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Bordeaux & Bordeaux Supérieur La Montagne - parution du 13 février 2018 Date : 13 FEV 18 Pays : France Périodicité : Quotidien OJD : 178584 Edition : Haute-Loire Page 1/1 Lin atelier pour reconnaître un vin, histoire de tester ses papilles Tout au long du week-end, les vi- siteurs ont pu tester leurs con- naissances et surtout leurs pa- pilles dans des ateliers dégustation à l'aveugle et décou- verte des cépages. Ces ateliers, animés par des cavistes, étaient ouverts à tous, néophytes, curieux, amateurs éclairés ou pas... Objectif : oublier étiquettes et préjugés sur tel ou tel vin et mieux cer- ner ses goûts. Le principe ? L'amateur goûte une bouteille témoin et à charge pour lui de retrouver parmi les trois autres bouteilles de vin à tester, le cépage. Exemple : reconnaître un Cro- zes Hermitage de la maison Paul Jaboulet d'un Château Rousset Cuvée Syrah-Viognier et Cuvée Majeure du Château Tur- caud en Bordeaux supérieur. « Évidemment, on a choisi de jouer avec les cépages, les ap- pellations, le caractère des vins pour induire en erreur. C'est bien aussi de le comparer et de le mettre en relief les vins », s'amuse Vincent Vidil de la Cave Molière. Et ça marche, la plupart des visiteurs qui se prêtent au jeu retrouvent le bon vin parmi les échantillons. « Le but est de permettre au consommateur de se concentrer sur ce qu'il y a de plus important dans le vin : son goût ! Ça permet de faire tom- ber tous les a priori, il n'est pas question de prix et d'étiquette », poursuit le caviste. Cet atelier, avant tout ludique, a séduit nombre d'amateurs tout au long du week-end. D'autant qu'on pouvait s'y ris- quer à plusieurs, histoire de croiser les regards sur son verre. Et pour les cavistes, c'est une belle manière d'orienter les visi- teurs sur des vins auxquels ils n'auraient peut-être pas pen- sé.

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Bordeaux & Bordeaux SupérieurLa Montagne - parution du 13 février 2018

Date : 13 FEV 18Pays : FrancePériodicité : QuotidienOJD : 178584Edition : Haute-Loire

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BORDEAUX 9306853500508Tous droits réservés à l'éditeur

Lin atelier pour reconnaître un vin, histoire de tester ses papilles

Tout au long du week-end, les vi-siteurs ont pu tester leurs con-naissances et surtout leurs pa-p i l les dans des a t e l i e r sdégustation à l'aveugle et décou-verte des cépages.

Ces ateliers, animés par descavistes, étaient ouverts à tous,néophytes, curieux, amateurséclairés ou pas... Objectif :oublier étiquettes et préjugéssur tel ou tel vin et mieux cer-ner ses goûts.

Le principe ? L'amateur goûteune bouteille témoin et à chargepour lui de retrouver parmi lestrois autres bouteilles de vin àtester, le cépage.

Exemple : reconnaître un Cro-zes Hermitage de la maisonPaul Jaboulet d'un ChâteauRousset Cuvée Syrah-Viognier etCuvée Majeure du Château Tur-caud en Bordeaux supérieur.

« Évidemment, on a choisi dejouer avec les cépages, les ap-

pellations, le caractère des vinspour induire en erreur. C'estbien aussi de le comparer et dele mettre en relief les vins »,s'amuse Vincent Vidil de la CaveMolière.

Et ça marche, la plupart desvisiteurs qui se prêtent au jeuretrouvent le bon vin parmi leséchantillons. « Le but est depermettre au consommateur dese concentrer sur ce qu'il y a deplus important dans le vin : songoût ! Ça permet de faire tom-ber tous les a priori, il n'est pasquestion de prix et d'étiquette »,poursuit le caviste.

Cet atelier, avant tout ludique,a séduit nombre d'amateurstout au long du week-end.D'autant qu'on pouvait s'y ris-quer à plusieurs, histoire decroiser les regards sur son verre.

Et pour les cavistes, c'est unebelle manière d'orienter les visi-teurs sur des vins auxquels ilsn'auraient peut-être pas pen-sé. •

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La Montagne - parution du 13 février 2018

Bordeaux & Bordeaux SupérieurBordeaux & Bordeaux SupérieurLa Montagne - parution du 13 février 2018

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Date : 13/02/2018Heure : 06:29:25Journaliste : Nathalie Courtial

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Le vin bio, la tendance qui se confirme

Le vin bio a le vent en poupe et petit à petit l’oiseau fait son nid au salon du vin de Vals. © photos nathaliecourtialOn boit moins de vin aujourd’hui qu’hier, en contrepartie de quoi le consommateur est devenu plus exigeantsur la qualité. Pour preuve, la place que le vin bio grignote d’année en année sur les allées du salon Vinivals.

Certes, les vignerons qui se sont lancés dans le bio ne sont pas encore légion, loin s'en faut, mais sur lacinquantaine de producteurs présents, une bonne poignée a sauté le pas.

Et pour leur donner raison, on croise des amateurs venus tout spécialement pour eux à l'exemple de Maud,une jeune Ponote. « Quand j'ai pris connaissance des traitements du raisin, cela m'a fait peur et je me suistourné vers des vins bio. En plus, ils sont aussi bons que les autres ! ».

Sur le stand du Domaine d'Archimbaud, on ne vous dira pas le contraire : voilà dix ans que cette famillede vignerons produit du vin bio d'appellation Saint-Saturnin, coteaux du Languedoc et Terrasses du Larzac.

Tous droits réservés à l'éditeur BORDEAUX 307825178

Date : 13/02/2018Heure : 06:29:25Journaliste : Nathalie Courtial

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Marie Cabanes, la fille, a repris le domaine, mais ce sont les parents, présents ce week-end, qui ont fait cechoix motivé par le souci écologique.

« On est en permanence dans les terres et on voit beaucoup de plantes, d'animaux disparaître et les solsse dégrader, explique Jean-Pierre Cabanes. Bien sûr, cela demande plus de travail notamment pour ledésherbage, et cela a un coût supplémentaire. Mais ça marche pas mal, on ne regrette pas : c'est un argumentde vente supplémentaire ».

Du côté des cavistes, les avis sont partagés, excepté celui de Claudine Beaudouin, de la cave de la Chèvrerie,pionnière convaincue depuis 25 ans par les productions biologique ou biodynamique, et les qualités d'un vinproduit le plus naturellement possible. « Les gens sont sensibles aux sulfites : quand il y en a moins, on amoins mal à la tête et on évite les allergies », explique-t-elle.

Une très grande partie de sa cave leur est consacrée : « les parfums des raisins se révèlent plus dans cesvins-là ».

« Le vin est moins traité qu'avant. Il faut bien être conscient que le vin bio est aussi un vin traité », nuanceVincent Vidil de la cave Molière. Bien sûr ce ne sont pas les mêmes traitements. Mais est-ce qu'il vaut mieuxtraiter huit fois dans l'année en bio ou quatre fois en conventionnel ? Nous, ce qui nous intéresse c'est commentles gens travaillent. Il y a trop de labels et le consommateur s'y perd ». Le bio représente entre 10 et 20 %du vin écoulé à la cave Molière. Mais concède-t-il, « un bon vin se fait avec de bons raisins, peut-être que levin bio peut avoir des qualités supérieures… Peut-être ».

La demandedes consommateurs est croissante« On ne s'inscrit dans aucune logique de chapelle », prévient un autre Vincent, Legrand de la cave Marcon,reste sur la réserve. « C'est une forme de révolution agricole qui se met en place - parmi d'autres ». Etd'ajouter : « Ce n'est parce que c'est bio que c'est bon. Le bio c'est d'abord le respect d'un cahier des charges.On peut avoir des bio bons et des bio mauvais si le vigneron ne maîtrise pas ce cahier des charges.

Sur certains types d'agriculture biologique, on arrive à des qualités de fruits qui vont donner des vins pluscomplexes, plus riches. Il y a une grosse confusion dans l'offre aujourd'hui entre vins bio et naturels : moi jeconseille d'abord à mes clients ce qui est bon ».

En tout cas, tous trois s'accordent sur la demande croissante du vin bio des consommateurs d'abord soucieuxd'écologie.

Tout au long du week-end, les visiteurs ont pu tester leurs connaissances et surtout leurs papilles dans desateliers dégustation à l'aveugle et découverte des cépages.

Ces ateliers, animés par des cavistes, étaient ouverts à tous, néophytes, curieux, amateurs éclairés ou pas…Objectif : oublier étiquettes et préjugés sur tel ou tel vin et mieux cerner ses goûts.

Le principe ? L'amateur goûte une bouteille témoin et à charge pour lui de retrouver parmi les trois autresbouteilles de vin à tester, le cépage.

Exemple : reconnaître un Crozes Hermitage de la maison Paul Jaboulet d'un Château Rousset Cuvée Syrah-Viognier et Cuvée Majeure du Château Turcaud en Bordeaux supérieur.

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Date : 13/02/2018Heure : 06:29:25Journaliste : Nathalie Courtial

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« Évidemment, on a choisi de jouer avec les cépages, les appellations, le caractère des vins pour induireen erreur. C'est bien aussi de le comparer et de le mettre en relief les vins », s'amuse Vincent Vidil de laCave Molière.

Et ça marche, la plupart des visiteurs qui se prêtent au jeu retrouvent le bon vin parmi les échantillons. « Le butest de permettre au consommateur de se concentrer sur ce qu'il y a de plus important dans le vin : son goût !Ça permet de faire tomber tous les a priori, il n'est pas question de prix et d'étiquette », poursuit le caviste.

Cet atelier, avant tout ludique, a séduit nombre d'amateurs tout au long du week-end. D'autant qu'on pouvaits'y risquer à plusieurs, histoire de croiser les regards sur son verre.

Et pour les cavistes, c'est une belle manière d'orienter les visiteurs sur des vins auxquels ils n'auraient peut-être pas pensé.

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Bordeaux & Bordeaux SupérieurSupplément La Vigne - parution de février 2018

Bordeaux & Bordeaux SupérieurSupplément La Vigne - parution de février 2018

LA VIGNE SUPPLEMENTDate : FEV 18Pays : France

Périodicité : Parution Irrégulière Page de l'article : p.6-7

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Un outil qui doit évoluerPour les vignerons, l'indice de fréquence de traitement est un bon outil pour comparerles pratiques d'une année à l'autre et entre les exploitations. Mais il a des limites.

L IFT quesaco? Ce sigledésigne l'indice de fre-quence de traitementC'est le ministere de

lagriculture qui l'a mis en placedans le cadre du plan Ecophytopour évaluer les pratiques phytoSanitaires C'est donc un indica-teur officiel II se calcule pourchaque produit en multipliantla dose appliquée par la surface traitée puis en divisant letout par la dose homologuée duproduit et la surface totale de laparcelle Par exemple, pour unfongicide applique a pleine dose

su r I ensemble de la parcelle l'IFTest de I Pour le même fongicideapplique a demi-dose sur toutela surface IIFT est de O 5 Pourun herbicide applique a pleinedose maîs uniquement sous lerang (un tiers de la surface) l'IFTest alors de O 33 Fn additionnantchaque IFT on obtient une valeurde reference annuelle

Le calcul de l'IFT est-il simple à ef-fectuer? Oui, selon les viticulteurs.« Nous avons an calculateur dediea i in en Champagne » indiqueNicolas Chauvet, vigneron Dephy

a Rilly-la-Montagne (Marne) Cequ'attesté Nicolas Tamboise vi-gneronDephyaClere-sur Layon(Maine et Loire) « Le logicielMes Parcelles de la chambre

d'agriculture me permet de caleuler facilement mon IFT ll fautjuste etre rigoureux dans I enregistrement de ses traitements maîscette traçabilite est de toute façonobligatoire »Est-il utile7 La encore la réponseest oui « LIFT est un indicateurquantitatif qui permet de comparerson emploi de produits phyto d uneannee sur l'autre et avec d autres

Un IFT spécifique aux produits de biocontrôlell existe plusieurs catégories d'IFT : fongicideinsecticide et herbicide Maîs les produits debiocontrôle sont comptabilises dans une catégoriespécifique IFT biocontrole Dans certaines actionspubliques en particulier pour les MAEC (Mesuresagroenvironnementales et climatiques) les obiectifsde réduction a atteindre ne portent pas sur lesproduits de biocontrôle L'IFT biocontrôle n est alors

pas pris en compte dans I evaluation des pratiques« La liste cles produits commerciaux reconnuscomme biocontrôle dans I IFT dite du Nodu Vert, estrégulièrement actualisée» explique Antoine Verpydu Gdon du Libournais Les soufres, les dispositifs deconfusion sexuelle les Bt les antibotrytis a base demicro organismes ou de bicarbonate de potassiumet les phosphonates figurent sur cette liste

vignerons » indique GuillaumeGastaldi, conseiller viticole a lachambre d agriculture du Maineet Loire et responsable d un re-seau de vignerons engage dansla demarche Dephy EcophytoJerome Blin, vigneron bio a Vincelles (Marne) est du même avis«Cest un indicateur de base qui represente bien l'impact du vigneronsur lenvironnement Au sein dugroupe Dephy dont je suis membreI IFT rn a beaucoup aide a évoluerdans mes pratiques »

tt Avec l'IFT, on voit où on en est.C'est un peu comme une photode notre annee de traitements »ajoute Herve Denis, vignerona Montlouis (Indre et Loire)«Lit r nous aide a avoir un pointde comparaison entre vigneronset permet de se rendre compte sion a diminue ou non notre utilisalion de produits phyto par rapportaux annees précédentes» estimeNicolas Chauvet Pour NicolasTamboise, I IFT «quantifie et

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Périodicité : Parution Irrégulière Page de l'article : p.6-7

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mesure au cours de lannee nosconsommations de phytos, dontles doses varient d'un traitement alautre» Maîs surtout, « if reflètel'impact des strategies choisies pourreduire les traitements Nous avonspu diminuer notre indice en protiquant Optidose (modulation desdoses selon la pousse de la vigneet la pression) et en développant letravail du sol », précise le vigne-ron angevin Ce que confirmeJerôme Blin «Depuis 2012, faireduit mon IFT annuel de plus de50 % sans grosse perte de recolte, ensupprimant les herbicides, les antibotrytis et en réduisant les doses decuivre et de soufre »

L'IFT peut-il à lui seul rendrecompte de tous les efforts entre-pris par les vignerons pour reduireleur impact sur lenvironnement'Non, estime Jerôme Blin « II netient pas compte de la toxicite desproduits employes II faut l'utiliser avec d'autres indicateurs pourcerner la globalité des pratiquesdu vigneron » Johan Kouzmma,conseiller viticole a la chambred'agriculture de la Marne et

responsable d'un reseau de vi-gnerons Dephy, abonde dansle même sens «J'ai dans mongroupe des vignerons bio dont l'IFTest inférieur a d'autres qui sont enconventionnel Maîs leur nombresde passage en tracteur sont superieurs, ce qui implique aussi descoûts de production plus élevés etune plus faible productivite »De même, selon Antoine Verpy,du Gdon du Libournais (Gironde),l'IFT favorise les produits dont ladose homologuée ne correspondpas a celle utilisée en pratique,comme le soufre, le cuivre et lesphosphonates de potassium«Par exemple, lorsque j'utilise duNordox,je n'en mets que 200 g/ha,alors que la dose homologuée est de2 kg/ha LÏFTest donc bas, mais/mquand même traite et mis 200 g decuivre », illustre Nicolas Chauvet« l'IFT ne peut résumer a lui seulla qualite d'un itinéraire phytosamtaire », résume Antoine VerpyD'autant qu'il ne tient pas comptenon plus « de son efficacité, durisque d'apparition de résistances(alternance des matières actives)et des residus dans les vins »

Dernière limite de l'IFT: sa com-plexité qui ne permet pas de com-muniquer sur ce thème auprèsdu consommateur « II est déjàdifficile a comprendre pour certains vignerons 'Je dis juste a mesclients que je réduis mes mirants »,indique Nicolas Chauvet «L'IFTest trop technique et peu de per

sonnes savent ce qu'il signifie Jene communique donc pas sur cesujet, ajoute Nicolas TamboiseEn revanche, nous sommes labellises Haute Valeur Environnementaie C'est cette demarche émanantaussi du ministere de l'Agriculturequi valorise nos efforts auprès dugrandpublic »

Un calcul obligatoire à Bordeaux _En février 2017, les vignerons de l'ODG Bordeaux et Bordeauxsupérieur ont voté l'intégration du calcul obligatoire de l'IFTdans les cahiers des charges des AOC Bordeaux, Bordeaux superieuret Cremant de Bordeaux Cette mesure concerne tous les vignerons,qu'ils soient en bio ou en conventionnel membre d un reseau Dephyou non « Nous avons tout intérêt a montrer ce que nous faisons car, detoute façon, notre consommation de pesticides va diminuer», justifieBernard Farges, president de t'ODG Elle a ete adoptée en mêmetemps que d'autres modifications agroecologiques interdiction desherbicides sur (e contour des parceiles et en plein, enlèvement etdestruction des pieds mortsEn revanche ('AOC Costieres de Nîmes, elle aussi engagée sur lerespect de l'environnement n a pas retenu le calcul obligatoire del'IFT dans son cahier des charges Elle a prefere se polariser «sur le solet sa fertilite et sur la problématique "eau" avec un gros effort autourdes désherbants des residus et des nitrates Préserver la ressourcenaturelle en eau est chez nous prioritaire devant les IFT », expliqueNicolas Ponzo, directeur de l'ODG

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Bordeaux blancDécision Boisson - parution du 16 février 2018

Oscars des Bordeaux rougesAgence Fleurie - parution du 17 février 2018

Date : 16 FEV 18

Pays : FrancePériodicité : Hebdomadaire

Page de l'article : p.4-5

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BORDEAUX 0040263500503Tous droits réservés à l'éditeur

iCONJONCTURE

• En brefAu cours de la campagne 2016-2017, les volumesde Bordeaux blancs commercialisés en grandedistribution se sont établis à 62 DOO hl soit 21 % dela commercialisation globale de l'AOC BordeauxBlanc ou 43% de la commercialisation en France

Date : 17/02/2018Heure : 14:23:01

www.agence-fleurie.comPays : FranceDynamisme : 4

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Apéro Bordeaux : 3 Bordeaux rouge Oscars de l'été 2017Apéro Bordeaux a fait déguster à domicile 3 Bordeaux rouge, Oscars 2017 de leur appellation, à unpanel d'Internautes sélectionnés, les commentaires sont à découvrir sur le site.

Il s'agit du Château Motte Maucourt « élevé en fût », du Cheval Quancard Réserve « Intense » et del'Envolée, du Château de Lionne.

Retrouvez sur Apero Bordeaux tous les détails sur cette dégustation et les commentaires du jury d'internautescommentant les vins.

Tous droits réservés à l'éditeur BORDEAUX 308025232

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Accord mets et vinsAgence Fleurie - parution du 17 février 2018

Date : 17/02/2018Heure : 18:21:18

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Crémant de Bordeaux et tablette de chocolat maison

Un accord dessert proposé par Planète Bordeaux avec le Crémant de Bordeaux rosé « Perles deGarrineau ».

Le chocolat est un aliment goûteux, rempli de multiples vertus. Il regorge d'antioxydants et contient certainslipides bénéfiques pour la santé. Il enferme aussi un grand nombre de vitamines et de minéraux. Le chocolatnoir amer en particulier. Le cacao est un des aliments les plus riches en flavonoides ce qui lui confèreune grande capacité antioxydante. A noter aussi sa richesse en fer, magnésium, mais aussi en cuivre etmanganèse. Une remarque : son apport de théobromine, molécule proche de la caféine, lui confère aussi uneaction stimulante du système cardiovasculaire.

La force tonifiante de ce chocolat s'allie au pétillant de ce Crémant de Bordeaux rosé.

Consulter la recette complète et l'accord sur Planète Bordeaux

Tous droits réservés à l'éditeur BORDEAUX 308029893

Date : 17/02/2018Heure : 18:21:18

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