les echos - avril 2013

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Avril 2013 Osvaldo VIGAS LES ECHOS DE Publication mensuelle et gratuite Caracas Accueil

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Les Echos - Avril 2013

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Page 1: Les Echos - Avril 2013

Avril 2013

Osvaldo VIGAS

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Caracas Accueil

Page 2: Les Echos - Avril 2013
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Edito

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Contrairement à certaines habi-tudes, c’est en fin de séjour qu’il nous est donné le plaisir de rédiger cet édito. La fin de notre séjour à Caracas sonne éga-lement la fin d’une carrière qui nous aura menés du Mexique au Chili via le Brésil, de Singapour à Hong Kong, avec des escales en France. La vie d’expatrié est riche de dé-couvertes, de rencontres et d’expériences et le Venezuela n’a pas dérogé à la règle. Chers amis vénézuéliens, avant de partir, nous vous disons un grand merci.Nous avons eu la chance de vous accompagner pendant ces quatre années. De pou-voir découvrir votre pays… Que de perspectives grandioses, de couleurs, d’odeurs, de saveurs, difficile d’y rester indifférents. Même chèrement mérités après de longs trajets, comment ne pas succomber aux charmes de vos plages de sable blanc, de vos montagnes impressionnantes, de vos curieux tepuys, de vos rivières inquiétan-tes, de vos mangroves mystérieuses… Et que dire du soleil et de la pluie de ce prin-temps quasi perpétuel qui baigne vos tropiques. Nous garderons un souvenir sympathique de votre bonne humeur, de votre joie de vivre envahissante parfois mais bien réelle, de votre musique assourdissante qui finit par nous entrainer dans des déhanchements indécents. Votre rhum nous a enivrés, les fruits exotiques nous ont désaltérés et les arépas bien garnies ont défor-mé notre ligne… Dans un pays où “tout est possible”, nous aurions aimé parfois en faire plus, sans crainte, sans doute, mais c’est peut-être le courage et le temps qui nous ont manqué. Il y a tant de choses à faire. Amigos, merci pour tout, prenez soin de vous, sûr qu’avec les atouts dont vous disposez, vous saurez trouver la bonne route et balayerez ainsi le point d’interrogation qui fait de l’ombre sur l’avenir. Notre terre à nous est au-delà de l’Atlantique, nos parents, nos enfants et petits-enfants nous y attendent. Vous savez que vous y avez des amis. A bientôtDominique et Marie Dominique

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Les Échos de Caracas AccueilRIF: J-30736136-0

COMITÉ DE RÉDACTIONANNE BIGOT

INFOGRAPHIE ET WEBMESTREIZASKUN VEGA

ASOCIACIÓN ACCUEIL DE VENEZUELA

ANNE LOUYOT PRÉSIDENTE D’HONNEUR

ANNE BIGOT (+58) 414 917 00 43 PRÉSIDENTE

BARBARA CAPPAERT DE CRIJNS(+58) 424 180 80 96 VICE-PRÉSIDENTE

FRANCOISE RASE TRÉSORIÈRE

LOURDES SPEYBROUCK SECRÉTAIRE GENERAL

ANNE-SOPHIE PEREZ MEMBRE DU BUREAU EXECUTIF

Sommaire & Actualités

INFORMATIONS LEGALES: Caracas Accueil n’est pas responsable des informations contenues dans les annonces et les articles

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Bonjour à tous,

Cette édition des Echos de Caracas Accueil est de nouveau placée sous le signe de la Francophonie…le numéro de mars n’a pas suffi pour vous faire partager les entre-vues avec nos membres !

Le mois d’avril sera plutôt tranquille pour cause d’élections dans le pays et de vacan-ces scolaires au Colegio Francia. Rendez-vous le vendredi 26 avril pour Vendredi entre Amis à l’Alliance Française de la Castellana.

Attention, notre prochain café-rencontre a lieu le vendredi 3 mai chez Hélène Sau-tereau.Merci à tous ceux qui ont partagé la Soirée Printemps avec nous. Nous vous donne-rons plus d’informations sur l’œuvre soutenue dans le numéro de mai des Echos.

Bonne lecture !Votre équipe de Caracas Accueil

Mail : [email protected] internet : http://caracasaccueil.wordpress.comSi vous souhaitez annoncer, contacter nous par mail ou via notre site internet.

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Agenda & Activités

Visite de Arte Murano

Photos

Portrait Pierrot Lafleur

Portrait Laura Marquez

Sommaire & Actualités

Édito

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N’hésitez pas à nous contacter: Mail: [email protected]

13 Grenada l’île aux épices

Caracas Accueil

Page 5: Les Echos - Avril 2013

Portrait d’une vénézuélienne francophone

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Portrait d’une Vénézuélienne francophone, Laura Marquez

Je m’appelle Laura Marquez, je suis ingénieur en Mécanique, diplômée de l’Université Simon Bolivar, Caracas. Je suis la maman de 3 enfants, Camila, 13 ans, Sofia 11 et Pablo Miguel 10 et je suis mariée avec Antonio Gonzalez, ingénieur lui aussi.

Je ne sais pas pourquoi, mais même quand j’étais petite, je sentais une grande admiration pour Paris, pour la France…..je rêvais tout le temps de visiter Paris, de vivre en France…..de parler le français. Peut-être que ma grand-mère m’a mis cette petite “graine” dans la tête et qu’aujourd’hui elle est devenue un arbre soli-de : oui, je suis une Vénézuélienne totalement amoureuse de ce pays. Ma grand-mère avait été éduquée en France. Sa famille y avait émigré car son pays avait subi une invasion turque. Son père, d’ailleurs, avait été tué en luttant contre eux. Elle parlait couramment le français. Elle me faisait répéter des chansons et des poèmes en français, je me souviens encore de la fable du renard et du corbeau, et de “au clair de la lune, mon ami Pierrot……”. On dit qu’il ne faut pas jamais ces-ser de rêver et je crois que je suis d’accord! J’avais un désir très fort d’apprendre le français, mais il était difficile pour ma famille de m’offrir des cours. Nous étions 5 enfants.

Mais, le hasard est intervenu deux fois, même trois fois dans ma vie. A 12 ans, des professeurs français sans moyens sont arrivés dans mon école : ils offraient des cours de français gratuits. En échange, l’école, leur offrait hébergement et alimentation…..Voilà que j’ai commencé à travailler sérieusement mon français “bonjour Line… j’habite place de la Contrescarpe”.

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Portrait d’une vénézuélienne francophone

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Malheureusement, ces profs sont restés à peine quelque mois mais ils ont été les premiers Français que j’ai connus et ils m’ont donné plus envie encore de maîtriser la langue de Victor Hugo. J’ai commencé l’Université et mon rêve s’envola. Au moins, pour quelque temps. A la fin de mes études, j’ai été embauchée par une entreprise pétro-lière. Celle-ci m’a envoyé à Cabimas, état Zulia, une ville horrible avec un climat insupportable.Mais, c’est dans cet endroit pénible, que j’ai rencontré mon mari…

Trois ans après, nous décidions de quitter l’entreprise et faire un MBA à Ca-racas, dans l’Institut IESA, très réputé chez nous. A la fin de mon MBA, j’ai commencé à travailler dans le “Ministerio de Fomento” (développement des entreprises). Et là, apparait ma deuxième chance de connaitre la France. Je venais de me marier avec Antonio.

Le ministère m’offre un voyage dans plusieurs pays européens : Allemagne, Italie, Espagne, mais pas la France…..ceci était un coup trop dur……j’allais être tout près de la ville de mes rêves, mais sans la voir. Et voici que mon mari décide d’arranger une escapade surprise. J’ai demandé à mon supérieur la possibilité de rester quelque jours de plus en Italie. Anto-nio allait me joindre à Rome. Ma surprise : à son arrivée, il me montre un billet d’avion, destination : PARIS!!!!! Nous sommes restés 3 jours, et je crois que j’ai connu plus de choses durant ces 3 jours que lors de mon deuxième séjour à Paris, qui a duré plus de 4 ans.

Après cette expérience, je suis arrivée à Caracas avec une seule chose en tête: y retourner. Un soir, Antonio me dit qu’il avait entendu dire qu’un organisme (FINTEC) qui cherche des ingénieurs avec un MBA parlant français pour les envoyer avec une bourse en France. Quelques jours après quelqu’un dans mon bureau me raconte qu’il avait eu un rêve : quelqu’un qu’il connaissait allait partir en France. Je ne sais pas pourquoi, mais à ce même instant j’ai dit: c’est moi!!!!!

Je commence donc à chercher cet “organisme”. Je décide d’appeler l’IESA. Hé-las, IESA m’informe que que le délai de présentation des candidatures a ex-piré depuis quelques jours et que l’organisme voulait rester incognito. Mais, je suis une personne “popular” et il a suffi d’une bonne conversation avec la secrétaire de l’IESA pour obtenir une telle information.

AGENCE IMMOBILIERE FRANCAISE

Depuis plus de 20 ans au VenezuelaService Personnalisé

MARIE JOSE LIZARRAGA

CEL. 0414.3202169TEL. 0212.9612836 0212.9612162

[email protected]

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Photos :Soirée Annuelle Caracas AccueilPortrait d’une vénézuélienne francophone

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Le lendemain, un mercredi, je ne pourrai jamais l’oublier, j’appelle pour de-mander un formulaire pour m’inscrire au projet de formation en “innovation technologique”. La réponse : désolé c’est fermé. A nouveau mes “capacités” de persuasion m’ont permis de sortir ce mercredi avec 2 formulaires (pour moi et pour mon mari).Je devais les rendre le vendredi!!!!! Je crois que ces 3 jours ont été les plus productifs de ma vie : non seulement j’ai pu remplir mon formulaire mais j’ai rempli aussi celui de mon mari! Le 14 février 1992 j’ai reçu la nouvelle: nous avions été choisis….et ils nous offraient en plus trois mois de cours de français à Carel, un institut pour apprendre le français à Royan. Evidemment, mon “bonjour Line… j’habite place de la Contrescarpe” ne suffisait pas…..Dauphi-ne faisait partie d’un accord avec FINTEC qui donnait la bourse et l’IESA. En réalité je n’ai pas eu le choix. L’IESA avait fait une recherche pour trouver les universités les plus en avance dans l’enseignement de l’innovation techno-logique. Mes études en France m’ont permis de comprendre le système et de l’admirer. J’ai fait un DESS et un DEA puis des études de Doctorat. Ma fille aînée est née en France et j’ai arrêté mes études. Heureusement Antonio a eu son Doctorat.

Quand je suis rentrée au Venezuela, je n’avais pas de doutes : la seule école que je voulais pour mes enfants était l’école française, d’abord pour le tra-vail sur la créativité des enfants, ensuite pour les capacités d’analyse que les enfants développent, le respect de la citoyenneté, l’ouverture au monde, le respect face aux différences, et la langue….le français c’est une langue d’une beauté énorme. Ecouter mes enfants la parler presque sans accent est un cadeau pour moi, mon rêve d’enfant devenu réalité à travers mes enfants. Et aussi le plaisir de bien vivre, la gastronomie, la fierté des personnes qui font leurs métiers : les boulangers, les pâtissiers….les croissants, les pains au chocolat.Je ne peux pas dire qu’il ait été facile pour nous de vivre en France, surtout à

Paris. Pendant cette période, nous avons appris à comprendre les Français. Les vé-nézuéliens sont plus “légers” dans leurs amitiés. Nous, les Venez, nous sommes les amis de tout le monde. Les Français sont, par contre, difficiles d’accès. Il faut “travailler” l’amitié. Mais, si l’on arrive à briser ce mur, on trouve une amitié très solide.

Laura Marquez

AGENCE IMMOBILIERE FRANCAISE

Depuis plus de 20 ans au VenezuelaService Personnalisé

MARIE JOSE LIZARRAGA

CEL. 0414.3202169TEL. 0212.9612836 0212.9612162

[email protected]

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Photos: Café rencontre & Villa Planchart

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Photos: Café rencontre & Villa Planchart Photos: Soirée Printemps

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Visite de Arte MuranoVisite de Arte Murano

Samedi 16 mars, un groupe de Caracas Accueil a visité les ateliers de Arte Mu-rano, situé dans la montagne près de Los Teques. Arte Murano perpétue la tradition de l’artisanat verrier vénitien Murano est une île au large de Venise spécialisée dans la fabrication d’objets en verre depuis plusieurs siècles.

Quand nous avons pénétré dans l’atelier, nous avons été enveloppés de la chaleur des fours…heureusement le ciel était couvert et pluvieux au-dehors et une brise rafraîchissante venait de l’extérieur. Après avoir chauffé des bulles de verre dans ces fours, l’artisan a fait naître sous nos yeux chat, pois-son, cheval, taureau en quelques coups de pinces ou de ciseaux.

Quelques membres ont pu souffler des bulles de verre. L’atelier utilise des mou-les pour les coupes et verres de façon à ce qu’ils soient identiques.

La visite s’est terminée par un tour dans la boutique et ce sont les bras chargés de cartons que nous sommes repartis à la maison !

Ateliers ICET Arte Murano : Visites possible tous les jours à partir de 9h (0212 372 0312).Artemurano.com.ve

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Portrait de Pierrot LafleurPortrait d’un francophone au Venezuela,

Pierrot Lafleur

Peux-tu nous brosser un portrait rapide de toi ?Je suis né le 28 juin 1978 à Corail, Haïti. Je travaille en tant que guide accompagnateur (par contrat) chez Natura Raid et j’étudie également les sciences audiovisuelles à l’ IUTIRLA.Je suis orphelin de père et de mère. J’ai deux frères et deux sœurs en Haïti. Au Venezuela je n’ai que des amis. Tu viens d’Haïti. Comment as-tu appris le français ?J’ai appris le français a l’école mais à Haïti il y a des gens qui l’apprennent chez eux et à l’école, parce qu’il y a des familles haïtiennes où les parents ne parlent qu’en français avec leurs enfants. Depuis combien de temps vis-tu au Venezuela ? Qu’est ce qui t’a poussé à ve-nir ici ?Je suis au Venezuela depuis octobre 2006, j’avais un visa permettant de conti-nuer mes études ici mais au départ j’avais trop de lacunes en espagnol, je n’ai pas pu étudier au moment même de mon arrivée. Tu viens de t’inscrire à Caracas Accueil. Qu’est-ce qui t’en a donné envie ?Parce que j’aime rencontrer les gens et me faire des amis, et en plus je voudrais m’intégrer un peu plus dans les activités culturelles de Caracas. Comment imagines-tu ton avenir ?Pour le moment je n’ai pas de famille ici au Venezuela, je compte avoir ma famille et un boulot stable permettant de les rendre heureux. Je veux retourner en Haïti au moment opportun pour aller aider mes deux frères et mes deux sœurs qui sont là-bas.

Que représente pour toi le français? Le français est notre deuxième langue officielle, bien qu’il y ait une grande quan-tité d’Haïtiens qui ne se parlent pas en français quand ils se rencontrent. On ne le parle que si on y est obligé, par exemple pendant les expositions d’un sujet à l’université, d’une réunion internationale, etc…

Pour information, Pierrot peut vous conseiller sur les circuits touristiques sui-vants : péninsule de Paria, Mochima, Roraima, Gran Sabana, Salto Angel ou Del-ta de l’Orénoque.Son email : [email protected]

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Grenade l’île aux épicesGrenade l’île aux épices

L’odeur de la muscade embaume le mar-ché de Saint Georges, où les étals présen-tent les productions de l’île. Et notam-ment ces noix de coco évidées, emplies d’épices cultivées sur place et vendues aux touristes qui viennent de débarquer des grands paquebots en escale pour la journée. Agriculture, pêche et tourisme sont les principales activités de l’île; une île minuscule de 33 km du nord au sud et 18 km d’est en ouest, située à moins de 200km du Venezuela, à l’extrême sud de l’arc des Antilles.

Dominé par les forts St Georges, St Matthew et St Frederick, construits au XVIIIème et malheureusement mal entretenus, ce petit Etat insulaire est devenu indépendant en 1973, et désor-mais membre du Commonwealth. Dé-couverte en 1498, lors du 3ème voyage de Christophe Colomb, abandonnée par les Espagnols, l’île des épices fut mise en valeur par la France qui y installa des plantations cultivées par des esclaves africains. Les Noirs sont chez eux dans cette île densément peuplée et les jeu-nes gens en uniformes qui sortent des écoles, minces et élégants ont l’air de gentlemen.

La langue est désormais l’anglais car la13

Portrait de Pierrot LafleurFrance a perdu la plupart de ses territoi-res américains lors du traité de Paris en 1763, «ce n’est rien quelques arpents de neige» disait Voltaire !Et pourtant ce petit Etat volcanique offre des paysages sublimes : plages de sable blanc ou noir, eaux turquoises, forêts tro-picales, cascades sauvages. Tout incite aux sports nautiques, à la plongée, aux randonnées et notamment le «hash» qui rassemble tous les samedis une popula-tion chaleureuse dans des raids pédes-tres parfois acrobatiques.

Et si vous en avez les moyens, pourquoi ne pas séjourner à Calivigny, petite île achetée en 2000 par le milliardaire français Georges Cohen. Devenu le prin-cipal employeur de l’Etat, il aménage, re-plante et transforme un îlot sauvage en paradis tropical.

Odile Louage

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Marietta Lissage japonais

Kératine, hydratation intensive Relooking

Futures mariées Couleur créative

Conseillère en image Extensions

Thérapies holistiques Le Feng Shui, l’Harmonie

et la Couleur dans la beauté

Ismar Bilancieri Maquillage permanent

Maquillage à l’aérographe Maquillage de mariage

Epilations Soin du visage, lifting

Bronzage à l’aérographe Soin anti-âge

Pédiluve

Et aussi Soins du corps

Massages relaxants Thérapies énergétiques, exfoliations corporelles

Soins des mains, soins des pieds Soins hydratants

(cheveux, visage, manucure, pédicure)

Renseignements et rendez-vous: Téléphones 0212-9929420 / 991.3897 Fax : 992.5608 Portable: 0416.6340099

C.C Paseo Las Mercedes, Local MB-1, MB-2 Email : [email protected]

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Agenda & Activités

Il est nécessaire de s’inscrire et/ou de se renseigner avant toute activité

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Nos activités:Aquagym: mardi et jeudi, à 10h30 au Club Catalan

Responsable : Françoise Rase, Tél: 0412 584 47 87,

Courriel: [email protected]: Tous les vendredi à 9h30

Responsable : Adélaïde Bitti, Tél: 0412 591 74 65,

Courriel: [email protected]:Une fois par moisResponsables : Delphine Vos-Citroën

& Moussa Sawadogo

Courriels: [email protected] / [email protected]

Gymnastique:

lundi de 9h à 10h

residencia PlazAventura

Responsable : Claire Soyer Le Thorel

[email protected]

Marche:

Tous les mercredi à 8h15

au parc de l’Est.

Responsable : Marie-Dominique d’Elloy.

Courriel: [email protected]

Pétanque:

Responsable: Michel Loriaux

Courriel: lorriauxmichel@gmail.

com Photographie:

Un rendez-vous par mois

Responsable: Anne Louyot

Courriel: [email protected]: Activité payante

Responsable : Véronique Trenty

Courriel: [email protected]

Prochains RDV:

> 26/04 Soirée Vendredi

entre amis

> 03/05 Café rencontre

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