le journal de coucy n°12 janvier 2005 · il en fallait encore plus le matin venu pour sortir du...

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Le Journal de COUCY N°12 Janvier 2005 CRAC Journal gratuit N°12 Maquette et Rédaction : David POTIER : 06 30 07 75 23 Rédaction de l’invité: Agnès PHILIPPOT : 03 24 38 45 16 Distribution à Coucy 1 : Charles BRILLOUET Distribution à Coucy 2 : Agnès MAILLARD Bienvenue à l’année 2005, La décentralisation va amener de nouvelles charges au département et du coup aux communes. Malgré tout, il nous faut rester confiants pour surmonter les difficultés qui ne manqueront pas de se présenter. Soyons donc résolument optimistes et gardons l’espoir que cette année 2005 nous apporte d’abord la santé, le bonheur en famille et aussi du travail pour tous. Dans cet esprit d’amitié et de convivialité, au nom de la municipalité et en mon nom personnel, je vous présente tous nos voeux et meilleurs souhaits afin que 2005 soit une bonne et heureuse année. Pierre RIVA, Maire de Coucy Les lumières des fêtes de fin d’année se sont éteintes sur une note assez pessimiste, au regard des évènements dramatiques dans l’océan indien, qui affectent toute notre planète, démontrant une fois de plus la fragilité de l’espèce humaine face à la nature. Nous voila plus vieux d’une année avec une pensée à la fois pour celles et ceux qui nous ont quitté et plus particulièrement pour une famille du village dont le mari décédé trop jeune laisse derrière lui une femme et des enfants en bas age. Nous entamons l’année avec le désir d’être encore plus proches de vos attentes et avec la ferme intention de gérer la commune dans l’intérêt de tous.

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Le Journal de COUCY N°12 Janvier 2005

CRAC Journal gratuit N°12 Maquette et Rédaction : David POTIER : 06 30 07 75 23 Rédaction de l’invité: Agnès PHILIPPOT : 03 24 38 45 16 Distribution à Coucy 1 : Charles BRILLOUET Distribution à Coucy 2 : Agnès MAILLARD

Bienvenue à l’année 2005, La décentralisation va amener de nouvelles charges au département et du coup aux communes. Malgré tout, il nous faut rester confiants pour surmonter les difficultés qui ne manqueront pas de se présenter. Soyons donc résolument optimistes et gardons l’espoir que cette année 2005 nous apporte d’abord la santé, le bonheur en famille et aussi du travail pour tous. Dans cet esprit d’amitié et de convivialité, au nom de la municipalité et en mon nom personnel, je vous présente tous nos vœux et meilleurs souhaits afin que 2005 soit une bonne et heureuse année. Pierre RIVA, Maire de Coucy

Les lumières des fêtes de fin d’année se sont éteintes sur une note assez pessimiste, au regard des évènements dramatiques dans l’océan indien, qui affectent toute notre planète, démontrant une fois de plus la fragilité de l’espèce humaine face à la nature. Nous voila plus vieux d’une année avec une pensée à la fois pour celles et ceux qui nous ont quitté et plus particulièrement pour une famille du village dont le mari décédé trop jeune laisse derrière lui une femme et des enfants en bas age. Nous entamons l’année avec le désir d’être encore plus proches de vos attentes et avec la ferme intention de gérer la commune dans l’intérêt de tous.

Les membres actifs de Coucy Sport à la pêche

Dimanche matin 17 octobre, les membres actifs de l’association sportive de Coucy avaient rendez-vous autour de l’Etang de la Fontaine à Pargny-Resson pour une journée de pêche à la truite. Seulement, la météo peu clémente de la semaine, présageait une journée très froide et très pluvieuse, ce qui ne donnait guère envie de sortir de chez soi ! Finalement, un rayon de soleil pointa le bout de son nez très tôt le matin. Les plus courageux se sont donc rejoins, dès 9 heures du matin, munis de bottes et de gros pulls bien chauds. brèves apparitions, laissant les pêcheurs sur leur faim. La palme du meilleur pêcheur en est tout de même revenue à Daniel LANGLET qui a pêché pas moins d’une douzaine de truites en moins d’une heure. Les « apprentis » pêcheurs ont ensuite terminé leur journée autour d’un bon repas et ont dignement fêté leurs prises du matin.

Laurence POTIER

Ainsi, les membres se sont peu à peu retrouvés dans la joie et la bonne humeur pour passer un agréable moment de détente. Même si le soleil, présent toute la matinée, réchauffait les cœurs, les truites étaient d’un tout autre avis : En effet, celles-ci ne faisaient que de

Quelques-uns des pêcheurs au bord de l’étang

Un grand remerciement à toutes les personnes qui nous ont apporté leur aide après la tempête de

décembre, en particulier l’équipe qui a tourné dans le village toute la journée pour réparer au plus pressé

les dégâts occasionnés par le vent

BONNE ANNEE 2005BONNE ANNEE 2005BONNE ANNEE 2005BONNE ANNEE 2005

Mme LECAS

Les souvenirs d’un gamin de Coucy dans les années 40

Un habitant Originaire de Coucy nous livre quelques souvenirs de son enfance (aviez-vous trouvé de qui il s’agissait lors du dernier numéro du CRAC ?):

Le football était déjà une des passions des jeunes de notre époque, mais faute de regarder les joueurs à la télévision, on formait nous-même des équipes. Au début, dans la cour de l’école de Coucy 2 (aujourd’hui transformée en maternelle), pendant les récréations, avec une balle de chiffons confectionnée par nos soins. Ensuite, on s’est perfectionné et on a réussi à obtenir un vrai ballon. On s’est installé sur un terrain de la Suquette, à l’emplacement de l’actuel Garage « DEHAN ». C’est là qu’a commencé l’entraînement de Maurice, un gamin du village qui par la suite est devenu goal professionnel au club de Strasbourg. A l’époque, le football professionnel était moins rémunérateur et Maurice n’a pas fait fortune. Comme aujourd’hui dans les stades, de temps à autre, il y avait une petite bagarre, avec des bleus et des bosses, mais cela se terminait toujours sans gravité. Au printemps, la chasse aux grenouilles était un de nos jeux favoris. Ah ! Les grenouilles ! Cela débutait en mars, dans les prés inondés ou dans les étangs à la sortie du village et dans le ruisseau de « la pâture à Carquin ». Nous étions, jusqu’aux genoux, dans les eaux glacées, jambes nues et les manches retroussées. Les grenouilles qui se chauffaient au soleil printanier à la surface de l’eau plongeaient à notre approche mais la traînée d’eau trouble qu’elles laissaient au fond permettait de les repérer et de les prendre facilement pour les mettre dans un sac en toile (le plastique n’existait pas). On chassait aussi les grenouilles dans les champs, lors des moissons. On marchait derrière les faucheuses tirées par des chevaux (les tracteurs à crottins) après en avoir demandé la permission au cultivateur -politesse oblige-. Les grenouilles sautaient dans les éteules et il fallait alors les attraper. Aussitôt saisies par les pattes et occises sur le rebord de la faucheuse, elles rejoignaient leurs collègues malchanceuses au fond du sac. On rentrait le soir à la maison avec nos prises, le dos et les mains écorchés. Notre mère nous soignait avec un coton imbibé d’un peu d’alcool à 90° et l’affaire était réglée. Les grenouilles attrapées étaient, soit revendues pour nous faire un peu d’argent, soit nous en mangions les pattes. Aujourd’hui, les grenouilles ont pratiquement disparu.

Claude COURTEVILLE

L’hiver, nous sortions les traîneaux fabriqués par nos soins. Avec 40 cm d’une neige qui tenait pendant un mois et une température de - 25° parfois, on était gâté. Nous partions alors en culotte courte (le premier pantalon à jambes longues, c’était pour le jour de la communion) et on rentrait le soir à la maison avec le devant des cuisses rougi par le froid. Cela nous brûlait autant qu’un coup de soleil. On y appliquait de la glycérine achetée en pharmacie ce qui brûlait encore plus sur le coup, mais le lendemain matin, on était prêt pour affronter de nouveau le froid. A cette époque, les chambres n’étaient pas chauffées non plus. Il y gelait. Et malgré la brique chauffée dans le four de la cuisinière, puis emballée dans un vieux torchon, il fallait du courage pour se mettre dans les draps.

Remerciements

Agnès, Nino et Noé PHILIPPOT remercient très sincèrement monsieur le maire, le conseil municipal, le personnel communal, les enseignants du regroupement scolaire de Coucy-Lucquy, les parents d’élèves ainsi que toutes les personnes du village ou non qui se sont associées à leur chagrin par une carte, une fleur ou un don au moment du décès de Vincent.

Le matelas de plumes et l’édredon finissaient malgré tout par nous réchauffer. Du courage, il en fallait encore plus le matin venu pour sortir du lit chaud. Pour lutter conter les maux de l’hiver, nos parents avaient leurs recettes : De l’huile de foie de morue achetée au litre en pharmacie, pure et naturelle, non raffinée. Une cuillère à soupe avant le petit déjeuner durant une bonne partie de l’hiver. Pouah ! Quelle horreur ! Un goût de poisson pourri. Rien que l’odeur vous levait le cœur. Mais ça renforçait les défenses immunitaires. Il y avait aussi le sirop à l’ail, une fabrication maison, pas meilleur au goût, mais cela tuait les microbes que nous aurions pu attraper. Le lendemain nous retournions donc à l’école. Et là, cela ne rigolait pas. Ce qui ne nous empêchait pas de temps en temps de faire quelques bêtises. Mais quand on se faisait prendre, la punition, c’était une raclée. La maîtresse infligeait sur les plus jeunes un coup de règle administrative sur le bout des doigts joints. Il était inutile de se plaindre en rentrant à la maison car on risquait alors de recevoir une seconde raclée. A cette période, les parents suivaient plus l’avis des enseignants. L’école était aussi parfois l’occasion de perfectionner nos connaissances en anatomie comparée dans un coin discret de la cour de récréation, d’un commun accord entre filles et garçons. Mais à l’époque aucun parent d’élève n’aurait porté plainte en justice parce qu’un gamin avait montré son zizi… Faudrait-il revenir en arrière ? Certainement pas. De toute façon, ce serait impossible. Cependant, un peu plus d’humilité, un peu plus d’humanité, un peu plus de bon sens et surtout de tolérance seraient les bienvenus pour ne plus reporter sur les autres nos propres erreurs et ne plus chercher à tout prix un coupable à tous nos maux.

Claude COURTEVILLE

Le Maire de Coucy, les Membres du Conseil Municipal et le Personnel Communal vous

souhaitent une très bonne année 2005

Le Club de l’Amitié vient de fêter ses 20 ans

Samedi 11 décembre 2004, Andrée LARCHER, Présidente et tous les membres du Club de l’amitié se sont réunis à la salle des fêtes de Coucy pour fêter dignement les 20 ans de l’association. Pour commémorer le moment, Pierre RIVA, le maire du village, les conseillers municipaux et Jacques JEANROY, Président d’honneur, étaient aussi conviés à participer à cette journée mémorable. On a en effet pas tous les jours 20 ans ! Après l’accueil et le traditionnel verre de l’amitié, la Présidente a prononcé un discours où elle a brièvement rappelé les grands moments et les évènements importants du club. M. Pierre Riva a ensuite tenu à remercier Andrée Larcher et les bénévoles de l’association pour leur dévouement tout au long de ses nombreuses années. David POTIER : Comment est né le club de l’amitié ? Andrée LARCHER : En 1984, Thérèse Larcher et moi-même avons souhaité créer un club de loisirs où pourraient se retrouver tous les habitants du village de plus de 60 ans. Après la première réunion de présentation, il fût décidé que ce club serait ouvert à tout le monde. Le premier président fût Roger VALLARD. Il sera suivi par Gaston HERBAY (1988), Roger GORET (1992), Paulette ROSET (1994) et enfin moi-même depuis 2 ans. nous rejoindre car cela permettrait de pouvoir proposer à tous des animations nouvelles. Présidente : Andrée LARCHER, Vice-Présidente Paulette FRICOT, Trésorier : Roger GORET, Secrétaire : Isabelle CHARTOGNE, Membres actifs : Mmes LECAS et PIERRARD, M. SCHMITT Pour devenir membre : Une réunion un jeudi après midi sur deux à la salle des fêtes de 14H00 à 17H30. La cotisation annuelle est de 10 €uros.

David POTIER

Après le repas, l’orchestre a égayé l’après midi en interprétant bon nombre de succès pour tous les âges. Les convives ont ensuite pu danser jusqu’à la fin de la journée et sont repartis très satisfaits de cette belle journée Vivement les 25 ans…

Une bonne ambiance à table et sur la piste de danse

D.P. : Quel est l’objectif du club de l’amitié aujourd’hui ? A.L. : Aujourd’hui, le club rassemble toujours les habitants du village, mais aussi des communes avoisinantes. Le club reste ouvert à tous et même si le plus jeune de nos adhérents à moins de 40 ans, la moyenne d’âge est assez élevée (70 ans). Il y a deux réunions par mois le jeudi après midi. Les membres jouent aux cartes et au Scrabble puis prennent un petit goûter en commun. L’association organise aussi tous les ans deux repas, un concours de belote et un loto. D.P. : Quels sont vos souhaits pour la nouvelle année ? A.L. : J’aimerais que nous ayons un peu plus d’adhérents (ils sont une trentaine aujourd’hui) et que des personnes plus jeunes viennent aussi

Andrée LARCHER

Connaissez-vous le CCAS ? Communément appelé hier « bureau d’aide sociale », le C.C.A.S. signifie aujourd’hui « centre communal d’action sociale ». Ce service administratif, distinct de la mairie, a pour but de lutter contre l’exclusion et la pauvreté. Il est géré par un conseil d’administration avec pour président le maire de la commune et compte à part égale des conseillers municipaux et des membres nommés par le maire. Dans des communes très importantes, toutes les associations qui œuvrent pour l’insertion et luttent contre l’exclusion y sont représentées. Ainsi, le C.C.A.S. peut travailler en étroite collaboration avec des crèches, dispensaires et services d’aide aux personnes âgées et handicapées et peut allouer des secours sous forme de prestations en nature ou espèce. Il est bien évident que le C.C.A.S. au sein d’une petite commune telle que COUCY a un budget et des moyens bien plus limités. A COUCY, le C.C.A.S. est surtout connu pour ses colis de Noël qu’il distribue chaque année aux personnes âgées d’au moins soixante-dix ans et ce, par pure tradition, sans qu’il y ait nécessité. Toutefois, il donne aussi des bons de chauffage et peut accorder des aides à des personnes dans le besoin. Certes, faire part de ses problèmes financiers peut paraître gênant. Mais si vous êtes confronté à une situation difficile, vous pouvez adresser votre demande au C.C.A.S qui l’examinera avec le plus grand sérieux. Enfin, j’attire ici l’attention de ceux qui voudraient faire cette démarche : assurez-vous que votre demande est légitime, c’est-à-dire qu’elle répond bien à un problème d’ordre social relevant du C.C.A.S, que toutes les autres possibilités pour résoudre ce problème ont été étudiées et que votre situation financière le justifie, ces aides ayant bien évidemment un caractère exceptionnel.

Laurence COULMY

Coucy Sport vous propose de participer à la sortie patinoire annuelle

Vendredi 25 février 2005* Comme l’an dernier, le trajet est effectué en car. Le départ est fixé à 19 H 30 près de la salle des fêtes de Coucy 1, et à 19H 40 devant le Gué de COUCY 2. Le retour est prévu vers 23 H 30 aux mêmes endroits. Cette année, pour répondre aux désirs des participants, nous nous rendrons à la patinoire de Charleville-Mézières. Les tarifs : Adhérant Coucy-Sport : 10 €

Extérieurs : 13 € Le tarif comprend le trajet aller et retour en car, l’entrée à la patinoire, l’accès à un vestiaire commun à notre groupe ainsi que la réservation d’une paire de patins.

Renseignements et inscriptions auprès d’Angélique LAMBERT-LARCHER ou David POTIER au 06 30 07 75 23 * Date prévisionnelle

Les vieilles traditions : Rappelez-vous, il y a une quarantaine d’années, vous récoltiez les pommes pour produire du cidre, vous récoltiez les fruits pour boire de la goutte, vous vous fournissiez en miel chez votre voisin apiculteur…Aujourd’hui, tout cela a beaucoup changé. Pourtant, certains habitants de la commune s’accrochent encore à ce qui devient des traditions et continuent aujourd’hui, pour leurs besoins personnels, à exercer occasionnellement ces métiers d’une autre époque... 450 litres de cidre et pratiquement autant de jus de pommes : c’est la production 2004 de Georges BONNEVIE. Il faut dire que la récolte de l’année a été exceptionnelle en fruits. Une telle production a malgré tout demandé beaucoup de travail, de temps et de patience à Georges. Et les étapes sont longues avant de pouvoir s’asseoir pour déguster un verre de cidre bien frais. La première étape, après avoir ramassé pratiquement 2 tonnes de pommes, est le parage des fruits, c'est-à-dire les laisser reposer pendant environ 3 semaines pour leurs permettre de terminer de mûrir. Ensuite, il faut laver les pommes, les briser dans un broyeur et enfin commencer le pressage.

l’aide d’une sorte de thermomètre, le jus est mis en bouteilles. .

En quelques minutes 400 kg de pommes sont entassés dans le pressoir, il faudra la journée entière pour les écraser totalement et en extraire le maximum de jus. En effet, dans un premier temps, les pommes sont mises en pression jusqu’à la limite admissible par le pressoir. Il faut alors attendre un bon quart d’heure pour qu’une partie du jus commence à s’évacuer dans les seaux de récupération. Ensuite, il redevient possible d’écraser un peu plus les pommes. Ce processus de pressage et d’attente prendra la journée. Le soir, environ 180 litres de jus de pommes seront obtenus. Après le pesage de la teneur en sucre à

Georges BONNEVIE écrase les fruits dans le pressoir

Les tonneaux de cidre

Les bouteilles sont ensuite encapsulées avant d’être stérilisées (20 mn à 80 °). Le jus de pommes peut enfin être consommé. Il se conservera pendant environ deux ans. La méthode pour faire du cidre est un peu différente : Après le pressage, le jus est mis en tonneaux et conservé pendant environ 3 semaines. Il faut ensuite vider une première fois les tonneaux et extraire tous les dépôts et impuretés.

Cette étape sera renouvelée une seconde fois quelques semaines plus tard quand le taux de sucre du jus aura atteint 1025°. Cette mesure est très importante car si le jus n’est pas assez sucré, le cidre risque d’être amer, et si la teneur en sucre est trop importante, les bouteilles risqueront d’exploser lors de la fermentation du jus Avant de remettre une dernière fois le jus dans les tonneaux, un produit est ajouté pour stopper la fermentation. Il faut alors attendre patiemment quelques jours une période où la lune est en phase descendante avant la mise en bouteilles –gage de qualité de la production-. Le cidre est consommable environ 2 à 3 mois après sa mise en bouteilles. Pendant ce laps de temps, les bulles se forment et le jus de pommes devient pétillant : il n’y a plus qu’à déboucher les bouteilles et boire un bon cidre maison bien frais.

David POTIER

Brice LORRIETTE encapsule les bouteilles

La tempête de Décembre n’a pas épargné Coucy : La violente tempête qui s’est abattue sur le Nord de la France en décembre est aussi passée par Coucy. Outre de nombreuses tuiles envolées et des arbres déracinés, quelques habitations ont été plus lourdement touchées : Une partie du toit de la grange de M. Evrard s’est écroulée sur leur véhicule. Une autre partie s’est envolée dans le terrain de l’autre coté de la route. Des morceaux de la toiture ont même été retrouvés dans la petite rue, soit à plus d’une centaine de mètres de l’habitation. Comme Mme LECAS, de nombreux habitants ont souhaité remercier les personnes qui ont passé une partie de la journée à aider à remettre en état les maisons d’habitation : En particulier Romuald et David LANGLET, Daniel LAMBERT, Jean-Charles DEBROSSE et Robert BARBAS.

En haut : Le toit de la grange de M. EVRARD En haut à droite : Le garage de M. HERBAY A droite : Un des nombreux arbres déracinés

Ils sont nés en 2004 Propos et photos recueillis par F. CREMON

Melissa LEPISSIER nous a rejoint le 14 avril 2004. C’est la troisième fille de Vincent (29 ans) et Alexandra (24 ans). Elle pesait 3,310 kg à la naissance pour une taille de 52 cm. Melissa avait été précédée par Anaïs (2 ans) et Océane (5 ans) Océane, Melissa et Anaïs LEPISSIER

Annaëlle complète la grande famille VASSEUR puisqu’elle a trois frères et sœurs : Pauline (13 ans), Angélique (10 ans) et Maxence (4 ans). Annaëlle est née le 8 mai 2004, jour de l’ouverture de la pêche. Du coup, Pascal, le papa, a du renoncer à sa partie de pêche et est revenu juste à temps pour voir naître sa petite dernière. Annaëlle est née 10 jours avant la date prévue.

Maxence et Annaëlle VASSEUR

Christophe et Noémie GUERY nous avaient déjà présenté Manon qui était née en 2003. Ils nous reviennent cette année avec un petit Arthur. Arthur a montré le bout de son né le 17 juillet 2004. Il pesait alors 3,420 kg pour 49 cm. Nous attendons avec impatience l’année prochaine pour peut-être une nouvelle photo de la famille GUERY dans les naissances. Arthur en compagnie de ses parents Noémie et Christophe

C’est à Strasbourg, lieu où résident Mathieu et Laure, les parents, qu’est né Aron CHRETIEN- PIERRON le 12 juillet 2004. Il est arrivé avec un mois d’avance puisqu’il était prévu pour le 12 août. La mère a subit une césarienne afin d’éviter toute complication médicale. Aron pesait malgré tout 3,840 kg à la naissance pour une taille de 51 cm.

Mathieu, Laure et Aron CHRETIEN PIERRON

Hadrien DUBUISSON est né le 11 avril 2004, jour de Pâques. Magali, la maman, est arrivée à la maternité à 22h15, et elle a accouché aussitôt puisque à 22h57, Hadrien était né. C’est du rapide ! La famille DUBUISSON réside à Coucy depuis quelques mois seulement. Bertrand (42 ans) est représentant chez Thiriet, Magali (36 ans) est assistante maternelle. Ils ont 4 enfants : Océane (14 ans), Jérémy (11 ans), Camille (7 ans) et Hadrien. Ils habitent rue du Général LECLERC à Coucy 2

La famille DUBUISSON au complet

Il y en a qui ne veulent vivre qu’à Coucy, et c’est sans doute le cas de Loïs RUBEZ puisqu’il a attendu que ses parents emménagent dans le village pour naître. En effet, la famille RUBEZ s’est installée à Coucy le 1er avril 2004, et LoÏs est né le 2 avril ! A sa naissance, il pesait 3,750 kg pour 51 cm. Son père Xavier (34 ans) est peintre décorateur à Novion Porcien, Stéphanie (32 ans), sa mère est assistante comptable à Rethel. Ils résidaient à Novy-Chevrières avant de s’installer dans la petite rue de Coucy 1. Loïs a déjà une grande sœur. Elle s’appelle Léa (6ans) et est scolarisée à l’école de Coucy.

Léa et Loïs RUBEZ

Océane DUPRAT nous a rejoint le 14 mars 2004 à 21h35. Elle pesait alors 2,800 kg et mesurait 48 cm. Ses grands-parents (M. et Mme FERY) sont contents de pouvoir profiter de la petite pendant l’absence de sa mère et c’est à cette occasion que la photo a été faite. Marilyne, la maman réside dans le gué de Coucy 2.

Océane en compagnie de ses grands-parents

Eline HERBAY est arrivée parmi nous le 9 mai 2004. Elle pesait alors 2,600 kg pour 49 cm. Les parents, Stéphane et Aurélie étaient entrain de fêter un anniversaire quand les premières contractions se sont fait sentir. Les évènements ont alors fait rapidement redescendre sur terre Stéphane qui profitait pleinement de la petite fête. Aurélie est malgré tout arrivée dans les temps à la maternité et l’accouchement s’est bien déroulé Stéphane, Eline et Aurélie

Virginie MEUNIER, la maman, avait rejoint la maternité le dimanche soir, et le lendemain matin, Kurtis, son fils âgé de 4 ans, était fier de raconter à tout le monde qu’il avait un petit frère. C’était néanmoins prématuré puisque le petit Aaron n’est en fait né que le soir. Aaron nous a rejoint, avec 3 semaines d’avance, le 20 septembre 2004. Il pesait malgré tout déjà 3,840 kg et mesurait 53 cm.

Sébastien, Virginie, Kurtis et Aaron MEUNIER

Morgane HERY est née le 15 décembre 2004. Elle pesait alors 3,320 kg pour une taille de 49 cm. Ce fut pour Cédric (22 ans) et Jennifer (19 ans) un très beau cadeau de Noël. Le jeune couple réside à Coucy depuis le mois de novembre. Ils se sont installés dans une petite maison à Coucy 2, rue du Général Leclerc. Cédric travaille à Sault Les Rethel au centre de contrôle technique. Avec un nouveau logement et une première fille, c’est pour la petite famille une nouvelle vie qui commence ! Le cadeau de Noël

La nuit de la Saint Sylvestre Comme à l’accoutumée, l’association sportive de Coucy a organisé la nuit de la St sylvestre. Après un apéritif offert aux convives, ceux-ci se sont installés et ont profité de la soirée en mangeant, buvant et dansant. Le point d’orgue de la soirée a commencé quelques minutes avant minuit. Tous les invités se sont levés et se sont rassemblés sur la piste pour fêter l’arrivée de la nouvelle année. Après le compte à rebours, à minuit, entre cotillons et confettis, les fêtards se sont souhaités la bonne année. Chacun embrassant tous ceux qui se présentaient. Au final, après une heure de partage et d’amitié, les convives ont rejoint leur place pour terminer le repas, qui comme tous les ans, avait pris du retard. A quatre heures du matin, les participants se sont retrouvés devant la soupe à l’oignon, et à 6H00, les derniers courageux encore affamés se sont rués sur le petit déjeuner. Rendez-vous est donné l’année prochaine aux 140 participants pour fêter au moins aussi dignement l’arrivée de l’année 2006.

David POTIER

Quelques souvenirs de la soirée

3ème Marche Populaire Internationale 3ème Marche Populaire Internationale 3ème Marche Populaire Internationale 3ème Marche Populaire Internationale le 22 mai 2005le 22 mai 2005le 22 mai 2005le 22 mai 2005