le défi d’une cavalière · distribution : 10000 exemplaires le défi d’une cavalière jeudi...

8
Distribution: 10 000 exemplaires www.journaldescitoyens.ca Le défi d’une cavalière JEUDI 20 AOÛT 2015 – CAHIER DPÉCIAL Suivez-nous sur Facebook ! CLUB Ado Média Entrevue Sport page 17 page 19 Art page 18 Bande Dessinée pages 16 et 19 Selon Raphaëlle Ferreia, le plus gros défi lorsque l’on monte à cheval est de former une équipe avec son cheval, de faire confiance à l’autre. page 15 SPÉCIAL La famille Piché, fière d’encourager la jeunesse ! Photo : Isabelle Neveu D’autres photos sur Facebook ! CLUB Ado Média

Upload: others

Post on 27-Aug-2021

3 views

Category:

Documents


0 download

TRANSCRIPT

Page 1: Le défi d’une cavalière · Distribution : 10000 exemplaires Le défi d’une cavalière JEUDI 20 AOÛT 2015 – C AHIER DPÉCIAL Suivez-nous sur Facebook! CLUB Ado Média E nt

Distribution: 10 000 exemplaires

www.journaldescitoyens.ca

Le défi d’unecavalière

JEUDI 20 AOÛT 2015 – CAHIER DPÉCIAL

Suivez-nous sur Facebook!

CLUBAdo Média

Entrevue

Sport

page 17

page 19

Art page 18

Bande Dessinéepages 16 et 19

Selon Raphaëlle Ferreia,le plus gros défi lorsquel’on monte à cheval estde former une équipeavec son cheval, de faireconfiance à l’autre.

page 15

SPÉCIAL

La famille Piché,fière d’encourager la jeunesse !

Photo: Isabelle Neveu

D’autres photossur Facebook !

CLUBAdo Média

Page 2: Le défi d’une cavalière · Distribution : 10000 exemplaires Le défi d’une cavalière JEUDI 20 AOÛT 2015 – C AHIER DPÉCIAL Suivez-nous sur Facebook! CLUB Ado Média E nt

Je m’explique. Je suis une jeuneétudiante en journalisme et, commen’importe quel étudiant, je travaillel’été. Si je me change en animatricede camp l’été, je reste quand mêmeune « vraie de vraie » journaliste.Comme Tintin, disent les enfants.Je ne peux m’empêcher cependantd’observer et de me questionner…Les enfants, sachant que je joue auxjeux vidéo, me demandent de lesajouter sur Call of Duty ou Halo, desjeux, où proprement dit, l’objectifest de « tirer dans le tas. »

À qui la faute ?Pourquoi ça me dérange ? Parce queCall of Duty et Halo s’adressent à unpublic de 17 ans et plus. Et quel âgeont les enfants ? De 7 à 13 ans,maximum. Mon article pourraitêtre un plaidoyer contre les jeuxvidéo ; ce serait malhonnête, car jejoue aux jeux vidéo et je ne crois pasque la question soit spécifiquementdans leur existence. Ça pourrait êtreun plaidoyer contre le manque decontrôle parental, mais malheureu-sement, les médias et les nouvelles

technologies rendent facilementaccessibles des contenus adultes à unpublic mineur comme les enfants demon camp. Alors, quel est le problème et à quila faute ? Le problème, c’est que laviolence c’est amusant pour lesenfants et que cela ne devrait pasl’être. Les enfants sont trop exposésà la violence. Partout. La violenceest un jeu. Comme quand on joueau cowboy et à l’indien. Pow, t’esmort. Mais est-ce que les enfants

connaissent bien la limite entre laréalité et le jeu ? Pas toujours. Est-ceque nos enfants sont tous de poten-tiels tueurs ? Non, vraiment pas.Certains évènements propres à lasociété américaine nous amènent ànous poser plusieurs questions, sur-tout quant à l’accessibilité dange-reuse des armes à feu. À 13 ans, unjeune américain du nom de DylannRoof reçoit une arme à feu pour safête. Pas un vélo. Non. Une arme àfeu.Je vous en parle parce que durantla nuit du 17 au 18 juin dernier,Dylann Roof, maintenant âgé de 21ans, s’est introduit dans une église àCharleston, et a tué neuf personnesde race noire. Il a été arrêté enCaroline du Nord le lendemain,suspecté de terrorisme et de crimeracial. Pourquoi diable fallait-il quece soit une arme à feu ? Pourquoi pas

un œuf Kinder à la place ?Attention, c’est très dangereux unœuf Kinder! Le jouet a même étébanni du sol américain en 2008.Plus dangereux qu’une arme à feudans les mains d’un mineur, pasvrai? Si vous ne comprenez pas monsarcasme, relisez la phrase deux fois.L’ironie saute aux yeux.

Papa a toujours raison ? L’autre jour, un enfant me disait que«Gaetan Barette est imbécile ».Après avoir poliment rappelé à l’en-fant que traiter n’importe qui d’im-bécile était mal, j’ai eu un certainmalaise. Ce n’était pas vraiment lafaute de l’enfant, mais bien celle desmédias régurgitant leurs discourshaineux et ô combien lucratifs dansla bouche des parents. Ne prenezpas les enfants (ni les médias) pourdes imbéciles. Les enfants s’amusentde la violence, les grands médiasl’utilisent pour s’enrichir ; dans lesdeux cas, ce phénomène est inquié-tant si on pense aux récents attentatsau Moyen-Orient ou même àSamantha Higgins, plus récemmentau Québec.Quand la société expliquera auxgrands et aux petits enfants qu’unearme n’est pas un jouet et que la vio-lence n’est pas un jeu d’enfant, peut-être qu’alors mon été sera comme ildevrait l’être. Moins d’armes, plusde rires.

14 Journal des jeunes citoyens – Cahier spécial Club Ado – 20 août 2015

CLUBAdo Média

Le Journal des jeunes citoyens est issu d'une tradition de10 ans du Club Ado média. Ce Club offre aux jeunes de 9ans et plus de la communauté, l'occasion de vivre uneexpérience en journalisme en publiant leurs articles et leursphotos dans les pages du Journal des citoyens. Cetteinitiative, encadrée par le travail d'animation d’IsabelleNeveu et Audrey Tawel-Thibert a rendu possible laproduction d'un cahier de huit pages, pour une troisièmeannée. Nous remercions nos annonceurs qui par leursoutien, ont permis d'offrir un plus grand espacerédactionnel aux articles de nos apprentis journalistes.

Journalistes et animatrices :Isabelle Neveu et Audrey [email protected] :Club Ado médiaReprésentante publicitaire:Lise Pinard, tél. :450 [email protected] :Hebdo LithoTirage certifié :10 500 exemplairesDistribution :Postes Canada :médiaposte

Dépôt légal :- Bibliothèque nationale du Québec- Bibliothèque nationale du Canada

ISSN 1496-2497 Journal des citoyens

Le Journal des citoyens et les journalistes du Club ado médiaremercient de leur appui: épicerie IGA famille Piché; la CaisseDesjardins de Saint-Jérôme; l'imprimeur Hebdo-Litho, laMunicipalité de Sainte-Anne-des-Lacs, la Ville de Prévost, ledéputé Claude Cousineau et la dentiste Tawni Bailey.

Opinion

Jeux d’enfants ?

Depuis 2005, plus de 60 jeunesjournalistes, photographes etbédéistes en herbe ont eu la chancede vivre une expérience hors ducommun au sein du Club AdoMédia du Journal des citoyens.Chaque été, ces jeunes ont parcourula région à la recherche d’histoires àraconter, d’évènements à couvrir etde personnalités à interviewer; par-tageant, par la suite, leurs décou-vertes avec les lecteurs du Journal. Une quinzaine d’animateurs etd’animatrices se sont succédésannée après année, afin d’accompa-gner les jeunes dans leurs démarchesjournalistiques. Provenant duCégep de Saint-Jérôme et del’Université de Montréal, ces anima-teurs ont chacun à leur manière fait

grandir le Club Ado Média, qui necesse d’évoluer depuis maintenant10 ans.

Au départ, ce sont uniquementquelques pages du Journal quiétaient réservées aux créations desjeunes durant la période estivale.Depuis 2013, le Club Ado Médiaproduit un cahier spécial entière-ment conçu par les jeunes. Nomméle Journal des jeunes citoyens, celui-ciest actuellement publié pour unetroisième année consécutive dansl’édition du mois d’août.

Quand le Club Ado Média mèneà des études en journalismeAu fil des années, deux anciennesparticipantes sont devenues, à leur

tour, animatrices du club, alors quequatre d’entre elles travaillent ouétudient présentement dans ledomaine des communications. C’est le cas de Gabrielle Morin-Lefebvre, qui a participé à plusieursreprises au Club Ado Média entre2010 et 2013. Elle a écrit sur dessujets variés, tels que le Pow Wowdu centre Batshaw, le symposium depeinture de Prévost et le festival dumonde de Saint-Jérôme. Rappelonsque son texte Il était une fois... desfaucons a également fait la une duJournal au mois d’août 2010.

Maintenant âgée de 19 ans,Gabrielle Morin-Lefebvre débutera,dès septembre, des études en jour-nalisme à l’Université du QuébecMontréal. Elle vient de terminer sesétudes collégiales dans le pro-gramme Arts et lettres : profil journa-lisme et communication du Cégep deSaint-Jérôme; période durantlaquelle elle a été rédactrice en chefdu journal étudiant le Trouble-Tête.Pour la troisième édition du Journaldes jeunes citoyens, elle propose uneréflexion intéressante sur le rapportqu’entretiennent les jeunes avec laviolence.

Ont participé à lacréation du jeuDÉFI: LéanneLafortune-Simon, Émile Lafortune-Simon et AdèlePilotte – page 16Arianne Perreault Antoine Picard Étienne Poliquin Tristan Soucy

11 ans 13 ans 11 ans 12 ans

Gabrielle Morin-Lefebvre

Si on dit que la vérité sort de la bouche des enfants, c’estsans doute que ceux-ci sont un reflet aussi véridique quepuissant de notre société. Donc pas besoin d’un doctoraten sociologie pour observer le rapport que nous entrete-nons avec la violence. Il suffit juste d’être monitrice decamp…

Le Club Ado Médiafête ses 10 ans !

12 ans10 ans12 ans

12 ans 14 ans 12 ans 12 ans 19 ans

Frédérique Charlebois Ina Laporte Maéva Larivée Lili Rose Mahaut Gabrielle Morin-Lefebvre

La violence est un jeu. Comme quand on joue au cowboy et à l’indien. Pow, t’es mort.

Page 3: Le défi d’une cavalière · Distribution : 10000 exemplaires Le défi d’une cavalière JEUDI 20 AOÛT 2015 – C AHIER DPÉCIAL Suivez-nous sur Facebook! CLUB Ado Média E nt

Journal des jeunes citoyens – Cahier spécial Club Ado – 20 août 2015 15

CLUBAdo Média

197, rue Principale Est, bureau 101 Sainte-Agathe-des-Monts, Québec J8C1K5tél: 819-321-1676télec: 819-321-1680sans frais: [email protected]

Claude CousineauDéputé de BertrandPrésident de la Commission del’économie et du travailPorte-parole de l’opposition officielleen tourisme

C’est avec grand plaisir que je m’associe au Journal des jeunes citoyens.Faire participer des jeunes à la production d’un journal constitue une excellente initiative quileur permettra de vivre une expérience unique, propice à la découverte de talent et de passion.

Bravoaux jeunes,au Club Ado Média etau Journal des citoyens !

Depuis, elle pratique ce sportrégulièrement. Plus précisément,Raphaëlle passe vingt heures àl’écurie par semaine. Avec soncheval, Montreux, qu’elle possèdedepuis quatre ans, Raphaëlle faitbeaucoup de compétitions. Elleest dans la division Sauteur Poney.Cette division consiste à franchirun parcours d’obstacles le plusrapidement possible. Avantchaque compétition, Raphaëlledoit mémoriser le parcours qu’elledevra franchir.Pour l’instant, elle est capable desauter avec son cheval par-dessusdes obstacles d’une hauteur de90 cm ! Son objectif est de pouvoir

sauter à une hauteur de 1 mètre40. Raphaëlle a aussi déjà rem-porté la médaille d’argent aux Jeuxéquestres !Selon elle, le plus gros défilorsque l’on monte à cheval est deformer une équipe avec son ani-mal, de faire confiance à l’autre.Aussi, les qualités requises pourpratiquer ce sport sont la patience,le courage et la persévérance. Ondit que l’on ne devient un boncavalier qu’après avoir chuté 100fois de son cheval !À ceux qui débutent ou qui vou-draient commencer à monter àcheval, Raphaëlle donne le conseilsuivant : amusez-vous !

Équitation

Raphaëlle, unecavalière bien en selle !Lili Rose Mahaut

Dernièrement, je suis allée rencontrer une passionnéede l’équitation, Raphaëlle Ferreira. Elle fait de l’équita-tion depuis neuf ans. Elle a découvert ce sport grâce àdes petits cours d’équitation organisés pour son anni-versaire.

Photo: Isabelle Neveu

Photo: ILili Rose M

ahaut

Âgé de 11 ans, Étienne Poliquin commence actuellement sa car-rière d’acteur, notamment au sein du film québécois Ego Trip.Dans le cadre du Journal des jeunes citoyens, il a décidé desimuler un échange entre lui et un journaliste. Cette discus-sion est bien particulière, puisqu’elle s’effectue par textos…

L’ado texto

Silence, on tourne!

Lili Rose Mahaut a participé avecRaphaëlle au pansage de Montreux

Raphaëlle Ferreira sur son chevalMontreux

Salut Étienne, ça va bien ?Oui, et toi?

Bien, merci. J'ai entendu dire que tu avais fait un film!Peux-tu nous parler de ton personnage dans Ego Trip ?

Bien sûr! Mon personnage se nomme Thierry et il est très timide. Il faitdes matchs d'improvisation, mais il a de la difficulté à se faire comprendre,car il a un gros appareil dentaire dans sa bouche. Sa mère et sa sœur sontles seules personnes qui comprennent ce qu'il dit !

Alors, durant le tournage, il a fallu que tu portes un appareil dentaire j’imagine ?

Pendant le tournage, j’avais un appareil dentaire spécial et facile à enlever.Parfois, j’avais aussi... des patates froides ! En effet, après le tournage, j’aidû retourner en studio pour refaire une réplique. On comprenait trop bience que je disais, mais il ne fallait pas. Le réalisateur m’a donc demandé deparler avec des patates dans la bouche. C’était dégoûtant et j’ai été trèsinconfortable ! Quand le réalisateur m’a dit qu’il voulait me donner desmarshmallow à la place, mais qu’il les avait oubliés chez lui, je lui en aivoulu un peu lol.

Et qu’ aimes-tu le plus du métier d’acteur ?Ce que j’aime le plus, c’est de pouvoir faire ce que je n'ai pas le droitde faire dans la vraie vie ! L'année dernière, on m'a demandé de lancerdes boules de papier à mes amis dans une classe tout en criant et endéchirant mes livres scolaires dans une publicité de Familiprix ! Cool,n'est-ce pas?

Oh oui! Comment tes amis à l'école ont-ils réagi quandtu as commencé a faire des choses à la télévision?

Mes amis m'ont simplement félicité, mais les autres élèves, eux, m'ontbombardé de questions. Plusieurs d'entre eux ont essayé d'être amis avecmoi, même qu'une fille que je ne connaissais pas m'a demandé de sortiravec elle! Bien sûr, j'ai refusé cette demande, car j'ai déjà une copine. J'aides super amis alors tout est comme avant, on est fiers les uns des autres.

Habites-tu à Saint-Jérôme ?Non, j'habite dans la campagne à Saint-Colomban, juste à côtéde Saint-Jérôme. Ça fait beaucoup de route pour les auditions etles tournages, mais j'aime le calme de l’endroit où je vis.

C’est comment côtoyer des grands comédiens commePatrick Huard, Guy Jodoin et Antoine Bertrand ?

Au début, j'étais impressionné, mais après, je me suis rendu compteque ce sont des gens normaux, comme vous et moi. Ils sont trèsgénéreux et professionnels. Ils m'apprennent plein de trucs pourme perfectionner dans mon métier d'acteur.

Cela fait combien de temps que tu fais ce métier?Deux ans. J’ai commencé en avril 2013.

Est-ce que tu suis une formation?J'ai commencé à l'école de théâtre du vieux Saint-Eustache. Ils m'ontréféré à mon agent, Serge Lapointe. Depuis ce jour, je le rencontrerégulièrement pour des formations avec d'autres jeunes comédiens.De plus, il nous fait faire des ateliers avec des professionnels et nousinvite sur des plateaux de tournage pour voir comment ça se passe.C'est différent de tourner des publicités, des téléséries ou du cinéma.

As-tu quelque chose à dire aux autres jeunes ?Ayez confiance en vous et n'abandonnez jamais, tel est le secret de la réussite !

Merci, bye.Bye :-)

Page 4: Le défi d’une cavalière · Distribution : 10000 exemplaires Le défi d’une cavalière JEUDI 20 AOÛT 2015 – C AHIER DPÉCIAL Suivez-nous sur Facebook! CLUB Ado Média E nt

16 Journal des jeunes citoyens – Cahier spécial Club Ado – 20 août 2015

Les sourires sont contagieux!Laissez-nous prendre soin de votre sourire

pour le garder en santé pour la vie.

Dre Tawni Bailey, BHSc, DDSDr Guillaume Côté , DMDDentistes généralistes

2990, boul. du Curé-LabellePrévost

450.335.2990www.dentisteprevost.com

CLUBAdo Média

Collaboration spéciale

Dans le cadre du Journaldes jeunes citoyens, troisjeunes prévostois ont par-ticipé à un atelier animépar Odette Morin. Ils sesont prêtés au jeu, afin decréer la charade, le Motperdu ainsi que le Quisuis-je ?.

Dictionnaires sous lamain, les jeunes ont alorstravaillé en équipe pourréaliser le Concours DÉFIdu mois d’août. Trouverez-vous les bonnes réponsesà leurs devinettes ?

Concours

Charade__________________________________________________

À la recherche du mot perdu_______________________

Qui suis-je ? ____________________________________________

Août 2015

Nom --------------------------------------------------------------------

Ville --------------------------------------------------------------------

Âge ----------------------------- Tél------------------------------------

Charade- Mon premier: est la onzième lettrede l’alphabet.

- Mon deuxième: est un rongeur nui-sible qui vit parfois dans les égouts.

- Mon troisième : est une boisson

faite à base de feuilles infusées.

- Mon tout : est un art martial que

l’on pratique pieds nus.

Placez dans la case appropriée, la pre-mière lettre de la réponse de chaqueénigme, vous obtiendrez ainsi le mot re-cherché.

1 2 3 4 5

� � � � �1 – Personne qui compose ou qui joue

de la musique. 2 – Tenue que doivent porter les mili-

taires, les policiers, etc.

3 – Repas du soir.

4 – Elles brillent la nuit.

5 – Sport qui consiste à monter à

cheval.

Mot recherché : Lieu où sont

conservées et exposées des œuvres

d’art, etc.

À la recherche du mot perdu

Qui suis-je ? Voici les trois indices qui désignent le même mot.

1 – Je suis un État situé sur la mer Rouge et le golfe d’Aden.

2 – Mon drapeau comporte une bande rouge, une blanche et une noire.

3 – Je suis voisin de l’Arabie saoudite et de l’Oman, ma capitale est Sanaa.

COUPON-RÉPONSE

RÉPONSES DE JUILLET 2015CHARADE :Cerf – Veau – Lent = Cerf-volant

MOT RECHERCHÉ : 1 2 3 4 5P L A G E

1 – Pacifique2 – Lac3 – Août4 – Gâteau5 – EuroQui suis-je ? Le Soudan

Amusez-vous et courez la chance de gagner, tous les mois, unecarte-cadeau d’une valeur de 30$ à la librairie Renaud-Bray enparticipant au concours DÉFI.

Le gagnant sera choisi au hasard parmi tous ceux qui auront eu les bonnes réponseset verra son nom et sa photo publiés dans le journal suivant. Toutes les réponses yseront aussi publiées. Le concours est ouvert à tous les jeunes (18 ans et moins) desmunicipalités desservies par le Journal, c’est-à-dire : Prévost, Piedmont et Sainte-Anne-des-Lacs. Nous acceptons un coupon-réponse par personne, et les fac-similés sont acceptés.

Vous avez jusqu’au 8 du mois suivant la parution du journal pour déposer votre coupon-réponse dans la boîte du concours DÉFI à la bibliothèque Jean-Charles Desroches de Pré-vost au 2945, boul. du Curé-Labelle; ou postez-le aux Éditions Prévotoises, concoursDÉFI, C.P. 603, Prévost, Qc., J0R 1T0 ou par courriel [email protected].

Le gagnant duDÉFI de juilletest MathieuVaillancourt,13 ans dePrévost.

CLUBAdo Média

Devoir difficileDe Tristan Soucy

Le gagnant du DÉFI de juillet

Photo: Isabelle Neveu

Alex Shift et Michel

Page 5: Le défi d’une cavalière · Distribution : 10000 exemplaires Le défi d’une cavalière JEUDI 20 AOÛT 2015 – C AHIER DPÉCIAL Suivez-nous sur Facebook! CLUB Ado Média E nt

Journal des jeunes citoyens – Cahier spécial Club Ado – 20 août 2015 17

Où avez-vous étudié?François– J’ai étudié en Art et techno-logie des médias au Cégep deJonquière. Je me suis spécialisé enpresse écrite, car je voulais devenirjournaliste.Justine – J’ai aussi fait mon Cégepdans un programme de communica-tion cinéma. Je suis allée à l’écolePromédia à Montréal, c’est une écoleprivée en journalisme parlé, radio ettélé.

Où avez-vous commencé votrecarrière?François – J’ai commencé à la radioau Saguenay-Lac-Saint-Jean dansl’arrondissement de Chicoutimi.J’étais dans une radio nommée CJAB(94,5), où j’étais humoriste dansl’émission du matin. Je faisais deuxnuméros par jour et six petites pré-sences de 30 secondes. J’ai été à cetteradio de 1999 à 2001.Justine – Avant de faire de la radio,j’ai été à la télé communautaire, nom-mée TVBL. Après ça, j’ai travaillépour la chaîne spécialisée Avis derecherche à Montréal.

Comment préparez-vous vosémissions?François – De mon côté, je prépareles quiz et les jeux. J’essaie de créerbeaucoup sur le moment, parce queje pense que c’est un média où onpeut exprimer notre spontanéité. Jem’envoie aussi des trucs par courrielsur lesquels je veux jaser. J’aime créerdes évènements et m’amuser. Parmiles sujets abordés, Justine et moiaimons les divertissements ainsi queles arts et spectacles.Justine – Je me charge des nou-velles, mais les nouvelles ne se prépa-rent pas, elles arrivent. Ça se passe aufur et à mesure. J’appelle mescontacts et j’écris des textes. C’estégalement moi qui planifie lesrecherches, les entrevues et je vaischercher les informations dans larégion. François et moi, nous aimonsles choses positives pour la région.

Quel logiciel utilisez-vous?François et Justine – Le logiciel de

mise en ondes que nous utilisons senomme Dalet. Il a été adapté selonnos besoins. Toutes les stationsCogeco diffusion, dont fait partieCIME, ont le même logiciel.

Avez-vous un conseil pour les jeu-nes qui veulent faire de la radio ?François – Il faut être passionné etpatient. Il faut se rendre indispensa-ble et que les gens aient besoin denous. Il faut se spécialiser et se poserla question suivante :« En quoi puis-jeme spécialiser ? » Justine – C’est très difficile. Il fautavoir une bonne culture générale etconnaître plein de sujets. Il faut égale-ment être curieux et polyvalent.Donc, il ne faut pas juste être journa-liste, il faut être capable d’animer, defaire la mise en ondes, de faire desrecherches, d’aller sur le terrain et defaire des relations publiques.

Qu’est-ce que vous aimez le plusde votre travail?François – La création et le côté detoujours faire de la nouveauté. Justine – Le côté spontané, la proxi-mité avec les gens… Bref, commeFrançois!

Pourquoi avez-vous décidé detravailler chez CIME?François – J’ai travaillé sept ans etdemi à CKOI. Je voulais revenir dansun format où j’aurais plus de placepour parler. Dans les grosses radios deMontréal et dans les émissions musi-cales, on parle moins souvent, on estbeaucoup de gens autour d’une table.J’avais le goût de parler d’actualitéaussi. J’ai toujours fait beaucoupd’humour, mais là, je voulais avoirplus d’espace pour communiquer desidées, pour pouvoir m’épanouir. Justine – Je suis une petite fille desLaurentides, je suis née à Saint-Jérôme et j’y habite encore. J’adore laradio et j’ai toujours écouté la radioCIME, comme mes parents. Je suiscontente de mon travail, parce quej’habite tout près.

Quels étaient vos occupationsquand vous étiez jeune… à 13 ans ?François – Je faisais beaucoup d’im-

provisation. J’ai été rapidement leprésident de mon école et je faisais dela radio étudiante. Mon école a été lapremière école secondaire à avoir unetélévision étudiante.Justine – Je faisais du théâtre.

Avez-vous déjà voulu animé à latélévision?Justine et François – Oui, nous avonsdéjà animé à la télévision, et si on lepouvait, nous ferions à la fois de latélévision et de la radio. Ça prendjuste du temps…

Selon vous, l’anglais est-ilimportant dans ce métier?François – Quand tu connais plu-sieurs langues, tu as plus de possibili-tés pour ta carrière. L’anglais te per-met de parler avec des intervenants etaussi de pouvoir consulter davantagede documents. Justine – Oui, ça permet de faire desentrevues avec des vedettes interna-tionales, d’être capable de traduirepour les auditeurs.

Les résultats scolaires sont-ilsimportants dans ce métier?François et Justine – C’est importantpour la discipline de travail… Ce quel’employeur va regarder c’est tondiplôme, ainsi que ta motivation etton expérience.

Quels sont les qualités nécessairespour faire ce métier?François et Justine – Il faut être tra-vaillant, avoir une bonne culturegénérale, être persévérant, rigoureux,passionné et discipliné.

Quel est votre sujet d’actualitéfavori?François et Justine – Nous aimons leShowbiz, les potins artistiques, lesfaits divers et parler des sujets desociété qui interpellent les gens et quicréent des discussions.

Lors de votre premier jour,comment vous sentiez-vous?François et de Justine – Nous étionsnerveux, nous parlions vite, le cœur

voulait sortir de notre poitrine etnous nous mêlions dans nos idées.Nous étions nerveux, mais nous noussentions dans notre élément.

Coopérer pour créer l’avenir

Félicitations aux jeunes pour leur implication à la rédaction de ce journal !Plus que jamais, la Caisse Desjardins de Saint-Jérôme vous offre son appui dans la réalisation de vos projets.

Visitez notre page Facebook pour des concours, promotions et conseils.

facebook.com/caissesaintjerome

CLUBAdo Média

Antoine Picard

Connaissez-vous certaines radios dans les Laurentides? Il yen a plusieurs, dont Cime FM (103,9/101,3). J’ai eu lachance de rencontrer François Maranda et Justine Vachon,animateurs de l’émission Parti pour l’été, en ondes de 5 hà 8 h 30, du lundi au vendredi.

Rencontre avec les animateurs

Une visite chezCime FM

Justine Vachon et FrançoisMaranda, animateurs radiode l’émission Parti pour l’étéavec Antoine Picard.

C’est une série de romans de fic-tion pour les jeunes, écrite parRobert Muchamore. Elle com-prend 16 romans de 250 à 350pages. Rédigée au Royaume-Uni,cette série a paru pour la premièrefois en français le 17 février 2007et raconte les aventures d’uneagence gouvernementale non-offi-cielle du Royaume-Uni, dont lesagents sont dépourvus de parentset ont entre 10 et 17 ans. Pendantles 12 premiers tomes, le person-nage principal se nomme JamesAdams, tandis que, dans les quatreautres romans, les lecteurs décou-vrent les aventures de RyanSharma.L’auteur, Robert Muchamore, a

également écrit une série de livres,nommée Henderson’s Boys. Cettesérie de 12 tomes raconte lesdébuts de CHERUB et de soncréateur, Charles Henderson.CHERUB est l’acronyme deCharles Henderson’s EspionnageResearch United Boys.

Une histoire captivante J’ai commencé à lire CHERUB enavril 2015 et je l’ai terminé en juil-let dernier. C’est le suspense quim’a gardé accroché. Chaque foisque je terminais un livre, je voulaisimmédiatement lire le suivantpour savoir ce qui allait se passer.Dans cette série, il y a de l’action,de l’amour (très détaillé) et dudrame… Bref, il y a de tout!Mon livre préféré a été le hui-

tième tome de la série, qui senomme Mad Dogs. L’agenteGabrielle O’Brien, amie du per-sonnage principal James Adams,est gravement blessée sous leregard de son petit ami MichaelHendry. L’organisation envoiealors en renfort les agents JamesAdams et Bruce Norris. Leur butest d’infiltrer l’organisation desMad Dogs.Cette série a été la plus longue

que j’ai lue, mais également mafavorite! Pour l’instant, j’attends le17e tome… Je conseille doncCHERUB à tous les jeunesespions. Bonne lecture!

Antoine Picard

Avez-vous déjà lu des livres d’espionnage? Certains deces livres sont pour les adultes, tandis que d’autres sontpour les jeunes, comme la série d’espionnage jeunesseCHERUB.

Suggestion de lecture

Pour raison d’État,ces agents n’existent pas

Photo: Isabelle Neveu

Page 6: Le défi d’une cavalière · Distribution : 10000 exemplaires Le défi d’une cavalière JEUDI 20 AOÛT 2015 – C AHIER DPÉCIAL Suivez-nous sur Facebook! CLUB Ado Média E nt

18 Journal des jeunes citoyens – Cahier spécial Club Ado – 20 août 2015

Tout d’abord, les Grecs étaient des genstrès croyants. Ils étaient polythéistes, c’est-à-dire qu’ils croyaient en plusieurs dieux. Pourchaque phénomène qu’ils n’arrivaient pas àexpliquer, les dieux en étaient la cause. LesGrecs, pour honorer les dieux et attirer leursfaveurs, faisaient des offrandes de fruits etdes sacrifices d’animaux, et construisaientdes temples pour les satisfaire. Ils ont pro-duit plusieurs statues qu’on peut encoreadmirer aujourd’hui.

Un legs historique présent tout autourde nousL’architecture grecque a beaucoup influencéla nôtre. Plusieurs bâtiments célèbres ont

des colonnes comme la Maison-Blanche oucertaines banques. Tout cela inspiré par leParthénon ou les temples dédiés aux dieux. Il faut souligner que la philosophiegrecque est celle qui se rapproche le plus denos lois et de notre façon de penser. Lesgrands penseurs d’hier et d’aujourd’hui ontla même façon de voir les choses. Le savoirainsi que la connaissance étaient d’impor-tantes valeurs pour eux, comme pour nousaujourd’hui. Aussi, grâce à l’invention de ladémocratie et de la justice équitable prove-nant des Grecs, notre monde est bien régi.

Quant à l’art grec, il est très apprécié.Plusieurs gravures, tissages, bustes, temples,statues, bâtiments et poteries sont excep-tionnels et magnifiques. Cela raconte sou-vent une histoire qu’on peut retracer. Leschercheurs et archéologues sont d’accordpour dire que ces artéfacts ont une trèsgrande valeur historique. De plus, c’est àeux qu’on doit les Jeux olympiques, quisont considérés comme le plus grand etcélèbre phénomène sportif du monde.Pour conclure, les Grecs de l’Antiquitéétaient une civilisation fascinante à laquellenous devons beaucoup en tant que société.Plusieurs les civilisations connues ont desorigines grecques, d’où l’importance decelle-ci. Elle mérite donc qu’on s’y attarde.

CLUBAdo Média

Histoire et culture

L’héritage de nos origines grecquesIna Laporte

La civilisation grecque est le berceau de notre culture. Pourtant, troppeu de gens s’y intéressent malgré qu’il s’agisse de l’un des plus intri-guants sujets qui soient. Je vais donc vous fournir un peu plus d’infor-mation ainsi que des détails captivants sur cette fascinante civilisation.

Des œuvres originales et naturelles

Roch Lanthier, un artisteinspirant

C’est depuis environ quarante ansque Roch Lanthier, un artiste sym-pathique aux belles valeurs, tient unatelier d’art ici dans la ville dePrévost. Son environnementaccueillant m’a tout de suite char-mée! Il crée des œuvres magnifiquesqui ont chacune une histoire inté-ressante. Sa ligne directrice? Créerdes œuvres faites majoritairementde matériaux recyclés. Son éthiqueest de ne jamais reproduire unœuvre qui a été vue ailleurs. Selonlui, l’originalité est très importante.

Un processus créatif écologiqueet durableSi vous passez sur la rue Principale,vous remarquerez certainement sesmagnifiques fontaines de bois faitesde cèdre local qui sont de véritablespetits écosystèmes. Comme notrenature est au centre des préoccupa-tions de monsieur Lanthier, il espèrequ’elles éveilleront chez leurs pro-priétaires l’envie de porter plusattention à nos forêts et nos lacs.Aussi, l’œuvre nommée Phalaïnopsisaphrodite est une merveilleuse

création rendanthommage à labeauté féminine.Celle-ci a été faiteexceptionnellementde matériaux neufs,tels que de la toileaéronautique et del’acier inoxydable.Également, quiaurait cru qu’uneœuvre faite en grandepartie de déchets pou-vait être aussi éloquente etagir comme une gifle quinous fait comprendre queCES déchets, ce sont LESNÔTRES? ! En effet, cette œuvreest faite de détritus récupérés par desjeunes sur le Saint-Laurent. RochLanthier en a fait des brochettes.

Ses modèles et ses ambitionsÉtant jeune, Roch Lanthier détestaitlittéralement l’école, car il étaitconstamment ramené dans le rang.Personnellement, je le comprends etje suis presque certaine que c’estaussi le cas pour plusieurs d’entrevous! Au départ, il voulait devenirphysicien, une profession pas telle-ment différente de celle d’artisteselon lui.Plusieurs grands noms l’ont beau-coup inspiré au cours de sa carrièrefleurissante, comme Léonard DeVinci qui était un grand «paten-teux» (comme le désigne lui-même

monsieur Lanthier), Michel Angeou, d’un point de vue plus contem-porain, Fred Pellerin, Boucar Dioufet Gilles Vigneault.« Mon œuvre qui me représente lemieux, selon moi, c’est la sculptureen roues de vélo à la gare. Sûrementparce qu'elle évoque un arbre, poursa couleur bleue qui symbolise l’eauet parce qu’elle est constituée deroues de vélos et de palettes rappe-lant des skis de fond, qui sont à lafois un moyen de transport et unsport écologique», m’a-t-il répondu,

non sans hésiter, quand je l’ai inter-rogé à ce sujet. Son travail artistique a égalementintéressé les médias. À ce sujet, il y aeu des reportages d’ArtTv sur ses réa-lisations. Aussi, il a été invité au salonde l’environnement de la TOHU.Cette expérience lui a bien plu ! Bref, lui et sa conjointe GinetteRobitaille, qui a créé une collectionde chaises aux thèmes originaux etvariés, comme ce poisson fait à par-tir d’un balai à feuilles, sont tousdeux des artistes de grand talent.

Frédérique Charlebois

Sur la rue Principale, impossible de rater les créations deRoch Lanthier et de sa conjointe Ginette Robitaille. Celavaut vraiment le coup d’aller jeter un coup d’œil à l’atelier.Qui sait, vous trouverez peut-être une jolie œuvre pour déco-rer votre salon ou une fontaine pour agrémenter votre cour?

L’architecture grecque a beaucoup influencé la nôtre.Plusieurs bâtiments célèbres ont des colonnes comme laMaison-Blanche ou certaines banques. Tout cela inspiré par leParthénon ou les temples dédiés aux dieux.

Cette œuvre est faite de détritus récupérés par des jeunes sur le Saint-Laurent. Roch Lanthier en a faitdes brochettes.

Photo: Frédérique Charlebois

Magnifiquefontaine de bois

faites de cèdre local qui estun véritable petit écosystème.

Photo: Frédérique Charlebois

Page 7: Le défi d’une cavalière · Distribution : 10000 exemplaires Le défi d’une cavalière JEUDI 20 AOÛT 2015 – C AHIER DPÉCIAL Suivez-nous sur Facebook! CLUB Ado Média E nt

Qu’est-ce que c’est que le sabreexactement ? Le sabre, c’est deuxpersonnes qui ont comme but detoucher l’adversaire en pre-mier un certain nombre defois, tout en respectant lesrègles. Il y a trois zones detouche :le ventre, leflanc et la tête. Un

combat durecinq à septminutes.

Pour faire de l’escrime, on doitobligatoirement avoir des bas, lepantalon fait pour faire de l’escrime,un plastron pour les filles, unedemi-veste, la grosse veste, lemasque, la veste avec le nom et leprénom, les gants, une manchette etun sabre.Mathilde a choisi ce sport, car samère lui en avait parlé quand elleétait plus jeune. Elle dit que, si ellen’avait pas pu faire ce sport, elleaurait choisi la natation, car elle en

faisait avant de faire de l’escrime.Mathilde a fait au-dessus de cin-quante compétitions et elle a rem-porté à peu près trente médailles.Son objectif est d’atteindre les jeuxpanaméricains ou de rester dans saposition. Mathilde croit pouvoiratteindre son objectif, car elle ditque c’est réalisable. Pour finir,Mathilde suit ses cours au club d’es-crime Les Lames croisées de Saint-Jérôme.

Journal des jeunes citoyens – Cahier spécial Club Ado – 20 août 2015 19

M. Germain Richer, maireLe Conseil municipal tient à souligner la participation et lacréativité des jeunes à la réalisation du Club Ado Média.

L’implication de ces jeunes au Journal des jeunes citoyens est uneexpérience à valoriser qui nous fait découvrir des talents cachés.

Félicitations !Heureuse de soutenir l’expression de ses jeunes

À leurs opinions, à leur imagination, à leur créativité

CLUBAdo Média

Mathilde Gil-Simard

Sa passion,un sport de combatArianne Perreault

Je suis allée rencontrer Mathilde Gil-Simard à la gare dePrévost. Mathilde est une jeune fille qui fait de l’escrimedepuis cinq ans et demi. Elle pratique le sabre.

Photo: Isabelle Neveu

Photo: Isabelle Neveu

Mae�va Larive�e

Page 8: Le défi d’une cavalière · Distribution : 10000 exemplaires Le défi d’une cavalière JEUDI 20 AOÛT 2015 – C AHIER DPÉCIAL Suivez-nous sur Facebook! CLUB Ado Média E nt

20 Journal des jeunes citoyens – Cahier spécial Club Ado – 20 août 2015

Toute l’équiped’Hebdo Lithoest heureuse decontribuer àcette éditionspécialementproduite pourles jeunes afin deleur permettred’exprimerleur talent.