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COMMUNIQUÉ DE PRESSE 1, PLACE DE LA CONCORDE · PARIS 8 E · M° CONCORDE WWW.JEUDEPAUME.ORG MATÍAS PIÑEIRO : POUR L’AMOUR DU JEU 7 — 21 NOVEMBRE 2017 CYCLE DE CINÉMA #MATIASPINEIRO #CINEMA

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COMMUNIQUÉ DE PRESSE

1, PLACE DE LA CONCORDE · PARIS 8E · M° CONCORDE WWW.JEUDEPAUME.ORG

MATÍAS PIÑEIRO :POUR L’AMOUR DU JEU 7 — 21 NOVEMBRE 2017CYCLE DE CINÉMA

#MATIASPINEIRO#CINEMA

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• En couverture : Matías Piñeiro, Viola © Matías Piñeiro. Photo Alessio Rigo de Righi

Le Jeu de Paume est subventionné par le ministère de la Culture.Il bénéficie du soutien de Neuflize OBC et de la Manufacture Jaeger-LeCoultre, mécènes privilégiés.

PARTENAIRES

LE CINÉMA AU JEU DE PAUME

PROGRAMMATION

INFORMATIONS PRATIQUES

CONTACTS

La programmation cinéma de l’auditorium du Jeu de Paume accompagne nombre d’expositions ou présente des rétrospectives en hommage à des cinéastes de la scène indépendante française ou étrangère. Axée sur le documentaire, l’expérimental, l’autobiographie ou l’inédit, cette programmation favorise la rencontre entre cinéastes et artistes. Parmi les derniers cycles proposés, on peut citer James Benning, Glauber Rocha, Barbara Hammer, Gonzalo Garcia Pelayo, Yvonne Rainer, Avi Mograbi, Lav Diaz, Klonaris/Thomadaki, Hailé Gerima, ainsi qu’une carte blanche à la Cinémathèque de Tanger et un panorama du cinéma Sud-africain.

Tarif séance : 3 € / gratuit sur présentation du billet d’entrée du jour aux expositions et pour les abonnés.Renseignements : 01 47 03 12 50 / [email protected] détaillée sur www.jeudepaume.org

Relations presse : Annabelle Floriant 01 47 03 13 22 / 06 42 53 04 07 / [email protected] : Anne Racine 01 47 03 13 29 / [email protected]

Rétrospective organisée en partenariat avec le Festival d’Automne à Paris Avec le soutien de l’ambassade d’Argentine en FranceEt en collaboration avec CINEMATEK

Andréa Picard et Matías Piñeiro

MATÍAS PIÑEIRO EST PRÉSENT À PARIS DU 7 AU 12 NOVEMBRE

MÉDIA ASSOCIÉ

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Le jeune cinéaste argentin Matías Piñeiro (1982) a, en un peu plus d’une décennie, produit un corpus de films sensuels et originaux, qui explore habilement les liens entre la littérature, le théâtre et le cinéma. Du 7 au 21 novembre au Jeu de Paume dans le cadre du Festival d’Automne, cette rétrospective présente pour la première fois en France une œuvre comptant parmi l’une des plus vivifiantes du cinéma contemporain, entre création artistique et expérimentation formelle. « Pour l’amour du jeu » retrace l’évolution de la carrière déjà prolifique de Matías Piñeiro, qui ne demande qu’à être découverte en France.

« Le monde entier est un théâtre, où tous — les hommes, les femmes — sont de simples acteurs. Ils y ont leurs entrées, leurs sorties... » Cette fameuse maxime nous a été transmise par Shakespeare dans sa pièce Comme il vous plaira. En ces temps de plus en plus troublés, elle n’a jamais été autant d’actualité. Avec un rythme frénétique et une grande finesse, les films de Matías Piñeiro virevoltent autour de l’intuition du célèbre dramaturge anglais. Une dizaine d’années a suffi au jeune cinéaste argentin pour qu’il se distingue comme une des voix les plus remarquables du cinéma contemporain. Ses six films novateurs s’inspirent librement du théâtre et de la littérature pour explorer la puissance du désir et du langage. Surgissant de la toujours dynamique Nouvelle Vague argentine, les productions de Matías Piñeiro, ludiques et mystérieuses, héritent largement des maîtres de la Nouvelle Vague française – Éric Rohmer et ses contes tout en philosophie et en séduction, Jacques Rivette et ses puzzles enivrants. L’influence de plusieurs réalisateurs argentins expatriés à Paris, comme Eduardo de Gregorio et Hugo Santiago, se fait aussi sentir.

Les films de Matías Piñeiro sont tous tirés de grands classiques de la littérature. Et pourtant, loin de faire de simples adaptations, le cinéaste s’engage en réalité dans un processus de traduction devenu sa marque de fabrique. Il parle de « variations », d’« extensions », de « profanations », de « contaminations » ou encore de « désacralisations » des textes originaux. Légères et lumineuses, ses créations sont de vibrantes mises à jour contemporaines de ses sources. Qu’il compose à partir des textes de Domingo Faustino Sarmiento (humaniste du XIXe siècle et président de l’Argentine) ou à partir des pièces de William Shakespeare (avec sa série qu’il a intitulée « Las Shakespeariadas »), Matías Piñeiro a développé un style où les langages du théâtre, de la littérature et du cinéma fusionnent. Il nous livre une orchestration où l’art, la musique, l’amour et le jeu des acteurs se fondent avec harmonie dans un univers sinueux.

Le réalisateur travaille souvent avec la même équipe, pour la plupart composée d’actrices (María Villar, Agustina Muñoz, Romina Paula), et du directeur de la photographie Fernando Lockett, dont le maniement fluide et virtuose de la caméra nourrit le caractère volubile de ses films, avec ses enchaînements et ses ricochets. Avec eux, Matías Piñeiro a créé une atmosphère d’échanges fructueux autour de ses productions indépendantes. Dans sa série « Las Shakespeariadas », les films Rosalinda, Viola, La Princesa de Francia, et Hermia & Helena réinterprètent respectivement Comme il vous plaira, La Nuit des rois, Peines d’amour perdues, et Le Songe d’une nuit d’été. Rêve et réalité s’y brouillent avec charme. Monologues séducteurs et dissertations étourdissantes sur l’amour s’installent dans des récits circulaires et imbriqués, marqués par le rythme des textes shakespeariens. De purs moments de cinéma surgissent avec une parole aussi pertinente que percutante, tandis que les rôles s’effondrent, s’assemblent ou s’échangent, non sans rappeler une certaine élégance naturelle vue chez Ernst Lubitsch ou Max Ophüls, ou encore les constructions cubistes et introspectives de Hong Sang-soo.

« Pour l’amour du jeu » retrace l’évolution de la carrière déjà prolifique de Matías Piñeiro, donnant à voir un corpus de films sensuels et originaux, entre création artistique et expérimentation formelle. Une œuvre qui ne demande qu’à être découverte en France. Andréa Picard

MATÍAS PIÑEIRO CYCLE DE CINÉMA

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MATÍAS PIÑEIRO

Né à Buenos Aires, Argentine, en 1982. Il étudie à l’Universidad del Cine, où il enseignera plus tard la réalisation et l’histoire du cinéma. En 2006, il est l’un des onze cinéastes du collectif « A Proposito » de Buenos Aires et en 2007, il présente son premier long-métrage El Hombre Robado, récompensé du Prix du meilleur réalisateur au Festival de Films de Las Palmas et du Prix du meilleur film au Jeonju International Film Festival. En 2011, il s’installe aux États-Unis où il entreprend une recherche au Radcliffe Institute de l’Université de Harvard, puis un Master of Fine Arts à l’Université de New York. Sa filmographie comprend notamment El Hombre Robado (2007), Todos Mienten (2009), le court-métrage Rosalinda (2011), Viola (2012), La Princesa de Francia (2014) et Hermia & Helena (2016), son premier film en langue anglaise. Il remporte, entre autres, le Prix du Jury pour Viola au Festival International du Film de Valdivia et le Prix du meilleur film argentin pour La Princesa de Francia au Festival International du Cinéma Indépendant de Buenos Aires. Son dernier film Hermia & Helena était en compétition au Festival international du film de Locarno.

Matías Piñeiro © Myrna Suarez

ANDRÉA PICARD

Commissaire d’exposition et critique d’art et de cinéma, Andréa Picard travaille au Festival International de films de Toronto (TIFF) depuis 1999 où elle est la programmatrice de Wavelenghts, la section plus avant-gardiste et expérimentale du festival, très acclamé par la critique. En tant que commissaire et critique indépendante, elle collabore régulièrement avec des institutions internationales comme Art Metropole à Toronto, le Centre Pompidou à Paris, Festival Images à Toronto, le Belvédère, MAK et Secession à Vienne parmi d’autres. Elle collabore également avec des magazines internationaux comme Flash Arts International, Canadian Art, Millennium Film Journal et Les Cahiers du cinéma. Elle dirige une rubrique sur les relations du cinéma et les arts visuels dans la revue Cinema Scope.Andréa Picard sera la directrice du Festival Cinéma du Réel à Paris à partir de 2018.993) • Adwa : une victoire africaine (1999) • Teza (2008)

Matías Piñeiro © Myrna Suarez

Matías Piñeiro, Todos Mienten © Matías Piñeiro

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PROGRAMMESUSCEPTIBLE DE MODIFICATIONS

◆ Hermia & Helena ◆

Etats-Unis/Argentine, 2016, couleur, 86’, vo st fr I première parisienne

Le dernier film de Matías Piñeiro est le plus abouti et le plus émouvant à ce jour. Hermia & Helena, son cinquième long-métrage, reprend le prénom des héroïnes de Songe d’une nuit d’été de Shakespeare. Avec un décor new-yorkais, un lyrisme à la Ozu, la musique mélancolique de Scott Joplin et des acteurs américains de la scène indépendante rejoignant son équipe d’actrices argentines, le réalisateur délaisse en quelque sorte ses habitudes. Jonglant entre deux temps et deux lieux (Buenos Aires et New York), Hermia & Helena raconte l’histoire de Camila (Agustina Muñoz), une directrice de théâtre qui part en résidence artistique à New York pour traduire en espagnol Le Songe d’une nuit d’été. Au premier abord, la ville ne lui plaît pas, mais Camila se retrouve vite entraînée dans une série de flirts où elle découvrira une mystérieuse collègue française (l’actrice et réalisatrice Mati Diop). Elle fera aussi des rencontres extraordinaires, comme avec son père biologique (le réalisateur Dan Sallitt) dans une séquence forte en émotion. Les nouveaux visages se multiplient tout au long de ses péripéties, et chacun d’entre eux sera révélateur d’une facette de sa personnalité. Camila sera constamment tiraillée entre les langues, les cultures et les sentiments. Ce film, en partie inspiré par l’installation du réalisateur à New York, offre toute une suite de détours amoureux, d’impasses et de nouveaux départs.

Matías Piñeiro, Hermia & Helena © Matías Piñeiro

MARDI 7 NOVEMBRE, 19 H / soirée d’ouverture au Jeu de Paume

Hermia & Helena (2016, 86’, vo st fr)en présence de Matías Piñeiro, Andréa Picard et Mati Diop.

réservation obligatoire : [email protected]

INÉDIT

EN FRANCE

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MERCREDI 8 NOVEMBRE, 19 H

El Hombre Robado (2007, 90’, vo st fr)en présence de Matías Piñeiro et Andréa Picard.

◆ El Hombre Robado ◆Argentine, 2007, 16mm, noir et blanc, 90’, vo st fr

Tourné en 16 mm dans un noir et blanc onirique, le premier film de Matías Piñeiro raconte avec effervescence l’histoire de Mercedes (María Villar), une employée de musée prête à dérober des œuvres pour les vendre à des antiquaires. Capricieuse et rusée, la jeune femme ajoute les intrigues amoureuses à ses manigances quand elle espionne le fiancé de sa meilleure amie se promenant avec une autre femme. S’installent alors plusieurs jeux de miroirs sentimentaux. Ce film inventif est librement inspiré par Facundo, un texte militant écrit en 1845 par Domingo Faustino Sarmiento, humaniste du XIXe siècle et autrefois président de l’Argentine. Avec ses allusions politiques et la rivalité entre deux musées, le film retrace une carte labyrinthique de Buenos Aires tout en dressant le portrait d’une jeunesse impulsive. Exhumant les reliques du passé dans une langue vivifiante et contemporaine, le réalisateur nous livre un film étonnamment moderne, réminiscence de la Nouvelle Vague et des codes astucieux de Jacques Rivette. Avec ce long-métrage, Matías Piñeiro se révèle être un nouvel espoir du cinéma argentin.

Matías Piñeiro, El Hombre Rodado © Matías Piñeiro

◆ Todos Mienten ◆Argentine, 2009, couleur, 75’, vo st fr

Hypnotique et envoutant par sa forme maitrisée, entre atmosphère étourdissante et histoires ludiques entre amis, Todos Mienten reste une des meilleures œuvres de Matías Piñeiro. Inspiré par le récit des voyages de Domingo Faustino Sarmiento, le film se déroule dans une maison de campagne isolée. Sept amis, tous âgés de la vingtaine (dont la prétendue petite-petite-fille de Domingo Faustino Sarmiento), s’y retrouvent pour s’amuser, boire, chanter, raconter des histoires, créer des œuvres d’art, flirter et passer des alliances secrètes. Alors que complicités et duplicités s’accumulent, toute la maisonnée se lance dans un jeu de cache-cache où les fantômes de l’histoire sont convoqués par un scénario inventif et insaisissable. Le réalisateur repousse les limites formelles de son film par des images sinueuses où la moindre malice est captée par la caméra, où les objets se diffusent et se déplacent tels les talismans d’un rituel. Le film est entêtant, séducteur et entrainant, comme une sorte de jeu social et historique aux dissonances contemporaines et aux intrigues romantiques. Les mots et les gestes y jouent à contretemps, glissant sans cesse entre fiction et réalité.

Matías Piñeiro, Todos Mienten © Matías Piñeiro

VENDREDI 10 NOVEMBRE, 18 H 30

Todos Mienten (2009, 75’, vo st fr) suivi de La Femme silencieuse (2002, 21’, vo st fr, inédit)en présence de Matías Piñeiro et Andréa Picard.

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SAMEDI 11 NOVEMBRE

Séances présentées par Matías Piñeiro et Andréa Picard

14 H 30 : Rosalinda de Matías Piñeiro (2010, 45’, vo st fr) suivi par Le Divertissement de Jacques Rivette (1952, 45’, silencieux)

16 H 30 : Sérail d’Eduardo de Gregorio (1976, 88’)

◆ Rosalinda ◆Argentine, 2007, 16mm, noir et blanc, 90’, vo st fr

C’est avec cette variation sur Comme il vous plaira que Matías Piñeiro a débuté sa série intitulée « Las Shakespeariadas », consacrée aux héroïnes de Shakespeare (il s’est aussi inspiré du recueil Les Filles du feu, écrit par Gérard de Nerval et publié en 1854). Une troupe de jeunes comédiens quitte Buenos Aires pour répéter à la campagne leur adaptation de la pièce de Shakespeare. Juste avant la répétition, Luisa (María Villar), qui incarne Rosalinda, reçoit un troublant appel de son petit-ami. À mesure qu’elle devient l’objet du désir de celui qui lui donne la réplique, son esprit se perd progressivement. Baigné d’une lumière estivale et rayonnant par le charme magnétique de ses personnages, Rosalinda permet à son réalisateur d’explorer la fusion entre les rôles et la confusion entre fiction et réalité.Matías Piñeiro, Rosalinda

© Matías Piñeiro

MARDI 14 NOVEMBRE, 19 H

Fratelli de Gabriel Abrantes et Alexander Melo (2011, 17’, vo st ang) suivi par Viola de Matías Piñeiro (2012, 65’, vo st fr)en présence de Gabriel Abrantes

◆ Viola ◆Argentine, 2012, couleur, 65’

Tout en tension, en fraicheur et en intelligence, Viola s’appuie sur La Nuit des rois de Shakespeare pour s’élancer dans le labyrinthe sensuel et ardent des pièces du célèbre dramaturge anglais. Viola (María Villar) vit à Buenos Aires avec son compagnon Javier. Ensemble depuis longtemps, ils ont monté une entreprise de distribution de films piratés, baptisée Metropolis en hommage à Fritz Lang, dont ils livrent les commandes à travers la ville. À différentes occasions, et dans des circonstances susceptibles de changer profondément leur avenir, Viola et Javier vont rencontrer toute une troupe de comédiennes qui travaille sur une pièce mêlant plusieurs œuvres de Shakespeare. S’en suit une expérience enivrante, où une multitude de personnages qui pourraient peut-être s’aimer, maintenant ou plus tard, se croisent, se séduisent et se trahissent. Les cadavres sortent des placards, les secrets sont peu à peu dévoilés, et les rencontres fortuites suscitent de sempiternelles questions sur le libre arbitre et la prédestination. Il y a quelque chose d’addictif dans la façon dont Matías Piñeiro élabore cette recette troublante et sensuelle, entre baroque et contemporain. Sa caméra, fluide et dynamique, nous entraîne dans des intrigues à l’équilibre précaire, prêtes à s’écrouler. Par son attachement à la littérature, au théâtre et au cinéma, Viola, film patiemment éblouissant, résiste aux interprétations faciles tout en reflétant nos désirs insoupçonnés.

Matías Piñeiro, Viola© Matías Piñeiro

SAMEDI 18 NOVEMBRE

14 H 30 : La Princesa de Francia (2014, 67’, vo st fr) suivi par In the Museum (2014, 8’, vo st fr)

16 H 30 : Les Autres de Hugo Santiago (1975, 90’)

◆ La Princesa de Francia ◆Argentine, 2014, couleur, 67’

Troisième opus du projet « Las Shakespeariadas », La Princesa de Francia est une adaptation libre et vivace de Peines d’amour perdues, où l’on retrouve l’équipe habituelle du réalisateur. Dans ce film, Matías Piñeiro développe un style où le langage du cinéma fusionne encore un peu plus avec celui du théâtre et de la littérature (tant dans leur syntaxe que dans leur musicalité). Il nous ouvre un monde où l’amour, la musique, l’art et le jeu des acteurs se fondent avec harmonie dans un univers sinueux. Après la mort de son père, Victor (Julián Larquier Tellarini) quitte Mexico et retourne à Buenos Aires, où il tente immédiatement de raviver ses ambitions artistiques tout en résistant, tant bien que mal, à d’anciennes histoires sentimentales. Il se lance dans une adaptation radio de la pièce Peines d’amour perdues pour son ancienne troupe théâtrale. Une équipe de cinq femmes : sa petite amie Paula, son amante Ana, son ex Natalia, Lorena, qui a des vues sur lui, et Carla, une inconnue qui pourrait être sa prochaine passion. Portée par la ruse et la tentation, la vie du garçon rattrape la fiction et les peines d’amour perdues s’avèrent contagieuses. Rêve et réalité se brouillent avec charme entre monologues romantiques, récits circulaires et motifs shakespeariens. Rythmé par des paroles autant pertinentes que percutantes, La Princesa de Francia nous offre de purs moments de cinéma.

Matías Piñeiro, La Princesa de Francia© Matías Piñeiro

MARDI 21 NOVEMBRE, 19 H / soirée de clôture au Jeu de Paume

Hermia & Helena (2016, 86’, vo st fr)

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VISUELS PRESSELes images sont utilisables et libres de droit pour la presse, dans le cadre de la seule promotion de la programmation et pendant la durée de celle-ci. L’affichage sur les sites Internet ne doit pas excéder 72 DPI.

1 • Matías Piñeiro © Myrna Suarez

2 • Matías Piñeiro, Hermia & Helena © Matías Piñeiro

3 • Matías Piñeiro, Hermia & Helena © Matías Piñeiro

Visuels à télécharger sur le site du Jeu de Paume

Identifiant: presskitMot de passe : photos

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4 • Matías Piñeiro, Hermia & Helena © Matías Piñeiro

5 • Matías Piñeiro, Todos Mienten © Matías Piñeiro

6 • Matías Piñeiro, Todos Mienten © Matías Piñeiro

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7 • Matías Piñeiro, Todos Mienten © Matías Piñeiro

8 • Matías Piñeiro, Todos Mienten © Matías Piñeiro

9 • Matías Piñeiro, El Hombre Robado © Matías Piñeiro

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12 • Matías Piñeiro, Rosalinda © Matías Piñeiro

10 • Matías Piñeiro, Rosalinda © Matías Piñeiro

11 • Matías Piñeiro, Rosalinda © Matías Piñeiro

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13 • Matías Piñeiro, Rosalinda © Matías Piñeiro

14 • Matías Piñeiro, Viola © Matías Piñeiro. Photo Alessio Rigo de Righi

15 • Matías Piñeiro, Viola © Matías Piñeiro. Photo Alessio Rigo de Righi

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18 • Matías Piñeiro, La Princesa de Francia © Matías Piñeiro

16 • Matías Piñeiro, Viola © Matías Piñeiro. Photo Alessio Rigo de Righi

17 • Matías Piñeiro, La Princesa de Francia © Matías Piñeiro

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19 • Matías Piñeiro, La Princesa de Francia © Matías Piñeiro

20 • Matías Piñeiro, La Princesa de Francia © Matías Piñeiro

JEU DE PAUME — CONCORDEMardi (nocturne) : 11 h - 21 h

Mercredi à dimanche : 11 h -19 h. Fermeture le lundiPlein tarif : 10 € / Tarif réduit : 7,50 €

VISUELS PRESSEVisuels libres de droit téléchargeables sur le site www.jeudepaume.orgPage d’accueil > Presse • Identifiant : presskit / Mot de passe : photos

CONTACTSRelations presse : Annabelle Floriant

t. 01 47 03 13 22 / 06 42 53 04 07 / [email protected] : Anne Racine

t. 01 47 03 13 29 / [email protected]

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