LE FESTIVAL DES KAMPAGN’ARTS VII

SAMEDI 29 JUIN 2013

Le 29 juin prochain, Saint Paterne Racan se fera le reflet de notre société : la curiosité, la rencontre, la fête, l’art, laculture

Le Festival des Kampagn’Arts fêtera sa septième édition le 29 juin 2013, à Saint Paterne Racan (37). Pour cetteoccasion, l’association Bouge ton bled, organisatrice de l’événement, a invité la ville à la campagne. Concerts, graff,expositions, arts de rue, univers atypique et thématique, les Kampagn’Arts mélange les genres, associe les arts, fédère lescultures.

Ce festival familial destiné à promouvoir la culture, a été créé dans le but de faire découvrir un univers mal connuà un public de tous horizons. La programmation a été élaborée dans le but de rassembler un public intergénérationnel. Quevous ayez 7 ou 77 ans, venez passer une soirée festive, joviale, étonnante, bon enfant et surtout électrique à moindre frais.

Le Festival des Kampagn’Arts se veut le reflet de notre société : plurielle, métissée, somme de cultures venant dumonde entier. Projet poétique, citoyen, ancré dans le pays de Racan mais ouvert sur le monde, la programmation s’adresse àun très large public et comblera toutes les attentes, de votre Maman passionnée de chanson française jusqu’à votre Parrainfan de ska-punk, en passant par votre grand-père amateur blues!

Pour 8€ prix public, venez applaudir pas moins de 7 groupes musicaux de renommées régionales, nationales etinternationales. Ils se produiront en alternance sur 2 scènes en plein air. Alors n’hésitez plus, si vous êtes jeunes ou vieux,blond ou brun, chauve ou poilu, homo ou hétéro, de droite ou de gauche…venez nombreux !!

C’est quoi le programme ? Samedi 29 juin 2013 à partir de 18 heures. La programmation Babylon circus, Zenzilé, Les Malentendus, Slivo Electric Klub, Jr Yellam, Elisa Do Brasil plus le groupe du tremplin et un groupe surprise.

C’est où ? Aire de loisirs de Saint Paterne Racan (37). SNCF : gare de Saint Paterne Racan (40 min depuis Tours, 50 mindepuis Le Mans), Fil Vert (1 heure depuis Tours).

C’est combien ? 8€ la journée, gratuit pour les moins de 12 ans, (hors frais de location). LOCATIONS - Tiketnet - Fnac -Carrefour - Hyper U - Géant - 0 892 68 36 22 (0,34€/min) - www.fnac.com.

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Babylon Circus

« Babylon » parce qu'ils mélangent les goûts de chacun : rock, reggae, punk, gipsy... pour partager avec le plus grand nombre leurs voyages et leurs histoires.

« Circus » parce que ses musiciens emportent le public dans le spectacle total et qu’ils regardent le monde avec des yeux d'enfant.

Formé en 1995 à Lyon, le groupe est composé de 9 musiciens et a donné plus de 1 300 concerts dans 25 pays différents. Leur dernier album, « La Belle étoile » (2009) leur a permis de partir en tournée autour du monde (France, Royaume-Uni, Allemagne, Australie, États-Unis, etc.) et d’emporter avec eux toutes les chansons qui ont forgées leur succès au long de ces années de scène.

Le Babylon Circus prépare actuellement son 5e album studio, « Never Stop ». Ils partageront sous leur chapiteau et dès à présent les titres de ce nouvel opus, sans en attendre sa sortie prévue en août 2013 :)

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Les Malentendus

Une voix éraillée et des maux. Les Malentendus débarquent dans un univers deBastringue déglingué et propose leur nouveau spectacle « Mélodies en sous-sol » à l'image des films d'Audiard, mis enscène par Gildas Puget de la Cie Qualité Street.

Entre swing, jazz et rock'n'roll leur musique prend les tripes et enivre dans une valse improbable au service d'unevoix indélébile.

"Les Malentendus, ça pique, ça cause, ça parle de tout et des petites gens."

L’immigration avec « La route est longue », l’importance des artistes de rue dans notre quotidien avec « LesMalentendus », la société de consommation et le sens du travail avec « Paris 2012 » ou encore, sur un ton sarcastique, lesproblèmes de voisinage avec « Mireille ». Autant de thèmes et d’histoires singulières, et pourtant essentielles, sontdépeints dans ce spectacle comme dans leur album du même nom : « Mélodies en sous-sol », sorti en Mai 2013.

L’histoire des Malentendus débute en Février 2011. Manuel Mercier chanteur, guitariste, auteur compositeurœuvrant depuis une dizaine d’années sur les routes de France et d’ailleurs en groupe (Le P’tit Son) ou en solo avec saguitare, ses clic et ses clopes, décide de monter un projet autour de ses textes et musiques : Les Malentendus.

S'entourant de musiciens de la scène rennaise, il fera donc appel aux cuivres Eric Leguichard (saxophones ténor etsoprano, contrebasse) et Erwan Thobie (trombone et contretuba) du groupe Sergent Pépère (fanfare décalée) avec qui il adéjà travaillé sur d’autres albums. Ceux-ci apporteront le côté jazz et swing aux morceaux.

Jocelyn Lécuyer (Cie Erectus, La Galoupe), après avoir raccroché l’art de la rue auquel il a voué son âme ces dixdernières années en France et en Europe, arrive à la batterie et aux mimiques.

Jean-Michel Manzano (professeur d’écriture au conservatoire de Rennes, collaboration avec Yann Tiersen) rejointl’équipe peu après aux orgues et au piano et donnera aux morceaux leur styles western bastringue pour certains, classiquepour d’autres.

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Slivo Electric Klub

Le « Slivo Electruc Klub », ou quand la musique distille elle-même l’ivresse !

Véritable déflagration musicale répandant plaisir et énergie, le Slivo Electric Klub se déplace comme un de folie sur de nombreuses scènes nationales. On l’a vu en première partie de Max Pashm et Pad Bradpad Moujika, déchainer les foules en compagnie de la Fanfare Vagabontu, tête d’affiche au festival O Troc Tone de Toulouse, participer au festival Welcome in Tziganie avec Divano Romensa, Mandino Reinhart et Swing 39. Un style innovant aux festives, une créativité libre et originale, le Slivo Electric Klub apparait sur la scène musicale contemporaine comme un hymne à la fête. Ce feu d’artifice est en pleine explosion et n’en fini pas d’embraser les foules.

Atout les amoureux de la fête : ouvrez grand vos corps et laissez-vous guider, le Slivo Electric Klub n’est peut-être plus trèsloin de chez vous !

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Jr Yellam

Yellam, auteur, compositeur et interprète français d’origine américaine, choisit naturellement de diffuser son message en Anglais. Il trouve l’inspiration en écoutant des artistes jamaïcains, tels que Damian Marley ou YellowMan mais aussi des rappeurs, comme ceux du groupe A Tribe Called Quest. Jr Yellam ne cesse de mélanger ses influences musicales pour rester toujours plus actuel et créatif.

C’est en 2007 que Yellam développe ses talents de chanteur en rejoignant le groupe Reggae Nu Roots : The Rising Steppers, avec lequel il fera ses premières apparitions dans les bars et les salles de concert du Mans ainsi que sur des tremplins nationaux dans des villes comme Bordeaux, Toulouse ou Genève.

Il créé le collectif Green & Fresh en 2010 avant de partir un an pour l’Angleterre. Il se diversifie en jouant dans les clubs, les Sound Systems et même en première partie de Dawn Penn à Leicester avec le groupe By The Rivers. Yellam revient alors en France avec des textes plus aboutis et un meilleur accent. Plus à l’aise sur scène il se produit alors dans de grandes villes française et européenne.

Alors que Yellam continue son aventure au sein du collectif Green & Fresh, fin 2011, le Green & Fresh Band est naturellement créé, cette nouvelle formation est composée de 6 musiciens que Yellam emmènera enregistrer en studios de radios ainsi que sur les plus belles scènes du Mans et ses alentours.

Une étape a été franchie début 2012 au moment du Spring Reggae Festival à l’Oasis. C’est une rencontre importante, qui marque le début d’une collaboration musicalement fructueuse entre les principaux acteurs du collectif et le label Irie Ites, aussi bien en studio que sur scène. Les créations collectives et personnelles valorisent toujours les compositions de Yellam,

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après un parcours sur scène et des rencontres avec des artistes comme Don Carlos, Chezidek, Perfect, Glen Washington, Deadly Hunta, Dawn Penn, Maxi Priest, Tiwony, Féfé, Nuttea, Jah Moro & Irie Ites Crew, Ras McBean, Joseph Cotton, Biga Ranx et bien d’autres…

Aujourd’hui Yellam prépare un Maxi avec Green & Fresh. Le projet est largement soutenu par Irie Ites, sortie dans les bacs prévues début 2013. Son but : rencontrer un public de plus en plus présent et de plus en plus large, lui transmettre son message ainsi que son énergie en France, en Europe et aussi loin qu’il lui sera possible.

MISSILL

Missill, dj, productrice, graphiste, terroriste en tout genre, a déjà fait plusieurs tours du monde, 2 albums, 3 mixtapes, 800 dates, 35 pays, la couverture des plus grands mags de l'Angleterre au Japon. Elle ne manque pas de super pouvoirs, l'ultime self made (wonder) woman, hyperactiviste, se manifeste autant par la musique que le graphisme. Missill dynamite avec force les idées reçues du Dj'Ing.

Pyromanes des dancefloors. Oubliez le clubbing généralement associé à l’étiquette des DJs. Missill est une artiste de scène. Ses concerts, performances authentiques, transmet une énergie contagieuse.

Elle s’aventure hors des sentiers battus et innove constamment grâce à ses mixes, éclectiques et sur-vitaminés, brouillant lesfrontières de l’électro, du rock et du hip-hop.

Des lives puissants, enivrants et interactifs, qui attirent et déchaînent chaque fois un public plus fidèle et nombreux. Elle est plébiscitée par les plus éminents festivals et clubs du Monde (Vieilles Charrues, Transmusicales, Rock in Park, Glastonbury, Summer Sonic, Sziget, TransMusciales france, chine et Russie…). Missill distille sa musique de manière intelligente, s'adaptant à son public; elle se produit aux cotés des plus grands : Boyz Noize, Wu Tang, Afrika Bambaataa, DJ Premier, Digitalism, Public Enemy, Vitalic, Bashung, SebastiAn, MIA etc..)

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ZENZILE

A bien des égards, « Scars », le titre d’ouverture de ce nouvel album, pourrait servir de parfait condensé à l’oeuvre de Zenzile : une nappe de clavier rampante, une basse nonchalante, un groove qui s’installe imperturbablement, la voix sexy endiable de Jamika qui impose le silence, une flûte enchanteresse en écho, et les corps qui deviennent incontrôlables. Bref, du dub et en même temps tellement d’autres choses.Le groupe angevin s’est en effet toujours arrangé pour apparaître où on ne l’attendait pas : précurseur du dub au milieu des 90’s quand le genre était parfaitement inconnu en France, sobre et aérien quand les pairs avaient tendance à empiler les couches, soudainement électronique quand leurs fans ne juraient plus que par leur son très organique, et récemment de retour au dub originel quand on les croyait définitivement basculés dans le rock…Alors bien entendu, vous devinez que ce n’est pas parce que leur huitième album s’appelle « Electric Soul » qu’il faille y chercher de quelconques hommages à Aretha Franklin ou Al Green. Ca serait beaucoup trop simple… Non seulement ce disque n’est pas particulièrement soul, mais il n’est même pas le plus électrique de leur carrière.En revanche, il a indéniablement une âme, qui irradie les neuf morceaux du tracklisting. Cette âme, c’est un son.A la manière de Grace Jones ou ESG au début des 80’s, voire de Massive Attack à la fin des 90’s, Zenzile a su s’inventer une identité sonore éminemment personnelle, piochant ici et là dans le dub, le post-punk, la Black Music, la new-wave et la pop.Ce nouveau disque réussit donc encore l’impossible pari de surprendre tout en étant familier.Comme si les Angevins, avec l’expérience, n’écrivaient plus que des classiques instantanés. On a beau chercher dans leur imposante discographie, on ne voit pourtant pas grand chose qui ressemblerait déjà à ces « Stay », « No Idol », « Magic Number », « Yuri’s Porthole » ou « Man Made Machine » (où l’on entendrait presque planer le « Angel » de Hendrix en fond). Ce qui n’empêche pas de reconnaître la patte du groupe dans la seconde.« Electric Soul » rend ainsi hommage à un certain passé (le dub du On-U Sound de Adrian Sherwood, la new wave jamaïcanisée), s’inscrit dans un présent relatif (les meilleurs travaux de Roots Manuva) et regarde effrontément vers l’avenir (une bonne moitié de ce disque pourra prétendre à figurer sur une compilation rétrospective de la carrière du groupe).Les fans le savent, chaque disque de Zenzile possède son sommet caché, qu’on attend impatiemment de pouvoir gravir sur scène à leur côté. Ici ce sera sans conteste « Over/Time », magnifique odyssée cinématique de 8’27’’ entre post-rock et spiritual jazz, qui emporte les corps et les esprits dans son sillage. Apocalypse now ! Un dernier mot tout de même pour présenter la dernière recrue du désormais septet : le franco-égyptien Jérôme «Jay Ree» El Kady en impose par son chant protéiforme et incite le groupe à signer son premier disque 100% vocal. Aussi à l’aise dans la scansion hip hop afro-futuriste que dans le vibrato reggae ou le crooning soulful, Jay Ree ne semble nullement impressionné par son statut de petit nouveau. Sa voix spatiale habite magistralement quatre titres de « Electric Soul », en accord parfait avec celle de l’Américaine Jamika Ajalon, plus charismatique que jamais, qui résonne sur cinq. Et au menu des surprises on découvre également un Winston McAnuff terriblement soul, très très loin de son mythe d’Electric Dread.Et si finalement c’était ce petit détail qui résumait le mieux le nom de cet album ?

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