les 10 meilleures raisons d'automatiser vos processus de

Les 10 meilleures raisons d’automatiser vos processus de

Comptabilité Fournisseurs

Livre blanc

Livre blanc • Les 10 meilleures raisons d’automatiser vos processus de Comptabilité Fournisseurs •

PrésentationIl a été démontré que la principale réponse à

la problématique financière consiste à extraire

automatiquement les données de facturation, tout

en optimisant les processus de workflow impliquant

d’importants flux d’informations pour améliorer la

vitesse, l’efficacité, la qualité, le contrôle et la visibilité

des opérations dans leur globalité. L’optimisation résulte

d’une automatisation parfaitement coordonnée de

processus avec capture et de workflows basés sur

les meilleures pratiques, appliqués avec expertise à

un ensemble de processus. L’automatisation répond

efficacement aux problèmes que la Comptabilité

Fournisseurs doit traiter : contrôle des coûts, gestion

de la trésorerie, manque de transparence, inefficacité

des processus, retards de clôture, faible productivité et

risques de non-conformité liés à la fraude et aux erreurs.

Les établissements financiers conscients des

avantages que représente l’automatisation des

processus de Comptabilité Fournisseurs peuvent

tirer parti de davantage de ressources pour répondre

aux défis stratégiques auxquels l’entreprise est

confrontée. Ce document présente les dix meilleures

raisons d’automatiser les processus de Comptabilité

Fournisseurs, et expose les solutions permettant

de réduire les coûts, de renforcer les contrôles,

d’améliorer le niveau de service, d’augmenter la

visibilité et d’optimiser la qualité.

Raison numéro 10Bénéficier d’une visibilité claire et complèteLa visibilité est généralement un élément décisif dans

les services Comptabilité Fournisseurs, qui dépendent

encore largement des processus papier. De fait, une

étude sur les workflows et la facturation réalisée par

Aberdeen Group en 2011 a montré que 77 % des

factures sont encore au format papier, entraînant de

multiples problèmes de visibilité.

Résumé

La mission du service Comptabilité Fournisseurs

consiste à la fois à réduire les coûts, à améliorer

les performances, à garantir la conformité

réglementaire, à accroître la visibilité et à

permettre la mise en œuvre des initiatives

stratégiques de l’entreprise. La question

fondamentale n’est pas de savoir si une entreprise

doit chercher à atteindre ces objectifs, mais dans

quelle mesure elle peut y parvenir. L’automatisation

des processus avec capture de documents est

cruciale pour mener à bien cette mission. Ce livre

blanc passe en revue les dix meilleures raisons

d’automatiser vos processus de Comptabilité

Fournisseurs, et examine les solutions permettant

de réduire les coûts, de renforcer les contrôles,

d’améliorer le niveau de service, d’augmenter la

visibilité et d’optimiser la qualité.


Le manque de visibilité peut apparaître dès le

processus de réception des factures. Les factures sont

généralement adressées à différents bureaux régionaux

plutôt qu’à un destinataire précis au sein du service

Comptabilité Fournisseurs (voir la figure 1). Ces factures

préapprouvées sont ensuite transférées (manuellement)

au service Comptabilité Fournisseurs, puis saisies dans

le système ERP (Enterprise Resource Planning) de

l’entreprise. Aucune visibilité n’est possible à la source.

Certaines factures peuvent traîner sur le bureau d’un

responsable pendant des jours, voire des semaines,

entraînant des retards de paiement et des règlements

de dernière minute qui pourraient être évités, alors que

les responsables sectoriels veulent un processus de

paiement rapide pour conserver de bonnes relations

avec les fournisseurs.

Si les factures ne sont pas visibles à la fin des périodes

comptables, une grande partie, voire la totalité des

en-cours, risque de ne pas être prise en compte.

Lorsque la régularisation est incomplète, les dépenses

peuvent être sous-estimées, d’où un gonflement des

revenus de la période. De ce fait, l’entreprise peut

être taxée de fraude liée à la mauvaise séparation

des exercices comptables (« faux profits »), ce qui

arrive lorsque les entreprises souhaitent à tout prix

afficher des gains ou réduire des pertes. Le processus

de « préapprobation » présente un sérieux risque

si les responsables régionaux reçoivent l’instruction

de mettre délibérément les factures en attente,

afin qu’elles ne soient pas prises en compte dans

la période comptable en cours. Les factures papier

perdues mettent également à mal la visibilité de

l’entreprise sur ses en-cours. Les conséquences de ce

processus papier décentralisé et archaïque ne plaident

pas en sa faveur.

Solution : une visibilité claire et complète

Pour jouir d’une visibilité claire et complète sur

l’ensemble du flux de Comptabilité Fournisseurs, les

entreprises doivent limiter l’utilisation des documents

papier, tout en intégrant étroitement les processus

de Comptabilité Fournisseurs à leurs systèmes

ERP. L’automatisation basée sur la capture des

documents et l’intégration des workflows au sein d’un

système ERP est la condition préalable à une totale

transparence. Les solutions d’automatisation idéales

offrent les caractéristiques suivantes :

• Visibilité précoce grâce à la réception centralisée et

à la capture des données de facturation à la source

dans le système ERP, quel que soit le format des

factures, avec à la clé la prise en compte accélérée

des en-cours ;

• Utilisation optimisée des ressources : les goulots

d’étranglement des processus sont identifiés et

éliminés pour réduire les cycles de traitement ;

• Pistes d’audit complètes de chaque étape du

processus et pour chaque intervenant ;

• Identification proactive des erreurs, reposant

notamment sur un dispositif d’alertes permettant aux

responsables de résoudre à temps les problèmes

potentiels.

Comptabilité Fournisseurs ERP Règlement?

Les processus traditionnels n’offrent aucune visibilité à la source

Bureau régional A

Bureau régional B

Bureau régional C

Figure 1 : des factures adressées à différents sites, sans aucun suivi.


Raison numéro 9Accélérer la clôture des périodes et accroître leur fiabilitéDéfi : les exigences légales prônent une clôture des périodes plus fiable et plus rapide

La soumission accélérée des dossiers comptables

est l’une des nombreuses conséquences des

réglementations, notamment de la loi Sarbanes-Oxley

(SOX). Toute erreur détectée une fois les dossiers

comptables soumis (lors d’un audit interne ou externe)

doit être signalée comme un défaut ou une erreur de

déclaration. Les entreprises sont tenues de clôturer

leurs comptes rapidement et sans erreur. En dépit des

avantages qu’elle offre (les informations pertinentes

délivrées en temps voulu aux responsables permettent

de prendre plus rapidement des décisions stratégiques

éclairées, libérant des ressources qui sont dès lors à

même de se concentrer sur les projets stratégiques), la

clôture de la Comptabilité Fournisseurs peut entraîner

un goulot d’étranglement.

Comme mentionné précédemment, les processus

traditionnels de Comptabilité Fournisseurs risquent de

ne pas comptabiliser la totalité des en-cours, entraînant

un retard des clôtures de période et la sous-estimation

des dépenses ou la surdéclaration des recettes. Or les

erreurs de déclaration sont parfois signalées au public,

une sanction qu’aucune entreprise ne souhaite subir.

Solution : un programme en trois étapes permettant d’accélérer la clôture de la Comptabilité Fournisseurs, tout en améliorant sa fiabilité

Vous pouvez améliorer les délais et la sûreté de la

clôture de la Comptabilité Fournisseurs grâce aux

méthodes suivantes :

• Automatisation de la Comptabilité Fournisseurs ;

• Rapprochement précoce des comptes ;

• Comptabilisation correcte des en-cours.

Les solutions adéquates d’automatisation du

traitement de la Comptabilité Fournisseurs (avec

capture des données de facturation ultra-fiable

et haute capacité, intégration du contenu dans

le système ERP, codage comptable et processus

d’approbation et de paiement basés sur les workflows)

permettent d’accroître la fiabilité des clôtures.

Les factures avec ou sans bon de commande et

l’ensemble des informations pertinentes sont saisies

automatiquement dans le système ERP, tandis que

les workflows exploitent la structure d’approbation

et les codes comptables du système ERP pour créer

un enregistrement permanent de chaque transaction.

Les étapes de clôture sont ainsi simplifiées et les

entreprises en mesure de mener à bien cette tâche

plus rapidement, avec une fiabilité accrue.

Pour détecter les déclarations erronées avant leur

publication, l’entreprise se doit de terminer le

processus de rapprochement comptable avant la

clôture. Le défi consiste à assurer la fiabilité du

rapprochement comptable, tout en respectant le délai

de clôture. C’est pourquoi le système doit :

• Disposer de l’ensemble des documents pertinents et

à jour des transactions, afin de faciliter la résolution

des écarts ;

• Exiger les documents pertinents du grand livre pour

toutes les entrées non standard ;

• Conserver un historique d’audit des transactions pour

fournir toutes les informations à chaque transaction ;

• Disposer d’un « contrôleur de gestion virtuel », afin

que les violations de règles soient transmises aux

responsables avec à l’appui toutes les informations

pertinentes nécessaires à la résolution rapide des

erreurs.

En plus des multiples avantages que présente une

visibilité claire et complète, la comptabilisation

précoce et fiable des en-cours accélère le processus

de clôture. La parfaite maîtrise des en-cours permet

aux entreprises de reporter des informations fiables

lors de la régularisation, avec à la clé une réduction


sensible des déclarations erronées. Or, les solutions

d’automatisation du traitement de la Comptabilité

Fournisseurs qui assurent la capture, la réception

centralisée des factures et l’intégration du contenu au

système ERP, permettent d’obtenir une vision précise

des en-cours.

Raison numéro 8Doper la productivitéDéfi : la faible productivité du processus de Comptabilité Fournisseurs

Les services Comptabilité Fournisseurs s’enlisent

dans leurs processus papier. De fait, ils consacrent

un temps considérable à classer, à récupérer, à faxer,

à copier, à envoyer par courrier ou à rechercher des

documents mal classés ou perdus. Les faibles niveaux

d’automatisation freinent également les services

Comptabilité Fournisseurs. Selon le rapport Aberdeen,

le traitement d’une simple facture peut prendre jusqu’à

41 jours si l’entreprise a recours à un nombre limité

de méthodes d’automatisation et saisit régulièrement

les données à la main. Si l’on considère par ailleurs

le volume de documents papier et les faibles niveaux

d’automatisation, la productivité est désastreuse.

Les processus de Comptabilité Fournisseurs trop

complexes nuisent également à la productivité :

multiplication des systèmes financiers, standardisation

insuffisante et contrôles manuels internes trop

fréquents. Ajoutez les interruptions résultant des

demandes urgentes de vérification, les réclamations

des fournisseurs qui souhaitent être payés et autres

problèmes nécessitant une résolution rapide : il n’est

pas étonnant que la productivité de la Comptabilité

Fournisseurs soit mise à mal.

Solution : l’augmentation de la productivité au sein du service Comptabilité Fournisseurs

L’augmentation de la productivité est un concept si

vaste qu’il doit être associé à trois étapes concrètes

pour être décrypté :

• Automatisation.

• Réduction de la complexité / Amélioration des processus métier.

• Suivi de la productivité.

Une étude de l’IOMA (International Options Market

Association) a récemment démontré que « les

employés de la Comptabilité Fournisseurs disposant

d’un haut niveau d’automatisation sont en mesure

de traiter deux fois plus de factures qu’avec un

faible niveau d’automatisation. » Les améliorations

des processus et technologies d’automatisation

comprennent :

• La capture (imagerie de la facture, fonctions avancées

de reconnaissance et d’extraction de l’ensemble des

données de facturation, facturation électronique, EDI)

• La mise en correspondance automatique avec les

bons de commande

• La résolution des écarts et l’approbation

• L’intégration avec les systèmes ERP

• Les fonctionnalités de libre-service à la disposition

des responsables et des fournisseurs

Néanmoins, l’intégration de technologies ne suffit pas

à augmenter la productivité si l’équipe travaille dur,

mais de façon inefficace. Il est nécessaire de simplifier

le processus dans le même temps. Le Hackett

Group a établi que les entreprises leader mettent en

place moins de contrôles clés que les autres, et 61

% moins de contrôles au total. Malgré davantage

de contrôles, les autres entreprises possédaient

des dispositifs moins performants. Pour doper leur

productivité, les entreprises doivent utiliser les

solutions d’automatisation de façon pertinente, afin de

limiter le nombre de contrôles clés, tout en favorisant

la rationalisation et l’optimisation des processus. Les

processus moins complexes se caractérisent par une

réception centralisée immédiate des factures, ainsi

que des étapes bien conçues et bien documentées

pour la capture des factures, leur saisie automatique


dans le système ERP, la mise en correspondance

avec les bons de commande, la résolution des

écarts, le codage comptable, l’approbation et le

paiement. Enfin, l’évaluation de la productivité du

service Comptabilité Fournisseurs est essentielle pour

une gestion efficace. Les responsables financiers

ont besoin d’informations détaillées sur les chiffres

du service, afin de déterminer la productivité avec

précision et d’identifier les goulots d’étranglement.

Les statistiques d’évaluation comprennent le coût et

la durée de traitement d’une facture (avec et sans

bon de commande), la productivité des utilisateurs, la

vitesse des workflows, le débit de la file d’attente, les

utilisateurs affichant la meilleure productivité et ceux

présentant la plus faible (pour lesquels des formations

complémentaires seraient bienvenues).

Raison numéro 7Tirer parti de votre investissement ERPDéfi : les services financiers ne tirent pas pleinement parti du système ERP mis en œuvre

Sans nul doute, les plateformes ERP comme Oracle et

SAP disposent de puissantes fonctionnalités permettant

d’aider une entreprise à tirer le meilleur parti de ses

précieuses ressources, telles que son personnel, ses

fonds et ses actifs. Néanmoins, la plupart des systèmes

ERP peinent à répondre aux attentes ou à offrir les

résultats escomptés. Comme le souligne David Hebert

du Hackett Group dans un rapport spécial destiné aux

cadres internationaux de la finance, « d’après nos

données, seul un nombre restreint d’entreprises a

exploité le plein potentiel de sa solution ERP. L’entreprise

moyenne attendra de nombreuses années avant de

profiter de toute la valeur ajoutée du système. »

Dans la plupart des cas, l’absence de résultats

probants avec un système ERP (particulièrement

pour les services financiers) provient de l’utilisation

de processus archaïques reposant sur des opérations

manuelles multiples, ce qui plombe le potentiel du

système. Bien que le système ERP soit un excellent

référentiel pour toutes les données financières, il

n’est pas conçu pour prendre en charge les processus

entourant chacune de ces transactions. Le stockage

de la facture originale dans le système ERP permet

de consulter ledit document, mais ne fournit toutefois

aucune information sur la façon dont il a été approuvé,

s’il a reçu les signatures requises ou s’il a suivi les

règles adéquates.

Solution : la simplification, la standardisation et l’optimisation des processus métier

Pour une entreprise, le meilleur moyen de tirer

pleinement parti de son investissement ERP consiste

à développer des processus simplifiés et standardisés

pour les tâches répétitives et prévisibles, comme la

réception, la vérification et l’approbation des factures.

La plupart des sociétés ont dépensé des sommes

colossales pour la mise en œuvre de systèmes ERP

sophistiqués, mais se contentent de transférer les

processus préexistants sur le nouveau système ou

de les adapter. La figure 2 illustre par exemple un

processus inefficace de paiement des factures au

sein d’une entreprise, celui-ci n’ayant pas été revu en

tenant compte de la mise en œuvre du système ERP.

Le dysfonctionnement relevait principalement d’une

mauvaise gestion des informations stratégiques,

entraînant une communication et une collaboration

inefficaces et onéreuses avec de nombreux échanges

d’e-mails, de fax, de photocopies, etc. La solution

consistait en la simplification et la standardisation des

processus, à commencer par l’élimination des étapes

superflues et l’optimisation de l’efficacité des autres

étapes (voir la figure 3). En utilisant son système ERP

pour intégrer étroitement les informations capturées

avec un ensemble cohérent de processus, l’entreprise

optimise son efficacité, sa rapidité et sa visibilité, tout

en réduisant ses coûts et le nombre des contrôles.

Par ailleurs, la rationalisation du processus implique


que tous les intervenants, quels que soient leur

poste ou leur expérience, aient accès à l’ensemble

des informations appropriées pour interagir de façon

intuitive et intelligente avec la transaction.

Dans le cadre d’un processus optimisé, un employé

sectoriel chargé de l’approbation d’une facture reçoit

ainsi un e-mail contenant un lien vers la facture et les

documents connexes pertinents. Le collaborateur est

donc en mesure de visualiser le contenu de la facture

préalablement extrait, puis intégré au système ERP

de façon automatique. Pour approuver la facture, il lui

suffit alors de cliquer sur le bouton d’approbation pour

envoyer en temps réel la facture dans la file d’attente

de paiement du système ERP. Il est inutile de connaître

l’interface ERP, de consulter un autre système ou de

rechercher et vérifier un document papier.

Raison numéro 6Améliorer la qualitéDéfi : les erreurs liées à la Comptabilité Fournisseurs mettent à mal la qualité et entraînent un surcoût

Les erreurs en matière de Comptabilité Fournisseurs

sont coûteuses, quelle que soit la devise concernée, la

productivité du service et la réputation de l’entreprise.

Le défi consiste à comprendre l’origine des erreurs, à

les localiser, puis à les éliminer systématiquement pour

améliorer la qualité et réduire les coûts.

Le coût des erreurs en matière de Comptabilité

Fournisseurs apparaît lorsque l’on considère les

mesures à prendre pour les rectifier. Prenons l’exemple

du règlement insuffisant d’une facture fournisseur.

L’entreprise doit :

Non

Oui

Processusd’achat

Produits/services réceptionnés

par le demandeur

Information du reçu ajoutée

à la copie du bon de commande

Préparation d’un courrier

décrivant l’anomalieet envoi

au service achat

Le service achatidentifie et corrige

les anomalies

Concordancefacture/reçu

Facture envoyéepour saisie

dans le système de Comptabilité

Fournisseurs

Réception et vérification

de la facture.La TVA est ajustée

si nécessaire

Le service achat reçoit/saisit le reçudans le système de Comptabilité

Fournisseurs

Bon de commande avec reçu

faxé/envoyé aucentre de traitement

Traitement de la facture mis en attente

Processus de règlement

Courrier décrivant l’anomalie

Problème de concordance ?

Reçu réceptionné ?

Facture avecbon de commandeFacture reçue

Reçu en attentede facture

Facture réceptionnée ?

Bon de commandeavec reçu

Oui

Oui

Non

Non

Figure 2 : le processus de paiement et d’approbation des factures illustré n’est pas évolutif.


• Répondre à la réclamation du fournisseur ;

• Mener l’enquête sur l’erreur commise ;

• Contacter le fournisseur pour lui faire part de la solution

proposée ;

• Émettre une créance ou lancer le traitement d’un

nouveau paiement ;

• Approuver le nouveau paiement et, le cas échéant,

effectuer le rapprochement avec le bon de commande ;

• Procéder au règlement et en informer le fournisseur ;

• Comptabiliser le nouvel en-cours ;

• Gérer l’impact du report d’envoi ou de la mise en

attente des produits par le fournisseur (susceptible

d’avoir des répercussions sur le calendrier de

production).

Le service Comptabilité Fournisseurs et le personnel

sectoriel consacrent un temps significatif à chacune

de ces étapes, ce qui entraîne des coûts importants.

Il est bon de noter que les processus basés sur les

documents papier présentent des taux d’erreur plus

élevés que les processus de capture : erreurs de saisie

ou de correspondance, perte de documents ou erreurs

de classification, etc. De plus, ces erreurs nuisent à la

qualité du service, car elles irritent les fournisseurs et

sont sources de frustration pour les clients internes.

Solution : l’établissement d’une culture de l’amélioration continue fondée sur un socle technologique adapté

Le souci de la qualité est au cœur du développement

d’une « culture de l’amélioration continue ». Des

programmes comme Six Sigma, LEAN et Balanced

Routage en fonction du rôlepour la résolution

des factures en attente

Paiement en attente/bloqué ?

Ajustement dans l’ERP du

bon de commande, du reçu

et/ou de la facture

Vérification sur 2 ou 3 niveaux

dans l’ERP

Données de la facture

livrées dans l’ERP

Facture capturéedepuis le document

papier ou électronique

d’origine

Reçu des produitssaisi dans l’ERP

Données de la commande capturées

dans l’ERP via création d’un

bon de commande

Facture reçue

Réception des produits

Oui

Oui

Non

Non

Processusd’achat

Problème de concordance ?

Processus de règlement

Figure 3 : l’élimination des étapes inutiles et redondantes est fondamentale pour la simplification et la standardisation du processus.


Scorecards mettent en évidence les problèmes de

qualité et en identifient l’origine, afin de prendre les

mesures correctives qui s’imposent. Ces méthodes

d’amélioration des processus reposent sur les

statistiques, qui permettent d’évaluer le temps et les

ressources nécessaires à la réalisation d’une action

et au suivi de l’efficacité des mesures de qualité

mises en œuvre. Les programmes qualité présentent

généralement des avantages directs.

Il est néanmoins nécessaire d’associer à ce type de

projets les solutions technologiques appropriées pour

assurer l’accès en libre-service, la capture, le calcul et

la création de rapports répertoriant les statistiques des

processus.

L’automatisation des workflows permet de connaître

la nature, la date, la localisation et l’auteur des tâches,

quelle que soit l’étape du processus. Lorsqu’ils sont

étroitement intégrés aux systèmes ERP, les workflows

fournissent des données de traitement qui peuvent

être exploitées pour obtenir des informations chiffrées

et une intelligence métier surpassant les performances

d’une analyse de données ERP standard réalisée avec

des outils traditionnels. Le « traitement automatisé »

vient naturellement compléter les systèmes d’analyse

décisionnelle préexistants.

Un socle technologique adapté ne se limite pas à

atteindre les objectifs d’amélioration en matière

de qualité ; il permet également aux responsables

financiers de suivre l’ensemble des activités et de

prendre leurs décisions en conséquence : comptabilité,

création de rapports financiers, détection des fraudes

et performances de l’entreprise.

La reconnaissance avancée des données de facturation,

la mise en correspondance automatique avec les

données issues des bons de commande et la saisie

dans le système ERP représentent les trois piliers

technologiques de l’entreprise. Les données peuvent

concerner des noms de fournisseurs, des numéros,

dates ou montants de facture, des numéros de bons

de commande ou la commande de postes particuliers.

Quelles que soient les informations capturées, l’abandon

de la saisie manuelle au profit de l’automatisation des

processus d’extraction, de mise en correspondance

et d’exportation des données vers le système ERP

réduit considérablement le nombre d’erreurs. Les

performances de la reconnaissance avancée sont

largement supérieures à celles de la reconnaissance

optique des caractères standard. De fait, le logiciel

prend en charge la localisation des formats et des mots-

clés, le rapprochement des données en provenance des

bons de commande, les recherches partielles dans les

bases de données et la révision manuelle, de sorte à ce

que seules les données les plus fiables soient saisies

dans le système ERP.

L’accès en libre-service représente également un

facteur d’amélioration de la qualité relevant du socle

technologique. Il peut être exploité sur l’ensemble du

processus de Comptabilité Fournisseurs pour réduire

les requêtes chronophages des employés et des

fournisseurs. L’accès en libre-service aux transactions de

la Comptabilité Fournisseurs permet d’accélérer le cycle

de traitement des factures tout en éliminant la ressaisie

des données de facturation, ce qui diminue les erreurs

de saisie et de paiement. Libérées, les ressources

peuvent consacrer plus de temps aux tâches à plus

forte valeur ajoutée comme la conformité des dépenses,

les prévisions budgétaires et la planification.


Raison numéro 5 Faciliter l’analyse des dépenses et la planification budgétaireDéfi : le manque de transparence et la mauvaise gestion de la base fournisseurs entravent l’analyse des dépenses et la planification budgétaire, ce qui nuit aux performances de l’entreprise

Pour optimiser leurs résultats, les entreprises ne doivent

pas faire d’erreur lors de l’analyse des dépenses et

de la planification budgétaire. Or, si les sociétés ne

sont pas en mesure d’analyser correctement la courbe

des dépenses actuelles et passées, leur capacité de

planification et de prévision est sérieusement mise à

mal. Dès lors, elles se retrouvent dans l’incapacité de :

• Contrôler les coûts ;

• Prévoir les résultats en fonction des coûts passés ;

• Réduire les frais généraux et améliorer les modes de

répartition des coûts ;

• Identifier les activités et les processus avec et sans

valeur ajoutée ;

• Cibler et éliminer les tâches inefficaces et superflues

La mauvaise gestion de la base fournisseurs est

principalement responsable de l’incapacité des

entreprises à analyser correctement la courbe de leurs

dépenses. De fait, elle empêche les analystes de

répartir les dépenses de l’entreprise sur les différents

postes (fournisseurs, matières premières, montant

en dollars/euros, volume des transactions, etc.). Or, la

gestion de la base fournisseurs devient incontrôlable

au fil du temps, en raison de la croissance de

l’entreprise, des achats et de la création de copies

du fichier. D’autres facteurs affectent la fiabilité de la

base fournisseurs, parmi lesquels les changements

de nom des fournisseurs, leurs nouveaux sites ou

les modifications d’attribution de marché. Avec des

milliers de fournisseurs, la gestion du fichier devient

complexe, surtout s’il est difficile d’identifier le service

responsable de la base fournisseurs ou si certains

services assurent la gestion de leur propre fichier,

avec à la clé plusieurs bases fournisseurs au sein de

l’entreprise.

L’impossibilité d’analyser les coûts au niveau de

détail approprié constitue un autre obstacle de taille

pour la planification budgétaire et les prévisions. Ce

manque de transparence ne permet pas de bénéficier

d’analyses détaillées, lesquelles sont pourtant

nécessaires pour planifier les activités à venir et

réaliser des économies.

Solution : une base fournisseurs fiable pour améliorer la transparence et les performances de l’entreprise

Dans la plupart des entreprises, le service des achats

et celui de la Comptabilité Fournisseurs se partagent la

gestion de la base fournisseurs. Résultat : on observe

la présence de doublons, lesquels ne permettent pas

d’avoir une vision globale ou exacte sur les coûts

actuels. La solution consiste à désigner un responsable

unique chargé d’assurer la gestion de la base

fournisseurs et des processus connexes.

Pour garantir au mieux l’intégrité de la base

fournisseurs, il est recommandé de mettre en place

des workflows respectant les meilleures pratiques. La

configuration et la mise à jour des fournisseurs doivent

faire l’objet d’une approbation et d’une autorisation

standard, ces deux tâches devant être séparées pour

limiter le risque de fraude. La gestion des fournisseurs

doit idéalement être dissociée du traitement des

factures, afin que la personne chargée de la création

du fournisseur ne puisse ensuite pas participer au

traitement des factures. Chaque fournisseur doit

être ajouté à la base, quel que soit le volume de la

facture ou son montant en dollars/euros. La bonne

gestion de l’ensemble des documents pertinents liés

aux fournisseurs (y compris les mises à jour et les

lettres à en-tête) est essentielle à l’intégrité de la base

fournisseurs.


Lorsqu’elles sont fiables, les données des fournisseurs

permettent aux entreprises de mieux cibler les

dépenses et facilitent considérablement les tâches de

planification budgétaire et de prévision. La Comptabilité

Fournisseurs dispose généralement de la plupart des

données requises pour l’analyse des dépenses, qui doit

être répartie par fournisseur, par matière première, par

montant en dollars/euros et par volume de transactions.

La bonne maîtrise des dépenses en matières premières

peut considérablement améliorer la gestion des

fournisseurs. Il convient par exemple de passer des

contrats avec un nombre restreint de fournisseurs pour

profiter de conditions plus avantageuses.

L’analyse des dépenses en termes de volume de

transactions met généralement en évidence la multitude

des petits fournisseurs pour des postes comme la

climatisation, la logistique, les télécommunications,

l’intérim et les fournitures de bureau, comme étant à

l’origine du plus grand nombre de factures.

Le codage adéquat des factures est également crucial.

Fréquemment source d’erreurs, il complique

régulièrement les cycles de planification budgétaire et

de prévision. Si la résolution des erreurs de codage et

la ressaisie qui s’ensuit peuvent s’apparenter à des

tâches chronophages et inefficaces, elles sont

néanmoins indispensables pour ne pas reproduire les

erreurs et créer des failles rendant impossible une

analyse fiable des dépenses passées.

Raison numéro 4Adopter les meilleures pratiquesDéfi : des procédures et des règles non clarifiées rendent les meilleures pratiques au mieux inapplicables

Sans règles ni procédures d’entreprise claires,

les services Comptabilité Fournisseurs ne sont

généralement pas en mesure de mettre en œuvre

les meilleures pratiques. Lorsque le processus

de paiement ne fait pas l’objet d’une approche

codifiée standard, les difficultés s’accumulent pour la

Comptabilité Fournisseurs :

• Coûts pour assurer la conformité et les risques de

non-conformité ;

• Inefficacité et négligence, avec à la clé des retards de

paiement et l’annulation des remises ;

• Risques de fraude accrus ;

• Décisions nécessitant un arbitrage du personnel de

la Comptabilité Fournisseurs qui ne possède pas

l’expertise ni l’expérience requises ;

• Processus reposant sur les employés dont les départs

et les congés rendent impossible le paiement des

fournisseurs ;

• Erreurs.

La définition de procédures de Comptabilité

Fournisseurs claires est le meilleur moyen d’améliorer

rapidement les meilleures pratiques. D’après le rapport

de l’IOMA intitulé « Transforming AP Management:

Taking Your Department to the Next Level »

(Transformer la gestion de la Comptabilité Fournisseurs

: comment rehausser votre niveau de service), plus

de 60 % des personnes interrogées ont cité des

procédures de Comptabilité Fournisseurs claires

et optimisées comme étant la principale stratégie

d’amélioration des performances du service. Pour cela,

il est notamment recommandé d’utiliser un manuel

écrit de Comptabilité Fournisseurs, des workflows, des

règles liées aux bons de commande et des contrôles

internes renforcés en la matière.

Solution : la mise en œuvre automatisée des règles et des procédures

Le moyen le plus efficace et le plus rapide pour

accéder aux meilleures pratiques en matière de

Comptabilité Fournisseurs consiste à appliquer

automatiquement des règles et des procédures,

par le biais de workflows intégrant les meilleures

pratiques. Conformes aux règles de la Comptabilité


Fournisseurs, les workflows automatisés garantissent

que l’ensemble des transactions :

• Suivent un processus standard ;

• Respectent les stratégies d’approbation et

d’autorisation établies ;

• Comportent les documents pertinents requis en pièce

jointe;

• L’application automatique des règles et des

procédures repose sur des principes fondamentaux

comprenant :

Un ensemble unique de processus standard et

cohérents ;

Des technologies de workflow et de capture des

documents, ainsi que leur étroite intégration au

système ERP

Une structure solide d’approbation avec envoi

automatisé exploitant le système ERP et une vision

claire pour la personne chargée de l’approbation ;

Des approbations ponctuelles avec l’envoi

automatique de rappels, les procédures en escalade

automatisées et la gestion des priorités pour les

factures urgentes ;

L’application des contrôles (tels que la séparation

des tâches).

L’automatisation de la Comptabilité Fournisseurs

grâce au processus de workflow et à la capture des

documents favorise les approbations ponctuelles et

fiables. Lorsque les approbations automatisées sont en

place, les utilisateurs constatent que le processus est

systématique, qu’il fait l’objet d’un contrôle et d’un suivi,

et qu’il entraîne des répercussions si les approbations

ne sont pas effectuées dans les délais.

Raison numéro 3Jeter les bases de la mondialisationDéfi : la mondialisation exerce une pression croissante sur les services financiers

Dans l’environnement actuel de forte concurrence, les

services financiers subissent une pression continue

pour réduire leurs coûts d’exploitation et renforcer

leurs dispositifs de contrôle internes, tandis que les

unités commerciales réclament une amélioration

des niveaux de service et une accélération du cycle

de traitement. Les professionnels de la finance sont

régulièrement amenés à constater que leurs actions

sont menées à l’échelle internationale alors que les

opérations financières sont décentralisées. Ils doivent

ainsi faire face à ces exigences à première vue

contradictoires. Cela est particulièrement vrai pour les

entreprises possédant :

• Plusieurs unités d’exploitation ;

• Des volumes importants de transactions ;

• Des services d’assistance indépendants offrant des

niveaux de service inégaux ou insatisfaisants ;

• Des processus manuels basés sur des documents

papier ;

• Des coûts de transaction supérieurs à la moyenne.

Solution : les services partagés

À mesure que les entreprises se développent, les

services partagés sont utilisés comme un « raccourci

» permettant d’optimiser les opérations financières.

Ils offrent des bases solides adaptées à la croissance,

en permettant aux entreprises d’affecter des

technologies et du personnel au site géographique

souhaité. L’utilisation des services partagés permet

de transformer les opérations financières, en passant

d’un modèle d’organisation décentralisé sur plusieurs

sites doté de processus et de systèmes disparates,

à un centre de services international (ou à des

centres de services régionaux) bien plus efficace(s)

et présentant des coûts réduits, un niveau de service

amélioré et des dispositifs de contrôle renforcés. Les

opérations financières clés, telles que la Comptabilité

Fournisseurs, sont réunies dans un ou plusieurs

centres de services partagés, avec un ensemble de

processus rationalisés et une solution technologique


unique réservés à un site géographique ou à

l’ensemble d’une entreprise.

La standardisation des processus constitue la

première étape de la migration vers les services

partagés. Pour être efficaces, les services partagés

doivent générer durablement une valeur ajoutée

supérieure à la réduction des coûts initiaux, tout en

continuant d’améliorer les niveaux de service. Outre

la consolidation et l’amélioration du niveau de service,

les services partagés permettent de rationaliser les

processus et d’améliorer les données de gestion,

notamment en matière de Comptabilité Fournisseurs.

Dans un contexte économique exigeant, ils améliorent

la fiabilité et la précision des rapports financiers.

Une entreprise en passe d’adopter un modèle de

services partagés doit conserver à l’esprit les éléments

suivants :

• La standardisation et l’amélioration des processus

(rationalisés, évolutifs et dotés de puissants

dispositifs de contrôle interne) doivent être les

principaux moteurs.

• Des systèmes et des solutions technologiques

solides et évolutifs sont indispensables. Une attention

continue portée à l’automatisation permettra de

réduire les coûts et d’améliorer les niveaux de

service.

En adoptant une plateforme de services partagés

internationale, les entreprises disposent d’une

opportunité en or : celle de revoir leurs processus en

fonction des objectifs de l’entreprise pour se préparer

à la croissance.

Raison numéro 2 Strengthen Internal ControlsDéfi : la fraude présente des risques considérables pour la conformité et les services financiers des entreprises

Tous les professionnels de la finance sont conscients

du risque de fraude auquel leur entreprise est

exposée. Une étude PricewaterhouseCoopers sur

la fraude économique réalisée en 2009 met en

évidence le fait que 40 % des entreprises interrogées

ont reconnu être confrontées à un risque accru de

fraude économique, tandis que 30 % d’entre elles

ont été victimes de fraude au cours des 12 derniers

mois. Au-delà de la perte de revenus (qui inclut les

coûts associés à la mise en conformité), l’entreprise

peut subir d’importants dommages collatéraux :

atteinte à sa réputation, évaluation à la baisse de sa

valeur, fléchissement de la motivation du personnel,

dégradation des relations commerciales, etc.

La fraude peut être classée en trois catégories

principales : la corruption, le détournement de fonds et

les fausses déclarations. Les dépenses frauduleuses

(qui relèvent du détournement de fonds) représentaient

deux tiers des cas, et lorsque l’on étudie cette

catégorie de plus près, les trois principaux problèmes

sont liés à la Comptabilité Fournisseurs : systèmes de

facturation malhonnêtes, falsification de chèques et

remboursement des dépenses.

Depuis la loi Sarbanes-Oxley de 2002, près de 25 %

des grands groupes américains ont déclaré que les

données financières qu’ils avaient communiquées

comportaient des erreurs et que les processus mis en

cause devaient être corrigés. Dans la plupart des cas,

les responsables jugeaient leurs contrôles internes

suffisants.


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Solution : utilisation des technologies pour simplifier les processus et automatiser les contrôles

Quel que soit le but, la prévention de la fraude ou la

conformité réglementaire, l’utilisation des meilleures

pratiques permet efficacement de maîtriser les données

et de jeter les bases d’un environnement de contrôles

performant. Selon le Hackett Group, les meilleures

pratiques suivantes sont essentielles pour gérer les

risques, tout en conservant la maîtrise des coûts :

• Centralisation et simplification des processus ;

• Utilisation des technologies ;

• Contrôles automatisés et préventifs.

Centralisation et simplification des processus

Selon le Hackett Group, les entreprises leader

possèdent 20 % de contrôles clés par milliard de

dollars en chiffre d’affaires de moins que les autres

sociétés. Elles mettent en place des processus

standardisés pour les tâches courantes, et simplifient

les processus pour réduire les coûts et les possibilités

de fraude. Étant donné que la centralisation des

personnes ou des équipes partageant la même

fonction permet elle aussi de réduire la complexité,

nombre d’entreprises adoptent un centre de services

partagés centralisé, au niveau national ou international.

L’étude du Hackett Group révèle que 20 % des

entreprises ayant mis en œuvre des services financiers

partagés ont réalisé une économie de plus de 40 %.

Utilisation des technologies

La simplification et la centralisation peuvent être

prises en charge par le regroupement des opérations

sur des plateformes technologiques communes,

idéalement une instance ERP unique. L’étude du

Hackett Group indique que les entreprises leader

disposent d’un seul système ERP, contre deux pour les

autres sociétés. La mise en œuvre d’un système ERP

unique assure un minimum de doublons, des bases

de données partagées pour le service des achats et

la Comptabilité Fournisseurs, une base fournisseurs

unique et un seul plan comptable. La technologie peut

également s’appliquer aux approbations par le biais de

l’automatisation des workflows. Comme mentionné

précédemment, les entreprises misant encore sur les

documents papier se servent de processus lents et

inefficaces, qui les exposent inutilement aux fraudes

éventuelles.

Contrôles automatisés et préventifs

Le rapport de l’IOMA intitulé « Imaging and Workflow

for AP Departments » (Imagerie et workflow pour les

services Comptabilité Fournisseurs) révèle que « les

technologies de workflow permettent aux services

Comptabilité Fournisseurs d’être en conformité avec

les règles de l’entreprise, telles que les autorisations

de facture avant le paiement. » Un dispositif de

contrôle efficace anticipant les cas de fraude revient

généralement moins cher que la détection des erreurs

a posteriori.

Les audits internes et externes représentent de

puissants outils pour la détection des fraudes et

des déclarations financières erronées, mais pour

les renforcer de façon adéquate, les entreprises

nécessitent un système qui capture automatiquement

les documents pertinents, dans le cadre du processus

métier. Les transactions devraient pouvoir être

accessibles en ligne et tous les documents requis

devraient être mis à la disposition des contrôleurs

de gestion par le biais d’un portail sécurisé dont la

consultation en libre-service est uniquement possible

pour les transactions demandées.

Raison numéro 1Optimiser le bien le plus précieux de l’entreprise : la trésorerieDéfi : le paiement d’une facture coûte cher

La principale fonction de la Comptabilité Fournisseurs

consiste à payer les factures, mais pour la plupart des

entreprises, ce processus est coûteux, chronophage


et implique le traitement de nombreux documents

papier. Selon le Hackett Group, « les entreprises

les plus performantes sont capables de mener à

bien le processus de Comptabilité Fournisseurs

pour seulement un dixième du coût enregistré par

les sociétés les moins efficaces, ce qui équivaut

en moyenne à une économie annuelle de 460 000

euros par milliard de chiffre d’affaires. » Une étude

de PricewaterhouseCoopers indique qu’un service

Comptabilité Fournisseurs réalise en moyenne 19

copies de chaque document, dépense 15 € de main

d’œuvre pour classer chaque document, perd 1

document sur 20, dépense 90 € de main d’œuvre pour

rechercher chaque document mal classé et consacre

25 heures au rétablissement du document perdu. Les

autres coûts liés au papier comprennent le stockage

et le transport des documents, la résolution des litiges

avec les fournisseurs, les audits internes et externes,

les paiements en double, les pénalités pour retard de

paiement et bien sûr les erreurs.

Les entreprises submergées par les processus

papier manuels subissent des pertes considérables

de temps et d’argent. Pour améliorer sensiblement

leurs résultats financiers, les entreprises sont tenues

d’identifier les dépenses réalisées et le nombre

d’heures passées, puis de les évaluer, de les réduire et

de réfléchir à une meilleure utilisation de ces fonds.

Solution : utilisation des solutions de workflow et de capture déjà mises en œuvre pour créer des processus de Comptabilité Fournisseurs plus efficaces et moins coûteux

Les meilleures pratiques de workflow garantissent des

processus simples et standardisés dans lesquels les

documents sont mis en ligne dès le départ (par le biais

de solutions avancées de reconnaissance de données

et de capture de documents haute capacité), puis sont

complètement intégrés au système ERP (de façon à

éviter les doublons) avant d’être transférés à tous les

acteurs d’un processus métier donné, y compris aux

utilisateurs qui ne sont pas familiarisés au système

ERP. Le workflow renforce les contrôles internes

(voir raison numéro 2), améliore la qualité (voir raison

numéro 6), réduit sensiblement les erreurs entraînant

des pertes (paiements en double, trop-payés) et les

paiements frauduleux, tout en faisant bénéficier les

entreprises de remises pour paiement anticipé. Par

ailleurs, la piste d’audit auto-documentée rationalise

les audits et les litiges : le cycle de traitement étant

raccourci, les factures sont approuvées sans délai. Les

litiges de paiement peuvent être résolus rapidement,

ce qui évite les pénalités pour retard de paiement.

Les workflows et la technologie de capture des

documents permettent aux entreprises d’atteindre

leurs objectifs de réduction des coûts et de l’utilisation

de documents papier. Certaines sociétés essaient

d’utiliser la technologie de capture pour l’archivage

des factures (une fois les opérations de traitement et

de paiement terminées). L’imagerie des documents

en fin de processus présente des avantages limités.

Il est préférable de capturer tous les documents à

leur arrivée dans le nouveau système, d’en extraire

immédiatement les données, puis de transférer

le contenu pour le codage, l’approbation et/ou la

résolution des goulots d’étranglement. Cette option

offre des avantages immédiats et tangibles, tout

comme des bénéfices à plus long terme :

• Réduction des coûts de stockage et de transmission

des documents ;

• Baisse des coûts de fournitures de bureau (papier,

photocopies, dossiers, cartons, etc.) ;

• Diminution des opérations de saisie de données

(particulièrement avec la fonction de reconnaissance

avancée) ;

• Augmentation des remises pour paiement anticipé et

suppression des pénalités pour retard de paiement,

grâce au cycle de traitement des factures accéléré ;

• Meilleure productivité du personnel de la Comptabilité


Fournisseurs, désormais en mesure de prendre en

charge un nombre accru de tâches à moindre coût :

Recherche et récupération de documents plus

efficaces tout au long du cycle de traitement de la

facture ;

Libre-service en ligne répondant aux demandes de

documents des contrôleurs de gestion ;

Libre-service en ligne répondant aux fournisseurs

concernant le statut de paiement de leurs factures

et permettant de résoudre les litiges de façon

rationalisée.

Solution Kofax d’automatisation de la Comptabilité FournisseursKofax fournit des outils et des solutions

leader sur le marché de l’automatisation du

processus de Comptabilité Fournisseurs. Kofax

Transformation Modules™ (KTM) permet de capturer

automatiquement les données, d’extraire tout le

contenu des factures et de le saisir dans le système

ERP, avec à la clé des processus améliorés de

vérification, d’approbation et de paiement.

Les workflows intégrés de la solution Kofax MarkView®

for AP assurent en temps réel une intégration des

données au système ERP basée sur les meilleures

pratiques dans le domaine de la finance. Kofax

MarkView et KTM répondent aux défis clés abordés

dans ce livre blanc. Ces solutions permettent aux

entreprises de réduire leurs coûts d’exploitation,

d’augmenter leur visibilité, de limiter les données

erronées, d’accélérer le processus de Comptabilité

Fournisseurs, de renforcer les contrôles internes et

d’optimiser la gestion de la trésorerie.

Processus optimisés / basés sur les meilleures

pratiques grâce à Kofax MarkView for

Accounts Payable

Kofax MarkView for AP Automation permet de traiter

toutes les factures (quel que soit leur format d’origine

: papier, e-mail, fax, EDI, facture électronique) sur

la base d’un processus unique et cohérent basé sur

les meilleures pratiques. Entièrement intégré au

système ERP, ce processus offre une visibilité claire et

complète, tout en accélérant la clôture de période et en

renforçant sa fiabilité. La solution procède à la capture

et à l’extraction de la facture d’origine (et réduit par

la même occasion l’utilisation de papier et les coûts

associés, tout en dopant la productivité du personnel),

l’associe à l’enregistrement du système ERP, puis gère

automatiquement les transactions à l’aide de workflows

très efficaces qui adressent chaque facture aux

personnes compétentes chargées de leur vérification

(avec toutes les informations pertinentes) et mettent

à jour une piste d’audit détaillée afin de conserver un

historique. Cette démarche soigneusement élaborée

permet de gérer, d’optimiser et de dynamiser chaque

étape des processus financiers, tout en favorisant la

conformité réglementaire et la prise en charge des

audits en libre-service.

Renforcement des contrôles

Kofax renforce sensiblement l’environnement des

contrôles internes en matière de Comptabilité

Fournisseurs grâce à la simplification, la standardisation

et la centralisation des processus, en exploitant les

systèmes ERP et les technologies de workflow pour

instaurer des mesures préventives. L’utilisation d’un

référentiel unique (ERP) pour toutes les factures

Statistiques, analyse, création de rapport

Codage RèglementApprobationsSaisie

Interface utilisateur en libre-service

Environnement ERP

Workflows sensibles au contexte• Avec bon de commande• Sans bon de commande• Préapprouvé• En libre-service• Gestion des fournisseurs

KofaxCaptureTM

Papier

Saisie manuelle

Kofax Transformation ModulesTM

Image automatiquement mise en pièce jointe

Fax

XML

Réseau fournisseurs

Facture en libre-service

Vérification /Résolution

Saisie automatisée

Figure 4 : la suite d’automatisation du traitement des factures Kofax permet de standardiser les processus et de les rationaliser.


© 2015 Kofax, Inc. All rights reserved. Kofax, the Kofax logo, Kofax Capture, Kofax Transformation Modules and Kofax MarkView for AP are trademarks or registered trademarks of Kofax, Inc. in the U.S. and other countries. (04.2015)

(qui s’accompagnent des informations connexes

pertinentes) accroît la maîtrise financière de

l’entreprise et réduit considérablement les risques

de paiement en double, de trop-payé, d’erreur et

de fraude. Les workflows basés sur les meilleures

pratiques mis en œuvre par Kofax permettent de

renforcer le respect des politiques internes, d’accroître

l’efficacité, d’instaurer une séparation des tâches

pour chaque transaction et de faire appel à des

processus ne dépendant d’aucun membre du service

Comptabilité Fournisseurs. La capacité de Kofax à

renforcer les contrôles en s’appuyant sur l’optimisation

des workflows et sur les principales technologies de

capture est reconnue à travers le monde. Les solutions

Kofax permettent aux plus grandes entreprises de

déployer des centres partagés de services financiers

à travers des initiatives étendues, intégrant les

différents secteurs d’activité au sein de plateformes

géographiques et desservant des milliers d’utilisateurs

comme d’importants volumes de transactions, mais

aussi d’améliorer les contrôles internes et de simplifier

les audits.

Gestion optimisée de la trésorerie

Les solutions d’automatisation Kofax basées sur

les meilleures pratiques sont reconnues à travers

le monde pour optimiser la gestion de la trésorerie

et réduire les coûts d’exploitation. Selon une étude

indépendante réalisée par The Gantry Group, les clients

Kofax bénéficient d’un retour sur investissement

tangible grâce à une meilleure productivité de la

Comptabilité Fournisseurs, à une gestion optimisée de

la trésorerie, à l’obtention de remises et à la diminution

des retards et des paiements en double.

Conclusion

L’IOMA résume l’analyse de rentabilité de la

transformation des processus de Comptabilité

Fournisseurs des entreprises comme suit :

« Les professionnels de la Comptabilité Fournisseurs

ayant mis en place une technologie de workflow

et d’imagerie s’accordent à dire que le délai de

rentabilisation de leur système grâce aux économies

réalisées sur les coûts de stockage et de main d’œuvre

est relativement court. La suppression des opérations

de saisie manuelle au profit de la capture électronique

des données permet de réduire les effectifs au sein des

grands services Comptabilité Fournisseurs. Par ailleurs,

des économies considérables peuvent être réalisées

par des opérations de recherche et de récupération

des données plus rapides, la suppression des erreurs

et la gestion automatisée des approbations. Les

responsables de la Comptabilité Fournisseurs peuvent

avoir la garantie d’un retour sur investissement dès lors

qu’ils envisagent un projet de workflow et d’imagerie. »

Résultat : en investissant de façon judicieuse dans

les solutions d’automatisation de la Comptabilité

Fournisseurs Kofax, les entreprises peuvent transformer

complètement les processus de Comptabilité

Fournisseurs afin de réduire les coûts, d’améliorer la

qualité et la visibilité des données, de renforcer les

contrôles, d’optimiser la trésorerie et de réaliser un

retour sur investissement tangible et intéressant.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site : kofax.com.

les 10 meilleures raisons d'automatiser vos processus de

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