littérature algérienne

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Page 1: Littérature algérienne
Page 2: Littérature algérienne
Page 3: Littérature algérienne

• OBSCURITÉ

• SILENCE

• INSIGNIFIANCE

Page 4: Littérature algérienne
Page 5: Littérature algérienne

Marïssa Bey

Malika Mokedden

Djamila Debèche

Leïla, jeune fille d'Algérie

Fadhma Aït MansourAmrouche.

Page 6: Littérature algérienne

La littérature féminine algérienne

La littérature féminine est la production écrite par une femme ou c'est la littérature lue par une lectrice. Ce type de littérature traite normalement sur les relations sociales.

Dans le pays algérien l´obscurité, le silence et l´insignifiance caractérisent l'importance de la femme autant dans la vie privée que dans la vie publique. C'est pour ça qu'elles ne pouvaient pas mettre leur nom dans leurs oeuvres. Elles devaient utiliser une identité fausse. Pour cette raison, elles souhaitaient appartenir aux pays des hommes.

Cependant, les femmes algériennes pensaient que grâce à l'écriture, elles pouvaient trouver la liberté étant donné qu'elles expriment l'indignation de vivre dans un tel pays.

Quelques femmes qui ont obtenu cette liberté sont:

- Marïssa Bey. Dans la vie réelle, elle s'appelle Samia Benameur. C´est une Algérienne qui participe dans l'association culturelle "Paroles et écritures", dont le but est de montrer un espace d'expression culturelle. De plus, en 1996, elle a écrit une œuvre intitulée "Au commencement était la mer" où elle fait référence aux humiliations et aux oppressions des femmes algériennes.

- Djamila Debèche, une femme qui s'est affrontée avec son peuple pour protester contre la mauvaise éducation des filles et en faveur de la liberté des femmes.

- Malika Mokeddem, qui s'est affrontée contre l'environnement machiste et en 1985 elle a commencé à écrire. Elle a raconté sa vie, où elle exprimait la lutte pour obtenir la dignité et l'indépendance d'une personne depuis sa naissance.

- Fadhma Aït Mansour Amrouche dont la vie est un véritable roman fleuve. Suite à son enfance qui a été très dure, elle a étudié dans l'Orphelinat de Taddart- Oufella. Pendant les dix ans qu'elle a passé dans cet établissement, on lui ouvrira toutes les portes de la littérature française.

Cette femme a eu une vie pleine d'agitation, de troubles, une vie d'exil pendant la guerre d'Algérie et entre tout ça elle a écrit en 1968 son autobiographie "Histoire de ma vie". Dans ce livre elle raconte, selon elle, "une simple vie, où l'on retrouve les travaux et les jours, les naissances, les morts, le froid cruel, la faim, la misère, l'exil, la dureté du cœur, les mœurs brutales d'un pays rude où les malédictions, les meurtres, les vendettas étaient monnaie courante..."

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Estefanía Montero Fernández