le festival alimenterre...le festival alimenterre est une histoire collective, de femmes et...
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12ÉME ÉDITION | OCTOBRE 2020
EN MODE PRÉSENTIEL ET VIRTUEL Bruxelles - Arlon - Charleroi - Liège - Mons - Namur - Ottignies - Louvain-la-Neuve
LE FESTIVAL ALIMENTERRE
DOSSIER DE PRESSE
Une initiative de SOS FAIMEn collaboration avec de nombreux partenaires
Avec le soutien de la Coopération Belge au Développement (DGD)
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SOS FAIMExpert et acteur de changement
Le festival AlimenTerre est organisé par SOS FAIM, une ONG de développement, active depuis 1964 dans la lutte contre la faim et la pauvreté en milieu rural, en Afrique et en Amérique latine. Pour y parvenir, elle défend l’agriculture familiale, convaincue que les petits agriculteurs ont la capacité de nourrir le monde. SOS Faim soutient les agriculteurs du Sud à trois niveaux : technique, financier et politique.
ALIMENTERRELE FESTIVAL
UN FESTIVAL POUR DÉNONCER LES DÉSORDRES AGRICOLES ET ALIMENTAIRES DANS LE MONDE ET PROPOSER DES ALTERNATIVESLe festival Alimenterre propose au public belge francophone une sélection de films documentaires qui illustrent les désordres agricoles et alimentaires, mais proposent aussi des alternatives pour relever ces défis à l’échelle locale et mondiale. Dans ce contexte de crise sanitaire, le festival AlimenTerre s’inscrit comme un évènement incontournable auprès des citoyens. Plus que jamais, il participe à la prise de conscience du rôle essentiel de l’agriculture et de la nécessité de promouvoir des systèmes alimentaires sains, durables et résilients.
Comme chaque année le festival a lieu autour de la journée de l’alimentation le 16 octobre. L’édition 2020 se déroulera du 7 au 11 octobre à Bruxelles puis en Wallonie ( Arlon, Charleroi, Liège, Mons, Namur, Ottignies et Louvain-la-Neuve ) du 11 au 30 octobre.
Des films, des débats et des ateliers sont organisés en présence de leaders paysans du Sud, de spécialistes du monde agricole, de réalisateurs et de porteurs d’initiatives concrètes et locales.
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Des thématiques actuelles et cruciales dans le contexte du covid-19 En cette période de pandémie, il est plus que jamais essentiel d’interroger nos modèles agricoles et alimentaires. Les films et les débats aborderont notamment : la résilience face à un effondrement des systèmes alimentaires industriels, l’ur-gence de se reconnecter au local, les alternatives à l’agro-business, l’importance de la souveraineté alimentaire en Afrique, la question du bien élever-bien tuer-bien manger, les perspectives d’avenir pour les jeunes agriculteurs et l’importance de se réinventer en temps de crise.
Seront mis à l’honneur dans cette édition : des agriculteurs du Sénégal, de France, du Malawi, d’Italie, du Brésil, de Grèce qui tous portent des combats, résistent à l’agrobusiness, reconquièrent leur souveraineté alimentaire, leur dignité. Par leur force politique et esthétique, les films questionneront le rapport que l’homme entretient avec l’animal, avec les arbres, avec le territoire et le vivant.
L’ADN DU FESTIVAL
La qualité des débatsAfin d’approfondir les thématiques abordées et de créer une interaction avec le public, les films sont systématiquement suivis de débats ou d’échanges réunissant des acteurs de terrain locaux et des pays du Sud, des protagonistes, des spécial-istes ou encore les réalisateurs eux-mêmes.
Les débats sont longuement préparés et originalement animés par les membres de SOS FAIM. Cette année l’équipe renforce davantage le côté partici¬patif et innovant des échanges après les films pour toucher et impliquer encore plus le public et semer cette graine de prise de conscience et cette envie de participer au changement global.
Chaque année, SOS Faim invite des représentants d’organisations paysannes situées en Afrique ou en Amérique du Sud pour qu’ils apportent une analyse du terrain. Cette réalité partagée avec le public est un réel atout pour le festival particu-lièrement apprécié par les spectateurs.
Olivier de Schutter, parrain du festival Olivier De Schutter est incontournable lorsqu’il s’agit d’évoquer les systèmes alimentaires, tant ceux liés à l’agroindustrie que les nouveaux systèmes alternatifs. Ancien Rapporteur Spécial sur le droit à l’alimentation des Nations Unies, il est professeur de droit international à l’UCL et depuis 2015, membre du Comité des droits économiques, sociaux et culturels de l’ONU. Grand défenseur de l’agroécologie, il invite les consommateurs à devenir acteurs et à réfléchir à leur mode de consommation.
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Le festival AlimenTerre, ce sont bien sûr des projections suivies de débats mais aussi un lieu privilégié de rencontres inspirantes, une émulation collective, des ateliers, un Forum des alternatives, des dégustations, sans oublier des moments festifs. Tous les sondages et les évaluations le prouvent : ce qu’ap-précient tout particulièrement les festivaliers, ce sont la qualité des débats et des échanges, la mise en lumière d’alternatives et la convivialité du festival !
L’âme du festival
Le festival connaît des répliques un peu partout dans le monde. SOS Faim est à l’origine de celles en RDC, Burkina Faso, au Sénégal et au Québec mais d’autres existent aussi en France, en Pologne, au Luxembourg, au Togo et au Bénin ! Une superbe occasion pour SOS Faim de collaborer avec des organisations paires africaines et européennes et de tis¬ser des liens en faveur d’un monde plus juste.
De la sélection des films à l’organisation des débats en passant par la promotion, le festival est porté par une équipe composée d’une trentaine de volontaires engagés.
Une équipe de volontaires impliqués
Une dimension internationale
Le Forum des Alternatives
Le festival, un levier de transforma-tion sociale et sociétale
Un peu partout, en Belgique et ailleurs, les initiatives pour une agriculture et une alimentation plus juste et plus durable se mul-tiplient. Le temps d’un après-midi, le Forum des Alternatives propose plusieurs espaces pour découvrir, débattre et agir avec des acteurs impliqués en faveur d’un autre système alimentaire.
SOS Faim, diffuse, conscientise, mobilise, co-produit des films qui questionnent, interrogent le monde. Le documentaire a cette force d’émouvoir, d’agiter la pensée critique, de créer du débat. Le public peut mieux comprendre et s’approprier les enjeux complexes de l’agriculture et de l’ali-mentation. Chaque année les rangs des salles de cinéma se remplissent de personnes de tout âge, jeunes, étudiants, familles, pensionnés... des spectateurs curieux d’en savoir plus sur les enjeux alimen-taires et agricoles mondiaux. A l’issue des projections, la plupart des festivaliers désirent modifier leurs habitudes alimentaires et se mobiliser pour contribuer ainsi au changement du modèle agricole dominant.
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BruxellesQuinoa, Rencontre des Continents, Oxfam Magasins du monde, Fian, Ville de Bruxelles, Keelbier, Kinograph
CharleroiFemmes Prévoyantes Socialistes Charleroi, Quai 10, PAC Charleroi, Entraide & Fraternité, CNCD 11.11.11, Point Culture, Ceinture Alimentaire, Charleroi Métropole, Ville de Char-leroi
NamurPaysans Artisans, Les Grignoux / Caméo, Fucid, Iles de Paix, Fugea, Mundo N, Mouvement d’Action Paysanne (MAP), Canal C (presse),
Ottignies-LLNMaison du Développement Durable, Centre Culturel d’Ot-tignies - Louvain-la-Neuve, CNCD 11.11.11, Oxfam Magasins du Monde, Maison de la Laïcité Hypathia
ArlonMaisons de la Culture d’Arlon, CIEP Luxembourg, CNCD 11.11.11 Luxembourg, Centre Culturel d’Aubange (CC Athus), Halle de Han, Terre en Vue, Arlon Campus Environnement (ULiège), Arlon Identity, Nature Attitude, Observatoire de l’environnement
LiègeAutre Terre, Les Grignoux / Ciné Le Parc, Centre Culturel Chiroux, CRIE - Education Environnement, Casa Nicaragua, Centre Culturel Beau-Mur, Aquilone, Ceinture Aliment-terre Liégeoise, Equipes Populaires, Belgian Fair Trade Federation, Point Culture
MonsPlaza Art, Oxfam Magasins du Monde, CNCD 11.11.11
Et le coup de main de Biovrac, La Ruche Qui Dit Oui, Färm, 1000 Bruxelles en transition, Efarmz
Un riche réseau de plus de 50 partenaires Le Festival Alimenterre est une histoire collective, de femmes et d’hommes engagé.e.s et d’associations solidaires. C’est uniquement grâce à cette dynamique qu’il a pu s’étendre en Wallonie. Aujourd’hui, le Festival se déroule à Bruxelles mais également à Arlon, Charleroi, Mons, Namur, Liège, Ottignies et Louvain-La Neuve grâce à l’énergie d’une soixantaine de partenaires diversifiés et complémentaires : centres culturels, ONGs, cinémas, associations environnementales, féministes, de citoyen.ne.s actifs/ves, etc.
Cette année, toutes les projections-débats se tiendront en présentiel et pourront également être retransmises en livestream, selon l’évolution de la situation.
LES CHIFFRES 2019 • 7 films ( 10 films en 2020 )
• 27 projections-débats
• 7 villes
• 5 jours à Bruxelles et 2 semaines
en Wallonie et à l’international
• 3000 spectateurs (20% en plus par rapport
à l’édition précédente)
• 1 prix
• Plus de 50 associations partenaires
• Plus de 40 volontaires
• Plus de 30 experts-intervenants
• Plus de 20 alternatives locales
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un comité de sélection, hétéroclite et renouvelé Il est habituellement composé de nombreux volontaires, ayant tous des compétences sur les thèmes de prédilection. Pour cette édition, le comité fut complété et accompagné de 3 professionnels du cinéma, garants d’un renouveau et d’une qualité cinématographique. A partir de plus de 100 films reçus, le Comité en a visionné 25 pour ne choisir que 11 réalisations.
Cette nouvelle édition entend innover et mettre à l’honneur le documentaire de création. Les films sélectionnés ont fait l’objet d’un choix dicté par la volonté d’offrir une pluralité et diversité de points de vue, de signes et d’expériences sensorielles. Le festival AlimenTerre programmera cette année plusieurs Premières belges.
un mot sur la programmation En ouverture, le festival AlimenTerre a choisi de programmer « Quand on sait », un film coup de poing d’un jeune réalisateur qui prend conscience de la fragilité de notre société et des limites physiques d’un monde qu’on croyait infini. Face à la perspective d’un effondrement global, le film nous invite à faire un cheminement intérieur, émotionnel, intellectuel. Comment vivre dans un monde qui s’effondre ? Quelle résilience face à un effondrement des systèmes alimentaires? Ce film et tant d’autres nécessiteront des discussions, des échanges et des débats.
C’est bien là les fondamentaux et le rôle du festival AlimenTerre. « Quand on sait » car le savoir est la première étape pour une transformation sociétale. Mais le savoir ne suffit pas. Dresser les constats inquiétants ne suffit pas. Il s’agit d’offrir des réponses et des alternatives car elles existent. La pro-grammation entend ainsi proposer d’autres récits. Les films de cette année ont été sélectionnés pour leur force de proposition politique et esthétique. Chacun à leur manière, ils mettent à l’honneur des femmes et des hommes qui se mettent en mouvement, qui s’engagent, expérimentent et réinventent. Des personnages inspirants en ces temps troublés.
quatre films issus de la sélection 2020
QUAND ON SAIT 90’ - 2020 - France - FR ST FR/ENd’Emmanuel Cappellin
À l’heure où la civilisation industrielle se confronte à l’épuisement de ses ressources énergétiques et la réalité d’un changement climatique déjà hors de contrôle, le film Quand on sait pose une question dérangeante : si l’effondrement est certain, comment vivre l’effondrement le mieux possible, le plus humainement possible ?
NOUVEAUTÉS 2020
thèmes : changement climatique • décroissance • collapsologie/théorie de l’effondrement
en compétition
Première belge !
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en compétition
en compétition
hors compétition
CYRILLE, AGRICULTEUR, 30 ANS, 20 VACHES, DU LAIT, DU BEURRE, DES DETTES 85’ - 2020 - France - FRde Rodolphe Marconi
On voit régulièrement à la télévision ou dans les journaux que les agriculteurs laitiers vont mal, qu’ils sont les premiers concernés par le suicide. On le voit, on le sait et puis c’est comme ça. Ça ne nous empêche pas de dormir. Seulement voilà : le jour où j’ai rencontré Cyrille, j’ai eu du mal à m’en remettre. C’est devenu mon obsession
NOUS LA MANGERONS,C’EST LA MOINDRE DES CHOSES 67’ - 2020 - France/Belgique - FRde Elsa Maury
Nathalie, bergère dans le piémont cévenol, apprend à tuer ses bêtes. Le film suit les gestes d’une éleveuse qui aime et qui mange ses moutons avec attention. Elle est prise sans relâche dans une interrogation à propos des manières de bien mourir pour ces êtres qui nous font vivre. Quel goût a la tendresse ?
SUR LE CHAMP ! 60’ - 2020 - Belgiquede Michael Antoine & Nicolas Bier SOS Faim / Îles de Paix / Autre TerreAlors que plus de 800 millions d’individus souffrent de la faim et que la planète s’épuise, la solution pour nourrir l’humanité n’est pas de produire plus, mais de produire mieux. En marge de l’agrobusiness, de plus en plus d’acteurs, tant au Sud qu’au Nord, investissent un autre modèle : l’agriculture familiale durable. Un modèle résilient qui replace l’humain au centre et qui cohabite de façon plus harmonieuse avec l’environnement dont les paysans dépendent pour produire.
thèmes : perspective & avenir du métier d’agriculteur•rice
thèmes : relation humain/animal • bien élever, bien tuer, bien manger • abattage • relocalisation • ecoféminisme • antispécisme
thèmes : agriculture familiale • résilience face à l’agrobusiness • nord/sud • transition agroécologique
Première belge !
Première belge !
Nouveauté !
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champ libre
UN CONCOURS DE COURTS-METRAGES PAR ET POUR LES JEUNES
Permaculture, OGM, agriculture urbaine, bio… Comment la jeunesse vit-elle son rapport individuel et collectif à la terre qui nous nourrit, qui nous questionne ? Parce qu’ils sont les premiers concernés par les crises auxquels nos systèmes alimentaires font face, SOS Faim donne le CHAMP LIBRE aux jeunes francophones entre 18 et 30 ans.
À travers cette première édition du concours de courts-métrages, les jeunes amateurs ou professionnels pourront proposer leur film - genre libre et 5 minutes max - sur le thème : « Terre nourricière, terre d’expres-sions ». À la clé : une diffusion au Festival Alimenterre, de nombreux prix et une expérience unique dans un pays de nos partenaires du Sud.
CONTACT CONCOURSKarim ORIAM
Chargé de projet [email protected]
www.concourschamplibre.com
NOUVEAUTÉS 2020
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Antoinette Dumont | Agro-économiste Docteur en Agronomie à l’UCLouvain, Antoinette Dumont s’est formée par la suite à la sociologie compréhensive et pragmatique. Ses recherches se situ-ent au croisement entre ces différentes disciplines. Elle a réalisé une thèse qui consiste en une analyse systémique du travail dans le système alimentaire basé sur la production de légume en Wallonie, dans une perspective de transition agro-écologique.
Katy N’Diaye | Réalisatrice, journaliste et productrice Née au Sénégal en 1968, Katy Léna Ndiaye fut journaliste pour RTL et le CIR-TEF. Elle a notamment présenté le magazine Reflets Sud et Afrique Plurielle (TV5Monde) avant de passer derrière la caméra. Ses films « Traces empreintes de femmes » et « En attendant les hommes » ont reçu de nombreuses distinc-tions. Parallèlement à son parcours de cinéaste, Katy a travaillé pour la télévi-sion. Depuis 2013, Katy N’Diaye développe des projets à travers Indigo Mood, sa société de production installée à Dakar.
Christine Frison | JuristeLe Dr Christine Frison est spécialisé en droit international et gouvernance de l’agrobiodiversité, la biodiversité et la biosécurité. Elle a obtenu un doctorat des universités UCLouvain et KU Leuven. Elle occupe actuellement un poste de chercheur post-doctorant à l’université d’Anvers. Ses travaux de recherche les plus récents portent sur la gestion mondiale des semences dans le cadre du Traité international sur les ressources phytogénétiques pour l’alimentation et l’agriculture (Tirpaa).
LES MEMBRES DU JURY, CINÉASTES, JOURNALISTES ET EXPERTS :
Quentin Noirfalisse | Journaliste, cinéasteUn des fondateurs de Médor, Quentin Noirfalisse fait partie de l’équipe de pilotes (rédacteurs en chef) du magazine. Il a publié des enquêtes sur le numérique à l’école, la société d’huile de palme Socfin, le géant du dragage Jan De Nul ou encore les Qataris à Malmédy. Il s’intéresse à la responsabilité des entreprises, et aux enjeux environnementaux. Quentin est aussi pro-ducteur et réalisateur de documentaires chez Dancing Dog Productions. Il a notamment réalisé Le ministre des poubelles.
Mamadou Goïta | Socio-économiste du développement et Ingénieur en gestion des systèmes d’éducation et de formationMamadou Goïta est directeur exécutif de l’Institut de recherche et de promotion des alternatives au développement (IRPAD). Il travaille en étroite collaboration avec des organisations d’agriculteurs en Afrique et sur d’autres continents. Il a été secrétaire exécutif du ROPPA (organisation de producteurs et d’agriculteurs d’Afrique de l’Ouest), il est membre fondateur de la COP-AGEN (Coalition pour la protection du patrimoine génétique africain) et de l’AFSA (Alliance pour la souveraineté alimentaire en Afrique). Il siège actuel-lement sur de nombreux conseils internationaux (USC Canada, Afrique Verte International, réseau More & Better, Global Green Grants) et est membre de plusieurs réseaux africains (Pan-African Network in the Defence of Migrants ‘Rights (PANiDMR), African Coalition des OSC de la Banque de développe-ment, AIMES, POSCAO).
Les 5 membres du jury ont été choisis pour leur expertise dans les domaines de l’agriculture et de l’ali-mentation et/ou pour leur regard de cinéastes, sensibles aux interdépendances Nord-Sud. Ils couronner-ont le meilleur film d’un Prix AlimenTerre.
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Rendez-vous fin août pour découvrir les différents lieux du Festival à Bruxelles et en Wallonie, la programmation complète et d’autres nouveautés
L’humanité vit des heures décisives : dérèglements climatiques, faim dans le monde, pauvreté et inégalités croissantes, épuisement des terres arables, effondrement de la biodiversité, crises sanitaires, économiques, sociales, financières.
Face à ce constat, il y aurait toutes les raisons du monde de désespérer et pourtant, de nouveaux modèles résilients existent. Des femmes et des hommes se mettent en mouvement, s’engagent, expérimentent, réinventent.
Le festival AlimenTerre souhaite célébrer celles et ceux qui portent courageusement ces (r)évolutions que nous attendons, ces initiatives pionnières qui, nous offrent de nouveaux horizons, de véritables raisons de croire en l’avenir.
ALIMENTERRE, C’EST ÉLÉMENTERRE
CONTACTEZ-NOUS Anne Kennes
Attachée de presse0486 24 34 00
Julie van der Kar Responsable du festival AlimenTerre
02 548 06 830497 40 75 00
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