miniÈres - infoterreinfoterre.brgm.fr/rapports/78-sgn-334-aqi.pdf · 2008-12-01 · i resume la...

16
MINISTÈRE DE L'INDUSTRIE BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL B.P. 6009 - 45018 Orléans Gédex - Tél.: (38) 63.80.01 ALIMENTATION EN ; EAU POTABLE DU SYNDICAT DE CHASSIECQ ET TÜRÍK3K 1ère partie RAPPORT D'ORIENTATION par E. BOURGUEIL et J. CHAÎÎ/iYOU 78 Sa^ 334 AQI Pessac, le 1er juin J978 Service géologique régional AQUITAINE POITOU - CHARENTES Avenue docteur- Albert -Schweitzer, 33600 Pessac - Tél.: (56) 80.69.00 - Télex : 550485 27, avenue Robert-Schuman, 86000 Poitiers - Tél.: (49) 47.68.59 MINISTÈRE DE L'INDUSTRIE BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL B.P. 6009 - 45018 Orléans Gédex - Tél.: (38) 63.80.01 ALIMENTATION EN ; EAU POTABLE DU SYNDICAT DE CHASSIECQ ET TÜRÍK3K 1ère partie RAPPORT D'ORIENTATION par E. BOURGUEIL et J. CHAÎÎ/iYOU 78 Sa^ 334 AQI Pessac, le 1er juin J978 Service géologique régional AQUITAINE POITOU - CHARENTES Avenue docteur- Albert -Schweitzer, 33600 Pessac - Tél.: (56) 80.69.00 - Télex : 550485 27, avenue Robert-Schuman, 86000 Poitiers - Tél.: (49) 47.68.59

Upload: others

Post on 15-Jul-2020

0 views

Category:

Documents


0 download

TRANSCRIPT

MINISTÈRE DE L'INDUSTRIE

BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES

SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL

B.P. 6009 - 45018 Orléans Gédex - Tél.: (38) 63.80.01

ALIMENTATION EN ; EAU POTABLE

DU SYNDICAT DE CHASSIECQ ET TÜRÍK3K

1ère partie

RAPPORT D'ORIENTATION

par

E. BOURGUEIL et J. CHAÎÎ/iYOU

78 Sa^ 334 AQI Pessac, le 1er juin J978

Service géologique régional AQUITAINE POITOU - CHARENTES

Avenue docteur-Albert -Schweitzer, 33600 Pessac - Tél.: (56) 80.69.00 - Télex : 550485

27, avenue Robert-Schuman, 86000 Poitiers - Tél.: (49) 47.68.59

MINISTÈRE DE L'INDUSTRIE

BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES

SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL

B.P. 6009 - 45018 Orléans Gédex - Tél.: (38) 63.80.01

ALIMENTATION EN ; EAU POTABLE

DU SYNDICAT DE CHASSIECQ ET TÜRÍK3K

1ère partie

RAPPORT D'ORIENTATION

par

E. BOURGUEIL et J. CHAÎÎ/iYOU

78 Sa^ 334 AQI Pessac, le 1er juin J978

Service géologique régional AQUITAINE POITOU - CHARENTES

Avenue docteur-Albert -Schweitzer, 33600 Pessac - Tél.: (56) 80.69.00 - Télex : 550485

27, avenue Robert-Schuman, 86000 Poitiers - Tél.: (49) 47.68.59

I

RESUME

La convention établie entre le B.R.G.M. et la Préfecture de la

Charente prévoit la réalisation d'un sondage de reconnaissance destiné

à rtfôttre en évidence des ressources nouvelles pour alimenter en eau potable

le syndicat de Chassiecq et Turgon.

Le premier rapport d'orientation a pour objet d'examiner le

contexte géologique et hydrogéologique et de localiser un enplacement favorable

à la recherche. Cette prospection a un double objectif, à sa\70ir : tester la

nappe superficielle du Dogger, reconnaître et tester la nappe profonde du

lias. Le choix de capter l'\ine ou l'autre de ces deux nappes sera effectué

en fonction des résultats de cette première reconnaissance.

ooooooooo

I

RESUME

La convention établie entre le B.R.G.M. et la Préfecture de la

Charente prévoit la réalisation d'un sondage de reconnaissance destiné

à rtfôttre en évidence des ressources nouvelles pour alimenter en eau potable

le syndicat de Chassiecq et Turgon.

Le premier rapport d'orientation a pour objet d'examiner le

contexte géologique et hydrogéologique et de localiser un enplacement favorable

à la recherche. Cette prospection a un double objectif, à sa\70ir : tester la

nappe superficielle du Dogger, reconnaître et tester la nappe profonde du

lias. Le choix de capter l'\ine ou l'autre de ces deux nappes sera effectué

en fonction des résultats de cette première reconnaissance.

ooooooooo

- 1 -

- INTRODUCTION -

Par convention établie en date du 16 mai 1978, Monsieur le

Préfet de la Charente, agissant au non et pour le ccnpte du département

de la Charente, confie au Service géologique régional Aquitaine-Poitou-

Charentes du Bureau de reciierches géologiques et itiinières, sous coxivert

et contrôle de la Direction départementale de l'Agriculture, l'étude

des ressources en eau souterraine préalable à des travaux de captage

pouc le syndicat de CHASSIECQ et TURGOR.

Ctette étude a pour objectif de :

- regrouper et analyser les études antérieures"

- effectuer une enquête géologique pour définir la lithologie

des formations aquifères et leurs limites

- relever les niveaiax piézcmétriques de la na^çe et dresser

une esquisse piézonétrique.

Cette pranière jáiase doit aboutir à localiser l'eitplacement d'un

forage de reconnaissance, â dresser la covpe géologique et technique

prévisicainelle du sondage, qui doit reconnaître et tester deux niveaux

aquifères : la nappe du Dogger et celle du Lias inférieur.

- 1 -

- INTRODUCTION -

Par convention établie en date du 16 mai 1978, Monsieur le

Préfet de la Charente, agissant au non et pour le ccnpte du département

de la Charente, confie au Service géologique régional Aquitaine-Poitou-

Charentes du Bureau de reciierches géologiques et itiinières, sous coxivert

et contrôle de la Direction départementale de l'Agriculture, l'étude

des ressources en eau souterraine préalable à des travaux de captage

pouc le syndicat de CHASSIECQ et TURGOR.

Ctette étude a pour objectif de :

- regrouper et analyser les études antérieures"

- effectuer une enquête géologique pour définir la lithologie

des formations aquifères et leurs limites

- relever les niveaiax piézcmétriques de la na^çe et dresser

une esquisse piézonétrique.

Cette pranière jáiase doit aboutir à localiser l'eitplacement d'un

forage de reconnaissance, â dresser la covpe géologique et technique

prévisicainelle du sondage, qui doit reconnaître et tester deux niveaux

aquifères : la nappe du Dogger et celle du Lias inférieur.

- 2 -

SITUATION DE L'ETUDE

Le secteur prospecté couvre le territoire des communes de

Chassiecq et Turgon et déborde au Sud sur celles de Beaulieu, de Parzac

et de Cellefrouin. Il couvre la feuille topographique â 1/25 000 (5)

de Confolens et la partie nord de la feuille (1) de La Rochefoucault. Le

secteur étudié prolonge â l'Ouest celui de St-Laurent de Céris et de

St-Claud où une prospection est également entreprise.

2 - ETUDE GEOLOGIQUE DES RESERVOIRS

2.1 - Affleurements

¿e& tOAAOJÍYUi de. ^e.couv^ejne.nt présents sur les coteaux sont

constitués principalement par les argiles rouges â silex provenant de

l'altération sur place des calcaires jurassiques. Ils sont également

formés d'argiles sableuses bariolées, d'âge tertiaire. L'épaisseur de ces

formations est faible, quelques mètres, sur le plateau de Chassiecq et

Turgon.

. LfcA caJicjaÂAZA à i,¿l(¿x du BajOcÂ-Zn inférieur et moyen sont

visibles dans les carrières abandonnées au Sud de Chassiecq. Ce sont des

calcaires en bancs de 0,20 m à 0,50 m ; les silex en amande forment des

bancs assez continus en affleurement.

Le sommet de la série est surtout représenté par des calcaires

plus argileux â silex noduleux, et en bancs de P,30 m (carrières de

Fleury au Sud de Beaulieu, et à l'Ouest celle des Granges). L'épaisseur

- 2 -

SITUATION DE L'ETUDE

Le secteur prospecté couvre le territoire des communes de

Chassiecq et Turgon et déborde au Sud sur celles de Beaulieu, de Parzac

et de Cellefrouin. Il couvre la feuille topographique â 1/25 000 (5)

de Confolens et la partie nord de la feuille (1) de La Rochefoucault. Le

secteur étudié prolonge â l'Ouest celui de St-Laurent de Céris et de

St-Claud où une prospection est également entreprise.

2 - ETUDE GEOLOGIQUE DES RESERVOIRS

2.1 - Affleurements

¿e& tOAAOJÍYUi de. ^e.couv^ejne.nt présents sur les coteaux sont

constitués principalement par les argiles rouges â silex provenant de

l'altération sur place des calcaires jurassiques. Ils sont également

formés d'argiles sableuses bariolées, d'âge tertiaire. L'épaisseur de ces

formations est faible, quelques mètres, sur le plateau de Chassiecq et

Turgon.

. LfcA caJicjaÂAZA à i,¿l(¿x du BajOcÂ-Zn inférieur et moyen sont

visibles dans les carrières abandonnées au Sud de Chassiecq. Ce sont des

calcaires en bancs de 0,20 m à 0,50 m ; les silex en amande forment des

bancs assez continus en affleurement.

Le sommet de la série est surtout représenté par des calcaires

plus argileux â silex noduleux, et en bancs de P,30 m (carrières de

Fleury au Sud de Beaulieu, et à l'Ouest celle des Granges). L'épaisseur

- 3 -

totale du Bajocien est de l'ordre de 40 à 45 m.

t

. kL-d(iJ>i>vu> , ¿eJ> caZacÚAeyf) da Bcuthonlíin n'affleurent qu'au

Nord-Est (région de Champagne-Mouton ou au Sud-Ouest, vers Cellefrouin).

Ces calcaires sont généralement plus sublithographiques au sommet, et ont

une épaisseur de 15 à 20 m.

. Le. CaZtoV'Le.n calcaire ne se développe que dans l'extrémité

sud et ouest du secteur d'étude, sous forme de calcaires en bancs de

0,20 à 0,40 m, â tendance sub lithographique.

Le6 accldzntii tectoniques de direction sud-armoricaine (Nord-

Ouest, Sud-Est), qui affectent la série sédimentaire à Nanteuil, à Vieux-

Ruffec et au Grand-Madieu , peuvent se prolonger au Nord de Turgon, bien

que masqués par la couverture tertiaire. Ces accidents provoquent des

structures en horsts et grabens parallèles, qui affectent le plateau

et déterminent une zone haute ou relevée, au droit de Chassiecq et de

Turgon, par rapport â Champagne-Mouton au Nord, et à la vallée du Son

au Sud.

Sur la coupe géologique schématique de Nanteuil â St-Laurent

de Céris, aucune critère ne nous permettait de prolonger les failles

sous le plateau de Turgon, aussi nous avons représenté cette structure

haute par un bombement, afin d'évaluer les épaisseurs des niveaux et

la profondeur du forage projeté.

2.2 - Données sur les formations non affleurantes

Les forages de Nanteuil, indice B.R.G.M. 661-8-5 et de

St-Laurent de Céris, 662-6-2, encadrent le secteur étudié. Les coupes

schématiques de ces sondages, qui ont atteint tous deux le socle, donnent

des indications précises sur les épaisseurs et la nature des formations

liasiques.

- 3 -

totale du Bajocien est de l'ordre de 40 à 45 m.

t

. kL-d(iJ>i>vu> , ¿eJ> caZacÚAeyf) da Bcuthonlíin n'affleurent qu'au

Nord-Est (région de Champagne-Mouton ou au Sud-Ouest, vers Cellefrouin).

Ces calcaires sont généralement plus sublithographiques au sommet, et ont

une épaisseur de 15 à 20 m.

. Le. CaZtoV'Le.n calcaire ne se développe que dans l'extrémité

sud et ouest du secteur d'étude, sous forme de calcaires en bancs de

0,20 à 0,40 m, â tendance sub lithographique.

Le6 accldzntii tectoniques de direction sud-armoricaine (Nord-

Ouest, Sud-Est), qui affectent la série sédimentaire à Nanteuil, à Vieux-

Ruffec et au Grand-Madieu , peuvent se prolonger au Nord de Turgon, bien

que masqués par la couverture tertiaire. Ces accidents provoquent des

structures en horsts et grabens parallèles, qui affectent le plateau

et déterminent une zone haute ou relevée, au droit de Chassiecq et de

Turgon, par rapport â Champagne-Mouton au Nord, et à la vallée du Son

au Sud.

Sur la coupe géologique schématique de Nanteuil â St-Laurent

de Céris, aucune critère ne nous permettait de prolonger les failles

sous le plateau de Turgon, aussi nous avons représenté cette structure

haute par un bombement, afin d'évaluer les épaisseurs des niveaux et

la profondeur du forage projeté.

2.2 - Données sur les formations non affleurantes

Les forages de Nanteuil, indice B.R.G.M. 661-8-5 et de

St-Laurent de Céris, 662-6-2, encadrent le secteur étudié. Les coupes

schématiques de ces sondages, qui ont atteint tous deux le socle, donnent

des indications précises sur les épaisseurs et la nature des formations

liasiques.

COUPE GEOLOGIQUE SCHEMATIQUE DE NANTEUIL

A ST LAURENT DE CERIS PASSANT AU KORD

DE TURGON ET DE CHASSIECQ A PROXIMITE DU CHATEAU DTEAU

N.0 SECTEUR DE RECHERCHE SE

Forage deNanteuil

CHATEAU. . , D'EAU FciLlc de

G d Madtcu

Fge de S- Laurentí de Cens (652 6 2)

A1 e r niveauGquifëre

Q 2"? niveau0 aquiferc •

h =1/2000

Calcaires à silex

Calcaires argileux et marnes >AALENIENTOARCIEN © G r a n i t e

Calcaires â silex

5) Doloraies et calcairesdolcmitiques

Argiles

LIAS

] SOCLE

- 4 -

2.2.1 - Le_forage_de_St-Laurent_de Céris a recoupé sous les calcaires

à silex du Bajocien :

- 13 m de calcaires argileux et de marnes noires de l'Aalénien et du

Toarcien. Ce niveau constitue le mur de la nappe du Dogger et le toit

de celle du Lias inférieur.

- 10 m de calcaires à silex compacts avec un banc de marnes grises à la

base (1 m) du Lias moyen.

- 28 m de calcaires dolomitlques et de dolomies du Lias inférieur.

- 7m d'argiles dolomitlques et bariolées de l'Infra-Lias, au-dessus du

socle granitique.

2.2.2 - Le_forage_de_Nanteuil a recoupé sous 15 m de calcaires du

Bajocien :

- 15 m de calcaires argileux et de marnes noirâtres de l'Aalénien et du

Toarcien.

- 20 m de calcaires gris grumeleux rubannés à interlits marneux du Lias

moyen .

- 45 m de dolomies et de calcaires dolomitiques à minces passées argileuses--^

vers la base de la série, du Lias inférieur.

- 13 m de niveaux argileux et dolomitiques en alternance» devenant gréseux

à la base, de l'Infra-Lias.

Au dessous, le socle est touché â 108,60 m de profondeur.

La comparaison des deux coupes montre un net épaississement des

séries liasiques vers l'Ouest :

- 38 m de Lias aquifère à St-Laurent de Céris

- 65 m de Lias aquifère à Nanteuil.

- 4 -

2.2.1 - Le_forage_de_St-Laurent_de Céris a recoupé sous les calcaires

à silex du Bajocien :

- 13 m de calcaires argileux et de marnes noires de l'Aalénien et du

Toarcien. Ce niveau constitue le mur de la nappe du Dogger et le toit

de celle du Lias inférieur.

- 10 m de calcaires à silex compacts avec un banc de marnes grises à la

base (1 m) du Lias moyen.

- 28 m de calcaires dolomitlques et de dolomies du Lias inférieur.

- 7m d'argiles dolomitlques et bariolées de l'Infra-Lias, au-dessus du

socle granitique.

2.2.2 - Le_forage_de_Nanteuil a recoupé sous 15 m de calcaires du

Bajocien :

- 15 m de calcaires argileux et de marnes noirâtres de l'Aalénien et du

Toarcien.

- 20 m de calcaires gris grumeleux rubannés à interlits marneux du Lias

moyen .

- 45 m de dolomies et de calcaires dolomitiques à minces passées argileuses--^

vers la base de la série, du Lias inférieur.

- 13 m de niveaux argileux et dolomitiques en alternance» devenant gréseux

à la base, de l'Infra-Lias.

Au dessous, le socle est touché â 108,60 m de profondeur.

La comparaison des deux coupes montre un net épaississement des

séries liasiques vers l'Ouest :

- 38 m de Lias aquifère à St-Laurent de Céris

- 65 m de Lias aquifère à Nanteuil.

- 5 -

Il en est de même pour les niveaux imperméables qui forment le

toit et le mur de cet aquifère, qui s'épaississent d'Est en Ouest.

2.3 - Coupe géologique prévisionnelle de forage de reconnaissance proposé

Dans le vallon situé au Nord de Chassiecq, on devrait recouper :

- 20 à 25 m de calcaires à silex du Bajocien

- 15 m environ de calcaires argileux et de marnes noires du Lias supérieur

(mur de la première nappe)

- 50 à 55 m de calcaires gréseux puis dolomitiques et de dolomies du Lias

inférieur à moyen

- 10 â 15 m de marnes â passées dolomitiques ou gréseuses avant de toucher

le socle.

C'est donc un forage de 110 â 120 m de profondeur qu'il convient

\ de prévoir pour atteindre et traverser les deux niveaux aquifères, jusqu'au

socle reconnu sur 5 à 6 m.

On pourrait également envisager un deuxième emplacement au pied

du château d'eau, mais les chances de recouper des niveaux fissurés dans

la première nappe sont plus aléatoires. De plus, il faudrait prévoir un

forage de 130 â 150 m de profondeur. Ces 20 mètres supplémentaires seraient

compensés par des économies de conduite d'amenée d'eau.

Cependant, un "piquage" sur la conduite peut être effectué

à proximité du premier emplacement (moins de 500 m) .

- 5 -

Il en est de même pour les niveaux imperméables qui forment le

toit et le mur de cet aquifère, qui s'épaississent d'Est en Ouest.

2.3 - Coupe géologique prévisionnelle de forage de reconnaissance proposé

Dans le vallon situé au Nord de Chassiecq, on devrait recouper :

- 20 à 25 m de calcaires à silex du Bajocien

- 15 m environ de calcaires argileux et de marnes noires du Lias supérieur

(mur de la première nappe)

- 50 à 55 m de calcaires gréseux puis dolomitiques et de dolomies du Lias

inférieur à moyen

- 10 â 15 m de marnes â passées dolomitiques ou gréseuses avant de toucher

le socle.

C'est donc un forage de 110 â 120 m de profondeur qu'il convient

\ de prévoir pour atteindre et traverser les deux niveaux aquifères, jusqu'au

socle reconnu sur 5 à 6 m.

On pourrait également envisager un deuxième emplacement au pied

du château d'eau, mais les chances de recouper des niveaux fissurés dans

la première nappe sont plus aléatoires. De plus, il faudrait prévoir un

forage de 130 â 150 m de profondeur. Ces 20 mètres supplémentaires seraient

compensés par des économies de conduite d'amenée d'eau.

Cependant, un "piquage" sur la conduite peut être effectué

à proximité du premier emplacement (moins de 500 m) .

- 6

3 - HYDROGEOLOGIE

Deux nappes superposées et à potentiel différent, peuvent être

reconnues et testées. Les indications fournies par les relevés de terrain

intéressent exclusivement le premier niveau aquifëre. La nappe du Lias

moyen et inférieur est toujours en position captive dans le secteur d'étude.

3.1 - Nappe du Bajocien ou du Dogger

Les puits et les sources relevés au cours de l'inventaire, sont

peu nombreux car les niveaux d'eau sont profonds et le captage en pays

calcaires, coûteux et plus risqué que dans d'autres milieux aquifères.

La localisation des points d'eau et les mesures de niveau

sont regroupées dans le tableau annexé ci-après.

Sur la carte piézométrique établie à partir des relevés de

puits ou de sources, on remarque une crête hydraulique majeure sur le

plateau de Turgon, qui sépare les bassins de l'Or et de la Sonnette.

Cette limite se superpose à la crête topographique entre les deux bassins.

Dans les vallons secs, les courbes piézométriques de la nappe

s'infléchissent vers l'amont, avec de forts gradients (2 à 4 % dans celui

de la Garnerie) . Ceci ÁjnpZÁ.que que teÁ vaZZonÁ ¿ec5 i>OYit des axe.6 de

drainage mCLjeuAS, même si, en été, ils s'assèchent en certains points etque l'écoulement de surface disparaisse.

Inversement, en période hivernale, on remarque de forts écoule¬

ments d'eau "laiteuse" chargée en argile.

Ces écoulements privilégiés et plus proches du sol, peuvent poser

des problèmes de protection, car la nappe y est plus vulnérable. C'est

cependant vers ces zones d'écoulement, que l'on doit rechercher des débits

si l'on ne s'adresse qu'à cette nappe, et sous réserve de prévoir le traite¬

ment des eaux.

- 6

3 - HYDROGEOLOGIE

Deux nappes superposées et à potentiel différent, peuvent être

reconnues et testées. Les indications fournies par les relevés de terrain

intéressent exclusivement le premier niveau aquifëre. La nappe du Lias

moyen et inférieur est toujours en position captive dans le secteur d'étude.

3.1 - Nappe du Bajocien ou du Dogger

Les puits et les sources relevés au cours de l'inventaire, sont

peu nombreux car les niveaux d'eau sont profonds et le captage en pays

calcaires, coûteux et plus risqué que dans d'autres milieux aquifères.

La localisation des points d'eau et les mesures de niveau

sont regroupées dans le tableau annexé ci-après.

Sur la carte piézométrique établie à partir des relevés de

puits ou de sources, on remarque une crête hydraulique majeure sur le

plateau de Turgon, qui sépare les bassins de l'Or et de la Sonnette.

Cette limite se superpose à la crête topographique entre les deux bassins.

Dans les vallons secs, les courbes piézométriques de la nappe

s'infléchissent vers l'amont, avec de forts gradients (2 à 4 % dans celui

de la Garnerie) . Ceci ÁjnpZÁ.que que teÁ vaZZonÁ ¿ec5 i>OYit des axe.6 de

drainage mCLjeuAS, même si, en été, ils s'assèchent en certains points etque l'écoulement de surface disparaisse.

Inversement, en période hivernale, on remarque de forts écoule¬

ments d'eau "laiteuse" chargée en argile.

Ces écoulements privilégiés et plus proches du sol, peuvent poser

des problèmes de protection, car la nappe y est plus vulnérable. C'est

cependant vers ces zones d'écoulement, que l'on doit rechercher des débits

si l'on ne s'adresse qu'à cette nappe, et sous réserve de prévoir le traite¬

ment des eaux.

- 7 -

3.2 - Nappe du Lias

Bien protégée de la nappe superficielle, sous un recouvrement

marneux, et en position captive, elle est la ressource la plus intéressante

pour l'alimentation en eau potable. Sa protection naturelle limite

également les périmètres que le géologue est appelé à définir ultérieure¬

ment, ce qui réduit d'autant les contraintes.

L'épaisseur de cette nappe et la présence de dolomies permettent

d'espérer un débit suffisant pour l'alimentation de deux communes (25 000

à 30 000 m3/an) , soit un débit fictif continu de 3 m3/h et un débit de

pointe de 10 à 15 m3/h.

La perspective raisonnable de mettre en évidence un tel débit

dans l'aquifère captif du Lias, n'empêche pas cependant une certaine

prudence au cours du creusement du puits, où les deux aquifères traversés

seront reconnus et éventuellement captés. Les informations concernant

le niveau de la nappe et la capacité de production locale font défaut ;

aussi, sommes-nous obligés de tabler sur des informations plus lointaines.

A St-LauAent de CéAÁJ>, un forage captant cette nappe a donné un débit de

22 m3/h pendant 15 heures de pompage, sous un rabattement de 35 m, ce qui

correspond à un débit spécifique de 0,6 m3/h/m.

Un nouveau forage entrepris en 1977 au Sud-Est de St-Laurent

de Céris, a recoupé de 46 à 84 m des calcaires dolomitiques et dolomies

fissurées et un niveau d'eau à 11 m.', soit à la cote 149 NGF. Le débit

obtenu (4 m3/h pour 16 m de rabattement) était faible, mais l'emplacement

entre deux vallons pouvait expliquer la faible productivité du forage.

En comparant les résultats des deux forages, on constate que

les nappes captives sont également drainées par les grands axes de

drainage et que leur productivité est plus forte sur ces axes.

Pour ces raisons, nous proposons de reconnaître les deux

aquifères superposés à proximité de Chassiecq, en amont de la localité,

sous le vallon à 1 km environ du château d'eau, qui dessert les deux

villages.

- 7 -

3.2 - Nappe du Lias

Bien protégée de la nappe superficielle, sous un recouvrement

marneux, et en position captive, elle est la ressource la plus intéressante

pour l'alimentation en eau potable. Sa protection naturelle limite

également les périmètres que le géologue est appelé à définir ultérieure¬

ment, ce qui réduit d'autant les contraintes.

L'épaisseur de cette nappe et la présence de dolomies permettent

d'espérer un débit suffisant pour l'alimentation de deux communes (25 000

à 30 000 m3/an) , soit un débit fictif continu de 3 m3/h et un débit de

pointe de 10 à 15 m3/h.

La perspective raisonnable de mettre en évidence un tel débit

dans l'aquifère captif du Lias, n'empêche pas cependant une certaine

prudence au cours du creusement du puits, où les deux aquifères traversés

seront reconnus et éventuellement captés. Les informations concernant

le niveau de la nappe et la capacité de production locale font défaut ;

aussi, sommes-nous obligés de tabler sur des informations plus lointaines.

A St-LauAent de CéAÁJ>, un forage captant cette nappe a donné un débit de

22 m3/h pendant 15 heures de pompage, sous un rabattement de 35 m, ce qui

correspond à un débit spécifique de 0,6 m3/h/m.

Un nouveau forage entrepris en 1977 au Sud-Est de St-Laurent

de Céris, a recoupé de 46 à 84 m des calcaires dolomitiques et dolomies

fissurées et un niveau d'eau à 11 m.', soit à la cote 149 NGF. Le débit

obtenu (4 m3/h pour 16 m de rabattement) était faible, mais l'emplacement

entre deux vallons pouvait expliquer la faible productivité du forage.

En comparant les résultats des deux forages, on constate que

les nappes captives sont également drainées par les grands axes de

drainage et que leur productivité est plus forte sur ces axes.

Pour ces raisons, nous proposons de reconnaître les deux

aquifères superposés à proximité de Chassiecq, en amont de la localité,

sous le vallon à 1 km environ du château d'eau, qui dessert les deux

villages.

- 8 -

On évitera d'implanter le forage dans le centre du vallon pour

des raisons de protection immédiate contre les crues dont les eaux peuvent,

en lessivant les sols, constituer une source de pollution directe du

captage.

Si l'aquifère du Lias est suffisamment productif, on ne captera

que celui-ci. Inversement, si la productivité n'atteignait pas 10 m3/h, il

conviendrait de crépiner l'ouvrage au droit de l'aquifère superficiel du

Dogger et de celui du Lias.

- 8 -

On évitera d'implanter le forage dans le centre du vallon pour

des raisons de protection immédiate contre les crues dont les eaux peuvent,

en lessivant les sols, constituer une source de pollution directe du

captage.

Si l'aquifère du Lias est suffisamment productif, on ne captera

que celui-ci. Inversement, si la productivité n'atteignait pas 10 m3/h, il

conviendrait de crépiner l'ouvrage au droit de l'aquifère superficiel du

Dogger et de celui du Lias.

4 - PROGRAMME DE RECONNAISSANCE

Le programme de la reconnaissance par forage et des pompages

d'essai établi conjointement avec la D.D.A. et l'entreprise de forages doit

comporter les phases successives ci-aprës :

4.1 - Exécution du sondage à la rotation, au tricône et au carottier de la

façon suivante :

- C-n.eu^emeyit aa 12" 114 au tÂyicÔne de 0 à 10 m.

- ÜÍÁe en place d'an tabage pKovlAolfie de 260 mm de 0 à W m.

- Rephlse da ionage aa tAÁ-cone de S" 7/2 de dlametxe de W à 40 m, fiavensantentlè^einent ¿es caZcoÁAes du VoggeA eX. ¿es moAnes da Toa/iclen.

- CoAottage aa dlamltAe de 5" de 40 à 100 - 110 m.

- RéaLisatlon d'une dlagM.phle gamma-fiay.

- EloAglSiage aa dlametfie de S" Í/2 de 40 à 110 m.

4.2 - Nettoyage et développement du forage -

- Nettoyage aux hexamétaphosphates de soude (100 kg) ou à l'acide (1 tonne)

- Développement à l'air comprimé (20 h) et/ou par circulation d'eau claire.

Le forage ne sera testé qu'après avoir obtenu de l'eau suffisamment

claire pour que l'essai soit représentatif.

4.3 - Pompages d'essai -

- Mise en place d'une pompe immergée.

Un tubage lanterné sera mis en place de 0 à 40 m pour protéger la pompe

pendant les essais, si besoin était.

- Essai de débit des deux aquifères superposés et non isolés au niveau du

forage pendant 12 h, (8h de pompage, 4h de remontée).

- Prélèvement d'un échantillon d'eau pour analyse chimique (type 2).

4 - PROGRAMME DE RECONNAISSANCE

Le programme de la reconnaissance par forage et des pompages

d'essai établi conjointement avec la D.D.A. et l'entreprise de forages doit

comporter les phases successives ci-aprës :

4.1 - Exécution du sondage à la rotation, au tricône et au carottier de la

façon suivante :

- C-n.eu^emeyit aa 12" 114 au tÂyicÔne de 0 à 10 m.

- ÜÍÁe en place d'an tabage pKovlAolfie de 260 mm de 0 à W m.

- Rephlse da ionage aa tAÁ-cone de S" 7/2 de dlametxe de W à 40 m, fiavensantentlè^einent ¿es caZcoÁAes du VoggeA eX. ¿es moAnes da Toa/iclen.

- CoAottage aa dlamltAe de 5" de 40 à 100 - 110 m.

- RéaLisatlon d'une dlagM.phle gamma-fiay.

- EloAglSiage aa dlametfie de S" Í/2 de 40 à 110 m.

4.2 - Nettoyage et développement du forage -

- Nettoyage aux hexamétaphosphates de soude (100 kg) ou à l'acide (1 tonne)

- Développement à l'air comprimé (20 h) et/ou par circulation d'eau claire.

Le forage ne sera testé qu'après avoir obtenu de l'eau suffisamment

claire pour que l'essai soit représentatif.

4.3 - Pompages d'essai -

- Mise en place d'une pompe immergée.

Un tubage lanterné sera mis en place de 0 à 40 m pour protéger la pompe

pendant les essais, si besoin était.

- Essai de débit des deux aquifères superposés et non isolés au niveau du

forage pendant 12 h, (8h de pompage, 4h de remontée).

- Prélèvement d'un échantillon d'eau pour analyse chimique (type 2).

10

- Remblaiement du forage de 30 à IOO - 110 m par du sable fin et par un

bouchon plus argileux pour isoler la nappe du Lias inférieur de celle du

Dogger.

- Montage de la pompe calée à 20 - 25 m sous le sol.

- Pompage d'essai à la nappe du Dogger pendant 12 heures (8 h de pompage,

4h de remontée) .

- Prélèvement d'un échantillon d'eau pour analyse chimique (type 2).

4.4 - Interprétation des essais, détermination du niveau aquifère à capter,

de l'équipement de l'ouvrage définitif et du programme d'essai à réaliser

Le niveau aquifère à capter sera soit la nappe superficielle du

Dogger, soit la nappe *du Lias inférieur si son débit estimé par différence

entre les divers essais est suffisant. Eventuellement et dans le cas où les

deux niveaux seraient peu productifs, il serait envisagé un captage mixte

s'adressant aux deux nappes.

Le programme technique de l'ouvrage définitif sera élaboré d'après

les résultats des essais et la production potentielle de chaque nappe.

Le forage de reconnaissance sera implanté sur la parcelle n° 338

(section A du plan cadastral à 1/2 500) à proximité du puits qui a été

inventorié lors de l'enquête piézométrique et qui débitait en trop plein

le jour des relevés. [^IguAe 3).

10

- Remblaiement du forage de 30 à IOO - 110 m par du sable fin et par un

bouchon plus argileux pour isoler la nappe du Lias inférieur de celle du

Dogger.

- Montage de la pompe calée à 20 - 25 m sous le sol.

- Pompage d'essai à la nappe du Dogger pendant 12 heures (8 h de pompage,

4h de remontée) .

- Prélèvement d'un échantillon d'eau pour analyse chimique (type 2).

4.4 - Interprétation des essais, détermination du niveau aquifère à capter,

de l'équipement de l'ouvrage définitif et du programme d'essai à réaliser

Le niveau aquifère à capter sera soit la nappe superficielle du

Dogger, soit la nappe *du Lias inférieur si son débit estimé par différence

entre les divers essais est suffisant. Eventuellement et dans le cas où les

deux niveaux seraient peu productifs, il serait envisagé un captage mixte

s'adressant aux deux nappes.

Le programme technique de l'ouvrage définitif sera élaboré d'après

les résultats des essais et la production potentielle de chaque nappe.

Le forage de reconnaissance sera implanté sur la parcelle n° 338

(section A du plan cadastral à 1/2 500) à proximité du puits qui a été

inventorié lors de l'enquête piézométrique et qui débitait en trop plein

le jour des relevés. [^IguAe 3).

PLAN DE SITUATION DU FORAGE DE RECONNAISSANCE

Extrait du plan cadastral de la commune de Chassiecq

(SECTION A - Feuille unique)

ECHELLE : 1/2 500

..Á. Sondage de reconnaissance proposé

PLAN DE SITUATION DU FORAGE DE RECONNAISSANCE

Extrait du plan cadastral de la commune de Chassiecq

(SECTION A - Feuille unique)

ECHELLE : 1/2 500

..Á. Sondage de reconnaissance proposé

iFeuilltopo-

662i5

662.5

662.5

662.5

66.2,,5

,662^..

.6.6,2..,.,5.

662.5

662.5

662.5

662.5

662.56,62 . 5

662.5

662.5

662.5

662.5662^5

686.1

686..1

2

..3.

4

..5,

.6.

.X..

8

.9..

IO

11.

12

13

14,

15

16,

17,

18

1

2

COMMUNE

.PARZAÇ

CHASSIECQ

BEAULIEU S.

SONNETTE

CHAMPAGNE-MOUTONCHAMPAGNE- .

MOUTONTURGON.

PARZAC

PARZAC

VIEUX-CERIER

CHAMPAGNE--.,.MOUTON Jt

M

TURGON

TURGON

BEAULIEU

CHASSIECQ.CHASSIECQ

CELLEFROIN_

CELLEFROIN

OÍSIGNATION

Mquch.e.dune_

Gellevraud

Chez Riorte

Peupoussant

Chez Godin

Chez Carton Le Chêne Vert

Chez Payrat

La. Géraudie.

Chez._.Easque.t.

Châ.t..,de.,.,Juy,e,r_

Chez-Valien tinChez Pouaraud

La...Ga,.r,ne.r,ie

La Garnerie

Sausac

Bourg

dallée Gadaud

Puits communal

Source de Couti-sert

pRorwÊTAme

M.._BI.S;SE,RIE.R,.,

7 .

?

Commune

,,CQmrauia,e

M. PLET

7

7

7

7

Comtiiune

7

S3nndicat privi7

?

Commune

Commune

Commune

COORO. LAMSEÎ^T

ZONE

X

.4,5.,2,,.4£

446, 7É

448, 3É

448,lf

448,82

,4,50,..4S

4.5.,.1..,7.1

451,92

.45.2..8.6

453.,.22

..4.5.2..,.Q.4

450.,06

449,62

i449,35

449,67

,4,46,,5Ç

,4,4.8,.Q,4

448,50

450,27

448,04

Y

l.Q3,,33

105,50

1.0.6»,40

111,10

111,43

ll.Q,»,36

1Q,8.,,75

106,48

IQ.4,.3,.6

IQ9,,1.,8

,l.l..0.,,.85

109.^.19

109,65

106,85

106,90

104,80

1Q.Z.8.0

10§..j.62

101,80

101,53

COTE OU

SOL

Z

+ 140

+ 105

.+ 130.

..t..,1.5.,5.

+ 125.

± 1,6,5

.+ 1.5,8,.

+ J40

.±......1.5.0,

.+.,...,1.6.2.

.,±...1.3,5,,

..* 160.-

+ 155

±._.,l.4..5

+_ 147

+ 10.0

.+ .1.3.0.,

+ 140

+ 120

+ 90

PioroxDti'?TOUlf ul'OüVKACl(i partir ia

icjirt)

16,00

7,55

19,,5.0

,..,5.j.,3.5.

3,36,Q

,2..3.,,.25

3,00

2.Q.,,8,Q,

1.3..,..7.0

..l,,0.Q,

..0..>..9S>

_9,35

m Ri?i!î(cfltgtMÎ

CU tubaQe)AL'-otssas

DU SOI

0,85

0,60

0,80

.Oi,..70

.0,,9Q

,Q.,,,.8,0

0,00

,Q,5.0

,.i,,:oo

Q,,.3,o

0.,.80

0,70

9.^.9.0

0,00

0,00

Q,,,.oo

9..,.oo

0,30

0,00

NIVEAUPlEZOM[:SiO!iE

(l pirtlrdu repère)

1.Q.,.5..0.

2,08

l,..9.7

2.,.59

1,9..».5..8..

..D...J.9...

0 ,00

...I..4..»,.3.5

4.,.9Q

.0,,,.30.

.21,4018,60

.3,.5.0

1,00

.o.,.op

o.,.o.o.

0,00

5,03

0,00

COTE

PIEIUMIIRIOUE(r»ppcft6«

au lére NGF)

1,3,Q.,..3.5

103,52

.!2,.8.,,..83

.I5.3,.l.l.

Î.,.45,,.4,Q

142,30

140

L3.6,..1..5

1.52.,.,.l

.13,.5..,..Q0

1,38.,..6..

136,4

.IÍ2..,,5...

146,00

100,00

I.,3,Q.,.0.0

1,4,0.,,.Q.0

115,27

90

DATE

é. mtsurs

5Q,.r,.3,...,.7i

tl

II

fl

It

It

It

II

It"

It

It

1.7...3....7Íti

II

II

ti

It

II

30.3.7Íti

OBSERVATIONS

Inexploité

Puits inexploité.rempli dé dé'tritüs.Inexploité

Inexploité

Captage inaccessibly^aux meçures

,...E.u.i,t.s...,]Ln.exp,lQ.i.fc.e. ' ...

Puits

Source à proximitéd'un petit ruisseau

Eus,é...s.urá_m...Q.J.r._..l..QO_in3/h - utilisé par les

..,en....p.é..r,i,o.çl.e...,.de s.ech.ere£

Source au bas des coteen lavoir Q t??^ 120 m3/

... Puits -.-inexp-Ioitê Puits domestique inexp

.S.?,y.?^Ç .§...._^ÎLJr.o V:P.]-. ^P.^ s _-du. trop-plein par dra:Puits avec débordement

Source - Q important e

Source - Q important ¤

.Puits avec trop-plein

Q 7^=^ 500 m3/h - eau

très chargée

5^

a<^se

au>h e

loi

évcn

au

au

cîolog;eNapp. cftp;4«

riculteurs

aménagéeau trouble

cuation

chargée

chargée

iFeuilltopo-

662i5

662.5

662.5

662.5

66.2,,5

,662^..

.6.6,2..,.,5.

662.5

662.5

662.5

662.5

662.56,62 . 5

662.5

662.5

662.5

662.5662^5

686.1

686..1

2

..3.

4

..5,

.6.

.X..

8

.9..

IO

11.

12

13

14,

15

16,

17,

18

1

2

COMMUNE

.PARZAÇ

CHASSIECQ

BEAULIEU S.

SONNETTE

CHAMPAGNE-MOUTONCHAMPAGNE- .

MOUTONTURGON.

PARZAC

PARZAC

VIEUX-CERIER

CHAMPAGNE--.,.MOUTON Jt

M

TURGON

TURGON

BEAULIEU

CHASSIECQ.CHASSIECQ

CELLEFROIN_

CELLEFROIN

OÍSIGNATION

Mquch.e.dune_

Gellevraud

Chez Riorte

Peupoussant

Chez Godin

Chez Carton Le Chêne Vert

Chez Payrat

La. Géraudie.

Chez._.Easque.t.

Châ.t..,de.,.,Juy,e,r_

Chez-Valien tinChez Pouaraud

La...Ga,.r,ne.r,ie

La Garnerie

Sausac

Bourg

dallée Gadaud

Puits communal

Source de Couti-sert

pRorwÊTAme

M.._BI.S;SE,RIE.R,.,

7 .

?

Commune

,,CQmrauia,e

M. PLET

7

7

7

7

Comtiiune

7

S3nndicat privi7

?

Commune

Commune

Commune

COORO. LAMSEÎ^T

ZONE

X

.4,5.,2,,.4£

446, 7É

448, 3É

448,lf

448,82

,4,50,..4S

4.5.,.1..,7.1

451,92

.45.2..8.6

453.,.22

..4.5.2..,.Q.4

450.,06

449,62

i449,35

449,67

,4,46,,5Ç

,4,4.8,.Q,4

448,50

450,27

448,04

Y

l.Q3,,33

105,50

1.0.6»,40

111,10

111,43

ll.Q,»,36

1Q,8.,,75

106,48

IQ.4,.3,.6

IQ9,,1.,8

,l.l..0.,,.85

109.^.19

109,65

106,85

106,90

104,80

1Q.Z.8.0

10§..j.62

101,80

101,53

COTE OU

SOL

Z

+ 140

+ 105

.+ 130.

..t..,1.5.,5.

+ 125.

± 1,6,5

.+ 1.5,8,.

+ J40

.±......1.5.0,

.+.,...,1.6.2.

.,±...1.3,5,,

..* 160.-

+ 155

±._.,l.4..5

+_ 147

+ 10.0

.+ .1.3.0.,

+ 140

+ 120

+ 90

PioroxDti'?TOUlf ul'OüVKACl(i partir ia

icjirt)

16,00

7,55

19,,5.0

,..,5.j.,3.5.

3,36,Q

,2..3.,,.25

3,00

2.Q.,,8,Q,

1.3..,..7.0

..l,,0.Q,

..0..>..9S>

_9,35

m Ri?i!î(cfltgtMÎ

CU tubaQe)AL'-otssas

DU SOI

0,85

0,60

0,80

.Oi,..70

.0,,9Q

,Q.,,,.8,0

0,00

,Q,5.0

,.i,,:oo

Q,,.3,o

0.,.80

0,70

9.^.9.0

0,00

0,00

Q,,,.oo

9..,.oo

0,30

0,00

NIVEAUPlEZOM[:SiO!iE

(l pirtlrdu repère)

1.Q.,.5..0.

2,08

l,..9.7

2.,.59

1,9..».5..8..

..D...J.9...

0 ,00

...I..4..»,.3.5

4.,.9Q

.0,,,.30.

.21,4018,60

.3,.5.0

1,00

.o.,.op

o.,.o.o.

0,00

5,03

0,00

COTE

PIEIUMIIRIOUE(r»ppcft6«

au lére NGF)

1,3,Q.,..3.5

103,52

.!2,.8.,,..83

.I5.3,.l.l.

Î.,.45,,.4,Q

142,30

140

L3.6,..1..5

1.52.,.,.l

.13,.5..,..Q0

1,38.,..6..

136,4

.IÍ2..,,5...

146,00

100,00

I.,3,Q.,.0.0

1,4,0.,,.Q.0

115,27

90

DATE

é. mtsurs

5Q,.r,.3,...,.7i

tl

II

fl

It

It

It

II

It"

It

It

1.7...3....7Íti

II

II

ti

It

II

30.3.7Íti

OBSERVATIONS

Inexploité

Puits inexploité.rempli dé dé'tritüs.Inexploité

Inexploité

Captage inaccessibly^aux meçures

,...E.u.i,t.s...,]Ln.exp,lQ.i.fc.e. ' ...

Puits

Source à proximitéd'un petit ruisseau

Eus,é...s.urá_m...Q.J.r._..l..QO_in3/h - utilisé par les

..,en....p.é..r,i,o.çl.e...,.de s.ech.ere£

Source au bas des coteen lavoir Q t??^ 120 m3/

... Puits -.-inexp-Ioitê Puits domestique inexp

.S.?,y.?^Ç .§...._^ÎLJr.o V:P.]-. ^P.^ s _-du. trop-plein par dra:Puits avec débordement

Source - Q important e

Source - Q important ¤

.Puits avec trop-plein

Q 7^=^ 500 m3/h - eau

très chargée

5^

a<^se

au>h e

loi

évcn

au

au

cîolog;eNapp. cftp;4«

riculteurs

aménagéeau trouble

cuation

chargée

chargée

2.20gr 447 44 9

CARTE PIEZ0METR1QUE DE LA NAPPE SUPERFICIELLE(Dogger)

450 4 53

lBRGM78SGN33t¿QI

HAMPAGNEH/IOtJTON

«03

Source

Source captée

n° d'inventaire et cote piézomètrique

'150 Courbe piezométnque • ISO N.G.F

— L'imite de bassin versant hydraulique

E C H E L L E 1/10 OCf