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Les contes merveilleux des 6ème 3

Collège Charles de Gaulle - Apt

Année scolaire 2011-2012

1

Le pauvre paysan l était une fois un pauvre paysan qui vivait seul dans la campagne. Il était très

musclé il avait une belle chevelure blonde. Ses yeux verts séduisaient beaucoup

de femmes et le jeune paysan portait une très belle tunique orange et bleue. Mais

il était très pauvre.

Un jour, alors qu’il faisait le ménage, il trouva une carte au

trésor et se dit : « c’est la chance de ma vie, je dois y aller ! »

Et il partit à l’aventure.

Sur son chemin, un Sage, qui voulut le tester, se transforma

en mendiant et lui demanda un peu d’eau. « Pour te

récompenser de m'avoir donné de l'eau, je vais te donner

une clé qui peut ouvrir tous les coffres ». Le paysan répondit

« merci et au revoir, je dois aller à l’aventure ! ».

Le pauvre homme, après avoir longtemps marché, parvint à un château où il trouva

enfin un coffre rempli d’or. Le pauvre paysan voulut ouvrir le coffre mais un étrange

homme voulut le combattre. Si le paysan refusait, l'homme tuerait la femme qu'il

avait prise en otage. Alors, le pauvre paysan accepta. Ils se battirent. Le paysan fut

vainqueur. Il put enfin ouvrir le coffre.

Le paysan et la femme, libérée, se marièrent. Ils étaient très riches et eurent beaucoup

d’enfants.

Texte de Yassine El Kadari, illustration de Mourad Afkir

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2

Le chien de Dylan l était une fois un enfant qui s’appelait Dylan. Il avait les yeux bleus, un regard

bienveillant. Son nez était pointu, sa bouche était mince, ses lèvres fines et son

teint pâle. Ses cheveux étaient courts. Il était habillé d'une chemise blanche et

d'un pantalon triangulaire en coton. Il avait des sabots noirs.

Un jour il rentra chez lui et vit que son chien n’était plus là. Il le chercha

partout : en ville, dans les parcs, à la fourrière. Partout. Il ne le trouva pas.

Alors, il colla des affiches de son chien sur tous les murs de la ville.

Un jour, un homme vint chez lui et lui dit : « j’ai vu toutes les affiches que tu as

déposées en ville. Alors je suis venu te donner des pouvoirs magiques afin que tu

puisses voler. »

Il lui offrit les pouvoirs promis et le jeune garçon partit immédiatement chercher son

chien.

Enfin, il le retrouva. Dylan et son chien vécurent ensemble, heureux, jusqu’à ce que

son chien meure.

Texte et illustrations de Yanis Hafafsa

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3

L’aventure du garçon heureux l était une fois un jeune garçon qui vivait heureux dans sa famille. Sa maison était magnifique. Ses parents lui disaient souvent qu’ils l’aimaient comme tous les parents. Ce garçon avait une courte chevelure brune. Ses yeux magnifiques étaient verts et charmer sa famille, son

regard franc inspirait toute confiance. Notre héros avait le teint clair, le nez droit, la bouche gourmande et les lèvres bien dessinées. Le jeune garçon portait une chemise blanc ivoire qui descendait jusqu’à la taille. Il portait aussi des braies de couleur noir encre qui descendaient jusqu’aux talons. Il portait aussi des bottes noir ébène données par de sa mère. Mais une méchante sorcière avait besoin d’ingrédients pour confectionner une potion : les parents du héros.

Par un merveilleux jour, le garçon jouait dans son jardin, quand tout à coup, un inconnu qui n’inspirait aucune confiance frappa à la porte et demanda aux parents du garçon de le suivre. Plus loin, le garçon entendit des hurlements ; il les vit partir dans une charrue tirée par un dragon. Le garçon décida de partir à leur poursuite. Il partit et il rencontra une étrange personne qui détenait prisonnier un phénix. Il

entra dans sa demeure et délivra le merveilleux phénix qui lui demanda de raconter son histoire. Pour le remercier, le phénix lui proposa son aide.

Alors le gentil garçon monta sur son dos et les deux amis se mirent en route. Ils arrivèrent dans une forêt mais un

géant les arrêta et leur proposa un défi pour pouvoir passer : trouver un œuf de dragon. Ils acceptèrent et se rendirent sur une colline où une dragonne gardait ses œufs. Quelque temps après, la dragonne s’éloigna comme prévu et ils en profitèrent pour prendre un œuf et l’apporter au géant. Celui-ci, satisfait, les laissa passer et repartirent.

Ils marchèrent longtemps et entrèrent dans une grotte. Ils marchaient dans la grotte quand ils rencontrèrent la sorcière. Le garçon lui dit : “ Sorcière, je serai à présent ton esclave !’’ Alors, elle lui demanda de balayer la pièce d’à côté. Mais au lieu de balayer, il délivra ses parents.

Ensemble, ils repartirent à leur maison et vécurent heureux jusqu’à la fin de leurs jours.

Texte et illustrations de Stella Debono

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4

Altaïr et Ragniar

l était une fois un jeune homme qui portait le nom d’Altaïr. C’était un prince. Il avait vingt ans. Il était beau et musclé. Ses yeux étaient grands, marron et charmaient toute les filles du village. Il avait une belle et douce chevelure courte et brune. Il portait une belle tunique

blanche qui enveloppait tout son corps. Il vivait au château avec sa femme, la Princesse du village.

Un beau jour, son père, le roi lui dit : « - Elle a disparu… La princesse a disparu ! Elle a été enlevée par un monstre ! »

Alors le prince, très inquiet, partit à la recherche de la princesse. Il partit à cheval dans la «Forêt Noire». Il rencontra des monstres et dut se battre contre eux. Il finit par être victorieux. Il délivra une jeune fille de dix ans que les monstres avaient faite prisonnière. La fille le remercia et lui demanda : « -Comment pourrais-je vous remercier de m’avoir sauvée ? » «Le prince répondit : « -Non ce n’est pas la peine. Je dois partir maintenant sauver ma future épouse, la Princesse. » Alors elle lui donna une épée magique qui était à son père et lui dit : « -Tenez ! Prenez cette épée. Elle appartenait à mon père. Elle vous indiquera le chemin à

prendre. »

Le prince remercia la jeune fille, prit l’épée et partit. L’épée lui indiqua le bon chemin. Il arriva devant un château très sombre. Courageux, il entra et vit que le

château était habité par de nombreux monstres. Alors tout à coup, l’épée le transforma en chevalier avec une belle armure de bronze. L’épée se changea en une épée-hache. Il put donc se battre contre tous les ennemis. Grâce à l’épée et son armure, il put

tuer tous les monstres. Mais il en restait un, le Chef des monstres, surnommé Ragniar. L’épée fit tout ce qu’elle put pour aider le prince mais elle n’était pas assez puissante. Alors l’épée fit appel au roi d des épées, afin de lui venir en aide. Le roi se battit contre Ragniar qui résista car il était très fort. Mais avec l’aide du Prince Ataïr, ils finirent par le tuer. Le Prince remercia le roi des épées et s’en alla vite délivrer sa femme qui était enfermée dans une cage. Il rentra au village où tout le monde l’accueillit en vainqueur. Ils firent la fête toute la nuit. Mais ils ignoraient tous que les monstres étaient encore en vie et qu’ils voulaient se venger. Ceux-ci attaquèrent alors le village par surprise. Mais le roi des épées les repoussa avec l’aide de tous les chevaliers. Le village fut sauvé. Le Prince et la Princesse vécurent heureux jusqu’à la fin de leurs jours et ils eurent beaucoup d’enfants.

Texte et illustrations de Audran Bremond

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5

Le Gélikan sacré

l était une fois un petit garçon il a avait une fine chevelure ondulée et des yeux noirs qui fascinaient ceux qui les regardaient. Il portait toujours un tablier bleu et des bottes

noire ébène.

Alors qu'il était dans sa chambre et dormait...

Il se réveilla et trouva un message mystérieux dans ses chaussures. Dans ce message était écrit qu'une récompense de cent pièces d'or serait remise a celui qui ramènerait une des rares plumes noires du Gélikan sacré. Le Gélikan est un oiseau.

Le garçon partir sur l'heure avec un baluchon. Le chemin allait être long. Il vit plusieurs plumes noires mais pas une du Gélikan. Il rencontra un vieillard et lui raconta son histoire.

Le vieillard lui donna un appareil électronique dont il ne voulait pas révéler l'utilité.

Le petit garçon reprit sa route. Il rencontra un sorcier qui était aussi à la recherche de la plume. Le garçon lui envoya un caillou dans la tête et fuit. Il repartit à la recherche de la plume.

L’enfant découvrit un bouton bleu sous l’appareil électronique Il appuya dessus. Ce bouton servait à indiquer où était la plume noire. Le garçon alla jusqu'à la plume noire. Il arriva prés du sorcier qui, prêt à se battre, lâcha la plume.

Le garçon prit la plume et partit en courant. Il ramena la plume à celui qui avait écrit son adresse sur le message et il obtint cent pièces d'or pour sa famille et lui. Il vécut heureux avec ses deux frères et ses parents.

Texte et illustrations de Yanis Viaene

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6

La fillette et le dragon

Il était une fois, une petite fille qui avait une belle robe avec des souliers noirs. Ses cheveux étaient longs et blonds. La petite fille voulait sauver son amie emprisonnée dans la grotte d’un dragon. La fillette entra dans la grotte. Le dragon voulut se battre avec elle et son amie qui tentait de fuir. La petite rendit service à un aventurier qui passait par là. Celui-ci lui donna une épée magique.

Mais la petite fille fut blessée à la main car elle s'était approchée trop prés du dragon et elle avait perdu son épée. Son amie avait récupéré l'épée et tua le dragon, en le poignardant en plein cœur.

Sur le chemin du retour petite fille et son amie rencontrèrent un chien. Elles le ramenèrent avec elles. La petite fille était contente d’avoir trouvé un petit chien noir et blanc.

Texte et illustrations de Clarisse Rodriguez

7

Le royaume Anastasia Il était une fois une fillette abandonnée qui s’appelait Mimi. Elle avait des yeux bleus, vifs et pétillants. Son regard était doux et bienveillant. Son nez était mince. Ses lèvres étaient fines et bien dessinées. Elle avait un teint qui était éclatant. Ses cheveux étaient fins et longs. Les vêtements qu’elle portait étaient une tunique et des bottes. Elle était agréable, joyeuse, honnête et travailleuse. Après avoir fait un rêve, elle voulut à tout prix retrouver ses parents et sauver la princesse du royaume Anastasia. La jeune fille partit.

Sur son chemin, elle tomba sur un génie qui avait besoin d’aide. Elle l’aida et il la récompensa en lui donnant une clé d’or et un anneau de métamorphose. La princesse et ses parents se trouvaient dans le château du royaume Anastasia. La fillette dut se battre avec une méchante sorcière, mais elle fut vaincue et enfermée l’enferma dans une cage par la méchante femme. Et Mimi se servit de la clef d’or pour ouvrir la cage.

Elle entendit la sorcière dire qu’elle avait soif. Alors, elle se métamorphosa en verre qui contient du poison. La sorcière but et elle tomba morte. Mais l’héroïne fut piégée par les alliés de la sorcière qui l’enfermèrent dans une nouvelle cage. Les amis de la sorcière eurent faim. Alors, Mimi reprit son anneau de métamorphose et elle se transforma en cuisse de poulet empoisonnée. Elle sortit de la cage et alla sauver la princesse et ses parents. Elle reprit une nouvelle vie avec ses parents .Ils vécurent heureux.

Texte de Amal Imoussaten, illustration de Mourad Afkir

8

Clara

l était une fois une petite fille qui s'appelait Clara. Elle était très jolie. Son rêve était de devenir une héroïne connue.

Elle avait les yeux verts, brillants, le teint éclatant et les lèvres fines. Ses cheveux étaient bruns et ondulés et elle avait une robe qui descendait jusqu'aux genoux.

Un soir qu’elle rentrait de l'école, elle croisa une vieille dame qui avait une couronne. Clara lui demanda à qui était la couronne, et la vieille dame lui répondit : « elle est à une princesse ».

Clara se dit : « si je peux la lui ramener, je pourrais devenir une héroïne très connue ». Alors la vieille dame lui dit « suis-moi, je vais te montrer quelque chose», elle la suivit et l'emmena devant une fontaine. La petite fille but dans la fontaine mais la vielle dame lui dit « tiens, j'ai de l'eau » la petite fille fit semblant de boire et s'évanouit.

La vielle dame qui était très fière ria encore et encore, mais pendant ce temps, la petite fille avait pris la couronne et partit en courant. Quand la vieille dame se retourna, elle commença à crier, mais la petite fille ne revenait pas.

La vieille dame commença à la chercher mais elle arriva à bout de force et tomba. Clara, qui était cachée derrière un buisson, rentra chez elle. Elle raconta tout à sa mère qui n'en revenait pas.

Elles allèrent rendre la couronne toutes les deux à la princesse.

Et Clara passa à la télévision, dans les journaux et tout le monde la considéra comme une héroïne.

Texte et illustrations de Marie Pastour

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9

Le village sans enfant l était une fois dans un petit village allemand se nommant Genarba. Ses habitants vivaient dans la joie et la bonne humeur.

Etant tous très « fêtards » et couche-tard, ils dormaient beaucoup le jour.

Mais une nuit où ils se couchèrent plus tôt que d'habitude, un vent glacial se mit à souffler, les volets claquèrent et les villageois se retrouvèrent sur la place du village, chandelle à la main en chemise de nuit.

Tout à coup, un sorcier apparut. Il portait dans la main gauche un bâton tordu, une longue barbe et une moustache grise, une longue veste en laine qui lui descendait jusqu'aux pieds. Il dit:

« Je suis Padechichi, je vais m'installer ici. Vous devrez me verser la moitié de vos récoltes.

Et vous ne devrez pas faire d'enfants sinon un malheur s'abattra sur vous !! »

Sur ces mots, il alla s'installer dans une vieille hutte.

Les villageois apeurés s'efforcèrent de lui obéir, mais un jour une enfant fut mise au monde elle fut appelée Erila.

Ses yeux bleus auraient ébloui n'importe quelle mortelle. Son regard malicieux brillait comme un soleil. Son nez droit respirait doucement la vie. Ses lèvres bien dessinées auraient charmé n'importe qui. Son teint était pâle telle une chinoise maquillée. Sa belle chevelure était dorée telle de l'or fondu descendant jusqu'à son coup. Ses vêtements étaient des haillons gris.

Le sorcier arriva furieux de la désobéissance des villageois. Il entra dans la maison, il prit la fille. Ses parents apeurés ne firent pas grand chose pour l'empêcher de partir.

Des années plus tard. La petite Erila approchant de l'âge de raison était vêtue de haillons, dans la hutte du sorcier Elle balayait avec un balai qu’elle avait, de ses mains talentueuses fabriqué elle même.

Le sorcier la battait avec des petits bâtons. Elle allait chercher de l'eau au puits,

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parfois elle allait se baigner dans l'eau claire. Quand elle rentrait du puits en retard, le sorcier la battait. La nuit, elle dormait dans la paille et elle pleurait, elle pleurait son malheur.

Un jour qu'elle allait chercher de l'eau et qu'elle se baignait malgré l'interdiction du sorcier, un poisson apparut il dit « petite Erila au coeur rempli de larmes, donne-moi ce coquillage qui est là sur l'herbe et je t'aiderai. » Elle lui donna le coquillage et le poisson lui dit:

« Merci, tiens prends cette clé, elle ouvre la porte qui est dans la chambre du sorcier. Derrière cette porte se trouve une petite pièce, dans laquelle se trouve plein de petits tubes. Tu prendras celui qui est bleu. Tu le verseras dans le petit déjeuner du sorcier pour l'endormir.

Ensuite tu t'enfuiras. Mais avant, tu prendras la potion rouge. Puis, quand tu seras arrivé à une fontaine, tu verseras le liquide dans l'eau. Tu te cacheras dans l'arbre, puis tu verras le sorcier arriver. Il voudra se désaltérer. »

Sur ce, le poisson plongea dans les profondeurs. Erila fit ce que le poisson lui avait dit.

Le sorcier but et se transforma en poisson. Erila alla retrouver ses parents. Ils ne cessèrent de l'embrasser.

Elle vécut heureuse jusqu'à la fin de ses jours.

Texte et illustration de Théotime Bourgeois

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L’oiseau de feu

l était une fois, une petite fille qui s'appelait Talia. Elle était très belle. Ses yeux avaient de beaux

cils, et ils étaient pétillants. Son regard était doux, son nez était droit, sa bouche était petite et ses lèvres bien dessinées. Elle était pâle, ses cheveux étaient ondulés et longs. Elle portait un corsage noir cendres. Elle était agréable. Hélas à sa naissance, depuis quinze ans, son frère jumeau avait disparu. Un jour, elle reçut un message mystérieux. Elle le lut à voie haute : « Tu trouveras dans une chambre secrète ton frère, tout près du lac Léman. » Elle partit à cheval, vers le lac Léman. Elle vit par terre un animal blessé, et le soigna. Il la remercia et lui offrit un oiseau de feu, car c'était un animal magique. Il lui dit: « Pour arriver dans la chambre secrète, tu devras réunir quatre plumes d'un oiseau très rare, tu le verras tous les jours » . Elle lui répondit : « Merci petit animal va rejoindre ta famille, et vis heureux... » - « De rien, répondit-il, mais surtout il ne faut jamais dire merci à l'oiseau de feu. » Puis soudain, il disparut. Des longs jours s'écoulèrent et elle vit enfin l'oiseau de feu. Elle était éblouie par sa beauté. «Tu as de très belles plumes... Mais attends ! Tu as

quatre plumes différentes des autres ! » ll se tourna, et la petite fille les arracha délicatement. Soudain, elle apparut dans la chambre secrète, où se trouvait son frère. Elle le remercia mais il partit, car elle n'avait pas respecté la consigne de l'animal. « Ne t'en vas pas ! » lui répondit-elle, mais hélas il était trop tard.

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Les deux jumeaux s'embrassèrent, quand tout à coup, l'oiseau de feu revint et dit: « J'ai accompli ma mission, alors maintenant je vais disparaître, tu n'auras qu'à penser à moi, et j'apparaîtrai. Au revoir Talia. » Et les deux jumeaux refondirent leur famille et vécurent heureux ...

Texte et illustrations de Ninon Chautard