite, la RS est 20.000 fois moins puis-

sante que [e champ magnetique terresrre. La «voix» de

la planece est bien discrete aujourd'hui, Nous savons

que, u y a des milliers d'annees, le champ magnetlqueterrestre etait beaucoup plus intense, er je pense que la

voix de la planete devait etre egalemem plus forte, plus

incisive, moins diluee par la pollution EM.

Je crois que nos ancetres pouvalent i'entendre. Un etu-

diant du Dr. Schumann, (inventeur de la resonance quiporte son nom}, croyait que Ie systerne nerveux hurnain

s'etait developpe au fil de l'evolution par l'action de la

RS. C'esr ce que semblent indiquer nos quatre ondes

cerebrales car, sauf I'onde delta (sommerl profond), elles

tombent dans les memes bandes de frequences. Londe

delta occupe la bande de 1 It 3Hz.

N.EXUS n<>38

rnal-juln 2005

8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

http://slidepdf.com/reader/full/nexus-38-mai-juin-2005-haarp-vaccination-ovni-himalaya-complet 24/70

N ote : les signaux de frequences inferieure a 3Hz passent

a travers Ia Terre, plus fadlement qu'a travers l'atmos-phere,

Dans "Resonance de Schumann: un mecanisme biophy-

sique plausible des effers sur la sante humaine de I' acti-

v i te so la ire /geomagnerique» on signale que Konig, un

eleve du Dr. Schumann, avait pris des releves des signaux

RS. II observa I' etroite ressemblance du signal diurne de

la RS avec le rythme alpha et de l'onde RS ultra longue

de 3Hz nocturne avec Ie rythrne delta, celui du sornmeil,

tous enregisrres a I'EEG [elecrroencephalogramme],

Cette sirnilarite et de nombreuses experiences de la-

boratoire conduisirent Konig a postuler que les ondescerebrales ELF avaient evolue de maniere a uriliser lessignaux naturels (Konig, 1974a, p 5). Konig rnontra

aussi que les signaux de 3Hz provenant d'orages locaux

enregisrres au merne moment que ceux de I'EEG avaient

sur ces derniers un effet marque de ralentissement. Cela

fut confirme par des. essais, en laboratoire avec des vo -

lontaires hurnaias. Konig decouvrit que, dans une four-

chette de puissances de champs de IIt 5 vIm, Ie signalde 3Hz ralentissait regulierement les reactions des sujets,

tandis qu'un signal de 10Hz les a cc el er ai t, L e s reactions

furent aussi verifiees par un test plus fiable de reponse

galvanique de l'epiderme (GSR), utilisant un signal de 5

vim et 3Hz (Konig, 1974b, p 17).

Je pus, avec man appareillage, enregistrer deux autres

signaux anormaux qui se situent dans Ia gamme delta.

LUll se produit a 0,9Hz (9/10 de Hertz), I'aurre it

1,82Hz. Ces signaux, ou ondes d'energie, sont peur-erre

ce qu' on appelle les ondes A L f o e n , des micro pulsations

dans Ie plasma magnetospherique. Ceiui de 0,9Hz ap-

'parait assez souvent, Lautre, de 1,82Hz, se manifeste

un bref moment imrnediatement apres au vers la fin

d'un orage magnetique. II y a tant It apprendre de cette

merveilleuse planete !

J'ai aussi Ia conviction que I'armosphere est un milieu

favorable au melange des signaux. Quand deux se me-

langem, on obtient la somme, Ie difference et la fonda-

memale.]'ai deja demontre que des signaux, narurels ou

artificiels, se produisant a des frequences ultra basses,

repondenr a certaines lois acoustiques.

J' ai enregiscre la RS dans des canyons mats J ai aussi

detecte des echos de la RS fondamentale qui, je pense,

sont des reverberations sur les parois des canyons, etc.

Tel est peut-erre le cas du «Taos Hum» [bourdonnement

de Taos]. Le melange et un puissant signal fant6me sontles produits du puissant reseau electrique operant sur

la frequence de 60Hz (aux USA). Sur le site internet

«Eskimo» du Taos Hum (http://www.eskimo.com) iI y

a quelques dossiers sur I' onde du bourdonnement, J' a i

analyse ces ondes avec mon logiciel et je constate qu'il

s'agit d'une derivee de 60Hz.

J'ai instinctivement le sentiment que ce s deux signaux

ne sam pas de I'energie rnagnetique, mais une legere

oscillation de la magnetosphere terrestre. Supposes que

la magnetosphere r ecei ve l 'impact d 'une eruption solaire; de

rnerne que la pierre jetee dans I'eau provoque des vague-

lettes, ainsi notre magnetosphere se mer-elle peut-etre a .

osciller SOllS l'action du soleil.

II est aussi possible que, au lieu de la magnetosphere,

ce soit une au toutes Ies couches de l'armosphere qui

oscillent. Aussi etonnant que cela paraisse, la RS exerceune legere pression sur la surface de la planete, U. aussi,

je pense que nos ancetres devaient etre sensibles a ces

vibrations sub tiles. Depuis l'avenement de I'electricite

au service de l'humanite, la pollution elecrrornagnetique

d' origine humaine a augmente des centaines de milliers

de fois, aneantissant notre perception ou notre aptitude

a nous relier Iitoutes ces energies subtiles que jadis nousrecevions naturellement.

On I'a souvent dit : « nous sommes veritablement con-

necres » a notre planete, mais pas seulement a son corpsphysique. Dans sa respiration, qui est I'atmosphere,

nous pouvons entendre sa voix, si seulement nous sa-

vions nous rememorer comment ecouter,

A propos de l'auteur.Benjamin Lonetree est titulaire de plusieurs dipl6mes dans Ie sdomaines de l'ingenierie electrique, des telecommunications etde l'acquisition de donnees. Accredire par I a Federal Commu-nications Commision en 1978, il a travaille dans lindustrie dela communication pendant plus de vingt ans. S'etant deplacevers Ie sud-ouest des EU, iI s'est consacre it l 'etude des ener-gies electromagnetiques naturelles et leur interaction avec lemecanisme biophysique hurnain, II est membre du ELFRAD(Extremely Low Frequency Research And Development) ,destine it la recherche sur les signaux EL F qui se pwpagentit l'interieur de !a Terre (cf http://www.dfrad.com). II est

I'auteur de S e ve n S u btl e V ib ra ti on s : une etude scienriflque de laresonance de Schumann, et de Geomagne ti c s a nd VOr te xEn e rg yi n S e do na , que I'on pem consulter sur hrrp:flwww.sidereaI7.org/E« Book%20Web/this_book.hrm.

A propos de la collaboratrice,De formation transdlsciplinalre, lana Miller est ecrivain, hypnorhe-

rapeute et artiste multimedia. Elle &it un travail de pionnier dans Iesrelat ions entre la theorie du chaos et le nouveau paradigme philoso-

phique, la cosmologie, la biophysique, la medecine, la psychotherapie

experimentale, la creanviee, l 'art ee la societe. Eire est coaureur (avec

Richard A. Miller) de plusieurs articles dans Nexus, y compri s «La Re -

sonance de Schumann et la Psychologie Hurnaines (Nexus France n"

27) et .HAARP menace la Voix de la Plan'he.(Nexus France n·28).

Visitez ses sites web ihnp:f!www.gepcities.comfiona_m et http://

www.subcuranecus.crg/lona.hnnl.

NEXUS nQ38

mal-juln 200S

8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

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TELEPHQNIE_ M O BILE _:AA~UMENJS1~

~1.ENnF-JQUES "lUSTlFIANT L'APPLJ~Tl~~

I~M~DIATEDUPRINCIPE DE P_RECAVJ lO t j ". . ~ ..-":~\. ':j ..~:<~~.

t J

• Differeut5 facteurs sont susceptibles de modifier Ie niveau

,d' exposition aux micro-andes pulsees, des populations

riveraines de-stations relais et en partlculier : -Ia distance

de la source ernettrice, - Ie fait d'etre au non place dans

Ie lobe principal d'hyperfrequences situe en avant des

, antennes emettrices, -Ia presence de " reemetteurs passifs »

_consdtues de structures metalliques (volets de feneqes,

,portes de garages, rampes d'escaliers), qui «peuvent

renforcer» l'inrensite du champ electrique micro-andes

au point de rnesure (Rapport INERIS de decembre 2003,

p;tge 22) -le5 fluctuations dans les puissances ernises parIes

stations relais en fonction du nombze de communications

telephoniques rrairees par celles-ci, - la presence d'autres

sources elecrromagneriques dans j'environnement, - les

modifications par Ies operateurs du nornbre et (ou) des

caracteristiques des antennes presences sur un.site,

• De -meme le niveau d'exposinon des utilisareurs de

t,.Hephones portables es t susceptible de varier, avec:'

- l'urihsation du portable en mauvaises conditions de

transmission (SOllS-SOI, temps de pluie,brouillard, .,,)

-1a duree de s communications - I'emploi ou non d'un

ki t «mains fibres" qui elolgne le telephone, de (a tete

- 'I'ig e de l'usager (plus grande sensibllite des enfants

chez. lesquels la penetration des micro-endes pulsees est

plus imporeante que chez l'adulte) - les caracterlstiques

techniques de I'appareil utilise, .".

• Plusieurs arguments sdentifiquespeuvent e t r eavances pour justifier une application immediate du

princfpe de precaution ~ l'encontee des stationS-'relais

de telephonie mobile et du telephone cellulaire :

1. Vexposition ehronique aux: miero-ondes est res-

ponsable d 'effets biologiques, comrne Ie "~drome

des micro-ondes » ou rnaladie des' r ad io f requence s,

decrit des les annees 1960. Vne publication recente (!)

p re cise q ue c erte parhologie est [jee it l'exposition chro-

5

ParRoger SANTINI - Docreur

d'Etat es-sciences[ Membcede la

Bicelectromagnetlcs Society

americaine ("HEMS) et

de I'Union Radio-ScientifiqueInrernationale (URSI) 1

nique it des hyperfreqnences pulsees, semblables) celles

generees par la reChnologie de la telephone~i:il :!iJe cellu~_'

laire. Cerre pathologie se caracterise par : - u n s y n d ' t o f r ; e _ :

asthenique (fatigabilite, irrirabilire, nausees; cepQ.alees,;, ,

anorexic, depression), u n . s yn dr om e d ys to ni qu e cardiouas-

culaire (bradycardie, rachycardie, hyper ou hypotensioil)

et u n sy nd ro me d ie nd ph al lq ue (somnolence, insomnre,

difficultes de concenrrarion). On lui associe eg.uement-,

du dermographisme (allergies cutanees, eczema, pso-

riasis), des modifications de la formule sanguine,d:es

- perturbations de l'elecrroencephalogramrne et de Ia

reproduction, une arreinre d'organes de~ sens. et,..des

tumeurs. Ces sympt6mes sont mis e n evidence (voir ci-pres) chez des riverains d'antennes et (ou) des u u li s a t : e u t s -

de telephones cellulaires.

2. Vexposition it un telephone mobile ~U~~'g;;'

nere des effets biologiques. One enquete epidemiolof

gique suedc-norvegienne m e t -en evidence une relation

_entre le nombre et la duree des appels teJephonique§~t~

l'augrnentarion de plaintes tel les que cephalees, fatigue,

sensation de chaleur sur l 'oreille v '. Une enquere fraii-'-

caise rappOHe egalemem nne augmentation signl.fica~ye"

de la frequence des plalnres exprim€es lors de l a o comrnu- ,.

nication (picotements it l'oreille, sentiment d'inconfort, _

chaleur sur I'oreille), en relation avec la duree (> 2 min) ~'

et Ie nornbre d'appcls par jour (> 2). Cette etude sou-

ligne en outre, une p l l f S grande sensibilite des femmes-

pour les perrurbationsdu sommeil (3). D'autres effet!s~

'des telephones cellulaires ont e t l : observes chez l'ho-m~'

me: - perturbations de l'acrivire electrique mehrale",

~ modifications du sommeil et de la pression arterjdJd,-

- augmentation des cephalees, - arteintes de !~bru:tiere <

hemaro encephalique, ... ,~

_ 3. D es e£fets biologiques sont rapport6s 'p a r d e sriveralns de stations relais et d'emetteurs de'-~diote:

tevision.

NEXUS n038

rnal-juin 2005

8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

http://slidepdf.com/reader/full/nexus-38-mai-juin-2005-haarp-vaccination-ovni-himalaya-complet 26/70

a/ Pour'lei_sta#onS relais, Laprt:mieret~u~,e_pa'rue:"_ ( ~ ~ q u e ' p . c e l ' : d e9'00 et 1800MH:t feSpecdvement:.' Le

est &anytis('Publieeen 2001 elle p o r t e sUL530 .rive-,' _ , G r a n d - a ~ c h e d e l u X : e : .. n h o - u r g aadopte en decembre

rains d'antennes' ( 4 1 . Eile met en eviden~epaI f ap i)Q rt', 'h bOO 'u :n :~ e: ui Id~exposi dO l~de3 :V /m .En - Auui che, ia

au groupe' i€ f~{ehr (per~onnes s iruees it >0300 1 _ ~ 0u, :,_ ':, ~:R e; olp tio ,n d e S alz bo ui:g re co rrtma nd e O ,6V lm . .non e x J : l O s e e s ) ; u D e augmerltation significativeAe la .-,,'

frequencedenirtairies pJaintes,jusqii'-aune ,:o;ilstiilce,' .. '.... .'., .

pouvan!',att,eindre: l_OOmpoutrirdtabilintla ten- .. :,:S;;Usensibilite il.1ix hypetfreque,ilces n'estpas Ia

dance d e p r e s s i v e ,Ia p erre de memoite, le sd iffi~ ulte~ " . .nt~e-pollr t9 us.Ep:01 995 1' l'Insritut N ario n al de .

de c o n 1 ; d l t f a t i o n , i e sv e,r tig es ,2 0 0n ip olli< )e sma ll_ lf : ...." R ec he rc he etd e S ec ur lre ( INRS ) c on elu t su ite it une .'

d e t ei :e ,', iy ,s pe rtWba ,ti on s du s omme il , l e, s e it cimen t. . . e -t ~de~ep id l, hn i~ log iq~e; a u '.s einde I'arrnee de Y air

d'inc6D£Qh, lespr(}blelUes eutan~;:JOO';m:pouc la ' ·~··Jtati~al:se,:<~n~te indiscutabfern enrun e sensib Ulte .

fatigt}e.<'~tt'eetudembiitre eghlemoent u n e p h i s ····JnQlvidueHe a : l'acd .ondes ; :adiof t~quences . Sournises

grande '~,ei1sibilite des. temmesetd es.su jet~ ,,§ ._ geJd e a .tin i-m ~m -e ex po sitio n c erta in es personnes peuvent

plus de':~9'anset . so tl li gneQne .p l u s ' gb~de'n\) ti vi t~ . pr~;n~etdes . tfo.~bles'c[jnj~'ues:·. d;a ur re s n on» ( n}..·

de fa.po~~~jOiJ_face auximtenries(5)_ Deuxautres ~tu-" :Se1diJ.Tlnt,ernitioiiaJ Radiation Protection Association

des , l ll i-eespagr101e(6Jet Lineautrichienne, (?lvrennettr' o < I R P A ) , eetie s'ei1#bi!iteJndividuelleaux-radrofrequen-d'ettepU.bliees. Elles alerrent aussi s u r iesproblemes " - , ~ e s ( electrosepsibilite) .serair.d' o f c l n , gelledque (l

41et

de s a . h ' t ~ deriverains de stations r e i a iL " . . egaierilerit d e p e h d i t n . t e de {agee t dtisexe des-person-" , . ' '~ e s . e : . o : ; p 6 s & s (5); ,

U~~· ~.~iud~··o'mcitdlc du,· G:6uv.~r:n.e~·eQ~·~,h ,~ l l a ~ d a t s . , , . :pa~~I*en:,se,pternbre7Q03 ( R a ; p p q r t ~_ -TNO-FEL- RC~p6H~,p31'48) a e te re~ is eee~ labor~ to ire; s~ [ ,: desvo-

lon&.lfres,·.~n·«doubleaveugle». ·Ellemet I tn~v: idence . '

f q ~ I ~ ~ ~ 1 4 ~ s e ! ~ ; : ~ e : U : : : S d e d : ~ ~ ~ : I e ~ : , .(G$M,900 ;[vIHi-~UMTS nop MHz), des'e - f f e t S . S I H.p. a~~ . . ~. > ,. ~ - ~ . - • • _ . '. .. . ., - :" " - . - .

b,}rh~modsad6n,,-I 'aftentionvisuelie;', leseii.tiinen~ de

b l . 5 h ' , ; : ~ t ' ~ e ; ' ; ' .f ' C e t ; e , ~ t ' u , d e l a i t ~ f i ~ r e n : t e 9 ( a ~ i ? p ~ [ ~ i t r ~ ' ,.\J~,tUfF~e.p.~e'ssigrii£i~itiyese , Q , 1 ; r ( d M . s u j e ( s ;(eiecri:p-"

: j ~ ~ g ; ~ ' ~ : 4 : i ; ~ : ! i ~ ~ ! ~ 2 \ ~ j p "., 'i4$tt~s:;eXf.?'o,se::;,(ra.y;Qn',de1: k i i l y a ' - u . n ,~iOeHe\it,de'

J I ~ r r ~ ~ 8 i I ; ; f t ~ 1 { t f ~ ~ : ~ ~ : : 'caunon.: • .

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••~~~:::~~~:~~~;'~$tl~1~1:~~~~· ;~ :~ I i i~ ~ Q ~ ! !~ '~ ) ~ r u ?Y~I:'.i:.,Desfef lUties(!XPQ$ees"J :tpC ontj .es d.'(tn em~ t t ~ l l i ; - , > <; iss~ de I'anrenne O n e seraoriente versdes habitations. "

. -at)t'adi(i~e1evis_ionpr~seni:en.~~i.l.riebaisse : sjgruf1c~tiye·. , '· . .'::;DaJ1~J 'environnernent des : in ttnnes; t es fiv~ rajns ne

:g~~~defirisesimmunitaires Oil>"", I1estopserve dlq.... d'~rorit p as e cre exposes a une den*e de puis sance _

~~s;:rfv~rainSd'un erneneurde r;J,dio~R6'nte,ime;- ritkro~ond~ superieure it 0,1 pW/cm z (O ,61 V I m ) (17.

~Ugfuentition significative d e la mOl" talite>p\if'leuce!J8),;.. - . .. , .

'ni}e::aansun rayon de 6 hh (J~)., ' ",~ <:': '

b/P(ju~'ksutilisa.t~rsde telephol1esceUtilaires : ~

...••'~La cOn;1rrtU4_iOltioh telephonique ne devra pas depasser

4':Ce~ pays ont de ja adopte 'po ti r leur populi!.' . ".u 'n<ld ll reeae 21J .3 .rninutes. =.Les jeunesde.moinsde

~ t . · · . ~ . ~ : , , : r ; ~ . ! : ~ g I p . ~ . · - . :. .~ .~ : L . ' ~ . n . : i . : i , ; : i t J . ~ . ~ i t , . " ' , · . . .= : : : ; " 1 . , , , o n ' Q " " " c ad'utgen" {"'"l, .....

, Ji .1.}PllN.SONl.LU(0t1BlS G. Radlof requeney (RF)sickness i n thev;lm}::aulieu de450 et 900 ~iWIem - H i edSY/in) ..'·Ulljehfeldstiidy. Ah¢ffeoofmodi dated microwaves rArch.Envhonm.

, , " . ' " i t 1 desoarI "', '. '.'-.;: . -. I ." '. j ;{ealth.1998.5:3, 236"238: ,. .·2.SANbS1ROM M. et coIl. Mobiler~~?~V )l,eSpar es Illst.ancqeurQpeennes,poUf- es,> , - . . ..', " , . . .' . . '.

NEXUS n038

mai-juln 2005

8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

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u

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phones: A study of a French,,engin,eering school. ElecrromagnericBiology and Medicine. 2002, 21 : 8 1·8 8, - 4. SANT IN I R. et coli.Symftomes exprimes l.~r des riverain. de stations relais de ttUphonicmobile, La Presse Medicale , 2001: 30: 1594. - 5 . SAN I lN I R. etcoIl. Survey study",of people,lIvi,ng j,n thevicinity of cellular phonebase Stations. Electromagnetic Biology and Medicine. 2003. 22:41·49. - 6. NAVARRO E.A. et coli. The microwave .syndrome: Apreliminary study in Spain. Elecrrcmagnerlc Biology and Medicine,2003.22: 161-169> 7. HU1TER, .H.P.et coli. Mobile telephonebare-stations: Effects OJ) health and wellbeing. 2,d Int. Workshop.2002. VoL i:344-352. - 8. DOLK H. et coli. Cancer incidence nearradio andtelevision transmitters in Great Brirain. 1- Sutton Goldfieldtransmitter. Am. J. Epldemiol. 1997. 145: 1-9. - 9. HOCKING

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5

the Total Environment. 2001. 273 : I-Hi. -12. MICHELOZZI·P. 'Or

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123. - 15. SANTINI R. Notre sante face aux champ. 6lecu;iql,les ermagnetiques, Des fairs sclentifiques aux ccnseils f ' rariques, EditionsSully. 1995. 156 pages. - 16. L iNDE T. et col. Measurement oflow frequency magnetic fields from digital cellular telephones.'

Bioelectrcmagnedcs. 1997. 18: 184-186. - 17. GAUIlER R. , LERUZ P. , OBERHAUSEN D., SANTINI R. Votre,GSM votre santeon vow rnent !Livre Blanc des incidences.du telephone mobile et desantennes relais SUI Ia sante, Editions Marco Pietteur.l003. 141 pages.

- 18. SANTINI R. Telephones cellulaires Danger 1Edir,iol1SMarcoPietreur, 1998. 208 pages. (?uvr,as;e reference au P~je;r;en r- eurof~nde Bruxelles : Rapport du Depute TAMINO G. - Mis a JOur et r tMm'en 2001).HB. Teste accept .. en communication a u 26" " · Meeting Interna-t iOQal

de la Bioelectromagnetic:s Society. Juin 2004. Washington, USA.

PROCESSUS GLOBAL D'EXTINSTION

L~tat actuel de Is bio-diversite et de la biocynese plane-

raire semble devenir pour certains d'entre vous un sujer

de discussion et de recherche, il est done lmporrant, de

faire I'etat des Iieux sans complaisance. Lensernble des

especes presenres sur terre semble subir des agressions

centre lesquelles leur patrimoine genetique, fruit d'une

longue evolution, ne parvient pas a lutter, L'incapa.citede muter, de s' adapter a certaines modifications du mi-lieu menea l'extinction pl+re et simple. Se10n Michel

Tranier, professeur au Museum d'Histoire Narurelle

(Sciences er Vie N°198 de roars 1997), nous somrnes

confronres a uneextinction massive des especes, Pen-

dant ce siecle, cela va s e traduire par Jadisparition quasi

torale de to ute sle s e sp ec es de moyenne ta ille :.mammi-

feres, oiseaux, et reptiles... Lhomme ne peut, iterme,

etre exclu dans ce processus d'extinction globale.

La pollution des eaux et de I'atmosphere ne peut, a elle

seule, expliquer certe hecatombe,

L'eau support universel de la Vie

Tout ce qui vir sur terre est constirue d'eau et possede

laipossibilite d'adaptation, d'apprenrissage, moins de

16% d'eau er c'esr la mort biologique, jusqu'a 99,5%

c'est toujours la vie. Chez l'hornme, I'eau represente en

moyenne 63% du poids du corps. On admet qu'a 100

molecujes proteiques d'un poids moleculaire moyen

sont associees quatre millions er demi de molecules

d'eau, L'eau consume leveritable SUppOHuniverse! de la

vie, die en est son expression et sa substance.

Une techaologie anti-Vie

Nos technologies, en ce moment clef de notre evolu-

tion, utilisent des ondeselectromagneelques ayant une

action sur les molecules d'eau. Or, si nous o'y prenons

garde, la generation - d e . mlcro-ondes pout diffhents

usages sonriera le glas de routes formes de vie basee sur

la molecule d' eau, Lurilisation

de la gamme de &equences de

resonance de la molecule d'eau

enrraine dans tous les systemes

vivants lars de la rnelose ou de

la rnitose, des difficulres ou des

erreurs de replications des struc-

tures d'ADN, d'ARN qui sont les

bases de notre alphabet blologiq ue

et merabollque ..Toute proteine a

obligatoiremem comme support

de construction et de transpon,

des molecules d'eau, Or, la mo-

lecule d'eau, sournise a un rayon-

nement, absorbs I'energie des ondes electromagneriques

si ces dernieres ont une frequence avoisinant celle des

micro-andes, a savoir 2,450 Giga hertz, cette absorptionse traduit par une vibration de la molecule d'eau, Une

onde est associee a un champ magnetique changeant de

sens periodiquement. Une frequence de Ihertz signifr.e,

que Ie champ s'inverse une fois par seconde. Des micro-

andes a 2,450 Giga Hertz conduisent par polarisationde la molecule d'eau 'a une inversion du champ 2,45

milliards de foispar seconde. En clair, la molecule d'eau

vibre 2,45 milliards de fois par seconde, c'est ce qui

d 'ordinaire permet la cuisson des aliments ...

Or, 5i nous utilisons ces types de frequence pour com- ,

muniquer a distance comme,cJest Ie cas depuis janvier '2005, nous perrurbons tous les mecanismes meraboli-

ques du vivant, Une eau vibrant a une telle frequenc~ ou .meme a des frequences.Inferieures ne peur plus assembler

harmonieusemenr le programme des differentes bases

au proreines, It s'ensuit de graves erreurs de replications

des structures d'ADN et d'ARN soumetcantl'ensemble

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..:£.sres_ Combien de chas

nique sur .des rats.

N£:XUS n"38

mal-juln 2005

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DE LA

U

SCIENCE

5

FIRESTDR~

UNE BOUGIE.. REVOLUTI'ONNAIRE

Aussi simple que cela puisse paraitte, une simple modi-

fication du dessin des electrodes des bougies d'alluma-

ge permet des gains impressionnants de consommation

e r de pollution. Le s inrerets en jeu freinent malheureu-

sement l'arrivee de ce progres dans nos moteurs

Au ccurs des neuf dernieres annees, tandis que je faisais

de la prospection commerciale_ pour une grande marque

[aponalse de voirure, je pris conscience que le prix dupetrole allair continuer a grimper partour dans le monde,l'offre ne pouvant suivre la demande. Les rappOrts que je

consultai laissaient presager d'un serieux probleme pour

tous les fabriquants de voiture du rnonde. Tout le monde

au sein de cette industrie etait d'accord pour estirner que

la solution ne pouvait venir que d 'une avancee rechnologique,

Pendant des annees je me suis demande quand, et d' au ,viendrait le nouvel Edison inspire qui inventerait une

«machine a rouler sobre er propre». [e l'ai finalementtrouve, IIhabite a Farmington Hills, dans [e Michigan, et

ils'appelle Robert Krupa.

Nons avons tous entendus le dicton : « nop beau pour

G r os p l an d e f a b ou gi e F ire sto rm

erre vrai». Lincroyable nouvelle bougie contrue par M.

Krupa et qu'i1 a appele «Firesrorrn» est une exception II

certe regie.

[e sais que toures les bougies qu'on trouve sur le marche

se ressemblenr, sauf par leurs prix. Alors pourquoi faire un

fromage a propos d'une nouvelle bougie?

Caracteristiques et performances de la bougieFlrestorm

Voyons d'abord ce que les bougies Firestorm de Krupa

apportem a un moteur IIcombustion interne:

* Plus de puissance;

* 44 a 50 % d'autonomie supplernentaire ;

* Diminution spectaculaire des rejets.

Voyons ensuite ce que les bougies Firestorm e1iminent :

* La pompe a fumee ;* Le pot catalytique ;

" Les interferences de radiofrequences CRF!) et l'utilisa-

Par Robert Stanley© octobre 2004

tion de resistances dans l'e1ectrode centrale ;

"Le deregiement de l'ecarrement (des pointes) ;

" L e s systemes de recyclage des gaz d'echappem ent (E GR ) ;

" Le5 rates d' allurnage, [es irregularites, les rerours de

flarnme, les cognemenrs, les calages.

Origine de I'idee

En un mot, plasma. Par sa conception revolutionnaire,

cette bougie cree ~ plasma electrique qui rernplit to utefa charnbre de combustion, comme une ternpete de feu

[NDT '"f ir e s to rm ]. Cela rarnene la consornmation d'un

rnoreur du taux air!carburant de 14,7/1 : ' i _ un raux incroya-

blernent sobre de 24/1. Avec un tel rappon, l'entierere

du melange aiFI carburant est brllle avec -beaucoup plus

d' efficacite sans augmentation de temperature, ce qui est

econornique, produit pins de puissance et moins de pol-

lution. Cela, c'esr la bonne nouvelle.

La rnauvaise nouvelle, c'est que dans I'imrnediat il est

impossible de se procurer des bougies Firestorm, aucun fa-

briquant de bougies ne veut enueprendre la production.

Robert Krupa connalt parfairemenr les rouages de l'indus-

trie automobile et de celle des bougies ; iI a travaille com-

me rechnicien, puis comme ing6nieur, chez GM et Ford.

IIexplique : «Avant d'emrer au college er d'obtenir rna BS

[licence es sciences] en ingenierie, je rnontais des conden-

sateurs elecrrolytiques sur la borne positive d'un disrribu-

teur d'allumage ;. cela egalisait leg impulsions elecrriques

vers le distribureur er les bougies, Rien qu'avec ce petit

perfecrionnemenr, les moteurs tournaient de facon plus

regu!iere. C'e fut le debut du parcours d'ingenierie dans

lequel je suis encore engage aujourd'hui,

«['ai une pratique en electricite qui est surtout orienree

vers la motorisation, J ' a i une oreille particulieremenr

sensible aux bruits mecaniques. Je puis -ecoutet tournerun moreur et en deceler exactemenr res defauts. Mo~ ollie

est a ce point enrratnee que,. lorsque je travaillais pour

General Motors (GM), on m'envoyair au Mexique, en

Allemagne ou a New York pour optimiser des chaines demontage de rnoteurs. A New York, ils avaiem des preble-

mes avec des moteurs dans un circuit de reparation. Apres

a:voir observe ce qu'i!s faisaienr, avoir un peu re£lechi,

puis effectue des modifications a 22 machines, 'Ie chainede fabrication foncrionna plus vice que ce qui avait ere

prevu IIsa conception. Le chef de production m'offrit sur

le champ un ernploi.»

Krupa connait les bougies, il a enormernenr travaille pour

ameliorer les designs dans le marche automobile. Bienque Ie concept ne fur pas de lui, c'est It lui que l'on doh

l'apparition sur Ie marche de la bougie "Spitfire» ily a

une dizaine d'annees. Ce n'ecait qu'une variante de bougie

ordinaire dont une des electrodes etait fendue, comme

la langue d'un serpent, ce qui en augmentait la surface

d'euncelle. Cela cofttait plus cher qu'une autre bougie et

genera 60 millions de US$ de vente en 1993.

Le destin voulur que Robert Krupa se lia d'amitie avec Ie

NEXUS n038

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~lldaire Henry «Smokey» Yunick, de D a yto na B e ac h,

~ Floride. Smokey etait I'extraordinaire inventeur et

constructeur des stock-cars Nasca! de H alt o f Fa me. Ils

: i renE connaissance it l'occasion d'un projet pour GM.

_-\. l'epoque, Smokey souffrait de problemes d'audition.Krupa rnonta, a I'intention de Smokey, un detecteur de

.;::ognements accouple it un oscilloscope. Le len demain,

Smokey invita Krupa a . venir rravailler avec lui. Celui-ci:clUsa courtoisernent, rnais lls devinrent bans amis.

Suire a cela, Krupa declda de montrer a Smokey son

promtype de bougie Firestorm. Tandis qu'i1 observait le

:onctionnement de la bougie sur un banc d'essai, Smokey

diclara : «Apres avoir ete conseille pendant 30 ans pOUl'

Champion [NDT: une marque de bougles], je n'ai jamais

vu une bougie fonctionner comme la rienne. Tu vas exas-

perer I'industrie automobile b)

Avec pared encouragement, Krupa comprit qu'il tenait

un tresor, La merne apres-rnidi, Krupa engageait Smokeycomme expert dans sa route nouvelle firme : Century De-

velopment International Limited.

Genese dela Firestor.m

Ce fut l'lndefecrible determination de Krupa a rnettreau point une rneilleure bougie qui mena it I'innovation

technique que fut le prototype de la Firestorm, en 1996.

Questionne sur cet evenernent qui bouleversa sa vie,

Krupa repond :

6J'ai grandi parmi les participants de la «course» au NOS

(systeme nitro-oxide) en Californie. Leur theorie enoncalt

qu'une bougie marchait ou ne marchait pas, sans nuances.

Apres une longue recherche, j' ai finalement decouvert unecaracteristique partlculiere des bougies d'allumage.

«Entre temps, je m' etais plonge dans I' examen du con tenu

d'un rut de 250 lines rernpli de vieil les bougies poisseuses.

Je les examinai routes tres soigneusement et decouvris que

plus elles etaient anciennes, plus l'electrode centrale etait

corrodee sur son pourwur ;.e1leprenait la forme d'une pe-

tite sphere, une demi sphere, plus exa.ctement un petit dome.

«C'est alms que me vint l'idee que, si c'etair vets cette for-

me que tendait l'electrode, pourquoi ne pas la lui donner

au depart et voir ce qui.se passe? Je pris donc une bougie

tou te neuve, limai l'elecrrode positive jusqu'a ce quelle

soit ronde et la mis SOllS allurnage ; je decouvris qu'elle

fonctionnait un petit peu mieux. MaisiIy avait encore

un probleme avec I'electrode cbte masse. [e supprimal

alors cornpletement celle-d et la rernplacai par des poles

de configurations diverses, fixes avec des cure-dents pour

pouvoir en changer facilement.

«Lorsque je donnai a la masse la forme d'un derni arc cela

foncrionnair encore un petit peu rnieux. Je pris ensuiee

une tete de vis"que je battis au marteau jusqu'a ce qu'elle

prenne la forme d'un dome; la retoumanr, je rnarrelai au

burin en creux l'autre cote pour obrenir l'envers du dome.

Apres avoir prepare it la lime la pointe de I'electrode posi-

tive d'une bougie neuve, j'y flxai le petit dome. ' Pardessus

Ie tout, je placal l'elecnode masse en forme d'arc, fixant

toujours tout cela avec des bouts de cure-dents, Et lorsque

j'allumai cette bougie, la quantite d'energie qui en sortit

etait epousrouflanre er je me dis que cetre fois j'avais vrai-

merit trouve quelque chose!

«C'etait mon intuition qui m'avait dit qu'll devair y avoir

un moyen de mieux faire les choses et m' avait pousse it

ces essais. C' est pour cela que les fabriquants de bougies

me detestenr, Us investissent des millions et des millions

de dollars dans leurs laboratoires de recherche et moi je

bricole le prototype de la Firestorm en moins de deuxheures dans rna cave.»

!Performanc'es et essals

Lorsque je demandai it Krupa si la Firestorm presentait

d'autres avantages, iI me dit : «5i dans un vehicule dont

Ie moteur ex.ige de l'essence super on installe des bougies

Firestcrm et qu' on frut les reglages que je recomrnande,

on pourra y mettre de l'essence ordinaire et iln'y aura ni

detonations, ni cognements, ni rates. La seule chose qui

exige un carburant a haut octane, c'est le taux de compres-sion eleve, Et si la charge de travail est lourde, le rnoreur a

tendance it detonner avec des bougies ordinaires.»

Cela semblait trop beau PoU( etre vrai, cependant il y

avait d'autres bonnes nouvelles.Krupa poursuivit ; «[e sais que cela peut sembler chime-

rique, rnais tout a ete dernontre. Au debut de mes essais,

j'avais branche un analyseur d'ernissions sur la voiture

et j'avais embarque un equipernent pouvant modifier Ie

rapport airlcarburant et Ie niveau de ralenti pendant que

Ie moteur tournait. Cela se passaiten marge d'une foire de

fournitures pour voitures de competition. Des rypes s' ap-

procherent pour voir ce que je faisais. [e faisais rourner Ie

moteur it 250 rrn ! us moteurs n'a iment pas tourner it un

ralenti aussi bas ; impossible de faire cela avec une bougie

ordinaire, mais avec la Firesrorm, oui !»

«Je n'ai jamais oUI dire que quelqu'un d'auue air pu Ie

faire et je m' etais demande comment le rnoteur reagirait

!

II

I

I

I!~,

I

I!!II!

I

I

Sur un bane d'essai, la Firestorm est allumee a c8M

d'une bougie ordinaire.

a ce tres grand ralenti ; encore un facteur d'economie de

carburant,»

Krupa precisa encore : «Cela tournait tout doux, bien

regulierement, sans hesitations ni rates. Et a l'epoqueou je faisais ces essais sur un modele Ford Thunderbird

et obtenais une economic de carburanr de 44% alors

que la climatisation restai t encleachee ! Or personne ne

fait forictionner la climatisation pendant qu' on effeetue

des rncsures de consornmation, Mais je faisals des essais

realisres. En fait I'EPA [Ministere americain de I'Envi-

ronnernent] envisage de revoir ses normes de mesures du

rapport air/carburant, afin de se rapprocher de conditions

reelles de conduite. Et en plus de I'augmentation de

l'autonornie, j'obtins un accroissernent de puissance de

33% avec une Chevy [Chevrolet] de grosse cylindree, sim-

plement en I' equipant de bougies Firestorm et en reglant

Ie rnoteur en consequence.

NEXUS n038rnal-juin 2005

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SCIENCE

u

«]e fis une autre incroyable decouverte en essayant les

bougies Firestorm: on pouvair pousser le nornbre de

tours/minute beaucoup plus haut, Normalement, a detres hautes vitesses de rotation, 1a courbe de puissance se

met a tomber. En utilisant les bougies Firesrorm, je pusdepasser la ligne rouge de 600 a 800 tm avec une courbe

de puissance qui montait toujours.

«En resume, je ·puis tirer davantage de tours er de puis-

sance du moteur, tout en realisant une economie de carbu-

rant, parce que meme . a de tres hautes vitesses de rotation,la bougie Firestorm continue a engendrer un plasma

qui bro.le cornpletement le carburanr dans la chambre,

One bougie classique, avec sa maigre petite etincelle, ne

s'allurne jamais convenablement dans une chambre de

combustion qui fonctionne itres grande vitesse. Ces bou-gies-Ia ne peuvent pas etaler la viresse de flux du melange

airl carburant.»

Krupa me fit voir une remarquable video de [a bougie Fl -

restorm fonctionnant en temps red sur un bane d'essals, Je

vis que le puissant champ de plasma rernplissalr lacham-

bre de combustion mais qu'il n'y avait den d 'a ut re , I I s er n-

blait que le plasma tournoyait comme une petite tomade.

Cornme je le lui faisais remarquer, Krupa expliqua : "J'ai

forge Ie terme ionisation rbiduelle pour decrlre l'action de

cette bougie. Dans votre voiture equipee de bougies classi-

ques,. pour ehaque serie de six it huit aUumages ily aura un

rate. Ce rate est dt a une ionisation residuelle qui stagne

auteur de la bougie. Quand Ia charge arrive par l'elecrrode

centrale, elle rencontre une haute impedance et ne peut

franchlr l'ecarr, d'ou Ie rate.

«Avec la bougie Firestorm iI ya aussi une ionisation resi-

duelle. Cependant grkea la tres garnde surface du dome

de l'elecrrode centrale er au systerne triaxial de prise de

masse, lorsque qu'apparait I'ionisation residuelle, la charge

qui arrive par l'e1ectrode positive cherche a echapper ace barrage en parrant vers une zone voisine de la masse

rriaxiale non encornbree d'ionisation residuelle, C'est pour

cela que le plasma semble tourner autour du dome comme

une petite tempete.»

Potentialites

La bougie Firestorm de Krupa appartient it un monde It

part. Un important fabriquant de bougies lui a consacre

une critique dithyrambique. Krupa s ' explique ; "Chez

Bosch, iIs om soumis mes bougies et les meilleures des

leurs a un test comparatif d'endurance de huit sernaines et

ils one reconnu que la Firestorrn n'avait subi aucune aug-

mentation d'ecart ; Usant predit qu'eIIe ne s'userair jamais.»

C'est peut-etre bien une des raisons pour Iesquelles les

fabriquanrs ne sont pas enclins a produire la Firestorm.

En outre, Ie modele standard de bougies serait rapidement

depasse, Cependant la raison principale de ce refus, c'est

qu'Il n'y a,pas moyen de concevoir une imitation qui per-

metre de contourner les brevets mondiaux qui protegent

Ie concept de Krupa.

Ainsi qu'il l'explique : «Nous avons examine queUe seralt

la meilleure configuration. NOllS l'avons gardee en reserve

et pendant les sept mois sulvants nous avons concus des

imitations et les avons toures incluses dans les brevets.»

EnRn u faut conslderer J'imporrant faeteur flnancier .. La

plupart des usines de fabrication de bougies O m . environ

cent ans. I1sleur faudrait faire d'enormes investissements

en machines avant de pouvoir produire 1aFirestorm parce

que, dans les bougies classiques, l'electrode centrale est

constituee de trois parties. Celie de la Flrestorm est d'une

seule piece. A cause de cela, CD! Limi t ed; la compagniede Krupa, a decide: de fabriquer elle-meme la bougie Fires-

torm. C'est une grosse entreprise que Krupa et ses associes

n' avaient pas envisagee au depart ; par conrre elle ofFre

une occasion unique a des investisseurs er specialistes ducapital-risques d'ernbarquer rres tot dans l'afFaire.

Conslderez cecl : chaque annee, environ six mllliards de

bougies sonr fahriquees et vendues dans Ie monde. Les

membres de l'equipe de Krupa estiment que la bougie

Firestorrn coutera, dans un premier temps, environ

U5$1,50 Lapiece It fabrlquer ..lls estiment aussi qu'une fois

qu'elle sera comrnerciallsable elle captera environ 80% du

marche, meme si elles sonr veridues U5$10 la piece ou

plus; cela fait beaucoup d'argenr.

D'autre part, les utilisateurs realiseront d'enormes econo-

mies en faisant Ie pleln de leurs reservoirs, merne si Ie prix

du carburant continue a grimper. Cela aura un impactposirif sur l'economie mondiale et ne pourrah pas mieux

romb er , B ill Powers, l'edlteur du bulletin d'investissernents

C a n ad ia n E n er gy V ie wp oi nt, predir dans un rapport recent

que Ie prix du brut va monter a US$80 le b ar il dans le s

deux prochaines annees ! ( c E . page web http://www.finan-

cialsense.oomleditorialslpower.f2004/ II04.html).

Questionne sur les conditions requises pour

etre parrenaire dans l'affaire de Krupa, celui-

ci repondit : «II faudrair que nous discutions

des details, voir ce qu'ils veulenr er trouver un

accord qui satisfasse tout Ie monde. Et quelles )'

que scient les personnesengagees, je dens It r~l'

erre responsable du conrrole de qualite en fin I. ,

de chaine de production. Parceque si on ne

fabrique pas la Firestorm correctement, c'est I 'comme si on se tirait un coup de fusil dans le . 1 ' ·

pied avant la course.» .

A l'insrar d'Edison, qui refusait tout reposl

tant qu'il n'eut pas trouve une meilleure am-

poule electrique, Robert Krupa fu r inspire et

invenra une meilleure bougie d'allumage. Ce

faiSaDt, il a ofFert au rnoteur a combustioninterne et a notre environnemenr unavenir

plus lumineux.

Quand on lui parle du legs que represente

I'oeuvre de sa vie, ildit fierem enr : ~j'ai fait

passer la modeste bc:;.gif': A I ' " fiige de la pierre

a I'age de l'espace»,

5

"

A propos de I'in.venteur

Linvenreur Robert Krupa est un ingenieur et

scient ifique experirnente qui se specialise dans Ies applications

elect! iques er rnecaniq ues. II a fait quatre fois lerour < 1 U mo ndeet est apparu Ii la television, a la radio er dans des revues. U a ecritde nombreux articles pour le monde des «hot-rods» [voi tures gon-

flees]. Son e-mail est: flamefromwater@}'ahoo.com.voyez Ia pageweb de F lr es to rm : h np '/ /www.robertstanley.bizlfire<;to.cm.htm.

A propos de I'auteur

Rob er t M . S ta nle y esr. ec.rivain et chercheur specialise en rendancesrechnologlques, Son dernier article pour Nexus fur une interview

de David Adair, expert en technologie de l'espace, Son article surRobert Krupa est un copyright © 2 9 ocrobre 2 004, U N IC US ,1147 Manhattan Avenue #43, Manhattan B ea ch , C A9 02 66 , U SA .Son e-mail est:[email protected]. '

NEXUS n038

mai-juin 2005

8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

http://slidepdf.com/reader/full/nexus-38-mai-juin-2005-haarp-vaccination-ovni-himalaya-complet 32/70

SCiENCE

Technologie UtopiaLe dopage facile de votre

moteur diesel ou essence it l'hydrogEme

20 it 60 % de gains de consommation

Lindividu s' avere decidernent le

plus efficace a trouver et a mettre en oeuvre

des solutions aux problematiques auxquelles

l'humanite et la planete sont aujourd'hui

confrontees. Defiant les difficultes de cofit

et de recyclage des solutions imaginees par

les grands constructeurs et Ies institutions,

comme la pile a hydrogene ou les vehicu-

les mixtes, Ies bricoleurs et chercheurs op-

portunistes sur des systemes alternatifs de

production d' energie, d' economie et de de-

pollution, se bousculent sur internet dont

une des meilleures vitrines s'avere etre bien

&anc;aise avec le tres complet site web de

Quanthomme. (http://perso.wanadoo.fr/

quanthommesuite/)

r

Nexus a choisi, avec l' accord de ses devoues

anirnateurs, d'en tirer quelques pages edifian-

tes consacrees aux moteurs thermiques avec

le systerne Utopia Technologie. Cette techno-

logie, appliquee a I'ensemble du parc routier,

agricole ou de chan tiers, perrnettraient de

resoudre l'essenriel des difficulres ecologiques

et econorniques inherentes a l'emploi gene-ralise des hydrocarbures dans nos societes et

de reduire drastiquement l'emission de gaz aeffets de serre.

Avantages de I'apport

d'hydrogene par electrolyse

Jean-Marc Moreau, ingenieur de formation,

a mis au point un systerne d' electrolyse par

oscillation. L'etape de la commercialisation

est maintenant a l'ordre du jour et le prix

dusysterne devrait avoisinner 1000 €, plus

ou moins rapidement amortissabIes selon lenombre de kilometres avales,

Ce precede, aisement adaptable sur tout type

de vehicule diesel , rnais aussi essence * ou

GPL *, sans aucune modification moteur et

sans le moindre reglage " permet d' augmenter

l'autonomic entre chaque plein , dans un

rapport de 130 a plus de 200 % , suivant les

trajets , le type de vehicule et le mode de

conduite .

Ce qui equivaud, en d'autres termes a une di-minution de 30 a 60 % dela consommation

habiruelle, a celle des rejets d'hydrocarburesimb ru le s , des emissions de gaz a effet de serre(C02) et du monoxyde de carbone .

LHydrogene est produir par un reacteur adissociation atomique , provoquant 1a frag-

mentation de la molecule d' eau par resonance

frequentielle, grace a un condensateur haute

frequence .Air I Eau , a dielectrique optimise

(protege par un copyright).

La frequence de celle-ci s'adapre par un equi-

pement electronique aux variations de tem-

perature et de carburation pour decomposer

l'eau et fournir au moteur un melange oxy-

gene / hydrogene decuplanr la combustion et

les performances du moteur,

La production de ce gaz etant constante,

selon la vitesse et le regime moteur, les gains

de consommation, garantis P9ur un mini-

mum de 20 % (annonce garantk satisfait ou

rernbourse par l'inventeur) atteignent 50 a60%.

La voiture dediee aux essais, agee de 12 ans et

comptabilisant 250 000 Km, ne consommeplus aujourd'hui que 2litres de gasoil aux 100

Kilometres , et 30 millilitres d' eau par 100

Kilometres pour fabriquer son gaz hydrogene

en roulant a une vitesse stabilisee de 95 Km al'heure. Amusant non?

Ll-Iydrogene basse pression etant auto-pro-

duit a la demande et auto-consomme en

NEXUS n038

rnai-juln 2005

8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

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f .nol iOnnant . ., 1 1 4 0 0 0

Fr~entiel , atJr t. blls.

d'U"ccndemat.ur Air t ElUt

ee Rkct«1f ne dolt itre

rornp'1 que par "". .au~imi" ;;nI ll . .. pLn t99.9 %

nen oartoslvt "..... I..."""""'" _UnV_t ..contr61e Indlquo la qu_lonlqu. d. l'eau • ." O I v a "

"",sma.

roulant , it ne necessite ainsi aucun stockage

dangereux: . Ce precede tres securitaire reste

de ce fait beaucoup plus sur mais surtout plus

econornique que l'urilisation du gaz GPL. Al'arret, plus aucun gaz n' est produit, Il. suffit

juste d'inserer la sortie du tuyau de gaz dans Iefiltre a air. Un simple interrupteur permet de

mettre le dispositif sur arret pour retrouver Iefonctionnement originel du moteur avec son

lor de pollutions habiruelles,En moyenne, le precede H20 U top ia ·T ech-

nologie consomme autour de 1 litre a 1, 5litres pour 3000 Kilometres. L'udlisarion de

cerre eau comme matiere premiere servant ala realisation d'un gaz riche en Hydrogene

a ete optimisee pour que clf gaz soit produit

et directement utilise sous sa forme orthohy-

drogene , c'est a dire le carburant des Fusees

, beaucoup plus energetique que son autre

forme para-hydrogene.

Role du synergiseur Plasmatronic

dans Ie processus d'optimisation

de la combustion:

!~

I1

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I~i

I,!

!

I

Lorsqu'un gaz est soumis a un champ electri-que intense sous tres haute tension, un phe-

nornene de ionisation electrique se produit,

Les electrons arraches par Ies forces electros-tariques sent alors acceleres et acquierent une

grande energie cinetique qui leur permet, par

collision avec d' autres atomes, de propager

l'ionisation, creant ainsi un phenomene pre-

curseur d'un etat plasmatique de la matiere,

amplifie dans notre application par l a de fr ag -mentation de l'air aspire par le moteur au

travers d'une grille CORONA haute tension.

Un flux d'air hybride hautement energisant

contenant un gaz hydroxygene arrive alors al'admission moteur dans un erat semi plasma-

rique pour se fondre dans un reformage in-time avec Ie carburant initial en phase vapeur,

dont Ie spin a ete precedemrnent reoriente

pour une union parfaire avec son comburant.

NEXUS n038

rnel-juin 2005

8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

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NOUVELLES DE

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La consommation moyenne

en courant electrique prelevee

sur la batterie est approxima-

tivernenr de 10 a 15 Amperes.Certe quantite de courant preie-

vee teste faible et n'affecte pas le

rendernent global du vehicule,C'est d'ailleurs tout le contraire -

qui se produit apres transfor-

mation en energies mecaniques

grace au re-formage energetique

de fa forrnule chimique du car-

burant initial. Certe quantite

d'energie elecrrique est compa-rable a celle consommee par les

phares du vehicule,

LA SCIENCE

U S

Unite et processeur "Utopia"

Le reacteur a aussi ete developpe sous une

deuxierne version indusrrielle, adaptee aux

Groupes Elecrrogenes, Enrierement rnodulai-

re, cette version permet la mise en parallele de

plusieurs unites de production de ga z auto-

produit et auto-consomme a la demande (ceci

,de faoron tres securitaire), alimentees SOllS 220

volts directement par le groupe electrogene,

~ but recherche etant de pouvoir rendre qua-SI autonome de petits groupes de 3 a 5 KVA ,

et de realiser des economies de carburant

pouvant atteindre 50 % sur des groupes de

plus forte puissance. Cene version pouvant

aussi offrlr de precieuses economies par I'enri-

chissement en hydrogene de fair des bruleurs,

sur chaudieres de chauffage central ...

II est a norer que vouloir faire tourner un

moteur de. conception classique uniquernent

a l'hydrogene teste deconseille, Parce que

l 'hydrogene pur melange a I'oxygene genere

de la vapeur d'eau qui engendre rapidement

un phenomene de corrosion des cubulures

d' echappernent, si celles-ci ne soar pas en

inox . . . Alors qu' au contraire, mixer I 'hydro-. gene a un pourcentage de carburant (essence,

GPL, ou diesel) optimise la combustion et

entraine cette vapeur a l'exterieur (on ne

r~trouve pas d'~au dans [e moteur), ce qui

resout ce probleme et evite les phenomenes

de corrosion.

Les resultats de depollution

Longevite accrue

Diflerents essais en terme de reduction des

pollutions, om ete effectues sur de nornbreux

moteurs diesels convertis a I'assistance hy -

drogene. Ces essais en temps reel ont rnontre

a travers Ies enregistrements une reduction

significative des emissions polluantes, y com-

pris une reduction visible de 99% des fumees

(particules de carbone emises, en ppm ou

parties pat million), 50% en rnoins oxydes

de l'azote (NOx) , et une reduction de 25%

de dioxyde de carbone (C02) . Les particules

d'hydrocarbure irnbrulees , que ron chercheaujourd'hui a bruler en pure perte en sortie

du moteur a travers un pot catalytique , soot

ici brulees idealernent dans le moteur pour

produire une energie utile et faire des Kilo-

metres en plus

L'amelioration de la combustion a pour

r~su!tat direct rnoins d'accumulation de par-

ticules de carbone a l'interieur du moteur.

Ce rnoteur plus propre, brulant mieux et

plus completement ses hydrocarbures, of-

fre la possibilire d'un rneilleur vieillissement

des huiles moteur entre deux vidanges, avec

comme consequences une amelioration de

la longevite mecanique. [augmentation de

l'efflcacire du cycle thermodynamique en-

gendre en realite, comme consequence di-

recte, une temperature inferieure du moteur.

H20 Utopia Technolagie a ete etudie de ma-niere a privilegier la securite moteur, Une

securite de separation Hydro-Gaz a ere intro-

duite dans le systerne, coupant le fonction-

nernent du reacreur a la moindre anornalie,

~t des securites de stabilisation thermique et

electro-hydrauliques integrees garantissent la

fiabilite du reacteur,

NEXUS n"38

rnat-jujn 2005

8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

http://slidepdf.com/reader/full/nexus-38-mai-juin-2005-haarp-vaccination-ovni-himalaya-complet 35/70

Un moteur a assistance h yd rog en e po ssed eune souplesse de fonctionnement incompa-

rable, grace au phenomene de redondance

specifique a ce precede. Si I'offre en gaz hy -

drogene est inrerrompu pour n'importe quelle

raison (Niveau d'eau trop bas), la regulation

moteur d' origine compensera automatique

I' arret de production de gaz hydrogene pour

a nouveau retrouver un fonctionnement de

100% en carburant diesel, ced sans la moin-

dre interruption moteur, Ceci se passera de

maniere identique sur un moteur a . essence

ou au GPL.

Bassestemperatures ambiantes etcaracteristiques dielectriques de

I'eau

Le reacteu"r H 20 U top ia T ec hno log ie a ete

concu pour fonctionner a des temperaturespouvant descendre jusqu'a 45 degres Celsius.

Cependant son fonctionnement hivernal im-

posera d'additionner l'eau d'un pourcentage

d'alcool propylique ou methylique durant

la periode froide pour eviter le gel de l'eau

et garantir le coeur du reacteur durant l'etat

de stationnement prolonge du vehicule en

exterieur, A noter qu'erant concu sur la base

du phenornene d'electrolyse frequentielle, par

resonance harmonique, Ie reacteur se com-

porte comme un condensateur dote d' arma-

tures entre lesquelles un liquide nebulise a irI eau forme l'electrolyte. L'equilibre de cette

harmonie frequentielle etant intimement lite

a la concentration ionique de l'electrolyte,

l'evolution de cette concentration ionique

est analysee en temps reel par le Micro-

processeur, lequel corrige en permanence lefonctionnement du reacteur dans sa marge de

frequences, suivant la variabilite de plusieurs

parametres physico-chimiques et electro-phy-

siques (comrne l'elevation en temperature du

compartiment moteur ... ). En cas de baisse

eventuelle de la qualire ionlque de l'eau, un

voyant situe sur Ie bottler elecrronique indi-

que que le reacteur est en perre d'efficacite,

Une recharge ionique d' entretien, sous la for-

me d'une dosette de 20 rnillilhres livree avec

I'appareil, dolt alors etre versee dans Ia cuve

du reacteur, Ceci permet de maintenir dans le

temps une concentration ionique equilibree

a 1 pour 1000 millilitres d'eau (d'ou l'inno-

cuire et la non agressivite de l'eau utilisee). nest a noter que dans ce principe de reacteur

frequentiel, Ie phenomene quasi negligeablede polarisation eventuelle des armatures du

condensateur beneficie lui aussi d'une analyse

permanente et d'un trairement auromatise de

depolarisation assurant une stabilite exemplai-

re du reacteur dans le temps. Actuellement

ce produit est le seul sur Ie rnarche mondial

a beneficier d'un tel algorithme securitaire,

L'ensemble de ce processus reste enfoui dans

un composant specifique programme pour

cette application. -

Quelques pays l'ont deja compris l'interet

de ce type de precede d'electrolyse embar-

quee, et plusieurs concurrents etrangers sont

aujourd'hui presents dans ce domaine de

l'hydrogene autoproduir en roulant : "Dy-

namic Fuel" au Canada, applique depuis plus

de 2 ans ce precede d' assistance hydrogene

sur Poids Lourds pour l'Amerique du Nord

, avec des gains moyens annuels de 15 % aplus de 20 % sur de tres gros moteurs, et

"Auto Gas India" deja specialisee dans les KitsGPL, l'applique avec succes sur Ies voitures

et camionnettes en IN DE, avec des gains en

consommation de l'ordre de 25 a 60 %. Lesresultats de l' assistance hydrogene, en terrne

d'economie de nos ressources energetiques

ainsi qu' en terme de lutte anti-pollution, sont

certains.

Le ministere de I' environnement francais

n' a, quant a lui, pas encore reagi a la presen-tation que lui en a fait Jean-Marc Moreau;

Les coupures de lignes telephoniques et le pi-

ratage de I'ordinateur d'Utopia Technologie,n' ont par contre pas epargne son equipe. Pure

coincidence probablement ...

Sources:

- LRME BIO-CYBER I Jean-Marc Moreau - LeBourg - 49160 ST PHILBERT DU PEUPLE. Tel

: 02 41 51 81 03 - Site web : http://pageperso.aol.

frl morojml utopiatechnology.d

- page sur le site Quanthomme : http://perso.wana-

doo.frfquanthommesuite/moreaumothydrog.htm

NEXUS n038mal-juln-200S

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8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

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L ES PR IN CE S.DUnI~bA{.1E

Par David G. Guyatt © 2004cia Nexus Office55 Queens. Road

East Grinstead. W. Sussex RH19 1 BGRoyaume Uni

Site Web:http://www.deepblackies.co.uk

ET GEOPOLITIQUE

U S

Skulls and Bones

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Si le President Geerge W Bush arrive a ses fins, le sys-teme dernocratique americain continuera it se propager

dans Ie monde, Cependant, certains soutiennenr que la

forme arnericaine de la «democratier n'en est qu'un paIe

reflet et rappelle plurot une dictature fasciste dent les

revirernents servent les inrerets d'une riche elite et du

monde des affaires.'

Cette forme de gouvernement prend cornme modele le

mouvement synarchiste europeen, fende en 1870 par

Joseph Alexandre Saint-Yves d'Aiveydre qui considerait

les chevaliers Templiers comme les ultimes synarchistes

de leur epoque et utilisait done leurs ideaux peur fer-

rnuler les siens, .Ce mouvement commens:a it etre connu au debut des

annees 20, apres 1 a fin de la Premiere Guerre Mondiale

et la signature du Traite de Versailles.f La synarchie pro-

nait essenriellernenr la gerance du geuvemement par une

societe secrete - » elite de persennes avisees qui prennent

les decisions en coulisses» 3. Ainsi que le decrivent les

auteurs Lynn Picknett et Clive Prince, « .•. Peu importe

Ie parti politique au pouvoir, ou merne le systerne poli-

rique adopce par l'Erat, Les synarchistes interviendraient

er controleraient la cle des Institutions de l'Etat.t

Les puissantes F.uni1leset entreprises c:orrunerciales d'origi_ne europeenne, britan-

nique et a.zn.eric:ainec:oncernees Eaisait des aLIairesavec l'Alleznagne Hitl&ienne de

Favant guerre, se bouscu1erent CgaleInent pour eirerprofit de Ie. c:b.utede Berlin et

pour ezn.pec:b.erIe butin Nazi de toznber entre Ie« lDains des gouverneznents Allies.

Une troublante c:ontinu.ite des reseaux du pouvoir qui perdure depuis Ie lDouvelDent

de Ie.syna.rc:b.ie~ travers les loges £ondanJ.entalistes et iInplique les tAtes couronnees

europeennes.

Aux Etats-Unis, une telle societe secrete digne d'etre

menrionnee est I'ordre de S ku ll a nd B ones [Crane et Os

- figure par le «drapeaux de pirates] de I'Universite de

Yale. Y etre admis implique de passer un riruel elabore

accompagne d'un changernenr de nom. N'est plus con-

sidere comme un debutanr, celui

que I'on reconnait par sen nom

de famille et qui assume l'identite

d'un «chevalier», Parmi les «be-

nesmen», en disringue George

W Bush, sen pere Georges Bush

Senior et Ie senateur john Kerry.

Presc-Ott Bush, Ie pere de Geor-

ge Bush Senior, etait aussi un

«bonesman», ainsi que Herbert

Walker (<<Herbie}}), son oncle

prefere. En fait, presque routes

les families de la core Est sent

membres de 1a S ku !! and B ones.

Dans sa revolutionnaire saga «T he S ecret C uL t of the O r-

der» [Le cuIte secret de l'Ordre], Ie professeur Anthony

C. Sutton mentionne que 1'0rdre arnericain est lie a laGrande Bretagne par le R hodes-M ilner O xford G roup ,

mais a des origines allemandes. I1 est egalement affilie

aux familles Guggenheim, Schiff et Warburg, malgre

une nette tendance anti-sernitique affichee jusqu' aux

temps recents, Les recherches de Sutton relient l'ordre

a «la fondation et au developpement du Nazisme»? et

considere I' ordre des Illuminati comme les fondateurs

de la societe originelle allemande.

La dynastie politique des Bush, et probablement leur

richesse, proviennent des relations Nazi forgees par

Prescott Bush qui travailla pour le magnat Nazi Fritz

Thyssen 6Herbie, I'oncle de Bush, futegalemenr employe par ce demier. Un

episode encore plus sombre est relate

par un agent des renseignernents hol-

landais qui mentionne que ·Prescett

Bush a par ailleurs dirige une partie

des travaux forces a l'usine de produirs

chimiques de l'important cartel IG

Farben implanre dans l'lnfame camp

de 1 a mort Nazid'Auschwirz". Allen

Dulles travailla aussi pour Prescott Bush. IIdeviendra

plus tard le directeur de la CIA apres une tres douteuse

carriere a 1a tete du bureau suisse du service de rensei-gnernent arnericain, I'OSS (O f fic e of S tra teg ic S ervices)

pendant la Deuxieme Guerre Mondiale. Avant la guerre,

Dulles etalt Ie conseiller juridique d'IG Farben aux Etats

Unis, Fritz Thyssen comptait aussi parmi ses clients. Ces

connexions etaient pour le rnoins tres familieres, Mais

certains les considerenr plus deloyales que cela,

La periode cle du developpement du rnouvement sy -

narchisre suit de pres la Revolution Russe et aboutit it

l'ernergence du PEM ( Pan European Movement ) en

1922. Le PEM fut alors ernbrasse par les acteurs de

la puissante econornie Allemande, comme le banquier

Max Warburg qui le finance. C~ demier etait r u n des

dirigeams dIG Fa rben , cartel qui faverisa l'accession

d'Hitler au pouvoir, Or, curieusement, il s'attachaaussi

a aider Lenine a regagner la Russie en 1917, precurantainsi sen soutien 11la Revolution Bolchevique tant hon-

nie plus tard par Hitler", Doir-on sirnplemenr envisager

cela comme Ie cas de la main droire ignorant ce que fait

Embleme du"Skull&Bones"

NEXUS n038

8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

http://slidepdf.com/reader/full/nexus-38-mai-juin-2005-haarp-vaccination-ovni-himalaya-complet 37/70

.. ..gauche ou plurot comme un exemple de dialectique

-=.igffienne de stimulation du contlit destine Ii . modeler

:nDDe et direction futures de l'hisroire humaine ?Quoi qu'Il en soit, Ii . l'instar de Max Warburg et de

son soutien Ii . la PEM,. un autre banquier allemand,

Hjalrnar Schacht, s'lrnpliqua

en prenam Ia parole lors du

premier meeting de masse du

P.EM: Ii . berlin. II continuera

d'ceuvrer cornme Ministre de

I'Economie d'Hitler et Presi-

dent de la Reichsbank . Si quel-

qu'un croit aux coincidences,

en voici une: Max Warburg,

ainsi qu'Hider, om signe Ie

document qui mettait Hjal-mar Schacht Ii . la presidence de

la Reichsbank . Vous realisez ?

Paul Warburg, le frere de Max,

etalc I'un des dirigeams d'J G Fa rben aux USA ainsi que

Ie premier directeur de Ia F edera l R eser ve B a nk de New

York. 9

Connu snus le simple sigle ,<AO», (d'apres les lettres

grecques angllcisees Alpha et Omega) l 'Au s landsOrgan i -

sation consciruair Ie service de renseignement Ii . l'erranger

du pard Nazi. II, couvrant les activires d'espionnage, de

propagande er de developpemenr economique servant [a

promotion des ideaux Nazis.

Les membres de l'AO operaient essentiellernent par I'in-

termedlaire des societes possedees ou dirigees par des Al-

lemands, De nombreux rnembres etaient des employes

d'IG Farben , en Allemagne ou Ii . l'etranger, En fait,

Farben ne dirigeait pas seulemenr I'AO, rnais Iennan!?it

aussi'", Lun des hommes influents de Fd/·ben impli-

que dans toutes les activites de l'AO etait Max Iigner,

neveu d'Hermann Sch-

mitt, .un des directeurs

de Farben , dont l'am-

bition erait de "former

un Etat mondial fascisre

sans guerre»!', I1gner,mernbre en uniforme

de la Gestapo, connects

l'unite de renseignement

de Farben connu sous

Ie sigle de «NW7 , ) avec

I'AO puis recruta une

armada de 5000 person~

nes operant a travers laflliale arnericaine de Far-

be n l2, Un autre mernbre

de la NW7 de Far-ben

etait Gunther Frank-Fa-

ble, ne a Bradford An-gleterre, Merne si Ernst

Wilhelm Bohle etait

officiellement a la tete

de I'AO, l'organisation se trouvait SOllS le controle

permanent de Waiter Schellenberg, directeur de Ia SO,

service de concre-espionnage de la Gestapo. IIdecrit laFarben comme «un Etar dans l'Etat» aux enquereurs de

l 'a p re s- gu e rr e, Tour ef oi s, Ie chef tout puissant de l'AO

etait en fait Rudolf Hess, bras droit

du Fuhrer. Les industriels et les

banquiers qui ont finance I'acces-

sion d'Hieler au pouvoir ont verse

leurs contributions sur Ie compte

de Hjalmar Schacht a la banqueprivee D elbruck S chickler bank aBerlin. Ces fonds etaient gefl.~spar

Rudolf Hess.

La banque D e lb rU c k S ch ic kl er est

une filiale de la A G M e ta tlg ese/~

l st ha J t ( <<M e ta l "' ), de loin la plus

importante societe. productrice

d'acier non-ferreux d'Allemagne et

proprlete commune d'IG F arben et de la B ri tish M e ta l

Corporat ion 13.

Oliver Lyttelton etait l'un des deux direcreurs britanni-

ques de ,<M eta l i» , De 1939 a 1940, iI etait controleur 11 .

N o n- Fe rro us M e ta l, puis devine Ministre brirannique de

la Production de 1942 a 1945, et membre du cabinetde guerre de Churchill. Par une heureuse coincidence,

sa mere etait une rnembre du R h odes~ M i ln er O x fo rd

«Group» tandis que Ie cinquleme fils du Baron Lyttelton

fut le Secretaire particulier de Lord Selborne durant les

annees qu'il passa en Afrique du Sud. Lord Selborne a

assure la reieve de Ia direction du «Group» apres la mort

d'Alfred Milner en 1925. Ainsi que je l'ai fait rernarque

ailleurs, il emit aussi Ii . la tere du SOE ( S pe cia l O p era -

t io n s E x e c ut iv e) de la Grande Bretagne durant la guerre,

pendant de ross americain.lt

Siege de Jaloge "Skull & : Bones"IiYale

NEXUS n038rnai-juln 2005

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HISTOIRE ET GEOPOLITIQUE

~~ ... US

Peut-on alors en deduire que le «Group" etait la branche

britannlque de la loge arnericalne S ku il a nd B ones ?15D'une maniere ou d'une autre, S ku ll a nd B ones consti-

tuait «la filiale d'une societe secrete allemande". Selon le

professeur Anthony Sutton, Ie «Group" connaissair son

origins chez les Illuminati (ou Illumines de Baviere) 1 . 6 •

Reunion i l l la «Maison Rouge»II est evident que les pouvoirs financiers et industriels

qui ont finance en coulisses aussi bien I'accession

d'Hider au pouvoir que son developpernent militaire

par la suite prendraiene les precautions necessaires pour

proreger leurs investissernents une fois survenue la chuted'Hider et de l'Allemagne nazie, La lumiere se fit avec

la defaite devastatrice du 6b m < groupe d'arrnee du Ma-

rechal von Paulus a Stalingrad en Janvier 1943. Tous Iesdomes persistants jus-

que la s'envolerent des

le debarquernent du 6

jilin 1944. en Norman-

die. Face a l'incapaciteallemande a repousserles forces Alliees vers la

mer, il devint clair pour

tout le monde que lesjours d'Hicler etaienr

Bormann et Hess comptes. Deux mois

apres le D-Day, une reunion secrete se tint dans un ele-

gant hotel de Strasbourg, avecpour ordre du jour Ia se-

curite et la protection des richesses de l'Allernagne Nazi

ainsi que de ses loyaux banquiers et industriels, Le matin

du 10 Aout1944, le Dr -Obergmppenfiihrer Scheid,

un lieutenant general de la Waffen SS et direcreur de

l'industrie Hermansdor f f et Schenburg , arriva a l'Horelde la "Maison Rouge» situe dans la Rue des France-

Bourgeois. Le Dr Scheid etait depeche par Reichsleiter

Martin Bormann, Ie 2 " m e homme Ieplus puissant d'Alle-

magne apres Hider, pour presider la reunion.

Lascenslon de Bormann au pouvoir succede au vo l fatal

de Rudolf Hess qui avait saute en parachute en 1941

pour atterrir en Ecosse afin de rencontrer en secret le

Due d'Hamilton. Apres la perre de son precieux colla-

borateur et la mine de ses plans d'alliance secrete avec la

Grande-Bretagne pour cornbartre la Russie, Hitler posa

tou s le s pouvoirs et responsabilites de Hess, a l'exceptionde son cabinet qu'il supprima, sur I es I ar ge s e pa ule s de

Bormann qui prit egalement le controje de ['AO.

Avant d'envoyer le Dr Scheid a Strasbourg, Bormann

lui confla que: «les decisions prises a l'Issue de cectereunion deterrnineronr les perspectives d'apres-guerre

de l'Allernagne» et ajoute que Ie plan est d'assurer

l 'evencuelle «resurgence econornlque de I'Allemagne» 17.

Autour du Dr Scheid, les representanrs des cornpagnles

K ru pp , M e ssersc hm itt, R h ein meta l4 B u ssin g, V olksw a-

genwerk ainsi que des ingenieurs representant differemes

usines a Posen en Pologne comme B r own B o u eri partici-

paient a la reunion. Une part importante de l'industrie

electrique allemande appartenait Ii deux compagniesarnericaines : Genera l Electric' et I n te rn a ti on a l T e l ep hone

a n d T e le gra p h.Aujourd'hui, Brown Bouer i (devenueAsea

B r own B o ve n') est une multinarionale geante employant

200.000 personnes dans le monde et qui entretient des

liens etroits avec les USA. Avant sa nomination au paste

de Secretaire General a la Defense par George W . B ush,

Donald Rumsfeld faisait d'ailleurs partie de son consell

d'administration. 18

Selorr les instructions de Bormann, [es indusrriels

devaient etabhr de nouveaux contacts et de nouvelles

alliances avec des flrmes errangeres pour renforcer ceux

deja en place, sans pour autant suscirer l'attention. Leprogramme de fiiite du capital de l'E tat er des actifs des

societes pour s'assurer des refuges dans le monde entier

qu'il ordonna est tout aussi important. C'esr ainsi que

I'operatlon Eag le ' s Flight debuta. D'une facon critique,

Bormann pensait qu'il aurait besoin de 9 mois pour

mener ce programme a term e'" , C ela signifle que le s

forces allemandes devaienr resister a l'avancee des forcesAlliees pendant tom I'hiver de 1944 et jusqu'au debut

de la mi-Mai 1945. Par un curieux tour du destin, la

guerre en Europe prend fin le 8 Mai 1945, a seulernent

2 jours des estimations de _Bormann.

Operation Market Garden

Or, moins de 2 sernaines apres la reunion de la «Maison

Rouge», Ie Ma re ch al Bnr an niq ue Bernard L. Montgo-

mery. concur une audacieuse straregie qui, si elle avalt

aboutie, aurait compleremene mine le plan sur neuf

mois de Bormann. Le 23 Aout 1944, quand le Gene-

ral Dwight D. Eisenhower, commandant supreme des

forces A llie es, s e rend au QG de Montgomery pour un

dejeuner et une discussion privee, ce dernier argumenta

que les forces allemandes etanr en pleine confusion et

qu'une entree decisive dans la Ruhr entrainerait la finde la guerre avant Ie Noel de 1944. A son insistance, le

direcreur de cabinet d'Eisenhower, le general Walter Be-

d.ellSmith, fur exclu de cette reunion, a cause de vieillesrancceurs-". Eisenhower quina Ie QG de Montgomery

sceptique et hesitant.

Apres la ferrnerure du Falais« gap , Montgomery etait de-

termine il . ne pas laisser Eisenhower perdre une occasion

de mettre fin a la guerre en 1944. Le 4 Septembre, illui envoie un message code disant ; «personnel, unique-

ment pour le general Eisenhower» detaillanr une auda-

cieuse srraregie pour s'emparer des ponts strategiques

en Hollandeset penerrer en Allemag_nepar la RullI. La

Ruhr est le cceur de I'industrie allemande et par COinci-

dence, la ville narale de la plupart des industriels ayant

assiste a la reunion decidant des modalites de la fuire descapiraux du III""" Riech presidee par le Dr Scheid moins

d'un an auparavant,

La strategic, connue sous Ie nom d '"Op i ra t ion Conut»

est rejetee par Eisenhower. Face a la protestation ener-gique de Montgomery, une autre strategie derivee de

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la premiere, baptisee «O p em tion M a rket G arden » et

::tecessitant plus de moyens militaires, est enterinee par

Eisenhower le 10 Septembre 1944. Le dernier pont pris

pa r les tIoupes aeroportees britanniques et garde jusqu'a

I arrivee des troupes blindees est celui d'Arnhem .

Par coincidence aussi, Ie 4 Septembre,Ie Marechal

Model emmene Ie lieutenant general Bitrrich, ancien

combattant au II SS Panzer et affreusement b le ss e, b i-

vouaquer dans le' secteur d'Arnhem pour se reposer et

reprend.re des forces. Bitrrich declare plus tard que: «

il n'y a aucune raison particuliere pour son choix des

alentours d'Arnhem, hormis Ie fait que c'est un endroit

paisible a u i1 ne passe jarnais rien» (21)

Retrospectivement, en connaissance du besoin vital de

Bormann de 9 mois pour la realisation de son plan, on

peut se demander si d' autres facreurs plus secrets ont

influence la decision de Model. La manipulation enfa i t-elle parti e ?

Bernhart de Hollande

Le chainon manquant

Rappelons que le Prince Bernhard de Hollande avait ere

nomme Commandant en chef des forces hollandaises

par la reine Wilhelmina. Les sernaines suivant Ie 0-

Day, Je prince Bernhard est reste en contact permanent

avec ses ministres et I'ensemble des ambassadeurs US:

William Bullirt, Anthony Biddle et Ie General Bedell

Smith.21

Les relations erroites avec ces hommes n' avaient den defortuit; car ainsi que allons Ie decouvrir, den n'avait ete

laisse au hasard par la «Frarernite. de Bormann. (23)

Thomas Bradish Biddle compte parmi les tous premiers

membres de I'ord.re du S ku ll a nd B o nes, l'ayant integre

en 1839, seulement 6 ans apres sa creation en 1833.

Son descendant direct, Anthony Biddle, dont Ie nom

cornplec est Anthony Joseph Drexel Biddle Jr, n'etait

pas lui-meme membre de l'ordre. Neanmoins, ilest loin

d'etre innocent de tome implication.

Pendant les premiers mois de la Deuxierne Guerre

Mondiale, Biddle occupait la fonction d'adjoint de l'am-

bassadeur des USA a Paris, France. C'esr a ce moment

qu'il devient un ami proche des Due et Duchesse deWindsor, pro-Nazis. Ces derniers passenr un temps con-

siderable it sejoumer dans la demeure du Baron Eugene

de Rothschild. Cependant, Ie meilleur ami de Biddle aParis reste l'ambassadeur William Bullitt, qui est aussi

un Pro-Hitlerien, C'est lui qui arrangea la rencontre

entre le millionnaire a rn er ic ain C h ar le s Bedeaux et le s

~ Windsor.

Bedeaux est un bon ami d'Hermann Schmitz d'IG Far-

ben. nest nomme a la tere des operations commercialesde la societe. Son investissernent dans une relation avec

'Ies Windsor n' est pas accidentel car Ie chef SS Heinrich

Himmler le charge de les convaincre d'aider en secret les

projets de negociarion d'une paix avec l'Angleterre.

Lors d'une reunion secrete a l'Hotel Meurice a Paris,

entre Bedeaux, Rudolf Hess, Martin Bormann et Errol

Flynn, I'acteur hoLlywoodien, le Due de Windsor pro-

met d'aider Hess Ii entrer en contact avec le Duc d'Ha-

milton. Cela e : conduit it I'atterrissage fatal d'Hess sur Ie

domaine d'Hamilton en 1941» C~4)

Le prince Bernhard de Hollande a egalement un incon-

testable passe pro-Nazi. Ne de nationalite allemande

SOliS le nom de Prince Bernhard zur Lippe-Blesce r fe ld ,

ilintegre Ie pard Nazi dans les debuts des annees 1930

et revet l'uniforme SS. En 1935, ilest avantageusement

employe au departement du service de renseignement

d1G P a rb en . IIsemble que son idylle avec la princesse

Juliana, HUede la reine hollandaise Wilhelmina, ait ere

arrangee par Gerhard Fritze, un direcceur de Farbe« et

parent de Max Ilgner, chef de la NW7 . ( 25 ) Lors de leur

cerernonie de mariage en 1937, les amis proches du

prince chan tent l'hymne des Nazis de Horst Wessel.

Peu de temps apres, le noble prince se rend a Berlinpour un entretien prive avec Hitler. Ce dernier declare

publiquement que ce mariage scelle l'alliance entre les 2

pays, idee que la reine Wilhelmina refute.

Encore plus revelateur est le fait que qu'a son arrivee en

Angleterre ap res le debut de la guerre lorsqu'il offre ses

services aupres de I'unirede renseignement britannique,

son offre est refusee par les membres de l'Amiraute qui

ne lui font pas conflance, alnsi que par Ie General Ei-

senhower, Commandant supreme des forces Alliees, qui

lui refuse l'acces aux renseignements americains, Malgre

tout, griee a l'intervenrion du roi George VI, Ie prince

est flnalement auto rise 1 1. travailler au conseil d' organisa-

cion de la guerre. Oups ! ! ! !

Mais changeons de sujee. Pour comprendre la relation

tres speciale entre le prince Bernhard et le General

Wa,lter Bedell Smith, qui a bien sur un acces cornpler

au service de renseignement du General d'Eisenhower,

nous devons avancer de plusieurs annees, Apres la

Deuxieme Guerre Mondiale, le prince Bernhard est

soupconne d ' avoir verse dans le commerce d'ceuvres

d'art volees durant la guerre. Gerben Sonderman, que le

prince qualifie de «rneilleur ami que j'ai jarnais eu- (a-

r -i l oub lie Adolf? ) est son p il or e p riv e pour Ie transport

des oeuvres en question , d'apres Ton Biesernaat, qui a

ecrit sur Ie cercle de l'art dans son etude « T h e Co r re g gi oM ystery» (U)

En 1941, Sonderman, un pilore hollandais sur fokker,

entre en contact avec des Allemands irnpliques dans

Ie pillage de chefs d'oeuvres flamants. Alois Miedl, Ull

«banquier, espion et marchand d'art» qui porte I'unifor-

me SS (27) est son proche contact. Apres la guerte, Miedl

travaille pour l'ODESSA, l e r es eau d 'e va si on SS qui met

des criminels de guerre Nazis en securire en Amerique

du Sud, parricullerement en Argentine ou I'on pense

que Bormann s' est refugie. C'est aussi la destination du

prince Bernhard apres la guerre et il est comme d'habi- ,

'tude accompagne par Gerben Sonderman, son «meilleur

ami».Le prince Alfred zur Lippe-Weissenfeld, un Noble hon-

grois et parent du prince Bernhard, est aussi implique

dans ce traflc d'an. Par un autre de ces heureux hasards,

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ET GEOPOLITIQUE

U S

la Hlle du prince Alfred est la femme du Baron Hans

Heinrich Thyssen-Bornemisza de Kaszou, neveu de

Fritz Thyssen et heririer de la fortune familiale.Ainsi que nous lavons vu auparavant, Walter Bedell

Smith entretenait des relations etroites avec le prince au

moment ou Montgomery elaborait sa strategic initiale

pour prendre res poms hollandais et ainsi penetrer it

Berlin par la Ruhr. Comment peut-ou qualifier cette

relation si l'on considere Ie fait qu'apres la guerre, Be-

dell Smith et Ie prince Bernhard faisaient des affaires

ensemble sinon cornrne servant des interets «d'import-

exporb> parce qu'elle comprenait une societe de com-

merce d'ceuvres d'art appelee B ernha rd L td qui utilise

des avions rnilitaires pour aller de Soterberg -a une

courte distance du palais de Soesdjik, palals. du prince

- aux USA.

Cependanr, en Aout 1945, Bedell Smith preta son jet

prive it Reinhard Gehlen, Ie maitre de l'espionnage

Nazi et ses 5 subordonnes pour aller it Washington DC

pour des negociations secretes. Ce deplacernent etait

en contradiction avec la politique americaine et, selon

l'ecrrvain Charles Higham, a abouti it des poursuites en

Cour Martiale centre Bedell Smith.(2S)

Les rapports entre la famille du prince Bernhard et

les Thyssen peuvent d'une certaine maniere expliquer

pourquoi Ie prince , ainsi que les services de renseigne-rnents hollandais parcouraient la Russie en 1945, afln

de recuperer des «papiers cornpromettants» caches et ap-

partenant a Fritz Thyssen portant la mention «propriete

secrete de Thyssen». Cetre petite faveur fur accordee

sous Ie pretexte fallacieux que le prince s' occupait de

recuperer les bijoux de la Couronne hollandaise derobes

par les Nazis. Les papiers sont ramenes en Hollande et

deposes ala banque Voor Handel a Scheepvaart, Rotter-

dam, appartenant en sous-main a Thyssen. Connue sous

Ie nom d '» O p ira ti on J u li an a» , cette astucieuse combine

est un coup porte aux efforts des enqueteurs des forces

Alliees chechant it retrouver les pieces rnanquantes de lafortune de Thyssen. (2~) Allen Dulles, qui etait I'avocat

americain de la R otterda m B ank. Apres la guerre, il

quitte le bureau de l'OSS a Bern pour devenir le chef duservice de renseignernent US en Allemagne.

Le Cercle de la Rose

La famille Lippe semble avoir entretenu de nombreux

liens avec des organisations dotees de services de

renseignernent, Prenons comme exem ple 'i 'O rdre de L a

Rose de L i ppe , un ordre chevaleresque relie a la Maison

Allemande de Lippe. La N oble C om pa gn ie de fa R oseest une ramification de cet ordre. Elle fut fondee par

messieurs Ernst August Prlnze zur Lippe, Ie premier

cousin du prince Bernhard, et Rodney Hartwell.

Aujourd'hui, l'acces au N oble O rdre de L a R ose est

exclusivement attribue a l'Invitarion des rnembres d'un

curieux institut de recherche, l 'A u g u sta n S o ci ety , cree en

1957 sur des criteres bases sur la genealogie, la royaute,

la noblesse, la chevalerie, la science heraldiqueet dont le

j

IIII!

QG est un chateau situe dans le desert de Mojave pres de

Dagert, en Californie. '

Le plus curieux ici, c'est que plusieurs des premiersrnembres de l 'A u gu sta n S oc iety et certains de ses fon-

dateurs dont Crolian Eden, Robert Formhals, Robert

Gayre, John Driscoll, George Balling et Forest Baber

travaillaiem autrefois, pendant la guerre, avec les servi-

ces de renseignernent, principalernent ross. Tous sonten outre des anciens S hi ck sh in ny K ni gh ts, un .soi-disant

«faux» ordre qui pretend descendre du G ra nd P riore

R u sse de l 'O rdre de S ain t J ea n de Jerusalem. Les Sh icksh in -

n y K nig hts se vantent de compter parmi eux de vrais

militaires pro-Nazis poidslourds anglais et americains

ainsi que des offlciers de services de renseignemenr'"

On pretend que la premiere activite de l 'A u g u sta n S o ci et y

est la collecre de renseignernents. Plusieurs de ses mem-

bres ont travaille ensemble pendant 3 ou 4 ans avant

d'y adherer officiellement it ce qui devint une entire

legal aux. environs de 1954. D'autres affirment que ce

n'est qu'un service de renseignement de facade pour Ie

SMOM ( T he S overeig n M i li ta ry O rder o f M a lta ) l'Ordre

offieiel des Cheval i e rs de M a lte du va tican . I . :A ugu stan

Soc ie ty etait a I'origine base a Torrance, en Californie,

d'ou l'adage populaire aux USA: «si vous entendez un

eternuernent it Torrance, on repondra 'que Dieu vous

benisse' sur la Via Condoui». La Via Condotti a Romeaccueille le Palais de Malee, QG du SMOM. Son lien

avec cette histoire n'est pas sam; inrerer. Les mernbres de

cct ordre cornptent parmi ew:: des Nazis notables tels Ie

Dr Herman Abs, directeur d'I G F arbe n et de la Deutsche

Ban k , egalernent connu par son sobriquet de «payeur

des salaires d'Hitler». Robert Gayre, un des fondareurs

de l 'A u g u sta n S oc ie ty esc decore de la presrigieuse Grande

Croix du «Merito Melicense» du SMOM, tout comme

Reinhard Gelhen, Ie maitre de l'espionnage Nazi, qui

la re'ru en 1948, et James Jesus Angleton, auquel nous

reviendrons plus tard, Aucun des freres Dulles n'est ho-

nore par cerre recompense, tour simplement parce qu'ilssont protestants et non catholiques.

Par un fait curieux, en 1946, Adolf Martin, Ie fils de

Martin Bormann choisit d'entrer dans les ordres et suit

un cours preliminaire au Monastere Federaun, pres de

Villach en Autriche. Ce rnonastere est sous la tutelle de

l'eveque Hudall, rnembre influent du Vatican et respon-

sable de la mise en place des voles ferrees souterraines

d' evasion Nazles plus connues cornme les «Ratlines».

Plus alarmant est Ie fait qu'Hudall est le «tuteun d'Adolf

Martin Bormann ainsi que d'un autre moine, le frere

Avery Dulles, fils de John Foster Dulles Ie Frere alne

d'Allen Dulles. Le monde est petit, n' est ce pas?

En outre, les Chevaliers de l'Orde de Malte sont cou-

pables d'avoir aider des milliers de membres des SS

et les pires Nazis it fuir vers la liberte par Ie moyen de

ces «Ratlines», et de leur avoir ainsi perrnis d'echapper

it la justice de Nuremberg et it la pendaison. Concue

it I' origine cornrne une voie ferree pour les criminels

de guerre recherches, elle est rapidement utilisee, je le

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comprend rnaintenanr, pour faire passer en contrebande

l'or, l'argent et autres butins Nazis destines a renflouerI es e no rme s sommes perdues par 1a famille Rockefeller

avec ses investissements en Allemagne avant la guerre.Allen Dulles, Herbert Walker et James Jesus Angleton,

ont assiste les Rockefeller dans cecte ignoble entreprise,

En tant qu'ancien chef du bureau italien de ross et plustard chef du bureau de la CIA a Rome, James Jesus An-gleton est charge du «compte» du Vatican et it mon avis,

il etait au courant des penchants hornosexuels du Pape

Pi XII (autrefois Pape Nucio de Baviere dans les annees

20) et erait en position d'utiliser ces informations pout

faire du chantage.

Allen Dulles, Herbert Walker et James Jesus Angle-

ton sernblent proficer largement de leurs commissions

pour avoir aider atrallsporter Ie magot au benefice

des Rockefeller. Angleton en a d'autanr plus profite vu

qu'il pouvait cooperer avec le SMOM, l'unite de rensei-

gllement du Vatican, et travaiiler pour les interets des

renseignements us.Ernst August Prinz zur Lippe, Ie Dr Otto von Habsburg

de I'ancienne Maison Imperiale Austro-Hongroise et le

prince Victor Emmanuel de Savoie, fils du roi Umberto

II , sont les dirigeants de l 'A u g u sta n S o ci ety . Le roi Urn-

berto fut le dernier roi italien et il fut force d'abdiquer

apres la guetre pour avoir ete Pro-Mussolini. 31 Le

prince Victor Emmanuel est Ie Grand Maitre de ' t 'Ordre

C heua leresqu« de S aint M aurice et S ain t L aza rus, agree

par Ie Vatican.Autre charrnante coincidence, le fait que Robert Gayre

(dont on a pa rl e c i- de s su s) est it la tete de la branche US

de la tres raciste IAAEE ( I nte rn atio na l A sso cia ti on fo r th e

Advancemen t 0 / E u g en ic s a nd E t hn ol og y) basee en Ecosse.

Leugenisme est un puissant courant sous-jacent da:ns

l 'ideologie et la rnaniere de penser Nazi. ,

>LIAAEE fu t fondee par Lord Malcolm Douglas-Hamil-

ton, capitaine de fregare de la RAP pendant la Deuxieme

Guerre Mondiale er, en' outre, parem de la Reine Mere

via Pamela Bowes-Lyon sa mere. nest egalement un

mernbre du « C li oe do n S et» , autre appelation du «Grou-

pe» Rhodes-Milner qui adherait aux objectifs de guerre

d'Hitler, II avait en plus la fierre d'ecre Ie frere du Dued'Hamilron, qui comme nous Ie savons, etait I'hote de

Rudolf Hess a l'issue de son vol en Ecosse en 1941.Le colonel Robert Gayre est Ie fondateur de l 'O rdre de

S ai nt L a za ru s de jerusalem it Edinburgh. La branche US

de eet ordre fur cree par Lord Malcolm Douglas Ha-'

milton. Robert Gayre etait egalement vice-president de

I'ICOC ( In te nu lti on al C o mm issi on a /O r de rs o /C h i/va ry ).

Le Sixieme Congres International de l'ICOC se tint a

Edinburgh en 1962 sous la presidence honorifique du

Due d'Edinburgh et fut preside par le Due d'Harnilton,

Un pont trop eloigne

Apres cette diversion assez exhaustive" revenons

maintenant it nos moutons, c'est it dire it I'audacieuse

strategie deMontgomery conuue sousIetitre d'Operation

«M a r ke t G a rde n» destinees it permettre la prise de 5 ponts

hollandais et it faciliter ainsi urie entree massive des forces

Alliees en Allemagne.

Ceux qui Ont vu I'adaptation cinematographique dulivre de Cornelius Ryan < IA B ridg e T oo Fa n> se souvien-

dront certainernent de I'opiniatrete de ees soldats du }1""

bataillon de 1 a 821me troupe aeroportee des USA, sous

le cornmandernent du major Julian Cook, qui ont fait

traverse la Riviere Waal en pagayant sur d'encombrants

bateaux, sous Ie feu incessant des allemands, pour pren-

dre d'assaur et assurer la defense de 1aroute menant au

pont de Nijmegen, a quelques miles au sud d'Arnhem.

C'erait l'ulrime tentative pour venir en aide aux para-

chutistes britanniques menes par le Colonel John Frost

et vaincus a Arnhem. L e 3 em c baraillon reussit au prix

Pont d'Arnhem. Hollande

fort it prendre le pont de Nijmegen. Mais au lieu de

prendre d'assaut la route d'Arnhem pour prerer main

forte au colonel Frost er garantir Ie succes de I'aud.acieuse

strategic de Montgomery, un chef de division des gardes-

grenadiers britannique parvenant au pont de Nijmegen,

declara it son homologue US : « Nous ne bougerons pas

nos tanks cecte nuit» 32 Furieux, Ie colonel Tucker com-

mandant Ie 504eme regiment US qui assurait la prise du

pont protesta avec vehemence qu'i1 ne fallait pas perdre

de temps avant l'arrivee des renforrs allemands et que les

britanniques devaienr saisir cette chance de venir en aide

au colonel Frost it Arnhem. Indiftereht a ces arguments,

I'officier anglais repeta : "Bon, mais nous ne pouvonspas bouger nos tanks la nuit» en ajoutant : «1l0US Ies

bougerons au marin» 33

Le rnatin suivant, de facon previsible, Iesecteur est repris

par Ies troupes blindees allemandes venues en renfort,

Oubli inhabituel, Cornelius Ryan ne mentionne pas le

n011!du chef de division britannique dans son livre. On

note aussi quelques inexactitudes dans I'enchainement

des evenements,

Une recente serie de documentaire sur BBC intirule

«Battlefields» presentee par un historien , le professeur

Richard Holmes produisit une emission it «La Bataille

d'Arnhem». Le realisateur a fait une interview de Mof-

fatt Buriss, commandant de la compagnie «I» du 5 0 4 i : m < ,present lorsque Ie General anglais Horrocks a demande

au Colonel Tucker, [e commandant de la S04 cm c de

prendre d'assaur le pont en traversant la riviere Waal.

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ET GEOP·OLITIQ.UE

U 5

Selon Buriss, le General Horrocks declara : «C'est une

tache impressionnante. Esr ce que vas soldats peuventl'accornplir ? » A quai le colonel Tucker repondir : «Eh

bien General, si nous prenons Ie pam d'assaut, vas tanks

seront-ils prers a intervenir ? » Horrocks assura : «Mes

tanks seront diablement prers pour Arnhem et rien ne

les arretera» 34

Une fois Ie pam pris, Ie capitaine Buriss accueillit Ies

premiers tanks et quelle ne fut sa surprise de le s voir

s'arreter, n en dernanda la raison au sergent qui corn-

rnandait les 3 premiers tanks bient6t rejoint par un 4'm.

sous le commandemenr du chef de division. Celui-ci

retorqua qu'un paste anti-tank l'avait dans sa Iigne de

mire et que: «si j'avance par la , cette arme detruira man

rank», Buriss lui proposa : "Bien, nous irons neutraliser

cette arme avec VOUS). Mais le sergent refusa son offre

ee lui dit: "Non, impossible, je n'ai aucun ordre a cesujet» 35 Cette situation est en totale contradiction avec

les propos du general Horrocks ainsi que sa promesse au

colonel Tucker.

Dans son journal de bard o fftcie l, I e chef de division

a seulement consigne que la position du pOnt de Nij-

megen avait ete «consolidee»,

Ce dernier apparait aussi dans le documentaire. n ydeclare : « Il aurait ete plutoe diffidle d' avancer». MaisBuriss n'est pas du merne avis et avoue qu'il «s'etaic

senti trahi». Ses hommes ant paye la prise du POnt au

prix fort avec les rnirrailleuses, Ies canons de 20mm et

d' autres nornbreuses autres armes qui les arrosaient, Par-

centre, les britanniques «se sont arretes sous la menace

d'une seule arme alors qu'ils avaient une division entiere

de tanks» a leur disposition. D'un point de vue pratique,

aucun paste arme ne separate les gardes~grenadiers d'Ar-

nhem, a 12 kilometres. A I'extrernite nord du pont d'Ar-

nhem, les parachurisres briranniques tenaient encore

bon. Avec Ie colonel Frost blesse, son commandant en

second, l e major Tony Hibbert de l a 1 0 J < Brigade de pa-

rachute rnenair le combat. IIpouvalt entendre les tanks

du chef de division de loin. Mais ils ne sont jamais venus

jusqu'a lui. Inrerviewe pour I e documenca lr e, Hibbert

exprirne cyniquement, un brin arner que l'operarion

«M e rke: G a rde n» «aurait pu et aurait du marcher», et

ajoute avec un air desabuse que les tanks du chef de

division etaient pourtant «[usre de l'autre cOte du pont

lorsque nous avons ete surpasses»

Les amities nazies de la cour Royale

d'AngleterreEn vertu du fait que le monarque britannique sur Ie

rrone est generalement nomme Colonel en chef du

regiment, onpeuc en conclure un patronage royal du

corps des gardes-grenadiers. Seull'un des dnq regiments

britanniques a l'honneur de porter Ies couleurs du roi, le

drapeau royal, devanr lui a I' occasion de son annlversaire

officiel. Cette tradition remonte a leur mission de pro~

tection rapprochee de Ia famille royale, des palals royaux

et de leur starut de «troupe dornestique»

Les gardes-grenadiers forment aussi run des regiments

ayani l'honneur de protegee la personne du roi, Ensern-ble, Us font serrnent d' allegeance a celui qui est considerecomme le Chef des Forces Arrnees du Royaume-Uni, Le

fait que ce serment soit adresse au roi et non au Par-

lement a une signification pardcullere. Curieusement,

la l e r e sortie en public de l'acruelle monarque, la reine

Elizabeth II, eut [ieu en 1942 a I'occasion de l'inspectiondu corps des gardes-grenadiers, en tant que princesse

Elisabeth lors de son 160m • annlversaire,

Le chef de division des gardes-grenadiers auquel Hibbert

fait reference se nomme Peter Alexander Rupert Smith.

C'est un membre de la tres puissanre et influenre famille

Smith, une des dynasties de banquiers peu connue du

public et qui remonte a 350ans. C'est dans les annees

1650 que Thomas Smith cree la banque S am u el Sm i th dr

C o a Nottingham. C' est l a 1 < 1 < banque anglaise dont le

siege se trouve hors de L ondres, L es generations succes-

sives de Smith s'assurent de la bonne marche des affaires

et en 1902, 10 succursales sont en activite.

Non seulem ent un dirigeant de la famille Smith pris

Lord Rothschild en amide, mais les deux dynasties fu -

rein plus rard liees par un rnariage, Une autre alliance

dynastique fur aussi scellee avec la celebre fatnille de

banquiers, les Baring.r : : influence de Ia famil le Smith prit de plus en plus d ' am-

pleur, Frances Dora Smith epousa Sir Claude Lyon-

Bowes. Ce sont les grand~parentS maternels de lady

Elisabeth Bowes-Lyon, qui se maria avec le prince Albert

(<<Bertie»), Duc d'York en 1923. En 1936, le prince

Albert devient le Roi George VI et Elisabeth devient

la Reine Elisabeth, la Reine Consort, connue plusrard

comme la Reine Mere. Ces dernieres annees, un article

sur sa sympathie envers le «mouvernent pour la paix»

evoqua son «desir d'evicer les conflits avec l'Allemagne

et d'etablir des liens plus etroirs entre les 2 pays». 36

Un journal alia jusqu'a publierqu'elle aurait volontiers

accepte une occupation allemande a condition que son

statut et celui de la monarchiedemeurent inracr." Son

frere, David Bowes-Lyon, dont elle est exceptlonnelle-

mem proche, fur avant la guerre, un des direcreur de la

ban que L a za rd B r oth er s et tint aussi un role important

bien que vaguement defint au seln du SOE _(3S)

I

La «connexion L a za rd B r oth ers « est irnportante erane .

donne les liens de cette banque avec le pro-Nazi Sir

Henri Deterding de la R o ya l D u tc h S hel l ( longtemps

consideree comme detenue en majeure partie par les

families royales hollandaise er britannique) ainsi qu' avec

Ie Vicomre Beamed d'Hill Samuel, tous deux relies au

baron Kurt von Schroder, pur et dur Nazi, financler

du chef SS Heinrich Himmler et membre dirigeant

du «Cerde d'Amis d u R eic hsfiih re r» . E r comme par

hasard, Allen Dulles etait l'avocat americain de von

Schroder. 39 Celul-ci bait en outre un des directeurs de

L a za rd B r oth er s er menibre de l'Association Anglo-A].

lemande (AAA) fondee en 1935 par Ernest Tenant. Ce

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banquier allemand erait le proche ami de Joachim von

Ribbenrrop, ministre des affaires etrangeres d'Hitler,

De nombreux rnembres de cette association etaient des

adrnirateurs d'Hirler dont certains ne se contenrerentpas de I'admirer.

Prenons l'exemple de Sir Oswald Mosley, l 'un des mem-

bres fondareurs du B ritish U nion o f Fascists, plus connu

comme les Blackshir t : et finance par Berlin. Un autre

rnembre de l'AAA etait I'Amiral Sir Barry Domville,

admirateur enthousiaste du nazisme, qui deviendra

plus card un S hi cksh in ny K ni gh ts. 40 Charles Edward,

Due de Saxe-Coburg et Gotha est envoye en Angleterre

par Hitler pour presider l'AAA, avec pour instructions

d'ameliorer les relations anglo-germaniques, de faire

pression pour une alliance entre les deux pays. Membre

est Ie Duc d'Harnilton qui, comme nous I'avons vu

precedernrnent, est Ie conran britannique recherche parRudolf Hess pour son vol en Ecosse. Saxe-Coburg-Go-

tha est bien sur Ievrai nom de famille de la farnille royale

britannique , il est rernplace par Windsor pendant la

1cr<Guerre Mondiale pour effacer routes les expressions

d'animosite du peuple britannique.

La mise a jour des etonnantes connexions entre la fa-mille royale brirannique et les Nazis continue. Le 25

Aotit 1942, le prince George, Due de Kent et frere du

Roi George VI meurt a bord du Sunder land , appareil de

l'escadron 228 du commandement eerier de la RAF, qui

s'est ecrase sur Ia colline d'Eagle's Rock pres de Berrie-dale, en Ecosse. Les auteurs du livres «Doub l e Standerds»

41 emettent la possibilite d'un sabotage de l'avion sur Ies

ordres de Churchill afin d'eviter la conclusion d'une al-

liance secrete entre l'Allemagne et l'Anglererre qui devait

etre officialisee en Suede par Ie Duc de Kenr, probable-

menr au nom de son frere, le Roi . Les auteurs pensent

que l'adjoint du FUhrer, Rudolf Hess voyageait avec lui

it bord de cet avion. 42 Etanr reste it Balmoral la nuit

precedent Iecrash, le Due s'est regale d'un dernier diner

en compagnie du prince Bernhard de Hollande. La

princesse Sophie est par l'age la soeur la plus proche du

prince Philip (qui a change son nom de famille Mount-

barren et est devenu le Due d'Edinburgh en 1947 lorsde son mariage avec la princesse Elizabeth). La princesse

Sophie epouse done le prince Christopher de Hesse, un

membre du staff d'Himmler ayanr ece recrute en rant

qu' «agent" 43. Le prince Christopher rneurt dans un ac-

cident d'avion en 1944, deux ans apres la mort suspecte

du Due de Kent.

Les "Bildeberger"

C'est sans grande surprise que l'on apprend que le chef

de division des gardes-grenadiers, Peter Smith est en

fait Ie 600,. Baron Carrington, plus connu comme Lord

Carrington. En Avril 1985, la reine Iesacre chevalier clutres noble O rder of the G arter, Ie plus ancien et le plus

prestigieux ordre de chevalerie britannique qui remonte

it plus de 700 ans, Lord Carrington, mernbre de la fa-

mille royale par le sang a connu une illustre carriere. II

est notamrnent un ancien president du groupe secret et

d'elite des Bide/berger . Initiees en Mai 1954, les confe-

rences des Bide lberger rassemblent l'elite du monde afinde rechercher un consensus sur Ie s tournures prises dans

Jes affaires rnondiales. Elles sont vues avec beaucoup de

suspiscion par pensent qu'elies outrepassent les prin-

cipes democrarique et exercent sur nous unedictature

mondiale au profit des sews interets de quelques privile-

gies. Parmi ceux qui ont fonde le B i de /b erg er G ro up , on

distingue Ie Gem!raI Walter Bedell Smith, Allen Dulles,

le Premier Ministre francais d'extreme droite Antoine

Pinay (44) et Otto Wolf de la flrme Ot to Wol f A G basee it

Cologne. Le pere de ce dernier fut un important sponsor

d'Hirler, Autre mernbre : Sir Colin Gubbins, Ie directeur

du SOE pendant la guerre qui mit en place ec entraina

les «Unites Auxilialres» prets it former une resistanceclandestine a line eventuelle invasion Nazi. Celles-ci

,

I

!!I!!II;

I!

ILes participants aux conferences sont nombreux et tres j

influents. Comprerenr parmi eux, a I'occasion, David !Rockefeller, Walter Boveri J r -HIsdu fondateur de B rown )

Bouer i - Sir Eric Roll de la banque d'affaires Wflrbu lg de ILondres et enRn Ie Dr Herman Abs de L 1G F ar be n, juste ~

pour nommer quelques uns d'entre eux dans cette etude. I" ,

Le l< r president des Bide lberger est le prince Bernhard de .Hollande, II presida les reunions jusqu'en 1976 quand Iildemissionne suite it sa disgrace pour avoir accepte des J

pots-de yin dans l'affaire Lockheed." i

Autre fait important, la Ie " reunion des Bide lberger !s'est tenue 10 ans apres l'echec de l'Operarion ,<Marke t !

Gardem, dans un hotel ( «Bidelberger», d'ou Ie nom du '!'

Groupe) situe it Osterbeek en Hollandes , it quelques ki-

lometres d'Arnhem et de Nijmegen, au coeur du theatre I,:

de l'attaque de la prise du pont d'Arnhem. ,

Est-il possible qu'Osterbeek ait ere choisi pour la 1''' jreunion des Bide lberger afin de celebrer dans Ie secret !le succes du plan de Bormann? Peut-etre. Pendant ses I2 premieres annees d' existence, quatre reunions se sont ,tenues a raison d'une par semesrre.F En 1954, elles !d "se eroulerent au Mois de Mai et de Septembre. En !

1955, au Mois de Mars er de Septembre. Par la suite, !dies devinrent annuelles, ayant lieu au mois de Mai. Le )

mois de Septembre 1954 est bien evidernment le mois ide l'echec ou de la rrahison constituee par I'Operarion j

«M a rke t G a rde n» " ,I

Lannee 1954 est importante pour d'autres raisons. En

effet, cette annee-la, les Allies donnerent leur accord I , ' ,

pour le retablissemenr de I'AIlemagne de l'Ouest au rang

de nation souveraine. En Mars 1955, [es en treprises 1

allemandes sonr enfin affranchies du controle des Allies

ILe s capitaux de T hy sse n, K ru pp et autres qui ont e r e ;caches it I'etranger peuvent alors etre tries et reintegres !pour la reconstruction de l'Allemagne ainsi que l'avait i

!

sont it leur tour reliees aux unites armees "Oxen Unit»

expertes en sabotage. Une d'entre elles etait presente it

Berriedale au moment du crash de I'avion du duc de

Kent.45

NEXUS n038

mal-juin 2005

8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

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19-20-

21-

22--

23-

GSG&Associares. California, 1981, page 307Voir "The Secret Cult of The Order" d'Amhony C. Sutton pages

34-35Voir «Martin Bormann: Nazi in Exile" de Paul Manning, LyleSmart, 1981,page 232 personnes de plus, routes 2 representant le gouvememem alle-mand eraient presences Ii la reunion de la «Malson Roug""Voir «Martin Bormann» de Manning, meme livre, page 32Voir ,A Bridge Too Far" de Cornelius Ryan, Wordsworth Edi-[ions, 1999, page 48 (egalement Simon & S chusrer, 1974)Idem page 70Idem, page 43"La Fraterj~ite" est le ~om choisi par l 'aureur Charles Highamdans son livre «Arnerican Swastika" (Dou bleday 1985) pour

d6CI.iI.e . l . '. i m . p. . ortanr reseau de personnes et de societe! des nationsA ll ie es e [ n eu tr es qui ont c olla bo re es av ec le s Nazis,

Voir "Trading with the Enemy" d'Higham, pages 179-181

Ce compte-rend. u renfe:me u..n m~uscrit non-,edite sur d,esqucs;uons relatives aux mterets des Na7.lSet des affaires US qUi ont e r eecrites par le P r Peter Dale SCOttqui m'en a gent:iment donne unecopie .

Voir ie sire hrbp'llwlYw,micheluotijn corn/atp1fw4cmreggio,

htrn

I d e mVoir "American Swastika. de Charles Higham page 260

Voir l'article de John Loftus «The Dutch Connection" disponiblesur son site hrrp;llwww,j911ll-ioftus,comftbyssen,a"p pour des de-tails Sur i'Operation Juliana, Cependanr, dans sa correspondance

avec l'ecnvain , le jounalisre hollandais Ton Bicscmaat met endome l'exacrirude des allegations de Loftus, en affirmant que leprince ne s' esr pas due,eremer" Impllque mills qu'il a au lieu de(cia ordo nne 11des « ar nis e r des agents influenrs de &ire le travail11S " ' - place». B iesernaat declare aussl qu'aucun bljou n'a ete recu-p e r e a Berlin rnaisque par con rre quelques «actions" de Ia famll lel'ont e r e bien que le principal object if etair de mew" la fortunede la ,famille Thyssen-Bornemiszas en securite.

Pour plus d'inforrnadons sur les Shickshinny Knights, voir rnonarticle «The Spoils ofW"", sur Im:p;llwww,deeel'bhekies c!!.llkJe coml;rendqu'en fai" le roi Umberto II deresralt Mussollnlmais qu il a accepre d'abdiquer pour evirer un bain de sang,Voir «A Bridge Too F a r > de Cormelius Ryan dans lequel ilnegligeen vain de nommer [e major anglais en question. IIn'est cepen-dan! pas le seul dans ce cas, Je n"a; pI.! rrouver aucune source enligne qui menrionne le nom du major,cela revele I'lmpression-nant pouvoir d'une &mille vrairnenr puissanre.

Rappor'.! par Thomas Pin, un ,e[gem de la 504- et de la 82"'"[foupes aeroporrees, prism! 10[5 de ces discussions.Notes tirees du E'rogramme «The Bart le For Arnhem» du docu-

ment ai re «Ba rdef ie ld s- Sill BBC TV

IdemVoir «Double Standards: The Rudolf Hess Cover-Up. de LynnPicknert, dive Prince et Stephen Prior, Time-Warner Books;

Roysume Un i 2001, page 265

Idem; voir egalement «The Independanr On Sunday" 5 Mars2000Voir «Double Standards» de Ptcknerr, Prince et Prior, le rnemeouvrage, page 264Voir .SS-I ;The Unl ike ly Dea th of Heinrich Hir nm le r" d e HughThomas, Fourth Estate, 2001, page 92, En outre, dans ce livre,Thomas dernonrre rnagistralement qu'Himmler s'est probable-mentechappe er que la personne qui s'est suicidee «air en fajr

undouble,A propos des Shickshinny Knight" voir mon article «The Spoilsof War' sur bnp;/fww\'{,deepbrackies,.CQ,ukVoir "Double Standards" de Plcknett, Prince et Prior, p ag e 4 33Le livre de Thomas Hugh «The Murder of Rudolf Hess" (Man-d.ala Boob, 1977) conrient i'histolre bien connue que ce n'ctaitpas Hess mais son double qui a c u , incarcere a Spandau, Une £oissu ql.!eles Ru55e5etaient disposes a Ie dkher, apres des decen-nies de refus, son double emprisonne est assassin .. pour que le

secret so i t sa uf. -

Voir «SS- l» de Hugh Thomas, le meme livreVoir men article «Circle of Power» qui erudle le Pinay Circle,

egalemem connu comme le «Cercle», disponible sur http:/ /www;~p_h~ VOIlS pouvez y voir de nombreuseserudes

.imeressan,es qui s'emrecroisenrVoir ,Double Standards" de Picimett, Prince et PriOt, page 421I.e prince Bernhard meuIt Ie 1 Decembre 2004, jusre au momenta u ·eel article est mil; SOllS presse.Triia.u§risme" de Holly Sklar (South End Press 1980 ) men-

t ionne ce curieu.x fait ida page 171Voit .Marcin Borma._nl1"de fuul Manning, page 281idem, page 258 .

HISTOIRE ET GEOPOLITIQUE

~~'%~v.' U 5~~~: .

prevu Bormann, 48 En Octobre 1954, Ie traite qui mit

fin al'occuparion de l'Allemagne de l'Ouest est signe aParis, 49

Le futur ressemble au passe. Malheureusement,

traduction: Rondro Henintsoa

A propos de l'auteur :

David Guyatt a travaille 28 ans en tant qu'agent de pla-cement dans la City de Londres, Le dernier peste qu'il aoccupe est celui de Tresorier divisionnaire d'une grandebanque lnternationale. 'II poursuit rnaintenant une car-riere de journaliste, ecrivant pour toutes sortes de me-.dias, produisant et meannt des recherches bastes sur desfaits materiels et sur un large eventail de sujets lies entreeux, Ceci est son 1110 1< article pour NEXUS, Le plusrecent s'inticule «Project Hammen) publie dans ie n" 29,

En plus de sa d..isposit.ion pour I'ecriture, David a preparedes dossiers s.ur.les Armes Electromagn.eti.ques Anti-per-sonnel du JCRC ( International Committee of the RedCross ), II etait un rnembre collaborareur du projetSI_RUS de I'ICRC qui cherchalc a definir les criteresde jugement des «arrnes epouvantables» II a egalemeruecrit pour le WiJ rl d D ev e lo pment Movement au sujer de sa«connaissance approfondie du financemenc internatio-nal des armes. En outre, iI a ere consultant pour des do-cumentaires des televisions en Suisse et au Royaurne Uni,ayanr pour sujet la menace des armes non-mortelles er la

piste des arrnes bnranniques en Indonesle, II a egalementassiste Ie cabinet juriclique Easton& Levy, base am: USAdans son proces centre IeVatican pour la restitution de laTresore rie Naz i -Croa re transferee illl cireme nc a u Vaticaner ailleurs a la fin de la 2me Guerre Mondiale. David aaussi dernierement mene une etude approfondie sur letrafic de l'or et ['a publiee en forme de livre eleccroniqueintirule «The Secret Gold Treaty» disponlble sur son sire

web: hnp:/lwww, deepblackies.co.uk

N O TES D E I:A UTE UR1- Par «tourner autour» je veux suggerer que peu imporre celui

qui gagne une election presidentielle aux USA, leur poliriqueetrangere reste fondarnentalement ia meme,

2- Ici, cela a une importance particuliere <jue e ' est a la suite de lasignature du Traite de Versai lles que de nombreux indusrrie ls

allemands, dcnr Ies familles Thyssen et Dormer, on e developpeleurs rechniq lies financieres po ur ma.-;quec{la prep riete de la leurs

capiraux,3- Voir la conference de Lynn Picknett et de Clive Prince «The Rise

of the Rough Beast» colloque de Sauniere Society, 19 Seprembre1999. Voir egalemem les nombreux articles de I'Agenda de lasynarchie ou du synarchiste, publie par Execucrve IntelligenceReview,

4- Picknett er Prince, meme livre,5- Voir «The Secret Cult of Th e Orden d'Anthony C. Sutton,

Veriras, Auckland, 1986, page 326· Voir l'article "How The Bush Family made its fortune from the

Nazi," ecrit pal John Loftus en Septembre 2000. bttp.f/""""",il)hn. loU tlS,.CO mlThysscn, i 1 W -

7- Voir"'Timeline of Treason :The Bush Family Connection to the

Na.zis~au http://ID''W,s~rr~qtlgdy5;?.1 ~plt!t'!l~lin&hIDll8· Voir Wall Street and t e Bolshevik Revolurion d Anthony C.

Sutton, 19819- Voir "Wall Street and the Rise of Hirler" d'Anthony C. Sutton,

Arlin~on Books, 1974, page 9310- Voir 'Trading with the Enemy" de Charles Higham, Ddacorte

Pr~sS,1983, page 18911- Idem page 2 i112" Idem page 13313- Idem·

14· Voir mon ankle "The Spoils ofWarR disponible sur b[tp:l/www,~blacki;;o_~ .

15- Voir. The Anglo-American Establishment" de Carro!! QUigley

30-

.31-

32-

3.3-

34-

35-36-

4.3·44 -

45-46 -

47-

48-

49·

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_____ 111111-~--

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facteur declencheur majeur de farnaladie d'Alzheimer etpeut-etre aussi de la maladie de Parkinson et de la SLA

(maiadie de Lou Gehrig). Cela pem egalemem expli-quer la multiplication par dix des cas d'Alzheimer chez

les perSonnes ayant recu le vaccin centre la grippe cinq

ans d'affJee (Dr. Hugh Fudenberg, sous presse, JournaLof Clinical Investigation). IIest en outre interessant de

noter qu'une recente etude a mis en evidence que lephosphate d' aluminium entralnait uri taux d'aluminiumtrois fois superieur au taux d'aluminium dans le sang,

tout comme l'hydroxyde d'aluminium (Flarend R.E.,

Hem S.L et al., " In vivo absorption 0/ aluminum-con-taining vaccine adjuvants using 26 Ai », Vaccine 1997;15:1314-1318).Bien entendu, dans certe conference, nos chers expertS"d' "1 ' - . donnenous isent qu I n existe « aucune onnee rnontranr

un effet curnulatif ou synergique entre Ie mercure erl'alummium »,

Le Dr. Isabelle Rapin exprime son inquietude au sujet

de Ia reaction de l'opinion publique lorsque ces infor-

mations finiront par filrrer, Elle explique (page 197)que Ie public va s'en emparer et qu'on ferait mieux des'assurer de {((a) recornmander la prudence [sic] et (b)

continuer en ce sens en raison des repercussions tres

irnportantes de ces donnees sur la population et la sante

publique ». Le Dr. Johnson ajoute que "-lesenjeux sont~norm_es», A partir de Ii, comment ne pas au moins enconclure au constat d'une reaction extremement preoc-cupee des scienriflques aux resultats de I'etude: Vaccine

Safety Datalinle ? I1setaient de toute evidence terrifies al'idee que le public ait vent de ces informations. Tam-

ponnes en caracteres gras en ham dechacune des pagesde l'erude, on pouvait lire les mots « NE PAS COPIER

OU DIFFUSER» et « CONFlDENTIEL ».

C'esc le genre de formule que I'on s'artendrair a trouversur des dossiers top secrets de la NSA ou de la CIA plu-tot que sur uneetude c1inique de l'innocuite des vaccins,

Pourquoi ces informations etaient-elles gardees secretes

? La reponse est evideate : elles pourraient rnettre endanger Ie programme de vaccination et condarnner

les organismes de reglementation federaux pour avoirignore ce risque pendant tam d'annees, Norre societe

regorge de millions d'erifants ayanr ere affectes plus oumoins gravement par cette politique de vaccination.N'oublions pas non plus les millions de parents ayant

ere obliges d'assister, irnpuissants, aux graves atteinrcs it

leurs enfants par ce programme devastateur,

Le Dr. Roger Bernier avertit (page 198) que « Ies resul-

tats negatifs doivene etre affiches et publies » (par resul-tats negatifs, il fait allusion aux conclusions lndiquaml'absence de toxicite du mercure sur le systeme nerveux),Pourquoi dent-if tant it ce que les « resultars negarifs »scient publies ? Parce que, dit-il;« d'autres parties molns

responsables considereront la retention de ces resultatscomme un signe defavorable". U veut dire le signe qu'ilexiste un problerne avec les vaccins contenant du thi-

merosal. A partir de la , je suppose qu'il veut un articledisant seulement que l'etude n'a rien decouvert. Commenous Ie verrons, son souhait s'est realise.Par ailleurs, Ie Dr. Rapin note (page 198) qu'une etude

reaiisee en Californie a decouvert une multiplication par300 des cas d'amisme suite it I'inuoduction de certains

vaccins. Elle s'empresse d'atttibuer cela a un meilleur

diagnostic des mededns. IIy a deux choses essentielJes a

s

noter . a ce srade, Premieremenr, son idee d'un rneilleur

diagnostic des medecins ne s ' appuie sur aucune donnee,

mais juste sur ce qu'elle a envie de croire (si quelqu'unsoulignant les dangers de s vaccins faisait de rneme, eUe

crierait a la supercherie) . Deuxiemernent, le Dr. Bill

Wei! attaque ce raisonnernent quand il dit (page 207) .:

« ....le nombre de reactions liees it la dose est linearre et

seaustiquement significatif. On peut jouer sur les motsa volonte : lineaire .... statistiquement signiflcati£ " End' autres terrnes, comment peut-on contester des resul-

tats qui montrent un fort lien dose/reaction entre la

dose de mercure et les problemes neurodeveloppemen-

taux 1 Pius les enfants ont des raux de rnercure eleves,

plus ils onr de problemes neurologiques.Le Dr. Wei! continue en disant que l'augmenration desproblernes neurocomporternenraux est probablementreelle. II explique aux aurres qu'i! rravaille dans un

systernc scolalre offrant des programmes pedagogiquesspeciaux, 11declare (page 207) : «Je dois dire que Ienombre d'enfants ayam besoin d'une education spe-

cialisee augmente a une vitesse sans precedent, rant al'echelle du pays qu'a celle de chaqueetar, II ya done

bien une augmentation. Nous pouvons nous demandera quoi elle est due. »

Le Dr. Dick Johnson semble egalement impressionnepar les resultats de I'etude. II declare (page 199): « Celien me conduit it deconseiller d'Immuniser [es enlants

de moins de deux ans avec des vaccins contenant duthimerosal s'i1exisre d'aurres preparations », Chose

incroyable, il s'empresse d'ajourer : {(Je ne pense pasque Ie diagnostic jusdfie une indemnisation dans lecadre du Vaccine Compensation Program (programmea'indemnisation des vicdmes de vaccins) a ce srade ».

II est interessant de norer que I'un des experts presemsn'est autre que Ie Dr. Vito Caserta, direcreur du Vaccine

Injury Compensation Program.

ttvpocrisieet fausses declarationsA ce stade, le Dr. Johnson fait part au groupe de sesinquietudes concernant son propre petit-fils. II declare(page 200) : «Pardonnez-moi cette observation person-

nel]e, rnais j'ai recu un appel urgent a huit heures er rna

belle-Idle a mis au monde un fils par cesarienne, II s'agitdu premier gar<;on de Ja generation suivante et je neveux pas que mon petit-fils receive un vaccin a base dethimerosal rant que I'on n'a pas d'idee plus precise sur

Ia question. Cela prendra probablemenr longremps. Enattendant, et je sais que cela aura surement des implica-

tions a l'echelle internationale, je prefere que mon petit-

flls receive uniquernent des vaccins sans thimerosal ».Ainsi, nous avons la un scientifique siegeanr It ce co-

mite charge d'elaborer la polirique concernant tous lesenfanrs de ce pays, et merne CtUX d' autres pays, qui

est terrifi€ a l'idee que son propre petit-fils receive unvaccin conterianr du thimerosal, mais iI ne se preoccupe

pas suffisarrunent de votre enfant a VOllS pour prendrela parole er essayer de mettre fin a cette folie. Il laisse semertre en place une vaste operation de camouflage une

fois cette reunion terminee et garde Ie silence.

II est egalement imeressant de noter que Ie Dr. Johnsonsent que les reponses menront du temps a arriver, mais

en at(endant son petits-fils sera protege. L'American

Academy of Ped ia t r ics , 1 ' A m er ic a n A c a dem y o f F am ily P h y-

NEXUS n"38

mSi-jUil1 2005

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sicians, !'AMA, IeCDC et toute autre organisation ,50U-

tlendront ces vaccine er clarneront leur innocuite, mais le

Dr. Johnson et quelques autres garderom Ie silence.Ce n'est que lors de la dernrere journee de la confe-rence que nous apprenons que la plupart des objections

concernant le lien positif entre les vaccins a . base dethimerosal et Ie TDA 011 le THADA sont bidon. Parexernple, le Dr. Rapin remarqlle (page 200) que tous

les enfants de I'erude avaient moins de six ans et qlle le

TDA et leTHADA etaienr tees difficiles it diagnosciquerchez les enfants d'age prescolaire, Elle note egalementque certains enfanrs n'ont e r e suivis que sur une courreperlode,

Le Dr. Marty Stein ajoute que, en realire, I'age moyen dediagnostic du THADA est de qllatreans et un rnois (dia-gnostic t e e s difficile a . etablir) et que 1e5recommandations

suite page 40...

'VACCIN rAN1?lTtTANIS,UE :~f;,4ff.~~IIi"J,r.f~~Qf,4 , , ' ( ,t { l M E. :~TifedU,L lvr :e dU,Dr Jean M eric '

« \ l_? ! cc iQ? l t iQ .Qs , )e ne serat plus.complice > > ' E ditio ns M a rc 9 Pietteur

p aY I e m ic ro be , ~ a d ev oir q uitte r \a -p la iee trejo in dre Ie systerne nerveux ce ntra l. E lleva donc sortir de la ptaie et se retro uvera to rs d an s. un milie\l aerobte. Elle peut daneetre atta qtle e p ar I e s yste me imm un it:aire :

Est-ce que ' a toxin« peut-~tre attaquee

Les partisans des vaccinations, par: exem - . par les an~i-corps lorsq.u'el/e quitte .Ie Nou s c omp re no n s p ou rq uo i it ex iste d es te-pie, de pu is ,· pl us de 70 : ans, nous affii:nie-nt·, milieu anaeioli'lie'l . . > • tanos su r les g ra nd s b rQL esalors que.ceux-cicp! La vac ci na ti on a n ti te ta n iquee st ef- . H elas, pas de chance. La toxine chem ine visiblement n'ont pas eu de contacts avecficac:e a 100% . Pour eux, les tetanos ant de L a p la te a na er ob re au systernenerveux d es s po re s tetantques au moment de L a I;>rl)-lieu u niq uem en t ch ezles (lq n-v acd nes.,: C e ,cei;i\-.raj;(la t# te) c;lan sles n erfsa.\'in terieu r lu re. D es sp ores. p resen tes ch ez I 'in diyfd ud isco urs end octrii1 eur' et m oralisateu r: n 'est des neffs: ('est, L a < i u S S ! ; un" milieu avant-leur brU lure, resistantes a lachaleur,pas digne de L a science meditate. Cette inaccessib le aux anticorps, Tout ce qui trouvent des ttssus p re se ntan t a pre s L a br u-~ science, c ett e n ou v el le r et ig io ~ nous ch em in e d an s les nerfs« (toxine, virus etc.) lure, des conditions locates d'anaerobtoses,est lmpos e~ . de P lu s~I 1P_ lu~ ,, ~u~on~a jr e- . " - e s t , al~abti dusystenie-lm munitaire. C 'est C esparties ne sentplus vascularisees, lement avecar rcgance e t in tim l: :J a tIOJ :1 '1' ",' ,te,t,ano,S eel,a,te. . " . .: _ _'

, -- . ----. __.0. --.' . pour ceta qtl'apres un letanos guen' it n'y aEtudions donc L a vaccination antlteta1 )i- jatT lalS d'ariticorps antitox ine. N ous comprenons aussi pourquoi Ie te-

1JIe· , .IIfal,Jd(i!lt:q u e : les v4cdn.;Jlist~sse /JQsent tanosneonatal est toujours m artel. Le s

Ce tt e v~cc \f 1 at foh ne se rt st ii ct emen t , a . etifin les bonnifs questions.': Adine_tt'pns' ttssu sso utlles p ar la co up ure d u co rd on neI t t' I d t' 'A ' . I p euv ent retrouver une vascutensattonsat-:

lien. E e este resuttat d 'une rnonumsn- que a toxin« pUissef:t'tre neutra iseepar vatrice: L a ligature em pechant tout retourtale erreu r, eL le n e n ou s p ro teg e p as, les anticorps,. bien que cela soit imposs.i-

. bl .. . I ,possible de lavascularisa;tion ..I. e bacill.e:\'i~ , te t ai lo5appeh§\: ( :10~Wdi~m '. '- ' : ~~.q'tfsepa~f~:a,t-i., >';. . . .. '.. " , ".

tetani est .une bacterie anaer6 bie sm .·d. Le sys ,te me irnm., u rirta ke es t im pu iss an t' '~n re~unie:';r. lC:iusavons _ un'm icrobe et sa" ;. tex ine "ui sent a l'abn des anticorp sdans la·. .Ced veut d fre que ce b acille n e peut vivre vi s a vis dll bacille puisqu'ilest dans' sa ..,IJIe d an s u n'l: ni lj~ u po ve d 'a i~ ,J jo nC ld 'o lW ' .- pl i! ie ah aemb ie ,. seuteIa toxine .dans .ce,plaie tetanigEme et Une toxine a I 'abrt des• D ,,' ...' •. , y.. t l" F ' I'". . •. '- a n, tic :o tp s d an s I es n er fs , ; L es a nt i_C -O rp san ~gene.. ar1s ,i ; lO. tJ ~s u s j:in ,lrn gQ ej o xy g~ rr e', C a~ se r_ alt:" neU , l ) , q !~~,~s M t lC O r .p s . V o nt tito xin e v a" cin allX ,' n e 5 6n t d bn c, d 'iiu cu nE f:_Ie badLLe dutetanos meurt. '-' rencontrer la to xlile 'et fo rm -erd es cam-: ,__ I"'

. . t ," '. t' b LL util.ite.Cette vaccination doit etr~ aban-Fleut-on a-,roirune sction des anti-corps p,exe~antigenes.anti-corps! m ais ~ ac~ e. d en ne e, p uts ou 'e tte n e s auve pe rs onne .Mlti-toxine --dansun tissu en anait:05io",,,, te~amq~e va enClJreproqu~re de la toxme . . .• ? ' .. '. ,." __.. ~•. ' -.' ' .' '~"'&ipl1i~I:IU~tI n !est':e-~ s\attaq ~e, .g e n ow e" au x·. ji(elu ded ~'cette v accin atio n, neuron des.

cOl)1ptexesantlgenes-ant]corps vont etre latnedecine, \a 'p lu s u tile et Ia p lu s i hd is .·prodaits. Une surcha rge en complexes anti- pensable des vaccinations, se revele com-ge ne s- a1 : lt ic o rp .s va s e, p rqdui ri ;! . D e s degats p tetem en tin utile. M alh eu reu sem en t, il enirfkversibtes voritse'pi-'odt;fire stau-bout, t a o x . 'est d e m em 's p ou r d'autres vaccinations et,mort du malade: H eu reu sem en t q ue cette peut-etre bien, toutes tes vaccinat ions.

vaccination nesert a, rien, qu 'il n 'y a pas de Je pense qu'il n 'y a pas de vaccinationscontact· entre toxineet anticorps. . possibles contre une ba!3 terie, quelle .que .

NOl l svoyons -dO~C q~~ ce' vacci~est tota- " soit la. bacterie, lor.sque les conditio ns loca-'L em entinutiL e qu'iI n 'a aucune action. Que les sont reunies.vous soyez vaccine au non vous avez les'. meme s, ris qu es d ' attr ap er I .e t eta no s, q ua ndles co nd itio ns lo Cales d 'an aero bio ses so ntpresentes.

La . baisse du nombre du tetanos est dures~ eh tiellem en ta ta ch iru rg ie et a \ 'emploide s antib io t ique s.

La chirurgie est la pour parer la pL aie,en lev er les. p artie n ecro sees, les ~ hard esett. , E lle supprim e les p arties anaerob iese t a in si rev as cu ta rise r la p laie .

,L ~s ij" ,n tib io tlq Ues o n_ t p ou r fo nctlo n d esupprimer tes s Lirin fe ttio ns p ar d es b acill.es .p yo gEmes g ro s co nso mm ateu r d 'o xyg en e.C es b ad l ie s f a.v or is en t ta c hu te . d u p o te nt ie l

I .es vaccinations ~~ttoujours e teemj ; : tf r iqueset non s cie ntifiq ue s. C ec l n ou s a c on du it adiser d es p ro du its d an ge re ux e t l nc er ta ln s.Pa r tan t, l es y .a ccinat ioQs , _progre s siv!' !! ll ent ,sont d ev en ues rn tracu leu ses, au reg ard d estn d tv id us e t des medec ins.

Absolument pas puisque Ie systeme

m munitaire est, dans le, sang, un m iL ieu 'm:ygene." ti' tr an sp ort d e's an tic br:p s,': I e'ia ng ag e imm -u nitaire , tes lympnocytesproducteurs d'anttcorps, se trouve dansla circulation sanguine. L a ou iI y a desCW1tk:orps ,' n: \i li al 'a emb ie , ( {ne"pe ut '''I avoirdes b ad lle s d u te tan o:; , m ilieu a nae to bie .

N ous avons a faire a deux mondes tota-(ement heFmetiques l'un par rapport a('autre. . ..

La meilleure preuve de ce que feeris,c 'est que, apres un ~etanos gueri it n '~y_a . .jam ais d'atiticorps antibacterierisou art-tito xin es d an s L e san g d es co nv alescen ts.Cec i prouve que les Q 'acltles, L a t oxine neren tren t jam aisen co ntact av ec lesy stem eIm munitalrc ': . N ous aV ons'dohc bien uneva cc ina ti on p la ce bo.

Les p artisan s d es v accin atio ns v on t m 'o b-jecter que ta va c; ;t ln ii tj on o 'e st p as ' d ir ig~cootre Ie bacille, niais con tre sa tQ xine. L atoxine fab riq uee d an s la p laie an aik ob ie.,

NEXUS n038

mal-juln 2005

d'oxydoreduction qui aid e a 1'installation.du tetanos. La toxine tetanique es t secre-tee dans le but d 'a ugm en te r l'ischemleloc.ale,c'est a d ir e r en fo rc er l'anaeroblose.Hetas p ou r les m alad es c'est tous le s mus-cles d u co rp s quisont tetantses.

- P our les virus c'est un peu plu s G om pljque.que pour les bacteries,' m aJs I ' action desv accin s an tl-v irau x n 'est p as p lu s .satisfai-sante et tres dangereuse pour L asante desiridividus. 1 1 est temps de retlechir avantd'a.gir e t 'd 'etudier, enfin, toute laface:cach ee d es v accin atio ns. L es v accin atio nsn e so nt p as d es p ro du its 'an od in s. E lles co n-tjennent des tas d'im pu retes (v irus etran"g ers, serum .de veau , p roduits chim iq ues,m etau x lo urd s). L es v accin atio ns a virusv iV a nts n e p eu ven tetre steri\isees p uisq uecela detruirait t'actlo n du viru s vaccinal.N ous ne savons 'donc pas ce que nous in--jectons.... .

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u

publiees par l 'A m er iC t ln A c ad em y o f P e di atr ic s limirent Iediagnostic aux enfants ages de 6 a 12 ans, Bien entendu,il sous-entend que Ie THADA a ete diagnostique chez

un trOp grand nombre d'enfants. Pourtant, une recenteetude a revele que la farneuse etude danoise" qui avait

conduit l ln stitu te o f M e di ci ne aannoncer qu'il n'existairaucun lien entre l'autisrne et Ie vaccin ROR avait utilise

la rnerne tactique : ils arretent le suivi de I'enfant a l'agede six ans (* Madsen K.M., Hviid A.,Vestergaard M. etal., « A popu la tion-based stu dy of m easles, m um ps and ru -

b el la v ac ci na ti on s a nd a uti sm », New Eng. J . Med. 2002;347:1477-1482). On sait que, surtout avec le TDA et

Ie THADA, beaucoup de cas apparalssent apres cettetranche d'age. En fait, la pluparr des problsmes d'ap-

prentissage apparaissent au fur et a . mesure que i'enfantest amene a gerer davantage de substance intellectuelle.

Par consequent, i1 y a des chances que Ie s auteurs deJ't~tude n'aient pas diagnostique un certain nornbre de

cas en arretant I'etude nop tot.

Developpement cen!bral et effetsneurologiques

Plusieurs des participants tentent d'insinuer que l'autis-me est un trouble genetique et n'a done rien a . voiravecles vaccins, Le Or. Wei! fait taire cette rumeur avec cecornmentaire ; « une relle evolution genetique en 30ans est impossible », Autremem dit, comment pouvons-

nous soudainement voir une augmentation de 300 %d'un trouble generique sur une si courte periode ? On

sait aussi qu'il existe deux formes d'autisme : une qui estapparente a . la naissance et l'autre qui se developpe pluscard dans I'enfance. Le nombre de ca s de la premiere for-me d'autisrne n'a pas bouge depuis que I'on a commencea en erudier les statistiques ; l'autre est epldemique.

Notons unechange interessant, dont i1 s finissent par seservir pour affirmer que le mercure ne presence aucun

danger pour les enfants irnrnunises avec des vaccins itbase de thimerosal. II concerne deux etudes realiseeschez des enfants nes de meres consornmant de grossesquantites de poisson contamlne au mercure. Lune de

ces etudes, rapportee dans la revue Neurotoxicology, s' est

p en ch ee su r [e s e nfan cs vivant aux Seychelles. Dans cette

etude, les auteurs om examine l'effet d'une expositionprenatale au rnercure via la consommation par la merede poisson riche en methylmercure. Uneserie de testssur des etapes d e s du developpernenr om ete effectUeset aucun effet nefasre n'aete rapporte dans cette etude

menee par le Dr. Tom Clarkson [et ses collegues), celui-

l a meme qui etait present a cetre conference. 1 1 ne men-tionne nulle part qu'une etude de suivi de ces memes en-

fants a bel et bien decouvert un lien entre une expositionau methylmercure er des resultats mediocres it un test

de memo ire. Dans uneetude ulterieure portant

sur les enfants des lles

Feroe exposes au methyl-mercure, les chercheursont aussi decouvert des

troubles du developpe-ment neuronal. Cette

experience a ere dalisee

par des scientlflques ja-ponais.

5

Pendant tout Ie reste de la discussion, Ie Dr. Clarkson etl es autr es se referent a ce s deux etudes. Quand on leurrappelle que l 'erude des lles Feroe a bel er bien revele des

lesions neurologiqu es chez Ies enfants, i ls repliquent endisanr qu'il s'agissait d'une exposition prenataie au mer-

cure (e r non d'une exposition postnarale, comme dans

Ie cas des vaccins), I'idee etant qu'avam [a naissance,

le cerveau est plus vulnerable car en phase d'intensedeveloppernent et de formacion des neurones. Comme

je 1'ai mentionne, cette croissance et ce developpernenrrapides du cerveau se poursuivent pendant deux ans

apres la naissance ; merne a . I'age de six ans, le cerveaun'est forme qu'a 80 %.

Le Dr. Clarkson ne cesse de faire allusion a . I'etude desSeychelles, qui a dernontre que les enfants atteignaienr

les stades neurodeveloppementales norrnaux au vu d'un

certain nornbre de tests. Le Dr. Wei! souligne (page216) que cela nous en dit peu sur l'activite cerebrale avenir de ce s enfants. n declare : " J' ai entendu dire quebeaucoup d'enfams avaient des difficultes scolaires, Le

fait est qu'ils avaient atteint un stade de developpement

normal ou avance, mais qu'Ils ne savaient pas lire a ragede huit ans, ne savaient pas ecrire a rage de neuf ans, nesavaient pas cornpter a J'age de dix an.s et, aurant que je

puisse en juger, ces la cu ne s s on t sans rappon avec ce queI'on apprend des differemes etapes du developpement

de ces enfants, Je pense done qu'i! s'agit d'une fa~on tres

rudimentaire d'evaluer Ie neurodeveloppernenr. »

Autrement dit, les etudes des Seychelles er des iles Feroenenous disent

riendu veritable

developpemenrdela -

fonction cerebrale de ces enfants, sice n'esr qu'ils arrei-gnent les etapes les plus basiques, En d'aucres terrnes,

votre enfant peut etre capable d ' empiler des cubes, de

reconnaitre des formes et d'avoir des cornpetences Ian-

gagieres de base, mais plus rarddans la vie iI pourra eneconsiderablement deficient des lors qu'll s'agira de rna-

rhematiques avancees, de oornperences langagieres plus

poussees (comprehension) et de l'aptitude it affromer laconcurrence dans un milieu intellectuel tres cornperitiftel que le college ou les etudes superieures, Lavenir deI'enfant se reduira aux metiers les plus terre-a-terre et Ies

plus Iimites sur Ie plan intellectuel.Le developpement cerebral postnatal (c'esr-a-dire, de-

puis la naissanee jusqu'a l'age de six ou sept ans) englobeI'affinemem des connexions synaptiques, Ie developpe-ment dendritique et le raffinement des voles neurales,

etapes preparant roures Ie cerveau a un raisonnementplus cornplexe. Ces elements du cerveau sam tres

sensiblesaux toxines et it une stimulation immunitaireexcessivedurant certe periode, Cela n' est pas rnentionneune seule fois Iors de cette conference.

N'oublions pas non plus que les enfants de ces deux etu-des n'ontete exposes qu'au merhylmercure et non a . ref-fet neurotoxique combine du mercure, de I'aluminiurnet d'une activation excessive et chronique du systeme

irnmunitaire cerebral (microglies). C'est done d'autantplus incroyable que plusieurs de ces «vaccinologues »

et soi-disant experts expriment des doutes qumt a la« plausibilire biologique» que [e thimerosal ou toutautre ingredient entrant dans la composition des vaccinsentraine des troubles neurodeveloppemenraux. La.do-cumentation rnedicale regorge d'etudes de ce genre. Laplauslbilite biologique est tres forte.

NEXUS n038

rnal-juln 2005

8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

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Le mercure, par exemple, rnerne a de faibles concentra-tions, est connu pour perturber la production d' energie

par les enzymes mitochondriales, Le cerveau a run des

raux meraboliques les plus eleves de tous Ies organes,

et une penurbarion de son apport en energie, surtout

durant la croissance, peut avoir des consequences devas-

tarrices. En outre, rnerne a des concentrations plus fai-

bles, le mercure est connu pour endommager l'AON er

nuire aux enzyme.s reparatrices de l'ADN qui, B. encore,

jouent un role vital dans le developpernent cerebraL

Enfin, merne a des taux extremement faibles, on sait

que le rnercure perturbe Ia stabilite des neurotubules.

Les neurotubules sont absolument essenriels au fonc-

tionnernent normal des cellules cerebrales, Le mercure

active les rnicroglies, ce qui augmente l'excitotoxicite et

1ap roduction de radicaux libres par Ie cerveau ainsi que

la peroxydanon des lipides, mecanisrnes centraux des

lesions cerebrales, 0'autre part, merne a des doses infe-rieures a celles pouvant causer des dommages cerebraux

evidenrs, le mercure perturbe le systeme de transpon du

glutamate, ce qui declenche a son tour une excirotoxi-cite, mecanisme central de l'autisrne er autres troubles

neurologiques. Ironie du son, l'aluminium paralyse

~galement ce systeme.

A la page 228, i! apparait encore une fois que Ie gouver-nement americain n'a pas cherche a demontrer l'inno-

cuite des vaccins a base de thimerosal, malgre I'existence

de plus de 2 000 articles revelanr.les effets nefasres du

mercure.On nous dit que la FDA « possede un formi-

dable site d'experimenraeion dans l'Arkansas avec des

centaines de milliers d' animaux» it sa disposition pour

eff"ecmer route etude necessaire ann d'apporter ces re-

ponses sur l'innccuite. La question suivante s'impose :

pourquoi, alors, le gouvernement a-t-il ignore le besoln

de recherches pour repondre it ces questions concernant

l'innoculre du thimerosal? Rappelez-vous qu'au debut

de la conference, Ies participants s' etaienr plaints qu'll

n'existair que quelques etudes, voire pas c l' etudes du

tout, concernant ce « problerne ».

Une fois encore, Ie Dr. R ob er t Brent se repand en injures

centre les proces (page 229). II r u t aux autres qu'il a etelmplique dans trois proces lies it des cas d'anornalies con-

gertitales provoquees par les vaccins et conciur : « Si vous

voulez voir de la science de pacotille, regardez plutot ces

affaires ... » II se plaint ensuire du type de scientlfiques

ayant remoigne dans ces proces. Ii ajoute : « Mais le

fait est queces sclentiflques sont lei, aux erats-Unis, »

En substance, il qualifle route personne opposee It la« polltique officielle » de vaccination de « sclenrifique de

pacotille », Nous avons vu dans la discussion qui SOnt lesveritables scientifiques de pacotille,

Conscient que leurs decouvertes peuvent leur causer

beaucoup d'ennuis, Ie Dr. Brent ajoure (page 229) :

« Les conclusions medlcales/juridiques de cette etude,

causales ou non, sont horribles ... Si I'on venait it suppo-

serque les troubles neurocomportementaux d'un enfant

etaient provoques par des vaccins a base de thimerosal,on n'aurait pas de mal a trouver un scienclflque de pa-

cotille qui soutiendrait cette hypothese avec un degre

de conviction suft1sant. ,) II admet ensuite qu'ils sont

en mauvaise posture parce qu'rls n'ont aucune don nee

pour leur defense. A1ors, qui sont les scientifiques de

pacotille ?

Les {(vrais scienrifiques » sont-ils ceux qui ne disposem

d'aucune donnee, se contentent de prendre leur desir

pour la r€alite et om Ie « sentirnent » que tout ira bien

? Les vrais scientifiques sont-ils ceux qui ornettent d'In-

viter des specialistes reconnus du problerne en question

durant une conference parce que cela risque de rnettre

en cause le « programme»? Ou encore ceux qui decla-

rent ne pas vouloir que leur petit-fils receive dis vaccinsIt base de thimerosal jusqu'a ce que [e problerne soit

regle, maisaffirment pourtant a des millions de parentsque ces vaccins ne presentenr pas le moindre danger

pour leurs enf an ts e r p et ir s- en fanr s ?

Le Dr. Martin Myers formule les choses ainsi (page 231)

: « Ce qui me preoccupe, et quelques-uris d'entre vous

en ont parle, c'esr qu'il existe un lien entre les vaccins

et des problemes qui inquierenc aurant les parents que

lespediatres », II cite d'autresexplications possibles aux

problernes neurocomportementaux et neurodevelop-

pementaux lies aux vaccins, dont Ie nombre de vaccins

adrninistres, les types d'anrigenes utilises et d'autres

additifs employes.

Le Dr. Caserta declare qu'il a assisre It la conference sur

I'aluminium l'annee precedente et qu'il a appris que les

meraux pouvaient souvent agir differemment dans les

systemes biologiques que sous forme d'ions. Cela est

inreressant quand on sait qu'associe Ii l'aluminium, Ie

fluor forme un compose capable de detruire de nom-

breux neurones hlppocampiques It une concentration

de 0,5 ppm dans l'eau po-table. Plus de 60 pour cent

des agglome.rations ayant de l'eau potable fiuoree, cela

devient une preoccupation majeure.

On a egalement appris que les composes de Iluorure

d'alurninium imitaienr Ies composes de phosphate et

pouvaiem activer les proreines G. Les proteines G jouent

un role majeur dans de n or nb re ux s ys teme s biologiques,

tels que le sysrerne endocrinien, et dans fa foncrron

neurotransmettrice en rant que messagers secondaires

intracellulaires. Certains recepteurs du glutamate sont

regis par Ull mecanisme de protelnes G.

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rnat-juln 200S

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Limiter les degats

les 10 a 15 pages ~UIV"'"U"~,

de contr61er ces info

e filcrenr pas et, le cas

arrive d€lI®Etjtaj§

doiven t eue '

a aucun lien et

a ete fait et en 'e~~~~~~~~~~~~:=~marion, ces informations

et nous n'aurons aucun controle sur l'usage

feront. Et cela me p re oc cu pe b ea uc ou p, ear je

qu'i! ne soit deja trOp card pour falre quai queindependammenc de tout organisme professio '

ce qu'i!s disent. »

En d'autres rermes, i! veut que ces .

tenues it I'ecart non seulement du public

autres sciennflques et pediatres jusqu'a ce

erce correcrement conseilles, Dans la

vante, iI rrahit la raison pour laquelle il estit ce qu' aucune personne exterieure ne s'

informations devasratrices. II declare: « Ma

rant que rnembre de ce groupe est de

de la joumee que 100 millions d'

rnunises contre la diphterie, Ie tetanos el'heparire B et si possible l'Hepatite B,

nee pro chaine et pendant encore de

et cela devra se faire avec des vacc.inssal, it mains qu'un miracle survienne:

rapidemenr une autre, solution, qu' 0

qu'e lle s 'ave re inoffensive. »

C'est 1'une des declarations le s plus

jamais lue ou entendue, En substance; '.'

dire qu'il se fiche eperdurnent queces va

nefastes et detruisent Ie deveioppemenenfants ; ce s v acci ns seront admi

jusqu'a la fin des temps. Son seul

merne, est de proreger Ie

merne s'il est dangereux. Le

£05 de « declaration eloquence

A la page 253 , nous voyonsscientifiques changent de

leurs enf an rs e t p e ri rs -enf an ts .

question de la perte d'un point'

position au thimerosal. Elle '

mesurer Ie QI avec auranttout petit point puisse faire

r epond e ll e-merne a sa qrnes peri rs -en fan rs , je vais

. Q I . » P o u rt a n r , i l s dament a I E '1# " fiTs,S~ll

rique, " A lle z v ou s fa ire

IIest e g a l em en t "1 C"";;"~<I,'H~:"I

plomb cam me toxineWei! note que les

de reglementation ont

a 5 ! J g . En fait, certains

inferieurs sont neurotoxiques

Ioppernenr, Avant que Ies 'V~.l,,!,J.l""''''U''~

considerer Ie plomb comme l.1¥"~,"Jl"h.lU"

les enfanrs, la plupart des «

qu'il n' etair pas toxique,

Une fois encore, cela rnontre « experts» peuvent

s

se tromperet c .' est le public qui en paie le prix.

Le Dr. Bob Chen exprime son inquietude it {'idee que

ces informations parviennent au public. II observe

(page 256 ) : '« J u'a present, nous avons ete privilegiescar, malgre la de ces informations, n ou s a vo ns

faire en qu'elles ne rornbent pas, disons,

responsables ... » L e Dr. Bernier

; « On a reussi a tenir ces infor-» Plus loin, il l es qual if ie. . .d' ({informa-

tion du Dr.

globalement, on sentaitn etait engage dans

chose d'une importance sans precedent. je crois

que cet dement a lui aussi confere uncaraccerepeu special a certe reunion. »

VOllS souvenez sans douce que le Dr. Wei! a souli-

que I'analyse des donnees ne laissait aucun douce sur

forr Hen existant entre les problernes neurodeveloppe-

rnentaux et une exposition a des vaccins contenant du

thimerosal. Alo rs , s 'i ls ant compris l'importance de cetre

decouverte et si c'etait la question la plus imporrante

qu'ils aienr jamais trahee, pourquoi n'avoir rien die au

public? En fait, cela va m em e plus loin.juste pour que vous ne doutiez pas un instant de rna pa-

rolequand je vous dis que ce panel d'experts n'etair pas

objectif je vous livre les propos du Dr. Walter Orens-

tein, Directeur du National Immunization Program ausein des C e n te rs f or D i se ase C o n tr ol (CDC) figurant page

259 . I I declare: « Je l'ai vu [Verstraeten] audience apres

audience aux prises avec des individus excessivernent

sceptiques ... » « Des individus excessivement scepti-

ques» : cela deslgne-t-il des scientifiques objectifs qui

souhairaient examiner les donnees avec un esprit neuf

ou bien des sciennfiques qui etaient convaincus avant

la tenue de la reunion que le thimerosal ni aucun autre

ingredient entrant dans la composition des vaccins ne

presenralr un danger pour les enfants ?

Dans I'une des remarques de conclusion, le D r. Bernier

declare (page 257) : « Lautre dement qui m 'a frappe,

c'est la science », faisant par la allusion a la science etaleepar le s participants de l a r encont re , Puis, Ie Dr. Orens-

tein ajoute : "J' aimerais aussi remercier Roger Bernier

qui a organise cette rencontre au pied Ieve . .. »

Voici une rencontre supposee eue d'une importance

sans precedent, et on apprend qu'elle a ete organisee

au pied leve. En outre, on nous dit que les resultats de

certe reunion aboutiront finalement a une politi que devaccination.

8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

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Le Dr. Orenstein a ensuite Ie cran d'ajouter : "Dansun sens, cette reunion aborde quelques-unes des in-quietudes que nous avons eues I'ete dernier quand nous

essayions d'elaborer une policique en l'absence d'unexarnen sciemlfique rninutieux. [e pense que cerre fois·-dtout e st p arfa lrem en r c la ir. »

Eh bien, je n'aime pas jouer les rabat-joie, mais iI n'a rieneclairci du tout. La reunion n'a cornporte que peu, voireaucun, element scientifique ; au lieu de cela, [es partici-pants ont chicane et trouve a redire sur la merhodologieepidemiologique et les menus details statistiques dansI'espoir de discrediter ies donnees, en vain. En fait, les

soi-disant experts du rnercure ont admis qu'ils avaientbesoin de quelques bons cours pour se rafraichir la me-moire et apprendre quelque chose sur le sujet.

Conclusions

Cette reunion top secrete a ete organisee pour discurerd'une etude realisee par le Dr. Thomas Verstraetenet sescollegues a partir des donnees du V tz cc in e S a fe ty D a t a-

l ink dans le cadre d'une collaboration entre le Nat i onaLI mm un iza tion P ro gra m (NIP) du CDC et quatre aSSI(organismes de soins de same integres). Cette etude s'est

penchee sur Ie dossier de 1 10 000 enfan rs, Dans les li-mites des donnees, ils ont fait une etude tres rninutieuseet ont decouvert les choses suivantes :

I. Une exposition It des vaccins contenant du thimerosala I'age d'un mois etait fortement associee au « trouble

avec rristesse et detresse morale» qui etait lie a la dose; autrernent dit, plus l'enfant avait ete expose au thi-merosal, plus Ie trouble etait important. Ce trouble se

caracterise par un bebe qui pleure de tUron incontrolableet se montre plus grognon que les bebes no rr naux , sans

presenter de lesion neurologique connue.2 . Un risque accru quasi signiflcadf de TDA avec uneexposition It 1 2 , 5 )lg 1 1 l'age d'un mois,

3. Pour une exposition cornmencant a I'age de troismois, un risque granrussant de trouble neurodeveioppe-mental avec une exposition croissante au thimerosal. Cetrouble emit statistiquernenr signiflcatif et incluait destroubles du Iangage.

N'oublions pas que le groupe rernoin ne se cornposaitpas d'enfants jamais exposes au thimerosal mats d'en-fants exposes a 12,5 p . g . Cela signifie que I'on aurair tresprobablernent observe un nornbre accru de problemes

neurodeveloppementaux s'ils avaient pris un grouperernoin digne de ce nom. Personne n'a conteste le faitque ces decouvertes eraient importances et troublances.Pourtant, I or sque I 'e tude fmale a eee publiee dans Iejournal Pediatr ics , Ie Dr. Verstraeten et ses collegues am

tappan€ n'avoir trouve aucun lien concordant entreune exposition It des vaccins conrenant du thimerosalet des problernes neurodeveloppemenraux, Par ailleurs,il s' y presence comme un employe du CDC, sans direqu'a I'epoque O U l'article a ete accepte, iI travaillait pourGlPxoSmi thKl i ne , un Fabricant de vaccins,

Alors comment ont-ils reussi ce tour de prestidigitation? U s ant simplemenr ajoute les donnees d'une OSSI sup-

plernentaire, celles du Ie Harvard Pilgrimage. Le depute

Dave Weldon a note dans sa [errre adressee 11la directricedu CDC que cette aSS! avait ete mise sous sequestrepar l'Erar du Massachusetts pour ses fames de gestion.Pourtant, cette etude a reussi it faire disparaltre Ies don-

nees ernbarrassantes de Laprecederite. Les tentarives du

depute Weldon pour obliger Ie CDC it divu lg uer ces

donnees a un chercheur independant, leDr. Mark Geier

(chercheur aux references impeccables et largernentpublie dans des revues professionnelles) se sont routessoldees par un echec,

IIest evident qu'une vaste operation de camouflage est enCOllIS,. comme cela a ete Ie cas avec tant d'aucres scanda-les (le fluor, les excitotoxlnes alimentaires, les pesticides,

I'aluminium et maintenant les vaccins). Je conseilleralsaux derracteurs de la politi que de vaccination actuelle dene pas mente to us leu rs e eu fs dans le rn ern e p an ie r, c 'e st-

a-dire de ne p a s accuser le seul thimerosal, Nul doutequ'il joue un role majeur, mais il y a d'autres facceursqui som e ga le rn en r e ss en ti els , te ls que l' aluminium, le s

complexes de flucnne d'aluminium et I'activation irn-rnunitaire chronique des microglies du cerveau,

En fait, l'activation chronique excessive des microgliespeut expliquer bon nombre des effetsnefastes d'une

exposition excessive aux vaccins, comrne je I'ai soulignedans deux articles recernmenr publies, Lune des proprie-tes communes a l'a1uminium et au mercure n'est autre

que I'activation des microglies. Une activation chroniquedes microglies entraine la liberation de fortes concentra-tions d'excitotoxines et de cytokines neurotoxiques, Ces -

dernieres se sont averees detruire les connections synap-tiques et les dendrites, et provoquer un developpernentanormal des voies neurales dans [e cerveau en developpe-mem de rneme que dans le cerveau adulte,En substance, on administre trOp de vaccins aux enfantsdurant la phase de d ev elo pp ern en t c er eb ra l la plus ra -

pide. Dans les vaccins, on utilise des meraux toxiquesconnus pour interferer sur Iemetabolisrne cerebral et lesenzymes antioxydantes, pour endomrnager I'ADN et les

enzymes de reparation de I'ADN et pour declencher uneexcitotoxicite,

Supprimer le mercure sera une bonne chose, mais celane res ou dra p as le p ro ble rn e parce que l 'hyperaccivariondu sysrerne irnmunitaire causera des domrnages neuro-!ogiques plus ou moins graves a des cerveaux vulnerables

en phase de developpemenr actif

A propos de I'auteur : .Le Dr..Russell Blaylock, neurochirurgien reconnu, prati-que la neurochirurgie depuis 26 ans et dirige un cabinet

nutritionnel prive florissant. IIfait partie des journalistesdu J ou rn al o f th e A m er ic an N u sr ac eu sic al A sso cia tio n et duconseil de redaction de la revue de I'Am e ri ca n P h ysi ci an s

a nd S u rg e on s, organe de presse officiel de ! 'A sso cia tio n o f .

A m eric an P h ysi cia ns a nd S u rg eo ns.

Son premier livre, E xci to toxins: T he T aste T ha t K il l s, a

dernontre Ie lien entre les additifs alimentaires et les

maladies degeneratives. Le Dr. Blaylock a egalementparticipe 1 1 la redaction de trois manuels medicaux et aeerie et illustre des brochures sur la sclerose multiple etIe bioterrorisrne. C'est ega!ement l'aureur de deux livresrecents, Hea l th and N utri tion S ecrets T ha t C an S ave You r

Li fe et N a tu ra l S tr ateg ie s f or C a n cer P a ti en ts. Son article,« L es e xc it ot ox in es: d e d an g er eu x a dd iti fi a li m en ta ir es » a

ete reirnprime dans NEXVS n"10. Le Dr..Blaylock peut6tre contacts via son site Internet: http://www.russel-lblayiockmd.cnln

NEXUS n038

mal-juln 2005

8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

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u

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A huit heures du sou, le 6 juillet, Pasteur faisaic inoculera l'enfant, au moyen d 'u ne s er in gu e de Pravaz, quelques

gouttes de sa culture de r no el le s p ri se s a des lapins quietaienr morts de I l l . paralysie resultant d'injections faites

au cerveau de ce s pauvres animaux. ( . ... ) Pendant le s d ix

[ours suivants, Joseph Meister fut inocule regulierernent,recevant en tout environ douze injections de Ill. dose de

moelle.

commence avant que l'hydrophobie ne s'erabllsse, rneme

apres une annee ou plus ...

L es contradictions ne semblent etre d'aucune impor-

tance quand on a besoin de se disculper, si bien qu'un

medecin americain, Ie docteur Dulles de Philadelph ie,

a pu dire qu' en placanr les declarations de Pasteur cotea core, I'acceptanon de presque chacune d'elles appelait

I 'obliteration des autres!

Mainrenant, en considerant ce cas, nous devons deman-

der quelle preuve avait Pasteur, d'une part que ce chien

fut enrage, et d'autre part de Ill.probabllite d'hydropho-bie qui pouvait s'ensuivre chez Ill.victirne?

De Ill. sauvagerie de l'animal, et du fait d'un exam en

postmon.em. qui a v a i t f .e v . '. · .el€ Ia p.re.sen.c.ede" fOi.n.,p.ai.!l.e Le cas du facteur francais, Pierre R a s c o l , ( .. . ) qui futet morceaux de bois» dans son estornac, on ayah infere contraint par les autorites poscales it entreprendre Ie trai-

a son erat rabique, ( ... ) Quant a l 'entant, lenombre et tement, c e qu'i 1 fit du 9 au 14 mars. Le 1 2 avril suivant,[a severite des morsures recues firenr dire, aux docteurs de graves symptcrnes se revelent, avec une douleur aux

Vulpian et Grancher, appelesa donner leur avis, qu'iJ points d'inocularion - non a celui de Ill.rnorsure, pour Ill.

etait, en consequence, presque inevitablement expose bonne raison qu'il n'avait jamais ete mordu. Le 14 avril,a contracter l'hydrophobie, Pourquoi ? Cornrne nous il meurt de l'hydrophobie paralytique, la nouve!le mala-

I'avons vu il n'y avait pas de preuves .reelles de la -rage di e mise au monde par Pasteur. II ne hut pas s'etonner

chez le chien qui l'avait attaque. Mais, dans !'interet de que Ie professeur Michel Peter accuse: « M. Pasteur neIll.discussion, adrnettons que lanimal ajt ete enrage, on guerit pas Ia rage, ilia donne. " ( ... ) La revendication du

doit se souvenir que les blessures avaient succes rernporte par Pasteur est basee sur rat-ete cauterisees (... ) Pasteur lui-merne firmation qu'il reduisit Ie raux de la mortalite

ecrivait comme suit a un docteur exer- par la rage de 16 % a I %. Mais feu le colonel9am aux environs de Paris: ({Monsieur, Tillard a montre dans une brochure intitu-

1 e 5 cauterisations que vous avez prati- lee Pasteur et fa R age que Ill. theorie d'une

quees doivent VOLIS rassurer pleinemenr mortalite de 16 %, avant que Pasteur n'aitsur les consequences de Ill. morsure, Ne introduit SOI1 traiternent suppose preventlf

faires plus aucun rrairement; c'est inutile. doit etre ridiculement fausse (... ) Pasteur,

- L. Pasteur ». En dehors de Ill.cauterisa- compte 1.7782 malades durant l'annee 1887,

tion, on a vu que Ill.possibilite du deve- ce qui slgnifle, suivant son calcul, que 250

loppernenr de l'hydrophobie chez 'une personnes seraient morres si elles n'etaient

personne mordue, merne par un chien pas venues vers lui, Ceci ne peut que parairreauthentiquernent enrage, est rres reduite ~bsurde en regard des f a i t : " ; Ie chiffre Ie plus; de plus, com me Ia duree de l'incuba- eleve de cas mortels, enregisrre au cours dune

tion peut s'etendre sur dou:ze mois, sou- annee, n' ayant jamais depasse 66 !En outre,

vent sur deux ans ou plus, Ie danger que quittant Ill.France, si nous nous tournons vers

ccuralt joseph Meister n'etait pas fini, de Louis PASTEUR d'autres pays, nous trouvons qu'a Zurich, par

route evidence, apres un laps de temps qui ne depassait exemple, sur 233 personnes mordues par des animaux

guere trois mois, alors que Pasteur osait Ie saluer comrne enrages au cours de 42 annees, " 4 seulement sont rnor-

un rison arrache a l'incendle, pour ainsi dire, grsce a res, dont 2 furent mordues a des endroirs O U les rnesures

ses doses de moelle, Finalement, d'aurres personnes, y preventives ne pouvaient etre prises. })Encore line fois «

cornpris le proprietaire du chien, Max Vone, mordus par Wendt de Breslau, a traite 106 personnes rnordues parIe rneme chien que Meister et Ie merne jour, bien qu'ils des animaux enrages, entre les annees 1810 et 1823.

n' e ussent ete nicauterises, ni traites par Pasteur, resterent Deux sont mortes sur ce nombre 4 ». Avec le traiternent

en bonne sante. Apres un examen artennf de ce premier de Pasteur , la moyenne de cas d'hydrophobie passa decas, si vante, de reussite pasteurienne, on ne peut que 30 it 45. Feu Ie professeur Carlo Ruata se plaint du pas-slice, en ce qui concerne Joseph Meister, et autant que sage de 65 decks a 85 apres l'installation de huit insriturs

son histoire est connue, qu'il ne semble pas s'en €tre sorti anti-rabiques ( ... ) Nous pouvons rajouter quela Societe

mieux ou plus mal, avec Ie rrairement de Pasteur, que Narioualed'Annvivisecrion a reuni une liste de 1220plusieurs autres qui s'en pssserenr. morts apres traiternent pasteurien entre les annees 1885

et 1901, et que I'Union Britannique pour I'abolition

de 1av ivisection prepare nne autre liste qui totalise deja

presque 2000 cas, et que chacune de ces morts apres

traitemen~, a ere prise sur les etats officiels des instituts

Pasteur ...

Fen le docreur Charles Belle Taylor, dans Ill.Na t iona lRev iew de juillet, 1890, donne une lisre de cas O U les

malades de Pasteur sont morts, tandis que les chiens qui

les avaient mordus sont restes en bonne sante.

Mais tout le monde n'eut pas Ill. chance du petit Al-sacien, Un autre enfant, Mathieu Vidau, inocule par

Pasteur et considere comme « gueri », mourut sept

mois apres Ie traitement. Pour se disculper de la mort

d'un autre enfant, ill. petite Louise Pelletier, I'echec fur

atrribue aux rnorsures profondes a la tete, au temps troplong ecoule entre la rnorsure et l'inocularion ; cependant

Pasteur pretendaie a Ill.reussite de 50Il rrairements'Il etaitUAcademie pow fa Defense des Etres Humains propose

centre 20 € ce livre iuedit qui n'avait pas efe reeditedepuis 1948, sous formede CD-ROM pOllC PC et pOllC

Mac.

Academic pour la Defense des Etres Humains- 37, rue de

la Pepiniere - 17000 - LA ROCHELLE

~'. NEXUS n038

mal-juin 2005

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imprudent de photographier, cela aurait

pu les facher j. et de toute fayon ils etaient

capables de detruire ces preuves, car iis

avalent acces a routes ses affaires person-nelles.

Sait-it si d'autres militaires ont pris des

photos des G.B. ?

Non, mais iI se souvient avoir aperyu desphotos de G.B. qu'i1 pense authentiques

dans un livre de poche publie au debut

des annees 1990 ; elie avaient ete prisespar une mere au foyer qui se rendait a Albuquerque

au Nouveau Mexique ; landis qu'elle attendait au bord

d'une grand rome elle vir passer un vehicuie de recon-

naissance et prit ,six photos de G.B. qui rnesuraient

deux metres de haut. On suppose que, sous couvert de

cette histoire, it s'agissait de J'experience d'un militaire

qui aurait pris les photos et les aurait envoyees a cettefemme. Malheureusemenr, it ne se souvient pas du nom

de I'auteur.

des annees 6 0

,!!1Ij,

IIIj

!-

III11

j!j~siI!Ii

!I,~,i;

!

A-t-U r~u des pressions ou des recommandations de

ne pa s divulguer les evenements de Nellis?

Non. II dit que !'information meteorologique n'a jamais

fair partie des domaines classifies. Comme observareur

meteo iI n'a jamais fait partie d'une operation secrete

ou ilfallait preter serment de silence. Les ordres donnes

a Charlie etaient _classifies, mais pas ses acdvites. Certe

decision avait ere prise par un cornite qui incluait lesG.B. et certaines personnes du Pentagone. En principe,

Charlie etait Iibre de communiquer avec les G.B. sans

avoir a Ie rapponer systematiquement.

II raconte que Ies generaux arnericains etaient prets atout pour obtenir des transferts de technologie. Us auto-

risaient les G.B. a tuer les militaires qui les insulteraient,

les menaceraient ou leur feraient du tort. Dans son livre,

il.decrit un incident au cours duquel un militaire, ayant

bruyamment invective un enfant de G.B., dut plaider

pour sa vie. La seule raison pour laquelle les G.B. ne

le mirent pas a mort fut, selon Charlie, l 'intervintion

d'un G.B. masculinaupres de la femme G.B. qui argua

que, puisque Ie militaire n'avair pas touche a l'enfant, lesgeneraux americains ne comprendraiem pas pourquoi

elle aurait tue I'Inculpe, Charlie affirme cependant que

les generaux etaient prets a sacrifler des subalrernes ala

vindicte des G.B. plutot que de voir entrave I' echange

de technologies.

D'auttis'mllitaires ont-lls ete mis a mort pour avoiragresse ou irrite des G.B. i'

I .1 raconta un incident survenu en septembre 1965 pres

de la montagne a Indian Springs ou les G.B. avaienr leur

hangar principal. Seion une histoire qui fit Ia Une parmi

les recits relatant les rencontres avec les G.B. , ceux-ci

avaient ete pris pour des moutons bighorn dans Ie de-serr.. Un chasseur et son copain louerenr des chevaux

avec l'Inrention de ramener un trophee, IIs se separerent

et l'un d'eux s'approcha du hangar des G.B. et tira sur

un de leurs enfants. Les G .B. le saisirent et Ie remirent

aUK gardes militaires humains, Ceux-ci

I'executerentet firent croire a un deces

accidentel. Les gardes trouverent Ie

deuxierne chasseur, lepasserenr a tabacet le mirent au trou pendant environ six

semaines.

Charlie assure qu'habiruellernent si on

ne blessait personne, qu' on 11' €tait pas

arme etqu'on se comportait en simple

randonneur, les G.B . n 'i nr er ve na ie nt

pas. Us ne tuaient que s'ils etaient mena-

ces ; leur doctrine etait : «oeil pour oeil,

dent pour dent». Sl on ne faisait den pour les effrayer

ou les agresser, au pire ils effarouchaiem pacifiquernent

les intrus pour les eloigner.

Qu'est-ce qul lui fait dire que le s generaux etaient siavides de recevoir de Ia technologie des G.B. ?

Ils auraient fait n'irnporre quoi pour entretenir de

bonnes relations avec les G.B., afln d'obtenir leur tech-

nologie. Ceci fur corrobore par une conversation que

Ie G.B. «instructeur» eut avec Charles. u s generauxamericains ne s'opposaient pas a ce que les G.B. tuentdes rnilitaires qui auraient cause du tort a un de leurs

enfams. Le s G.B . e ch ange ai en t des technologies telles

que des systemes radios et communications, rnais den

de ce qui touchait aux vitesses supra luminiques, Ces

echanges de technologie se Iirnitaient a ce qui pouvait

leur erre utile, re i que l 'accesa nos sysrernes de telecom-

munication. Ils aidaient au developpernent de vehiculesa p ro pu lsio n n ucleaire, m ais pas a celui de systernes depropulsion pour Ie voyage spatial. Ils ne partageaient pas

avec les generaux leurs technologies antigravite destinees

a l 'espace,Le s generaux americains les accompagnaient parfois

dans leurs vehicules de patrouille dont la technologie

erait done parragee, puisque ces vehicules eraient CODS~

rruits sur Terre avec nos materiaux et l'aide des militaires

US. Les G.B. assistaienr parfois a des reunions secretes

et participaienr a des recherches de technologie. Charles

decrlvit comment s'operaient cesechanges. Les G.B.

participaient a ces reunions et contribuaient au travail

en posant les bonnes questions.

Dans Ie premier tome, ilraconte un incident all cours

duquel it re~:utdes images mentales de I'epoque dela colonisation de l'Ouest emises par les G.B. Penc-Il

expliquer ,

Charles decrivic comment, alors qu'iIlisait l'hisroire de

la colonisation de l'Ouest, clans la , Death Valley [Vallee

de la Mort] et I nd ia n S p r in g s, iI recut des images men-tales de G.B. depeigriant l'epoque de cette region. Ces

images lui venaient lorsque les G.B. etaienr dans Ie voi-

sinage ec d ispa ra is sa ien r l or squ 'i ls s 'e lo ignai en t.

Dans son livre, it slrue en 19541es premiers rapportsde Iapresence de G.B. dans la region de Nellis. Y a-t-

ildes indices qui, a son avis, reveleraient la presencedes G.B. a nne date anterieure ]Ildit que la legende ! ? dn ge Four Harry (un recit atrribuee

NEXUS n"38

rnal-juln 2005

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u

aux G.B. pat les miliraires de la base de Nellis) remonte

au mains a 1954.

Estime-t-il que Ie s images mentales eaptees corres-

pondent it des evenements passes reels, ou sont-elles

des illusions ~

IIsentait que ces images mentales refletaient des evene-

ments hiscoriques reels. IIobserva que lo rsq ue les G.B.

partalent, les visions cessaienr. Cela laissait supposer que

les G.B. souhaitaient lui transmettre une information

hlsrorique.

Pense-t-il que les G_B. sont presents dans la region de

Indian Springs depuis 200 ans ?

Oui. On I'a informe que Pamela (une femme G.B.) etaitnee dans c ett e v all ee a l 'epoque de James Madison (4 i"I'

President des USA (1809,..1817). Us apprecienr ce lieu

pour 1a chaleur de son climar, element d'importance

pour eux,

A son avis, pour quels motifs les G,B, sejoument-ils

sorTerre?

Us l'utilisent comme base pour leurs longs voyages

spatiaux ; exactement comme I'US Navy le fait dans Ie

Pacifique. IIs se servent de cette base .pour reapprovi-

sionner et reparer leurs vaisseaux, II evoqua les longues

distances qu'ils parcourent dans l'espace et de la necessitede disposer d'une base telle que la Terre O U ils trouvent

tout ce dont ils ont besoin.

Etant donne que des vaisseaux arrivaient et repartaient

avec regularite, il en dedu is ic qu 'i l s'agissait de transportS

commerciaux.

Pense-t-ilque les visiteurs n'ont d'antre objectifque

d'utiliser la Terre comme base de l'espace et qu'ils

n'ont aucune intention de nons colonlser ni de con-

trOler nos gonvemements ?

Oui, c'est ce qu'il croir. Le s G.B. sont tres satisfaits de

ce qu'ils Onto lis Ont une longevite dix fois superieurea la notre, rnais ce lentvieillissernenr implique qu'ils

mettent aussi dix fois plus de temps a guerir, Ils om ete

abasourdis de voir a quelle vitesse Hall pouvait guerlret ils l'observerent attentivement lorsqu'en un jour il se

remit d'une Ieghe lesion en une joumee,

Charles confirma que les G.B. prefh'ent rester entre

eux et ne cherchent pas du toUt a coloniser la Terre oua do miner nos gouvernements. Ils ne s'inquietenr que

d'entretenir de bonnes relations avec le gouvernemem

des E.U. afin de conserver leur base.

Dans Ierroisieme tome ildecrit nn incident au COllIS

duquel ilfut brU le par nne arme a micro-ondes, Peut-ilen reparlee ?

11 expliqua que les G.B. possedent une arme en forme

de srylo qui provoque une vive douleur, la mort ou sirn-

plement Ie sommei!. II raconta qu'un garde de la CIA,

qui aidait une femme G.B .. a manter les marches du bi-

tirnent du Congres, la heurta par inadvertance et qu'elle

le rnenaca a te l point qu'il dut plaider pour sa vie.n expliqua que l'arme-srylo pouvait etre utilisee pour

5

stimuler les frequences des atomes de calcium, ce qui

provoquait de vives sensations de bnilure, tout en ne

brulanr pas vraiment. Lorsque cette arme est reglee pour

agir sur I'iode, eile peut causer des hernorragies mortel-

les. II compara cela a la grande peste noire, lorsque les

gens saignaienr a mort parce que leurs arteres affaibliesdevenaient poreuses. .

Charles donna, dans un e-mail, des details sur le f011c-

tionnement de I 'a rrn e- sry lo , «C et re a rrn e peut e tr e r eg le e

pour stimuler les frequences des atomes de sodium, de

calcium ou de l'iode. Sur Ie sodium, elle provoque une

decharge nerveuse extremernent douloureuse ; regiee

a forte puissance, elle entraine la mort. La stimulation

des atomes de calcium donne le resultat inverse (calme,

relaxation, sommeil, etc.) parce que cela detend les nerfs.Quant a l'action sur les atornes d 'iode, ainsi qu 'd est de-

crit dans [e tome trois, cela provoque la mort pat hernor-

'' V ue d 'a rti st e d es « Gr an ds b la nc s» r cn eo nt re sp ar Ch ar le s J. Halldans les annees 60. ( T h e r e s a Barbatelli,

http://www.exopolitics.orgkharJeshall.htm ), .

ragies internes par suite de modifications chimiques qui

rendenr poreuses les parois des arteres ; Ie sang se repand

dans les tissus environnants puis dans I' organisme ainsi

que dans la glande rhyrorde.»

Il dit que Ie s G.B.etaient d 'h umeurs in sta ble s, passant I

sans transition de I'amide a l'hostillte.Suire a un ma!entendu decrit dans son livre, Charles

fu r a tt ei nt par l'arrne-srylo regLee sur I 'iode, II eut une

hernorragie interne. II s e s ou vie nt qu'une femme G.B.

amicale $'ap pro cha alors de. lui et se mit 11executer une

sorte de danse gracieuse autour de lui.

Dans un e-mail, il decrit ainsi cette femme G.B. : « . ..

une jeune femme, probablement comparable a uneflUe hurnaine de 19ans, haute de lm78 a Im80. Elleavair un compagnon rnasculin qui, je pense, devait etre

son frere, car ils se comportaienr comme des jumeaux,

Entre elle et moi iI n'y avait aucune crainte, So uvent,

Ie soir, lorsque je preparais les ballons sondes pour Ie

leridemain, elle vena.it se placer pres de moi, a C6fe oulegerement en arriere, Elle s'approchair souvenr a porreede mon bras sans manner la moindre frayeur ; et cette

confiance etait reciproque, Par contre, son Frere etait

visiblemenr craintif et gardait toujours ses distances (15

a 20 m). Manifes[emenr je ne lui deplaisalr pas, rnais it

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restair mefiant. Par exemple, il ne me tournait jarnals le

dos lorsqu'il se trouvait it maim de 30m.

Si cet incident se produisit malgre la confiance eta~bUe avec les G.B, qu' est-ce que cela implique pour les

autres membres d e I'humanite :

C'est un fa.it que,. malg re les bonnes relations et les servi-

ces rendus, les G.B. sont toujours susceptibles de diriger

leurs arrnes centre nous. lis ant des temperaments et des

personnalices t e e s differentes des notres.II raconta une anecdote illustranr le caractere d'un gene~

ra l G.B. qui ne supportait pas Ia rnoindre contradiction

et pouvait devenir cruel des qu'il ne se sentait pas obeiau doigtet it l'oeil. Par centre, le rnedecin G.B. ecait rres

amica! et acceptait les contacts rapproches, Le capiraine

G.B. decrit dans Ie livre de Charles erait un type assez

sympathique, mais il ne s'approchalr des humains que

lorsque c'erait absolument necessaire, II ne s' interessait

aux humains que dans la mesure ou cela peuvait l'aider

dans ses activites. IIy avait un ecart culrurel evident,

comparable it celui qui existe entre et .la culture japo-

naise et nous, ce qui n'empeche pas un americain d'etre

en arnitie avec un japonais. Il souligna les rres imp or-

tantes differences de persormalites constatees d'un G.B.

it I'autre.

Quand a-t-il communique directement avec les G.B.

pOW" la demitte fois ?

Apres qu'il ffitaffecte au Vietnam en 1967, il n'eut plus

de contact avec les G.B.

Quelques autres commentaires de Charles J. Hall.De nombreuses anecdotes ne sonr pas relatees dam son

livre. Pat exemple, en 1965, des generaux americains

faisaient visiter aux G.B. le s quarriers en il logeait. La

premiere fois, il crut rever. II se souvient que les geue-

raux proposaieru aux G.B. de les faire accompagner par

des officiers it bord de leurs vaisseaux de reconnaissance.

Charles expliquacela clans un e-mail: «Les gene raux

americainsenvisageaient que deux jeunes officiers ac-

compagnent I e s G.B. dans leur v6hkule spatial long

courrier nair (c'est it dire vers une emile proche). ]'ai

vu de rnes yew: des generaux americains embarquer et

debarquer, avec leurs homelogues G.B., de leurs vehicu-

les de parrouille blancs.» II estimait risque d'inclure cela .

(dans Ie livre), car il soupconnait qu'il s'agissait d'infor-

mations sensibles, probablement secretes.

II souligna que les G.B. observaient it la lerrre les accords

conclus, II cita comme exernple un accord qu'il passa

lui-meme aveceux .. II fut convenu que jamais ils ne

s'approcheraienr de lui sub rep ticement, afin de ne pas

I'effrayer, et il promit la reciproque, Cet accord fut srrlc-

tement observe dans routes les relations que Charles eut

avec les G.B. et cela l'aida II . survivre, 11comprit que, une

fois un accord conclu, on pouvait fondamenralemem

leur faire confiance,

II

ItI!!

I!IIi

!i Evaluation et analyse elC.opolitiquede Charles Hall.

]'ai crouve Charles Hall cres credible et convaincant

dans ses reponses aux questions. n fait preuve d'Incegrire

et se rnontre tres sincere, se contentant de ne decrire

que des elements de sa propre experience. II re la te ses

experiences de maniere tres objective, sans en omertre la

dimension emotionnelle vivace, permettam de prendre

en compte son etat d'esprlr, ce qui encline it ne pas

dourer du serieux de ses declarations. Le s emotions que

Charles depeinr avec objecrivire donnenr la posslbilite

de mesurer it quel point ce qu'il vivait bouleversait sa

vision de monde er celle de ceux qui I'entouraient.

Ce qu'il [apporte des relations des genersux americains

avec les G.B. iUustre bien le stricte respect des accords

rnumels. Les G.B. sont tres forrnalistes, une caracreristi- 1

que qui semblait bien convenir aux rnilitaires US. Ceif1.

est parriculieremenr signiflcarif dans les echanges de

technologies dont Hall dit qu'ils etaient d'rmportance

vitale pour les arnericains. Les G.B. firent dairement

entendre que seules certaines categories de technologies

seraient echangees et que celles qui concernalent les

voyages dans l'espace en seraient exclues, Selon Charlie,

ces echanges concernaient la construction des vehicules

parrouilleurs utilises par les G.B. II est possible que le

fait de livrer aux G.B. Ies mareriaux necessaires a cetteconstruccion offrait aux scientifiques americains certai-

nes indications sur la conception de vaisseaux spatiaux,

Etant donne que Charles a observe cela au milieu des

annees 1960, il est probable que des constructions

plus importantes ont ete tentees plus recemrnenc, uti-

lisant des moyens de propulsion plus avances que Ie

nucleaire.

Sur le plan de l'exopolirique, la question se pose :

«quels avantages les G.B. auraient-iis recus en echange

de la permission accordee aux arnericains d' assister it la

construction de leurs grands vaisseaux spatiaux ? Si la

technologie necessaire a la construction de petits vehi-

ewes a ete [ivree, quelles ressources terrestres ont pu erre

proposees en echange ?" ..

Charles Hall s'avere etre un personnage intelligent

et rdIechi. II possede une licence en physique er une

maitrise en physique appliquee (nucleaire) et il pense

avoir compris les principes fondamentaux du syscerne

de propulsion utilise par les G.B. dans leurs vaisseaux

spatiaux.

11 n'y a pas ete par quarre chemins pour decrire Ie corn-

portement intimidant des G.B.et leur promptitude

it utiliser des moyens porentiellernenr rnortels pour se

proreger, et surtout pour proteger leurs enfants centre

les eventuelles menaces, que c ell es -c i s oi en c volo nt ai re s

ou accidentelles, Alnsi qu'i! Ie decrit dam ses livres, Ie

simple fait de surprendre ou d'effrayer leurs enfants

suffisait it ce qu'ils menacent les humains avec ·Ieurs

armes perfecrionnees. (cf. htp:/ /exopolicics.org/Exo-

Commenr-Zz.htm).

Au cours de l'interview il se limita a . relever que les G.B.ne reagissaleae que lorsque, pour l'une au l'autre raison,

ils se sentaient menaces. II insista sur Ie principe «oeil

pour oeil, dent pour dent», qu'ils observaient parce

qu'il est rraditionnel dans la societe humaine ; c' est la

fameuse loi du calion a laquelle se refece la bible. Charlesse montra rnoins severe it l'egard des G.B. au cours de

l 'interview que dans ses livres,

NEX.US n038rnal-iutn 2005

8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

http://slidepdf.com/reader/full/nexus-38-mai-juin-2005-haarp-vaccination-ovni-himalaya-complet 60/70

u

Alors que, de route evidence, ils'efforcait d' etre aussi

objectif que possible, s'agissant des circonstances O U des

G.B. exercaient des menaces sur les hurnains, il en fai-sait un portrait plus tolerant au cours de l'intervlew que

dans ses livres. respece pouvoir eclaircir un jour cette

contradiction, car e1le devrait aider a en savoir plus surles raisons de leur presence des G.B. sur Terre.

Charles soutint que les G.B. n'avaient pas d'iatentions .

colonisarrices ou de controle des gouvernements ter-

restres, II fit Ill. comparaison avec les bases militaires

americaines dans le Pacifique ou en Iralie, ou Ie principe

consiste a faciliter les operations, tout en respectant le s

souverainetes et les moeurs locales. Ainsi par exemple,

de merne que Ie gouvernement et les militaires US sonr

reputes ne pas avoir l'inrention d'exercer un controle sur

l'Italie, les G.B. n'auraient pas l'intenrion de contr61er

Ia Terre. Voila cependant un argument discutable, car

au cours de l'histoire, les bases a l 'etranger om generale-

ment consrirue un sujet de conrentieux et ont fait partie

d'une dynamique colonialisre plus insidieuse. En verite,

Ia presence de bases rnilitaires en .Arabie Saoudite fut un

element majeur de l'appreciarion locale des motivations

des E.U . au Moyen Orient et a influence les evenements

en Afghanistan et en Irak,

Si les G.B. ont besoin de Ia Terre en tant que base pour

leurs activites commerciales trans-espace, iI serait naIf de

noire qu'ils n' o nt pas Ill.moindre intention de se meierdes affaires humaines er d'influencer les institutions

politiques. Lhisroire humalne 1 1 . rnontre que, lorsqu'une

puissance. installe une base sur un terri to ire etranger, il

est ensuite plus difficile de I'en faire partir et de l'ern-

pecher d'inrervenlr dans les affaires politiques locales.

Cene etape est peuc-erre deja franchie, suite a des ac-

cords passes entre les G.B et des comites humains secrets

charges des affaires extraterrestres,

En se basant sur certains echanges et sur les visions

historiques recues, Charles pense que les G.B. sont chez

nous au moins depuls le debut des annees 1950, voire

depuis deux siecles ou dava.ntage. C'est une questioncruclale qu'il faudra approfondir, car iI est evident que

Ia connaissance de l'epoque de Ill.premiere presence des

G.B. sur Terre influencera notre evaluation de leurs ul-

times motivations.

Sl , cornme Hallie suggere et comme le s G .B . Ie lui ont

fait noire, ceux-ci sont sur Terre depuis plus d'un siecle,

ilserair logique de penser qu'ils n'ont pas d'autres inten-

tions 1 1 . notre egard, Us auraient t e e s bien pu prendre le

conerole de n otr e p la ne te des le debut du I geme siecle.

Si, par conrre, Ies G.B. ne se soot installes que suite aux

accords passes en 1954 avec Ie president Eisenhower (cf

http://WVIW.exopolitics.org/Study-Paper-8.htm) , aloes il

est fort possible qu'ils aient des intentions depassanr

largement [e simple besoin d'une base relais logistique

pour leurs deplacements interplanetaires. Une tech-

nologie de maltrise du voyage dans le temps pourrait

parfaitement leur servir a donner I'impression qu'ils sont

chez nous depuis des siecles, mais ce pourrait aussi etre

une illusion. Personnellement, je pense que les G.B. ne

dorvenr etre associes qu' aux seules rencontres de 1954

avec Eisenhower et que I' etablissement de leur base dans

la region d'Indian Springs n'est pas anterleure.

5

Les G.B. pourraient avoir induit Charles I I . croire qu'ils

ont ete presents a d'autres epoques de l'hisroire, Leur

capacite 1 1 . faire reference it des periodes historiques

anrerieures est peut-etre un effet de leur maitrise du

remps, gr:ke I I . l aquel le 11sser ai enr en rnesure de modifier

nos perceptions. Ceci estevidemrnenr discutable, mais

d'importance virale tandis que notre connaissance des

G.B. s'elargit et que nous abordons les consequences

exopolltiques de leur presence.

En resume, j'estirne que Ie remoignage de Charles Hall

est d'importance primordiale et susceptible d' eveiller

!'attention d'un large public. Certains medias com men-

cent deja a aborder I'histoire de Charles Hall comme·

une revelation majeure et son auteur force l'adhesion Ii

ses theses grace Iison evidence integrite, sa clarte et sa

coherence.

La revelation des experiences de Hall a la base aeriennede Nellis it Indian Springs de 1957 Ii 1967 sera sans

do ute determinanre dans Ill. prise de conscience de l'opi-

nion pubJique de la realite de l'Intelligence extraterrestre

et des implications de sa presence pour notre planete.

A propos de l'Ineerviewe,Charles James Hall est titulaire d'une licence en phy-

sique (1972) et d'une rnaitrise en physique appliquee

(1973) de I'universite d'Erar de Californie a San Diego,

ainsi qu'une maitrise de gestion de crise decisionnelle

(1983) de la Nova University I I . Fort Lauderdale, en

Floride. 11 a plus de 18 annees d'experience en con-

ception de logiciels, dont IS comme chef d'equipedans ce domaine. IIa plus de 9 annees d' experience en

conception/creation de sites Internet, y compris ceux

destines it usage rnilitaire et gouvernemenral. II a aussi

18 annees d'experience en analyses scientifiques dans ledomaine nucleaire .. I I dispose d'une autorisarion d'acces

a un niveau secret du Departement de la Defense -. Pour

consulte son large resume et savoie comment obtenir

des copies de son ouvrage en trois tomes, M i l l enn ia lHospitality , visitez son site web : http://members.lycos.

co. uk/CharlesHall,

A propos de l'inte.rvieweur.

L e Dr. Michael Salla a occupe des pOStes academiquesI I . la S c ho ol o f I nte m ati on ai S e rv ic e, Am e ri ca n U n i ve rsi ty ,a Washington DC (1996-2001), et au D e pa rtm ent ofP o li ti ca l S c ie nc e, A u stra li an N a ti on al U n i ve rsi ty it Can-berra, Australie (1994-96). Il enseigna cornrne membre

de facult.e adjoint a l 'unive.rs. ire. George .Washington, itWashington DC, en 2002. II est titulaire d'un docco-

rat en philosophie de gouvernement de l'universite de

Queensland et une maitrise en philosophic de l'univer-

site de Melbourne, Australie.

Son article de fevrier 2003 <<AnExopo l i ti ca l Perspec ti veon

t he P r e - emp t iv e U S - l ed Wd . ra . : ga im . tl raq»,fut publle dansNexus vof.lO n"3 let resume dans Nexus France n027,

julllet-aour 2003, sous le titre: Perspective Exopolitique

sur la Guerre en leak]. Son livre E x opo li ti cs : P o l it ic a ll mp li ca ti om o f th e E x tra te rr- ertr ia l P r ese nc e (DandelionBooks, 2004), figure en revue dans Nexus vol.Ll , nOS.

Le texte integral de I'interview se trouve a http://WVIW.

exopoli rics.org et a http://WW.N.galacticdiplomacy.com.

Traduction: Andre Dufour

8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

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5

: i ; ,N I G M E , .

DE CExr~·QSlQ~':1DE LUNGUSKA. . . . . . ;- ' . ' ; : ! ; r . - . . . . . . .#.. _.:;\

Les Mysteres de

la «Vallee de la Mort» en Siberie.

(3eme partie)Par Valery Uvarov © 2004.

D ep arrem en r N 1 3 de l'A cad ern le N arion ale d e S ecurite, S t. P etersb ourg , R uss ie.

Tel. +7 (812) 237 1841. E-mail. nsa@homeuser. ru e t depar t emem13@maiLru .

Iii!

!

!

I

II!!,

IIIII

iIilI!

IIII

Les preuves et temoignages s'accumulent pour

indiquer qu' en 1908 au Tunguska, une meteorite futdetruite par des spheres. de plasma dirigees, dites

«exterminatrices», utilisant une technologie capa-

ble de compenser sa chute pour en tirer une force

explosive, alors que l'humanite ne disposait pas de

ce savoir faire.

Revenons au 30 juin 1908 et aux evenernents rappor-

re s par les temoins oculaires. Lensemble du pheno-

mene se deroula a peu pres selon le scenario suivant.

Vers 07h15 du matin, la meteorite surgit sur une

rrajectoire sud-est it nord-ouest.

A Preobrazhenka, I.M.Volozrun vir «une bande defu-mee d 'o u s'e ch ap pa ie nt des langues de feu» se depla-

cer a travers Ie cieL C'etait la meteorite se precipitantvers la Terre.

Les habitants de Ia region de Kirensk rapporterenr :

. .. u ne c ol on ne i nc a nd esc en te d 'e nv ir on 6 m d e d iam i tr e

et en form e de la nce a pp aru t a u nord-ou est. L orsqu 'e l le

dispa ru t, on entendi t c inq detona tions breves et pu is-

sa nie s, com me des cou ps de ca non, se su cceda nt ra pide-

men t . . . .

Depuis le comptoir commercial de Teteria, dans la d i-

rection du nord et depuis d' autres l oc al it es (K ez hma ,

Nizhne-Ilirnsk, Vitim) qui ne se trouvenc pas sur unememe ligne, on observa ces «plliers de few,...

Une lueur rouge lors de I'apparition

des spheres, avant I'explosion,

Lernergence des «excermina'trices» a lasurface de la

crouce terrestre constitue la phase la plus energecique

de ['evenernent, les «piliers d'energie» et Ies «extermina-

trices» ernertant une lumiere blanche intense, similaire

it celie d'un arc de soudure, Lincensite lumineuse etair

relle que les temoins eurent l'irnpression que tout l'en-

vironnernent avait disparu ou s'etait obscurci. Apres

cette phase, Ie niveau d'energie diminuant, les piliers

ec les «exrerminarrices» virerent au rouge, illuminant

la region _prealablement it I'explosion. Inrerviewe it

Vanavara, Maxim Kainachenok, un Evenk (peuple de

Siberie) d'une cinquantaine d'annees, raconta :

. . . M e s p arents seta ient a rretes SUI' fa Segochamba. L aterre se m it a trembler et on entendit du tonnerre. I t y

eu t d'a bord u n ro ug eoiem en t, p uis le tonnerre. L a l ueur

roug e ne vena i t pa s de Vtm ava nz. A u m om ent de fa chute

de l a m ete ori te , m on o nc le A xen ov so rtit p ou ]' s'o cc up er de s

rennes et ra conta qu e, p ou r com menc er, a u dessu « du lieu

de l 'exp lo sio n to ut de vin t n oir , p ui s ro ug e, e t q u'e nsu ite it

entendit le tonnerre . . .

Cera fur confirrne par AnnaYelkina, une'Evenk de 75

ans qui habirair Vanavara :

lO t Ie matin . . . un peu p lu s hau t que le S olei l; i l y eu t u n

coup de fludre . T res h au t. L e c ie l entia devint rouge , e t

p as seu lem ent le c iel : tou t devint rou ge a ux a len tou rs, laterre et le del U n g rondem en t p uissa nt sefi t en tendre . U n

b ru it de c lo ch e, c omm e si d e s gen s J r appa i e n t S u I ' du jel: L e

tonn erre du ra en viron u ne dem i- beu re .. .

Le vol des «exterminatrices»,

Im rn ed ia rem en e ap res I'apparition des colonnes de

lurniere, les brillanres spheres «extcrminatrices» enta-

merent leur periple vers le lieu de l'explosion, N. Pono-

marev, du village de Nizhne-llimsk,.fir un rernoignage

similaire a ceux de milliers d'autres :A 07h20, on entendit, p res de N izhne- I l im sk, un gra nd

bru i t qu i se m ua en rou lem ents de tonnerre .: C erta inesm aiso ns en f orm t sec ou ees. D e nom breu x ha bita nts u irent

qu ava nt c es so ns «u n c orp s in ca nde sc en t de fa fo rm e d'u ne

ba che» se dip la ra it ra pidernen t a u-dessu s du sol du su d

u er s l e n ord- ou est. I mm fdi ate rn en t a p re s, u n fra ca s r eten -

ti t et, a l 'endroit O U l 'o bje t in ca nd esc en t a va it disp a ru , o n

vi t du feu, pu is de ta fom ie . ..

K.A. Kokorin, un habitant de Kezhma, repondit, en

1930, aux questions de Ye.L Krinov :

T rois ou qu aere jou rs a va nt fa f i te de S t. P ierre , va s hu tt

heu res du m atin a u p lu s ta rd, j 'entendis c e q u i r es sembl a it

a une canonnade. J e m e pric ip i ta i dans fa cour qu i est

or ienteeal 'ou est e t su d-o uest. L es bru its con tinu aient et

je vis, a u su d- ou est, e nviro n It m i -h a ute ur e ntr e l 'h or izo n

et le zin i th , une bou le l " ouge qu i se dip la ra i t ; des ra ies

mu l t ic a l or e s appar a i ss a ie n t a s es c o ti s e t d er ri er e.

NEXUS n038

mai-juin 2005

8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

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u

Au merne moment, a Klrensk, des temoins observaient,

vers Ie nord-ouest, une boule incandescence rougequi, seIon certains se deplacair horizontalement, selon

d'autres plongeait vers Ie soL

Non loin des chutes de Ill. Mursky (pres du village de

Boguchany) jaillit un eclat de Iumiere bleuatre et un

objet incandescent, netternent plus gros que Ie Soleil,

se precipita depuis le sud en laissanr une large trainee

Iumineuse ...

Interception dela meteorite.

La meteorite fut interceptee par une «exterminatrice»

qui la percuta par Ie haul, reduisant brutalement sa vi-tesse et liberanr une telle quanrue d'energie, cornbinee

avec celle de l'exterminatrice, que cela fit litteralement

fondre la matiere de la meteorite.

Dans Ie numero du 2 juillet [calendrier julien] 1908 du

journal d'Irkursk, Ie Sibir, le correspondant S. Kulesh

ecrit ;

[NOT ; en 1908, Ill.Russie utilisait encore le calendrier

julien, Ie calendrier gregorien ne Iuradopre qu'en 1917,

apres la revolution. Depuis 1582,. Ie decalage avait at-

teint 13 jours]

Le matin du 11 [30J juin, dan, le village de Nizbne-Kerelinskoye (d : quelques 215 km au nord de Kirensk), les

paysans observerent, dans Ie nord-ouest, bien au-dessus de

f'horizon, un objet digageant une fumiere bleue-b!anche

d'exceptionnelle intemiti (impossible a regarder) J( de-

plaram uers le bas pendant dix minutes ... En approchant

du sol (forestier), t'objet incandescent sembia fondre. Un

immense nuage de fomee noire appamt a saplace, accom-

pagni d'un bruit enorme (qui n'itait pas lafoudre), comme

une chute de pierre; ou une canonnade.To;us les b!i.timents

forent secoues. Au meme instant, des f lammes de touses les

formes commencerent a jaillir du nUdge...

Void le recit de S.8. Semionov, qui se trouvait it Vana-

vara, it 100 km du lieu du desastre ;

. ..Brusquement, loin au-dessus des arbres, unelarge .langue

de f e u dechira le ciel VeTS Ie nord et l'embrasa: Ie ressentis

une telle chaleur que j'eus l ' impress ion que ma chemise

avait pris f eu . Ie voulus crier, arracher le vetement, mais

a cet instant le cis] se reforma bmtalement dans un bruit

enorme. [e J u s pro jete au sol d : srois sagem [4,5 m]. Au

moment a u le del s'itait ouuert, un 'vent cheud ftait passe

sur les maisons, comme un coup de canon, laissant au sol

des trainees et abimant lesgror oignons. On dicouvrit alan

que de nambreases oitres ava-ient eclate et que le moraillon

en fir de fa porte de la grange hail brisi ...

P . P . Kosolapov, qui s' erait renu pres de Semionov, senti

une brulure aux oreilles rnais ne remarqua aucun pheno-

rnene lurnineux. A cinquanre kilometres de l'explosion,

les v~temems des gens se mirenr it roussir par la chaleur

insupportable qui leur parvint du fond de Ia taiga. A

soixante kilometres, personne ne pouvait supponer le

contact brUlanr du sol. A six cents kilomerres, l'eclar

5

obscurcit Ie Solei],

Des forces explosives compensees,

Questlonnes par les sciennfiques, les habitants racon-

terent qu'en certains [ieux, juste avant la terrible ex-

plosion, des arbres, des yourtes et des pans de collines

furent aspires vers Ie del, tandis que dans les rivieres, des

rnascarets se propagerent it centre-courant. Ces observa-

tions indiquent sans aucun doute qu'une implosion eur

lieu, provoquant une aspiration centripete, tan dis que

sirnultanernent une composante agiss-ait dans Ie sens

inverse, car les arb res auteur de I' epicentre du souffie

furent couches radialement vers I'exn!.rieur. Cetre oppo-sition des effets revele une technologie cornpensacrice

des forces explosives. L es rapports de nornbreux temoins

permettent d'elaborer Ie scenario d'une onde de choc

dont les pressions furent distribuees de rnaniere bien

ordonnee,

Les rapports de recherches er les interviews compren-

nent un nombre important de donnees qui n'onr pas,

1 1 . l'epoque, retenu l'attention des specialistes, Par exern-

pie, des indications selon lesquelles les chocs, les bruits

et leseclairs qui accompagnaient l'explosion ont e r e

decrirs differemment par des temoins qui se trouvaientit peu de distance les uns des autres, certains le s ayants

qualifies de terrifiants et d'aurres d'lnsigniflants, voire,

imperceptibles.

Certains temoins qui furent assez pres- du lieu de l'ex-

plosion affirmerent ne pas avoir perc;:u de souffle, ni

de mouvements du sol, alors que dans d' a utres corn-

munautes, situees a 600 km de I'epicencre, les maisons

rrernblerenr, les vines volerent en eclars et les parois des

foyers fermes se fendirenr.

Autrernenr dir, l'onde de choc principale de l'explosion

semble avoir ere compensee de rnaniere a ce que Ie rnoinsde monde possible en souffrit, bien qu'il s'avera impossi-

ble d'eviter des victirnes surtout parmi les animaux (des

milliers de rennes et quelques humains, qui n'avaient

pas accorde credit aux avertissernents des chamans et

etalent reste dans la zone dangereuse, perirent).

Ce n'est pas la premiere fois que le s chercheurs rencon-

trent un cas de recours it une techno!ogie de compen-

sation de forces explosives. L e processus et res eifers de

l'explosion du Tunguska ressemblent a ceux de l'evene-

ment du 12 avril 1991 a Sasovo, it 500 km au sud de

Moscou, Un examen detallle indique que,. dans les deux

cas, la force principale de I'onde de choc et les effets

d'explosions gigantesques furent, en quelque sorte, eva-

cues vers un espace (une dimension) different !

Un des signes specifiques revelateur d'une technologie

explosive compensatoire est [e bruit caracteristique

precedent et concluant Ie souffle principal. Tant 1 1 . la

Tunguska qu'a Sasovo, (ou se forma un cratere de 28 m

de diarnetre sur 3,5 m de profondeur au plein milieu de

la ville), Ie fracas de I'explosion proprement dire fur pre-

8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

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cede et puis suivi d'un son que les temoins du Tunguska

decrivirent com me «semblable a du vent qui souffiait dunord au sud», D'autres evoquerent ce bruit cornme celui

du passage d'un obus de trois pouces. Rernarquez que cebruit precedair l'explosion et se fit aussi entendre apres,

comrne si un objet s' eioignait du lieu du desastre, Dans

Ie cas de Sasovo, les temoins cornparerent le bruit a celuid'un avion a . reaction qui rombait ou qui s'eloignait.

Void le remoignage de Nikitina, une femme qui tra-

vaillait a la gare de Sasovo :IIy eut soudain un vrombissement c ro issa nt ; le s m u rs de

fa tou r de con tra le ou je me trouvais s e m i re nt a trembler .

Yint alors une explosion monstrueuse. Les vitrages s ' t c r a s e -

rent au sal . :

Ensuite les temoins decrivenr un bruit qui semblait

s'eloigner,Globalement, tout cela produit la sequence suivame .:

1. un vrombissernent croissant ;

2. une puissanceexplosion ;

3. un «bang», type supersonique,et un vrombissemenr

decroissant, (cornme celui d'un jet qui s'elolgne de l'ob-

servateur) .

Le recours a une technoiogie de compensation fait

immanquablement penser que des forces intelligences

conrrolaienc toute l'operarion. Si ce n'avait pas ere le cas,

les effets des explosions auraient ete Inflniment plus de-

vas ta reurs , courant probablement la vie a des centainesde rnilliers de personnes.

Sur la meteorite du Tunguska, Ie premier impact fur

donne par une rerminarrice qui fcappa de haur en bas

et etait au rendez-vous a environ 10.000 m d' altitude.

L'explosion fut accompagnee d'uneclair aveugiant dont

les radiations caicinerent la vegetation et allurnerent des

incendres dans un rayon de 25 krn,

Distorsion espace-ternps,La prodigieuse decharge electromagnerique qui se pro-

duisit au moment de l'impact de la terminatrice gener.a

une remagnerlsation des sols et des effers exrrernernent

puissants sur I' environnement et sur la structure spa-

tio-tempcrelle du site de l'explosion. II en resulta un

changemem de l'ecoulement du temps physique qui

fur observe, des decennies plus rard, par des expeditions

scientiflques. La distorsion de I'espace-temps suite a unepuissante decharge electromagnedque est une compo-

same de la technologie de compensation. .

Si nous pensons que les OVNI utilisent ce rnerne

champ electromagrierique pour passer d'une dimension

a l'autre, alors certains traits caracteristiques des recits

donnes par les temoins du Tunguska [lOUS permettent

de considerer les evenernents sous un jour nouveau,et

de rnettre en lumiere des details remarquables qui ont,

jusqu'ici, echappe it l 'auention des chercheurs,Voici Ie recit de Ivan Kurkagyr, le fils d'un ternoin du

Tunguska. U contienr [a curieuse description de la rna-

niere.dont, au moment de l'explosion - qui est une puis-

sante decharge elecrromagnerique entrainant une distor-

sion des formes - des personnes et des anirnaux furent

instanranernenr deplaces vers d'aurres lieux. Autremenrdi r, ils sub iren t un transfert spatial.

...It Y aua i t u n grand rassem blem ent de tenses. L e m atin ,

on entendi t du tonnerre. Un orage i n c royab l emens bruyant

ec la ta . Ii demolit les tentes, tra mp orta lef gem dam fa ir.

Des personnes se retrouuerent lo in dans les marecages . li s ne

comprenaienspas. .. comment il s a va ie nt p u etre transportes

ls-ba: L ' orage qui m it le feu a til ta ig a b ru la a ussi les l - e n -

n es. L e fe u se propagea. If y avait fa fa re nte d'un bomme .

Ce gar s voulait renzrer chez lui. If avait de fargen! dans

son tursuk [sac en feutre]. Voyant le f eu , if se p recip i ta p o u r

prendre L a rg en t. I l c ou ru t u ers l a r iu ie re et les te nse s. L eJeu itait en train de consumer les tenses [d e ses voisins). Les

gens se [e te ren t dans fa r iv ie re . L e f eu paSJa sur frau. Ceux

qui etaient dedans s'enflammJrent. I ts piongerent, mais le

feu a ll em a c eu .x- Il J. a u ss i, bra lan t leurs tetes. E t a insi il s

perirent tous.

Un autre indice revele J'effet puissant du souffle sur la

structure de l'espace-temps. Au moment de l'exploslon,

Ie del s ' ouvrit et Ies gens purent voir l'espace exterieur,

le ciel etoile, au-dela de l 'arrnosphere.

Questionnee en 1930 par Krinov, A.S. Kosolapova, fllle

de S.B. Semionov, declara :

}avais 19am et au moment de la chute de ta meteorite je

me t rouua i s au compto i r commercial de Vanavara. Marfa

B riu khanova et moi i tions a l l e e s chercher de l'ea« a fa

source. Pendant que Marfa puisait l'eau, letais debout pres

d'elle, foee au nord A cet instant, le ciel s'ouvrit devant

moi, ptsqu'au so l et je vis un jet defeu. Now eames peur

et je parvins a dire: «Pourquo i le del s'ouure-s-il en plein

jour? [e sass qu e le del louvre fa nuit, ma i s jamllis en p l e in

j ou r» . [ u ste a p re s, l or sq ue l e c ie l se r ef er ma , n O lI S entendimes

de s coups, comme if canon ...

Au moment du premier impact, plusieurs spheres «ex-

Diegremme extreit du per iodiquo

Teknik» i Molodezh (1984 nrL),

montrsnt l'emplscement des te -maills et les trsjectoires ptisespar les spheres «exterminstrices»

vets la meteorite, sinsi que rap-. po rte s su x ch ercb eurs S us lo v (1),

Astepovicb (2), Knnov (3). Ko-

aenkin (4) et Fast (6). Le numero

5 indique ls trsjectoire i tablie par

l 'expedition qui utteignit Ie s ile de

l'explosion ell suivsnt ls direction

de s a r br es s bs tt us .

terrninatrices» etaient en atterite stationnaire, et leur

energie a haute frequence grillait Ies somrnets des arbres,

Durant les dernieres minutes avant I' evenement final,

NEXUS n<>38

mat-juin 2005

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u

plusieurs autres «exterrninatrices» se precipirereru vers la

zone (qui re~ut plus tard le nom de Kulik).

Parmi ceux qui virent les spheres incandescentes traver-

ser Ie del, de nombreux temoins declarerent que leurs

mouvements s'accornpagnaient d'une lumiere eblouis-

sante et d'une forte emission de.chaleur. Voici comment

eet evenement apparut au chantre admiratif du poeme

O lonko ..

lnsa is i ssable en vol ,

S a ns o mb re ,

L e ra p ide hba u t - m essag er du Dy e se g ei c el es te ,

A Ia cotte de m a ilk l tin ce la nu ,P lu s ra pide qu e ! 'ec la ir ,

K iu n E rb iie, le champ ion .

I I vo la ,

Une e to il e en c hu te ,

Seul siff/ai.t I'air derriere lui...

l ( f i la comme u n e j le c he

Au-dela des l im i tes

Du del jaune de l'ouest,

Vers la pente abrupte infirieure

Du ciel au-dessus de l'ab£me.

I I vo la en hau teu r -Seul retentit le tonnerre ...

U n feu b leu brUlait d er ri er e l ui ,

U n f e u blanc s e d e cha l :n a i t dans sa n si l lage,

Des ltincelles rouges dansaient en- essaim,

Une lueur jaillit dans le i nunges. ,.

KiunErb i i e

Ce qui est rernarquable, c'est que (des limites du del

jaune de l'ouesr» signifie exacternenc la region du Tun-

guska Podkamennaya!

Fragments de meteorites.

Pour comprendre la suite des evenements, il faUt appre-

hender de facon precise le rappon entre ['altitude du

premier impact (10.000 m), la surface de destruction

des arbres (beaucoup plus large que certe hauteur), et

la distance de dispersion des fragments de meteorite

(des centaines de km) . Lintervalle entre le s explosions

correspond au temps de vol des fragments d'un impact

a l'autre,

Au dessus de la zone d'Irnpacr de Shishkov la meteo-

rite avait ete reduite en plusieurs fragments. Ceux-cis'eparpillerent, mais les spheres sexterminatrices» les

lnrercepterent de plusieurs directions et les detruisirent.

C'est pour cela que, d'une part, dans la zone des arbres

deracines les chercheurs rrouverent plusieurs epicenrres

marques par des troncs couches dans tous les sens, tan-

dis que, d'autre part, les temoins declarerent tous avoir

entendu d'abord une explosion formidable (la fragmen-

tation) et ensuite, en I'espace de dnq ou six minutes,

une serie de detonations ressernblanr a une canonnade(destruction des fragments).

s

Apres la fragmentation au-dessus de Shishkov, de grands

morceaux restants continuerenr sur leur [ancee en direc-

tion de la zone de Kulik. Cependant, ayant perdu une

grande partie de leur energie et de leur vitesse, ces.frag-

rnents mirenr une quinzaine de minutes pour couvrir la

distance de 120 a 150 Ian (la vitesse d'un avian a reac-tion), apres quoi it y eut une autre tres forte explosion

lorsque les «excerminarriees» les incercepterenr,

Dans la region d'Irkutsk, district de Nizhne-Ilimsk,

un habitant du village de Berezovo, Yegor Ankudinov

etait en compagnie de son pere et de son onele en

train d'abattre des pins pour construire une maison. 1 1

raconte :

Chait u ne b el le jotlmie. N o us u en ions de p rendre le p eti t

dijeuner et commencions n couper du bois. Soudain un

c ou p se f i t entendrea proxim iti . L e sol se m it a tr em b le r e t

des b ra nc he , m ortes tombirent: d e s arbres. E nsu i te un peu

p lm tard, it y eut un a utre cou p de tonnerre ; comme le

precedent , man tr is tre , l oi n dam fa d ire ctio n du n ortL

Le quotidien Krasnoyaret: du I3 juillet 1908 publia :

Village de Kezhemskoye. Le 17 [30 juinla 07hOO , un

bru i t d e v en t v io le nt se f it en te nd r- e- lmmediatement apres

i ty eut u n e te rr ib le . di Jl og ra ri on , a c com pa g ni e d 'u ne v ib ra -tion du so l qu i f i t tremb ler I e batimmt, com me si celui-ci

ava i t itt heurti par Ul1£ i:norme grume ou un rocher. La

diflagration fut suivie d'une aurre, tout aussi puissante ,

puis d'une troisierne. Dans l 'in te ro al le e ntre la p rem iere

et fa seconde un gromlement sauterrain se fit entendre ,

comme si une dizain« de tra ins p assa iens ensem ble su r fa

meme vote. E n su itc , q ue iq uc chose q u i r es sem bl a it a un tir

d'art i l lerie resonna pendan t 54. 6 m inu tes ; 50 a 60 cou ps

se y uc ctd an t r ap id emm t a c ad en c e pms iq u emen« rigulibe,

l es d em ie rs c ou p s f oi bi issa nt p ro gr essi ve me nt: . U n e m in ute

et dem i a deux minutesap-m I. a fin du «tin>,on entendi« sixcoups success if i , comme de s coups de canon , lointain: mai s

c la i rem en t a u di bl es et accompagnis d e vi bra tio ns d u sal . .>'

Le s gigantesques spheres de plasma s'etaient abauues

sur les fragments de mereorire, liberanr une quantile

colossale d'energie pour detruire route Ia matiere de

l'envahisseur cosmique. Considerant la probabilite que,

la rupture de fa meteorite air dti la fragmenter en de

nombreux petits morceaux, nous fUmes amenes a con-clute que Ia charge elecrromagnerique des «exterrninatri-

ces» possedait une propriete particuliere, Le vecteur du

champ magnerique d'une terminatrice aurait agglutinespar attraction [QUS les &agments er res aurait ensuire

detruirs dans l'explosion suivanre.

II est possible qu'a hauteur de la zone de Shishkov (1 ) ou

de Kulik (2), deux gros fragments, detaches de la meteo-

rite par le premier impact, aient ete projetes a 100 km11droite de Ia trajectoire (4 et 5) O U lis auraient ete rat-

trapes par des «exrerminatrices» et Iitteraiement reduirs

en poussiere, Lenergie des «exterminatrices» etait telle

que, outre les radiations electromagnetiques vers Ia terre

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C ra tere de Voronov Retombees de Kulik

elles emettaient aussi de puissantes decharges electriques

(comme la foudre),

Voyons les remoignages. Le marin du 30 juin, les freres

Chuchancha et Chekaren, du dan des Shan i a g i r , dor-

maient sous leur tente qui avait ete plantee au bord de

la riviere Avark i t ty . Us furem reveilles pat de puissantes

secousses et Ie bruyant siffiemem du vent:

C heka ren e t m oi sortim es de n os sa cs de c ou cha ge e t f U mes

su r I e p oin t de ram per ho rs de la te nse io rsq u'i l y c ut so u-

da in un vio len t cou p de tonnerre . C e fu t le p rem ier. L e so l

commenca a su rsau ter e t a trem bler e t u ne ra fo le de ven t

b al ay a n otr e te nte . .. j 'a ssi sta i a lo rs a u n s pe c ta c le t er ri bl e:

l es tr on cs d 'a rb re s to m ba ie nt, l es a i g ui ll es d e p i ns b rttl ai mt,

l es b ro us sa il le s fl am b ai en t a in si q ue Ia mousse a r en ne . I t y

a va it d e Ia f umee partout, no us a uio ns m al a ux y tu x. I l f oi -

sa it te rr ib le me nt c ha ud , a sse zPOUI' en m ou rir . S ou da in , a u-

d e ss u s d e I a co l l i ne O U I a f or te i ta it d e j a tombee , la l um i tre

s

Directions des arbres abattus i1 Fipicentrede J'exp/osion.

devin t in tense et .. . c om me si u n a utre S ole i l i ta it a pp aru . . .

c ela fo lsa it m al a u x ye!lX , je lesferm ai . U n enorm e cou p de

tonn erre su iu it im med ia tem ent. C e fu t le se co nd . C ' ha it

u ne m atin ee e rn o/e ilL ee , s an s n ua ge . N o tr e S ole d b ri l /a it,

c om m e d'h ab itu de , e t vo ic i qu 'i] y en a va it u n deu xi tm e !

A lors nom u im es, a ppa remmen t en a l ti tu de et dan s une

d ir ec ti on d ijf er en te , u n a u tr e e cl ai r e t u ne f or te d eto na ti on .

L e ven t nou s sa isi t, nom . jeta au 50 e t; se co ua le s tro nc saba t tus .

N o us o bse rva me s le s a rb re s q ui to mb aie nt, u im es leu rs th es

se b ri se r e t pr en dr e f eu . C h ek ar en m e c ri a : « re ga rd e ! a- ha ul »

et p oin ta du do ig t. [e vis u n ec la ir , i l j a il l i t en core da ns u n

g rand coup de tonnerre . M a is ce coup f u t u n p eu m oins fort

qu'auant. C ' t! ta it l e q u asr ie me , c ette f oi s c om m e u n to nn er re

Retomhhs de Shishkov

norm al . . .

I I m e revien t a u jou l 'd 'hu i qu 'i l y en eta u n c in qu ie me,

b ea uc ou p p lu s fo ib le , a mo rti e t l oin ta in .

Plus tard, les chercheurs decouvrirenr un nombre crois-

sant d'arbres foudroyes a mesure qu'lls approchaient de

l'epicentre ou c'etair le cas pour 80% d'entre eux. Ceci

se trouve confirme par les scientiflques de Novosibirsk

quidemontrerent que Ies arb res avaient e r e deracines parun souffle radial (en etoile). Ils conclurent que I'objer

qui avait eclate ne devait avoir que quelques dizaines de

metres de diarnerre et que des explosions subsequentes

avaient brouille la trace du souffie radial initial.

Des specialistes ont affirme que les decharges electriques

avaient dechire l'air pendant 2 a 15 minutes, donnant

l'impresslon auditive d'un tir d' arrillerie, aIors que

pendant tout ce temps leur source demeurair au-dessus

de I'epicentre et ne se deplacait pas a grande vitesse. End'autres termes, l'objet arriva, s'arreta et matqua l'en-

vironnernent sous-jacent de multiples fa<;ons: par des

radiations, des distorsion remporelles, des mutations ...

La plus grosse partie de Ia meteorite du Tunguska fut

detruite au-dessus du site de Kulik, rnais un marceau

echappa er fi:anchit encore 120 km avant d'arriver au

sol. La destruction methodique de tour ce que contenait

la meteorite laisse a penser qu' elle charriait une sortede bacterie ou de virus dangereux pour la vie sur Terre.

C'est pourquoi une des «exterminatrices» plongea au sol

et acheva les testes de la meteorite, ce qui provoqua un

important seisme, Le resultat fut un cratere de 200 rn de

diarnetre par 20 m de profondeur, que I'on appela plus

tard «le cratere de Voronov».

Dans une lertre du 28 juillet 1908, Vakulin, Ie chef du

departernenr postal de Nizhne-Illmsk, rapporta :

L e m ard i 17ju in .w ers 0 8h O O (h or/fJ ge s no n viri fM e s), u n

n om b re i mp or ta nt d'habitaru: lo ca ux disen t a uo ir re ma r-

q ui , u er s l e n or d- ou est, u ne b ou le i nc an de sc en te d esc en da nt

d 'est en ou est u ers l 'h orizon et qu i, en sa pp rocha nt du so l ,

se tran sform a en une co lonne de feu p u is di sp a ru t. P eu

a pres, u n nua ge de fum ee a pp al 'U t m on tan t de l 'endro i : de

fa chu te .

A pds qu elqu es m inu tes, . it s en tend iren t u n g rand bru i t

e t des ic ho r lo in ta in s, c om me le tonn erre . l is fu ren t su ivis

de hu i t for tes de tona tions, c omm e des coup s de canon .

L e de rn ier c ou P ,. p a rtic ul ie re me nt p uissa nt, s'a cc om p ag na

NEXUS n"38

rnal-juln 2005

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u

dun s i f f l ement etprovoqua un tremblement du sol et des

ba tim en ts . . .

Certains temoins affirment que le bruit fit tornber des

gens et que plusieurs perdirent connaissance pour ne

revenir a eux que plusieurs jours plus tard, Le choc fircomber des chevaux a genoux, mais ils ne prirent pasla fuite, ce qui indique qu'lls etaient figes de terreur, A

certains endroits, le sol se fissura.

Lhyporhese s elon laquelle la meteorite transportait des

micro-organismes dangereux est"renforcee par l'observa-

don qu'apres sa destruction, I'Installation parcourut la

surface de la Terre a la recherche de restants de matiere

meteoritique. Les temoins abasourdis rapporterent avoir

vu des «exterminatrices» survoler la region de l'evene-

ment jusqu'au soir du 30 juin !Ces spheres «exterrnina-

trices», au «meteorites secondaires- ainsi qu'elles furem

interpretees par certains chercheurs, furent observees par

environ la moitle des temoins.

s

A suivre ...

A propos de I'auteur.

Valery Mikhailovich Uvarov est directeur du departement de

la recherche sur les OVJ\TIs,les paleosciences et la paleotech-

nologie de l'Academie Narionale de Ia Securite de Russie. Il a

consacre plus de 14 annees it I'ufologie ainsi qu'a l'erude des

legs des civilisations anciennes.

II est l'auteur de nombreux essais sur la paleotechnologie er

les paleosciences ainsi que sur l'ufologie et l'esoterisme publics

dans la presse russe er errangere. II est I'iniriateur de plusieurs

expeditions en Inde et en Egypre, auxqueiles ila participe, ala

recherche de preuves rnarerielles de connaissances anciennes. II

parricipe regulieremem a des .renccnrres internationales d'ufo-logie et donne des conferences et des serninaires en Russie,

all Royaume Uni, aux USA, en Allemagne et en Scandinavie.

n a pris la parole aux conferences Nexus d'Arnsterdam et de

Brisbane en 2004; er il est prevu qu'il prendra la parole lors deIa conference exus en mai 2005 itAmsterdam.

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traduction: Rondro Henintsoa

Rumeursd'un base oVNIS"Uu co te indien deia'frontiere chinoise

Certains pilores d'helicopreres se plaignent au sujet

d'un sysrerne de brouillage perfectionne, Un jeune

Nepalais a produit un dessin decrivant ce qui semble

bien etre un vaisseaux extraterresrre en vol aper~u aloes

qu'il jouait avec plusieurs amis. Les gar~ons rapporteur

que ces vehicules ne faisaient aucun bruit, pouvaient

decoller verticalement, flatter sans subir les etIets de Ia

pesanteur et merne disparaitre soudainement.

Certains pilotes de l'Arrnee de l'Air Indienne on e

discreternent revele avoir observe d'etranges objets en

vol pres de l'Himalaya, aux alentours de la fronriere

chinoise,

Un moine tiberain en lnde a recemrnent declare que

~ ces phenomenes ont commence apres I'essai nucleaire

j'4 indien en 1998, et que depuis, le nomhre d'apparitions

s'est encore accru..

Selon quelques scientifiques de la G e ol og ic a l S u rve y o f

..~ . India , des ovnis et des creatures etranges ont reguliere-

; . ' . I ; . ' . ~.. e rnent visite une zone specifique de 100 km2

pendant: ces 18 derniers mois.-:

Le secteur nord de I'Himaiaya appele Prades s'avere

~ etre le terrain d'apparitions t res specif lques. Une ru-

~ mileuI cdircbuleparmi ladPopullation locale d a n ' sel0ln laqueUe

: ; ' 1 , « . s» e arqueront ans es environs . S es 7 pro-

~ chaines annees,

I '

I Or, de nombreux ufologues indiquent qu' en 2012,

I~~:;~:==::;~~~~~~~~~~

II

~...,

I~

Earmee indienne et la population locale installees

dans la region Tarai de l'Himalaya (du cote indien)

signalent une activites tres inhabiruelle, ainsi q\le de

nombreuses apparitions diurnes d' ovnis,

sur la Terre et se feront alors connaitre. Est-ce done la

derniere phase du debarquernenc predit par les Mayas,

des milliers d'annees auparavant ?

Une chose est sure, on a ordonne au gouvernement

er a l'arrnee indiennes de rester discrets. Les militaires

echangent SUI Ie sujet a huis dos et persistent a exposer

qu'ils ne peuvent rien dire de plus, invoquant la s ec u-

rite nationale. Mais au moins ·1 'un d' entre eux est sorti

de la reserve et a annonce qu'il s' agissait cerrainement

d'ovnis.

Tout indlque qu'une base d'atterrissage est en cons-

truction SOlIS la roche dure de l'Himalaya. L e site

choisi est un terrain difficile sirue dans la « zone neu-

tre » entre l 'Inde et la Chine.

Ii se passe un autre fait interessant : dans ce secteur

: une augmentation des activites rnilitaires indiennes

et chinoises assez considerable pour qu' en d'autres

circonstances, on en deduise que les 2 pays y sont enguerre.

Les gens dans cette region signalent percevoir

regulierement de grands e r petits ovnis. Les arrnees

indiennes et chinoises pretendent qu'i1 s'agit de vehi-

cules espions. A I'ISRO, ( I nd ia n S p a ce R e se ar ch O r g a -

n isa ti on ) on dit tout bas que ces ovnis sont en train

de concevoir et de construire un site d' atterrissage avec

I' aide des gouvernemenrs indien et chinois.

(S ou rc e: I nd ia D a il y, 9 Octobre , http:/ /www.indiadai ly.

I :Omled it or ia ll l 0 -09 -04. a sp )

NEXUS n038

rnal-jutn 2005

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Preuves 5upplementaires de contacts extraterrestres avec t'ermee

et Ie gouvernement indiens.

9~{!()~

I~ " I J-.. · 1

Non, je ne suis pas une extraterrestre, j 'ai trouve unepromo pour Ies fiftings sur internet ...

NEXUS n038

rnal-juln 2005

8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

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Les agences indienneet chinoisedel'espace restent discretes ausujetde recentes rencontres avec des ovnis. . ,

I

:.,.Dernierement, l'espace aerien indien a du fait que quelques scientlfiques sont endroits de l'Himalaya et operent pres

ete Ie t heatre de nombreuses apparitions en train d'etudier cette technologie de de la frontiere Indo-Chinoise, cela 'ne

d'ovnis, pointe SOllS une forme globale . Sollicite signifie pas qu'lls y ont arnenage un~ D'apres quelques fonctionnaires de sur ce qu'il entendait reellement par chantier de lancement de vaisseau spa-

..

..I ~ . , : : , l'ISRO qui restent publiquement re- forme « globale », sa reponse se rMera tial, Dans ce cas, qu'y installenr-Ils ?

:;, serves, I'excitation a ce propos n'est a des technologies deja operarionnelles Curieusement, selon certaines sources,

pas justifiee . -Mais nombre d'entre developpees plus par l'integrarion et la la CNSA (C hina N ationa l S pa ce A dm i-

I:'·:eux insinuent qu'en 2012, ily aura des mise en oeuvre que par un processus de nis trat ion) a aussi entrepris des activites

~ atterrissages ofRciels dans 6 pays autour recherche et de creativite, semblahles sur l'autre versant de I'Hi-

. " du monde et que !'lnde en fait partie. Par ailleurs, le personnel de l'Armee malaya.. Or, la Chine fait aussi partie de

II apparatt que les ovnis execurent es- de l'Air Indienne a egalement fait etat la liste de 6 pays O U de tels atterrissages

.~ sentiellement des missions de recon- de programmes interessanrs en cours sont annonces pour 2012.

~.:.~ naissance dans Ie but d' etablir Ie contact a l'H in du sta n A e ro na uti cs L i mi te d, pre- Pour certaines raisons, a l' instar des~ avec Ie gouvernement et l'arrnee indien- miere organisation indienne pow Ia USA'ou de la Russie, Ja Chine fait ega-

. 1 nes, Il serait ainsi enseigne a l'Inde la recherche, le developpernent et Ia pro- lement machine arriere dans ses projers.~ facon de mieux apprehender les tech- duction avionique. Trois de ces pro- d' exploration lunaire. A Beijing, au sein

f t i nologies nucleaire, de I'espace, ainsi grammes impliquent la propulsion anti- de quelques cercles intimes du gou-

l~que dans d'autres domaines de pointe. gravite pour la fabrication de vaisseaux, vernernent, une rumeur circule selon

: m Apparemment, l'Inde va pouvoir tirer Un autre tout aussi interessant est celui laquelIe «on a ordonne» a la Chine' I ~ profit de ces recentes rencontres, Lun sur le mecanisme de la technologic d'abandonner tout voyage dans l'espace

des ingenieurs de l'I5RO s'est recem- furtive pour rendre des objets de vol au dela de 100 milles de Ia Terre d'ici

ment exprime sur Ie projet secret le plus invisibles merne pour l'oeil. 2012.

, abouti de !'Inde portant sur les sysrernes S'il est vrai qu'ingenieurs et techniciens (S ou rc e: In dia D a il y, 1 N o u em b re 2 00 4)

l!.~::;;;~~~:~:;;';:;~~~~q~L'lnde pourrait etre la 1ere nation a reveler au monde ses contactsextra-terrestres

New Delhi est au coeur d'un important debar interne gar-

de secret. D'un c6te, son statut de plus grande democratie

au monde exige de reveler a ses citoyens et au monde ses

contacts entretenus avec les ovnis et Ies extraterrestres, De

l'aurre, la bienseance implicire en vigueur dans Ies relations

internationales interdit quoi que ce soit susceptible de pro-

voquer la peur et la panique dans Ie monde entier.

I I est bien connu des ufologues que chacune des 5 puissan-

ces nucleaires a ete contactee avec des etres venus des etoi-

les depuis un certain temps. IIn'y a pas Iongtemps, l'Inde

a vu un grand nombre de nouveaux reportages sur ie s ovnis

et leurs bases secretes dans I'HImalaya, pres des installs-

; J tions militaires chinoises. A Ladakh par exemple, les gens

•..~.~ du coin slgnalent precisement le phenomene joumalier de

~ grands vaisseaux triangulaires surgissant de sous Ia terre et

I des forces indiennes qui assurent leur securite,

~ Militaires et pcliriciens Ont admis .que I'Inde a ete contac-

Itee et mise au fait des lois et regles de l'Univers. Le choix

I

qui se pose est soit de garder Ie secret comme les autres

pays , soit de sortir du rang et de dire la verite selon Ia

tradition d'une societe totalement transparence. LInde est

5 1 ouverte et democrarique que cela lui est rres difRcile de

I garder longtemps un secret - et a la difference des autres~ pays, c'est aujourd'hui devenu le plus grand souci du gou-

~ vernement .

~~~~';~~W~;mK~~~~#%tF~~~~~

Si !'information passe en premier par des voles non ofR-

cielles, et qu'ensuite les aurorites scient obliges de se con-

fesser, deux consequence importantes sont a craindre, Toutd'abord, ce1a pourrait probablement causer [a panique

aussi bien dans le pays que dans Ie reste du rnonde. En-

suite, vu la fac;:ondont la politique indienne est organisee,

Ie parti au pouvoir pourrait etre rejette en un clin d'eeil si

jamais on decouvre que le gouvernement cachait de relles

informations au public.

II semble que les puissances mondiales aient conseillee al'Inde de respecter les consignes tacites en la matiere et lui

air propose une reconnaissance comme superpuissance

ernergeante en echange .

Le pays est confronte a un dilemme interieur : soit se sou-

rnettre au regles internationales, aux lois de l'Univers, et

etre reconnu comme une superpuissance, soit eccehonnete

envers sescitoyens et envers les habitants du Monde. Selon

des sources proches du gouvernement, les contacts des

ovnis sont connus de quelques membres de l'opposition et

bien sur de ceux du parri au pouvoir.

Larmee a aussi toutes Ies raisons Iegitimes de ne pas de-

voiler Ie secret.

S ou rc e: Ind ia D a ily , 6J a nv ie r 2 00 5,

( http://www.indiadaily.com/editoriaIlO 1-06a-05 .asp )

NEXUS n038

rnal-juln 2005

8/7/2019 Nexus 38 - Mai Juin 2005 - HAARP Vaccination OVNI Himalaya (Complet)

http://slidepdf.com/reader/full/nexus-38-mai-juin-2005-haarp-vaccination-ovni-himalaya-complet 70/70

Des archeologues jettent une lumiere nouvelle sur les civilisations

les plusconnues en Amerique.

De recenres fouilles archeologlques cntralnent ia mise a jour d'une civilisation apparue u y a plus de 5000 ans, dans3.Retites vaII6esa 100 rnilles au nord de Lima, au l't~rou et ayant dure plus d'un millenaire, Ces foullles d6momrent,

l'amenagement de plus de 20 lmportants espaces residenriels separes, caracterises par une architecture majest~eu~e, d~grands edifices cerernonielles spheriques ainsi que des logements et une agriculture lrriguee.

Les chercheurs, qui ont publie leur decouverte dans I'edi[jon du 23 decembre 2004 du journal sclentffique «Nature »,

r , o r y ~ utilise la daration all carbone pour determiner l'apogee et la chute de cerce premiere societe cornplexe d,esAn)ed-

., q~es datant approximadvemenr de 3000 a 1800 ans avant Jesus Christ. lis onr etudie I'etendue de cet empire qui cou'vrenne surface d'environ 700 milles2 (i800 kmZ

) clans la region de None Chico, au Perou, Larchireceure rnajestueuse

etair fIagrantea chaque emplacement, marquee par la presence de gtandes elevations de plate-forme, egalement decrites

comme des pyramides en terrasse rectangulaires qui arteignaient une hauteur de 26 m. .' .

" II ne s'agit pas d'un site unique d'activites peucommunes, mais d'une region entiere , de route une culture O U qui-

conque ecalr destine a edifier de grandes pyramides et des places encaissees , structures jamais vuesen Ameriqueaupa-

ravant i selon Ie professeur Winnifred Creamer, anrhropologue de la Northern Illinois University (NTU).

«:Ceux qui ont cree le premier de ces barimenrs n'avaienr aucun exempIe a suivre, aucun precedenr dans la construction

de rnorruments. C'est {.n peu cornme decider de construire un ~seau spatiaien etar de marche dans votre arfier~:Cour'

Les 13 centres internes etudies .coUYrent des surfaces allant

de 10 ft 10 ha. Chactin posse~it entre une a sept pyxa-mides rectangulai~ en terrasse-s. Les:plus grandes. d' entre

ellesayaientun volume de 80.000 a plus deJ50.000m3.listezrasses Ies

plus eleveesde ces constructions accueillaient despieces. Un, autre signe dlsrinctif de ces'sites est la presence-de

places drculaires ehcaissee;sd'un clianierre variantde 20 Ii . 40

metres et profondes d'un a dellxmet~.En beef, Ies sites de Norte Chico indiquent une civilisation

avancee qui a surgi sans le developpernenr des cesamiques,

marque manifesre -des autressocietes complexes dans le

monde enrier,

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