lischen et fritzchen; conversation alsacienne en un acte
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XlFrEI^BÂJCH
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l'IllI.V
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C71
LlSCHEi\ ET FRITZCHE^CO^'VERSATIOy ALSACIENNE.
Pp?-çonniiops. Acteurs
LISCHEN Alsacienne, M**' de balais M^^" ZULMA BOUFFAR.
FRITZCHEN Alsacien, Domestique :.M. DÉSIRE.
TABLE THEMATIQUE
Paie,
Oiiverdire ^. i.
1^" 1_ COUPLETS \fpcfias!ter me forcer FRITZCHEN 6.
î^" 2 CHANSON P'trts balafs, p'ttts balais LISCHRN 12.
!M" 3 DDO ,/e Si//s alsacienne LISCHEN el PBITZCHEN 22.
\' 4 FABLE In <niir un rat de ville LI=CHF^ 37.
N" 5 riNAL -i Dno Qmi.'Frittchen LieCHEPt -{ FKITZCHEN 43
S'af^/Tssrr ]K)tir lu niian en »cène à M. Dc^monH^réi^à^eur-gf'nérul
du thf-ùtre des BonJ/es-Pariaieiis.
N(iT\. Tniile relie pièce doit être Jnuée avec un accent alsacien (res proiiuiué.
IISCHE!\ ETFRITZCBFJÏCONVERSATION ALSACIENNE
Paroles de Miisiqii>-(le
n. PALL BOISSELOT J. OFFE.^BACH,
Bédnitf^iionr If Piano ])ar\. Eoullard.
OVVERTinE.
Allegro moderato. ,^
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In rttrrffoiir de rouir, a fjauclii' la iixiisou i/'(i>i nuin-liiiurl d^- fin ., une
liililr en (irhiirs. à droit*' un petit Ixiiir de pierre.
SCENE I.
Kiiii /.(:llK^.
'// entre du fond il droite en plearnichar,'. . li iienl un fnilon tirer /e p."-
lit pdijuet ti <idiiinnneli-(Aeeenl (U - a ' >, n ;
Alleir.o .* • A AV c- f -g* g ^ ^--^g
f I \N(>. -i f
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F^ÏËIEmn z( HKN.
Me chasseï', îMe forcei* A lais_str IMon ser^vi.ce Dieu
lUfl ca pri _ ce Quoi voi _ ci/Ouel merci. Paie i
J k- ^ ^Fï^ -* *-
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^-pF^rT =^iT=r r mt f r -r
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ti !Mon oLfi.ce.niielle m _ jus _ ti _ ce.'Wcchasseiy^'le/orfer A lais
^^-^-—K-K^!s jy:;^à^ -• «
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r/^^-zfcz=^..tz-..z=^=^
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—
'^ =f=:
heii-ieax les va _ l«'ts,
~2
Bien heureux les va _ !efs!
W^ a—^ r ^
(Par/él Savez-vous le prétexte cju'il
prend pour me renvoyer' il prétend
que je ne parle pas bien franeais,, pas
bien français, moi! je vous *n fais juges.
Il dit que je fois mal les f ommissions.,vous
allez voir... ah! il faut vous due que mon
maître, il va se marier à une jeunesse...
L'autre jour il donnait un repas à sa
future et à son père.,, c'était le deu-
xième. ..pas le deuxième père. ..non., le
deuxième repas. Fritzchen! qu'il me dit...
Fritzehen au dernier dîner j'ai remarqué
que ma future adorait les bijoux,, elle
s'extasiait sur la pierre quej'avaisde-
vant moi.jje veux lui faire une sur-
prise... quand on sera a table, tu ap-
porteras la pierre et tu la mettras
devant elle... C'est bon! que J»'dis.
Certainement je m'étonnais <le ce
qu'il voulait de la ^/f/'z-e pour sa fu-
ture quand il a de si bon vin dans
sa cave , c'est mon seul regret de quit-
ter la maison, mais un maître com-
mande, il faut l'obéir. Je vas donc chez
le brasseur et quand le diner est servi.,
je place devant la demoiselle ein
schoën klem glas de bierre, tout le
monde paît d'un éclat de rire, ex-
cepte mon maître qui se Ic^e fu-
rieux, qui me fait une scène ter-
rible et m'appelle imbécile, et
s'oublie jusqu'à me frapper de-
vant tout le monde, mais 'pas
devant moi.
.éim^^^- -»t/
3
ser Uon stT- vi _ ce! Uieu quel ca _ pri _ ce.'Quoi voi _
ci.Oiiel merci Pair i - ci Mon offi_ce?Ouelle in _ jus _ ti _ ceîAJechii
- ser, 31e forcer A lais.sec 3]on servi -ce.'Dieu quel ca _ pn _ce!Ou'ai-je dune
fait' Oui, par quel tiait. Par quel for _ fait San.gui.Dai _ re Ah!
^zC ^5È
li - je du vieux bour_ ru, Ah!
-^ h J ^_^S^
# V \' V^ È
.quoi me chasser? Moi me chas _ ser, itJoi
1..^
{Parlé) Ah! mais v'Ià assez de pleur-
nicheries ... après tout c'est pas la
mort d'un homme qu' une place pti-
due.je saft où aller, moi! faut pas
croire que je suis venu au mondecomme un champig^non, j'ai un père
moi! et une petite soeur, et un père
est toujours heureux de- revoir l'en-
fant qu'il a porté dans son sein ma-ternel; je vas rediurner au pavs, aussi
bien, ça me tenail au cc«'ur, \oilà dix
ans que je ne l'ai vu, mon père, dix
ans aussi que je n'ai pas vu ma pe-
tite soeur, ça fait vin£;t ans! et autan!
qu'ils ont été de leur côté sans mevoir, ça fait quarante ans!! c'est trop!
je vas casser une croûte et m'embar-
quer sur la terre ferme jusqu'à lirus-
math...je me suis ménagé des provi.-
sions; avec une bouteille de superfm;
que je vais prendre au compte de mon
maîde 11 me doit bien ça,je ne lui
ai rien repondu ., mais je liens à meven;oer comme il m'a outrasse, on
tragé !.. postérieurement.
(Il entre tfifz le ninrchniirl Jf vin '.
7sCÈKE 11.— LISCHF.N (avec des pelitu balais).
(:ïia?«son.
Allc^ietto. - • *- • •
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i.im;hen.:èr
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P'fils ba _ lais, P'iits ba _ lais, J<' vends des ton f p'fits ba .
={fc ^ * .N. 2^=^ ^
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lais, P'tils ba - lais, P'iits ba _.lais. Ah! voy _ ez qu'ils n'sont pas
^^'^-i^-M'^^-.^-H^—f-f- I/ r.
'S^^laids ;PliJf ba _ lais, P'tils ba _ lais, Je vends des'tout p'tits ba _
i#f m-g m r —M-
S: ^=^tzL» jf—#—«
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-lais, P'tits ba - lais, P'iits ba _ lais, Ah! voy _ ez qu'ils n'sont pas
laids. Ba - !nis, balais,, balais, balais,^ ba _ lais! Ou'ils sont
. Q - K u CI M m m P— ¥-
_ quels, On' ils sont bienfaits! Ba _ lais, balais, balais, Lalais, ba _
> y f' r- p-H;r-f-f-f f r^E^lais Qu'ils sont co-quets. Qu'ils sont co -quels! \oulez-\ous voulez-
bonnes më_na_ fi;e_res.Queloutsoil bien propre chez vous? Bahu(s,^*ar.
marmaille ga _ mi- ne. Laissez le fou .el trop bru _ lai., Carmesba_
-#
—
* • ^
^; g r r ir f^J- Jii'r '' ''r ^if r
lais, sur leur é _ chi-ne,PunJssenl sans fai.re ï^randmal; Enfin sur
vos pai _ sibles. couches Voulez-vous dormir po-sé _ ment, Vous n'a-\ez
pour chas _ser les mouches,Ou'a faire ainsi tout en dor_manl.
vous'''par!ez, j3ar _ lez. en von_lez -vous? P'iits ba _ lais, P'ti»s ba -
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lais. Je vends des tout p'tifsba _ lais, P'tits ba _ lais, P'Iits bs
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_ lais. Ah! voy _ ez (ju'ils n'sontpas laids P'tits ba _ lais, P'tils ba -
j-l.tis, .It- vends des tout fj'tils ba^lam, P'IiN ha _ lais. P'Iits ba _ lais
ViinIcz-VDUs nit's (ou! julits ba lais Voulez-vou.s,voulez- vous, voulez-vous mes ba
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pose a m ache _ tei Ah! mon com.
S- Sr- S- Jt.
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eau ses (i|ui de là m'ont pu ^ renvoj
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ec. Il m'a sem.blé voir tant de cho.sesOu'on eut bien fait de ba_|av.P«g»* a m m lÊ
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1^ M ^' ^ei Voulez-vous,voulez - vdus, voulez-vous,voulez -vous, voulez-vous des ba _
lais. VouJfz-vous des D? lais,Vou-lez - vous des balais, des ba
lais, des balais, des baJlais, des pe.lits ba _ lais, des peJits bc
lais, des petits ba_ lais, des petits ba _ lais' P'fits ba - lais, P'tils ba
lais, Je vends des tout p'tits ba _ lais, P'tits ba _ fais, P'tils ba _
[> ^ T « fc r F .; lirTipa ^ ? ? r ^r-^Mlais, Ah! voy - ez qu'ils n'sont pas laids, Ba _ lais, balais, balais,balais,ba
-N-T HO ii> m f m »-jc=£
-lais, Qu'ils sont co_(}uets. Qu'ils sont bien ("ails Ba
x.«
bis, balaisjbalais,balais^ba iai-s Qu'ils sont coquets, Qu'ils sont bien faits! I.a la
la la la la la la pre.nez, pre.nez mes ba _ lais! La la
la la la la la la, AI_lons, aIJons, a _ che _ tez, al_lons, pre _
•? •? t*
I. /»s S l" 1/ ^^ V K :t:*7 f
nez mes p'tits ba _ lais, aLlons pre _ nez,mes p'iits ba_lais!
(Par/t^) C'est éçal, ça n'est pas en-
core iri que je me laltrapeiai. Dér-i-
dément les acheteurs ne sont pas gen-
tils, c'est qu'ils ne se contentent pas
de passer sans vous regarde i'. ils vien-
nent à vftus comme s'ils allaient faire
du conimeice et ils se gaussent tout
bonnement de votre mise et de votre
acceiil. (|Uoi! d'ailleurs mon accent!
est-ce que c'est ma TmiiIi'' je parle
comme on parle cliez nous.- poui- mamise, eh liien qu'est-ce qu'ils veujent
donc? Il n'est pas joli ce petit dés-
habille là? ça fait pitié. Bah!., j'ai
presque de quoi retourner jusqu'au
pays, moitié en patache et moitié à
pied ... avec quelques gros sous de
plus, vojons je vais faire comme les
hannetons, compter mes écus. Dans mapoche... quatre gros sous... et neufpe-
titsj dix-sept et dans mon portefeuille.,
voyons (ta lettre tombe) ma lettre,
ma pauvre lettre, oh! j'enrage t'y
de ne pws savoir lire... mais depuis
qu'un malin m'a joué un vilain tour
en me lisant un jour tout le contraiit»
de ce qu'on m'avait écrit, j'ose pus
me confier à personne, c'est que c'est
de mon |)on papa ça , et je veux pas
que l'on me trompe sur ce qu'il medit, le cher homme :,'epi-eniier garde
champêtre que je rencontre... (Elle
s' assied )\oyons mes pièces blanches.
SCÈl^E III
LLSCHEiN .1 FRITZdiFN.
FRiTZCHENf .so/7«/*< de fhex le mar~
vhaud de vin avec une bouteille qu'il
pose sur la table ainsi que son pa-
quet).
V'ià un petit vin qui ne me coûtera
pas plus que l'eau de notre réservoir,
mon maitre le tiouvera peut-être un
peu cher puisque j'ai pas marchandé,
mais à c'î' heure je serai loin.
2t
LISCHEN.
Vingt-deux francs . (Elle serre son
portefeuille ).
FBITZCHEN.
Hein!
LISCHEN.
Vingl-deux francs... dix-sept sous.
FBITZCHEN.
Tiens, une femme!»
LISCHEN.
Tiens! un homme!
FHITZCHEN.
Kt bigi*ement genlillej
I.ISCBEN.
Il n'est pas joli, joli... mais il a
quelque chose entre les deux jeux...
et puis il a un joli chapeau.
FBITZCHEN.
Si je lui parlais ?..
LISCHEN.
S' il pouvait me renseigner sur une
patache?
FBITZCHEN.
IMamzelle.
LISCHEN.' Monsieur.
FBITZCHEN.
IVJamzelle, savez-vous que \os joues
elles sont fraîches comme une pommed'apis.
LISCHEN {a part).
Oh! le malhonnête, il m'a ententdi
compter mon argent et il conlref.til
mon parler.
FBITZCHEN.
Ilein! le savez-vous?
LISCHEN.
Vous feriez bien mieux de me due
si la palache passe de coté - n , le
savez-vous ?
FBITZCHEN.
La patache! la patacbe!aK' >oye7vous
l'impertinente avec snii air narquois. ..elle
a saisi mon pelit aMciil,el elle me ca-
ricature, vous de\ri</ rouïïir! tenez!
22
LISCHCN.
I)t' tjiior' d»" ce qnf vous voiisiiii)-
qiH/ dr moi.
FBITZCHEN .
Oli (uii . dllcz toujours
LISCHEN.
(.'«•si Mins. (]|ui nu' faites ji;i s ocâ-
cc ; Iciic/., \tius èl^s un . malotru.
FBITZCHEN.
Kl vous une iM-foiinel le.
LISCHEN.
h.l vous un liulor.
FBITZCHEN.
VA vous une giedme.
LISCHEN.
Kt vous un.. |)as yrand rhose.
FBITZCHEN.
Se moijuer d'un pauvre garron!..
ijui n' dit lien à personne.
LISCHEN.
C esl xniis <:|ui attaquez on-e jeu-
nesse tranquille.
FBITZCHEN.
Mol'' et en quoi doue! s'il vous
plaît?
LISCHEN..
Kn imitant 1' aeeenl que j'ai, mau-
vais plaisant
FBITZCHEN.
One vous avez? que vous avez? je
'onnais cette farce; que vous prenez
pour gouailler le mien.
LISCHEN.
Comment? votre lan^ai^e serait...
FBITZCHEN.
Vot'jargon ne serait pa.s une plaisanterie?
LISCHEN.
Vous ser'ier?;
FBITZCHEN.
De r.Alsace... et vous?
LISCHEN.
iMoi !
^^ ^ ^ DUO.
Alleçro vivo
m.suis al _ sa _ cien_ne, .le suis al. sa _ cien, Ouand une al
1 H II'S . » • K , V N ^->-A ^ =^=i^
I- H I r.
y V g:
cien_ne Trou -ve un al _ s, _ cien , Lh maindaiisia sien _ ne, (Chan-
tant leur li _ en. Top! dit l'al-sa _ cien_ne Top! dit l'aLsa -
^ i'^
-^ r 1 F' r r IF
' '~l ' '[^
'^. r p
«/i/<?A _ he! da.s Le _ Aew ùf doch ei _ wp t reu _ df Jiir^h.
^^£^ r T'^;^ -j-
1
J-.^ F I r f
•I, : r r
cien . Juch _ ^e'/ </«» L,e - t/eu mt doch ei -ne treu-de Jui h.
^g -j^- ^ f
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_ Ap/ </«« />/»_ Af» !«/ </or'A p/« fiai - sir
iM >^_ , t^-K-
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Jurh _ Aé"/ dai
("•) v|,i .,1,1 I., M,. ^.,( ,.,,, I..I ^u .-O .M. |)l..isir'
u
1.1'. Lfn ist docfi ft ^ iif hreu-de Juch . he! das f^c- hen ist
/>p - lifn is( dovh ei.ne FiPu.de durh .ho' dus l.e.beii i.sl-*-
docli ein plai . sir. J«; suis al _ sa _ cieiune.
i7 m »V V V
E5E?N
I^ N K
doth ein p/ni _ .«;/•. Jo suis al - sa _
- tien; Ouand une a\ _ sa _ ci»'n _ ne Trouve un al . s
îsi-i im -fV- N h.FRIT.
cien; Je suis al _ sa _ eien _ ne. Je suis al _ sa
^koiis soiii_in«s deux vrais al- sa - cieiis
i:'n-n Nous s(tui_nifs <li;ux vrais al _ sa - fieus
Ali!
, . T >-*^^ x:ziail! ih! ah! afi! ah
^^-^i-mt ^Ah! ah! a'i! ah!
FKITZCHE.\ . Liscuev.
/ r—3
—
m/, iî fi
J^
La
zb^è h=^Qui comme jiei-e et
Ijcaucoiin^oui, beaucoup d'en - t'aiit>
-SJL
rRITZCHE> .
" ;: F TTT^ F M F Fi'^^^=t=1^{n> i- n- F T ^re Cliaii-taut du-iie voix fiè _ le Qui coiiiiiie iiere et
lit! JiK II _ h'-! dus Le ~ hpii ist dach eint
Ir! ,in(h _ h't^ ! dus Le - hcii ist dwh inne
v^tr^-n » I^fei^.^=£-*i—
r
t' l i' \yh)'riid(' Jncli- ht'! dus Le- hen ist dochetii ylai - sir Jneh-
f^7 c:. \
'4^^\}- iJ'iF
r ç mFi'i^iidi' Jnch - hi'! dus Le- beii ist docheiii idni - sir Jut/i
.
ht'l dds L' - />^'// isl dnrh eiiic thnidi^ Jiieh _ ha! das
hi'l dns L' - hi'ii ist doch <'inc f<h'iid(! Jnch - he! dus
if- • - ^^
4—£-
fj' _ hcnist ilnchi'in itlui -sir
^1^ âiili-il __ ire V.ttif
I ::^=fc:^m =F=«;z=^
£i" _ heu ist doeheinplai _ î/y
É r p pinos mon _ t;i _ i^iius, iNos vui _ Ions, for
W ^I * :St ^=t—
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fRITZCHEIS .
1 9 î< ^
hiis 0(1 f)a _ iiois Ou Fiirc ou (irt'c ou nii>< _ ,-e Siiisyf
ILise H ES.
fil' r r i r f r
(.'li.in - tfr, clian - tel-, .cliiiii - fer d'il- ne voix
fiè^ - rf, (^li;iii - tfr , ch;!!! - ter , cli.iii - t'c (Tn-iie voix
il _ ciCII L.i iiiiiilt (l.iiis -la sieii_iic Clia
Jurh^he! dus Lr^ bon isl dorh ei^iie h rcu-df Jucli ^ lie! da.t
; t^
, , j^— fv-,- N, ^ _—y-^ < ^ I > ^ * 1-^- ^ 1.
_ cien! Jtu/i-/i'^' dus Lc-benist docliei-Hf' Fi'cudo Jurh-hel dns
Le _ /jrn ist docfi ein pint _ sir Jiirh _ If! dus l.e-bpn tsi
-é- *;r [;_;:_ =^T \'
^I; -^ ' L'^^
Z(<'_ ben ifit doch e:/i ptai - sir Juch _ hel d<is Le^ben isl
doch ei - ne Freu-de Juch _ he! dan Le - ben ein p/at _ s/r das
'--îh;^£43i F=^ t^ ^ m-V k V -V—' /
doch ei _ ne Freu^dc Juch _ he! dns />i° - ^«"/z e//> i)/rtj _ sir das
^=^—
F
=
y ' V ^::: t ^i Hrr^U :
i .f _ ôcn ist (ioch ei _ ne h'rrii _ f/^ (/f/s Le _ Af/j
•. m
=^=P=/^^ _ /'f/j isi d<ich ei _ »^ hveu _ </<- f/^/s /^f _ b<
i.st
LISCHEN.
Àcfi iras ml (/as doch eiti Glùfi so
einfii f^andsniann zu f/iif/fn
FRITZCHEN.
Ja.,ja\
LISCHCN.
Was isl f/as eiii plaisir!
FRITZCHEN.
Jâ,ja!
LISCHEN.
Indnork ein fjrossres diir/c.ueitn
mail so etne [Miidsmainini findeC
FBITZCHEN.
Ja^ja'. ^i-ii tnir einSchmalz-
LISCHEN.
Nur nicht so hilxifj.
(Après la coinersation allemande.^
Fritzchen veuf' / e in 1/ tasser. — Elle
refuse).
FRITZCHEN.
Vous èles SI "entille.
LISCHEN.
Ali! je le sais Lkmî.
FRITZCHEN.
VA moi; je suis aussi un beau
arçon.
LISCHEN.
Ah! pour ça...
FRlTZCHEN'à ^m/7).
Elle en doute. { Il l embrasse).
LISCHEN.
iSon , non, non, assez!
^ ) LISCHEN.Ail! quel Ix.iilii iii- (|i- ri tioiiMr n'uWi un
<'oiii|i.<ti)<)l»'!
FRITZCHEN.Oui, oui!
LISCHEN.Ali! c'est un :;r.iMil |i|jisii!
FRITZCHEN.Ogi , DU) !
LISCHEN.Mrtis r'csl cnrur plus lnur ini\ qiuijd nu
li'c.uvc une riiuj|)s!rii.t(- i oiuuu- nioi.
FBITZCHEN.Oui.dui! t\i,u\\r/ mil] un l);iisiT.
LISCHEN.(..linx/ -Ton- un !>vn.
3^
rnïTZCHEN.
Kl <<in)nie ça \ons éltez eo se;
vice de ce co(e'
LISCHEN.
Du tout raonsieiii! je suis f<\n\-
merçanfe.
FRITZCHEN.
Ail!., comniei'çanfe' et de (juoi'
LISCHEN.
(jonimeiit? de quoi'.'vous voyez hien.
Je vends des palais.
FRITZCHEN.
Ah! comme vous dites mal., on ne
dit pas palais., on dit palais et vous
dites palais.
LISXHEN.
Eh bien! et vous?
FRITZCHEN.
Je dis palais.
LISCBEN.
Eh bien! c'est vous qui dites mal.
on entend palais ., moi je dis des pa-
lais, lassen sie nuc/i dodi <jehen\^^
FRITZCHEN.
A la bonne heure j'accepte vos
excuses maintenant vous dites com-
me moi!., et c'est y bon le petit com-
merce?
LISCHEN.
-Ilauvais comme tout, mon pauvre
pays, ils tiaitent mes^o/r/j'« de supei JIms.
FRITZCHEN.
Oh! les malhonnêtes! attendez, je
vas fair*' remonter 1' article moi;
donnez m'en un pour deux sous.
LISCHEN.
En v'iii deux, mais qu'est-ce que
vous en ferez?
FRITZCHEN,
J'ai oublié mon démêloir et ma
brosse à dents, ça les supplémenlera.
LISCHEN.
Il est bien iouslic mon p^V^ ^^
puis il a un joli chapeau. Ah! vous
êtes bien aimable.
('^l..ii~.s«/ ~ ni' j <ioiii- lirfnniiilii!
FHITICFENtl ><ilis lii^iieilKilt s;»'lltlllf ol
1.«j'-iiU-iai bien un bai<»T ,ui jinu-
mcnl fie ïn niiurhandf.
LISCHENOlil |t' ii'auiais j.^)s (il' fjUOi vnns
reiulrc
FBITZCHEN.
Oli' en chi'i fhunt h\en...' a part)
nieiii Golt , connu»; elle nif va la
payse... va ferait une jolu> petiif d f.i-
nae tout A' même ^.si on était sur aiio ..
mais (in nVst jamais sùi- qu»?... l.i
jptmesso est si fragilo ...-«H vous ï'i--
loiiniez au pay.'s'
LISCHEN.
Oui!
FBITZCHEN.
Kl) Lien jiiiisque nous allims li'Us
!l's deux en Alsace, nous allons tou-
jours faire un brin d^ route ensemble.
LISCQEN.
Mais je veux bien.
rBIJ-ZCBEN.
F.t nous allons paravnni nous don-
ner dis forces dans les jambes en
i'S fa;saîiî passer par nos tsioniacs...
avez »ous failli'
fcISCHEN.
O'h' <.iii.
! h//i' n'ass/ri/ .su/' /e banc et tirp
lie r.on sac du pain noir et du fro-•iinçf >
.
» S I T 2 C H E W ( à /a Ullilf).
l.li lien veTiez par ici.
LISCHEN.
cï< vous remercie, j'ai tout ce cju'il
me faut
.
FI)ITZCHE^f.
O'innienl!! du pain noir et du fro-
niaire' du fromage, c'est bon pour le
dessiit, mais reffaidez donc par ici,
'*i<tanl »n ra/ise) une cuisse de
'aiiard, du pâle. dii. boeuf piqué,d< J'oir,une tranche de veau, u-iie saucisse fumée, un morceaude ffàfeaii de riz, il faut tou-jours avoir une poire pour la
>-Mif, un petit doiet de vin, du fa-
oi' ui. alli>
LISCBEN.
((h: e'esf Iri'.s api'éli.ssan-l , mais
j(* nianiie ça clc bon «Kiir.
FHITZCHEN.
i\lais venez dnnc . venez.
LISCBEN.
Ail' dam! vous insister tant.
FBITZCHEN.
(Jiian<l j'ai du chagrin, il ) a une
cliose qui- me console toujotii's. c'est
que j'ai de l'appétit.
( Hl/e l'd sr infllir h tuhif. Quandellr- est prcs de la table on entend un
biitil de cor. Frilzcben bondit xur son
stéqe i.
LISCHEN."
Ou'est-ce ipii vous prend donc?
FBITZCHENC'est que mon maitre chasse dans
les em irons, et je croyais avoir en-
tendu le son du cor.
LISCHEN.
\h! vous voyez bien que "j'avais
raison de re.ster dans nion coin et
de me contenter... de mon pain et
de mon fromageFBITZCHEN.
C était une fausse alerte, je m'é-
tais trompé, venez, venez, mais ve-
nez donc.
LISCBEN.
INon,iion...et tenez votre peur me rap-
pelle une petite fable que je chantais
et qui m'a fait- gagner bien des sous
quand les balais étaient en baisse
FBITZCHEN.
Lue fable?
LISCHEN.
lie rat de ville et le rat des
champs
.
FBiTZCHEN.
Ça doit être gentil! eh bien je
vous donne deux sous pour la chan-
ter... de qui est elle?
LISCBEN.
C'est de La Fontaine.
FBITZCHEN.
La musique doit être fraîche,
puisqu'elle vient de la fontaine.
Ah! ah! ah! ah! la fable! la fable!
l<2/L
\ 4
FA B I.K
37
rAlIfcTioUt
ci^-2-:V (01 PL El
Un Jour un rat d<' vil _ le In _ vi
P^- i
1^ P - ^A:
"Tg r.
El II 'mal ei .ne rat de vil - le In _ vil'
2''-<:oi PLj;r
C'est ilu ci
Mif r des plais fri. aiifis, \ man.ger des plat-s fri_ands. Sur un
.ien deii filfitsf'ri _aiids,Zu apei-sen dfsp/tU<.d>sf)/at.ifrt.ands. Sur un
cli.iiii|is le suit, le suit, I.e rat des champs le suit. Le bruit
rit. . k K i
mFeld le suit, le nuil. Die ralz des Feld le suit. Man hort
^^^=^^=f^^=^^
V
^=stz^^^^*^^—' ; '^"^
na _ che-mir'des In.des Le cou _ vert se trouva mis Res_tanf.s de
ga-chp.mir' des Iiudes Dan rou - vert ne trouva mis ftesJantsde
cesse on se ha _ sar_de,Le ci_ta - din veut re.ve _ nir Et dit
:^^;^^ r s; h N h h=bn ir=h=J=^
nij\ on se fia _ sande. Le ciAa - dm veutre-ve _ nir Und saqt
ci _ ifot
T }p y y y- mis Dfis mil. taff _ es - scii fut fort han _ ne - le Mais lett mr
_ nir. Non dit l'and'je lepieiifl-- ma rou _ te l)<'_main
IS'eiii (fil l'aulr'je i-efjrenr/^ mil roii _ te . Mor^ gf
^==1 =^=^f i :±Êz
dniU's ont f/es re _ te/s. Or Je . mrnif/ slor - le lu
vous vien-diez clicz moi D« vrai j'n'ai que d'Ia chou
^1
^I
N,
-^ml'OMS vien_cfrez e/ie Ich hn _ be ei _ neWûisl mil
fè - le Lf-s fil va - 1er de ha _' vers. C'est du2' COL PI. K T. -S-^1-
I
." ;;' JF^/é' _ le l^es fil ver- schluc-ken de Ira _ vers. An der
croù _ te Au_lieu de vos morceaux de roi. Mais mes
1\(l
Lv.-±LÂil
OIS ne sont pas fausses Jf- r,.,in<ie sans tri. bu _ la_{ions Kt je me
fi _ che des bonnes sau- ces Oui donnent des in _ di - fi^es
'^ ^^
lions. Oui donnent des in _di_g"es_ (ions, Oui donnent des in_di_a:es
FKIT
(Jiii donnent des in-di-g'es
FBITZCHEN
Bravo.la chanteuse, hravol vous rhanfez
ommt' un petit rossisfnol, c'est vrai ca;
nais ce (jui est plus vrai enrore, c'est
jue vous êtes une petite rate a cro([uer
iiapnri,Oh! je suis dans le ravissement
de Tamour jusiiu''à Ih pointe des rhe-
iveux.... je vous ai pas assez payée, il
faut (}ue je vous embrasse encore.
LISCHEN.
Du ffliit, du tout, vous me paye?, trop
de cette monnaie là.
rBITZCHEN.
Rli hieu! voyons, rien «ju'un petit
baiser, lil veut l'emhriùiser)
LISCHEN > sa/sisaanf ses balais
Ah! vous savez «Ju'il me reste des
balais.
FRITZCHEN.
Bif^reîel'e est sage la payse,c''est une
vertu. C'est égal, ça ferait un' jolie
petite femme tout de même. Dites donc.
est-ce que vous avez un amoureux?
LISCHEN.
Xon, mon Dieu!
FRITZCHFN.
Non! eh bien! nous allons faire route
ensemble, je vous conduirai dans votre
famille, j'ai un projet et là je verrai à
voir ce que j'aurai à faire... lopez-y
t'y vous?
IiISCKEN.
<Jué dit, que fait, topez.
F'^ITZCHEW
(l'est ça, faisons nos paquets pour
nous mettre en route n'/ffr-nl /n,rf noqnefF
et votre village, C'est .^..
41
LISCHEN.
Hrusmath.
FBITZCHEW.
f'omment que vous dites ça-'
LISCHEN.
Rrusmath.
FRITZCHEN.
Tarteifle! c'est aussi !e mien.
LISCHEN.
\raiment .
FBITZCHEN.
Oui! et votre père, c'est qui'
LISCHEN.
Non, le vôtre?
FRITZCHEN.
Non, vous.'...
LISCHEN.
Mais je m'appelle Lischen Freulisrh.
FRITZCHEN.
Kt moi Frifzchen Freulisch.
LISCHEN.
Mon frère!
FRITZCHEN. (foiiihant asstSj
Ma soeur!....
LISCHEN.
Ah! comment c'est là la joie df
retrouver une petite soeur que tu u as
pas vue depuis dix ans.
FRITZCHEN.
Pardonne-moi, vois-tu, la joie,ré-
motion, la fable... et puis je m'attendais
si peu, sais- tu que tu es joliment
chan;^ée.
LISCHEN.
F/t toi donc!
FBITZCEEN.
Kt renforcie!
2l.SCHEW.
El ti.i duiic!
FnîTZCHEN.
El Hmhcllif
LISCHEN.
F.t foi flonr... oh.. c'esi-à-Hire....
FBITZCHEN.
OomniPnt? c'est « Hiri-...
LISCHEN.
[ as jias change, sous ce rajiporf là.
FBITZCHEN.
Mais fnrnm«»nt nof' pero t'a-t-il laissé
LISCHEN.
J'ai voulu g^gDpr un peu d'aif^ent
\i' ur l'.'ider. le pauvre cher homme, je
suis partie avec plusieurs petites fiiles;
plie» se plaisent à Paris les autres, mais
moi, je m'ennuyais là bas, loin de tous
ceux (|ue j'aime.
ruiTZCBKN /l'embrasstrntj
Bonne Lischen, bonne sœur... Das
is goutt... c'est y contrariant qu'elle soit....
au moment où.... allons! allons! je
deviens hète à présent.
LISCHEN. r« pnrf)
Mais <|u'^st-re qu'il a donc.^. sais-tu
bien que tu u'as pas Pair enchante du
tout de m'avoir retrouvée.
FRITZCHEN.
•le réfléchis., je pense que si on ne
savait pas.... ca pourrait comme ca....
au bout de quelque temps c'est
dt'îdiant ça,
liI<;CHEN.'//r^/i/'.-//(7/i/ /(' braS)
Main'fQaut. (jnfl joli %(i\aire nous
allons faire ensemble.
FBIT7CHEN.
Oui.ijuel joli Toyage, nous allons
faire. ..tous.. .les deux.... mais non, je ré-
fléchis, je ne peux pas partir avec tci.
LISCHEN.
Comnienî, tu me laisserais partir
seule?
raiTZCHEN.
Oui, il faut que je songe à gagner un
peu d'argent: j'ai deux bons bras, je
Teu^ èîre cocher. Nnt' père, il n'en
a pas pins ijui! faut, et puis ce sera
assez de toi d<ins la maison.
LISCHEN.
Mais.tu me proposais fout à Theurede...
FBITZCHEN.
Oui, mais j'ai réfléchi... ca ne se peut pas
LISCHEN
Cependant. ...voyons. ...viens donc.
FBIÎZCHEN.
O'est impossible, ça ne se peut pas...
ca ne se peut pas.
LISCHEN.
Kt pourquoi .'
FBITZCHEN.
Parce ([ue. ca ne se peut pas.Tu com-
prends, ma j)efite Lischen, la société a ses
lois, mon Dieu,cest comme ra, elle lésa....
vois-tu.on arrive dans le monde,on y trouve
une petite femme gentille à en mourir... et
puis pas du tout, parce que sans vous en
avoir prévenu. ..il se trouve. ..qu'elle a s¥s
lois. ..la société. ..Voilà pourquoi, ça ne se
peut pas...Oh! mais,c'est égal 'pi-or.nt^je
suis bien content . Oh! mais là bien con-
tent de l'avoir retrouvée, mais enfin, ça
ne se lieuî pas.
R" 5.45
LISCHF.%.
PIANO.
m \nâdnie.F==
^B^^M
^=r^r^ 4^* Ouni! Fiifz_chpn, sans i^i'-il Ven
m f
ik^̂ ^ •^
r f^ ?=;zcou _ tP- f u mi _ so _ les sur la rou _ te
r u\i ^̂^4^'''^ j' J'
J''
f-(^
lV1?js tu ne m'aimes donc pas?'.
m ,_K-4. J' i' rs^ss
,^Mdi, ne pas t'ai_meP, hé. Ias!_
SW^^
iH^ i^ 1^ :^-=jaF MHtt^Mais ijiiand on s'aiijie il me sem _ ble.
m^J-jK^g^tf:?: ^^Ë
g5^ 1 ^^^iijrrK ^ î-
F fe±i:-fr—tr;*
—
t- ^v=^ ^ £ i {=?=Il es( un moment su _ prè_mp, Lis _ chen, ou.... plus on
te T=f=-dii^ux: il - Hieul a _ dieu! De SUD co_tt 1 ha .
p ^ f^SG^E^^,:-C:^r^n;,ru^
a _ _ di»'ul De son co-te cha .
^ggu"^^g4 I . I
r=r=r ^ nr^ 'i I J-rj:
"i=?=f
frr r rrrr^-^Mais sur tous deux Dieu \eiJ _ le _ lal
tr^Ril:
^f^iE fi^-h- "/—-
»
—I
Al _ Ions, a - dieu. _ dieu!
feR/t.-
r ^
dieu!
M f^-l_l i_ t-
^=^ ^^ wP.:f
I1
ri.:.-^-^^-'^;/^ m Vil moHflalo.
_ dieu, a _ " dieu'
i.?5=
dieu ! Mais t-n roiLtf pour te
g^^j^^#^ ^^ f r '^=f=* é
l'argent te iiiau _ijue \hmX _ Kre?=m
DoD_nt' ta
ss t^J'J'l J J'0f=^Tn--—r-rr^
bouP- _ se en \oi _ c J'accej)_te, frè _ ie,mer_ci nier„
giUjéj ^M as|2Sîè Si;
txi. ' Doniianl son |iorfpf<°nillej
Schwartz en paf^-sant à Pa - ri^ <Jui me la fait rc _ met _
^^^^^^pf^-"" I=;-
r ^- r ^-riM- 1
tre Oup Yois-je! abîmais vrai _ ment. C'est e _ crit par do _ tre vieux
[4^^fy^'^ : 't t t T' \ 't F ir- ^^=P^^pp_rel Tu lis donc cou _ ram_ment? Quel honheur! lis vi _ te.
r̂œs*!-• -f u T
-r T f U f U
frère, Voyons., voyons,vi_te,l!_sons. Commençons.. commençoDs
.
•;f
T Y^ r 'r t
PnrTZCBENfliianJ) ÎVI.T chère Li^chen, je ffcris àpeinereieTe d une maladie qiii a failli me tuer j'ai
Andanfe.
.4 s
.oiprr- niiil fa'l-df ijiipjr'te iliseuii -m rPt i^iie Je carhe depuis [onglfmps!'i Pjr/eyl.'n 'e<Tet! '•i.niimi.mi
^-fe^a'^
îfey ^m^^^* ' É 'zrÉ:
îfc
ine de nies?neiirs arait été (rnmppe.je i piiieil!i<i linfartiinee pniirrarher U honte de la famille, elle
f f- rallait donuerle joiirà un petit innoreirt pre^^iren memctemps ijiie ma reinme.Gi-Hceàcellerirron'Ianre
f- tel à la ditrrétioii rt.i JiMve mederin am non? secondait, font leTillaf e me mil ne re de deux jumeaux.
Voila larérifé <jue j'ai cm le devoir.je n'en compte pas moinî^urton amtiur de fille, comme tu peux
cnmptersiirmon annoiirdepere;au lofis comme dans mon cœur.lu seras toujours iapetitesœurde Fritzclien?1^
Allegro. FRITZ
1) y ^-^ ^^^^^ ^>- X v=g=
en _ sem _ hle'- en _sem _ ble.^
^if^ r' '
^''
^'^
sem _ Me! en _ sem _ ble!
i**<t/'^ rr r
f f f f—y f f F PIF PË^
Ift*:
Et de quel _ le nou_veLle ar_deur, Nouspour_Pons ré _ pester fn
-^^r-' I r P r r i r^ r r i r ^ i^^
ton*! Et de quel- le nou_yel- le ar_deur. INous pour- rons ré- p' fer en
^^ P ^ ,—^. ^^ ^-^, gn mi m^^
{t' h : m\ r̂ ^Cresc
suis al - sa _ cipn_ne.m ^=i=^
Ouand une al _ sa
-'^^^^^:• ij^i ;- ; I j -1-r—
r
,h- suis al _ sa _ cien.
§^^^ S ^$^^*•—i»
Ib -^^-Har ^g^ i—-^4—
^
Lise. FRITZ.
^g^ t^,^^^ jiJ ^^j, I
; ; j'i f' tis I
-ciennp 1 rouve un al _ sa _ cien, La main dans la sienne, <;han
)*m m'if=^f=^-^^ -^—à-*—4:
t ^
\m ^ m1—
#
.rant leur li _ en 7"o|>! dit l'al_sa _ cien_ne. Top! dit l'ai
tl
nirh - hel iltts Le _ hf'ni%t doch ei^ne Frrii - dP Jurk.
rien -f'/'^à - he! dris Lp . b'-n ht dorh et\_ne Frcu ^ de Jmh
.
l-U
f] p• ^,i—hP p M F i
=^U—^-^JÇïi -k ^ '¥=^
- //p/ '/^s Lf _ 66^?î /s? n?or7( ein plai _ s//- ./?/eA _ he! da»
l'! ^ ^ >I J . J^^^ r r
I f^j^^
K' [J,FIlX-^
M^F ip p p i 7 r i ir ^.^^^^jg^f
Le^beii ùf doe/i ei ^»e Fi-eU-de Juch _ he.'das Le _ éc?? eit) plai
éxl^r- r IF ^''
r r ^
r r r i 'f^'
r i
p liLe^ben hf dorh ei ^ ne tYen.de Juch _ he! dan Le _ ben elnplai
1
daxsir (lus Le _ hf,, àt doch ei^iw Freii _ dt
3
:: Offenbach, Jacques
1503 ^Lischen et Pritzchen.
03215 Piano-vocal score. Prench.
Lischen et Fritzchen
lu»lC
PLEASE DO MOT REMOVE
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