ncore un autre été qui nous trésorière : suzanne … · initiation à la formation « seul...

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ncore un autre été qui nous passe sous le nez. J’espère que vous en avez profité pour re- faire le plein d’énergie. Nous, à l’équipe du Voilier, sommes prêtes à lever l’ancre pour une autre belle année. Nous accueillons cette an- née une nouvelle membre dans l’équipe, madame Sylvie Bourcier qui se joint à mesdames Manon Cyr, Diane Robert et moi-même. À sa dernière rencontre, le comité Le Voilier était déjà en préparation de l’édition spéciale de Noël. Nous attendons vos textes avec impa- tience ! (voir page 11) Le conseil d’administration s’est réuni à la mi-septembre pour pla- nifier les actions pouvant nous ai- der à réaliser les priorités adop- tées lors de l’assemblée générale annuelle. Plus d’une soixantaine de personnes ont assisté à l’assemblée et, à la demande des membres, il y a eu la formation d’un nouveau comité sur le dossier Santé Québec : Comité DSQ. Cette même journée, nous avons souli- gné le vingtième anniversaire de l’organisme. Aussi, le conseil d’ad- ministration a nommé les membres de l’exécutif et les res- ponsables des différents comités. Les membres du conseil d’adminis- tration et responsables des comi- tés pour l’année 2013-2014 sont : Présidente : Johanne Roy Responsable du comité Le Voilier Vice-président : Richard Petitclerc Responsable du comité Vie associative 2 3 4-5 6 7 8 9 10-11 11 12 Merci aux membres de Droits et recours Laurentides ……………….. Initiation à la formation « Seul devant la cour en matières civiles » …………………… Dates marquantes et numéros utiles …………….…………. Le Protecteur du citoyen Clause grand-père : oui ou non ? ……………………… Chroniques juridiques Dilapidation des biens : Conséquences lors du partage du patrimoine familial ………………………………. L’IVAC dit que je suis l’arti- san de mon propre malheur, que puis-je faire ? ……………… Qui recevra la prestation fiscale canadienne pour en- fants en cas de rupture ? …. Joyeux anniversaire ! …………….. Édition spéciale Décembre 2013 Activité à venir ……………..……….. Trésorière : Suzanne Labrecque Responsable des comités Conditions de travail et Financement et co-responsable du comité Éthique Secrétaire : Rolande Nadon Responsable des comités Traitement des plaintes et Femmes et co-responsable du comité Éthique Administrateur : Pierre Faucher Responsable du comité DSQ Administratrice : Manon Cyr Administratrice : Sophie Longtin Représentante des employées Denise Brouillard, coordonnatrice, siégeant d’office au conseil d’administration, sans droit de vote. En route pour une 21 e année, tous les membres des comités, le con- seil d’administration et l’équipe de Droits et recours Laurentides vous souhaitent une très belle année 2013-2014. Johanne Roy Présidente

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Page 1: ncore un autre été qui nous Trésorière : Suzanne … · Initiation à la formation « Seul devant la cour en ... décider pour elles-mêmes. blèmes en santé mentale sont

ncore un autre été qui nous passe sous le nez. J’espère

que vous en avez profité pour re-faire le plein d’énergie. Nous, à

l’équipe du Voilier, sommes prêtes à lever l’ancre pour une autre belle année. Nous accueillons cette an-née une nouvelle membre dans l’équipe, madame Sylvie Bourcier qui se joint à mesdames Manon Cyr, Diane Robert et moi-même. À

sa dernière rencontre, le comité Le Voilier était déjà en préparation de l’édition spéciale de Noël. Nous attendons vos textes avec impa-tience ! (voir page 11)

Le conseil d’administration s’est réuni à la mi-septembre pour pla-nifier les actions pouvant nous ai-der à réaliser les priorités adop-tées lors de l’assemblée générale annuelle. Plus d’une soixantaine de personnes ont assisté à

l’assemblée et, à la demande des membres, il y a eu la formation d’un nouveau comité sur le dossier Santé Québec : Comité DSQ. Cette même journée, nous avons souli-gné le vingtième anniversaire de l’organisme. Aussi, le conseil d’ad-

ministration a nommé les

membres de l’exécutif et les res-ponsables des différents comités. Les membres du conseil d’adminis-tration et responsables des comi-

tés pour l’année 2013-2014 sont :

Présidente : Johanne Roy Responsable du comité

Le Voilier

Vice-président : Richard Petitclerc

Responsable du comité Vie associative

2 3

4-5 6

7

8

9 10-11 11

12

Merci aux membres de Droits et

recours Laurentides ……………….. Initiation à la formation

« Seul devant la cour en matières civiles » …………………… Dates marquantes et numéros utiles …………….…………. Le Protecteur du citoyen

Clause grand-père :

oui ou non ? ……………………… Chroniques juridiques

Dilapidation des biens :

Conséquences lors du partage du patrimoine familial ……………………………….

L’IVAC dit que je suis l’arti-

san de mon propre malheur, que puis-je faire ? ………………

Qui recevra la prestation

fiscale canadienne pour en-fants en cas de rupture ? ….

Joyeux anniversaire ! …………….. Édition spéciale Décembre 2013 Activité à venir ……………..………..

Trésorière : Suzanne Labrecque Responsable des comités

Conditions de travail et Financement et

co-responsable du comité Éthique

Secrétaire : Rolande Nadon Responsable des comités Traitement des plaintes et

Femmes et co-responsable du comité Éthique

Administrateur : Pierre Faucher

Responsable du comité DSQ

Administratrice : Manon Cyr

Administratrice : Sophie Longtin Représentante des employées

Denise Brouillard, coordonnatrice,

siégeant d’office au conseil d’administration,

sans droit de vote.

En route pour une 21e année, tous les membres des comités, le con-seil d’administration et l’équipe de Droits et recours Laurentides vous souhaitent une très belle année 2013-2014.

Johanne Roy

Présidente

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Le Voilier

Par Denise Brouillard Coordonnatrice

L’année 2013 marque le 20e an-

niversaire de Droits et recours

Laurentides. Il y a 20 ans, l’or-

ganisme a vu le jour grâce à

l’implication bénévole de pion-

nières et pionniers en promotion

et en défense des droits en san-

té mentale. Ils ont travaillé d’ar-

rache-pied à la création d’un

organisme qui, 20 ans plus tard,

poursuit sa route.

En 1993, il faut dire que la ve-

nue au monde de l’organisme

créait des résistances au sein du

réseau institutionnel. L’orga-

nisme bousculait des concep-

tions sur la santé mentale et sur

les capacités des personnes de

décider pour elles-mêmes.

Les personnes qui ont des pro-

blèmes en santé mentale sont

fréquemment stigmatisées et

plus vulnérables. Elles sont sou-

vent confrontées à des situations

de pauvreté. Les préjugés sont

tenaces et leur crédibilité est en-

core trop souvent remise en

question. Malgré ces conditions

difficiles, elles se sont regrou-

pées et ont entrepris la défense

collective de leurs droits. Elles

ont pris la parole pour dénoncer

les injustices.

Le point de départ de toute dé-

marche à Droits et recours Lau-

rentides est la volonté des per-

sonnes directement concernées.

C’est une démarche d’appropria-

tion collective et indivi-

duelle du pouvoir d’agir.

Au fil des années, l’orga-

nisme a pu compter sur le

dévouement et l’engage-

ment des membres de son

conseil d’administration,

de ses comités de travail

ainsi que de ses béné-

voles.

Le 7 juin dernier, lors de

son assemblée générale

annuelle, c’est avec ses

membres que l’événement a

été souligné. Une soixantaine

de personnes étaient présentes

et provenaient de différentes

municipalités des Laurentides.

Un immense gâteau, des rires,

des retrouvailles et des témoi-

gnages ont marqué l’événe-

ment. Afin de marquer les 20

ans de défense des droits en

santé mentale dans les Lauren-

tides, chaque membre à l’orga-

nisme reçoit un agenda, un

stylo ainsi que sac à bandou-

lière pour documents. Fêter 20

ans avec ses membres a été

une grande stimulation à pour-

suivre la mission de l’orga-

nisme.

Si le cœur de Droits et recours

Laurentides est sa mission de

promotion et de défense des

droits en santé mentale, ce qui

lui permet d’avancer au quoti-

dien pour un meilleur collectif,

c’est l’énergie de ses membres.

Un gros merci à vous toutes et

à vous tous pour cette réalisa-

tion collective.

Le bulletin d’information de Droits et recours Laurentides est pro-duit par le comité Le Voilier. Les membres du comité Vie associa-tive participent à l’envoi du bulletin aux destinataires. Il y aura 3 éditions cette année, incluant une édition spéciale du temps des Fêtes. Chaque numéro est tiré à 400 exemplaires et est distribué :

aux membres de Droits et recours Laurentides et aux

abonnés;

à plus de 150 organismes, établissements, maires,

députéEs, dans la région des Laurentides;

aux personnes et organismes qui supportent les

actions de Droits et recours Laurentides;

à d’autres groupes de promotion et de défense des

droits en santé mentale.

Merci!

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Volume 13 numéro 3

Seul devant la cour

D epuis quelques années, nous observons

que de plus en plus de personnes se

présentent seules devant les tribunaux,

sans avocat.

La Fondation du Barreau du Québec a produit

plusieurs guides qui mettent à la disposition

des personnes des renseignements d’ordre

général afin de les aider à mieux comprendre

les principales étapes du processus judiciaire.

Nous vous proposons une rencontre d’informa-

tion ayant pour thème « Seul devant la cour Seul devant la cour

en matières civilesen matières civiles ». Cette rencontre d’une

durée d’environ deux heures s’inscrit dans le

cadre des activités collectives de l’organisme.

Ensemble, nous regarderons brièvement les

huit étapes proposées par la Fondation :

DATE : Jeudi, 3 octobre 2013

HEURE : De 13 h 30 à 15 h 30

LIEU : Droits et recours Laurentides

227, rue Saint-Georges, bureau 104

Saint-Jérôme QC J7Z 2C2

POUR QUI ? Les membres actifs ou sympathisants de

l’organisme ou toute personne ayant ou

ayant eu des problèmes de santé mentale.

INFORMATION ET RÉSERVATION :

450-436-4633 • 1-800-361-4633

Le choix d’être représenté par un

avocat;

Le rôle de chacun;

Le dépôt d’une demande en justice;

Le déroulement de l’instance;

La préparation du procès;

Le procès;

Les étapes suivant le jugement;

Les modes de règlement des différends.

Par ailleurs, pour les personnes intéressées à aller plus

loin, nous pouvons organiser des séances d’informations

pour approfondir ces étapes, avec un minimum de cinq

personnes participantes.

Les places étant limitées, vous DEVEZ RÉSERVER votre

place AU PLUS TARD lundi le 30 SEPTEMBRE 2013

Initiation à la formation :

en matières civiles

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Le Voilier

santé mentale, famille, internet, idées suicidaires… Informe-toi.

Confidentiel et gratuit. Partout au Québec. 24 heures / 7 jours. http://teljeunes.com

Ligne Parents

1-800-361-5085

Service d’intervention ponctuel offert par des intervenants professionnels à tous les

parents d’enfants de 0 à 20 ans. Confidentiel et gratuit.

Partout au Québec. Jour et nuit. http://www.fondationteljeunes.org/fr/

ligneparents

S.O.S. Violence conjugale 1-800-363-9010

Accueil, évaluation et référence Anonyme, confidentiel et gratuit.

Partout au Québec. 24 heures / 7 jours http://www.sosviolenceconjugale.ca/

En 2004, la Journée mondiale de la santé mentale mettait l'accent sur les liens entre santé mentale et santé physique. Les données dont on dispose aujourd'hui indiquent que les personnes atteintes de maladies mentales, et en particulier celles qui sont placées en établissement, pré-sentent des taux de mortalité par cancer et par cardiopathie plus élevés que la population générale. Lorsque l’on traite une maladie, il faut examiner la personne globale, dans tout

« Il y a beaucoup de causes pour les-quelles je suis prêt à mourir mais aucune cause pour laquelle je suis prêt à tuer. » Mahatma Gandhi Autobiographie ou mes expériences de vérité, 1927

La Journée internationale de la non-violence est célébrée le 2 octobre, jour anniversaire de la naissance du Mahatma Gandhi, chef du mouvement pour l’indé-pendance de l’Inde et pionnier de la phi-losophie et de la stratégie de la non-violence. Citant les propos de Gandhi, [le Ministre des Affaires étrangères de l’Inde, M. Anand Sharma] a dit : « La non-violence est la plus grande force que l’humanité ait à sa portée. Elle est plus puissante que l’arme la plus des-tructive inventée par l’ingéniosité de l’homme ».

QUELQUES NUMÉROS

Agressions sexuelles 1-888-933-9007

Une équipe d’intervenantes

spécialement formées reçoit vos appels, évalue vos besoins et vous informe sur les procédures à suivre. Elle vous dirige vers les ressources appro-priées d’aide et de protection les plus

près de chez vous. Écoute et références. Confidentiel,

gratuit et bilingue. Partout au Québec. 24 heures / 7 jours. http://agressionssexuelles.gouv.qc.ca

Aide Abus Aînés

1-888-489-ABUS (2287)

Aide aux aînés qui subissent des abus et de la maltraitance. Pour toute personne concernée (citoyen âgé, proche aidant, membre de la famille, intervenant, etc.)

Confidentiel et bilingue (anglais et français). Partout au Québec.

8 à 20 heures / 7 jours. http://www.aideabusaines.ca/

Tel-Jeunes

1-800-263-2266 Intimidation, taxage, violence, drogue, grossesse, avortement, amitié, amour,

son ensemble. Pour cela, ceux qui dis-pensent des soins de santé – mentale et physique – doivent conjuguer leurs ef-forts dans l’exercice de leurs responsabili-tés et mettre leurs compétences en com-mun. En cette Journée mondiale de la santé mentale, prenons l’engagement d’adopter une démarche holistique et de soigner en même temps le corps et l’es-prit.

GROUPES D’ENTRAIDE

L’Arc-en-soi Rivière-Rouge

Téléphone : 819-275-2060 Sans frais : 1-866-230-2060

Atelier ensemble on s’tient

Saint-Eustache

Téléphone : 450-623-1561

Centre aux sources Lachute

Téléphone : 450-562-0673

L’Échelon des Pays-d’en-Haut Piedmont

Téléphone : 450-227-1996

L’Envolée Sainte-Agathe-des-Monts

Téléphone : 819-326-5778

Harfang des neiges Saint-Jérôme

Téléphone : 450-565-1161

La Licorne Sainte-Thérèse

Téléphone : 450-433-9084

Phobies-Zéro Blainville et Saint-Jérôme

Téléphone : 1-866-922-0002 http://phobies-zero.qc.ca

L'extrême pauvreté perpétue le cycle de la violence et de la discrimination qui marginalise souvent les droits fondamen-taux des femmes et des enfants vivant dans la pauvreté. Elle détruit la vie et le moral des gens; elle tue plus d'enfants, d'adolescents et d'adultes que n'importe quelle guerre. Chaque jour, les personnes vivant dans l'extrême pauvreté doivent faire face au manque de nourriture, de logement et d'accès aux services essen-

Dates marquantes et quelques numéros utilesDates marquantes et quelques numéros utilesDates marquantes et quelques numéros utiles

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Volume 13 numéro 3

Message de M. Ban Ki-moon, Secrétaire général de l'ONU, 25 novembre 2012

« Fondé sur les valeurs de solidarité et de confiance mutuelle, le volontariat trans-

cende les frontières culturelles, linguis-tiques et géographiques. En donnant de leur temps et en mobilisant leurs compé-tences bénévolement, les volontaires eux-mêmes s’élèvent par un rare sens du devoir. » M. Ban Ki-moon, Secrétaire général de l'ONU 5 décembre 2012

Le bénévolat au Québec Site Web :

http://www.benevolat.gouv.qc.ca/

« L’idée de solidarité humaine à l’échelle mondiale peut changer le monde. (…) La solidarité, ce n’est pas que la compassion. Elle est un sentiment d’unité et de res-ponsabilité commune. » Lech Walesa, cofondateur du mouvement ouvrier Solidarnosc et lauréat du prix Nobel de la paix en 1983.

La justice sociale est une condition fonda-mentale de la coexistence pacifique et prospère des hommes au sein des nations et entre les nations elles-mêmes. Nous servons la justice sociale lorsque nous défendons l’égalité des sexes ou les droits des peuples autochtones et des migrants. Nous faisons progresser la jus-tice sociale lorsque nous abattons les obstacles liés au sexe, à l’âge, à la race, à l’appartenance ethnique, à la religion, à la culture ou au handicap.

tiels. Ils endurent des conditions de tra-vail dangereuses et vivent dans des envi-ronnements de vie précaires, dégradés et dangereux.

Collectif pour un Québec sans pauvreté

Site Web : http://www.pauvrete.qc.ca/

En proclamant la Journée mondiale de la philosophie en 2005, la Conférence géné-rale de l’Organisation a accentué l'impor-tance de cette discipline, surtout pour les jeunes, et a souligné que « la philosophie est une discipline qui encourage la pen-sée critique et indépendante, à même d’œuvrer pour une meilleure compréhen-sion du monde et de promouvoir la tolé-rance et la paix ».

QUELQUES SITES

Présentation de philosophes http://www.philo5.com

La compagnie des philosophes

http://cdesphilosophes.org

Philopolis Montréal http://www.philopolis.net

« Dans le monde entier, des millions de femmes et de filles sont agressées, bat-tues, violées, mutilées ou même assassi-nées, victimes en cela de violations cho-quantes de leurs droits fondamentaux. [...] nous devons remettre en cause les fondements mêmes de la culture de dis-crimination qui permet à la violence de se

perpétuer. « À l’occasion de cette Journée internatio-nale, je demande à tous les gouverne-ments de tenir l’engagement qu’ils ont pris de faire cesser toutes les formes de violence contre les femmes et les filles dans toutes les régions du monde, et j’exhorte tout un chacun à soutenir la réalisation de cet objectif important. »

La Journée internationale des femmes est célébrée dans de nombreux pays à tra-vers le monde. C'est un jour où les femmes sont reconnues pour leurs réali-sations, sans égard aux divisions, qu'elles soient nationales, ethniques, linguis-tiques, culturelles, économiques ou poli-

tiques. C'est une occasion de faire le point sur les luttes et les réalisations pas-sées, et surtout, de préparer l'avenir et les opportunités qui attendent les futures générations de femmes.

Carrefour des femmes de Lachute Téléphone : 450-562-7122

Site Web : http://cafela.org/

Centre de femmes La Colombe Saint-Agathe-des-Monts

Téléphone : 819-326-4779

Centre de femmes La Mouvance Saint-Eustache

Téléphone : 450-472-7245 Site Web : http://lamouvance.ca/

Centre de femmes

Les Unes et les Autres Saint-Jérôme

Téléphone : 450-432-5642

Centre de femmes Libér’Elles Mirabel

Téléphone : 450-594-0556

Centre de femmes Signée Femmes Rivière-Rouge

Téléphone : 819-275-5455

Centre Rayons de femmes Sainte-Thérèse

Téléphone : 450-437-0890

Journées internationales ou Journées mondiales?

Les Journées internationales sont ini-tiées par les États Membres des Nations Unies, alors que les Journées mondiales le sont par les institutions spécialisées des Nations Unies. (https://www.un.org/

fr/events/observances/)

Sources :

https://www.un.org/fr/ http://www.journee-mondiale.com

Dates marquantes et quelques numéros utilesDates marquantes et quelques numéros utilesDates marquantes et quelques numéros utiles

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Le Voilier

◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊

◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊

Un usager dénonce que la clause

grand-père n’a pas été appliquée

afin de lui permettre de récupé-

rer les heures qui ont été cou-

pées dans le programme DIMOS

– volet soutien à la personne.

Le programme DIMOS est une

aide financière qui permet aux

personnes handicapées de rece-

voir des services d'aide à domi-

cile. Une clause grand-père est

une disposition légale permet-

tant que, lors de l'adoption d'une

nouvelle loi, les conditions de

l'ancienne loi puissent s'appli-

quer à ceux qui en bénéficiaient

déjà.

L’usager était admissible à 8

heures de soutien à domicile

avant modifications aux normes,

mais ces heures ont été coupées

à la suite de l’application de ces

nouvelles normes.

La clause grand-père peut

s’appliquer seulement lorsque

la condition de l’usager est res-

tée la même que celle qui pré-

valait avant l’application du

nouveau cadre normatif.

Sous le cadre précédent, le

centre de santé et de services

sociaux (CSSS) avait jugé op-

portun d’accorder à cet usager

8 heures de soutien à domicile

par semaine.

L’évaluation de sa situation,

effectuée avant les change-

ments normatifs, est d’ailleurs

similaire à celle qui prévaut

actuellement. En effet, son

épouse avait repris le travail,

sa maison était adaptée et ses

enfants avaient tous atteint

l’âge de l’adolescence.

À la lumière de ce qui précède, le Protecteur du citoyen considère que

l’usager pourrait être éligible à la clause grand-père. Conséquemment, il recommande au CSSS de :

reconsidérer la possibilité d’accor-

der une clause grand-père à l’usa-ger en comparant sa dernière éva-

luation avant l’entrée en vigueur du nouveau cadre normatif et sa plus récente évaluation.

Le CSSS a accepté la recommandation du Protecteur du citoyen.

◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊◊

Publié le 2013-07-01 Veuillez noter que depuis la publication de ce résultat d'enquête, des changements dans les règlements ou les politiques des ministères ou organismes en cause ont pu survenir, notamment à la suite de l'inter-vention du Protecteur du citoyen. Par con-séquent, une nouvelle enquête sur un cas similaire pourrait mener à une conclusion différente.

Retrouvez cette décision et bien d’autres

sur le site du Protecteur du citoyen : http://www.protecteurducitoyen.qc.ca/

Le Protecteur du citoyen examine les plaintes des personnes, entreprises, groupes ou associations qui croient avoir été traitées de manière injuste ou incorrecte par un ministère ou un organisme du gouvernement du Québec ou en-core par un établissement du réseau de la santé et des services sociaux (recours de deuxième niveau dans ce sec-teur). Voici le résultat d’une enquête menée récemment par le Protecteur du citoyen.

« Donner la liberté au monde par la force est une étrange entreprise pleine de chances mauvaises. En

la donnant, on la retire. » « On n'enseigne pas ce que l'on sait ou ce que l'on croit savoir : on n'enseigne et on ne peut enseigner que ce que l'on est. »

« Quel que soit l'être de chair et de sang qui vient à la vie, s'il a figure d'homme, il porte en lui le droit humain. »

« L'abondance est le fruit d'une

bonne administration. » « On ne fait pas la guerre pour se débarrasser de la guerre. » « Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent

les mots. »

— Jean Jaurès

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Volume 13 numéro 3

Chronique juridique* Vol. 5, numéro 8 Texte de Me Nathalie Lefebvre, avocate au bureau d’aide juridique Crémazie à Montréal

ous êtes mariée à Pierre

depuis 20 ans. Vous l’avez

quitté en raison de son

problème de jeu. Il vous a avoué

qu’il se rendait quotidiennement

au casino de Montréal. Deux

mois avant votre séparation,

vous avez constaté que Pierre

avait retiré la totalité de son

REER, soit 20 000 $. De votre

côté, vous aviez accumulé 15

000 $ de REER durant la vie

commune. Vous vous demandez

si vous devrez le partager avec

Pierre.

Le patrimoine familial a pour ob-

jectif de créer une union écono-

mique entre les époux. Les

époux contribuent au patrimoine

soit en argent, en biens ou en

services. En règle générale, lors

d’un divorce ou d’une séparation

de corps, la valeur du patrimoine

familial est partagée également

entre les époux. Exceptionnelle-

ment, la valeur du patrimoine

peut être partagée de façon iné-

gale, notamment en ne procé-

dant pas au partage d’un bien tel

un REER. L’un des motifs justi-

fiant le par-

tage inégal

est le com-

portement

irresponsable

d’un époux,

comme celui

de Pierre, qui

choisit d’en-

gloutir son

argent au ca-

sino. Il faut

alors démon-

trer que, par ses actes, Pierre a

violé son obligation de contribuer

à la formation ou au maintien du

patrimoine familial et qu’une in-

justice résulterait du partage égal

de celui-ci.

Par ailleurs, les dispositions du

Code civil du Québec prévoient

que lorsqu’un époux a « aliéné ou

diverti », c’est-à-dire vendu, don-

né, disposé d’un bien du patri-

moine familial dans l’année pré-

cédant la demande en divorce ou

en séparation de corps, un paie-

ment compensatoire peut être

demandé au tribunal. S’il s’est

écoulé plus d’un an depuis que le

bien a été aliéné, cette demande

est aussi possible, mais il faudra

alors démontrer que cet acte a

été fait dans le but de diminuer la

part de l’autre époux.

Conséquemment, vous pouvez

demander au tribunal un paie-

ment compensatoire compte tenu

que Pierre vous a privé du par-

tage de son REER. Vous pourriez

également demander le partage

inégal de la valeur du patrimoine

familial en raison du comporte-

ment irresponsable de Pierre qui

a dilapidé son REER pour jouer au

casino plutôt que contribué à l’ac-

croissement du patri-

moine familial.

Si vous rencontrez

votre fardeau de

preuve, le tribunal

pourrait conclure que

vous pouvez

conserver l’entière

propriété de votre

REER.

* Les renseignements fournis dans [ces chroniques] ne constituent pas une inter-prétation juridique.

Ces chroniques juridiques sont produites par le

Centre communautaire juridique Laurentides-Lanaudière 85, rue De Martigny Ouest Bureau C-3.10 Saint-Jérôme QC J7Y 3R8

Téléphone : 450-431-1122 Télécopieur : 450-431-6587 Site Web : www.csj.qc.ca

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Le Voilier

Chronique juridique* Vol. 5, numéro 7 Texte de Me Bruno Boucher, avocat au bureau d’aide juridique Sud-Ouest à Montréal

ierre-Olivier est un con-

sommateur occasionnel de

stupéfiants illicites. Un

jour, il contacte un ami afin qu’il

lui en procure pour une fête qu’il

organise chez lui cette fin de se-

maine. Lors d’une rencontre

quelques heures après la tran-

saction, une altercation verbale

s’élève entre les deux hommes

relativement à une vieille que-

relle de cœur remontant à plu-

sieurs années. Durant ces

échanges, l’ami de Pierre-Olivier

s’emporte et s’en prend à lui

physiquement, le blessant sé-

rieusement.

Après les événements, la police

intervient et Pierre-Olivier dé-

pose une demande après de la

Direction de l’indemnisation des

victimes d’actes criminels

(l’IVAC) afin d’être indemnisé

pour ses blessures. À sa grande

surprise, sa demande est refu-

sée en raison du fait qu’il aurait

contribué à ses blessures par sa

« faute lourde », puisque

l’agression s’est déroulée dans le

cadre d’une transaction illicite.

Pierre-Olivier est déconcerté et il

se demande s’il dispose d’un re-

cours pour faire renverser cette

décision.

Pour comprendre la décision, il

faut savoir que la loi spécifie que

la victime qui, par sa faute

lourde, a contribué à ses bles-

sures ou à sa mort n’a pas droit

aux prestations de l’IVAC. Ce

même principe s’applique égale-

ment à un proche de la victime

qui réclame des prestations à la

suite du crime commis, alors qu’il

a lui-même pris part à l’infraction

ou a, par sa faute lourde, contri-

bué aux blessures ou au décès de

la victime (par exemple, une con-

jointe qui réclame une rente pour

le remboursement de frais de

psychothérapie à la suite du dé-

cès de son mari alors qu’elle a

participé au complot pour le faire

assassiner).

Cette exclusion résulte de l’objec-

tif de la loi d’indemniser les vic-

times innocentes et d’éviter,

comme le rappellent régulière-

ment les tribunaux, que l’IVAC ne

devienne une sorte d’assurance

invalidité pour les victimes du mi-

lieu criminel.

Cependant, afin de pouvoir appli-

quer cette exclusion, il appartient

à l’IVAC d’établir qu’il y a un lien

direct entre l’activité illicite et la

blessure qui est survenue. Cette

preuve est bien facile à faire lors-

qu’un collecteur de dettes de

drogue se fait agresser par un «

Client » insatisfait ou lorsqu’un

membre d’un gang criminalisé se

fait agresser dans le cadre d’un «

règlement de compte ». En effet,

dans ces situations, il est évident

que la victime accepte le risque

relié à ses activités criminelles, ou

du moins fait preuve d’une insou-

ciance inexcusable pour les consé-

quences qui peuvent en découler.

Toutefois, dans le cas de Pierre-

Olivier, malgré le fait que l’agres-

sion se soit déroulée dans la

même soirée qu’une transaction

illicite et entre les mêmes parties,

l’agression n’avait aucun lien avec

la transaction et elle aurait bien

pu avoir eu lieu à un tout autre

moment, alors que les deux

hommes se seraient croisés dans

un événement social, par

exemple. Pierre-Olivier aurait

donc tout avantage à contester

son refus afin de faire valoir ses

droits auprès de l’IVAC puisqu’il

aurait de bonnes chances

d’obtenir gain de cause.

* Les renseignements fournis dans [ces chroniques] ne constituent pas une inter-prétation juridique.

Ces chroniques juridiques sont produites par le

Centre communautaire juridique Laurentides-Lanaudière 85, rue De Martigny Ouest Bureau C-3.10 Saint-Jérôme QC J7Y 3R8

Téléphone : 450-431-1122 Télécopieur : 450-431-6587 Site Web : www.csj.qc.ca

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Volume 13 numéro 3

Chronique juridique* Vol. 5, numéro 12 Texte de Me Karine Ruel, avocate au bureau d’aide juridique de Montréal-Nord

a prestation fiscale cana-

dienne pour enfants (ci-

après PFCE) est un paie-

ment mensuel non imposable

versé aux familles admissibles,

pour les aider à subvenir aux

besoins de leurs enfants de

moins de 18 ans.

Pour avoir droit de recevoir la-

dite prestation, chacune des

conditions suivantes doit être

remplie:

1. Habiter avec l’enfant de

moins de 18 ans. Notez qu’il

est possible que l’enfant ha-

bite avec l’autre parent pour

une période temporaire, par

exemple pendant les va-

cances d’été.

2. Être le principal responsable

des soins et de l’éducation de

l’enfant. En cas de garde par-

tagée, deux personnes peu-

vent être considérées comme

étant le principal responsable

des soins et de l’éduca-

tion de l’enfant.

3. Résider au Canada, au

sens de la Loi de l’impôt

sur le revenu1, c’est-à-

dire être présent sur le

territoire canadien et y

avoir suffisamment de

liens d’attache.

4. Être ou avoir un con-

joint de fait ou un

époux qui est :

a. citoyen canadien

b. résident permanent

c. une personne protégée

au sens de la Loi sur l’im-

migration et la protection

des réfugiés2, ou

d. un résident temporaire, à

certaines conditions.

Évidemment, il faut aussi avoir

fait, ainsi que son conjoint de fait

ou son époux, ses déclarations de

revenus. En effet, le montant de

la PFCE est calculé en fonction

des revenus de la personne de-

manderesse et de son conjoint de

fait ou de son époux.

En cas de séparation ou

de divorce, il arrive que

les parents conviennent,

par exemple,

que la mère (ou le père)

recevra

la PFCE complète alors

que les parties exercent

une garde partagée. Une

telle entente est con-

traire à la Loi de l’impôt

sur le revenu.

Il peut aussi arriver que,

dans les faits, la garde et les

droits d’accès soient exercés diffé-

remment de ce qui a été prévu au

consentement ou dans le juge-

ment. Dans ce cas, les faits au-

ront préséance sur le consente-

ment ou le jugement afin de dé-

terminer à qui doit être versée la

PFCE.

1 L.R.C. 1985, ch.1 (5e suppl.). 2 L.C. 2001, ch. 27.

* Les renseignements fournis dans [ces chroniques] ne constituent pas une inter-prétation juridique.

Ces chroniques juridiques sont produites par le

Centre communautaire juridique Laurentides-Lanaudière 85, rue De Martigny Ouest Bureau C-3.10 Saint-Jérôme QC J7Y 3R8

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Diane Allard

4 octobre

Saint-Jérôme

Line Chiquette

4 octobre

Saint-Sauveur

Dominic Proulx

9 octobre

Saint-Eustache

Sophie Longtin

11 octobre

Saint-Jérôme

Jacques Guay

14 octobre

Sainte-Sophie

Fernand Lachaîne

15 octobre

Saint-Jérôme

Diane Lebeau

17 octobre

Saint-Jérôme

Diane Corbeil

19 octobre

Saint-Jérôme

Myriam Raymond

24 octobre

Saint-Sauveur

Madeleine Guilemette

2 novembre

Saint-Jérôme

Lucille Caron

3 novembre

Saint-Eustache

Lynda Bergeron

11 novembre

Saint-Eustache

Pierre Faucher

Le Voilier

Martine Major

22 janvier

Sainte-Sophie

Thérèse Badeau Lafleur

29 janvier

Saint-Jérôme

Francine Lauzon

30 janvier

Mont-Laurier

Alain Fortin

2 février

Saint-Eustache

Clémence Castonguay

5 février

Saint-Sauveur

Lyne Dufour

7 février

Saint-Jérôme

Michel Brun

7 février

Saint-Jérôme

Jocelyne Bélisle

13 février

Sainte-Sophie

Michelle Pagé

17 février

Saint-Colomban

Noëlla Perron

25 février

Saint-Jérôme

Nicole Touchette

27 février

Saint-Jérôme

Ghislaine Lefrançois Poirier

28 février

Saint-Jérôme

Carole Chassé

13 novembre

Sainte-Adèle

Andrée Houle

20 novembre

Lachute

Nicole Enrico

20 novembre

Sainte-Agathe-des-Monts

Lise Gareau

23 novembre

Saint-Jérôme

Manon Cyr

26 novembre

Sainte-Adèle

Mildred Desharnais

26 novembre

Saint-Jérôme

Laurette Sigouin

4 décembre

Saint-Jérôme

Sylvain Roux

19 décembre

Saint-Eustache

Daniel Germain

26 décembre

Saint-Jérôme

Jocelyne Richard

10 janvier

Mont-Laurier

Fernande Jacques

16 janvier

Saint-Eustache

Judith Paquin

22 janvier

Sainte-Adèle

L’occasion est belle pour te dire que tu es une personne digne de

mention…

et de t’offrir les vœux les meilleurs pour un jour

rempli de bonheur.

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Volume 13 numéro 3

2 mars

Saint-Jérôme

Bruno De Lamirande

3 mars

Saint-Jérôme

Johanne Roy

10 mars

Sainte-Sophie

Pierre Turcotte

13 mars

Saint-Eustache

Robert Viau

13 mars

Saint-Jérôme

Manon Guillemette

15 mars

Sainte-Sophie

Nathalie Lacroix

16 mars

Saint-Jérôme

Richard Petitclerc

17 mars

Sainte-Adèle

Paulette Forget

18 mars

Saint-Jérôme

Jacques Alain

23 mars

Sainte-Adèle

Christiane Bergeron

24 mars

Saint-Sauveur

Solange Fontaine Santimi

24 mars

Lachute

Source des pensées :

http://gigietcram.net

http://www.dicocitations.com http://www.anniversaire-60-100.com

On a deux vies, et la deuxième commence quand on se rend compte

qu’on en a qu’une.

C ette année, l’édition spéciale du Voilier de décembre 2013 sera entièrement consacrée

aux textes que nous recevrons des

membres et des amis de l’organisme.

Partagez avec nous vos expériences, vos rêves,

vos espoirs, vos souhaits, vos idéaux, vos projets, vos poèmes…

Vous pouvez nous faire parvenir vos textes tout au

long de l’année, c’est-à-dire dès maintenant !

Tous les textes reçus à nos locaux d’ici le lundi 2 décembre 2013 paraîtront dans

l’édition spéciale de décembre.

Édition spéciale Décembre 2013 Toutes les personnes qui auront contribué à l’édition spéciale recevront un exemplaire

entièrement COULEUR du Voilier.

Vous pouvez nous faire parvenir vos textes...

Par télécopieur :

450-436-5099

Par courriel : [email protected]

Par la poste :

Droits et recours Laurentides C.P. 501

Saint-Jérôme (Québec) J7Z 5V2

Au plaisir de vous lire !

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est un organisme communautaire voué à la

promotion, au respect et à la défense des droits des personnes qui ont ou qui ont eu des problèmes de santé mentale dans la région des Laurentides.

227, rue Saint-Georges, bureau 104, C.P. 501, Saint-Jérôme (Québec) J7Z 5V2

450-436-4633 1-800-361-4633 Télécopieur : 450-436-5099

[email protected] http://droitsetrecourslaurentides.org

Avoir un préjugé fa-

vorable envers la

personne.

Donner à la per-

sonne le rôle princi-pal dans la défense de ses droits.

Respecter le chemi-

nement, le rythme, les valeurs, les choix et les besoins expri-més par la per-sonne.

Développer les com-

pétences de la per-sonne afin qu’elle soit en mesure de faire valoir elle-même ses droits et de pouvoir éventuel-

lement aider ses proches à le faire.

Les actions visent à améliorer les conditions de vie des personnes et à initier un changement

de mentalité (compréhension, ouver-ture et tolérance) dans la communauté.

Promouvoir, protéger et défendre

les droits individuels et collectifs

des personnes, ou des groupes de personnes, vivant des problèmes de santé mentale dans le région des Laurentides.

Offrir l’aide et l’accompagnement

nécessaires aux personnes (ou

groupes) qui le désirent en vue

de la recherche d’une meil-leure qualité de vie et d’un

plus grand respect de la per-sonne. Le tout devant favori-ser la responsabilisation de la personne, le respect de son rythme et de sa compétence.

Organiser des rencontres, dis-

cussions ou colloques et activi-

tés dans le but de former ou d’informer en matière de dé-

fense des droits et d’accom-pagnement selon les prin-cipes de l’éducation popu-laire autonome.

Faire des recommandations

aux différentes instances po-

litiques.

Initiation à la formation

« Seul devant la cour en matières civiles »

Date : Jeudi, 3 octobre 2013

Heure : De 13 h 30 à 15 h 30

Lieu : Droits et recours Laurentides

227, rue Saint-Georges, bureau 104

Saint-Jérôme QC J7Z 2C2

Informations et réservations : 450-436-4633 • 1-800-361-4633