dossier de presse magasin de jouets

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LE JEU DU 04/12/13 AU 30/01/14 Du mercredi au samedi de 13h30 à 19h30 & sur RDV DES IMAGES NICOLAS ANGLADE GRAZIANO ARICI SARA IMLOUL. STEPHANE LENTHAL VILMA PIMENOFF KEVIN POÜTRE Le Magasin de jouets 19 rue jouvène, Arles WWW.LEMAGASINDEJOUETS.FR LA GALERIE LE MAGASIN DE JOUETS EXPOSE : ¢ KEVIN POUTRE

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"Le Jeu des Images" du 04 décembre au 30 janvier 2014 Dossier de press / Press release Galerie/Gallery Le Magasin de jouets 19 rue jouvène - ARLES Photographie contemporaine

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LE JEU

DU 04/12/13 AU 30/01/14Du mercredi au samedi

de 13h30 à 19h30 & sur RDV

DES IMAGES

NICOLAS ANGLADEGRAZIANO ARICI SARA IMLOUL. STEPHANE LENTHALVILMA PIMENOFF KEVIN POÜTRE

Le Magasin de jouets 19 rue jouvène, Arles WWW.LEMAGASINDEJOUETS.FR

LA GALERIE LE MAGASIN DE JOUETS EXPOSE :

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LE JEU DES IMAGESGalerie / Gallery LE MAGASIN DE JOUETS19 rue jouvène - ARLESwww.lemagasindejouets.fr / contact : [email protected]

du 04 décembre 2013 au 30 janvier 2014.Vernissage le 05 décembre à 18h.Ouvert du mercredi au smedi de 13h30 à 19h30 et sur RDV

T.R.E.S.E.D SARA IMLOUL. COLLECTION STEPHANE LENTHALL’ESPRIT ET LA MATIERE VILMA PIMENOFF Scènes de la vie quotidienne KEVIN POÜTRE

ARLES VU PAR NICOLAS ANGLADEARLES VU PAR GRAZIANO ARICI

Prendre du plaisir avec les images, les construire, les collectionner, se laisser emporter par leur poésie pour mieux apprécier le réel. . . Le Magasin de jouets vous convie à ce jeu des images, dont seuls les artistes connaissent les règles.

Take some pleasure with the images, build them, collect them, to be allowed take by their poetry to appreciate(estimate) better the reality the Toy store invites you to this game of the images, of which only the artists know rules.

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L’ESPRIT ET LA MATIEREVILMA PIMENOFFExposition en collaboration avec la galerie HASY : www.hasy.fr

Les portraits de Vilma Pimenoff sont tant fascinants que déconcertants avec leurs formes surprenantes et leurs surfaces tactiles jouant sur l’esprit et la vue. Les photographies nous montrent des portraits construits avec des objets du quotidien, créant un dialogue entre la sensation physique de l’objet et de l’esprit du ‘modèle’, suggérant les multiples façons d’être et de ressentir dans le monde. Ce travail explore la psychologie de la perception visuelle, interrogeant la façon dont nous percevons les objets à travers l’acte d’observation. Un des principaux concepts théoriques derrière ce travail, est la transformation de la perception du Soi par les choses que nous voyons autour de nous. Avec son étude philosophique de l’image, Pimenoff contribue à la photographie contemporaine en s’étendant au-delà de la photographie en questionnant le processus d’observation de la personne qui regarde.

Vilma Pimenoff est une photographe finlandaise, elle vit et travaille à Londres

En 2012 Vilma Pimenoff a exposé à la Photographers’ Gallery / Londres (Fresh Faced & Wild Eyed 2012) En 2013 Vilma Pimenoff a été lauréate et publiée par la Magenta Foundation Flash Forward - Emerging Photographers 2013,http://www.magentafoundation.org/books/flash-forward-2013/Elle a eu une exhibition personnelle : ‘Things that look like other things’ à la galerie Vasli Souza, en Suède, http://www.vaslisouza.com/Elle a exposé à la galerie HASY, Pouliguen, France, durant l’été 2013.

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T.R.E.S.E.D BALADE DANS LES DÉSÉQUILIBRES DE LA CHUTE / 2013SARA IMLOUL

Un danseur, une photographe.Ce sont dans des espaces désertiques que ces sculptures ont été construites avec pour seul repère la ligne d’horizon. Dans ce jeu de composition corps/ objet /espace, les deux auteurs se jouent des perspectives et des points de fuites. À travers un univers sombre et empreint du mouvement cinématographique expressionniste, ils invitent les regards à se questionner sur l’architecture et les déséquilibres de l’existence.

‘‘Si l’axe du monde attire tout ce qui tombe, l’horizon attire tout ce qui fuit”Paul Virilio; Le Crépuscule des Lieux, Paris Mars 2000.

Sara Imloul, 27 ans, photographe française a commencer la photographie à l’âge de 15 ans. Elle entame en 2008 la série « Le Cirque Noir » à l’école de Photographie de Toulouse où elle y développa son approche plasticienne en approfondissant les techniques anciennes de prises de vues et de tirages argentiques. Représentée par la Galerie POLKA à Paris, elle vit et travaille à Paris.

La série T.R.E.S.E.D est exposée pour la première fois à la galerie Le Magasin de jouets

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SCENES DE LA VIE QUOTIDIENNEKEVIN POÜTRE

Extraits de conversations

02/10/2013 12:33Nicolas HavetteBonjour,Je viens à nouveau de re-re-re-visiter de nouveau votre site internet.Je prépare une exposition collective à la galerie à Arles - Du 4 décembre au 1er février -vernissage le jeudi 5 décembre à 18h, le titre est « le jeu des images » - Plus je regarde votre travail et plus je me dis que si jamais vous ne faites pas partie de cette exposition, elle aura beaucoup de mal à être totalement réussie... Seriez-vous prêt à prendre en considération le fait d’exposer votre travail dans ce cadre (les autres exposants seraient: Sara Imloul / Vilma PIMENOFF / et une collection privée entre autre... Dans l’attente de votre retour.

3 octobreKevin Poütre - 03/10/2013 09:45Kevin Poütre Bonjour, Débordé de travail, je n’ai pas encore trouvé le temps de vousrépondre, j’en suis désolé. Je vais tâcher de trouver ce temps aujourd’hui : à très vite, donc...3 octobreKevin Poütre - 03/10/2013 20:30Kevin Poütre - Bonsoir, difficile de répondre par la négative à votre demande et à ne pasprendre en considération votre intérêt pour mes images... Mais je dois vous dire que, pourdes tas de raisons plus ou moins bonnes, dont la principale est, comme je vous le disais,que je trouve mon plaisir dans le partage immédiat de mes photos sur Internet, je ne tienspas à y consacrer plus de temps ni d’énergie, en horrible dilettante...C’est pourquoi je serais très fier de voir une ou plusieurs de mes images figurer aux côtésdes travaux des artistes que vous citez (...), mais à condition que je n’ai aucun autrerôle à jouer autre que de vous les envoyer en HD – je ne suis pas équipé pour faire desimpressions correctes – et que je puisse rester complètement “effacé” derrière elles. Bref,que vous fassiez à votre idée, avec ce que vous choisirez, mais “sans” moi. Ce manqued’implication, je l’espère, ne vous paraîtra pas désinvolte : c’est, simplement, une questiond’envie, de ma part, ou, sans prétention aucune, de “façon d’être” (je suis un peu asocial,quoi, et paresseux). En tout cas, je vous remercie vivement de votre intérêt (...)Qu’en pensez-vous ?

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COLLECTION PrivéeSTEPHANE LENTHAL

« A la base de la démarche de Stéphane Lenthal se trouve une volonté de réhabilitation. Il récupère dans les marchés aux puces ambrotypes et ferrotypes *, procédés photographiques de l’époque victorienne, dégradés par l’usure du temps et ignorés par les collectionneurs.

Touché par le potentiel expressif et poétique des altérations subies par la matière, il leur redonne vie par une simple mise en valeur et par de libres associations.Le capital émotionnel particulièrement fort de ces images porteur de mémoire et vecteur d’imaginaire est, à ses yeux, une source inépuisable d’émerveillement.L’alchimie des matériaux - verre et fer - y contribue grandement: solarisations, griffures, tâches, autant de cicatrices qui expriment poétiquement les blessures du temps.

L’intervention de Stéphane Lenthal leur donne ainsi une autre lecture permettant au spectateur de sentir la poésie de l’usure, la force de l’effacement, la beauté de l’altération. Il ne s’agit pourtant pas que d’esthétique, il y a toujours un visage, des yeux qui nous regarde de face, toujours de face, comme une interrogation.

* Négatif sur plaque de verre au collodion, l’ambrotype, moins coûteux a concurrencé le daguerréotype a partir de 1855. Le ferrotype, image positive directe sur une fine plaque de tôle recouverte d’un vernis noir et d’une émulsion au collodion supplanta peu à peu l’ambrotype à cause de son faible coût et de la rapidité du procédé. Il atteindra sa plus grande popularité dans les années 1870.

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Sur une proposition de la galerie le Magasin de jouets

‘‘ARLES VU PAR’’Nicolas Anglade & Graziano Arici

Deux regards, deux générations, deux temps de travail différents, deux photographes posant leur regard sur le territoire arlésien. Le Magasin de jouets est heureux de vous présenter cette exposition d’images conscientes de leur époque, faite d’un noir et blanc sans concession en vous invitant à partir à la re-découverte de la ville, de ses limites, de ses Histoires.

Les photographies ‘‘Arles vu par de Graziano Arici’’ et ‘‘Arles vu par Nicolas Anglade’’ seront exposées au Magasin de jouets du 4 décembre au 30 janvier dans le cadre de l’exposition : ‘‘L’image en jeu / Le jeu des images.’’ - Vernissage le 5 décembre.

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NICOLAS ANGLADENicolas Anglade est un talent émergeant de la photographie. Il tra-vaille régulièrement pour la presse nationale. En tant que lauréat du concours Réponse-Photo il a participé au stage organisé dirigé par Klavdij Sluban aux Rencontres d’Arles en juillet 2013. Nicolas Anglade a alors été repéré par la galerie du Magasin de jouets qui lui a pro-posé le défi de réaliser un «Arles vu par Nicolas Anglade» en l’invitant le temps d’une semaine de travail. Défi qu’il a su relever avec talent.

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GRAZIANO ARICIGraziano Arici est vénitien, collectionneur de photographies, passionné d’images. Il a décidé, comme de nombreux autres, de venir vivre à Arles, ville qu’il arpente, par laquelle il se laisse adopter et qu’il photographie à l’aide de son téléphone portable depuis de nombreux mois. Une lente découverte du territoire, un portrait en caléïdoscope, comme une sculpture par accumulation par cet homme dont le regard a été nourri par la grande époque de la Cinecitta, époque ou l’artiste est conscient du contexte social dans lequel il fait ses images et exigeant dans le rendu et la qualité sémentique de ses images.. Ce travail est en cours... et exposé pour la première fois.

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