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Bulletin d’information du Lycée Kodonso

Avril Mai

Juin 2006

Année 4, n° 12

Dans ce numéro :

c'est Class !

Lycée Kodonso

Vie du Lycée 3

Coin des Filles 6

Santé 7

Stars du mois 9-10

Star parade 11

Portrait: Un professeur 12

Mode+Cuisine 7

Que sont-ils devenus? 15

Faits divers 16

Poêmes+Blagues 18-19

Dans cette dernière édition de Kod’News de l’année sco-laire 2005-2006, vous lirez les interviews et reportages me-nés par vos journalistes du lycée Kodonso. Des élèves très actifs et qui se donnent à fond dans ce qu’ils font. Vous allez adorer cette dernière parution plus qu’un amant aimerait sa compa-gne. On vous parle de KODES (Kodonso Elèves Solidarité), ces élèves très dynamiques,méritent notre respect et le soutien de tous car ils ont accompli des tâches immenses grâce à leur volonté et courage. On vous parle égale-ment de la conférence du 8 Mars qui s’est tenue dans le lycée. Nous vous avons recueilli des blagues croustillantes pour vous détendre et vous relaxer. On ne vous a pas oublié, les éternels joueurs, une page de jeux rien que pour vous et vous trouverez des articles très intéressants et des poèmes… Je ne saurais clore cet éditorial sans faire un détour chez les élèves de Termi-nale. Toutes les conditions sont réunies pour que nous occupions les premiè-res places et que les résultats soient à la hauteur des espérances de nos profs qui nous soutiennent et encouragent tous les jours. N’oublions surtout pas cet adage « Aide toi, et le ciel t’aidera » alors trêve de plaisanterie, retroussons nos manches et mettons nous au travail pour clôturer cette année en grande beauté. Je remercie toutes ces personnes de bonne volonté qui souhaitent notre réussite.

Page 4

KODES apporte son aide au jeune enfant Traoré Nouhoum, malade du coeur Page 2

TEST: Es-tu debrouillarde ou pas? Page 14

Des membres de Kod’News vous parlent Page 20

Elèves: 250 F cfa Autres: 500 F cfa

EDITORIAL Camara Mariam

MTEA

M. BAGAYOKO DRISSA

Surveillant Général du Lycée Kodonso Nous dévoile des informations personnelles dans un entretien. Lisez-le!

Interview

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Page 2

L’une des forces de la société malienne est surtout sa solidarité, un sentiment qui pousse les hommes à s’entraider. C’est dans ce cadre qu’un groupe d’élèves très dynamiques crée KODES pour venir en aide aux enfants démunis et malades dont les pa-rents ne disposent pas de moyens pour les soigner. Depuis sa création jusqu’à nos jours, KODES a élaboré de nombreuses ac-tions humanitaires dont la plus brillante fut le don d’un billet d’avion à un jeune garçon malade du cœur devant se rendre dans un hôpital à Paris. La remise du billet a été effectuée dans l’en-ceinte du Lycée Kodonso, le 10 Mars 2006. La présence d’un enfant entouré par les membres de KODES n’est pas passé inaperçu. Nouhoum Traoré est issu d’une famille modeste, d’un père chauffeur et d’une mère ménagère: il a 3 ans, pèse 14Kg, mesure 0,75m et il est atteint d’une cardiopathie congénitale (grave maladie du cœur surtout pour un enfant). L’enfant devait effectuer un voyage pour la France au compte de ‘MECENA CHIRURGIE’ sous la tutelle du professeur Francine Leca au service de l’organisation « Enfant du monde ». Après des problèmes pour l’acquisition du passeport, son premier départ prévu pour le 3 Mars fut re-porté faute de billet d’avion car sa famille n’avait pas les moyens de lui en procurer. C’est là que le KODES fait son intervention en octroyant le fameux billet à la famille Traoré afin que le jeune Nouhoum puisse aller suivre son intervention chirurgicale en France. Lors de la remise du billet, nous avons recueilli les impressions de la mère :<les mots me man-quent pour vous dire à quel point son père et moi sommes contents. Nous remercions très infi-

niment ces enfants, tous ceux qui de près ou de loin dans leur tache nous ont aidés que Dieu les bénisse>. Ainsi Mlle Sylla présidente actuelle de KODES et ses camarades viennent de nous montrer encore leur capacité. Tout le lycée Kodonso a été vraiment touché par cet acte combien digne et plein de signification. Nous vous souhaitons chance et courage. Sachez que nous vous soutenons ! Vraiment KODES EST FORT

KODES vraiment solidaireKODES vraiment solidaireKODES vraiment solidaireKODES vraiment solidaire

DIALLO SS 1TEB Nouhoum Traoré

A la famille SANGARE Chers Parents, frères et sœurs de Boubacar!

Profondément touchés par la perte cruelle qui vous frappe par le décès de votre fils Boubacar Mamadou SANGARE; l’ensemble des élèves, le corps professoral, le personnel admi-nistratif et les Directions des Groupes scolaires KALANSO ESPACE EDUCATION et LYCEE KODONSO vous présentent leurs condoléances les plus attristées. Nous garderons de Boubacar l’image d’un élève sérieux et travailleur et de grande convivialité. Il était très apprécié par l’ensemble de nos groupes scolaires et il a toujours entrete-nu des rapports joyeux empreints de respect avec ses professeurs et l’encadrement de nos éta-blissements. Nous souhaitons que la famille trouvera dans cette lettre des éléments de réconfort pour l’aider à supporter sa douleur. Que l’âme de Boubacar repose en paix!

Pour l’ensemble des groupes scolaires Madame Nadine SANOH Monsieur Dianka SANOH Directrice de l’école Codirecteur du Lycée KODONSO KALANSO Codirectrice Lycée KODONSO

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Page 3 Année 4, n° 12 Vie du Lycéen

Le 8 Mars 2006 (journée mondiale de la femme) fit l’objet d’une conférence au sein du lycée. Comme conféren-ciers, il y avait Mme Diarra Safiatou (prof de Français), Mme Diarra Oulématou (chargée de la Bibliothèque), Mme Ouologuem (prof de maths) et Mr Maïga Aly Gano qui ont exposé sur la condition féminine. On pourra rete-nir lors de la conférence le thème du combat des femmes pour la liberté et un nom celui de Djénébou Dagnon, l’une des mères fondatrices de l’un des partis politiques au Mali (R.D.A). Les combats menés aussi pour le droit au vote et l’élaboration d’un code de mariage ne furent guère omis. ‘ Certaines femmes ont payé de leur vie pour leur participation à des mouvements de révolte’ déclara Mme Diarra (prof de Français). ‘ Des femmes se sont battues pour lutter contre la répudiation c’est-à-dire lors-que le mari ne voulait plus de sa femme, il pouvait lui faire plier bagages’ ajouta-t-elle. Pour exhorter les jeunes filles, futures mamans, les

La participation du lycée Kodonso au meeting d’athlétisme ‘Flamme de la Jeunesse’ organisé par Kalanso en catégorie ca-det filles et garçons n’est pas restée sans suite. La compétition s’est déroulée en Février de cette année, au stade OmnisSport Modibo Keïta entre plusieurs établissements. L’ambiance du stade fut animée par la fanfare et avant le début des épreuves, on a demandé à tous les représentants des établissements de bien vouloir présenter leurs athlètes au public qui s’est déplace en grand nombre. Il y avait une multitude de couleurs ; notre lycée était en bleu, Kalanso en orange, le lycée Sportif de Kati en jaune, Liberté A en blanc… Vers les 15 heures, Mme Sanoh Nadine, a prononcé un magnifique discours sur l’importance de la compétition puis a ouvert les festivités du championnat. On doit dire que les supporteurs du Lycée se sont déplacés vraiment en nombre pour donner un soutien à nos athlètes, qui, sous les encouragements ont fait des étincelles et nous remercions ces différents supporteurs. Cette journée sportive fut des plus belles car nos élèves se sont distingués dans plusieurs épreuves. Nous citerons entre au-tre :Maïga Mohamed premier sur 100 et 200m, Maïga Alassane Ben Salah quatrième sur les 800m. Notre équipe du relais a été première. Nos filles ont été magnifiques notamment sangaré Kadiatou , elle a été première, Traoré Kadia fut deuxième au lancé du poids, Kansaye Mariam , elle aussi fut deuxième aux 200m et Sidibé Mariam a été troisième au lancer au poids. Le Lycée Kodonso devait être premier à l’issue de la compétition mais a perdu des points pour avoir fait participer un concur-rent à plus d’une épreuve particulière. Les membres du jury nous ont retiré trois points et ce qui a permis au lycée Sport de Kati de passer en tête du classement suivi du lycée Kodonso et la troisième position fut occupée par Liberté A. Bravo à toutes et à tous nos athlètes qui ont porté haut les couleurs du Lycée et souhaitons qu’aux épreuves futures ces mê-mes concurrents ou leurs cadets puissent relever des défis.

Une terre d’accueil, de paix et d’hospitalité, le Mali est un pays de l’Afrique de l’Ouest. Avec sa diversité culturelle, c’est un pays qui compte 5% de sa population comme des ressortissants venus de part le monde. L’équipe de Kod’News a mené une enquête sur 4 nationalités diffé-rentes au sein de l’établissement pour savoir les raisons de leur présence au Mali. -Pourquoi avez-vous choisi le Mali comme pays d’é-tude ? J’ai choisi le Mali parce que après le Bac quelque soit la nationalité ou la personnalité du candidat admis il aura accès à l’université, pourvu qu’il travaille bien. -Quel jugement portez-vous sur les Maliens ? J’apprécie beaucoup les Maliens parce qu’ils sont socia-bles, gentils et chaleureux.

-Sur le plan scolaire y a-t-il une diffé-rence par rapport à votre pays d’origine ? L’enseignement au Mali est diamétralement opposé à celui de mon pays. Par exemple : aux différents exa-mens, nous composons dans toutes les matières et les notes de classe ne sont pas prises en compte. Mais l’é-ducation au Mali est très exceptionnelle parce que les profs sont très ouverts, formidables et les élèves moins surchargés. -Aimeriez-vous plus tard vous installer définitivement au Mali ? Sur les 4, 2 disent oui parce qu’il y a la sécurité, la pros-périté des villes et la paix. Par contre les 2 autres ont répondu non parce que le climat du Mali est très défavo-rable et ils ont entre autre la nostalgie de leur pays.

Impressions des élèves de nationalité étrangère sur le Mali

MILEKO EVELINE SBTA

Flamme de la Jeunesse: Kodonso toujours Class!!!

DIAKITÉ SIDI LLTB

conférenciers n’hésitèrent pas à prendre l’exemple sur les toutes premières femmes fonctionnaires du pays à savoir Mme Cissé Ina Cissoko (à l’époque Secrétaire d’Etat) et aussi Aminata Diallo (à l’époque Directrice du Lycée des Jeunes Filles). Les conférenciers ne manque-ront pas de souligner l’importance de la femme au foyer : son rôle d’éducatrice de conjointe au foyer. Enfin après avoir évoqué le brillant thème de l’émancipation de la femme, de sages conseils interviendront parmi lesquels : l’égalité entre les sexes, la soumission de la femme au foyer, sa participation aux charges et à la prise de déci-sions. En tout cas, il faudra retenir que la lutte contre la margi-nalisation des femmes porte fruit, le cas de Sir Helène en est un exemple concret. Les femmes luttent contre les fléaux sociaux mais doivent combattre également les maux qu’elles font subir à la société à savoir la prostitu-tion et le mariage homosexuel.

Conférence du 8 Mars journée internationale des femmes au lycéeConférence du 8 Mars journée internationale des femmes au lycéeConférence du 8 Mars journée internationale des femmes au lycéeConférence du 8 Mars journée internationale des femmes au lycée

JOE LA PITO LLTB

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Page 4 Interview Pouvez-vous nous faire sommaire-

ment votre biographie ? Je vous remercie d’abord de m’avoir

tendu le micro de Kod’News. Je suis né

vers 1959 à Dossola arrondissement de

Keleya, cercle de Bougouni, j’ai été

recruté à l’école le 01 Octobre 1968à

Kangaré (actuel Selengué) où j’ai eu

mon C.E.P en 1974. J’ai alors été à

Bougouni pour y faire mon second cy-cle. Ainsi j’ai été admis au D.E.F en

1978. Je me suis rendu donc à Bamako

pour mes études secondaires où je fus proclamé définitivement

bachelier en 1983. Je fus alors orienté à l’ENSUP (au Départe-

ment d’Histoire et de Géo). J’ai alors conquis la maîtrise session

de Juin 1988. c’est ainsi que commence pour moi une grande

aventure. La fonction publique n’étant pas accessible, j’ai traîné

mes bottes dans plusieurs secteurs de la vie active : vente de

patrons et de journaux, Président du Conseil d’Administration u

G.I.E le GE.SE.EN (Général Service sur l’Environnement), Di-

recteur du collège Frahan Marie Therese (1994-1998) et enfin

Surveillant Général du Lycée Kodonso depuis son ouverture en

Octobre 1998.

Vous êtes arrivé au lycée en quelle année et quelle comparai-

son faites-vous sur le lycée de l’année de votre arrivée à celle

d’aujourd’hui ? Comme je viens de le dire dans ma note biographique, je suis ici

depuis l’ouverture du Lycée en Octobre 1998, demander de faire

une comparaison, sur le Lycée de l’année de mon arrivée et le

Lycée de maintenant me parait un peu vague. Mais je peux dire tout de suite que le Lycée évolue sur le plan effectif. Nous avons

commencé avec 130 élèves et cette année nous avons plus de580

élèves. Cet effectif au point de vue âge, nous dessine deux visa-

ges. A la différence de l’année d’ouverture, nos élèves de cette

année sont beaucoup plus jeunes alors que ceux de l’année d’ou-

verture étaient beaucoup avancés en âge. Au point de vue qualité

académique, du fait que ceux de cette année viennent pour la

plupart de Kalanso sont beaucoup plus éveillés que ceux de la

première année. Du reste le nombre, la jeunesse, sont des fac-

teurs qui déterminent la conduite et la gestion des effectifs d’une

manière ou d’une autre.

En quoi consiste votre travail de surveillant général ? Le Surveillant Général est à la fois, parent d’élève et administra-

teur, ce qui lui rend le travail très complexe. Il reçoit les parents

d’élèves, les élèves. Il gère les élèves dans leurs mouvements et

leurs comportements quotidiens. Cela veut dire que nous sui-

vons chaque élève dans ses mouvements et ses comportements

vis-à-vis de l’institut scolaire, du Corps professoral, de l’enca-

drement et de ses camarades. Bref chaque élève est soumis au

règlement intérieur du Lycée, qui doit être respecté à la lettre. La note de conduite est d’ailleurs donnée en fonction du comporte-

ment général de l’élève vis-à-vis du règlement intérieur.

En tant que Surveillent Général, je m’appuie sur une sensibilisa-

tion continue par rapport, d’abord au respect que chaque élève

doit au règlement intérieur, mais aussi en soulignant, chaque fois

qu’il est possible pour moi, l’effort non seulement fourni par les

parents pour avoir inscrit leurs enfants au Lycée Kodonso, mais

aussi celui du Lycée pour répondre aux aspirations des parents

d’élèves et des élèves.

Par ailleurs je dois concilier les points de vue des élèves et de

leurs parents à celui des professeurs d’une part et de l’Adminis-

tration scolaire d’autre part.

En tant que surveillant général comment trouvez-vous vos

élèves de nos jours par rapport à ceux d’an-

tan ? J’ai répondu en partie à cette question déjà mais

ce que je peux ajouter c’est que ceux d’antan

étaient plus conscients, soucieux de leurs études

que ceux de maintenant du fait de leur jeunesse.

Cette année scolaire 2005-2006 a vu le départ

de plusieurs professeurs du lycée, en tant que

membre de l’administration, pouvez-vous

nous en dire plus ? Je ne suis pas compétent pour dire quelques cho-

ses sur le départ des professeurs du Lycée. En

tant que croyant je vous dirais tout simplement que chacun suit

le chemin que Dieu le tout puissant lui a tracé.

En ville, nous entendons des critiques sur les succès de notre

lycée, quel est votre avis ? Dans ma petite et humble expérience dans le domaine de l’ensei-

gnement privé, je dirais que ce sont les critiques qui font vivre

les écoles privées, Kodonso étant une tête de proue de cet en-

semble n’échappera nullement à ces derniers. Il faut faire avec.

L’essentiel pour nous est que l’on soit d’accord avec notre cons-

cience, qu’on n’ait rien ou peu de chose à se reprocher sur le

plan professionnel.

M. Bagayoko, pouvons-nous savoir ce qui vous passionne

dans votre fonction de pédagogue, d’éducateur ? Chaque année depuis l’ouverture du lycée à nos jours au moins

nous arrivons, par notre souci d’atteindre un des objectifs du

Lycée, c'est-à-dire ne laisser aucun au bord de la route derrière

nous, à canaliser plus d’un élève caractériel. Travailler, dans le

sens des objectifs du lycée, c’est cela ma passion.

Quel est votre opinion sur Kod’News ? Kod’News est un instrument qui permet aux élèves de découvrir

leur propre talent et de s’améliorer dans ce sens, d’autre part le

journal lui-même est une bonne initiative puisqu’il constitue

déjà depuis quelques années un moyen d’expression et d’infor-

mation privilégié pour la population du lycée.

Avez-vous des projets pour l’avenir ? Chaque homme meurt avec des projets en tête, je crois bien que

je ne ferais pas exception à cette règle.

Si vous avez un conseil à donner à vos élèves, que serait-il ? Je leur dirai de bien travailler pour être à la hauteur du Bac

qu’ils auront conquis au sortir du Lycée. Pour ce faire, il faut

qu’ils aient constamment

à l’esprit l’effort énorme

consenti par leurs parents

mais aussi celui fourni par

le Lycée pour leur épa-

nouissement intellectuel

et social.

Avez-vous quelque chose à dire à vos candi-

dats au Bac de cette an-

née ? Aux candidats de cette

année, je leur demande

beaucoup de sang froid, en vue de monter plus haut la barre des

admis, chose qui a caractérisé le Lycée depuis son ouverture à

maintenant.

Votre mot de la fin. Je souhaite une longue vie au lycée et à Kod’News !

TIDJANI AMIDOU LLTA

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Page 5 Année 4, n° 12

Qu’est-ce que la Grippe Aviaire ? C’est une maladie contagieuse qui affecte les volatiles. Elle est provoquée par des virus qui attaquent normalement les oiseaux et rarement les porcs, mais elle peut franchir la barrière et infecter l’homme. Les oiseaux migrateurs sont généralement des incubateurs des virus H5 et H7 faiblement pa-thogènes, qu’une mutation rend ensuite haute-ment pathogène. Par la suite, ces mêmes oi-seaux propagent désormais directement le vi-rus hautement pathogène. Quelles sont les conséquences sur la santé de l’homme ? Quand le virus passe de la volaille à l’homme, provoque chez ce dernier une pathologie très grave. Il peut entraîner une transformation ap-pelée<mutation> si les conditions suffisantes se présentent sous une forme hautement infec-tieuse pour l’homme et qui se propage facile-ment d’un sujet à un autre. Comment l’homme est-il infecté ? C’est particulièrement au cours de l’abattage,

la Grippe Aviaire

du déplumage, du décecage et de la prépara-tion de la volaille avant sa cuisson. La volaille ou les œufs bien cuits ne sont pas des sources d’infection et il faut signaler l’hygiène préven-tive. Quels sont les symptômes de la Grippe Aviaire ? Une forte fièvre, la gorge irritée, des toux. Concernant les cas mortels, des troubles respi-ratoires dus à l’infection pulmonaire virale ont été notés. En cas de soupçon de contamination, on doit se faire consulter immédiatement par un profes-sionnel de santé, dans un hôpital le plus pro-che. Les médicaments disponibles pour le traitement sont : -l’osettamivir (nom de spécialité Tamiltu) ; -Zanamivir (nom de spécialité Relanza) Ils permettent de réduire la gravité et la durée de la grippe saisonnière. La vaccination ne pro-tège pas par contre cette grippe.

NAFISSA SOUMAORO 11LLB

Génies en Herbe 2006, notre équipe constituée de brillants élèves y a participé. Mais malheu-reusement cette même équipe n’a pas pu rap-porté la coupe comme leur aînée dont la capi-taine était Aïssata Touré de MTEA. Cette même année aussi les rênes avaient été confiées à une camarde Gakou Racky de la 11LLA et qui a bien voulu répondre à nos questions. Vous étiez au nombre de combien ? 8 personnes mais seules 4personnes ont joué parce qu’on croyait que c’était à tour de rôle mais ce n’était pas le cas. Où s’est passe le concours ? Au Centre Culturel Français. Sur quoi étaient basées ces épreuves ? Sur la culture générale mais au début c’était sur Senghor dans le cadre de la Francophonie et nous étions prêts à ça mais a la dernière mi-nute au moment d’écouter nous avons remar-que que nos questions étaient plus difficiles par rapport à celles des autres écoles. Les questions étaient-elles dures ?

C’était très difficile surtout la question comment appelle-on un coq castré et engraissé ?la ré-ponse était le chapon. Qu’est ce qui a provoqué votre défaite ? On s’attendait pas a des questions pareilles puis l’injustice régnait et c’était mal organisé. Que signifie l’expression génies en herbe? Les génies en herbe sont des élèves brillants potentiellement promus à un bel avenir. Combien y avait –il d’écoles représentées ? 4 écoles presentes: L B A D, ASKIA MOHA-MED, KODONSO et un autre dont j’ai oublié le nom Quelle école craigniez-vous ? Nous ne craignons nulle école. Quelle école a remporté le concours ? Normalement c’était nous mais ils ont donné la victoire au lycée ASKIA MOHAMED, par erreur des points décomptés. Le mot de la fin. Le jeu était très bien, bien qu’on ait perdu à cause de l’injustice, on s’est bien battu.

GENIES EN HERBE : Cette année, la coupe nous échappe de justesse

SMITH ANNA KOUMBA 11SBA

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Page 6 Année 4, n° 12 COIN POUR FILLES

Les filles, nous ne sommes pas dans les années 80 pour que nous laissions tomber notre foulard et qu’un prince charmant s’approche pour nous aider et nous draguer en même temps. Je sais que la plupart d’entre nous sommes amoureuses. Certaines ont la chance de sortir avec l’homme qu’elles désirent, pour d’autres c’est tout à fait le contraire. Je constate que nous les filles d’aujourd’hui avons peur de dire ‘Je t’aime’ à l’homme qu’on aime car s’il rejette cet amour c’est la honte et notre réputation est salie. Mais voici quelques stratégies pour vous en sortir tête haute. Tu lui ré-pondras : 1 Renversement de situation Moi non plus je ne veux pas de toi. As-tu pris ça au sé-rieux ? Rigole et surtout retiens tes larmes pour plus tard. Dis-lui bonne chance dans la vie et tu t’en vas. 2 Lui faire douter Crois-tu que j’étais vraiment amoureuse de toi ? Oh, c’est bon c’est pas grave, la vie est ainsi faite, mais tu ne sais pas ce que tu rates. 3 Blagues Tu me vois sortir avec toi? Tu n’es pas mon genre. As-tu cru que j’étais au sérieux ? Ex-cuse-moi, c’est pas le cas. 4 Pari As-tu fini de parler ? Nous avons parié sur toi. Celle qui arriverait à avoir ton amour au-rait gagné. Malheureusement j’ai perdu. 5 Test C’était un test pour savoir quel genre de mec tu es, pour

connaître tes points faibles et surtout savoir quel genre de fille tu aimes. La réaction après le carreau : 1 Quant tu le vois dans l’esca-lier le matin, tu le salues tout simplement et tu continues ton chemin, tu peux un peu bavar-der comme d’habitude avec lui. 2 Pendant la récréation, tu ne dois pas fuir les endroits où il traîne le plus souvent; tu dois rester calme comme avant le carreau et continuer à discuter avec lui mais cette fois avec les yeux moins doux. 3 Tu dois un peu l’éviter pour qu’il se dise :<Oh ça fait long temps que je l’ai pas vue alors il ira (s’il est séduit) te chercher ou va se rapprocher d’un en-droit où tu traînes d’habitude. 4 C’est en ce moment que tu peux un peu changer de look mais pas trop au point que tout le monde le remarque. Et rire le plus souvent possible quand vous causez et sois joyeuse et sympathique envers ses amis (es) surtout les meilleurs potes avec lesquels il cause sans gêne et à qui il se confie. 5 Ne te culpabilise pas, car ça arrive à la plupart des gens (garçons et filles) de prendre des carreaux ; ne te cache pas derrière la honte. Dis-toi que tu n’es pas la première à laquelle cela arrive et que tu ne seras pas la dernière et ne perds ja-mais espoir car tout est possi-ble.

mières rencontres! Vous avez plusieurs partenaires ou vous en avez eu plusieurs ces der-niers temps. Faites très atten-tion! Vous voulez avoir un en-fant : faites des tests de dépis-tage pour toutes les maladies. Vous voulez faire des ‘toto os’ ou des ‘piercings’ :Utilisez vos propres outils ou des nouveaux outils ou encore des outils dé-sinfectes.

Les CarreauxLes CarreauxLes CarreauxLes Carreaux : Comment y faire face: Comment y faire face: Comment y faire face: Comment y faire face

Vous êtes très concernées si vous commencez une relation avec un nouveau partenaire : soyez vigilantes dès les pre-

Parfums Des flacons à l’image des fra-grances qu’ils habitent : ultra-feminins Nous vous conseillons pour le bien-être de la peau à l’abri des émotions une sélection qui tend à prouver que l’or a une odeur : Eau jeune Eau de toilette vaporisateur Eau du soir Eau de parfum,sisley Paris Fragrance collection Charrier parfums Dior Addict Parfum de Christian Dior Farabé By J & K perfumes Cinema Yves st Laurent Pathouli Reminiscence Paris Ne vous en faites pas les gar-çons,nous ne vous avons pas oublié : Hugo boss For mens La gamme 212 For mens

SIDA ET MST

SMITH ANNA KOUMBA 11SBA

COULIBALY ALIMATA 11SBA

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Page 7 Santé

Définition: La carie dentaire est connue de tous. Rares sont ceux qui atteindront 50 ans sans carie. Cette maladie dentaire est cruelle et sournoise puisqu’elle évolue de l’émail périphérique vers la pulpe (centre) en détruisant les structures de la dent. Symptômes: La carie se loge dans les zones difficiles à nettoyer. Elle prend l’allure d’une tâche qui noircit l’email de la dent. Elle attaque le tissu de la couronne et forme un trou, si la carie atteint la pulpe, la personne ressentira de la douleur. Plus elle progresse, plus la dent de-vient sensible. Elle sera particulièrement sensible au froid, à la chaleur et aux sucres. Causes: La carie se forme à la suite de l’action combinée de trois facteurs: soit l’alimentation la constitution de la dent et la plaque dentaire, les aliments les plus cariogènes sont donc les confiseries collantes ou sucrées. Les aliments riches en amidon glucide complexes, pain, céréales, pâtes peuvent également être néfastes s’ils demeurent longtemps dans la bouche ou s’ils sont consommés fréquemment au cours de la journée Traitement et Prévention: La carie dentaire est d’abord nettoyée pour enlever toute trace de bactéries et obturée par un produit de restructuration, par exemple de l’amalgame. L’utilisation du fil dentaire est recommandée, particulièrement chez les adultes qui ont plus de chance de connaître une infection parodontale. Le fil dentaire permet de retirer les morceaux de nourritures logés entre les dents et difficilement accessibles avec la brosse. Bien entendu des visites régulières une fois par an, chez le dentiste aident à prévenir et à traiter les caries.

LA CARIE DENTAIRE

DJÉNÉBA DIAKITÉ MTEA

CUISINE

CHOUX A LA CREME ¼ l d’eau 3cuil à café de sucre en poudre 100g de beurre une pincée de sel 125g de farine 4 œufs Dans une casserole, verser de l’eau et ajouter le sucre, puis le beurre, le sel et porter à ébullition. Puis, hors du feu, laisser tomber petit à petit dans le liquide la farine en remuant toujours à la spatule. L’ensemble devient dur à travail-ler porter sur un feu doux en tournant toujours. On obtient alors une boule qui

devient luisante et qu’il faut tirer du feu avant qu’elle n’attache au fond de la casserole. Ajouter alors successivement un à un les œufs entiers en mélangeant avec la spatule, manier vigoureusement pour obtenir une belle pâte épaisse. Déposer cette pâte en petits tas de la grosseur d’une noix sur une tôle beurrée et porter au four chaud (mais pas trop) 20 minutes de cuisson donneront des boules bien dorées et vides. Après couper les choux en deux horizontale-ment, en recouvrir le dessous avec un peu de caramel blond, puis les remplir un par un de crème pâtissière.

DJÉNÉBA DIAKITÉ MTEA

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Page 8 Année 4, n° 12

JEUX

IRANIEN-RICANER-SOIGNER-

IDEALE-INTIME-MARNER-

MECENE_OUVERT-PORTER-

TETARD -ALV IN -LACET -

OVALE-SPORT-REUNI-CRUE-

GELE-IRIS-LAID-LESE-MINI-

NAIN-PURE-RENE6REVE-

TAIE-AME-MER-NEF-ROI-

SEN-SOC-TRI-TUE-UNE-CE-

CD-EN-FI-IL-IN-LI-MA-NE-OR-

VE

Charades I. Mon 1er est la 11ème lettre de l’alphabet. Mon 2ème est un rongeur. Mon 3ème est une boisson. Mon tout forme un sport de combat. Qui suis-je ? II Mon 1er est la 11ème lettre de l’alphabet.

Mon 2ème est un pronom possessif. Mon 3ème est indépendant d’un vélo. Mon 4ème est le signe de la négation. Et mon tout forme un pays.

Qui suis-je ? III Mon 1er est constitué d’oxygène de gaz carbonique et de l’azote.

Mon 2ème est la 17ème lettre de l’alphabet. Mon 3ème est un article défini. Et mon tout forme le nom d’un héros mythi-que.

Qui suis-je ?

Combien de réflexions de vous-même voyez-vous ? 2 J’ai un captif mort pourtant si je veux j’ap-pelle tous les gens du village. 3 Où seront enterrés les survivants d’un avion qui s’est écrasé entre HIROSHIMA et NAKA-ZAKI. 4 Un train électrique quitte BAMAKO pour DA-KAR à 5h du matin avec plus de 1000 passa-gers. Quelle sera la direction de la fumée? 5 Aujourd’hui, c’est la veille de mon anniver-saire et demain sera le lendemain de mon an-niversaire. Quel jour suis-je né? 6 Nous sommes nés de la même mère, le même jour du même mois de la même année et à la même heure. Pourtant nous ne sommes pas jumeaux. Pourquoi ? 7 C’est la sœur de ma tante mais c’est ma tante. Qui est-ce ?

1 Vous êtes dans une chambre, sans fenêtre et porte fermée, dont les quatre murs, le plancher et le plafond sont complètement recouverts de miroirs. À part vous-même, il n'y a rien d'autre dans la chambre.

Devinettes

DIALLO BAKAY 11SBA

MAÏGA MAHAMANE 11SBA

BADINI HABIBATOU S. 11SBA

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Page 9 Les Stars du mois Présente toi aux lecteurs de Kod’News ? Je m’appelle GAKOU RA-KY je suis élève en 11eme LLA Comment es-tu arrivée au lycée Kodonso ? Je suis arrivée ici car ma

sœur a fait la terminale ici et elle m’a dit que c’était un bon lycée. Que ressens-tu d’être star du mois ? Je suis surprise et fière parce que je ne me doutais pas qu’on allait me choisir donc je suis très contente. Tes impressions sur le lycée Kodon-so ? C’est un bon lycée. Les profs sont bien et on y travaille beaucoup et y a une en-tente entre les élèves. Que penses-tu de l’ambiance ?L’ambiance est peu posée. Que comptes-tu faire plus tard et pourquoi ? J’hésite entre Droit et Relation Interna-tionale mais j ‘ai encore une année pour choisir et donc je ne me presse pas. Ce que tu aimes et ce que tu n’aimes pas dans la vie ? J’aime lire m’amuser et être avec des amis (es) .Je déteste l’hypocrisie, la ja-lousie et la méchanceté . Quel est ton avis sur le journal du ly-cée (Kod’News) C’est un bon journal, il y a plein de rubri-ques et le lycée peut se faire connaître grâce au journal. 9 Le mot de la fin Je remercie, les membres de Kod’News, pour avoir porté leur choix sur moi et je félicite les filles et garçons du lycée pour leur excellence

Présente toi aux lecteurs de

Kod’ News. Je me nomme Tidjani Ami-

dou, j’ai 17 ans et demie et je

fais la LLTB

Comment es tu arrivé au

lycée kodonso ? En fait, j’ai suivi à la télévi-

sionMaxi Jeunes au Lycée Kodonso quand je

faisais la 9e année et je me suis renseigné sur

les conditions d’étude qu’offre le Lycée. Ça

m’a beaucoup plu et je suis venu ici après le

DEF.

Que ressens-tu d’être star du mois , en tant

que membre du journal ? Je ne m’y attendais pas du tout. C’est une

surprise vraiment agréable pour moi.

Tes impressions sur le lycée ? Je trouve que le lycée est très bien équipé et

offre les conditions d’étude les plus agréa-

bles.

Que penses-tu de l’ambiance du lycée ? L’ambiance est cool et les élèves sont vrai-

ment sympathiques les uns envers les autres.

Que comptes-tu faire plus tard et pourquoi

ce choix ? Si tout va bien je crois que l’année prochaine

je serai dans une université de Gestion de res-

sources humaines. J’ai fait ce choix parce que

je trouve qu’il y a trop de troubles dans les

Organisations ici ? il faut un peu d’ordre.

Ce que tu aimes et ce que tu n’aimes pas

dans la vie ? J’aime le foot ball et la musique et ce que je

n’aime pas c’est la médiocrité.

Quel est ton avis pour le journal du lycée ? Je trouve que c’est une initiative à maintenir

parce que non seulement ça permet aux élè-

ves de s’exprimer mais aussi c’est une ex-

périence pour les futurs journalistes.

Le mot de la fin ? Merci à tous les membres du journal. Bonne

chance à tous les bacheliers et surtout bon

courage. BADINI HABIBATOU 11SBA

SOUMAORO NAFISSA 11LLB

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Présente-toi aux lecteurs de Kod-new’s Je m’appelle Diarra Djénébou, je fais la MTEB et je suis née le 15 Mars 1989 Comment es-tu arrivée au Lycée KODONSO ? J’ai commencé mes études à Kalanso et comme le lycée Kodonso est une suite de Kalanso, j’ai continué directe-

ment mes études dans ce lycée. Que ressens-tu d’être Star du mois ? Je suis très contente d’être star du mois et les mots me manquent pour exprimer ma joie. On sait que tu es dans une classe où les 98% sont des garçons, comment fais-tu pour être pre-mière ? Dans une classe, l’important n’est pas le nombre de garçons ou de filles mais le travail et je dirai que le lycée a des élèves très sympathiques. Chacun doit savoir pourquoi il est ici et travailler dur, c’est ce dont je m’efforce à faire. On sait également que tu es une grande joueuse de Basket Ball, espères-tu devenir une profes-sionnelle un jour, parle-nous de ton dernier match ? J’espère être une professionnelle dans l’avenir. Mon dernier match s’est passé à Tombouctou, nous y étions pour une compétition regroupant : Gao, Mopti, Tombouctou et Bamako, mais malgré des matchs difficiles, Bamako l’a remporté. Tes impressions sur le Lycée KODONSO Le lycée Kodonso est un lycée exceptionnel où il y a de la discipline, le travail et le respect mais certains élèves oublient pourquoi ils sont ici. Que penses-tu de l’ambiance, des cours, des professeurs, des élèves du Lycée ? L’ambiance des cours est acceptable, les profes-seurs dispensent bien les cours et les élèves sont solidaires entre eux. Que comptes-tu faire plus tard et pourquoi ce choix ? Plus tard, j’aimerai être experte comptable parce que depuis toute petite c’était mon rêve. Ce que tu aimes, et ce que tu n’aimes pas dans la vie ? J’aime manger et faire du sport. Je déteste l’injustice. Quel est ton avis sur le journal du lycée (Kodnew’s) ? Je pense que le journal est un moyen qui permet d’informer et d’éduquer. Le mot de la fin. Bonne chance à tous les élèves de la Terminale pour le Bac et que l’on fasse 100%. Merci !

Présente-toi aux lecteurs de

Kodnew’s Je me nomme Kouma kalilou

je suis né à Bamako en Novem-

bre 1987. J’habite a Boul- city

et je fais la SHTB

Comment es-tu arrivé au Ly-

cée KODONSO ? Quand j’ai eu mon D E F, mon

désir a été de venir passer mon secondaire au

Lycée Kodonso avec l’appui de Monsieur Ben de

la direction.

Que ressens-tu d’être Star du mois ? J’en suis très content et aussi très fier parce que

les autres élèves aussi peuvent m’envier alors il y

aura une concurrence entre nous.

Tes impressions sur le Lycée KODONSO Le lycée Kodonso est un espace d’éducation très

évolué par rapport aux autres Lycées parce qu’il

y a de la discipline le travail aussi.

Que penses-tu de l’ambiance, des cours, des

professeurs, des élèves du Lycée ? L’ambiance est très cordiale, les cours sont régu-

liers et aussi il y a de la tolérance entre les élèves

et les professeurs ; Les professeurs sont réguliers

et expliquent bien les cours.

Que comptes-tu faire plus tard et pourquoi ce

choix ? Après le bac, je veux faire une étude de droit

pour devenir un grand avocat dans le but de ser-

vir mon pays.

Ce que tu aimes, et ce que tu n’aimes pas dans

la vie ? J’aime le foot et le cinéma. Je n’aime pas les fai-

néants.

Quel est ton avis sur le journal du lycée

(Kodnew’s) ? Kod’ New’s est une bonne initiative car ça nous

informe beaucoup sur l’actualité interne et ex-

terne et cela permet de former les élèves du lycée

au journalisme.

Le mot de la fin. Je souhaite une bonne chance à tous les élèves de

la Terminale du lycée et leur conseille de redou-

bler d’effort pour faire un bon pourcentage.

Les Stars du mois

CAMARA MARIAM MTEA ALIMATA COULIBALY 11SBA

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Page 11 Année 4, n° 12 STAR PARADE Steven Seagal est né le 10 avril 1952 à Lansing (Michigan) et éle-vé avec ses trois soeurs. A 7 ans, il commence à s’intéresser de près aux arts martiaux, et entre dans une école d’aïkido de Gar-den Grove. Lorsqu’il atteint l’âge de 19 ans, il part étudier au Japon auprès des maîtres zen, le boudd-

histe et d’aïkido (bien évidemment). Il épouse Miyako Futjitani, la fille d’un grand maître de cet art martial, en 1975, et décide de s’installer. Hé-ritant du dojo de son beau-père, Steven adopte le nom de Shigemichi Take, ce qui signifie " chemin vers la prospérité ". Il retourne aux Etats-Unis en 1982, et ouvre ses propres écoles, les Ten Shin Dojo, à Los Ange-les (Californie) et Taos (Nouveau Mexique). Parmi ses élèves, on trouve Michael Ovitz, Ja-mes Colburn et Sean Connery, qui encouragent ses aspirations d’acteurs. Comme beaucoup d’autres, Seagal est devenu une star de cinéma plus ou moins par accident. En 1987, Michael Ovitz - que l’on dit alors l’homme le plus influent d’Hollywood - convainc Terry Semel, le prési-dent de la Warner Bros, d’assister à une dé-monstration d’arts martiaux. Le résultat de cet entretien est très concluant, et Seagal fait son premier film, Nico d’Andrew Davis (1988) qui lui fait accéder à la postérité. Les suivants rempor-tent plus de succès encore, comme Out for jus-tice de John Flynn (1991) et Piège en haute mer d’Andrew Davis (1992). Trois en plus tard, lorsque sort Piège à grande vitesse de Geoff Murphy, les critiques décrivent le film comme un Die Hard dont l’action se déroule sur un train, ce qui n’altère en rien son succès. En définitive, Steven Seagal a réussi à trouver sa place dans le genre action/aïkido sans pour autant passer pour le nouveau gros bras de service avec rien dans la tête. Ce qui est déjà bien, si on regarde les vains efforts déployés par certains autres.

Michael Schumacher est né près de Cologne (Allemagne) dans le petit vil-lage d' Hürth-Hermuhleim. Il se découvre très tôt un véritable don pour le karting et la course automobile. Facile vous me direz puisque ses pa-rents gèrent une piste de karting! Pourtant, son premier rêve est de de-venir footballeur, et s'il est doué pour la course, ce n'est pas inné chez lui, et son don actuel provient d'une vraie et intense rigueur dans le travail et à l'entraînement. Cela étant, il débute le kart plutôt par jeu à 4 ans, et est déjà champion de son club à l'âge de 6 ans A partir de là, il se laisse entraîner par le sport automo-bile, laissant de côté (mais sans l'abandonner !) le foot, et va voyager dans toute l'Allemagne pour montrer son ta-lent de jeune pilote. Champion d'Allemagne junior de karting à 15 ans, ses résultats en épreuves sénior et européenne sont tout aussi concluants. Sa réussite en kart ne passant pas inaperçue, il com-mence à toucher en 1988 aux formules Konig et Ford 1600, puis, remarqué par Willie Weber, devient pilote professionnel en courant en formule 3 pour l'écurie WTS Motorsport avec laquelle il signe pour 2 ans (1989 - 1990). En 1991, il devient pilote junior Mercedes à plein temps, et espère entrer rapidement dans le monde de la F1! Aidé par la marque, ses désirs se réalisent : il débute dans l'écurie Jordan, où il fait sensation dès le début. Repéré par Flavio Briatore, il devient ensuite pilote Be-netton, et signe jusqu'en 1995: 3 ème du championnat en 1992, 4 ème en 1993, c'est en 1994, année très difficile pour la F1 ( mort de Senna, grâve accident de Karl Wen-dlinger...), que Schumi est sacré champion du monde pour la première fois, juste devant l'anglais Damon Hill; il a alors 25 ans. Il remet ça en 1995, et offre dans le même temps à l'écu-rie Benetton son premier et unique titre de champion du monde des constructeurs! Mais la facilité ne lui convient pas, il a besoin de nou-veaux challenges: la même année, peu après la saison et sa victoire, il quitte Benetton pour Ferrari. Notons que 1995 est aussi l'année de son mariage avec Corinna, avec qui il aura deux enfants. Bonne année me direz vous, 1995 est résolument l'année des grandes dé-cisions, où l'avenir de Schumacher se joue et se scelle. Pour le meilleur, comme nous allons le voir! Malgré une voiture Ferrari encore peu compétitive, il est 3 ème du championnat en 1996. Puis, après un titre de constructeur en 1999, et un terrible accident à Silverstone, commence pour lui et pour la Scu-deria Ferrari, managée par celui qui est devenu petit à petit son grand ami, Jean Todt, ce que l'on peut appeler l'heure de gloire, l'ère de l'hégémonie : 2000, 2001, 2002, 2003, 2004 voient la consécration de l'allemand qui vou-lait être footballeur et du désormais mythique petit cheval cabré ! Michael offre à Jean, ainsi qu'à lui même, cinq doubles titres consécutifs de champion du monde des pilotes et des constructeurs!

DIAWARA DJIBRIL MTEB

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Page 12 PORTRAIT D’UN PROF

1 Parlez nous un peu de Vous (en tant que prof et en dehors du lycée) ? Je suis madame Sidibé Mariam Traoré. Je suis professeur d’économie. En dehors du lycée, je consacre la grande partie de mon temps à ma famille particuliè-rement à ma fille et la lecture. 2 Vous êtes mariée et mère d’une petite fille, pouvez-vous nous dire comment vo-tre mari et vous vous êtes rencontrés, comment est arrivé le mariage et que fait-il dans la vie ? J’ai rencontré mon mari à l’université. Le ma-riage est arrivé plusieurs années plus tard après beaucoup de perturbations. Mon mari est médecin généraliste. 3 Que ressentez-vous d’être élue profes-seur du mois ? Beaucoup de joie et surtout de la reconnais-sance envers les élèves pour m’avoir accor-dé tant de sympathie. 4 Pourquoi avez-vous choisi d’enseigner l’économie ? Et qu’est-ce-que l’écono-mie ? A l’université, j’ai fait l’économie générale et j’ai eu une formation pédagogique me per-mettant d’enseigner la matière. 5 Comment êtes-vous arrivée au lycée Ko-donso et en quelle année ? Quels change-ments avez-vous remarqués de votre arri-vée à nos jours ? Je suis arrivée au lycée kodonso en octobre 1998 à l’ouverture du lycée. J’ai soumis mon dossier de candidature à la direction qui après analyse m’a recrutée. Depuis1998, il y a eu beaucoup de changements au lycée. Ces changements sont de plusieurs ordres : -les moyens de travail (nous n’avions pas d’ordinateurs) -les conditions de travail (salle de classes restreintes, manque d’eau fraîche, mauvais fonctionnement de la cantine etc. -les relations humaines au travail ont beau-coup évolué. Il y a moins de pressions et de contraintes. 6 Les hommes professeurs sont majoritai-res au sein de l’établissement, quelle est votre pensée sur ce sujet ?

Difficile de me prononcer sur cette question. Peut être qu’il y a moins de candidature féminine ??? 7 Pouvez-vous nous parler des rap-ports existants entre professeurs ? Ils sont les meilleurs. Entre nous il y a la solidarité et la compréhension.

Beaucoup d’entre nous sont des amis. 8 Que pensez-vous de Kod’News ? Que conseillez-vous à ses membres ? C’est un bon moyen d’expression pour toute l’é-cole. Je voudrais conseiller à ses membres d’as-socier plus les professeurs surtout concernant leurs domaines d’étude et d’éviter les thèmes ayant peu d’importance éducative. 9 En tant que professeur d’économie êtes-vous pour ceux qui disent que la population est un facteur de développement et pour-quoi ? Oui. Mais cela dépend du contexte où on place cette idée. 10 Pouvez-vous, nous donner une définition de l’Economie? Il n’est pas aisé de donner une définition com-plète. Actuellement le mot a deux sens : -dans un premier temps, il désigne un ensemble d’acti-vités portant traditionnelle-ment sur la production, la consommation et l’échange -dans un second temps, la science qui étudie ces acti-vités. Mais à l’origine le mot vient de deux mots grecs : oikos (maison) et nomos (réglé) Donc il désigne les normes d’action dans la ges-tion du patrimoine privé et celui de la cité. 10 Votre mot de la fin, Mme Sidibé . Je remercie les élèves pour cette sympathie qu’ils me témoignent. Je leur dis que c’est réci-proque, mes collègues, la direction, tous ceux qui travaillent au kodonso pour cette ambiance favo-rable qui règne autour de moi. KODONSO C’EST VRAIMENT CLASS!!!

CAMARA MARIAMA MTEA

Solutions des JEUX

Charades: I : karaté; II: Cameroun; III : Hercule Devinettes: 1 : Aucune, car il n'y a aucune source de lumière ... -2 : tambour -3 : nulle part, ce sont des sur-vivants -4:nulle part, parce que c’est un train électrique-5: un 29 février -6 : Nous sommes des triplés ... -7: ma mère

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Page 13 Année 4, n° 12 MUSIQUEMUSIQUEMUSIQUEMUSIQUE La carrière des Pussycat Dolls dé-bute à Hollywood, au Viper Room, le club de Johnny Depp, mais c'est à Las Vegas que la carrière des Pussycat Dolls s'envole, grâce au show qu'elles donnent au Caesar Palace.

La participation de « guests stars » telles Gwen Stefani , Paris Hilton, Christina Aguilera et autres contribuera à la notoriété de la troupe. La troupe des Pussycat Dolls est née en 1993 dans le ga-rage de Christina Applegate, la célèbre blonde de « Mariés, deux enfants ». En 2005, les filles de Pussycat Dolls, Nicole Scherzinger, Jessica Sutta, Carmit Bachar, Ashley Roberts, Kimberly Wyatts et Melody Thornton signent leur premier contrat avec une maison de disque. PAROLES DE CHANSON

TITRE:: Stickwitu

À l'âge tendre de vingt-deux, au ta-lent lyrique et musical que les posses Ne-Yo sont lointains au delà de ses années. Soutenu dans une famille des musiciens d'Arkansas, Shaffer C. Smith a.k.a. Ne-Yo a été élevé par un parent simple à la maison par sa mère. Dans les espoirs d'une meilleure occasion, la mère Ne-Yo's a replacé la famille à Las Vegas Ne-vada; où Ne-Yo découvrirait sa passion. Je veux atteindre l'âme des personnes avec mon lyrisme à travers quelque Dieu de navire choisisse." Ne-Yo est honoré et représente la marque de confi-ture de Def, qui produit certains du meilleurs R&b et artistes d'hanche-houblon dans le monde.

PAROLES DE CHANSON

TITRE: So Sick

Mmmmm mmm yeah Dou dou do do do do do-do Ohh Yeah Gotta change my answering machine Now that I'm alone Cause right now it says that we Can't come to the phone And I know it makes no sense Cause you walked out the door But it's the only way I hear your voice, anymore (It's ridiculous) It's been months And for some reason I just (Can't get over us) And I'm stronger than this (Enough is enough) No more walkin' round With my head down I'm so over bein' blue Cryin' over you And I'm so sick of love songs So tired of tears So done with wishing you were still here I Said I'm so sick of love songs, So sad and slow So why can't I turn off the radio? Gotta fix that calender I have That's marked July 15th Because since theres no more you There's no more anniversary I'm so fed up with my thoughts of you And your memory And how every song reminds me Of what used to be That's the reason I'm so sick of love songs So tired of tears So done with wishing you were still here Said I'm so sick of love songs, So sad and slow So why cant I turn off the radio?

(Leave me alone) Leave me alone (Stupid love songs) Hey, dont make me think about her smile Or having my first child Let it go Turning off the radio Cuz I'm so sick of love songs (hey) So tired of tears (so tired of tears) So done with wishing she was still here (oooh) Said I'm so sick of love songs, So sad and slow So why can't I turn off the radio? (why can't I turn off the radio?) Said I'm so sick of love songs (so sick of love songs) So tired of tears (so tired of tears) So done with wishing she was still here (wishing) Said I'm so sick of love songs, (so sick of love songs) So sad and slow (hey) So why can't I turn off the radio? (why can't I turn off the radio?) And im so sick of love songs Said I'm so sick of love songs So tired of tears So done with wishing she was still here Said I'm so sick of love songs, So sad and slow So why can't I turn off the radio? (Why can't I turn off the radio?) Why cant i turn off the radio Mmmm mmm yeah Do do do do do do do-do Ohh Yeah

I don't want to go another day So I'm telling you exactly what is on my mind Seems like everybody is break-ing up Throwing their love away I know I got a good thing right here That's why I say (Hey) Nobody's going to love me better I'm going to stick with you Forever Nobody's going to take me higher I'm going to stick with you You know how to appreciate me I'm going to stick with you My baby Nobody ever made me feel this way I'm going to stick with you I don't want to go another So I'm telling you exactly what is on my mind See the way we ride In our privated lives Ain't nobody getting in between I want you to know that you're the only one for me And I say Nobody's going to love me better I'm going to stick with you Forever Nobody's going to take me higher I'm going to stick with you You know how to appreciate me I'm going to stick with you My baby Nobody ever made me feel this way I'm going to stick with you

And now Ain't nothing else I can need And now I'm singing 'cause you're so, so into me I got you We'll be making love endlessly I'm with you Baby, you're with me So don't you worry about People hanging around They ain't bringing us down I know you and you know me And that's all that counts So don't you worry about People hanging around They ain't bringing us down I know you and you know me And that's why I say Nobody's going to love me better I'm going to stick with you Forever Nobody's going to take me higher I'm going to stick with you You know how to appreciate me I'm going to stick with you My baby Nobody ever made me feel this way I'm going to stick with you Nobody's going to love me better I'm going to stick with you Forever Nobody's going to take me higher I'm going to stick with you You know how to appreciate me I'm going to stick with you My baby Nobody ever made me feel this way I'm going to stick with you

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Année 4, n° 12 Page 14

Quelle que soit la situation à laquelle tu es confronté(e), sais-tu t’en sortir ? Qu’il s’agisse d’un petit mensonge que tu aurais pu faire à tes parents, d’un incident qui se produit dans la rue ou avec un prof, de tes relations avec ton (ta) chéri(e), te montres-tu débrouillard(e) ou super neuneu ? Pour le savoir fais le test ! 1. Tu sors du collège. Tu te précipites dans les bras de ton (ta) chéri(e) et l’embrasses. Ton prof man-que de bol sort au même moment et te surprend… I Tu rougis, baisses les yeux et tentes de te cacher II Tu éclates de rire et fais un grand signe à l’intrus qui à son tour se sent gêné III Tu ne changes rien à ton attitude. Après tout, tu ne fais rien de mal ! 2. Tu croises ton (ta) chéri(e), qui depuis quelques jours n’est soi-disant jamais libre, au bras d’un mec (nana) canon… III Tu te domines, le (la) regardes brièvement pour qu’il (elle) s’en aperçoive mais ne dis rien. Il (elle) ne perd rien pour attendre ! I Ton visage se décompose. Tu bredouilles un vague bonjour et rentres chez toi tremblant(e) et dégoûté(e) d’avoir été ainsi humilié(e). II Tu déclenches un scandale et lui rappelles dans le détail les moments plutôt cool passés ensemble 3. Tu as dit à ta mère que tes cours duraient jusqu’à 18 heures et voilà qu’à 16 heures, elle te chope… II Tu ne supportes aucune réflexion. Au contraire, c’est toi qui les fais, en disant que tu as passé l’âge qu’on t’espionne III Tu prétextes la maladie soudaine d’un prof, ce qui explique sans difficulté cette exceptionnelle liberté de deux heures ! I Tu files chez toi sans dire un mot, prêt(e) à affronter l’orage 4. On t’a volé(e) ton portefeuille. Plus un centime pour prendre le bus qui te ramène chez toi ! I Accablé(e), tu rentres à pied sans rien dire, et acceptes sans broncher les reproches car tu es en retard II Tu fais du stop, c’est le meilleur moyen de t’en sortir et de rentrer à l’heure III Tu empruntes le peu d’argent qu’il te faut en expli-quant ta situation. Demain, tu rembourseras… 5. Tu croises sur le trottoir une bande de mecs (nanas) qui commence à tchatcher avec toi et à te coller… III Tu leur dis clairement de te lâcher II Tu appelles la police I Tu accélères le pas pour rentrer le plus vite possible chez toi 6. Tu arrives dans une teuf, et dès le début, on te renverse un verre de jus d’orange sur ton tee-shirt... I Tu danses toute la soirée une main devant la tache II Tu fais un scandale et accuses le fautif d’avoir fait ex-près !

III Tu cours à la salle de bain tenter de réparer les dé-gâts 7. Il (elle) habite en face de chez toi et il (elle) te plaît . Que fais-tu pour attirer son attention ? II Tu fais le guet en bas de chez lui (elle) et joues les détectives jusqu’à ce qu’il (elle) te demande ce que tu fais toujours derrière lui (elle) ! I Tu le (la) regardes avec insistance chaque fois que, par hasard, tu le (la) croises. III Tu observes par la fenêtre, ses horaires. Et puis, l’air de rien, tu les adoptes afin de le (la) rencontrer par le plus grand des hasards, bien sûr … 8. Tu as prêté le CD de ton groupe préféré à un(e) amie qui ne semble pas du tout décidé(e) à vous le rendre… III Tu t’arranges pour lui en prêter un autre sans intérêt. C’est la meilleure monnaie d’échange… I Tu n’oses pas lui réclamer, quitte à ne jamais revoir le truc II C’est à peine si tu ne le(la) traites pas de voleur(se) ! 9. Tu te retrouves à la porte de chez toi sans clé, et tes parents sont absents. I Tu t’assoies sur une marche et attends avec impa-tience tes parents. III Tu écris un mot pour dire que tu es allé(e) patienter chez le voisin ou une copine. II Tu essaies d’escalader le mur, de passer par une fe-nêtre.

ES-TU SUPER NEUNEU OU SUPER DEBROUILLARD(E) ?

I Tendance «soumission» Tu es incapable de te débrouiller dans la vie. Peu sûr(e) de toi, d’une timidité maladive, tu subis tout événement sans jamais avoir aucune prise sur lui. Un imprévu te laisse complètement anéanti(e). Et l’on aurait tendance à t’accabler de tous les maux du monde tant ton côté dé-fensif est très limité… II Tendance «top débrouille !» Magnifique ! Tu es ce qu’on appelle un(e) vraie débrouil-lard(e). Tu sais toujours quelle attitude adopter quand tu te retrouves dans une position délicate, une situation désagréable. Quoi d’étonnant ? Tu possèdes pour réus-sir des atouts majeurs : honnêteté, sincérité, mais avec un sens aigu de la psychologie. En résumé, tu es à la fois intelligent(e)… et rusé(e). Quel talent ! III Tendance «j’attaque donc je suis» Tu as tellement peur de ne pas dominer les choses et les êtres que tu réagis par l’agressivité. Une agressivité qui peut parfois se révéler catastrophique ! Tu as de vio-lentes réparties, et pour ne pas te laisser faire, tu atta-ques le(la) premièr(e). Mais tu n’en obtiens pas pour au-tant les résultats espérés. Car les prises d’assaut don-nent rarement un résultat positif. Un peu plus de pa-tience, de finesse aussi, et tu t’en sortiras beaucoup mieux !

KONÉ JANINE 11SBA

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Page 15 Année 4, n° 12 Que sont-ils devenus? 1-Qui êtes-vous et que faites-vous actuellement Je suis Souleymane Théra, étu-diant en génie électronique à l’uni-versité de Moncton au Canada. 2-Comment avez-vous choisi le lycée kodonso pour vos études secondaires ? Parce que c’était le plus proche de chez moi et aussi qui avait une

bonne réputation. 3-Vous êtes de quelle promotion (session bac) et quelle série J’étais de la promotion 2004 je crois, série SET 4-Pourquoi avez-vous choisi (pays de rési-dence) pour vos études supérieures ? Parce que le système Américain me parait plus intéressant que les autres. 5-Quelles raisons vous ont poussé à choisir cette filière et quelles opportunités offre-t-elle ? Pour l’amour de la science, raison pour laquelle j’étais en SET 6-Dites nous ce qui vous passionne dans ce que vous faites actuellement ? En fait les expériences et les découvertes sont à la base de tout. 7-Quels sont vos futurs projets ? Finir inchallah rentrer chez-moi et mettre en œuvre mes projets. 8-Avez-vous le temps pour vous détendre et en quoi faisant ? Bien sûr j’ai le temps mais très peu, alors je profite de ce petit temps pour me divertir. 9-Etes-vous resté en contact avec les élèves et profs du lycée. Oui je suis resté en contact avec certains élèves mais les profs non et ce n’était pas mon souhait. 10-Quelle est votre devise favorite ? Ma devise, est « si tu veux. Tu peux » très sim-ple .Quand on veut quelque chose on peut bien l’avoir et en travaillant bien aussi. 11-Qu-est-ce qui vous manque le plus, quelque chose que vous trouvez au sein du lycée ? C’est l’ambiance les profs les élèves et nos cause-ries. C’est ce qui me manque le plus. 12-Quels conseils donneriez-vous à vos cadets qui se trouvent au sein du lycée ? De ne jamais baisser les bras et de continuer .Je profite aussi pour encourager les futurs bacheliers et bachelières du lycée. Merci

SOUMAORO NAFISSA

1 Qui êtes-vous et que faites vous actuellement ? Salut , je m’appelle Baba Koumare, et actuellement je suis aux Usa pré-cisément dans l’Etat de Michigan, je suis entrain de prendre mes cours d’anglais pour pouvoir commencer mes cours académiques. 2 Comment avez-vous choisi le Lycée Kodonso pour vos études secondaires ? Ben, j’ai choisi le Lycée kodonso parce que c’est un lycée très très bien, en fait ma mère n’était pas d’accord sur l’idée d’aller au Lycée Kodonso, elle n’était pas du tout d’accord, mais j’ai pu ca-choter avec mon père ! 3 Vous êtes de quelle promotion (session Bac) et quelle série Avez-vous fait au Lycée ? je suis de la promotion 2005 ! et j'ai fait SBT précisément SBT A 4 Pourquoi avez-vous choisi… (pays de résidence) pour vos études supérieures ? J’ai choisi les U.S.A, primo, car côté diplôme ils sont les 1er, se-cundo j’aime trop l’anglais c'est pour cela que J'étais dans le club d’anglais du lycée, d’ailleurs ce qui m'a beaucoup aidé dans mon apprentissage de l’anglais. Tierco quand on est bilingue c’est très bien, surtout dans mon pays le Mali. 5 Quelles raisons vous ont poussé à choisir cette filière et quelles opportunités offre-t-elle ? Ma filliere ?je l’ai choisie parce que, depuis mon enfance je rêvais de pouvoir travailler dans le domaine des finances, c’est tout juste un rêve d’enfant en fait . 6 Dites nous ce qui vous passionne dans ce que vous faites actuellement ? Tout ! Sans exception ! 7 Quels sont vos futurs projets ? Mes futurs projets ?finir vite et être heureux dans ma vie, en plus j’ai plein de projets pour mon pays et pour mon ancienne school, si je commence je finirais pas ! (rire) 8 Avez-vous le temps de vous détendre et en faisant quoi ? Oui, en fait , dans mon université , il ya plein de lieux de divertis-sement, comme la piscine , fitness center, terrain de soccer, de basketball. Tout est gratuit quand tu es a l’université. Je me dé-tends en jouant au basket, la natation et le fitness car le soccer n’est pas trop mon genre ! (rire) 9 Etes-vous resté en contact avec le lycée ( les élèves et les professeurs) ? Le lycée ?? OUI ! les professeurs humm quelques-uns, les élèves oui of course car je veux être informe de tous les news de Bama-da et de mon lycée ! ( rire) 10 Quelle est votre devise favorite ? Il n'y a pas de problèmes qui n’a pas de solution !! 11 Qu’est ce qui vous manque le plus (quelque chose qui se trouve au sein du Lycée) ? Tout me manque: le lycée ! tout !les profs, mes autres ami(es), l’atmosphère, les matchs de basket , tout tout ! 12 Quels conseils donneriez-vous à vos cadets qui sont en-core au Lycée ? Ha la ! j’en ai a gogo ! tout ce que je peux dire c’est de s’accro-cher , et de ne jamais baisser les bras, tout est dur dans la vie, mais si on persévère on y arrivera un jour ! Je les invite aussi à s’intéresser à l’anglais, c’est pas une blague, chers frères et sœurs ne laissez jamais de côte une matière ! ni l’histoire ni la géo, ni l’espanol ni ..., surtout l’anglais ! Enfin je salue Mr et Mme Sanoh, les professeurs, les gardiens, tout le staff de Kodnews et tous les autres élèves tous mes amis... J’embrasse Mme Dakouo (prof d’espanol ) ha ouai j’oubliais, je laisse mes coordonnées à Mr Dierry si toute-fois un élève a l’intention de venir aux USA, je suis ouvert à tout genre de questions ! Et bonne chance a toutes et a tous !

ouu

Page 16 Année 4, n° 12

FAITS DIVERS

Le mot est usé comme un vieux sou qui a trop circulé…

Il peut désigner la simple irascibilité ou l’instinct de lutte avec son double versant de défense et

d’attaque quand l’environnement se présente comme menace ou obstacle.

Son usage couvre l’éventail du bien et du mal, du meurtre gratuit à la légitime défense de la pro-

géniture, du besoin de s’affirmer, de réussir et de se faire valoir comme du besoin de nuire, d’é-

craser ou de détruire.

Pour certains c’est uniquement la violence gratuite et irrationnelle. C’est aussi pour d’autres «

l’instinct de mort » de Freud. On peut y voir le goût de la destruction autant que la lutte pour la

survie.

Le mot couvre également la violence sur soi et la violence sur autrui ou sur les choses.

La violence physique a souvent le tort de faire oublier la violence et la cruauté verbale, l’agression

psychologique. Des paroles peuvent blesser, assassiner aussi bien, sinon mieux, que les poings et

les balles.

Agressivité…

AMINATA DEME 11SB

Dans un procès pour discrimination raciale, ce qui est courant aux Etats-Unis, un noir a obtenu gain de cause contre une personne qui était non équitable avec elle. Le plus comique? Accusé et plaignant sont tous les deux noirs! Un serveur d'un restaurant d'Applebee (près d'Atlanta) à la peau très foncée, a déclaré que son superviseur, noir mais de teint beaucoup plus clair, ne le traitait pas équitablement. La compagnie a dû payer à l'amiable 40.000 dollars américains pour arrêter les poursuites. Dwight Burch, l'ancien employé accusait son ma-nager de le traiter régulièrement de "bébé de gou-dron" ou de "singe noir" pendant les 3 mois qu'il a passés au restaurant. Il déclare aussi que son manager lui a conseillé de s'éclaircir la peau, et qu'il a été licencié quand il a menacé de tout dévoiler aux responsables de la société. Les cas de discrimination entre noirs, qu'on pourrait appeler discriminations "sur la teinte de couleurs" sont en augmentation aux Etats-Unis. Ils sont pas-sés de 413 en 1994 à 1382 en 2002. 20 de ces cas ont été soumis à des tribunaux, les autres se sont réglés à l'amiable. Ces cas représentent 3% des 85.000 plaintes re-çues tous les ans pour discrimination. Le restaurant a pris des mesures pour que ce type de discrimination ne se produise plus jamais en son sein, " Personne ne devrait recevoir de commentai-res humiliants sur sa couleur de peau à son bou-lot... Ca ne fait aucune différence que ces commen-taires soient faits par quelqu'un de votre race. En fait, c'est même pire".

Police anti-corruption a saisi le contenu de la garde-robe de l'ancien président zam-bien Frederick Chiluba renfermant une centaine de paires de chaussures, 300 chemises et quelques 150 costumes. Cette mesure a provoqué lundi la colère de l'intéressé, qui a dirigé la Zambie de 1993 à 2003. "Ils veulent me déculotter en public parce qu'ils ont compris que leur ven-detta visant à me détruire personnelle-ment était vouée à l'échec", a-t-il dit. La garde-robe de Chiluba a été confisquée dans l'entrepôt d'une société de services financiers soupçonnée par la police d'avoir bénéficié de financements publics illégaux pendant son mandat à la tête du pays. Lors d'une conférence de presse, Chiluba a accusé le gouvernement de son succes-seur, le président Levy Mwanawasa, de chercher à "jeter l'opprobe sur lui et de ter-nir son nom". "C'est triste de penser que la lutte contre la corruption se réduise à parler de costumes, de chemises et de crava-tes. Mes compatriotes, qui me connais-sent, savent que je suis un homme qui a toujours le goût de l'habillement", a-t-il ajouté pour se justifier

ouu

Page 17 Année 4, n° 12 Conseils VOTRE CORPS SE SOUVIENT VOTRE CORPS SE SOUVIENT VOTRE CORPS SE SOUVIENT VOTRE CORPS SE SOUVIENT

DE TOUT.DE TOUT.DE TOUT.DE TOUT.

1 .L’ALCOOL ET SES DAN-GERS : L’alcool au volant et alcoo-lisme ne sont pas les seuls dangers liés à l’alcool. Il existe aussi un autre dan-ger,beaucoup moins connu : la consommation régulière et excessive d’alcool. Au –delà de 2 verres d’alcool par jour pour les femmes et de 3 verres pour les hom-mes,l’alcool augmente sensi-blement les risques sanitai-res,notamment de cancers(foie,voies aérodigestives), de cirrhoses et de maladies cardiovasculaires. 2.LES SEUILS A NE PAS DEPASSER : .Pour les femmes : ne pas consommer plus de 2 verres d’alcool par jour. .Pour les hommes : ne pas consommer plus de 3 verres d’alcool par jour. .Pour les consommations oc-casionnelles : ne pas consommer plus de 4 verres d’alcool en une seule occa-sion(si vous devez prendre le volant,l’abstinence est préfé-rable). 3.UN VERRE D’ALCOOL C’EST QUOI ? 1 verre d’alcool est égal à un verre de : -vin (à 12°-10cl) -pastis (à 45°-2,5cl) -whisky (à 45°-2 ,5cl) -champagne (à 12°- 10cl) -apéritif (à 18°-7cl) -bière (à 5°- 25cl) 4.IL EST IMPERATIF DE NE PAS BOIRE SI :

.Vous prenez des médica-ments, .Vous êtes enceinte, .Vous êtes mineur, Vous conduisez un véhicule ou une machine dangereuse, .Vous avez une maladie chro-nique (épilepsie,pancréatite, hépatite C), .Vous êtes un ancien alcoolo-dépendant.

LES BENEFICES DE L’ARRET

DU TABAGISME.

-QU’EST-CE-QU’ON GA-GNE EN ARRETANT DE FU-MER ? L’arrêt du tabac, s’il existe bien des difficultés réserve souvent de bonnes surpri-ses. Quelque soit la quantité de tabac consommée et aussi longtemps qu’on ait fumé,il n’est jamais trop tard pour arrêter et les bénéfices de l’arrêt du tabac interviennent presque immédiatement : *20minutes après la dernière cigarette : La pression sanguine et les pulsations du coeur redevien-nent normales. *8heures après la dernière cigarette : La quantité de monoxyde de carbone dans le sang dimi-nue de moitié. L’oxygénation des cellules redevient nor-male. *24heures après la dernière cigarette : Le risque d’infarctus du myo-carde diminue déjà. Les pou-mons commencent à éliminer le mucus et les résidus de

fumée. Le corps ne contient plus de nicotine. *48heurs après la dernière cigarette : Le goût et l’odorat s’amélio-rent. Les terminaisons ner-veuses gustatives commen-cent à repousser. *72heure après la dernière cigarette : Respirer devient plus facile. Les bronches commencent à se relâcher et on se sent plus énergique. *2semaines à 3mois après la dernière cigarette : La toux et la fatigue dimi-nuent. On récupère du souf-fle. On marche plus facile-ment. *1 à 9mois après la dernière cigarette : Les cils bronchiques repous-sent , on est de moins en moins essoufflé. *1an après la dernière ciga-rette : Le risque d’infarctus du myo-carde diminue de moitié. *5ans après la dernière ciga-rette : Le risque de cancer du pou-mon diminue presque de moi-tié. *10 à 15ans après la dernière cigarette : L’espérance de vie redevient identique à celle des person-nes n’ayant jamais fumé. En plus de tout ça la cigarette provoque le durcissement du pénis conséquence un fu-meur s’excite difficilement. Utiliser des préservatifs (lors des rapport sexuels) pour les pénétrations,mais aussi pour les fellations.

BADINI HABIBATOU S. 11SBA

ouu

Page 18 Poémes A toi

Ma vie avant toi n’était qu’un désert sans bonheur, sans joie. Quand je t’ai aperçu, une porte s’est ouverte et le ciel est apparu. Il était chaud, mon cœur brillait d’un amour tant désiré je te dis du profond de mon âme. Mon amour je t’aime DJÉNÈBA DIAKITÉ MTEA

A MA MERE. Si elle était un pays, elle se-rait : un pays doux et chaleu-reux (y en a-t-il encore ???) Si elle était une couleur, elle serait : bleu, comme ses yeux, comme la profondeur de l'océan. Si elle était une devise, elle serait : "Tout vient à point à qui sait attendre" : ne jamais désespérer, tout peut arriver... Si elle était un don, elle serait : la providence, qui arrive au bon moment. Si elle était un des 5 sens, elle serait : le toucher, pour sa sensualité. Je t’aime maman. CAMARA MARIAMA MTEA

Le risque Rire c’est risquer de paraître fou Pleurer c’est risquer de para-ître malheureuse Vivre c’est risquer de mourir un jour Tenter c’est risquer d’échouer un jour Marcher c’est risquer de tom-ber Celui qui ne risque pas n’a rien n’aura rien et sera rien Moi j’ai pris le risque de t’aimer De m’approcher de ton coeur De faire de toi mon essentiel Celui qui passe avant tout Celui à qui j’ai confié mon cœur Toutes mes peines toutes mes haines A quoi bon de se lamenter Je me suis confié a toi Mais à force d’être trop lié Tu risqueras de me perdre Oui tu risqueras……………….. SOUMAORO NAFISSA

Mon cœur pleure de tristesse Tu es parti si loin de nous, si loin

de tout,

Mon cœur pleure parce que je ne

reverrai plus jamais ce sourire

étincellant d’une mère,

Parce que j’avais tant d’amour à

donner et à recevoir,

Parce que j’avais tant de chose à

dire et à comprendre, tant de

conseils à recevoir,

Mais tu es partie heureuse car tu

as reçu de l’amour toute ta vie, du

bonheur chaque jour, de la dou-

ceur et patience à chaque instant,

La satisfaction d’être mère en

ayant du soutien aux moments dif-

ficiles,

Dieu t’a donné le repos éternel

alors dors en paix et que la terre te

soit légère.

ALIMATA COULIBALY 11SBA

Maman : je t’aime infiniment Je ne dirai pas que je t’adore Je ne dirai pas que je t’appré-cie Je ne dirai pas que je t’aime très fort Je ne dirai pas que tu es la meilleure des mamans Je ne dirai pas que tu es la jolie de ma famille Je ne dirai pas que tu es in-comparable Je ne dirai pas non plus que tu es la plus gentille la plus belle la plus douce des mamans ou encore la plus riche ou la plus compréhensive Car tout ceci serait peu dire de toi ma terre arrête de tourner ma vie n’aura plus aucun sens. je t’aime comme je respire tu es toute mon âme Je t’aime ma reine d’Afrique

SAO

Amour caché Tu es le plus beau cadeau, Que la nature m’a offert, Ange la plus belle chose au monde, Je te promets qu’avec moi Tu vivras le grand amour Chaque jour qui se renou-velle Chaque heure qui se suc-cède Une façon évidente de te dire que Je t’aime et que Je ne t’oublierai jamais. MILEKO EVELYNE SBTA

S'il était une chanson, il serait : ma chanson préférée: griots de esperan-to de ALEX UBAGO. S'il était le titre d'un roman d'amour, il serait : et si c'était vrai... de Marc Lé-vy, une comédie romantique pleine d'émotions et de rebondissements. S'il était un personnage célèbre, il se-rait : Jean Racine car il sait exprimer ce qu'il ressent au plus profond de lui. S'il était un remède, il serait : le re-mède contre l'ennui : la connaissance. S'il était une vertu, il serait : l'humani-té, car il est un homme pourvu de sen-sibilité, de sympathie, c'est un amour !!!!! OUI si tu le lis sache que c’est pour toi. CAMARA MARIAMA MTEA

ouu

Page 19 Année 4, n° 12 Blagues Pêche interdite... Un couple passe ses vacances à pêcher dans une réserve du nord québécois. Le mari aime pêcher dès l'aurore. Sa femme préfère la lecture. Un matin, le mari revient au chalet après plusieurs heures de pêche et décide de faire une sieste. Bien que peu familière avec le lac, la femme décide de faire un tour de bateau. Elle navigue une courte distance, arrête le moteur, jette l'ancre et continue la lec-ture de son livre. Arrive le garde-pêche dans son hors-bord. Il s'approche de la dame et lui dit : "Bonjour Madame. Qu'est-ce que vous faites?" "Je lis un livre" lui répond-elle, (pensant " c'est pourtant évident"). "Vous êtes dans une zone de pêche inter-dite" lui dit-il. "Désolé monsieur mais je ne pêche pas, je lis". "Oui, mais vous avez tout l'équipement. Je dois vous conduire au poste et pro-duire une contravention". "Si vous faites ça, je devrai vous accuser d'agression sexuelle" Répondit la femme. "Mais je ne vous ai même pas touché" s'exclame le garde-pêche.. "C'est vrai, mais vous avez tout l'équipe-ment".

Psy : Fonctionnaires Deux fonctionnaires sont en train de soupirer au bureau. Ils vou-draient bien prendre un jour de congé, mais le directeur a suppri-mé tous les congés parce qu'il y a trop de travail. Un des deux se lève et annonce : "je connais un moyen d'avoir quelques jours de congé" L'autre : Comment ? Le premier regarde si le directeur est en vue - rien à l'horizon - Il monte sur son bureau, enlève quelques plaques du faux-plafond, grimpe à l'intérieur du plafond, met ses jambes sur un tuyau métallique et se laisse pen-dre la tête en bas au-dessus du bureau. Le Directeur arrive dans le bureau et demande : que se passe-t-il ici? "Je suis une lampe" dit l'homme

LE CURÉ ET LE RABBIN... Un curé dit à son ami rabbin : - J'ai un truc pour manger gratuit - Super ! dis-moi comment tu fais ? - Je vais au restaurant, assez tard, je commande entrée, plat de résistance, fromages, dessert, et ensuite je prends mon temps avec un café, un cognac et un bon cigare, et j'attends la ferme-ture. Comme je ne bouge pas, quand presque toutes les chaises sont déjà sur les tables, le garçon vient vers moi pour me demander s'il peut encaisser; alors je lui ré-ponds : mais j'ai déjà payé à votre collègue qui est parti ! Et le tour est joué ! le rabbin : Et mais t'es pas con pour un curé toi !!! on essaie de-main. Le lendemain les deux vont au restaurant et s'empiffrent comme c'est pas possible ! Le moment de la fermeture arrive, le garçon demande s'il peut en-caisser, le curé lui répond alors: - mais on a déjà payé l'addition à votre collègue qui est parti et le rabbin rajoute alors : - Et puis d'ailleurs j'aimerais bien qu'on nous rende la monnaie...

"Je crois que vous avez besoin de vous reposer, vous êtes surmené. Je vous ordonne de rentrer chez vous. Je ne veux plus vous voir avant au moins 2 jours !!!" dit le Directeur Là-dessus, le 2ème fonctionnaire se lève, prend son cartable et met son manteau. "Où allez-vous ?" dit le Directeur Je rentre à la maison, je ne peux pas travailler dans le noir

LE PAYSAN ET LES MOUCHES... Un parisien arrive chez des amis à la campagne... Son ami paysan le reçoit : - Cré vingt diou !! c'est-y pas l'Maurice ! - Si , si. Bonjour Serge..... Alors ... toujours autant de mouches dans la ferme? je me rappelle l'année dernière il y avait plein de mouches partout, c'était invivable! - Ah non! À c't'heure, j'ai trouvé un truc, maintenant j'utilise l'pépé !! - Ah bon? - Ben ouais, on enduit l'pépé de miel et zouuu toutes les mouches elles vont sur lui cré d'vin diou ! - Ah mais il doit gigoter dans tous les sens ... le pauvre !!? - Ah ben non ça,li est paraly-sé.

Chirurgiens Cinq chirurgiens prennent leur pause café. Le premier chirurgien lance la discussion : - Les comptables sont les meilleurs à opérer parce que quand tu les ou-vres, tout est numéroté à l'interieur. Le deuxieme chirurgien dit : - Non, le mieux ce sont les libraires. A l'intérieur, tout est classé par ordre alphabetique. Le troisième repond : - Essayez les électriciens les gars ! Tout leur intérieur est code en cou-leurs. Le quatrième intervient : - Moi je préfère les avocats. Ils sont sans coeur, sans couilles, sans co-lonne vertebrale et leur tete est inter-changeable avec les fesses. Le cinquieme chirurgien, qui écoutait tranquillement la conversation tout en prenant son double Jack Daniels (tous les chirurgiens font ca entre les operations) dit : - Moi, j'aime les ingenieurs... Eux, ils comprennent quand il vous reste des morceaux un peu partout à la fin...

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CITATIONS

Il faut travailler, sinon par goût, au moins par désespoir, puisque, tout bien vérifié, travailler est moins ennuyeux que s’amuser.

Charles BAUDELAIRE

Ne méprisez la sensibilité de personne. La sensibilité de chacun, c’est son génie.

Charles BAUDELAIRE

Ce que je veux savoir avant tout, ce n’est pas si vous avez échoué, mais si vous avez su accepter votre échec.

Abraham LINCOLN

Je me nomme Mariama Camara, je fais la MTEA. Pour moi être au lycée Kodonso est un rêve réalisé. Les professeurs font bien leur travail, ils sont à la dis-position de tous les élèves et cela même en dehors du lycée. Il suffit de les appeler et dire que tu n’as pas compris ou que tu ne sais pas faire un exo pour qu’ils t’expliquent à fond. Le programme a été bien achevé dans de très bonnes conditions ce qui a toujours été le cas ici au lycée Kodonso, je ne me souviens pas d’une année où les professeurs pour quelques raisons que se soient, ont été incapables de terminer le programme annuel. Ce qui fait que sans vanterie je peux affirmer que nous sommes parmi les meilleurs des meilleurs lycées du Mali. Les rapports entre les prof et élèves sont si irré-prochables, que parfois on a l’impression d’être en famille. Cette année, je ne me suis pas donnée à fond comme les années précédentes suite à des problè-mes personnels mais il est clair que tout commence par s’arranger. Je pense que je ferai de mon mieux pour atteindre mes objectifs entre autre avoir mon Bac et je souhaite qu’il en soit de même pour tous les élèves de la terminale. C’est un honneur inestimable de faire partie de l’é-quipe Kod’News. Car ça a été une expérience très enrichissante pour moi qui de nature timide s’est peu à peu ouverte aux autres et ceci grâce au contact que le journal m’imposait de par ma tache de journaliste. Je remercie beaucoup de personnes et je leur sou-haite un grand succès dans la vie.

CAMARA MARIAMA MTEACAMARA MARIAMA MTEACAMARA MARIAMA MTEACAMARA MARIAMA MTEA

Tout d’abord j’aimerais introduire par quelques conseils pour mes cadets de la 10ème et de la 11ème et surtout pour les terminalistes mes camarades. La première année du lycée coïncide généralement avec l’âge de puberté alors qu’à cet âge nous nous prenons comme étant le centre du monde. Le lycée a un accueil bénéfique sur deux plans :il y a deux types d’élèves ceux qui viennent pour travailler et ceux qui viennent pour se montrer. Si jamais vous venez pour vous montrer vous trouverez plus montreur que vous et cela conduira à la concurrence jusqu’à ce que l’un de vous prenne conscience que ce n’est pas facile. Mais pour ceux qui viennent pour travailler ils auront un bagage intellectuel qui les servira de part le monde et ils continueront toujours à briller même après le BAC dans les pays étrangers car il faut reconnaître que le lycée a de bons professeurs qui ont le souci constant pour la réussite de leurs élèves. Donc mes chers cadets, il faut travailler d’abord après le jeu suivra. Mettez-vous au travail dès la première année et ne négliger aucun devoir, apprenez vos leçons régulièrement pour faciliter la tache aux professeurs. N’accumuler jamais les leçons et ne séchez jamais les cours. « Ayons la déter-mination et la volonté, le reste s’en suivra » (cheik koutam). Alors ne dites jamais qu’il est trop tard car il n’est jamais trop tard pour réaliser des vœux. L’année passe si vite qu’on ne s’aperçoit de rien donc évoluons avec le temps pour ne pas être surpris. Je souhaite beaucoup de courage à mes ca-dets et surtout aux terminalistes afin de continuer à serrer la ceinture car c’est la dernière ligne droite, ce n’est pas le moment de relâcher. Je ne saurais conclure sans pourtant parler des beaux temps que j’ai pu passer au lycée pendant la récréation les causeries entre potes, les blagues en classe entre prof et élèves et les matchs de basket etc. A coeur vaillant, rien d’impossible.

DJIBRIL DIAWARA MTEB

LES MEMBRES DE KODNEWS VOUS PARLENT!LES MEMBRES DE KODNEWS VOUS PARLENT!LES MEMBRES DE KODNEWS VOUS PARLENT!LES MEMBRES DE KODNEWS VOUS PARLENT!