newsletter - aiju.fr · nº newsletter 1er trimestre 2016 97 25ème anniversaire et présentation...
TRANSCRIPT
nº
Newsletter1er Trimestre 2016 97
25ème Anniversaire et présentation du GUIDE AIJU 3.0 : Jeux et Jouets 2015/16Le 17 novembre dernier, nous avons présenté notre Guide 3.0 des Jeux et Jouets 2015/16.Cette année, le GUIDE fête son 25ème Anniversaire. A cette occasion, nous avons retracé l’évolution des jeux pour enfants ces 25 dernières années, et avons réalisé une comparaison entre les jouets d’antan et ceux d’aujourd’hui.La présentation du GUIDE 3.0 a été présidée par M. Rafael Climent González, Conseiller de l’Economie Durable, Secteurs Production, Commerce et Travail, par Mme Júlia Company, Directrice Générale de l’Institut Valencien de la Compétitivité des Entreprises (IVACE), par M. José Antonio Pastor, Président de lAEFJ (Association Espagnole de Fabricants de Jouets), et par M. Vicente Anguiz, Président d’AIJU.
En plus de l’équipe en charge de l’élaboration du Guide dans toutes ses versions multiplateformes, nous avons également pu compter sur la présence de collaborateurs importants de longue date ainsi que celle de bloggeurs renommés.Toutes les entreprises ayant participé au Guide ont été invitées à la présentation.
Pour plus d’informations: Ana Mata
AIJU teste les berceaux et les berceaux de voyage pour les autorités de surveillance du marché européenDe mars à juillet, AIJU a réalisé une étude sur les tests de berceaux et berceaux de voyage. Cette étude entrait dans le cadre des actions de veille du marché selon la Directive relative à la Sécurité Générale des Produits mise en place en 2013 (Joint Action 2013 on Child care Articles / Action Conjointe 2013 pour les Articles de Puériculture). L’objectif principal de ses tests visait à identifier les non conformités pouvant s’avérer dangereuses pour les articles analysés.
L’étude a été réalisée par l’organisation PROFASE (Product Safety Forum For Europe / Forum Européen pour la Sécurité des Produits). Il s’agit d’une organisation professionnelle à but non lucratif composée d’autorités et d’agents de surveillance originaires de tous les pays de l’Espace Economique Européen (EEE). L’objectif principal de cette organisation vise à accroître la sécurité ainsi que la conformité des produits et des services en Europe. Les actions conjointes de surveillance du marché (Joint Market Surveillance Actions), coordonnées par PROSAFE, sont financées par la Commission Européenne et l’AELC (Association Européenne du Libre Echange). Ce groupe de travail d’articles de puériculture fait partie d’une action conjointe encore plus conséquente, appelée JA2013, également coordonnée par PROSAFE. Une fois
les actions finalisées, les autorités de chaque Etat Membre participant décident des mesures à adopter dans chaque cas.
A l’occasion de cette étude, la 4ème réunion du groupe de travail « Articles de puériculture » (Child care articles), coordonnée par PROSAFE, s’est tenue dans les installations d’AIJU en septembre dernier. Des représentants des autorités de surveillance des marchés belge, bulgare, tchèque, allemand, grecque, islandais, maltais, hollandais et portugais ainsi qu’une représentante de la Commission Européenne y ont assisté. Lors de la réunion, ces derniers ont débattu et échangé sur les résultats obtenus lors des tests effectués sur les différents échantillons reçus.
Pour plus d’informations : Sonia Pinteñ[email protected]
2
VOUS INFORME
Pour plus d’informations : Ignacio Seguí
[email protected]://www.cncit.eu/en
AIJU et Les ATELIERS TIBI mettent au point du matériel éducatif dans le cadre du CNC pour les centres de formation
Depuis 2 ans, et dans le cadre du projet « Compile New Competencies and Implement them to Teaching (Dresser de Nouvelles Compétences et les Appliquer à l’Enseignement), cofinancé par le Programme d’Apprentissage Permanent de la Commission Européenne, AIJU et les ATELIERS TIBI ont élaboré des matériels pour le secteur TIC en plus des équipements de formation relatif au secteur du CNC. Le projet a pour objectif de mettre en commun les matériels éducatifs sous Contrôle Numérique (CNC) et les Technologies de l’Information (IT).
AIJU, en tant que centre technologique, et les ATELIERS TIBI, en tant qu’entreprise consultante experte, ainsi que les autres partenaires européens du projet, ont dressé un bilan positif lors de la dernière réunion du projet qui s’est tenue dans la ville croate de Sisak. Durant les deux ans qu’a duré le projet, 11 réunions ont eu lieu et un total de 144 déplacements ont été effectués afin de visiter tous les centres participants situés en Croatie, Slovénie, Pologne, Turquie et Espagne. Lors de ces réunions, nous avons pu visiter un total de 12 entreprises, situées dans les zones d’influence des centres participants au projet, qui utilisent des procédés en relation avec la thématique du projet. La possibilité de pouvoir visiter les industries locales s’est avéré être une opportunité vraiment intéressante afin de se rendre compte de l’influence et de l’impact du projet.Tous les assistants ont estimé que ce modèle de collaboration entre des centres de formation, une entreprise et un centre technologique s’avérait très positif.
L’IES La Foia (établissement d’enseignement secondaire) a été le premier établissement à incorporer ces matériels de formation.
Au cours de la dernière année du développement du projet, les
professeurs comme les étudiants de L’IES La Foia à Ibi, Alicante, ont suivi la formation et ont pu tester les développements proposés dans le projet sous la supervision d’AIJU et les conseils des ATELIERS TIBI. Ces acteurs sont les premiers bénéficiaires des résultats du projet et les travaux ont été incorporés au sein du centre comme matériels de formation pour les générations suivantes.
Les matériels développés sont à la disposition de tous les centres européens intéressés. Vous pouvez également obtenir plus d’informations à propos du projet en visitant le site officiel : www.cncit.eu
En août dernier, la réunion pour le lancement du projet européen REED « Rejuvenate European Design (Donner une Nouvelle Jeunesse/un Nouvel Elan au Design Européen) » s’est tenue à Londres. L’objectif du projet, cofinancé par le Programme Europe Créative de l’Union Européenne, vise à développer une plateforme interculturelle afin de promouvoir un nouveau genre de concept d’économie circulaire auprès des jeunes designers d’écoles européennes.
Le projet a pour objectif de créer de nouveaux produits respectueux de l’environnement grâce à des déchets provenant d’activités industrielles. La plateforme encouragera la créativité des jeunes designers et donnera de la visibilité
à leur carrière, en stimulant de nouveaux modèles d’affaires et de développement de marché dans les pays membres.
Le projet, dirigé par l’entreprise ACTIONDOG CICI, basée au Royaume-Unis, regroupe un consortium composé d’organismes de différents pays européens.
Au sein de ce projet, AIJU sera en charge de promouvoir le développement de produits respectueux de l’environnement auprès des jeunes designers. Ceci, grâce notamment à des concours de design et des programmes de formation en économie circulaire. Les résultats obtenus seront diffusés depuis la plateforme et feront l’objet d’une exposition itinérante internationale.
Pour plus d’informations : César Carrió[email protected]
AIJU encourage l’économie circulaire, apportant son soutien à de jeunes designers européens
3
AIJU VOUS INFORME
AIJU participe au salon de la puériculture de Madrid « Puericultura Madrid », apportant de nouvelles idées pour restructurer les boutiques et enseignes
Pour plus d’informations :César Carrión
En octobre dernier, l’Association Espagnole des Fabricants de Jouets (AEFJ) a organisé à Valence, Espagne, la deuxième édition des Journées « Trends & Kids (Tendances & Enfants) ». Le thème clef, en accord avec le marché actuel était : « comment rendre les jouets plus attractifs grâce à la technologie ».
Lors de ces journées, des sujets de grand intérêt ont été abordés et il a été question de la mise en pratique de ces thématiques par les entreprises. De plus, nous avons exploré les possibilités qu’offre la technologie au secteur jouet en nous focalisant sur trois aspects clefs : le mouvement des Makers, la personnalisation des jouets grâce aux impressions 3D et les environnements immersifs dans le jeu.
Maria Costa, Directrice du service Consommateur Enfant et Loisirs chez AIJU et membre du Comité International des Tendances au Salon de Nuremberg, a présenté les tendances du marché du jouet en se basant sur l’étude des principaux salons du secteur. Le personnel de l’Université Polytechnique de Valence, Espagne, a quant à elle, présenté ses recherches sur l’application de tendances en design de jouets. De plus, des experts en technologies ont exposé la réalité de la fabrication 3D, ainsi que les possibilités des environnements immersifs du jeu. La gestion de contenus transmedia a également été analysée par le sous-directeur des contenus infantiles de la chaîne de télévision espagnole RTVE, et de la protection juridiques des concepts.
4
VOUS INFORME
Un nouveau projet européen a été mis en place. Son nom : Edutronix – Interactive Education Module for Mechatronics (Outil d’Education Interactive pour la Mécatronique). Le but est de dépasser les méthodes traditionnelles d’apprentissage, et ce, grâce à des méthodes interactives améliorant l’expérience de l’apprentissage. Le nouveau concept de « mécatronique » doit son nom à la création de machines de plus en plus sophistiquées incorporant des commandes, des logiciels, de l’électronique etc. ; ce qui requière toujours plus de formations en compétences nouvelles.
Ce projet entre dans le cadre du programme Erasmus +, avec la participation de deux centres polonais, un centre italien et enfin AIJU, en tant qu’associé expert en plateformes TIC pour l’apprentissage interactif et en ligne.
Le rôle d’AIJU consiste à développer un contenu de formation relatif à la mécatronique grâce auquel les étudiants en formation professionnelle pourront acquérir les connaissances nécessaires afin de fabriquer et de développer leurs propres robots. Le contenu de formation prévoit le développement de matériels incluant une programmation avec Arduino, Scratch, Android SDK, etc.
Toutes les ressources générées durant le projet deviendront des ressources
éducatives libres de droit et pourront être appliquées par tous les centres européens intéressés par la mécatronique.
AIJU prépare des contenus de formations afin de permettre aux étudiants d’apprendre à fabriquer leurs propres robots.
Pour plus d’informations: César Carrión - [email protected]
Pour plus d’informations :Pablo Busó
AIJU et IBV développent des mannequins d’enfants virtuels afin de faciliter une application correcte de données anthropométriques à l’industrie. AIJU et l’institut de Biomécanique (IBV) collaborent sur la réalisation du projet ERGOKIDS 2. L’objectif de cette initiative vise à améliorer le procédé de design de nouveaux produits pour enfants à partir de l’anthropométrie infantile, et ce, dans le but d’améliorer la sécurité, la santé et la qualité de vie des enfants.
Durant la première année du projet, les spécifications et les mesures anthropométriques relatives à l’ergonomie et à la sécurité des produits pour enfants ont été établies. Une base de données anthropométrique 3D a également été créée et une analyse morphologique de la population infantile a été réalisée. De plus, les méthodologies d’évaluation ergonomique des produits pour enfants ont été définies.
Les deux instituts travaillent actuellement sur le développement d’un Guide de Bonnes Pratiques incluant des critères de design pour les produits. Ils travaillent également sur le développement de mannequins d’enfants virtuels permettant d’appliquer les connaissances anthropométriques infantiles générées lors des premières phases du procédé.
En développant ces deux outils, l’objectif est d’assurer le transfert de ce type de connaissances aux entreprises des secteurs jouet, puériculture, parcs pour enfants, équipements et installations sportifs.
Le projet ERGOKIDS 2 est cofinancé par la Généralité valencienne (grâce à l’institut valencien de Compétitivité des Entreprises, IVACE) et le Fond Européen de Développement Régional (FEDER).
5
AIJU VOUS INFORME
Pour plus d’informations : Ana [email protected]
AIJU avance sur sa ligne de recherche « Enfance et Santé grâce à l’incorporation de TIC »AIJU a débuté le projet TIC HEALTH 4 CHILDREN (TIC : Santé des Enfants) dont l’objectif vise à effectuer des recherches et à développer des biens de consommation innovants pour les enfants. Ces biens favoriseront l’échange d’informations entre médecins et patients grâce à l’application de TIC. Ces recherches serviront de pilotes pour l’industrie des biens de consommation pour enfants, octroyant une plus grande valeur ajoutée à leurs produits grâce à une approche santé leur permettant de se différencier et de diriger leur offre vers d’autres niches de marché et/ou canaux de distribution.
Une analyse sur la valeur ajoutée que peuvent apporter les TIC dans les secteurs jouet et puériculture est en cours. Ces TIC génèrent des fonctionnalités pour les produits qui seraient difficilement possibles sans l’aide de la technologie. Dans le même temps, des recherches sont réalisées sur les nécessités et les exigences des utilisateurs en matière de santé et de sécurité pour ce nouveau type de produits.
Le potentiel qu’offrent les TIC pour obtenir un plus grand impact dans le développement de la santé et du bien-être social est un fait avéré dans la société actuelle. L’incorporation des TIC dans l’environnement médical suppose un moteur de changement permettant d’améliorer la qualité de vie des citadins. Ces TIC favorisent ainsi le développement d’outils permettant d’apporter des solutions dans des domaines comme la planification, l’information, la recherche, la gestion,
la prévention, la promotion, le diagnostique et le traitement.Le projet TIC HEALTH 4 CHILDREN est cofinancé par la Généralité valencienne, grâce à l’IVAC, et le Fond Européen de Développement Régional (FEDER).
AIJU effectue des recherches sur le développement d’aires de jeux intelligentes pour enfants
Pour plus d’informations : Pablo Busó
A travers le projet SMART PARC, AIJU effectue des recherches sur le développement d’un prototype d’aire de jeux intelligente pour enfants, capables de se connecter aux plateformes TIC propres aux villes intelligentes ou Smart Cities. Ce projet a pour but de développer de nouvelles fonctionnalités dans les aires de jeux urbaines grâce à la création et/ou à l’exploitation de contenus numériques en accord avec les principes d’habitabilité, de durabilité et de gouvernance.
Les recherches effectuées par AIJU démontrent une fois de plus l’intérêt des enfants pour les jeux en extérieur, et comment la simple présence d’un jeu ou d’une aire de jeux dans leur environnement proche multiplie de façon considérable leur niveau d’activité physique.Un inventaire est en cours afin de répertorier les différentes fonctionnalités TIC utilisées dans les
Villes Intelligentes. En parallèle, une étude sur les habitats des utilisateurs en environnement urbain est réalisée afin de définir et de caractériser leurs besoins et leurs exigences.
Afin de développer des aires de jeux attractives pour la génération d’enfants nés sous l’aire numérique, il convient d’envisager leur évolution vers des jeux audiovisuels interactifs propices au développement d’expériences de jeu physico-numériques et qui dynamisent les relations de collaboration entre les utilisateurs. Les consoles de jeux portables et les téléphones mobiles offrent aux individus la possibilité de jouer à une large gamme de jeux numériques où qu’ils se trouvent et à n’importe quel moment.Le projet SMART PARC est cofinancé par la Généralité valencienne, grâce à l’IVAC, et le Fond Européen de Développement Régional (FEDER).
6
VOUS INFORME
Pour plus d’informations Ignacio Seguí
[email protected] plus d’informations: Ruperto Martí[email protected]
AIJU dispense de nouvelles formations sur les impressions 3D dans le cadre du projet PRINTSTEM
AIJU et l’IES La Foia encouragent l’apprentissage collaboratif grâce à l’utilisation de drones
AIJU participe au projet européen PRINTSTEM en tan qu’expert en technologie. Ceci dans le but d’apporter son aide et son soutien à divers établissements d’enseignement secondaire et à des centres de formation professionnelle italiens, turques, polonais, tchèques et grecques. Le tout, en s’appuyant sur son expertise acquise durant plus de 15 ans d’expérience en fabrication additive. Il convient de préciser que les sigles du projet (STEM) font référence aux mots « science, technology, engineering & mathematics (science, technologie, ingénierie et mathématiques) », les bases de l’apprentissage.
La troisième réunion du projet s’est tenue en septembre dernier dans les installations d’AIJU. Il a été décidé, avec l’ensemble des participants, de réaliser un cours permettant aux assistants d’acquérir les capacités et les connaissances nécessaires pour pouvoir fabriquer leur propre imprimante 3D, basée sur la technologie FDM (Fused Deposition Modeling - Modélisation par Dépôt de Fil en Fusion).
Dans le cadre de cette initiative, un cours permettant aux assistants de fabriquer leur propre imprimante 3D Prusa P3 Stell a eu lieu dans les installations d’AIJU en octobre dernier. Les élèves ont appris à monter la structure, à calibrer la machine ainsi que les divers paramètres et programmes de contrôle. Ceci leur permettra, à l’avenir, de travailler de façon autonome avec leur imprimante, et de fabriquer leurs propres prototypes.Le projet entre dans le cadre du projet Erasmus+, KA2 – Cooperation and Innovation for Good Practices (Coopération en Matière d’Innovation et d’Echanges de Bonnes Pratiques) – sous le numéro de dossier 2014-1-IT02-KA201-004204.
Il est indéniable qu’actuellement, l’utilisation de drones est très en vogue chez les jeunes, de part leur côté attractif. En plus d’être un secteur en constante progression, il permet de réaliser des propositions innovantes d’apprentissage collectif. C’est dans ce sens que va le projet européen DroneTeam, dirigé par l’IES La Foia d’Ibi (Alicante) et auquel participent trois autres centres européens de formation professionnelle croates, polonais et slovènes, avec le soutien d’AIJU en tant qu’expert. Le projet est cofinancé par la Commission Européenne dans le cadre du programme Erasmus+. L’objectif est d’améliorer les compétences grâce à l’utilisation d’un jouet complet, comme peut l’être un drone. Ceci, en impliquant des professeurs et des étudiants en Formation Professionnelle provenant de domaines de compétences et de pays différents. Ils apporteront une vision plus globale, propice au développement professionnel.
Durant la première année du projet, les professeurs et les experts d’AIJU élaboreront des matériels éducatifs qui seront mis en pratique par les étudiants les années suivantes. Pour ceci, des équipes multidisciplinaires seront formées et participeront ensemble à la personnalisation de leur drone, en améliorant les concepts d’innovation de produit, le travail en équipe, leur maîtrise de l’anglais et leur connaissance de la technologie et des tendances.
AIJU apportera son expérience en tant que conseiller et superviseur dans le domaine de la qualité des matériels de formation. Les élèves espagnols de L’IES La Foia apporteront leurs connaissances dans le domaine des composants plastiques des drones. Les étudiants polonais, quant à eux, apporteront leur connaissance en matière de logiciel de contrôle, les étudiants slovènes fourniront leur expérience en électronique et en évaluation de la soufflerie, alors que les élèves croates contribueront au développement de plusieurs pièces sur machines CNC.
Tout ceci contribuera à la dynamisation du cycle de formation sur les matières plastiques: Technicien qualifié en Moules Métal et en Polymères. Cette formation a commencé fin 2015 et se poursuivra en 2016 avec pour objectif de générer des matériels éducatifs de qualité . Pour les élèves inscrits à cette première année et pour ceux inscrits aux suivantes, ce projet est une opportunité qui apportera de la valeur ajoutée à la formation dispensée au centre.
AIJU mettra les matériels éducatifs développés durant le projet à la disposition des centres européens, et ce, en tant que Ressources Educatives Libres.
7
AIJU VOUS INFORME
sociaux. Le but était d’encourager l’inclusion de tous les citadins, et notamment les Séniors, dans une société de l’information et de la connaissance.
Les participants de différents pays européens ont présenté des produits et des projets relatifs aux Séniors. Ceci a permis d’établir un réseau entre tous les collaborateurs et ainsi de continuer à innover et à échanger des expériences, des outils, des contenus et autres approches et méthodologies dans les domaines de la gériatrie et de la gérontologie.
Le personnel technique d’AIJU a assisté, en tant qu’intervenant, à l’évènement international sur les Séniors organisé à Paris par l’association française « E-Seniors » en octobre dernier. L’association,
dont l’objectif vise à promouvoir le monde numérique auprès des Séniors, a organisé des journées portes ouvertes intitulées « Ageing is Fun » (Vieillir, c’est Amusant). Cet évènement a pu compter sur une participation importante de tous ceux qui, comme nous, travaillent avec et pour les Séniors dans les milieux hospitaliers et
AIJU, en collaboration avec l’Association Parkinson d’Alicante, travaille actuellement sur la façon de faciliter le développement d’une nouvelle génération de jeux vidéo qui contribueront à améliorer la qualité de vie des personnes atteintes par la maladie de Parkinson. Le projet PROPHETIC, financé par le programme « Research and Innovation Staff Exchange / Echange de Personnel pour la Recherche et l’Innovation (RISE) » dans le cadre du projet « Marie Sklodowska-Curie Actions » de la Commision Européenne, vise à développer et à mettre en œuvre une plateforme qui facilite la gestion de la maladie de Parkinson grâce à un système de surveillance continu à distance des patients parkinsoniens, et ce, d’une manière non intrusive.
Cette étude se trouve actuellement en phase de collecte des besoins et des exigences. Pour cela, nous pouvons compter sur la participation d’experts européens afin de bénéficier d’une parfaite connaissance de la réalité et des besoins du collectif mentionné. Dans cette optique, nous avons
besoin d’une part, de la participation de plusieurs experts en maladie de Parkinson (psychologues, physiothérapeutes, etc.) qui détermineront les préférences, les domaines d’intervention prioritaires, les besoins et les demandes de malades parkinsoniens relatifs au futur développement de la plateforme PROPHETIC. Nous auront besoin d’autre part des malades parkinsoniens eux-mêmes, qui eux, fourniront une information précieuse sur la gestion des Technologies de l’Information et de la Communication et sur leurs préférences en matière de loisirs associés à ces TIC.
Les résultats récoltés lors de cette première phase serviront à assurer à la plateforme un design en adéquation avec les besoins des utilisateurs à laquelle elle est destinée.
AIJU débute sa collaboration avec l’Association Parkinson d’Alicante
Pour plus d’informations : Rocío [email protected]
AIJU présente ses différentes recherches sur les Séniors à Paris
Pour plus d’informations : Rocío Zaragoza
8
VOUS INFORME
Plus de 150 personnes se sont données rendez-vous à Bruxelles en septembre dernier lors de la 16ème réunion de la Plateforme Européenne de Fabrication Additive organisée par la Commission Européenne au siège du Comité des Régions.Voici les thèmes abordés à cette occasion : faut-il de plus grandes infrastructures de recherche en Europe ? Comment obtenir un plus grand impact pour nos entreprises grâce aux technologies de fabrication additive ? La fabrication hybride est-elle la solution du futur ? Quand est-il des multi-matériaux ? A-t-on besoin de nouveaux matériaux ?..
Lors de la réunion, la Commission, à travers le Comité Economique et Social Européen (CESE), a présenté le rapport «Vivre demain. L’impression 3D, un outil pour renforcer l’économie européenne », approuvé en mai dernier (http://www.eesc.europa.eu/?i=portal.en.ccmi-opinions.32834).
Dans ce rapport, il est indiqué que la fabrication additive ainsi que la fabrication 3D, combinées à Internet, la robotique et les logiciels à code source ouverts, donneront lieu à une révolution industrielle avec de profondes implications dans les prochaines années pour les économies nationales, les modèles d’affaires et l’éducation. Il s’agit d’opportunités sans précédent dans ces domaines pour les entreprises.
Bien qu’il existe une grande variété de matériaux qui sont communément utilisés durant ce procédé, nous devons rester vigilants quant à l’origine des produits et à la transparence de la chaîne d’approvisionnement. L’utilisation croissante des ces technologies engendrera un impact sous bien des aspects :
AIJU participe à la 16ème réunion de la Plateforme Européenne de Fabrication Additive à Bruxelles
1 . Selon l’industrie, cette technologie affectera principalement les processus de production que les entreprises ont adoptés jusqu’alors. De nouveaux business models seront alors nécessaires.2 . De nouveaux produits pour de nouvelles niches de marché.3 . Le retour de certains types de fabrication dans les pays à bas coûts.4 . Le développement d’une nouvelle « culture de fabrication » : les gens créeront activement des produits, tant pour leur usage personnel que pour le marché. La co-création en ligne de produits augmentera.5 . L’impression 3D va promouvoir l’innovation6 . Les conséquences juridiques : droits d’auteur, brevets, marques commerciales. La falsification augmentera, et par conséquent le nombre de procédures judiciaires. Le design et le développement de procédés prendront de la valeur.7 . Une croissance plus rapide du marché des bureaux de services relatifs à l’impression 3D.8 . Plus de personnalisation9 . Des biens sur demande du consommateur10 . Le CA mondial de tous les produits et services du secteur fabrication additive a augmenté, en moyenne de 25% par an lors de ces dernières années (Wohlers, rapport 2014).11 . La réduction de la consommation d’énergie et du gaspillage de matériaux. La production locale devient possible partout dans le monde.12 . Les gouvernements, au même titre que l’Union Européenne, pourront promouvoir l’impression 3D. 13 . Des applications dans les domaines de l’automobile, le design, la mode, la défense, la médecine, la santé, la nutrition et les services alimentaires, le bâtiment, la chimie, l’art, l’agriculture, les sciences biologiques, etc.
Pour plus d’informations : María [email protected]
Pour plus d’informations: Suny Martínez
AIJU, expert en analyse de marché et tendances sociales dans le secteur des produits pour l’enfance, a été invité à participer au « Trends Forum (Forum des Tendances) » au salon « Kind & Jugend » qui a eu lieu à Cologne en septembre dernier.María Costa, Directrice du service Consommateur Enfant, a exposé, lors de ses présentations, les données les plus pertinentes des dernières recherches menées à bien dans différents pays européens. Il s’agit là d’études qui ont
permis de définir les ultimes tendances en matière de design de produit et les stratégies ayant le potentiel d’impacter la consommation des parents dans les différents pays.
Au sein de notre service Consommateur Enfant, nous réalisons continuellement des analyses sur les nouvelles propositions présentées lors des derniers salons de puériculture les plus pertinents en Europe et en Asie. C’est ainsi que nous générons des documents à haute valeur ajoutée dans une période où il est important de connaitre la direction et la progression du marché. Cette information est diffusée dans les entreprises intéressées via des conférences et des formations sur mesure pour leurs équipes commerciales, marketing et design.
AIJU présente « comment se comportent les parents actuels » au salon « Kind & Jugend (Enfants et Adolescents) »
9
AIJU VOUS INFORME
Pour plus d’informations : Mª Carmen Hita
AIJU assiste à un séminaire européen sur la prévention des traumatismes infantilesEn octobre dernier, le personnel AIJU a participé au séminaire européen « Child Injury prevention : A European Challenge (Prévention des traumatismes infantiles : un défi européen) » organisé par EuroSafe, European Child Injury Safety Alliance (l’Alliance Européenne pour la Sécurité de l’Enfant) et EUPHA. Divers thèmes sur la sécurité infantile ont été abordés durant le séminaire : les produits pour enfants et le comportement du consommateur, les environnements sécurisés pour les enfants, la sécurité électrique, la sécurité durant le sommeil, la sécurité lors de l’installation et de l’utilisation d’un sièges auto, la nécessité d’instruire les nouveaux parents en matière de sécurité infantile, la sécurité dans les écoles, la prévention des traumatismes non intentionnels, la nécessité d’augmenter la quantité d’informations afin de prévenir les traumatismes infantiles, les programmes de prévention sur les risques de brûlures et d’étranglements chez les enfants à la maison, le port du casque à bicyclette, les empoisonnements et la manière de les éviter, ainsi que d’autres programmes de sécurité infantile dans différents pays européens.
Le prochain évènement intéressant relatif à ce sujet sera la « 12th World Conference on Injury Prevention and Safety Promotion (12ème Conférence Mondiale sur la Prévention des Traumatismes et la Promotion de la Sécurité) » qui se tiendra à Tampere, Finlande, en septembre 2016.
AIJU continue ses recherches dans la prévention d’accidents infantiles lors du bain
Pour plus d’informations : Mª Carmen Hita
Depuis le début de cette année, AIJU travaille sur le projet BATHRISK « Evaluation des risques domestiques liés à l’activité du bain chez les bébés et les jeunes enfants ».
Le projet tient compte du comportement de l’enfant, de ceux qui s’en occupent et des caractéristiques des produits pour enfants utilisés. L’objectif vise à prévenir les traumatismes non intentionnels les plus courants qui surviennent dans l’environnement du bain chez les nourrissons et les jeunes enfants de 0 à 48 mois. Lors de l’avancement du projet, les
principales causes de noyades et de traumatismes dans l’environnement du bain chez les bébés ont été analysées. Les scénarios les plus courants durant lesquels ces accidents surviennent ont été établis. Ceci, grâce à l’identification des dangers, du facteur déclencheur accidentel, de la gravité du traumatisme et aussi en s’interrogeant sur la façon d’éviter les accidents grâce à une prévention adaptée.
Ce projet est financé par la Fondation Mapfre dans le cadre du programme «Aides à la recherche Ignacio H. De Larramendi : Prévention, Santé, Assurance et Prévision Sociale 2015».
La participation d’AIJU à cet évènement majeur à contribué à positionner l’Institut parmi les principaux centres de recherche en sécurité infantile en Europe. Cela a également représenté une formidable opportunité pour raffermir nos collaborations et enrichir nos contacts avec d’autres centres et universités du même secteur.
10
VOUS INFORME
Pour plus d’informations : Pepi Galvañ[email protected]
Pour plus d’informations: Bartolomé González [email protected]
Température maximale des surfaces accessibles des jouets (norme UNE – EN 62115)
De nouveaux mélanges maîtres biodégradables produits à partir de coques d’amandeDes concentrés de couleur biodégradables ont été développés. Ceux-ci permettent d’obtenir des pièces plastiques fabriquées par injection, avec une texture attractive et une veinure très similaire à celle du bois.
La production de ces mélanges maîtres avec des coques d’amande a démontré son efficacité environnementale par rapport à ses homologues standards. Par contre, son utilisation applicative doit être analysée au cas par cas.
Développé dans le cadre du « LIFE 11 MASTALMOND » (www.lifemastalmond.eu), le projet a pris fin en septembre dernier avec un évènement international durant lequel il a été démontré comment ces matériaux, ainsi que les autres matériaux innovants (nano ou microstructurés, à mémoire de forme etc.), influent sur les procédés de design, la fabrication avancée et les nouveaux business models, comme cela a été le cas pour le projet iBUS, inauguré récemment. L’évènement s’est terminé par une session « portes ouvertes » avec la visite de toutes les installations d’AIJU.
Nous rappelons que depuis l’entrée en vigueur, en 2013, de la modification A11 de la norme EN 62115 sur la sécurité des jouets électriques, il existe des limites quant à l’augmentation de la température des surfaces accessibles (destinées ou non à être touchées pendant le jeu) qui dépendent, à la fois de la tranche d’âge à laquelle le jouet est destiné, et du matériau.
Cette différence de limites de température provient d’une étude dans laquelle le temps de réaction d’enfants d’âges différents a été comparé. Plus l’âge est bas moins la température doit être élevée, laissant le temps à l’enfant de retirer sa main avant la sensation de chaleur.
Si cette limite est augmentée pour une tranche d’âge donnée, sans toutefois augmenter la limite à la tranche d’âge supérieure, il est possible de l’indiquer grâce à un message d’avertissement. Par exemple, si l’objet présente une surface métallique accessible non recouverte et que l’augmentation de température ne dépasse pas 36°C, ce sera dangereux pour les enfants de moins de 8 ans mais pas pour ceux de 8 ans et plus. Dans pareil cas, il sera possible d’indiquer « Attention, ne convient pas aux enfants de moins de 8 ans ».
Par ailleurs, il est important de préciser que les augmentations de limites indiquées dans la norme prennent toujours en compte la température ambiante.
11
AIJU VOUS INFORME
La réunion pour le lancement du projet iBUS – an integrated business model for customer driven custom product supply chains ( un modèle d’entreprise intégrée pour les chaînes d’approvisionnement de produits personnalisés axées sur les clients) - a eu lieu au siège de la Commission Européenne en septembre dernier. L’objectif principal de ce projet vise à développer et à démontrer les qualités d’un modèle d’affaires innovant axé sur la chaîne d’approvisionnement, qui booste les ventes des fabricants de jouets traditionnels de l’Union Européenne grâce à des technologies basées sur Internet mais également en se concentrant sur des produits personnalisés sûrs et de qualité.
Grâce à ce nouveau modèle iBus, les consommateurs deviennent de véritables designers (depuis leur domicile ou dans les magasins) ; ils personnalisent et commandent leurs propres produits en ligne via le portail iBUS. Cela favorise l’interaction et la collaboration entre les fournisseurs, les fabricants, etc. Ils pourront s’appuyer sur les services intégrés de la plateforme à savoir : des assistants en design de réalité augmentée, des outils de vérification de design pour respecter la conformité des directives relatives à la sécurité des jouets de l’UE, une analyse de l’empreinte environnementale et la création de pièces grâce à l’impression 3D.
AIJU, en tant que centre technologique de référence en Europe dans les domaine du jouet et des technologies de fabrications additive, participe à toutes les actions du projet, en impliquant
Lancement du projet européen iBUS « modèle d’entreprise intégrée pour la distribution/l’approvisionnement de jouets personnalisés conçus pour les clients »
Pour plus d’informations : Suny Martí[email protected]
ses spécialistes en sécurité des jouets, environnement, pédagogie, marché et produit, design, technologies de l’information, matériaux et procédés de fabrication additive/impression 3D.
Le projet est coordonné par l’Université de Limerik (Irelande). Des entreprises et des centres d’Allemagne, de France, du Royaume-Uni, de la République Tchèque et d’Espagne y participent. Il faut souligner la présence de deux entreprises espagnoles fabricantes de jouets, JUGUETTOS CENTRAL DE COMPRAS et FABRICA DE JUGUETES, lesquelles auront un rôle clef dans la détermination des conditions requises pour la plateforme iBUS ainsi que dans la vente et la fabrication de jouets personnalisés via la dite plateforme.
La personnalisation de produits de consommation est une tendance à la hausse tout comme l’implication des utilisateurs dans les procédés de développement de nouveaux produits. Le but de ce projet vise à aider les entreprises de notre tissu industriel à mieux se positionner dans des domaines tels que l’innovation et la compétitivité.
12
VOUS INFORME
Pour plus d’informations : Miguel Angel León [email protected]
AIJU et Sarabia Plastics, S.I, effectuent des recherches sur de nouveaux procédés de fabrication de moules dans le domaine du thermoformage grâce à des technologies d’impression 3D
Le projet vise à améliorer le développement de moules pour le thermoformage de pièces grand format afin de produire des emballages à effet barrière. Ce nouveau procédé de fabrication de moules incorporera des technologies d’impression 3D, ce qui supposera un gain de temps et une certaine flexibilité lorsqu’il s’agira d’optimiser de nouveaux designs.
Il existe actuellement une problématique d’ordre général pour les entreprises qui thermoforment des pièces à grande profondeur avec des matériaux à effet barrière, puisque ces dernières subissent une importante déformation durant le processus. De plus, des ruptures ou des pertes importantes peuvent survenir sur l’épaisseur de la couche à effet barrière. Si l’on obtient des pièces présentant ce genre de défauts, cela peut fortement réduire l’effet barrière de la pièce moulée et ainsi causer la détérioration prématurée des aliments se trouvant à l’intérieur de l’emballage.
Afin d’éviter ce type de défauts et d’optimiser le processus de thermoformage, le projet prévoit de fabriquer des moules prototypes grâce à différentes technologies d’impression 3D. Plusieurs matériaux seront également utilisés, et ce, afin de pouvoir valider les designs rapidement, d’évaluer les changements géométriques et de déterminer la façon dont ces matériaux affectent le processus de production et la pièce finale.
Le projet a été financé par le Centre pour le Développement Technologique Industriel (CDTI).
Comme cela a été indiqué dans les newsletters précédentes, afin de supprimer les doubles efforts et d’augmenter au maximum l’assignation des ressources dans l’industrie de la Fabrication Additive, les Comités de Normalisation américains ASTM F42, et international ISO/TC 261, sur la Fabrication Additive ou Additive Manfacturing, se sont accordés pour travailler conjointement sur le développement de nouvelles normes au niveau international. Cet accord a été formalisé via la signature du document PSDO Agreement (Partner Standards Development Organization – Organisme Partenaire pour le Développement de Normes) qui permet le développement collaboratif de nouvelles normes. Il s’agit une action qui rentre dans le cadre de la fusion des procédés ASTM et ISO sans toutefois les obliger à s’harmoniser pour le développement de toutes les normes.
C’est ainsi qu’en juillet dernier, des réunions avec les différents groupes de travail sur la Fabrication Additive ont eu lieu au siège de l’Institut allemand de normalisation DIN à Berlin. AIJU y a participé en tant que membre expert représentant l’Espagne. Concrètement, nous avons assisté aux réunions des groupes
AIJU, membre expert dans les comités de normalisation de fabrication additive
conjoints ASTM/ISO JG53 « Conditions requises pour l’achat de pièces fabriquées grâce à la Fabrication Additive », JG54 « Guide pour le design de pièces en Fabrication Additive », WG3 « Méthodes de tests », WG4 « Processus de données », ainsi qu’à l’Assemblée Générale de l’ISO TC261 et à la première réunion du Comité Européen de Fabrication Additive CEN TC 438.
Nous espérons ainsi que la standardisation des processus et des matériaux en Fabrication Additive contribueront au développement industriel de ces technologies. Nous espérons également que cela stimulera les entreprises ayant recours à ces technologies et que cela permettra aux autres entreprises de s’en servir, de quelque manière que ce soit, comme cela a été prévu dans la Feuille de Route de la Fabrication Additive lancée en 2014.
Pour plus d’informations: Suny Martí[email protected]
13
AIJU VOUS INFORME
Révision de la norme EN 14350 relative aux biberons
Pour plus d’informations: Cruz Arenas
Le personnel AIJU a assisté, en tant qu’expert, à la réunion du Groupe de Travail 5 du CEN/TC 252 « Child use and care articles – Feeding, drinking, sucking and similar functions (Les articles de puériculture destinés à manger, boire, téter et fonctions similaires) qui a eu lieu en septembre dernier à Dublin.
Durant ces deux jours de réunion, les travaux de révision de la norme européenne de sécurité EN 14350 relative aux accessoires pour aliments liquide tels que les
biberons, les tasses et les tétines, se sont prolongés. De nouvelles méthodes de tests et les conditions de norme requises permettant de configurer la nouvelle version de la norme ont également été abordées. Entre autres changements, la future norme proposera de nouveaux tests et de nouvelles conditions requises pour les valves push-pull, les anses de tasses et les poignées de biberons, ainsi que de nouvelles spécifications chimiques pour les matériaux qui composent ce type de produits.
Recommandations afin d’améliorer l’étiquetage de vos jouets et éviter ainsi des sanctions
Pour plus d’informations :Juan González
Il existe des aspects déterminés dans l’étiquetage des jouets qui présentent une incidence majeure lorsque les tests ont un résultat négatif. Ceci pourrait être évité grâce à quelques recommandations simples:
1 . Les lettres des sigles CE doivent avoir une hauteur minimum de 5 mm et doivent être visibles, que ce soit sur le jouet ou sur son emballage s’il est inclus.
2 . Si vous êtes le fabricant, il faut mentionner votre nom et votre adresse complète sur le produit.
3 . Si vous êtes importateur, vous devez au moins mentionner votre nom et votre adresse complète sur l’emballage et vous assurer que le fabricant l’a également mentionné à la fois sur le produit et sur l’emballage
4 . Signaler au moins l’âge minimum ou maximum pour l’utilisation du jouet.
5 . Lorsque cela s’avère nécessaire pour l’utilisation, indiquer également le poids maximum recommandé.
6 . Vérifier que l’âge recommandé pour l’utilisation du jouet est en accord avec les caractéristiques de ce dernier. Toujours choisir une tranche d’âge plus exigeante, en prenant en compte le fait que la tendance se veut de plus en plus restrictive à ce sujet.
7 . Inclure des instructions de lavage
8 . Inclure des conseils d’utilisation dans toutes les langues des pays dans lesquels le produit sera commercialisé. Nulle langue ne peut remplacer la langue officielle dans un autre pays.
9 . Le symbole « 0-3 ans » doit être précédé de la mention d’avertissement « Attention » et devra avoir, entre autres caractéristiques, un diamètre extérieur d’au moins 10 mm.
10 . Ne pas effectuer des traductions libres pour les risques inclus dans une norme. Il existe des traductions officielles approuvées qui doivent être utilisées de manière littérale.
Il faut également tenir compte du fait qu’un dossier de tests correspond aux conditions requises et aux exigences du moment. Les conditions requises applicables à un jouet ainsi que les considérations relatives à celui-ci peuvent varier dans le temps. C’est pourquoi il convient de réaliser des échantillonnages et des révisions périodiques via des tests en laboratoire.
14
VOUS INFORME
Rendez-vous sur le site de la SAMMIC MOOC et préinscrivez-vous à la formation
Pour plus d’informations: Cruz Arenas
Ce projet a été financé avec le soutien de la Commission Européenne. Cette publication n’engage que son auteur. La Commission n’est pas responsable de l’utilisation faite des informations qui y sont contenues.
Le site de formation gratuite en matière de sécurité de produits pour l’enfance www.samnicmooc.com est d’ores et déjà disponible pour tous les utilisateurs en français, anglais, espagnol, italien et tchèque.
La plateforme de la formation est actuellement en cours de développement par les partenaires du projet européen SAMNIC, mais il est possible de se préinscrire pour faire partie du groupe d’utilisateurs potentiels qui sera en mesure de participer à la phase de tests de la SAMNIC MOOC, avant son lancement. Rendez-vous sur le site www.samnicmooc.com, préinscrivez-vous et faites également partie du réseau de Sécurité Infantile SAMNIC.
En plus de cette formation, la MOOC SAMNIC proposera des forums interactifs pour les utilisateurs où il sera possible de partager ses expériences et de participer à des apprentissages collaboratifs. Tout ceci dans le but de favoriser la création de la communauté SAMNIC qui tend à englober un groupe multidisciplinaire de professionnels comptant parmi les acteurs principaux de la sécurité infantile (associations de consommateurs, industrie, centres de recherche, universités et autorités en charge de la consommation).Rendez-vous sur le site www.samnicmooc.com, préinscrivez-vous et faites partie du
premier groupe d’utilisateurs de différents pays européens à suivre la formation.SAMNIC est un projet européen financé par le programme Erasmus+ de la Commission Européenne. L’objectif principal vise à développer une MOOC (Massive Online Open Course – Formation en Ligne Ouverte à Tous) relative à l’évaluation et la gestion de la sécurité en matière de produits nouveaux et innovants pour enfants. La MOOC s’adressera aux professionnels de l’industrie (et plus particulièrement aux PME) ainsi qu’aux associations de consommateurs.
La MOOC SAMNIC est une formation gratuite en ligne, accessible via Internet. Tout le monde peut y accéder et d’un point de vue pratique, le nombre de participants n’est pas limité.
Il est prévu que la formation soit prête et finalisée pour août 2016. Elle sera disponible en français, anglais, espagnol, italien, tchèque et portugais. La technologie développée permettra un accès à la formation via n’importe quel dispositif : PC, téléphone portable ou tablette.
Le consortium du projet SAMNIC, coordonné par AIJU, comprend la Czech Association for Toy and Play (Association Tchèque du Jeu et du Jouet), le SHH (République Tchèque), l’Université d’Alicante, UA (Espagne), la European Association for the Coordination of Consumer Representation in Standardisation, ANEC, Belgique (Association Européenne pour la Coordination de la Représentation des Consommateurs dans la Normalisation) et L’Université Degli Studi Di Padova, UniPd (Italie).
15
AIJU VOUS INFORME
LE CLUSTER DE LA « TOY VALLEY » (Vallée du Jouet) participe à la 3ème Rencontre Internationale des Clusters
Pour plus d’informations: David Monllor [email protected]
Le groupement d’Entreprises Innovantes de la Vallée du Jouet « Toy Valley Cluster » a participé à la 3ème Rencontre Internationale des Clusters qui s’est tenue à Copenhague, Danemark, en septembre dernier. Celle-ci a réuni plus de 170 clusters européens
provenant de tous les secteurs d’activités.Cette année, le thème de la rencontre à tourné autour de l’Innovation par Combinaison (Innovation by Combination) en s’appuyant sur l’idée qu’il est possible de générer de l’innovation grâce à la combinaison de différents forces entre les clusters, entre les frontières et entre les secteurs.
Les participants ont eu la possibilité d’assister à diverses conférences et de participer à des activités de matchmaking (construction de partenariat) leur permettant d’identifier des projets de collaborations communs. L’évènement a également permis de créer un espace networking (réseautage), une véritable opportunité pour développer des consortiums pour de futurs projets de collaboration intéressants pour les entreprises qu’ils représentent.Parmi les contacts établis, il a été possible d’entrevoir de nombreuses opportunités pour développer des projets de coopération entre les entreprises membres du Cluster de la Vallée du Jouet et les entreprises d’autres clusters français, polonais, allemands et danois.
Projet cofinancé par les fonds européens de la FEDER, dans le cadre du programme opérationnel FEFER de la communauté de Valence, Espagne, 2013-2019
Bureau de représentation AIJU France11 ave Rossellini 69100 Lyon-Villeurbanne, FranceTéléphone: +33 (0)4 78 93 97 84Fax: +33 (0)4 69 96 51 31Adresse email: [email protected]
Avda. de la Industria, 2303440 IBI (Alicante), EspagneTel: +34 965554475Fax: +34 965554490e-mail: [email protected]://www.aiju.fr