l'histoire des arts et les maîtres… - réseau canopé · 2012. 1. 9. · de documents...
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de l'école primaireCRDPAcadémie de Toulouse
L'histoire des artset les maîtres…
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L’histoire des arts et les maîtres… 31000P10 25
Table
des m
atière
sObjectifs de l’ouvragePréface
Avant-propos
Introduction
Chapitre 1 Pierre Soulages… pour ne pas voir les choses en noir
Chapitre 2La Tour Eiffel, solide, contestée et inépuisable
Chapitre 3Florence ou l’affaire du duomo
Chapitre 4 Si Versailles m’était vraiment conté… ou la passion sans limite d’un roi pour les arts, y compris celui de régner !
Chapitre 5 Hippolyte et Aricie, tragique et merveilleux !
Chapitre 6 Dessiner, peindre, photographier filmer la ville
Une première partie rap-pelle le sens et les enjeux de l’histoire des arts, dessine une ligne claire pour mettre en œuvre cet enseignement à l’école, insiste sur son rôle dans la formation du futur citoyen, sa contribution à l’acquisition d’une culture humaniste et à la maîtrise de la langue.
Les six chapitres de la se-conde partie constituent des ressources pour enseigner l’histoire des arts au cycle 3 en lien avec le programme d’histoire. Les sujets rete-nus amènent les maîtres de
l’école primaire à fréquen-ter avec leurs élèves Pierre Soulages ou Jean-Philippe Rameau, à revisiter la tour Eiffel, Versailles ou Florence, à penser autrement la ville au travers du film, du des-sin ou de la photographie.
Sans vouloir tout embras-ser, des auteurs d’horizons différents diversifient et les entrées et les démarches. Refusant les fiches toutes faites et sans saveur, ils privilégient une approche artistique, culturelle et scientifique accessible et de qualité.
50 activités avec le regard et le geste à la maternelle
Quoi de plus motivant pour un «petit» que de se décou-vrir créateur, producteur de quelque chose en de-hors de soi ? Ces cinquante fiches déroulent le contenu
des séquences concrètes et expérimentées. Elles couvrent les quatre domaines des arts visuels : dessin, arts visuels, image, collection.
Ouvrage – 2011 – 256 p.Réf. : 31009A72 – 23 e
Autres ouvrages sur les arts…
L’histoire des arts et les maîtres… de l’école primaire permet aux enseignants du cycle 3 de l’école primaire d’aborder avec leurs élèves l’enseignement de l’histoire des arts en goûtant avec eux le plaisir de la découverte ou de la redécouverte des œuvres, en cheminant avec eux hors des sentiers battus.
Des interviews de personnalités de premier plan du monde des arts (Paul Andreu, Philippe Beaussant, William Christie, Thierry Crépin-Leblond, Pierre Encrevé, Cédric Klapish) enri-chissent l’ouvrage, lui apportent profondeur et perspective.
Sur un cédérom, une centaine de documents fournit au maître un matériau pour ses cours.
50 activités en arts visuels au cycle 2
Tapis graphiques, auto-portraits froissés, archi-tectures en morceaux, la parade des vaches, le Minotaure… Ce «50 acti-vités» offre aux élèves des
situations où s’associent les désirs de voir, faire, réfléchir ou dire et aide les professeurs à mener des séquences dans les quatre volets des arts visuels.
Ouvrage – 2011 – 226 p.Réf. : 31009A73 – 23 e
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Pour aller plus loin
Quelques pistes
• À propos des expositions universelles
Une recherche peut être menée autour des vestiges des expositions universelles à
Paris ou dans d’autres pays pour montrer comment ces grandes manifestations ont
façonné durablement les villes, ont été et restent toujours un lieu d’innovation pour la
création architecturale. Exemples : à Paris, en 1900, construction du pont Alexandre
III ainsi que des Petit et Grand Palais, en1937, du Palais de Chaillot ; à Bruxelles l’Ato-
mium en 1958 avec ses neuf sphères figurant un cristal de fer, attraction initialement
temporaire devenue par la suite l’emblème d’une cité ; à Lisbonne, en 1998, construc-
tion d’une gare par l’architecte Santiago Calatrava Valls, la gare d’Orient, et du pont
Vasco-de-Gama, l’un des plus longs d’Europe.
• Une nouvelle tour de Babel
L’évocation du récit de l’édification de la tour de Babel, archétype de la tour en quelque
sorte ; les descendants de Noé, symbolisant l’humanité toute entière, alors unifiée et
parlant la même langue, s’étaient mis en tête de construire « une tour dont le sommet
pénètre les cieux » pour s’approcher de Dieu (Genèse 11, 4). Privés d’une langue com-
mune par Dieu qui veut mettre fin à leur orgueilleux projet, la construction s’arrête et
ils se dispersent sur la terre, la tour restant inachevée. Aborder ce récit des origines
avec les élèves, dont il faut leur citer la source littéraire biblique, est l’occasion de leur
donner à voir un thème souvent traité et différentes représentations iconographiques
de cette tour dont certains peintres imaginent l’effondremen t. En prolongement, il
pourrait être intéressant de leur montrer la maquette de la reconstitution de la tour
de l’antique Babylone, telle que les recherches archéologiques ont permis de la mettre
au jour.
• La course à la hauteur se poursuit
À partir de l’identification de certains de ces bâtiments facilement repérables grâce
aux légendes (cf. doc. 10 p. 53), réaliser un classement dans l’ordre chronologique de
leur construction. Cette frise des monuments fera apparaître de manière très visible
la course à la hauteur qui a toujours animé les bâtisseurs, les progrès techniques per-
mettant de réaliser de nouvelles performances au XIXe siècle. En prolongement, des
tours postérieures à la tour Eiffel sont proposées pour être rangées par taille crois-
sante, leur mise en relation avec leur implantation à la surface du globe dessinant
sous les yeux des élèves la géographie des successifs lieux de la richesse des pays, si
ce n’est de la civilisation, du moins technologique. Avec en point d’orgue actuel, mais
transitoire, la tour Burj Khalifa achevée début 2010 à Dubaï, haute de 828 m et dans
l’attente elle-même d’être sans doute détrônée en 2015 par la Bionic Tower prévue
pour atteindre 1228 m à Shanghai…
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Le bassin de Latone.
© Fotolia, Fanfan.Document 8
Le parterre du midi
© Fotolia, Sarah Dusautoir
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Jules Hardouin-Mansart viendra compléter et embellir ces jardins du style « à la fran-
çaise ».
La lecture du plan est mise en relation avec les éléments prélevés dans le texte qui
prend alors toute sa valeur documentaire. On observe :
– les régularités et les répétitions géométriques,
– l’organisation allant du château jusqu’au grand canal.
Document 6
Le plan des jardins
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Avis de concours pour le dôme
C’est en 1418 qu’un avis de concours est lancé pour doter la cathédrale de Florence
d’une coupole. Ce n’est pas le premier concours lancé à Florence, mais cette pratique
encore peu répandue montre l’importance que l’on accorde aux artistes. Brunelleschi
présente un modèle, qui ne convainc pas d’emblée le jury. Il finit par obtenir la direc-
tion du chantier de Santa Maria del Fiore, avec Lorenzo Ghiberti, qu’il parvient à
évincer vers 1426. Une importante activité s’est déployée autour de la cathédrale. La
réalisation de la coupole est l’étape qui touche le plus la fierté des Florentins et assure
la notoriété de Filippo Brunelleschi.
C’est en 1377 à Florence, où son père est notaire, que naît Brunelleschi. Admis
comme apprenti orfèvre à l’Arte della seta (Guilde de la soie) en 1398, il s’intéresse
un temps à l’horlogerie. En 1400, il exécute des statuettes de prophètes, d’évan-
gélistes et de saint Augustin pour l’autel de San Jacopo à Pistoia. En 1402, avec
un relief sur le sacrifice d’Isaac, il remporte, ex aequo avec Lorenzo Ghiberti, le
concours pour la seconde porte de bronze du baptistère de Florence. Ne désirant
pas collaborer avec Ghiberti, Brunelleschi ne donne pas suite à son projet. Bien que
reconnu maître orfèvre en 1404, il s’intéresse plus à la sculpture, avant de se tour-
ner résolument vers l’architecture.
Document 15Florence : vue du dôme
de la cathédrale.
© Fotolia, Pat on stock.
Flo
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ce
pour aller plus loinde nombreux documents utilisables en classe