le développement de la nouvelle-france

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Le développement de la Nouvelle-France. Les emprunts des européens aux amérindiens. - PowerPoint PPT Presentation

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Page 1: Le développement de la Nouvelle-France
Page 2: Le développement de la Nouvelle-France

Les emprunts des européens aux amérindiens

Les européens ont fait beaucoup d’emprunts alimentaires aux amérindiens comme la sève d’érable, des pommes de terres, des tomates, du maïs, des cacahouètes, des piments, des citrouilles et finalement des haricots. Ils ont aussi fait des emprunts concernant les valeurs et les idées des amérindiens comme la peau de castor, les techniques contre le froid et les germinations en couche et aussi le mode de vie sauvage. Bien sur, les européens ont fait des emprunts concernant le transport comme le canot d’écorce, la traîne et les raquettes.

Page 3: Le développement de la Nouvelle-France

Les principaux moyens de transport des Amérindiens

La raquetteL’umiak

Le kayakLe canot

Page 4: Le développement de la Nouvelle-France

Les emprunts des amérindiens aux européens

Bien que les européens ont empruntés beaucoup de choses aux amérindiens eu aussi ont fait quelques emprunts. Concernant l’alimentation, ils leur ont empruntés du sel, du pain et de l’alcool. Ils ont également fait des emprunts d’objets comme les armes, les outils, les ustensiles, les vêtements et les produits manufacturés. Bien sur avec tout ces échanges, ils ont empruntés dans le volet santé surtout sur les maladies contagieuses. En conclusion, les amérindiens ont étés désavantagés par les échanges culturels. On a donc pu constater une modification du mode de vie et une diminution de population.

Page 5: Le développement de la Nouvelle-France

Quelques habitations

Habitation fabriquée avec de l’herbe séchée

Habitation fabriquée avec de la terre

Page 6: Le développement de la Nouvelle-France

La compagnie à monopole

Dans l’économie mercantilisme, c’est la compagnie à monopole qui a le privilège du commerce des fourrures. L’économie mercantilisme consiste à développer l’industrie d’une colonie en tirant profit de cette dernière. La colonie doit donc fournir les matières premières à la métropole. La fourrure est d’ailleurs une base importante à la métropole. L’important privilège qu’obtient la compagnie est qu’elle est la seule compagnie à avoir le monopole sur la traite des fourrures. En échange, la compagnie doit s’engager à coloniser la colonie de colons catholiques français et cela en 15 ans. Le coureur des bois est le seul métier que l’on retrouve à cette époque.

Page 7: Le développement de la Nouvelle-France

Le gouvernement royal

Plus tard, la compagnie à monopole se fait remplacée par le gouvernement royal en 1663. Dut à cela, la traite des fourrures devint de moins en moins importante. Dans la colonie, un gouverneur général et un intendant se partage les tâches. Le gouverneur est la personne la plus importante de la colonie. Il représente le roi dans celle-ci. D ’autre part, l ’intendant a la haute main sur l’administration. Ils font des tentatives de diversification économique avec l ’agriculture et l ’industrie.

Page 8: Le développement de la Nouvelle-France

Les voyageurs

• Dans les débuts de la Nouvelle-France, c'était les coureurs des bois qui assuraient la plus grande partie de l'économie avec le commerce de la fourrure. En effet, ils échangeaient les fourrure des Amérindiens contre des objets d'aucune valeur ou presque(ustensiles, casseroles,etc). Ensuite, ils les revendaient contre de l'or. Plus tard, les compagnies à monopole furent créées. Les seules personnes qui pouvaient être propriétaires de compagnies étaient soit les traiteurs ou soit les voyageurs.

Page 9: Le développement de la Nouvelle-France

Aspect social

• Il fut un temps en Nouvelle-France ou le régime seigneurial dominait. Les principaux personnages étaient le seigneur, le censitaire et le capitaine de milice. Il y avait aussi un mode particulier de distribution des terres. L'église avait plusieurs rôles dans la société, politique, économique, social et socio-économique. L'évêque doit assister aux délibérations du conseil souverain(politique). Les missionnaires Jésuites accompagnent les traiteurs dans leurs expéditions commerciales (économique). Les missionnaires Récollets et Jésuites transmettaient les valeurs religieuses et sociales aux Amérindiens (social). Il y avait aussi les soeurs Augustines qui s'occupaient des soins infirmiers(social). Les soeurs Ursulines et de la Congrégation Notre- Dame s'occupaient de l'instruction des filles(social). Les Jésuites et les Sulpiciens s'occupaient de l'éducation dans certaines seigneuries(socio-économique). Certains curés dans les paroisses se chargeaient des rudiments d'instruction aux garçons, même si cette tâche n'était pas considérée comme religieuse.

Page 10: Le développement de la Nouvelle-France

2e rang

Chemin du Roi

6

5

3 2

1

4

4

6

4

4

4

4

Légende:

1. Domaine

2. Manoir

3. Terre de la fabrique

4. Censive

5. Terre de la commune

6. About

Page 11: Le développement de la Nouvelle-France

Les devoirs d’un seigneur

Envers l’état Envers l’église Envers ses censitaires

1. Acte de foi et d’hommage

2. Aveu et dénombrement

3. Garder les mines

4. Garder les chênes

5. Entretenir les chemins

6. Taxes sur l’achat d’une seigneurie

7. Peupler

1. Payer une cotisation

2. Lots pour églises1. Concéder les terres

2. Construire un moulin

3. Cour de justice

4. Communes

5. Tenir lieu et feu

Page 12: Le développement de la Nouvelle-France

Les devoirs d’un censitaire

Envers l’état Envers l’église Envers son seigneur

1. Entretenir les chemins

2. Taxes sur les terres

1. Tenir lieu et feu

2. Déchiffrer la terre

3. Cultiver la terre

4. Doit utiliser le moulin

5. Réserve le 1er banc à l’église pour le seigneur

6. Prie pour le seigneur

1. Payé la cotisation (dîme)

Page 14: Le développement de la Nouvelle-France

Conclusion

• En conclusion, la Nouvelle-France à beaucoup marquée notre histoire. Sans elle, nous ne serions sûrement pas ce que nous sommes présentement.