moi j’adore, la maîtresse...
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Moi j’adore, la maîtresse déteste De Élisabeth Brami et Lionel Le Néouanic
Moi j’adore, la maîtresse déteste De Élisabeth Brami et Lionel Le Néouanic �
Alors, qui le sait ? Oui Théo ?
Qu’on fasse croire
qu’on a envie de faire
pipi pour aller se
promener.
qu’on bavarde avec son
voisin.
qu’on mange dans la
classe, en cachette.
qu’on tripote des trucs sur son bureau quand on
vient la voir.
Moi j’adore, la maîtresse déteste De Élisabeth Brami et Lionel Le Néouanic �
Qu’on saute dans une
flaque de la cour et
qu’on l’éclabousse.
Qu’on fasse croire qu’on est malade.
qu’on s’amuse au lieu de
travailler.
qu’on dise qu’on a perdu son cartable pour ne pas
travailler.
qu’on copie sur son
voisin.
Qu’on fasse faire son travail par ses parents.
qu’on travaille comme un cochon ou qu’on fasse
baver la colle.
qu’on n’écoute pas et qu’on lui pose une question
à laquelle elle vient de répondre.
Qu’on dessine sur
le tableau quand
elle n’est pas là.
Moi j’adore, la maîtresse déteste De Élisabeth Brami et Lionel Le Néouanic �
qu’on se lève sans la
permission,
qu’on gribouille sur la
table, sur les livres ou
sur le cahier du voisin.
qu’on oublie de faire
signer son cahier.
qu’on renifle au lieu de
se moucher.
Qu’on rapporte.
qu’on dise des gros mots
ou qu’on parle n’importe
comment.
qu’on raconte des
mensonges pour ne pas
se faire gronder.
qu’on perde les feuilles
qu’elle a distribuées,
qu’on traîne pour finir
son exercice.
Moi j’adore, la maîtresse déteste De Élisabeth Brami et Lionel Le Néouanic �
Qu’on traîne pour finir
un exercice.
qu’on fasse l’imbécile
derrière son dos quand
elle écrit au tableau.
qu’on ne rebouche pas
les feutres.
qu’on ne dise pas
bonjour le matin ou au
revoir le soir.
Qu’on se fasse des
tatouages au stylo au lieu
de travailler.
qu’on fasse passer des petits mots aux copains
et aux copines.
qu’on court, qu’on crie
dans les couloirs et
qu’on se suspende aux
porte-manteaux.
Qu’on se chamaille
pour avoir la meilleure
place.
qu’on parle sans lever
le doigt.
qu’on fasse du bruit et
qu’on continue de
parler quand elle
réclame le silence.
Moi j’adore, la maîtresse déteste De Élisabeth Brami et Lionel Le Néouanic �
qu’on ne fasse pas ses devoirs.
Qu’on mâche un chewing-
gum ou pire : qu’elle
s’aperçoive qu’on a fait
semblant de le cracher.
qu’on se bagarre
dans la cour.
Qu’on remonte sale et
plein de boue quand on doit
s’asseoir sur le tapis.
qu’on profite d’un moment où elle est occupée pour
faire du chahut.
qu’on rêve en
regardant par la
fenêtre.
qu’on demande à aller boire juste quand on vient
de remonter de la récré.
Qu’on dise : « C’est pas moi »,
« Ce n’est pas ma faute »,
« J’ai pas envie », « Je n’ai
pas fait exprès ».
qu’on soit en retard.
Moi j’adore, la maîtresse déteste Elisabeth BRAMI
Moi j’adore, la maîtresse déteste :
• Qu’on fasse croire qu’on a envie de faire pipi pour aller
se promener.
• Qu’on bavarde avec son voisin.
• Qu’on mange dans la classe en cachette.
• Qu’on saute dans une flaque de la cour et qu’on
l’éclabousse.
• Qu’on fasse croire qu’on est malade pour aller à
l’infirmerie.
• Qu’on s’amuse au lieu de travailler.
• Qu’on dise qu’on a perdu son cartable pour ne pas
travailler.
• Qu’on copie sur son voisin.
• Qu’on fasse faire son travail par ses parents.
• Qu’on n’écoute pas et qu’on lui pose une question à
laquelle elle vient de répondre.
• Qu’on travaille comme un cochon, qu’on fasse des
ratures,
• qu’on barbouille de «blanc» ou qu’on fasse baver la colle.
• Qu’on se lève sans sa permission.
• Qu’on gribouille sur la table, sur les livres ou sur le
cahier du voisin.
• Qu’on «oublie» de faire signer son cahier.
• Qu’on renifle pendant la lecture ou la dictée au lieu de
se moucher.
• Qu’on rapporte.
• Qu’on dise des gros mots ou qu’on parle n’importe
comment.
• Qu’on raconte des bobards pour ne pas se faire
gronder.
• Qu’on perde les photocopies qu’elle a distribuées.
• Qu’on traîne pour finir un exercice.
• Que maman ou papa prenne rendez-vous pour la voir et
se plaindre.
• Qu’on soit en retard.
• Qu’on se fasse toutes les semaines dispenser de piscine
ou de gym.
• Qu’on oublie de rapporter le livre de bibliothèque.
• Qu’on ne dise pas bonjour le matin ou au revoir en fin
de journée.
• Qu’on fasse l’imbécile derrière son dos quand elle écrit
au tableau.
• Qu’on chipe ses craies pour dessiner des marelles dans
la cour.
• Qu’on ne rebouche pas ses feutres.
• Qu’on se fasse des tatouages au stylo au lieu de
bavarder.
• Qu’on fasse passer des petits mots aux copains et aux
copines.
• Qu’on coure, qu’on crie dans les couloirs et qu’on se
suspende aux porte-manteaux.
• Qu’on gigote pendant la photo de classe.
• Qu’on dise « C’est pas moi», «C’est pas ma faute», «J’ai
pas envie», «J’ai pas fait exprès».
• Qu’on soit absent parce que nos parents ont décidé de
partir en week-end ou de faire le pont.
• Qu’on se chamaille pour avoir la meilleure place.
• Qu’on joue avec la nourriture à la cantine et qu’elle
reçoive une boulette.
• Qu’on parle sans avoir levé le doigt.
• Qu’on fasse du bruit et qu’on continue de parler quand
elle réclame le silence.
• Qu’on n’apprenne ni ses leçons ni ses récitations.
• Qu’on mâche un chewing-gum en classe ou pire : qu’elle
s’aperçoive qu’on a fait semblant de cracher.
• Qu’on se bagarre dans la cour.
• Qu’on remonte sale et plein de boue quand on doit
s’asseoir sur le tapis.
• Qu’on rêvasse en regardant par la fenêtre.
• Qu’on profite d’un moment où elle doit sortir de la
classe pour faire du chahut.
• Les billes qui tombent pendant un contrôle.
• Qu’on se bouscule et qu’on pousse les autres dans les
escaliers.
Copie et dessine
Moi j’adore, la maîtresse déteste
Moi j’adore, la maîtresse déteste : qu’on mange dans la classe en cachette.
qu’on saute dans une flaque de la cour et qu’on l’éclabousse.
qu’on fasse croire qu’on est malade pour aller à l’infirmerie.
qu’on s’amuse au lieu de travailler.
qu’on copie sur son voisin.
qu’on travaille comme un cochon, qu’on fasse des ratures.
qu’on écrive sur la table, sur les livres ou sur les cahiers.
qu’on renifle au lieu de se moucher.
qu’on dise des gros mots ou qu’on parle n’importe comment.
qu’on ne rebouche pas ses feutres.
qu’on se fasse des tatouages au stylo au lieu de bavarder.
qu’on mâche un chewing-gum en classe.
qu’on se bagarre dans la cour.
qu’on remonte sale et plein de boue.
qu’on rêvasse en regardant par la fenêtre.
qu’on coure, qu’on crie dans les couloirs et qu’on se suspende
aux porte-manteaux.
qu’on fasse l’imbécile derrière son dos quand elle écrit au
tableau.