le chateau tragiquebmsenlis.com/data/pdf/js/1903/bms_js_1903_05_14_mrc.pdfannée, — ms. a . v i s...

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Année, ms. A . V IS- I i» tt\ «BCW si t y i<ni rivoâii. liiriM tiN l >üV •m ■^ï j P‘’ 31 ijj TALÉ ^urlaV ^I^I mi, 2, PARIS, i tant 8 a j^TOUTEtLESSITSniCI I tales OH dMTé ET USÜFRÜII lits chez M. A SEJVLl eipales M U t dê FM tauiiioi Csiff«nr-PiL _ PbM <• It I IN. riL iis ÜRS 9[es, etc. IPIS ■1 .ï| ma 8 Mal 1803. CldtOZ* FTéoédcat» i 98 06 ■ 98 10 /eudt -if* 'r-M SSX^ t.-.'OT.'Î'P «’if 1 .* i .1 gf .*-■ 'JCi J ;r*‘ -f.Wil .. .-• ' S rj.. s r> .-iiTr'a VM i ' rn>.f7Ki^Vd .qac> -' 0 S7i .î?rf ’î éb éf>îi£îibé.^ sb' Sîijf'a pif isï ; 9rr:fdi>ÿ :>i .elîi» bJ s,'- 8t iîJ ,n- .'■-'s .) 1-ÏB3X O' »!.7saç «rf#?aOTç i-.q /RuaHabadio n .<niS> ■f Ti : t'.icj 6 , VILLAYBÉDE, Rédaisteur en ebef. •rTTBWIîP ij, . .i Tw, .(-’i; X';i .r: !-_io 0 I Lx. -u-.-fifc-iaSkli'u f'^;>V.5tro» * 14 ) 0 ^ i m a 0,0 h ,^;Lj ' . v i r ' r i Ï Ijr'"*',*" -'f-r ?'.'• ' • ‘•t'oV' m o t i:- .o.Bozsrxirs>2caxT/re Henri.GAUGHÎSi fAdiniidriiateni!, Gc. .- rr. ,;üi e: XJn aa...< Six mois.. Edition bl-tiêbdomadiln, SmHîMet OîM Astrw dfo. ................ e fr. t £r. ................. 4 £r.' Bfr. EtUtlonbébdqmtdüm. u Saàiie et OiNi iAltMâjp. Un an B fr. 4 fr. Six m o î f . 2 fr. Bfr. Oh s’abohms aux bureaux du journal et dans tous les bureaux de poste. — L'abonnement est pajable d’aTsace et continue de plein droit jusqu’à réceptum d’avis eontnfret 0 ’ Tft •! 81- /• À-. ■ :■ ___ ' •/ ri : -C-l --X SENXXS - 0 ''u- L ' 1 . Jjc. -lu .ri i !■ L i) J.~,ü- jw»** '■■" J 1 k1 .V nul'K: V SmUt, k iS Mai i$OS de H. iiiler, iÎTOTité— - I 1 m titm qa’on peat^aroir. Catholiqne (mant, il allait i la ehapalle des Mariâtes iM offices, et c’est U qn’an de sea«t- nts (ut baptisé. Vers la fla du mois der- ^-eomSTe tes MâHstes allaient être ex- E ^ s , 11a logé de son doToir de lenr rendre Hslte poar les remerclar arant lenr départ, Des personnM Hostiles anx Marlstes se tron-, Klent rénnles devant lenr couvent ponr ma- ^^^Uement. les manlfestanb notèrent \ démarebe doH. Dlmler et en inrormèrent I journaux du c bloc >, qui réclamèrànt dn bàstre la révocation du professeur. H. lulUot administrait l’Université par inté- : ét, pour ne pas déplaire anxradicanx, prit une mesure provisoire comme ses ouvolrs, en suspendant M. Dlmler pour inq moû, e’e sl-à ^ e jusqu’à la prochaine intrée scolaire. Notons, en passant, les conséquences de . décision de M. -Trouillot ponr les élèves le philosophie du I;cée de Valenclennes. H jeunes gens arrivent à la fin de leur jurs. Ils vont en reprendre l’étnde pour en ifqmfondlr cbaqne partie en vue de l’exa- 0 qui est proche. Us sont à la péitode od se lorment à la dissertation philosophique J n’a été jusque-là qu’une série o’essais jformes. Ils sont habitués à la méthode de lur professenr dont lls.comprennent l’esprit It qui commence à exercer sur eux, au point le vue des épreuves, une Influence décisive, l’est ce moment qu’un ministre Intérimaire iholslt ponr leur enlever un maître aussi in- «nsable. als qn’lmportent anx politiciens les des* ées prochaines des jeunes élèves du lycée le Valenclennes? Est-ce que cela pèse dans kn plateau de la balance quand 11y a la po- Vtique dans l’autre platean? Ce qui est particulièrement intéressant, e sont les commentaires que provoque dans la presse radicale la mesure prise par M. Trouillot. Le Radical dit : « Ce qui nous frappe en celte aventure, c’est de voir un catholique pratiquant, professeur de rUoiversité, chargé d'enseigner là philo sophie dans un lycée de l’Etat. Que sont : devenues les promesses des gonverne- : ments républicains ponr assurer la laïcité de l’enseignement secondaire? > Ainsi pour le Radical, dont l’aveu est pré- lieux, un catholique pratiquant ne peut pas tire un laïque et, malgré son savoir, malgré M diplômes obtenus au concours. Il est In- Bigne d’enseigner dans -un lycée. Que de vient, dans ces conditions, direz-vous, la liberté de conscience? Que devient l’article le la Déclaration des Droits de l’Homme qni Mrte que nul ne doit être Inquiété pour ses fplnlons religieuses? Ne vous échauffez pas tant. La liberté de onsclence, la Déclaration, des Droits de ifloiniqe, tout cela s’invoqne avec proflt Bans les cas oû 11s’agit d’un ami du c bloc >, w is alors seulement. Se souvient-on des brotestaliens Indignées que soulevèrent. Banni les fortes têtes du haut enseignement, les pénalités prononcées contre M. Gustave ^ r v é , le professeur d x lycée de Sens, qui Wuvaitque la place du drapeau tricolore Btaitsnrun tas de fumier? Quelles tirades J*? droits du professeur, sur son ndépendancel A^ourd’hai, le même monde approuve le MiMtre qui pousse hors de l’Université un professeur qui a d’antres opinions person> Belles que les leurs. On le volt bien pai l'Université >: ! Quelle slcgalière façon de raisonner. H aî,..?®” “^^sormais plus possible de rendre lustice ncn pas même à un adversaire, mais accusé de tral- ^1,4 » 4 . qui soutiennent cette prétendent refaire « l’unité "orale » du paysl L’opinioq de M. Téry mérite qn’on sÿ Ar rête, parce qu’elle émane d’hAep^Igé, dq philosophie comme M. Dimier, d’n à ,a i^ n élève de TEcolé Nonnàle «hpèrienie ooiapip H. Janrei.' Eu.iSSê, nnrCatholiqiie^qpn.vaineB et dé claré, profondément Astiiné dei élèves pr ia droftnrelde son.caraeWêëtlêlibéraIui_. de s(m énseià^eht; ifl^mafi^dEMfé- rences de puiotopnïé H s’appelait Ollé- Lapriwe, et il s lalssénn npninspeétéîll s in a nne protestation centre l’ezéeâtien dw' dèisrets ceneeniaajti les congVégations rM - gieuses non anterisées. Le ministre d'alors, Jnlés Eeiry, sàqteadit M. Ollé-Lapronsi mais il ne lards porter sa décision à la suite d’n æ démaré&e des élèves de l’Ecole normale. Tèès Ubénte à cette épcque, l’Ecole vonlait faire sAvoir an ministn qu’elle niappronvaitpasson acte. Jniès Ferry avait lecpsiir trop haut piacé pour s’effaroucher de ce beldlan dasympatlue.. ITreçdt donc almablèment les deux délé gués de l’EeoIfr ttyesnüntés èt René Dou- mlc. Ce fut Xéan Janvès qui- ptfla, intaris sable déjà cemme anjonnrhui, et il se ré pandit en phrases superbes sur la liberié. Aujourd’hui, l’optiquo-a changée et il^pa- ralt qu’on nO: réclamerait plus. Nous le re gretterions ponr l’Ecole normale, que de telles maurs honcHAienl. ÉC H O S de PA R TO U T A Parie. Le prince Ferdinand de Bnlgerie. accom pagné de ton eide de camp, le colonel Marirow, a quitté Paria lundi soir, à sept hauréa; par l'Expras-Oriant, regagnant Sofia. On a inauguré dimanche l’éclairage élec trique Al’église Notre-Dame A l'occasion de la féte de Jeanne d'Arc. — On avait dit que Rouchemowski, le cise leur d’Odessa, avait une indemnité de 5 francs par jour pour prouver qu’il est bien l’auteur de a tiare de Saltaphaméa. Il parait qu’en réalité, cette indemnité est de 50 francs. — Le procès intenté par M*« veuve Henry a M. Joseph Rainach et au journal le Siècle est inscrit au râle du 11 mai de la première cham bre de la cour d’appel. L’affaire est en tète du râle. Dans les Départements. Dimanche dernier AMontreuil, dans le Pas- de-Calais, M. le docteur Morel, républicain, en faveur de qui les progressistes ont fait cam pagne, a été élu par 9,42* voix contre 8.266 A M. Truy. Aux élections générales dernières, M. Truy avait été nommé par 8,937 voix, contre 8,595 AM. Boucher-Cadart, qui ne s’est pas re présenté. —Le tribunal de Cherbourg a condamné hier M, Popp à 50 fr. d’amende, et M.. Leske, ingé nieur, à 16 fr. d’amende, pour avoir installé, sans autorisation, un poste de télégraphie sans fil AAnderville, et porté ainsi atteinte au mo nopole d’Etat dés communications télégra phiques. En Enrepe. —La chancellerie apostolique* a envoyé de Rome un bref à l’empereur Guillaume, lui an nonçant le choix du cardinal Kopp comme lé gat alatere. -- Un journal qui se publie en Hongrie, la Tribuna, va cesser de paraître parce que tous scs collaborateurs vont être mis en prissn. — Les élections sénatoriales espagnoles qui ont eu lieu dimanche, ont donné la mqjorité au gouvernement. Hors d’Enrepe. — Un acrobate de Saint-Louis s’sst fracturé le crâne en exécutant le looping the Zoop. Un incendie, dû Ala malveillance, a éclaté, dimanche, dans un faubourg d'Ottawa, capitale du Canada, 250 familles ont eu leurs maisons brûlées. Les pertes sont évaluées AS inillioaset demi de francs. Conseil des M inistres. L m mlalstrei ei lont réunis hier matin à l’Elysée, sous la présidence de H. Lonbet, 1^ ministres de la guerre et de l’agriculture n assistaient pas à la délibération. — Le conseil s’est entretenu des Incidents survenus en Algérie, à la frontière marocaine, et des mesures à prendre pour réprimer ou irévenlrles Incursions des pillards sur notre .errlteire. « — Umlfliïtre,., sqmèliBiifwyeEée' sujet Aesjév&emi LemiubPe dpfbeauz-artAA, ïqypgAfltffl ^ n i Ua repMM^ .le Grèce.-* , ;, ^ y d à lA,dlgnité de gnmdaqBcjln d’htsmrar. , . ,0^ , : — BqSn..Ie tu iir i^ .dee .eolbï..-. _ , connaissance au conseil de la liste,des déi tlons firitet dallé la iMmà .^dnumiir l l ’beca- sion de rExpdslt^dfBno{.^e<dés list^ qui eifi déflnltiyement arrêtée, paraîtra Incesumment daromietoOitiar ’ ^ - giJ X5iea=.ini « u el it- i W ï. -r *S.E«MS. nttoHcgiu si.-là SAOjxoiq’s wSf.■Ÿ„, £6i io -r-'-jU-'â A ^'020 C . ^Tpi^klivèrs... ^ ' ONn'ACCEPTB-i>AS D 'iNS^ÏlOK 'ÂüièBflSOUS DS I rRANO Lés annonces, réclames, étc.y concernait'Pam* . ' •_ aUx'*" lùit'ram* e^les Départements sont'reeueg direel 'b ô ^ u i dn joùcnu.' ' Si^lj'tm et ’-begnieifeido donni LE F A lT JpU W jpn ' Lee joiiraattx'<iùiniBtérie!e fbnt i'’grondbiâtittiéiwèt6éS h t8iéte*ed6#ëe . . qâi’ èht pu être réhliséh pmdànt les quatre premiers 'mole de l’èxeroiM actüeL-^ Tout le monde s’en féllcitâ: Mais 3 serait naïf de v e i ^ ^ hPt9nnage_.ai^ cabinet-Actuel de cet heureux événement. Le Journal offlr Ictelconstate, que les recouvre,mebta.effec- tuésdul*'janvier au SOavrÊï^ dèpasséàt, ^en^effei,,les évaluations! Tl^dgétairies de j2?.752.1pp frànçaj.mtjis'ilè^ Anoter que lé% e ^ d e n t p s u r leg dopan'i^ij e n t i ^ dans, ce total pour; ê.282.0dÔ fr. et les prëd,uiqs des monppolea. pojtf ^ 10.511^ fr. LecQnaotut jmation du tabac a, notammeUt, dépassé lée prévisions de 3.899,000 £rancs;Rn nvanriie, î ’aleool a donné des molns-ydùss de près-de 5 mlUions et malgré la taduvelfe lé g a tio n ' .sur les bouilleurs de cru> le itebdmnént 'de l’impôt a été inférieur de 1.156.(X)0 frànés aux prévisions pendant le mois d’avril der nier. Les nouveaux impôts imaginés par M. Rouvier ne paraissent pas 'destinés à un grand succès. Notons, à titré d’exemple, qiié ' la taxe de fabrication sur lçs Huifes minéra les bràtes, qui était évaluée & DSO-OOt) francs pendant le mois d’avril, q’à pomt encore,- d’après l'O^UUel, faitentrer un eejtUme dans les caisses du Trésor I Quoit qu’il en soit, lorsque le produit des impôts dépasse de millions' les révisions budgétaires, et de 45. millions e total des recettes réalisées au cours de la même période de 1902, on’ ne -q>eut que s’en réjouir. Cè qui est moins Agréa ble à constater et ce qui devrait bien donner à réfléchir aux journaux ministériels, c’est la persistance des retraits des dépôts des caisses d’épar^e dont le total s’est élevé à plus de 40 millions depuis le commencement de l’année. Et c’est aussi la baisse du 3 0/0 qui était côté 100 fr. 65, le 30 avril 1902, et qui ne vaut plus aujourd’hui que 97 ff. 63, ce qui fait une différence de 3 £rancs.tDans ces conditions, il est toujours permis de s ù ^ poser que le public ne partagé pas l’enthou siasme de certains de nos confrêresde l’ex tréme-gauche pour la politique dti cabinet de M. Combes. Une b&QâcXetfr^^ u. Frédéric. Clément, suppléant du juge de paix de Sèvres, a été révoqué par décret, à la suite de sa lettre de dèmissioïi « èiflti- qaant les actes du gonvernement Fré déric Clêmeut, avocat à la* Cdnr d’appel dé Paris, est répiubllcaiu et protestant. - Voici la lettre jugée offensante par 10 gou vernement et à la suite de laquelle il a été révoqué : Monsieur leproenrenr de la.RépublIqte, J’ai' l’honneur de. vèùs adreisB', priant de la transmettre à M. le garde des sceaux, ma démission de mes fonetieni de pre mier suppléant du juge de paix du canton: de Sèvres. Cette démission est déterminée par des mbtifk rJlitlques. Je désire ne p u être exposé à Tap^ pllcatlon de la loi du l'IuTUet 1901. , Je ne croie pas Avoir Maoiniû'VOUS dire que je n obéis pas à des préoceupirtions confesslon- n'eRse. Eé^suNiéabâ' et prôtesrint, je shls ferme- nWMtkcEg V'Eàiipimttatie du pocvoir rivll. ''/EUiS jendi'riifW*lifédôââtti«, dàns la rôli- tfede «eMB&'p lâneet ’des .triditions h tues an niflpnfe^wesfalii^ - Déafreiix oe.ile daiTiiié sdhstrüre .à i^ecom- p8Si3Ë’e « i^ieé piàMcj' jU g i^ le silence, tant que j’ai pu croire que la loi du 17jalEètd9(£ in’enritJralpi»-loi de précaution gt fit lunieiEançiu Au|outd’hni qn’U aiyiat avec la clàrté de l’évldenre, .qB'riie p tm „ teinte à la liberté d’esso^nmi, àla luerté de renseignemeptrèlallbmtéibéinede 1acroyance, je considère quu p std ^ ê joîtBti élémentaire de vous méveolr èù temps unie que le parquet ne paOrrait-pas cbmptef siÿ ' mon concours pèaÿ eu assurer les dispositiotis.’ r Vmillies sgTéer,-Jbmsiear Je procnrenr de bi Eépttblique,l’horamage de mon profond respect. FBèoèaiç CtiHENT, Avocat à.'la Cour ditqiM, Suppléant dn jogede pidx de Sèvresi ^Npns n’ejontéroné m ceci : M. Frédéric Clément qui, cotntpeaMEtième secrétaire de la Conférence des Atwonts de F uis, pro nonça, il y a quélqiies.snBées, à la rentrée judiciaire, un très éloquent s Elog» de Léon ^ee»beMef»t’STelt-étjb«eeméi«etlMwtieni de siqqiléant du j w Sèvres sur la recommandation de M. Waldeck-Rous- seaa, alors prèsitot da eonieil: JÜlisSK D’EPÂRGRE Le /ourooi edleteJ A'FUbîlé.le tableau du opérations des câtsses d’épargne, du l*' au 10 mai : S ^ ts de IbUds... i itt > 1. Retraits d e f i ^ . . i ....... Excédents de retraits .1. 2.71T.779 97 10.231.096 95 7.613.316 98 Jhsüfkft de .retraits du é" janvier au 40 m a i4103, Àl.9<>e4it6fri 64. La Note gaie. iltar saint de la préfecture de police, le P. du'lMca'été nvieni-dtuh compagnon de prome- . nade .gui, autei dieeritement que passible, suit, ;pos^jKÙ, lércUgieux redouté dee géne du iloc. I Taèt r'éccmmenti conte U Fjgaro, le P. du Lac eut faccâéiaR de monter en tramway, L ' « ange g'ar^ien > l’y suivit et etinetedla madestéinent à côté de luL Haie,,,quand it conduçtieur vint.rs- eueÛUr le prUé det placée. U P. du Lac lui tcnr, dit saixânte centimes et, d’un petit gcete amical, 'déeignurd.eon ooiein t- --i Monsieur, dit-il, est avec moi. RBfn i D B U PRESSE Im balam du 8 pour 100. Du Gàuloit : un -bemme de flnancs, un anelea agent de rhsngs dent nul ps eénteste la eempétsnse, M. Edmmid DelifOs, sons fsit éonniltre, dans une intsrrif.'W du Héui-ToMt Btrald, que M. Combes est l’sateurrèsponsàble de la menaçante btisSs de'notre 3 0/0. En exilsnt les retij^énx, il a du même eonp expnlséles da^mxfraeçaii. H. DolHUS,tqui’M riwtestant. comme M. Fré déric Clémeat, le Auppléant dn jngs de.paix de la Sètae, réeémffllAt Mvèqnd- pour Cause de Cléri- Mlisms. estimfi n ’én. aeeompUssant cette emCnse bsségne, H. Cosftesà’sst aliéné (otis lésleasqui respectent lareUgin. - t B n’a p«v M qne les athées et les plus avMicés dés BbreS-pensettrs. > n * * Noa flaaaoM. De la Libéral ; C’est nne vérité évidente que les intérêts ma tériels, en os piys,’se s«»en( menaoés, et qu’il en résniie nne gravsfdépréolstlett des valenrs. L« nmps M-mésse, eommeuanf un article de H. Neymarck, qui dénrantralti que iss porteurs dorenteet detitres de Chemins de ter, c’est-à- dire quatre ou claq laiUlons de Français, et prinripslemant 1m petits capitalistes, perdent plnside LSOO iôilllotts dspnis un an'iur Ces deux geouresdevaleniy; le-l’emps, hlèr eneorsor- f ane du bloe, eonfeise que iss pouvetrs tAibllos otyent voir dans es fiiehissemeat l’indice d’on II 'Cussèment parait dans là eotiilancs qh’Ûs int- pirmt à l’épsrgns. EtilyannsnituitéPartont,oliezleséoeBoiiriftfi comme chez les Emples observateurs q d ’ue sont pas ^ l’Institut, pour déolarar que lam veroa- b ilté en remonte an gonvetuMaent. LE BOUQUET PROYLMa Far^e de FoniSàinte-Maxenca. : Lajiittoresqne et archaïque cité de Pon^ Samte Maxflnce. gracieupement assise sar l’Oise, étpitteni fête dimanche denierpourla parade du Bouquet provincial. A l’appel des deuXiCempagniqs d'arc de la viUo et de leiùr éminent ctinuèlable, H. Gustave Lefebvrq, 4TB Compagnies de r.H»-de-France, repré- sentéespar près.de 3.000 archers, s’y étalent donné rendez-vous. - Ces fêles de l’arc, si originales et rappe lant an passé si lointain, sont très intéres^ sautes par iesir caractère touchant et tradi tionnel; avec^ leurs antiques statntSi leurs coutumes immuables et symboliques, leurs règles basées sûr la loyauté et rbonneur, elles formenticomme un lien entre la vieille Franneet Ja Frimce moderne;, nlest un des deenlers vestiges — trop m es hélas 1 que neuf aymtsconservédes souvenirs d’ani- tan. Etneus ne eraignees paade le dire» c’est nit élément de force nalloiude. H est à remarquer, en effet, que les peu^ pies les plus puissants sont ceux qui ont sa pieusement conserver leurs vieilles tradi tions. Non point qu’elles aient influé lé moies du monde sur leur jnarche .dass la voie du progrès^ au contraire; le présent s’appuiftsur le passé et y puise cmnme Une vigueur supérieure; l’Angleterre, qui est la nation lapins pratique de...nos jours, ht plus e m odem », iésf’céllé aUiud on ces ané tiques tradhiéns nationales se sont le plus flaèlemnit perpétuées. A travers la City se trouve réunis les commerçants, les ban- [uiers,ies brassetffs d’affaires les plus auf Jaeieux, les plus progressife du monde, on voit tous les ans se dérouler la procession dn lord-maire, qui appsrait aux étrangeri CMRme une mascarade, mais qui a un sens symbolique ^ fo n d pour l’Anpais; il y re trouve les < gestes > des ancêtres, il y voit la preuve que la nation n’existe pas d hier ; il revit en pensée-les âges écoulés, comme l’homme adulte revit en souvenin ses jeunes années avec la sensation que l’heure ao- tue,le est la solte ininterrompue de tonte son existence écoulée. Ces traditions, que l’on retrouve partout chez les peuples forts où la sève monte en core, n’existent plus qu’à l’état d’excep tion en France. On s’imagine trop volon tiers, riiez nous, que la France remonte l’année 4789 seulement, et l’on oublie qu’à ce moment elle ava t déjà quatorze siècles de la plus merveilleuse histoire que le monde ait connue. Nous devons être reconnaissants aux ar chers'd’être an nombre de ces réconfor tantes exceptions et d’avoir su maintenir ininterrompue la chaîne reliant la vie des ancêtrisà à celle des contemporains. La Bouquot Le Bouquet, pour les archers, c’est le syinbole fleuri du culte du souvenir et de celui de la solidarité. Il est confié.alternati vement, chaque année, aux principales Compagmes de la région. Chantilly en a eu te gaide en 4888, Fricy en 4898, Crépy: eh' 4899, Béthisy-Sàiht-Fieiro eu 4900, Er- cheux, dans te Scinane, en 4901, 'Terberie en 4902; enfin, Pont-Sainte-Uaxence la rendait cette année. Lé temps a été dément i la fête; il est resté couvert et doux; mais sans pluie, pen dant tonte la journée de dimanche, et a mis aiû nombreux visiteurs d’admirer baltes décorations de la Tille : arcs de triomphe, portiquesi, drapeaux, bandm-olles. aspect_________________________ ____ De tons côtés, sè lisaient des inscriptions de bienvenue t ifonnew aiMi AreAert/ Soyes tés bienwnutt Àüx Hemaiielfes de Verbe- rit I Aux Demoieellet de Pont i Bomeur à Mgr l’EvI^ue I etc., etc. Leu dAoopatime. 11 nous serait impèskibtede décrire toutes lés décwatlôhs'; citons-en quélqués-unes ati bàsaird; Rùn dlogrh, dite des Vendredis, nous râmurqimhs déUh beaux àrés de triomphé édl&éé^pér Tes habitants du quartier et p r iant ces inscriptions : Aue demoittllH ét .Verberie i Aux demoieellet de Ptmtt 'D i^ te même rue, H. Foapad, huràahd ^ vélos, n placé i une fenêtre un aichér- t u t çanttme.fiêche dans une dUe teqntnié .fièhrie situéé eh face. ./Ui !Mentcel,M'smit hn bel arcdfrtripmpbedresséparlehiriaMrs. La grahde porte de te drineuro du tablé, M. G. Lefebvre, est d é b o ^ et fisutte avec beaucoup d’art'; tout le lonrdé scpT^ priété, route de Montcel, des g t^ m d e ç b i colores s’entrecroisent par dessus te rpùée.; o!est dé là que va partir le eortégo toht. a l’heure. En haut de la place de l’Eglise, ritossétia- temênt H. Bazin, marëhand^dé TiosiiM| a édifié un arcde triomphe avec des feniusEsà superposées. Rw de.teVille.:Un bel arc de .tritoipho avec cette inseriptioB: Soyez là bieaomiti Toute cettetu e d’ailleurs, comme colle des Vendredis, est copleusnnent décorée: dl fleurs, de igulrlaudes et de^VerdorA ’*' ’ ~ Au coin du pont, M. Poncelét, festaUraf teur, a dressé en face de son étabUÉïtailëm une joUe salle de buvette en verdnnJ Faubourg dn Nord, MM. Oeteunayut-Paltei ont fait .çonstrttiip uho h ^ p t a t g - f i e forte resse féedue avec - jw tf^ ^ qui produit la plus grand effét..’ '|t7 Dérioie, n « 06iant,eB vins, s’est égalemént distingué iw U !d < ^ ration de, sa parie avec iss honteillis'àrâà- tement rangées. La grande rue est aussi l’tme desntenz pavoiséés de 1a ville. Dans son intefiéciion avec te rue de Cury et te route de Vora'ëtti& MU. Poulin fils et Sanlon, aidés de mxi voisins, ont fait construire un msgniflqui dfc de triomphe, à quatre foces, où é m installée mae soupière avec cuiller, allnsioh au dicton du pays : Aux Soupière de Pdnt. On y lisait également les InscrtetiOns. sui vantes : Aux Sautriaux de Ferosnie / .amii Dormeme de Compügne l A tout k t Ar- eliere 1 11 faot signaler aussi les portes .derll maison Foalla et Saulou, bien ornée tes ouvriers. Jolie décoràtimi également êbèi U. Slrmaln, limonadier, où à eu Eeh uE grand concert toute te nuit A la montagne au bout de te grande rue, plusieurs arcs de triomphe : Soyez leebten- venue I Bomeur aux Archerel N’omieof aux Montagnarde I Lee HabUante de la Moièr tagne reeomaieeantellîa bel arc de trièm-; phe en face te porte dé M. Gwzriin, é^riér* Cette ceurte nomenriattire est hun d’étfo complète, et beaucoup d’antres maison» m é; ritent tes mêmes éloge» que cèlte» «Uéna plus haut; mate la place nette ffdi d if m pour les signaler toutes. D isénvjonc n m résumer, que le Conseil B m m ^ r ^ . M habitants de Pont avaient àdnffîutenaiil bien fait les choses, à tous tes points de tijwi Les piooptiont. Dés le matin, les chevaliers arrivant oK feule ; tes Gompagries défilent bamiièijezâa! vent, tambours battant, et sous te CoonttitC de leurs officiers vont se présenter aux're» présentants des deux Compaglües de Pont j c’est te récepfion d’usagé avec tehértanitel accoutumé. Jusqu’à onze heuo» du nutin, 47B CempagjUiez ont ainsi défilé deeunt tour» camarades de te ville et sa sont friélniabu pour te parade et lotir. C a t tknreeafd. £m plus vieux ariffien étaient émerveillé» dn ü ' trouver en aussi grand nombre. . M. Jay, te distingué prérident de te Fédo» ratloa des Archers de l’Ue-de-France, noilS disait que c’était te plus imposant» utfàfo bléed’archms qu’il ait encore vue en i*e» vlnce; 1a parade de l’Exposition nniverswd n’avait compté que 3 Compagnies do pluk.i 478 au lien de 476 ! ^ ' Voici d’ailleurs l’ordre dans loffitel se sont présentées tes différentes sociéltet Û lOnf ajeuter à cette liste te Compagnie de Veriiot rie qui, présente à te parade, n’avait pi» reçudenumére: u 1 Nognt-tes-Vistgis. 8 La Chtpelle-«-SeriMi 3 Côya. 4 ChastlUy 6 Aprstnant.' SCtaQ'f 7 kA'j: 8 Et^Mniiaiii (1-J. 9 St-Mrif 10 Hostiiiin. 11 Ermoacavilte. IF - 13 FIséiteH. UCanly. 18 R«my. 1 FEtnLLETON BD COURRIER DE L’OISE (6j 913 1401 1156 1831 U87 891 457 455 450 461 456 447 556 438 410 562 562 416 479 500 500 451 477 556 103 45 1247 18t»»^] 148U h-Adffllnisti .fsrd LE CHATEAU TRAGIQUE Tradnit de l’anglais nar E.-A. S poll. H 10’il est au bout de son rouleau? iser» i®crois; mais Est L-nne Idehn-à® 1 amiable. Pas un mot au ice^ors, vous me comprenez? ®r''®i"s> monsieur Henri. Qui est |oonc acquéreur? - M- Carlyle sourit. saurez, Dill, avant tout le I et maintenant envoyez moi Bethel. Ini-, lü -!? ®sl’io«t Oe M. Carlyle et l’étude I !-r, .;/S‘"aient les clercs, il y avait une pe- B «lit P ®® ' espèce de vestibule qui s’ouvrait i roroioor, puis, donnant dans celle-là, I ™®,faire chambre, le sanctuaire de M. Dill. I r 3®’;! recevait les clients, lorsque I m’ nni ^ absent ou occupé. Au reste, et' “ü®® ' an pupitre dans l’étude, l’opcLJlf parfois pour travailler, il I verte f lorsque la porte ou- I visatre P.récauiion lui laissa voir le frais visage de miss Barbara. I M parier à M. Cari le. Imaisleie.ff liXapoar lui serrer la main, I fermali fille, l’attirant dans le corridor, I M derrière lui : _• 5“! parut un peu surpris. |vouaTOSî.i'?,*’i?^?^’ raiaa Barbara, dit-il, lest OCCUPA i ÇarMe. En ce moment, ii I - ^ „f'®-®.l®s magistrats. ° ” “ ia Barbara fort Comment faire? |ihe vtt““‘ ““ “ °“de, je ne voudrais pas qu’il On entendit un bruit de voix. Evidemment, Jes magistrats approchaient, de ce côté. M. Dill prit la main de Barbara, lui fit traverser l’étude, n’osant la faire passer par le corri dor de peur d’une rencontre, et il l’enferma dans son cabinet. Au bout de quelques minutes, M. Dill ou vrit la porte. — Ils sont partis, miss Barbara; la voie est libre. — Je ne sais, monsieur Dill, ce que vous, allez penser de ma démarche ; mais je viens de la part de maman, qui est trop souffrante pour venir elle même. Il s’agit de quelque chose que papa doit ignorer. — Ma chère enfànt, interrompit M. Dill, un avocat reçoit des -visites de toute nature, et ceux qui travaillent sous ses ordres n’en pensent rien. Tout en parlant^ il avait ouvert la porta du cabinet et introduit Barbara chez M. Carlyle. Celui cl se leva tout étonné. — C’est une cliente qui désire vous voir, fit Barbara avec un sourire forcé. Je viens de la part de maman. M. Carlyle lui fit signe de s’asseoir et alla se placer lui môme derrière sa table. Bar bara ne put s’empêcher de remarquer qu’il était tout autre dans son cabinet que dans le monde. — J’ai, dit elle, quelque chose de bien étrange à vous confier... Mais personne ne peut nous entendre? ajouta t-elle en jetant un regard autour de la chambre ; il y va de la vie de quelqu’un. — C’est impossible, répondit M. Carlyle d’uB ton calme; il y a panout des doubles portes. La jeune fille quitta néanmoins sa chaise et s’approcha de M. Carlyle, une main ap pui ée sur la tablé. Le jeune homme se leva également Richard est Ici, dit elle. ^ - Richard 1ré^ta M. Cwlyteié Ouest- Lynnef — Je l’ai vu à 1a maison hier soir, il avait pris un déguisement et se, cachait solgaeur sement. Depius qu'il est pàrii, il a -yé(U* à ^ Londres, obligé de tr&vauler et .pouvajott peine se suffire. Il est employé 'dans ;ùné écurie, Henri, èt il dit qu’il est inïmisènt. M. Carlyle ne répondit-pas-Peut être n’a vait-il pas grande foi dàns cette assertiop.. — Asseyez vous, Barbifra', fit il éif 'avâh- çant une chaise. ; -i; ’ La jeune flUe paraissait de plus'Mi plus agitée. j,,, — Etes-rvous sûr,, reprit-elle, qu’pn-ne peut nous entendre? Cela semblerait ri. sin gulier que je me trouve ici. . — Rassûrez'Lvous, mon cabinet est sacré ' pour le public. Mais véhons' âu teit dé Ri chard.- ' — Eh bien, il dit du’il -n’était pas dans- le cottage au moment dû meurtre, et que l’as sassin est un nommé Tborn; — Qui est ce que ce Thorn? demande M. Carlyle. — Je ne sais pas. Un ami (fEfflej à os qu’il dit. Henri, il me l’a juré de la fdçoh là.pins touchante, et je crois maintenant, aussi vrai que je suisici, qu’il dit là vérité. Je voudrais ' que vous le vissiez, si c’est possdile. IFvous I racontera tout lui même, et peut être trou verez-vous un moyen de .prouver son inno.‘ cence. tfous êtes si habile ; vous pouveg tout ce que vous voulez. M. Carlyle sourit. — Pas tout à frit, Barbara; mais est-ce * seulement pour vous dire cela qu’il esivrenii? ' — Ohl non, car il pense que personne né voudra le ciiDfre ; il est venu pouiydémauder cent livres. Avec cette somme, il parait qu’3 peut améliorer sa situation, Mamim môa en voyé à vous psroe qu’elle n’ose pasien-de- - mander à mon j^ro pour cë motlL ,SUe.m’a chargée de éots dire que, ri 'rous étés assez - bon pour lui prêter ces eénf livres, elte 'à'aiv ' rang||M pour vous te» rondn lé MrifOt lEffiWiWét voulez vous maintenant, demanda M. Carlyle, parce qü’il faudrait que j'eni - voyesse.à'la Banque. DID ne garde jrinris d argent en mon absence. * _ — Non, jen’enripas besoin avant cé soir. Consentez-vous à voir Richard? . — C’est hien pririloux, dit M. Carlyle- Cependant, puisqu’il doit venirijeferai aussi bien;ÿ le voir. Quel déguisement a-t^il pris? If- Des habits dé paysan .'Il attend à trois ^ l e s d’ici,; dans une-petite àtidieraé. MWS; dennez-mol un-c6nseir;'fauffivi-4dlprévanir maman que Richard est là? ' M. Carlyle parut étonnéi i.Æ-P’olleqnejeeuisl s’écria Barbara.,Fou-.: bue de vous apprendre que je n’ai pas dit A. nuunan que. Jetait Richard lui-même, qui était vénui,mris .quélqu’ifri envoyé dé sa ^art; Faut-il tout-fur dira?' i — Pourquoi non? Je crois que vous le devez. c- -.ii -.* :.J J® «raignais qu’elle n’msistùt pour lè% ir, d’aûtànfplus qüe'Richard ausri désire.i’embrasse'r, — C|est bien iuiturëi. dit CarL le,'madame i Hare .seiu heureuse de le voir sain et sauf, i _ — Vous né vous imaginez pas, reprit Bar- j bara, le cban^ment qui s’est opéré en elle, i Maman dit que 'cette nouveUé lui a rendu la : vie. Maintenant, comment nous assurer de 1absence de monpèrô ce soir? Donnez moi ! ùtt moyen. Vous voyez,': c'est tomours A vous que j’ai recours dans l’en^arras. Absorbé par la réflexion, M. Cril.l’te ne- roponditUas. Au bout de rilriques instants. d releva la tête. T — àTavéz vous tout dit* demsmdé-ii-il. —Je crois.., oui. j ~ Alors, je èris réflécBir'à tout'céla, et.., : — C est, interrompit Barbara, que .je né " Çtére ,à,^reyente;^lri-, (jela pourrait- ' rrait^me voir,, i myèzpaanom j éveffler dès £apcOns. On te direAntoftoèrei Voùs't jlù» « rtc ^ q u i^ ’un é W wwivu-.v -* T*#m , B«rb»r«, 8iTmg»s*yous (te te» çon à vous frouver dans la rue à trois heu res, devant votre porte, je vous rencontrerai comme par hasard. Il se leva, lui tendit la main et la recon duisit j'iisqu'à'la porte/d’entrée, politesse que M. Càriylëfàlsait rarement à ses cliente. Bàrbsrà'avait drià'làit quelques pas, lors- ! qu'une'vriurainsUës apparition, quelque 'chose comma-unefrégate toutes ses voues 'dehors, se présenta devant ses yeux* C’était miss Carlyle. — Eh biehl .qn’ésttee qu’il .yte? Qu’avez- . vous .été; faire chez Henri? demanda-t-ellé arvèc'volubilité.' '’Bàri)éirâ, ’rà3è Timpro-viste, balbutia' l’àxctssé qu’rilétevrit dOàiuiée à M. Din.' * " 'Votre imamdnvous a aavoyée pour af-5i faii'ea? En voilà'une histoire t J'ai été deux’; fois pour voir Henri, et. deux ibis on m’a- répondu.qu’ilétait occupé e t qn’il ne iàllait i pas l é déranger. Qu’est-ce que tous ces! myStèresrJé*.,. — Il n’y à àUcun mystère, s’enmressa de répohdrè Barbara tremblante à'ridée qùe Crinélia allait iriré un eselairdrè 'devant les clercs. Maman -voulait l’àvîB de M. 'Carlyle sur une affàire tout intime, et comme' eue n’était pas assez bienÿcmr venir elle-même,, elle m’a envoyée à sa place. , Miss Carlyle ne crut juas un mot de cette -explication i QueUe afteire? deinanda-t^e sans ambages. Si-ëest sans importance, poiu^uoi -êtearvous restéetsi longtemps avee^nri* .. — II me demandait dés détails, répondit Barbria, quiiavrij. recouvré sa 'pi&enee -d’esprit. , - ........... _ , '. ' iiQss Cariyla aspira fortementpèfr en ho r i ^ t t t tetaïUitemahiàré à ^ e dlèxpriiito " i«rt^.ÿ’éVàitboUr eBe^elqtie'ritose drildtt- dsâMtout celà. Mais; voytrit qh<eBe iie f Je son Cai^e était ntourné «ten» ion eabtesti nrtpNoeoitpé de te con fidence qu’il venait de recevoir. Au bout dé quelques minutes, il sonna. Un Olere.psriit> — Allez, à la taverne de la Tête de'Cerf; si M. Hare et les autres juges s’y tronvenlt vous les prierez de passer tri. Le jeune honime partit et revint qu( minutes après-suivi des graves mag.. qui, embarqués dans une'afbire assa» neuse et sachant bien qu’ils ne riqu l_ . raient pas sanS l’aide de'M. Cariyto, sÀett- pressaient dé'Se rendre à son appel'.'‘I ' ■ — Me.réiam», dit'-ce dernier, je n’ai qritut mot à 'vous dire,- mais il est impi»taut.^ail - je pensé’éf êétte aflUire, phiS je -trou've lin -’^ oércérâtioiL'de éet homme i—— iniqué; él'ÿ jtense'qall est 1 que nous du eadsicns plus lon„____ serà; si'i vous le voulez Men, ce sofrJ o u a moi. Vous trouverez d’assez bonne mère eC' desnipes, vers sept heures dnselT. P u {fitu».' tard! cela vous convient 3T do Tous acceptèrent. Comâie ils Se retiraiènl,- CarlyleposasamainsttrlebrasdeM.HiiN. -i' -- Vous surtout, ne manquez pas dé'VenEv' lui dit^il à détni-voix; sans cela nous Sw; pourrions'.rien' dérider.- -Votre bon senii,^ votre expérience, nous sont nidiqiemSaMétt — Soyez tnmqdiUe, r^wndil le jnge Mi- dieux,-pour remplir un devoir, rien ne sau rait me retenir. fÀ tuiereJ H-TFOOD.^

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Henri. GAUGHÎSi fAdiniidriiateni!,Gc. .-

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SmUt, k iS Mai i$OS

d e H . i i i l e r ,

iÎTOTité— -I 1m titm qa’on peat^aroir. Catholiqne (mant, il allait i la ehapalle des Mariâtes iM offices, et c’est U qn’an de sea«t-

nts (ut baptisé. Vers la fla du mois der- ^-eomSTe tes MâHstes allaient être ex- E ^ s , 11 a logé de son doToir de lenr rendre Hslte poar les remerclar arant lenr départ, Des personnM Hostiles anx Marlstes se tron-, Klent rénnles devant lenr couvent ponr ma-

^^^U em ent. les manlfestanb notèrent \ démarebe doH. Dlmler et en inrormèrent I journaux du c bloc >, qui réclamèrànt dn bàstre la révocation du professeur. H. lulUot administrait l’Université par inté- : ét, pour ne pas déplaire anxradicanx, prit une mesure provisoire comme ses

ouvolrs, en suspendant M. Dlmler pour inq moû, e’e s l-à^ e jusqu’à la prochaine intrée scolaire.Notons, en passant, les conséquences de

. décision de M. -Trouillot ponr les élèves le philosophie du I;cée de Valenclennes. H jeunes gens arrivent à la fin de leur

jurs. Ils vont en reprendre l’étnde pour en ifqmfondlr cbaqne partie en vue de l’exa-

0 qui est proche. Us sont à la péitode od se lorment à la dissertation philosophique

J n’a été jusque-là qu’une série o’essais jformes. Ils sont habitués à la méthode de lur professenr dont lls.comprennent l’esprit

It qui commence à exercer sur eux, au point le vue des épreuves, une Influence décisive, l’est ce moment qu’un ministre Intérimaire iholslt ponr leur enlever un maître aussi in-

«nsable.als qn’lmportent anx politiciens les des*

ées prochaines des jeunes élèves du lycée le Valenclennes? Est-ce que cela pèse dans

kn plateau de la balance quand 11 y a la po- Vtique dans l’autre platean?

Ce qui est particulièrement intéressant, e sont les commentaires que provoque dans

la presse radicale la mesure prise par M. Trouillot. Le Radical dit : « Ce qui nous

frappe en celte aventure, c’est de voir un catholique pratiquant, professeur de rUoiversité, chargé d'enseigner là philo­sophie dans un lycée de l’Etat. Que sont

: devenues les promesses des gonverne- : ments républicains ponr assurer la laïcité de l’enseignement secondaire? >Ainsi pour le Radical, dont l’aveu est pré-

lieux, un catholique pratiquant ne peut pas tire un laïque et, malgré son savoir, malgré M diplômes obtenus au concours. Il est In- Bigne d’enseigner dans -un lycée. Que de­vient, dans ces conditions, direz-vous, la liberté de conscience? Que devient l’article le la Déclaration des Droits de l’Homme qni Mrte que nul ne doit être Inquiété pour ses fplnlons religieuses?

Ne vous échauffez pas tant. La liberté de onsclence, la Déclaration, des Droits de

ifloiniqe, tout cela s’invoqne avec proflt Bans les cas oû 11 s’agit d’un ami du c bloc >, w is alors seulement. Se souvient-on des brotestaliens Indignées que soulevèrent. Banni les fortes têtes du haut enseignement, les pénalités prononcées contre M. Gustave ^ rv é , le professeur d x lycée de Sens, qui Wuvaitque la place du drapeau tricolore Btaitsnrun tas de fumier? Quelles tirades

J*? droits du professeur, sur son ndépendancel

A^ourd’hai, le même monde approuve le MiMtre qui pousse hors de l’Université un

professeur qui a d’antres opinions person> Belles que les leurs. On le volt bien pai

l'Université >:! Quelle slcgalière façon de raisonner. H aî,..?®” “ sormais plus possible de rendre lustice ncn pas même à un adversaire, mais

accusé de tral- ^1,4 » 4 . qui soutiennent cette

prétendent refaire « l’unité "orale » du paysl

L’opinioq de M. Téry mérite qn’on sÿ Ar­rête, parce qu’elle émane d’hAep^Igé, dq philosophie comme M. Dimier, d’n à ,a i^ n élève de TEcolé Nonnàle «hpèrienie ooiapip H. Janrei.'

Eu.iSSê, nnrCatholiqiie^qpn.vaineB et dé­claré, profondément Astiiné dei élèves pr­ia droftnrelde son.caraeWêëtlêlibéraIui_. de s(m é n se ià ^ e h t; if l^ m a fi^ d E M fé - rences de puiotopnïé H s’appelait Ollé- Lapriwe, et il s lalssénn npninspeétéîll s in a nne protestation centre l’ezéeâtien dw' dèisrets ceneeniaajti les congVégations rM - gieuses non anterisées.

Le ministre d'alors, Jnlés Eeiry, sàqteadit M. Ollé-Lapronsi mais il ne lardsporter sa décision à la suite d’n æ démaré&e des élèves de l’Ecole normale. Tèès Ubénte à cette épcque, l’Ecole vonlait faire sAvoir an ministn qu’elle niappronvaitpasson acte. Jniès Ferry avait lecpsiir trop haut piacé pour s’effaroucher de ce beldlan dasympatlue..

ITreçdt donc almablèment les deux délé­gués de l’EeoIfr ttyesnün tés èt René Dou- mlc. Ce fut Xéan Janvès qui- ptfla, intaris­sable déjà cemme anjonnrhui, et il se ré­pandit en phrases superbes sur la liberié.

Aujourd’hui, l’optiquo-a changée e t il^pa- ralt qu’on nO: réclamerait plus. Nous le re­gretterions ponr l’Ecole normale, que de telles maurs honcHAienl.

É C H O S d e P A R T O U TA Parie.

— Le prince Ferdinand de Bnlgerie. accom­pagné de ton eide de camp, le colonel Marirow, a quitté Paria lundi soir, à sept hauréa; par l'Expras-Oriant, regagnant Sofia.

— On a inauguré dimanche l’éclairage élec­trique A l’église Notre-Dame A l'occasion de la féte de Jeanne d'Arc.

— On avait dit que Rouchemowski, le cise­leur d’Odessa, avait une indemnité de 5 francs par jour pour prouver qu’il est bien l’auteur de a tiare de Saltaphaméa. Il parait qu’en réalité, cette indemnité est de 50 francs.

— Le procès intenté par M*« veuve Henry a M. Joseph Rainach et au journal le Siècle est inscrit au râle du 11 mai de la première cham­bre de la cour d’appel. L’affaire est en tète du râle.

Dans le s Départem ents.— Dimanche dernier AMontreuil, dans le Pas-

de-Calais, M. le docteur Morel, républicain, en faveur de qui les progressistes ont fait cam­pagne, a été élu par 9,42* voix contre 8.266 A M. Truy. Aux élections générales dernières, M. Truy avait été nommé par 8,937 voix, contre 8,595 A M. Boucher-Cadart, qui ne s’est pas re­présenté.

— Le tribunal de Cherbourg a condamné hier M, Popp à 50 fr. d’amende, et M.. Leske, ingé­nieur, à 16 fr. d’amende, pour avoir installé, sans autorisation, un poste de télégraphie sans fil A Anderville, et porté ainsi atteinte au mo­nopole d’Etat dés communications télégra­phiques.

E n Enrepe.— La chancellerie apostolique* a envoyé de

Rome un bref à l’empereur Guillaume, lui an­nonçant le choix du cardinal Kopp comme lé­gat alatere.

-- Un journal qui se publie en Hongrie, la Tribuna, va cesser de paraître parce que tous scs collaborateurs vont être mis en prissn.

— Les élections sénatoriales espagnoles qui ont eu lieu dimanche, ont donné la mqjorité au gouvernement.

Hors d’Enrepe.— Un acrobate de Saint-Louis s’sst fracturé

le crâne en exécutant le looping the Zoop.— Un incendie, dû A la malveillance, a éclaté,

dimanche, dans un faubourg d'Ottawa, capitale du Canada, 250 familles ont eu leurs maisons brûlées. Les pertes sont évaluées AS inillioaset demi de francs.

Conseil des Ministres.Lm mlalstrei ei lont réunis hier matin à

l’Elysée, sous la présidence de H. Lonbet,1 ministres de la guerre et de l’agriculture

n assistaient pas à la délibération.— Le conseil s’est entretenu des Incidents

survenus en Algérie, à la frontière marocaine, et des mesures à prendre pour réprimer ou irévenlrles Incursions des pillards sur notre .errlteire. «

— Umlfliïtre,., sqmèliBiifwyeEée' sujet Aesjév&emi

LemiubPe dpfbeauz-artAA,ïqypgAfltffl ^ n i U a repM M^ .le Grèce.-*, ;,

^ y d à lA,dlgnité de gnmdaqBcjln d’htsmrar. ■ , . ,0 , :

— BqSn..Ie tu i ir i^ .dee .eolbï..-. _ , connaissance au conseil de la liste,des déi tlons firitet dallé la iMmà .^dnumiir l l ’beca- sion de rExpdslt^dfBno{.^e<dés list^ qui eifi déflnltiyement arrêtée, paraîtra Incesumment darom ietoO itiar ’ ^ -

giJ X5iea=.ini «uel it-

i Wï. - r * S .E « M S .

nttoHcgiu

s i . - l à S A O jx o iq ’s w S f.■ Ÿ „ ,

£6i io -r-'-jU-'âA ^'020 C.

^Tpi^klivèrs... ' ON n'ACCEPTB -i>AS D'iNS ÏlOK'ÂüièBflSOUS DS I rRANO

Lés annonces, réclames, étc.y concernait'Pam*. ' • _ ■ aUx ' * "lùit'ram* e les Départements sont'reeueg direel

'bô^ui dn joùcnu.' '

S i^ lj 'tm et ’-begnieifeido

donni

L E F A l T J p U W j p n

' Lee joiiraattx'<iùiniBtérie!e fbnt i'’grondbiâtittiéiwèt6éS h t8iéte*ed6#ëe

. . qâi’ èht pu être réhliséh pmdànt les quatre premiers 'mole de l’èxeroiM actüeL- Tout le monde s’en féllcitâ: Mais 3 serait naïf de v e i^ ^ hPt9nnage_.ai^ cabinet-Actuel de cet heureux événement. Le Journal offlr

Ictelconstate, que les recouvre,mebta.effec- tuésdul*'janvier au S O av rÊ ï^ dèpasséàt,

^en^effei,,les évaluations! Tl^dgétairies de j2?.752.1pp frànçaj.mtjis'ilè^ Anoter que lé% e ^ d e n tp su r leg dopan'i^ij e n t i ^ dans, ce total pour; ê.282.0dÔ fr. et les prëd,uiqs des monppolea. pojtf 10 .511^ fr. LecQnaotut

jmation du tabac a, notammeUt, dépassé lée prévisions de 3.899,000 £rancs;Rn nvanriie, î ’aleool a donné des molns-ydùss de près-de 5 mlUions et malgré la taduvelfe lé g a tio n ' .sur les bouilleurs de cru> le itebdmnént 'de l’impôt a été inférieur de 1.156.(X)0 frànés aux prévisions pendant le mois d’avril der­nier.

Les nouveaux impôts imaginés par M. Rouvier ne paraissent pas 'destinés à un grand succès. Notons, à titré d’exemple, qiié ' la taxe de fabrication sur lçs Huifes minéra­les bràtes, qui était évaluée & DSO-OOt) francs pendant le mois d’avril, q’à pomt encore,- d’après l'O^UUel, faitentrer un eejtUme dans les caisses du Trésor I

Quoit qu’il en soit, lorsque le produit des impôts dépasse de millions' les révisions budgétaires, et de 45. millions e total des recettes réalisées au cours de

la même période de 1902, on’ ne -q>eut que s’en réjouir. Cè qui est moins Agréa­ble à constater et ce qui devrait bien donner à réfléchir aux journaux ministériels, c’est la persistance des retraits des dépôts des caisses d’ép a r^ e dont le total s’est élevé à plus de 40 millions depuis le commencement de l’année. Et c’est aussi la baisse du 3 0/0 qui était côté 100 fr. 65, le 30 avril 1902, et qui ne vaut plus aujourd’hui que 97 ff. 63, ce qui fait une différence de 3 £rancs.tDans ces conditions, il est toujours permis de s ù ^ poser que le public ne partagé pas l’enthou­siasme de certains de nos confrêresde l’ex tréme-gauche pour la politique dti cabinet de M. Combes.

U n e b & Q â c X e tf r ^ ^

u. Frédéric. Clément, suppléant du juge de paix de Sèvres, a été révoqué par décret, à la suite de sa lettre de dèmissioïi « èiflti- qaant les actes du gonvernement Fré­déric Clêmeut, avocat à la* Cdnr d’appel dé Paris, est répiubllcaiu e t protestant. -

Voici la lettre jugée offensante par 10 gou­vernement et à la suite de laquelle il a été révoqué :

Monsieur leproenrenr de la.RépublIqte, J’ai' l’honneur de. vèùs adreisB',

priant de la transmettre à M. le garde des sceaux, ma démission de mes fonetieni de pre­mier suppléant du juge de paix du canton: de Sèvres. •

Cette démission est déterminée par des mbtifk rJlitlques. Je désire ne p u être exposé à Tap pllcatlon de la loi du l'IuTUet 1901., Je ne croie pas Avoir Maoiniû'VOUS dire que je n obéis pas à des préoceupirtions confesslon-

n'eRse. Eé suNiéabâ' et prôtesrint, je shls ferme- nWMtkcEg V'Eàiipimttatie du pocvoir rivll. ''/EUiS jendi'riifW*lifédôââtti«, dàns la rôli- tfede «eMB&'p lâneet ’des .triditions h tues an n i f lp n fe ^ w e s f a l i i^ -

Déafreiix oe.ile daiTiiié sdhstrüre .à i^ecom- p8Si3Ë’e « i^ ie é piàMcj' jU g i ^ le silence, tant que j’ai pu croire que la loi du 17 jalEètd9(£ in’enritJralpi»-loi de précaution gt f i t lunieiEançiu Au|outd’hni qn’U aiyiat avec la clàrté de l’évldenre, .qB'riie p tm „ teinte à la liberté d’esso^nmi, à la luerté de renseignemeptrèlallbmtéibéinede 1a croyance, je considère quu p s td ^ ê joîtBti élémentaire de vous méveolr èù temps unie que le parquet ne paOrrait-pas cbmptef siÿ ' mon concours pèaÿ eu assurer les dispositiotis.’ r Vmillies sgTéer,-Jbmsiear Je procnrenr de bi Eépttblique,l’horamage de mon profond respect.

■ FBèoèaiç CtiHENT,Avocat à.'la Cour ditqiM,

Suppléant dn jogede pidx de Sèvresi ^Npns n ’ejontéroné m ceci : M. Frédéric Clément qui, cotntpeaMEtième secrétaire de la Conférence des Atwonts de F u is , pro­nonça, il y a quélqiies.snBées, à la rentrée judiciaire, un très éloquent s Elog» de Léon ^ee»beMef»t’STelt-étjb«eeméi«etlMwtieni de siqqiléant du j w Sèvres surla recommandation de M. Waldeck-Rous- seaa, alors p rè s ito t da eonieil:

JÜlisSK D’EPÂRGRELe /ourooi edleteJ A'FUbîlé.le tableau du

opérations des câtsses d’épargne, du l*' au 10 mai :

S ^ t s de IbUds. . . i i t t > 1. Retraits d e f i ^ . . i . . . . . . .

Excédents de retraits .1.

2.71T.779 97 10.231.096 957.613.316 98

Jhsüfkft de .retraits du é" janvier au 40 m ai4103, À l .9 < > e 4 i t6 f r i 6 4 .

La Note gaie.iltar U» saint de la préfecture de police, le P.

du'lMca'été nvieni-dtuh compagnon de prome- . nade .gui, autei dieeritement que passible, suit,; pos^jKÙ, lércUgieux redouté dee géne du iloc.I Taèt r'éccmmenti conte U Fjgaro, le P. du Lac eut faccâéiaR de monter en tramway, L ' « ange g'ar^ien > l’y suivit et etinetedla madestéinent à côté de luL Haie,,,quand it conduçtieur vint.rs- eueÛUr le prUé det placée. U P. du Lac lui tcnr, dit saixânte centimes et, d’un petit gcete amical,

'déeignurd.eon ooiein t- --i— Monsieur, dit-il, est avec moi.

RBf n i DBU PRESSEIm balam du 8 pour 100.

Du Gàuloit :un -bemme de flnancs, un anelea agent de

rhsngs dent nul ps eénteste la eempétsnse, M. Edmmid DelifOs, sons fsit éonniltre, dans une intsrrif.'W du Héui-ToMt Btrald, que M. Combes est l’sateurrèsponsàble de la menaçante btisSs de'notre 3 0/0.

En exilsnt les retij^énx, il a du même eonp expnlséles da^mxfraeçaii.

H. DolHUS,tqui’M riwtestant. comme M. Fré­déric Clémeat, le Auppléant dn jngs de.paix de la Sètae, réeémffllAt Mvèqnd- pour Cause de Cléri- Mlisms. estimfi n ’én. aeeompUssant cette emCnse bsségne, H. Cosftesà’sst aliéné (otis lésleasqui respectent lareUgin. -

t B n’a p«v M qne les athées et les plus avMicés dés BbreS-pensettrs. >

n * *

Noa flaaaoM.De la Libéral ;C’est nne vérité évidente que les intérêts ma­

tériels, en os piys,’ se s«»en( menaoés, et qu’il en résniie nne gravsfdépréolstlett des valenrs.

L« nmps M-mésse, eommeuanf un article de H. Neymarck, qui dénrantralti que iss porteurs dorenteet detitres de Chemins de ter, c’est-à- dire quatre ou claq laiUlons de Français, et prinripslemant 1m petits capitalistes, perdent plnside LSOO iôilllotts dspnis un an'iur Ces deux geouresdevaleniy; le -l’emps, hlèr eneorsor-f ane du bloe, eonfeise que iss pouvetrs tAibllos

otyent voir dans es fiiehissemeat l’indice d’onII 'Cussèment parait dans là eotiilancs qh’Ûs int- pirmt à l’épsrgns.

EtilyannsnituitéPartont,oliezleséoeBoiiriftfi comme chez les Emples observateurs qd’ue sont pas ^ l’Institut, pour déolarar que lamveroa- b ilté en remonte an gonvetuMaent.

L E B O U Q U E T P R O Y L M aFar e de FoniSàinte-Maxenca.

: Lajiittoresqne et archaïque cité de Pon^ Samte Maxflnce. gracieupement assise sar l’Oise, étpitteni fête dimanche denierpourla parade du Bouquet provincial. A l’appel des deuXiCempagniqs d'arc de la viUo et de leiùr éminent ctinuèlable, H. Gustave Lefebvrq, 4TB Compagnies de r.H»-de-France, repré- sentéespar près.de 3.000 archers, s’y étalent donné rendez-vous.- Ces fêles de l’arc, si originales et rappe­lant an passé si lointain, sont très intéres^ sautes par iesir caractère touchant et tradi­tionnel; avec leurs antiques statntSi leurs coutumes immuables et symboliques, leurs règles basées sûr la loyauté e t rbonneur, elles formenticomme un lien entre la vieille Franneet Ja Frimce moderne;, nlest un des deenlers vestiges — trop m e s hélas 1 que neuf aymtsconservédes souvenirs d’ani- tan. Etneus ne eraignees paade le dire» c’est nit élément de force nalloiude.

H est à remarquer, en effet, que les peu^ pies les plus puissants sont ceux qui ont sa pieusement conserver leurs vieilles tradi­tions. Non point qu’elles aient influé lé moies du monde sur leur jnarche .dass la voie du progrès^ au contraire; le présent s’appuiftsur le passé et y puise cmnme Une vigueur supérieure; l’Angleterre, qui est la nation lapins pratique de...nos jours, ht plus e m odem », iésf’céllé aUiud on ces ané tiques tradhiéns nationales se sont le plus flaèlemnit perpétuées. A travers la City eà se trouve réunis les commerçants, les ban- [uiers,ies brassetffs d’affaires les plus auf Jaeieux, les plus progressife du monde, on voit tous les ans se dérouler la procession dn lord-maire, qui appsrait aux étrangeri CMRme une mascarade, mais qui a un sens symbolique ^ fo n d pour l’Anpais; il y re ­trouve les < gestes > des ancêtres, il y voit la preuve que la nation n’existe pas d hier ; il revit en pensée-les âges écoulés, comme l’homme adulte revit en souvenin ses jeunes années avec la sensation que l’heure ao- tue,le est la solte ininterrompue de tonte son existence écoulée.

Ces traditions, que l’on retrouve partout chez les peuples forts où la sève monte en­core, n’existent plus qu’à l’état d’excep­tion en France. On s’imagine trop volon­tiers, riiez nous, que la France remonte

l’année 4789 seulement, et l’on oublie qu’à ce moment elle ava t déjà quatorze siècles de la plus merveilleuse histoire que le monde ait connue.

Nous devons être reconnaissants aux ar­chers'd’être an nombre de ces réconfor­tantes exceptions et d’avoir su maintenir ininterrompue la chaîne reliant la vie des ancêtrisà à celle des contemporains.

La B ou q u ot Le Bouquet, pour les archers, c’est le

syinbole fleuri du culte du souvenir et de celui de la solidarité. Il est confié. alternati­vement, chaque année, aux principales Compagmes de la région. Chantilly en a eu te gaide en 4888, Fricy en 4898, Crépy: eh' 4899, Béthisy-Sàiht-Fieiro eu 4900, Er- cheux, dans te Scinane, en 4901, 'Terberie en 4902; enfin, Pont-Sainte-Uaxence la rendait cette année.

Lé temps a été dément i la fête; il est resté couvert et doux; mais sans pluie, pen­dant tonte la journée de dimanche, et a

mis a iû nombreux visiteurs d’admirer baltes décorations de la Tille : arcs de

triomphe, portiquesi, drapeaux, bandm-olles.

aspect_________________________ ____De tons côtés, sè lisaient des inscriptions de bienvenue t ifonnew aiMi Are Aert/ Soyes tés bienwnutt Àüx Hemaiielfes de Verbe- r i t I Aux Demoieellet de Pont i Bom eur à Mgr l’EvI^ue I etc., etc.

Leu dA oopatim e.11 nous serait impèskibtede décrire toutes

lés décwatlôhs'; citons-en quélqués-unes ati bàsaird;

Rùn dlogrh, dite des Vendredis, nous râmurqimhs déUh beaux àrés de triomphé édl&éé^pér Tes habitants du quartier et p r ­

iant ces inscriptions : Aue demoittllH é t .Verberie i Aux demoieellet de P tmtt 'D i^ te même rue, H. Foapad, h u ràah d vélos, n placé i une fenêtre un aichér- t u t çanttme.fiêche dans une dU e teqn tn ié .fièhrie situéé eh face. ./Ui !Mentcel,M'smit hn bel arcdfrtripmpbedresséparlehiriaMrs.

La grahde porte de te drineuro du tablé, M. G. Lefebvre, est d é b o ^ et fisutte avec beaucoup d’art'; tout le lonrdé scpT^ priété, route de Montcel, des g t^ m d eç b i­colores s’entrecroisent par dessus te rpùée.; o!est dé là que va partir le eortégo toht. a l’heure.

En haut de la place de l’Eglise, ritossétia- temênt H. Bazin, marëhand^dé TiosiiM | a édifié un arcde triomphe avec des feniusEsà superposées. ’

R w de.teVille.:Un bel arc de .tritoipho avec cette inseriptioB: Soyez là bieaomiti

Toute cette tu e d’ailleurs, comme colle des Vendredis, est copleusnnent décorée: d l fleurs, de igulrlaudes et de^VerdorA ’* ' ’ ~

Au coin du pont, M. Poncelét, festaUraf teur, a dressé en face de son étabUÉïtailëm une joUe salle de buvette en verdnnJ

Faubourg dn Nord, MM. Oeteunayut-Paltei ont fait .çonstrttiip uho h ^ p ta tg - f ie forte­resse féedue avec -j w t f ^ ^ qui produit la plus grand effét..’'|t7 Dérioie, n « 06iant,eB vins, s’est égalemént distingué iw U !d < ^ ration de, sa parie avec is s honteillis'àrâà- tement rangées.

La grande rue est aussi l’tme desntenz pavoiséés de 1a ville. Dans son intefiéciion avec te rue de Cury et te route de Vora'ëtti& MU. Poulin fils et Sanlon, aidés de m x i voisins, ont fait construire un msgniflqui dfc de triomphe, à quatre foces, où é m installée mae soupière avec cuiller, allnsioh au dicton du pays : Aux Soupière de Pdnt. On y lisait également les InscrtetiOns. sui­vantes : Aux Sautriaux de Ferosnie / .amii Dormeme de Compügne l A tout k t Ar- eliere 111 faot signaler aussi les portes .derll maison Foalla et Saulou, bien ornée tes ouvriers. Jolie décoràtimi également êbèi U. Slrmaln, limonadier, où à eu Eeh uE grand concert toute te nu it

A la montagne au bout de te grande rue, plusieurs arcs de triomphe : Soyez leebten- venue I Bomeur aux Archerel N’omieof aux Montagnarde I Lee HabUante de la Moièr tagne reeomaieeantellîa bel arc de trièm-; phe en face te porte dé M. Gwzriin, é^riér*

Cette ceurte nomenriattire est hun d’étfo complète, et beaucoup d’antres maison» mé; ritent tes mêmes éloge» que cèlte» «Uéna plus haut; mate la place nette ffdi d i f m pour les signaler toutes. D isénvjonc n m résumer, que le Conseil B m m ^ r ^ . M habitants de Pont avaient àdnffîutenaiil bien fait les choses, à tous tes points de tijwi

Les p iooption t.Dés le matin, les chevaliers arrivant oK

feule ; tes Gompagries défilent bamiièijezâa! vent, tambours battant, et sous te CoonttitC de leurs officiers vont se présenter aux're» présentants des deux Compaglües de Pont j c’est te récepfion d’usagé avec tehértan ite l accoutumé. Jusqu’à onze heuo» du nutin, 47B CempagjUiez ont ainsi défilé deeunt tour» camarades de te ville et sa sont frié ln iabu pour te parade et lotir. C a t tknreeafd. £m plus vieux ariffien étaient émerveillé» dn ü ' trouver en aussi grand nombre. .

M. Jay, te distingué prérident de te Fédo» ratloa des Archers de l’Ue-de-France, noilS disait que c’était te plus imposant» utfà fo bléed’archms qu’il ait encore vue en i*e» vlnce; 1a parade de l’Exposition nniverswd n’avait compté que 3 Compagnies do pluk.i 478 au lien de 476 ! ^ '

Voici d’ailleurs l’ordre dans loffitel se sont présentées tes différentes sociéltet Û lOnf ajeuter à cette liste te Compagnie de Veriiot rie qui, présente à te parade, n ’avait pi» reçudenumére: u

1 Nognt-tes-Vistgis. 8 La Chtpelle-«-SeriMi 3 Côya. 4 ChastlUy 6 Aprstnant.' SCtaQ'f 7 k A 'j: 8 Et^Mniiaiii (1-J. 9 St-Mrif 10 Hostiiiin. 11 Ermoacavilte. IF - 13 FIséiteH. UCanly. 18 R«my. 1

FEtnLLETON BD COURRIER DE L’OISE(6j

913 1401 1156 1831 U87 891 457455 450 461456 447

556438410562562416

479500500451477

556

103 45 1247

18t»»^]148U

h-Adffllnisti.fsrd

LE

CHATEAU TRAGIQUETradnit de l’anglais nar E.-A. Spoll.

H 10’il est au bout de son rouleau?iser» i® crois; mais Est L-nneIdehn-à® 1 amiable. Pas un mot auice^ors, vous me comprenez?

®r''®i"s> monsieur Henri. Qui est |oonc acquéreur? - M- Carlyle sourit.

saurez, Dill, avant tout le I et maintenant envoyez moi Bethel.Ini-, lü -!? ®sl’io«t Oe M. Carlyle et l’étudeI !-r, .;/S‘"aient les clercs, il y avait une pe- B «lit P ®®' espèce de vestibule qui s’ouvrait i roroioor, puis, donnant dans celle-là, I ™®,faire chambre, le sanctuaire de M. Dill. I r 3®’;! recevait les clients, lorsque I m’ nni absent ou occupé. Au reste,

et' “ü®®' an pupitre dans l’étude,l’opcLJlf parfois pour travailler, il

I verte f lorsque la porte ou-I visatre P.récauiion lui laissa voir le frais■ visage de miss Barbara.I M parier à M. Cari le.Imaisleie.ff liXapoar lui serrer la main, I fermali fille, l’attirant dans le corridor, I M derrière lui :

_• 5“! parut un peu surpris. |vouaTOSî.i'?,*’i?^?^’ raiaa Barbara, dit-il, lest OCCUPA i ÇarMe. En ce moment, iiI - „f'®-®.l®s magistrats.

° ” ‘ “ ia Barbara fortComment faire?

|ihe vtt““‘ ““ “ °“de, je ne voudrais pas qu’il

On entendit un bruit de voix. Evidemment, Jes magistrats approchaient, de ce côté. M. Dill prit la main de Barbara, lui fit traverser l’étude, n’osant la faire passer par le corri­dor de peur d’une rencontre, et il l’enferma dans son cabinet.

Au bout de quelques minutes, M. Dill ou­vrit la porte.

— Ils sont partis, miss Barbara; la voie est libre.

— Je ne sais, monsieur Dill, ce que vous, allez penser de ma démarche ; mais je viens de la part de maman, qui est trop souffrante pour venir elle même. Il s’agit de quelque chose que papa doit ignorer.

— Ma chère enfànt, interrompit M. Dill, un avocat reçoit des -visites de toute nature, et ceux qui travaillent sous ses ordres n’en pensent rien.

Tout en parlant^ il avait ouvert la porta du cabinet et introduit Barbara chez M. Carlyle.

Celui cl se leva tout étonné.— C’est une cliente qui désire vous voir,

fit Barbara avec un sourire forcé. Je viens de la part de maman.

M. Carlyle lui fit signe de s’asseoir et alla se placer lui môme derrière sa table. Bar­bara ne put s’empêcher de remarquer qu’il était tout autre dans son cabinet que dans le monde.

— J’ai, dit elle, quelque chose de bien étrange à vous confier... Mais personne ne peut nous entendre? ajouta t-elle en jetant un regard autour de la chambre ; il y va de la vie de quelqu’un.

— C’est impossible, répondit M. Carlyle d’uB ton calme; il y a panout des doubles portes.

La jeune fille quitta néanmoins sa chaise et s’approcha de M. Carlyle, une main ap­pui ée sur la tablé. Le jeune homme se leva également

— Richard est Ici, dit elle. - Richard 1 ré ^ ta M. Cwlyteié Ouest-

Lynnef

— Je l’ai vu à 1a maison hier soir, il avait pris un déguisement et se, cachait solgaeur sement. Depius qu'il est pàrii, il a -yé(U* à Londres, obligé de tr&vauler et .pouvajott peine se suffire. Il est employé 'dans ;ùné écurie, Henri, èt il dit qu’il est inïmisènt.

M. Carlyle ne répondit-pas-Peut être n’a­vait-il pas grande foi dàns cette assertiop..

— Asseyez vous, Barbifra', fit il éif 'avâh- çant une chaise. ; -i;’ La jeune flUe paraissait de plus'Mi plus agitée. j,,,

— Etes-rvous sûr,, reprit-elle, qu’pn-ne peut nous entendre? Cela semblerait ri. sin­gulier que je me trouve ici.. — Rassûrez'Lvous, mon cabinet est sacré ' pour le public. Mais véhons' âu teit dé Ri­chard.- '

— Eh bien, il dit du’il -n’était pas dans- le cottage au moment dû meurtre, et que l’as­sassin est un nommé Tborn;

— Qui est ce que ce Thorn? demande M. Carlyle.

— Je ne sais pas. Un ami (fEfflej à os qu’il dit. Henri, il me l’a juré de la fdçoh là.pins touchante, et je crois maintenant, aussi vrai que je suisici, qu’il dit là vérité. Je voudrais ' que vous le vissiez, si c’est possdile. IF vous I racontera tout lui même, et peut être trou­verez-vous un moyen de .prouver son inno.‘ cence. tfous êtes si habile ; vous pouveg tout ce que vous voulez.

M. Carlyle sourit.— Pas tout à frit, Barbara; mais est-ce *

seulement pour vous dire cela qu’il esivrenii? '— Ohl non, car il pense que personne né

voudra le ciiDfre ; il est venu pouiydémauder cent livres. Avec cette somme, il parait qu’3 peut améliorer sa situation, Mamim môa en­voyé à vous psroe qu’elle n’ose pasien-de- - mander à mon j^ro pour cë motlL ,SUe.m’a chargée de éots dire que, ri 'rous étés assez - bon pour lui prêter ces eénf livres, elte 'à'aiv ' rang||M pour vous te» rondn lé M rifO t lEffiWiWét

voulez vous maintenant, demanda M. Carlyle, parce qü’il faudrait que j'eni - voyesse.à'la Banque. DID ne garde jrinris d argent en mon absence. *_ — Non, jen’enripas besoin avant cé soir. Consentez-vous à voir Richard?. — C’est hien pririloux, dit M. Carlyle- Cependant, puisqu’il doit venirijeferai aussi bien;ÿ le voir. Quel déguisement a-t^il pris?

If- Des habits dé paysan .'Il attend à trois ^ l e s d’ici,; dans une-petite àtidieraé. MWS; dennez-mol un-c6nseir;'fauffivi-4dlprévanir maman que Richard est là? '

M. Carlyle parut étonnéi i.Æ-P’olleqnejeeuisl s’écria Barbara.,Fou-.: bue de vous apprendre que je n’ai pas dit A. nuunan que. Jetait Richard lui-même, qui était vénui,mris .quélqu’ifri envoyé dé sa ^art; Faut-il tout-fur dira?' i — Pourquoi non? Je crois que vous le devez. c- -.ii -.* :.J

j® J® «raignaisqu’elle n’msistùt pour lè% ir, d’aûtànfplus qüe'Richard ausri désire.i’embrasse'r,

— C|est bien iuiturëi. dit CarL le,'madame i Hare .seiu heureuse de le voir sain et sauf, i _ — Vous né vous imaginez pas, reprit Bar- j

bara, le cban^ment qui s’est opéré en elle, i Maman dit que 'cette nouveUé lui a rendu la : vie. Maintenant, comment nous assurer de1 absence de monpèrô ce soir? Donnez moi ! ùtt moyen. Vous voyez,': c'est tomours A vous que j’ai recours dans l’en^arras.

Absorbé par la réflexion, M. Cril.l’te ne- roponditUas. Au bout de rilriques instants. d releva la tête. T

— àTavéz vous tout dit* demsmdé-ii-il.— Je crois.., oui.

j ~ Alors, je èris réflécBir'à tout'céla, e t.., :— C est, interrompit Barbara, que .je n é "

Çtére ,à,^reyente;^lri-, (jela pourrait-' rrait^me voir,, i

myèzpaanom jéveffler dès £apcOns. On te direAntoftoèrei Voùs't jlù» « r t c ^ q u i ^ ’un é W wwivu-.v

-* T*#m , B«rb»r«, 8iTmg»s*yous (te te»

çon à vous frouver dans la rue à trois heu­res, devant votre porte, je vous rencontrerai comme par hasard.

Il se leva, lui tendit la main et la recon­duisit j'iisqu'à'la porte/d’entrée, politesse que M. Càriylëfàlsait rarement à ses cliente.

Bàrbsrà'avait drià'làit quelques pas, lors- ! qu'une'vriurainsUës apparition, quelque 'chose comma-unefrégate toutes ses voues ' dehors, se présenta devant ses yeux*

C’était miss Carlyle.— Eh biehl .qn’ésttee qu’il .yte? Qu’avez-

. vous .été; faire chez Henri? demanda-t-ellé arvèc'volubilité.''’Bàri)éirâ, ’rà3è 'à Timpro-viste, balbutia'

l’àxctssé qu’rilétevrit dOàiuiée à M. Din.' * " 'Votre imamdnvous a aavoyée pour af-5i

faii'ea? En voilà'une histoire t J'ai été deux’; fois pour voir Henri, et. deux ibis on m’a- répondu.qu’ilétait occupé e t qn’il ne iàllait i pas l é déranger. Qu’est-ce que tous ces! myStèresrJé*.,.

— Il n’y à àUcun mystère, s’enmressa de répohdrè Barbara tremblante à'ridée qùe Crinélia allait iriré un eselairdrè 'devant les clercs. Maman -voulait l’àvîB de M. 'Carlyle sur une affàire tout intime, et comme' eue n’était pas assez bienÿcmr venir elle-même,, elle m’a envoyée à sa place. ,

Miss Carlyle ne crut juas un mot de cette -explication

i — QueUe afteire? deinanda-t^e sans ambages. Si- ëest sans importance, poiu^uoi

-êtearvous restéetsi longtemps avee^nri* ..— II me demandait dés détails, répondit

Barbria, quiiavrij. recouvré sa 'pi&enee -d’esprit. , - ..........._ , ' . '

iiQss Cariyla aspira fortementpèfr en ho r i^ t t t tetaïUitemahiàré à ^ e dlèxpriiito "

i « r t^ .ÿ ’éVàitboUr eB e ^ e lq tie 'r i to se drild tt- dsâMtout celà. Mais; voytrit qh<eBe iie f

Je son C ai^e était ntourné«ten» ion eabtesti nrtpNoeoitpé de te con­

fidence qu’il venait de recevoir. Au bout dé quelques minutes, il sonna. Un Olere.psriit>

— Allez, à la taverne de la Tête de'Cerf; si M. Hare et les autres juges s ’y tronvenlt vous les prierez de passer tri.

Le jeune honime partit et revint qu( minutes après-suivi des graves mag.. qui, embarqués dans une'afbire assa» neuse et sachant bien qu’ils ne riqu l_ . raient pas sanS l’aide de'M. Cariyto, sÀett- pressaient dé'Se rendre à son appel'.'‘I ' ■

— Me.réiam», dit'-ce dernier, je n’ai qritut mot à 'vous dire,- mais il est im pi»taut.^ail - je pensé’ éf êétte aflUire, phiS je -trou've lin - ’ oércérâtioiL'de éet homme i—— iniqué; é l 'ÿ jten se 'q a ll est 1que nous du eadsicns plus lon„____serà; si'i vous le voulez Men, ce sofrJ o u a moi. Vous trouverez d’assez bonne mère eC' desnipes, vers sept heures dnselT. P u {fitu».' tard! cela vous convient 3T ■ do

Tous acceptèrent. Comâie ils Se retiraiènl,- CarlyleposasamainsttrlebrasdeM.HiiN. -i'

-- Vous surtout, ne manquez pas dé'VenEv' lui dit^il à détni-voix; sans cela nous Sw; pourrions'.rien' dérider.- -Votre bon senii,^ votre expérience, nous sont nidiqiemSaMétt

— Soyez tnmqdiUe, r^wndil le jnge Mi- dieux,-pour remplir un devoir, rien ne sau­rait me retenir.

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lin r-àax -^ is . 47 Villm-St-^funbonrg. Tul«n-Mr-Coadan. 49 Oay« (SiiM-.t-lI«ra«). 50 Fimbm (StlBMt-lfuiie).

51 ÀwOly. 5â Gary. 63 MroalCS;). 64 K»r- tay-soF-IUa. 55Coadae.''08-1fle-im*iÜiae. 67 NaotMil-le-Haiidoiiiii. 58 Taaeieimeg. 59Bonr- soBB.. 60 Morliaeonrt. 61 Ftieamps. 63 Rwoiit- nir-Hatx. 63 CheneiTiUe. 64 Crépy-^i-Talois (1"). 65 Ciday . ■ Taloii (3). 66 Dampleax, 67Grandra. 6TFtoi»-Briôa. 69'Roye-lnir-Hatz. 70Coaahy (St-Nieaiw). 71 Bieqaab6ârg (Cèaù>.). 72 Coaldiy- laa-PMs. 73'LiaBcoiut (l'O- 74 Labarli^. .75 iTors. „ .

76 St-Sanvaur. 77 Brittalsy-St-Pierre. 78 Carle- pom. 79,Noyoa(l' ). 80,Noyon,(2‘). 81 Varasna». 83 Tiosly-Braàil. B3 Botmétdl-ea-Taioii. 84 Rie-

T-). 85 Nasia. 86 Cboisy-an-BcC. 87 "êta 83 VîUÉB^t«êtt (8-).:

89 Cliampjgny. 90 Haramsnt. 91 Marollei. 93 RolUUl-). 93B4tMsy-Sl-JI»rtiB (EraBesrAreli ). 94 Csy-U-Tflla. 95 fXaaeeQrt (nratiratils). 96

87 TiUêlay.BS Xogae- Tille. 99 Noisy-le-Seo (1-). 100 Thenrone.

101 Campiègat Q"). 103 V<r. 103 Onneamp. 104 EméTille. 105 Piailty. 106 iritUara-la-Bal. 107 XeotbrraeU. lOOChamy. 109 TUIemoiibls. 110 CUctiy-soB3>B9ia. 111 Hootaiaira (Pratar- wllt). 113 lîoogp^èr. 113 St-Lan4’Iss«raiit. U4 LtOgàeil-RiTaeonrt. 115 CoorbayoU. 116 Goa^eox fS'). 117 Xennaorenoy (3 ). 118 Nôisy- la-Sec (Goitre). 119 Naaitly-oi-TliaUa. 130’Dlly- St^aoifif. U1 Vîaeomes. 133 RoUy. 133 St> Maordas-Posség. 134 Pantin. 135 Gonvianx (1’-).. 136 ChantUjiy (Pratemille). 137 Gonesae. 138

Vtecntl. 139 St-Leonard. 130 Pontainablean. .131 Cbarenton. 1 ^ ÀVOB (Saine^t-Hama). 133 Cirea- la»-Xiaro. 134Prê-Saiat-Geryais. 135. Malle. 136 Âmleêâ (PtOdaméntal^. 137 Amlana (Pruea'ÀreiitTsl' 138 Bary. 189 St-Plerre-Hontmàrlre. 140 AiiierTllliara (1’-). 141 Nogent-aiir-Mame. 143 Monasy-le-Nanf (Salne-et-Hame). 143 Précy* sar-Olaa. 144 Anbernlliara (3’). 145 BalleylUa (Cantro). 146 Rienz. 147 St-Nlcalaa-d’Acy. 148 Xoiaôa^ (3-). 149 Blyaaa (Parla). 150. Keat- dldiiÿ.'

151 Nogent-snr-Mame (3*). 163 Ereuia. 153 Uoncby-Homières. 154 Creil ^ ’). 155 Pontanay- sona-Bolà. 156 Aaoièrea. 157 Daneon'rt. 158 Paria (CaoBignie dd Maine). 159 Ognea. 160 Complè- gna 101 Mvenil-la^Metta. 163 EUncoart-Sta- Margwritev 163 Prénlehaa. 164 Biéraneonrt (1'-). 165 Bossy. 166. Ssxay. 167 Erchan. 168 Jfon- anièraa. 169 Salancy. 170 Marast-anr-MaU. 171 BaanUèn. 173 MarqnlnTillara.

C’est dans cet ordre qae les Gompagaies défileront tout i l ’heure.

Formation du Cortigo.Los disoours.

A huit heures et demie, là théorie des jeunes filles de Verherie, toutes Têtues de hlanc arec une écharpe Terte eu sautoir et une branche de muguet dans les cherenz, escortant le houqtiet, arrirent an château de Saultenibnt, chez le Connétable, il. G. Le- fehTre, qui leur fait serrir une. collation àind qu’à leurs compagnes de Pont, tandis m e les archers de Verherie sont reçus par h ; Soualle, qui leur offre le champagne.

À neuf heures, HH. Audigièr, Gaillard et Haùdricourt, députés ; le marquis de Luppé, M. Corbon, conseiller d’arrondissement. Tiennent saluer le Connétable; ils sont bien­tôt sniTia des représentants du Moniteur de l'Oise, du Semeur de l'Oise, de la Gaxette de Creil et du Courrier de l'Oise, qui Tout, à leur tour, présenter leur deroir & H. Le- fèyra.

Peu après, les jeunes filles de Verberie, puis les jeunes filles de Pont, celles-ci por­tant une écharpe rose ayec une branche d’au­bépine aux cheyenx, enlèvent lenrsBouqnets portés chacun par quatre d’entre elles, et se dirigetit vers la rue du Hontcel, point de départ du cortège.

Pendant ce temps, une d élégation d’archers se rend' à l ’Eglise pour y prendre Mgr Douais, éréque de BeaüTais, sou clergé, le Pension­nat desfréres et leur musique, tandis qu’une autre dél^ation se dirigeait rers la mairie d’en elle ramène le maire et le conseil mn- nicipàL- Les autorités se groupent alors devant le

dais où se trouve l’évëque, entre le Bouquet de Verberie et celui de Pont entourés chacun de son cortège de jeunes filles, et M. de Main- drevilie, connétable de Verberie, prend la paréle en ces termes :

Diseowrs dé M. de Maindreville, connétable dé Verberie.

- -i Monseigneur,Messieurs les ( levaliers,

1 . Mssdemoiselles,An nom des Archers de Verberie, je suis htn-

Tscx de vous remettre ce Bouquet, symbole de l’Ddion fraternelle de nos Compsguies, et de vous off ir avec nos voeix les plus cordiaux l’expres­sion de nos sentiments de conf aternité.

Eu galant chevalier, je rends d’abord hom­mage aux jeunes fil’es qui par leur grâte et leur charme viennent rehausser l’éclat de cette solen­nité.

Je salue M. le Connétable qui, par sa longue eXDérience et son zèle dévoué, a si bien préparé ce beau jour, et su grouper en un même effort l’ardeur de vos deux belles Compiguies.

Cest en effet, Massienrs, une journée magni­fique que cette réunion du Bouquet provincial qui, dans votre ville de Font, rassemble dans un nuique esprit d’amitié tant de Compagnies, tant de chevahers.

(bioi 'de pins touchant que cas vieillas cou­tumes, restas des temps anciens où contre l’en­nemi envahisseur notre arme décidait du sort de%bàtaillss. Rasttns-lsurfilèles, et serrons les rangs autour de notre ant'que drapeau.

I, M les flèches ' MUdis. Iis

tant q épée, la

bien lein, ÏM’am S" d’iûjourd’hal. Et cependant, en songeant à enx. Bons ponvens dire : e Eux aussi ils étalent sans famé*i. -

HMineiir aux CkàTaliers de Verberie.

Le Cortège.Après c « iiscenn, le cortège se met en

marche dans l’ordre entrant : .En télé Tiennent : : les tambours et les

gymnastM djslb Patriote, puis la Musique et le Pensionnat des Frères; lè'siiisset Tes Enfànm de Marie ; le bouquet de Verherie, précédé du connétable, M. de Haindreville, et éntoaré de son gracieux cOitège dé jeunes filles ; le clergé : iter Douais, précédé de là creil, ëntonré de H. lé Doyefi e Péttt, de H. l’aumênier Lardé et des membres .du Conseil deTdiriqne.^: Puis le bdnqnet de Pont;, aecempi^é des jeunes f i l le s ^ .la Tillé et entoure dès ar­chets, comme tout le cortège, d’ailleurs.

Suivaient les àntorités, ayant à leur tête ; MM. Gaillard, député de la 8* circonscrip­tion de SéhHs ; Andigier, député de la (n drconscription; . Bandrieourt, député de la Sr circonscription de Beauvïds; tkirbén, conseiller d’arrondissement; mMie'de Ver­berie ; ie marquis de Luppé; maire de Beau- repaire; les conseiilers ntonicipanx de Pont-Sainte-Maxéncé, les repréientants de la presse départementale, u Compagnie d’arc de Fieurines, la H usi^e de FieuriBes, un groupe d’archers, les Vétérans, un se­cond groupe d’archers, la Musique de Rully, un hoisiéme groupe, la Société de Saint- Franqois-XaTier, la Musique de Grandfres- noy.

Toutes lès Compàgnies, sur un par^ cours de trois cents mètres, formaient une forêt de 475. drapëanx sur lesquels figuré saint Sébastien, le patron des cheTaliws. Les dignitaires de chaque Sedèté' ^rta ien t des écharpes'ou des brassards de couleurs voyantes.; tous s’avançident precessiennelle- ment, portant leur arc enrubanné dsi faveurs.

C’est dans cetordre,aa^ton des fanfares et au milieu d’une double haie de curieux, ve^ nus dé tons les points du département,'que le cortège s'est rendu, par la rue i te Ven­dredis, la rue des Lions, la Grande-Rue et le fàuhonrg dn Nord, au Champ-de-Mars, pour assisto'A la messe en plein air.

L'Offîoe pallgjaùx.Au fond dn grand carré formé par le

Ghamp-de-Mars, dans un snperbe décor de verdure, se dressait l’autel, devant lequel le cortège s’arrête. Chacun prend place : Mgr Douais à droite de l’autel; à gauche, toutes les autorités que nous avons énumérées. . Eu face, les bouquets avec les jeunes filles ; nn peu en avant, les deux connétables au port d’armes; de chaque cété de l’autel, les d ^ peaux.

Le spectacle est grandiose.La messe a été célébrée par M. l’abbé

Lardé. Avant de donner la bénédiction, Mgr Douais prononce une allocution où, rappelant qu’il avait présidé au Bouquet de l’année dernière, à Verberie ; il renouvelle ses remerciements à M. le connétable de Maiudreville de son gracieux accueil; Sa Grandeur adresse aussi ses remerciements è M. ie connétable Gustave Lefebvre de son accueil de ce four, non moins aimable. Mgr Douais félicité ies organisateurs de cette, belle fête d’avoir pensé qu’elle ne pouvait être complète sans cérémonie religieuse. La, religion, en effet, continue Mgr Douais, doit avoir sa place ici; elle est à l'aise parmi tous ces représentants de la tradition et des­grands priscipss de loyauté et de liberté.

Au momsnt de la bénédiction, tous les drapeaux, s’inclinent dans un ensendile im­posant.

Pendant l’offlcs, nue quêté a été faite par : M“‘«’Léfebvré etM. Chambrelan, M“* Bour- son et M. Péchaux, M°" Decrbze et M. Bar- Mot, M“ » Robquin et M Bourson, M"“ Ro- geret et M. Decroze, M» Merlette et M, Robquin, M”* Delannay et M. Dubarle. Elle produit une somme de 4 4 0 fr. 80.

Doë ’erberie ; tpitaine de FI deV ^terie; ébeCs des te de la

les int, etc.

le Seus-P]premier lu parole.ÜPeds M. G iifM IMfèhrre parle A loi,’

.^ s ^ ta b U ^ j^ t-S a in tf i-M a te n e e . . iff i^«mier^dèv*ir à «mpUr. rÙ à râ-

merder nos msmbras d’kennsnr et tons nos do- nat«irs,_ petits et grands^ n’onbliant soBvent les pins ponts rnisseànx ' grasses rivières.

Jeromecde, eannire, toMKBf SMBttMlis, dèles assodés de saint Sébasden, ani, penirat «tte-lenim p é i ^ de tArVilf, d ir ia i <dbn A 1 œuvre entreprisedeieor temps et delenrs peines.'

Mais il «st ppor moi aa Te^j>ii]tjliu d«pLx

GrïM 1 vons tout devient rose, les flsiirs se

éààMes.,va rép«^ matntenà llquh spne la gasrdejfldèls.de Bétre pasteur at.d* vos camarades deFont-Saiüte-MsxwM.

MonneùanxIMmoiseBeedelVw^^^, . Honneur aux Benmlsâles de Font-Sainte-Ma-

•■'.■'“'■y „

Après quelques paroles - prMoncées par MM. Berdimet Gnvbuot, M. fuies GaUlard clét la série des toasts :

Toast de M; Ctaüiard, dipuiiMJoUie,

. Âpriès avoir éxcosé M. Franck Chanveau, sénateur, retenu par. sà santé dans le Midi; dO'la France,JE. -Duquesnel, .empêché, an dernier mement de quitter son arrondisse^ ment, qui l’ont.charÿ tous deux d’exprimer ' aux organisateurs de la fête et à tous leurs coucitt^ns leurs regret de ine psuvoir se trouver A Pont aojoiira’hni, M. Gullard pro­nonce le discours auMutnt :

. Monsieur le Présidant,'MesdemoissllM,Messianrs;^:; ■

Je ne râtieudralyu» tengiamps votn attenflon;- L'hiuTs. nést'pasi anxi'loBfs discours et vons venez d ’entendre notre cher Piésident, rappeier que tous ies Capitaines vont être, dans qaelques instants, obligés de ss rendre an rendez-vous de ia mairie pour le tirage àU sort des Compagnies quipr«idroBtpartsii.tbiqnorda,eèiour. ■■

'V'sna me'painaatiez ’de'me falM^iâ en peu de mots l’interprète de tout mee eondtoyens de l’ar- rondiesement de Benlis,- comme anssi de mes honorables eoUègim dé la Chambn, î u

61 Mwtt&meil. W Omncamp. 63 Gonvlenx (S*).

.731

BSAnbervillors (fi­ns Préniaea, fidCMt in .9 8 8 h l^ \ l te

K U J ÿ S e ÿ ip t _ tenay-soue-Bifis. lOT IfenUtaire 105 Chantiily (l'J. 106.Noyon (1’ ). '107 Rfoqué- B4U«(aom.)Ac| LicffofiE-Si^iai^dOtVBfli- ranconrt. llOTroaly-Breuil. ill.Saint-Maar-lss- POssés. l i s Attishy..ll3.ParisXnlysse). 114.Vai-. nenil. 116 ehevreville. 116 Nog^-snr-Marné- d r tE O H ^ e r . 118 Pienrines. 119 Vtndeli- ■roni^4W«lgÿ4e-Sec(l’‘). 131 Combmie. 123 ïracy-le-Mont (1”). 133 Marest-snr-Matz. 134

MM. Dural-fflzian, né è Mareuil-sur-Ourcq,

ses grès

I (Baye (S.>et' p97-Wir-

.). 94 Janx, ~ nt-Mar-

inil(S'). 33 Pon-

'raterneilo).

> plwqflUilêia vélo<élQp%i3iqniéà.11 arrive fréquemment qu’à l’insn des dis­

positions légales sur la matière, des per­sonnes vendent leurs-yélqcipédes sansprOffi dre la précaution dù retenir et de' réstituàr

;.'à la mairie les plaques de contrôle qui leur ' ont été remises par le percepteur au moment du paiement de l’impOt.

cés fut égal pour la tronp est un azem p l^H ^jm ■rappeler._ M. Ronsiauxi^ntt ôbti justem eitdif, te confiance que luijatÉtelccordée sUs coJ détaires comme d é t e ^ n dont ilte sn . toute occasion, la jnàMf». . ■<J Savoir a ll ie i« « u tS tïà lîTsamUadiii

l.yte modestie a i^ ^ e n t, j i ’est^' I^Bommnne que nm ^ '*

les heureiu rééiffi^

Bossy. 13$ BateV-Bauvcnr..- > 13b Saiât-Uonaid. 1-----------------137 Emïvina. 138 Tillers-

I SaiatPrambonrg. 139 Monchy-Homièras. 130 PlHsis-Brion.l3l Frésy-snr Où». 132 Montatiire.' iSSidBBiàixilfierK ( l '4 '. li l iS i^ a sb e n f à ') . 135 Bacqaigay. 1% Gnry. 137 Longacil-Raeoun.

L ancien chef de la musique du 33, ligne, à qui nous souhaitons cordialement bienvennej trouvera donc, en arrivant i, nu groupe orchestral dont la cohésion et valeur artistique sont la conséquence d’i traditoa conservée sans défaillance deon

, . . plus de quarante ans et développée «ni.1-Nous croyons devoir rappeler aux inté- pendant ces derniers temps sons fnnmiiriJ

rossés qu’aux termes de l’articlê 7 de te loi de son tout dévoué Président.du Si févrief 4900, les contribuables qui | '.cessent'd’être possesseurs de vélocipèdes, doivent dans les qninzà jours en faire la dé­claration an maire de. la commune de leur résidence et lui remettre la plaque ou les

' WnftwKè*’

tevées,

rttavporJ t

coias-d’Aèjr. 147 Tracÿ-lé-Moat (3-). 148 NoUy lé-8èié(GiKBilra). 149 Meriineeuit- l5o (fitanav.

161 AbSéeàart. 153 Dllÿ-A.àiiitmaorga8. 153 X. X64'’Compiègné (!'■). I55:pâaiainèbl«sa.l56Vin- Cannes. 157 B^nllev.' 168'Pantin. 159 St-Pierre-' Montmartre, 160 Bélhjsy.-St-Martin (Pranes-Ari

163 Gràndiù. 163

IV écro lofp ie .Samedi dernier ont eu lieu, à dix hem,

trois Marts, en l’église Saint-Antoine L . Compiègne. les obsàiuesde M. Henri-AiiL

Fauteyiour les contribuables de s’être con- T P«*in-Adalbert de Laporte, chevalior d e t l formés à cette prescription, ils seront main- Région d’honneur, décédé le 46 avril, à tennsppur l’année suivante au contrôlé de I ?,? “ *v Aï“--Nadja-.Birkadem(Algénei-'lla'cemmnhe Où ils"étaient imposés. 1 t i “b“>nation aéù ’ lieu à Comnièirna ».

On voit dés .lors l’importànce'qu’il y aLe défunt était le père de H. Robert 4J

Laporte, capitaine instructeur an 8* hnssankf

'a e V ü e u à C o m p irg C T â lmetière du.Nord.

chars. 161 Nogâhttles'-Ÿia Vié-snr-Alsnè' 164 PriTySiût-Gervais. 165 Pier- rsfénds. 060 R^ns-jter-Matz. 1671e Mèqx. 168

Onreinet à pliis tàrd l’attribution despri- nus dénoinbreyét d’éloignement.

Làp'aiiié de jardin a étà tirée entre, leà Compagnies de Verberie et de Fieurines. La victoire est rèstéè à celie-ci pàr 48 points centré {fàVerbwiei

Atiieù du'prix'd’ikatetirs, les cartes d’es­sai eut été gagnées par te Compagnie de Tracy-le-MonV(bBtfè maîtresse), et par celle de Fresnes (butte d’attape).• La partie 4e jardin a été tirée, entin les conqiMÜBites. 4’ amm,vW^ et 4 e Remy; cette^ittei^ère .est sortie .victorieuse par 8 points contre, j'pointa attribués à la Com­pagnie d’Ennen0nyi|le.

La SèlMe. La Fau 4’Aptlfioé.'■ y-'Lès'Bala.' -'

Pendanf ù s diirerses épreùves, auxquelles

personnes qui se défont de leUrs vélocipèdes de ne pas céder ceux-ci àvéc la plaque de contrôle dont ils sont pourvus.

- y Vy. '!a. ..y... '...é p j z b e t i e s . diM is l ’O is e

y .e n a W i l 1 9 0 â .I Trois cas de fièvre aphteuse ont été signa-

; lésfdans.le canton de (ühaumonf; nn à Trie- 1, Château; un à Fresnes-LéguiUon, un àSom- ' mereux.

■; La. tuberculose bovine-a été constatée sur : (ânq àniinaux, dans quatre fennec

Dans les abattoirs, cette maladie a été si­gnalée sur i sujets à Beanvàis, 8 à Coinpiè-

: gne, 4 à Créil èt.8 à Montataire.le Vétérinaire départemental,

AiniBiEn.

I n d ic a te u F d e s c h e m in s d e fet, Nos almnnés trouveront encarté dans liH

numéro ^ ce jour un Indicateur des chs'ï . mins de fer de la région — avec le trajet

1 te p ru des diverses ügoes de voittires 1 bliques aboutissant à Sentis.

A. n o s C o F F e s p o n d n n ts .Le développement sane cesaé croissant i|j

eticu du matl baqne pompf

Le Conseil

j avaieni c foi au snjet < fa refusé. r 1 dû fixer d I s’sn tenir.[ appuie la < ne -nomma i ■■ "blanc.f"

SENLISA tx 'a .-v& n S e x i l i s .

, Au 8» Hüssabbs. — Le général de divi- ; sion Tremeau, commandant lA 3* division de -«paierie, est arrivé vendredi dernier à

; Ssnlis pour inspecter te 8* hussards; netre i yuucuit usa U1TS1SS9 opiouToa, aiuqueuea i ' exécuter dans

»e répM contre

notre Jonrnal nona force i en oommencer li : tirage de pins en pins tôt. CfSW

Hons prions, en oonséqnence, nos oonespot. *^ . t le. personnes *d veulent mÎ T S S S S « Wconfier des annenoes de noos adresser Itn ......

manascriu de façon qu’ils noasparvleaient h ; m a ^ aoip et le v e n d re d i so ir, ai , p in s ta rd . .

n Bons est matériellement Inqwssible de n. rantlr l’Insertion, pour le Jour nmme, des am •las,.notes en annonces qui neas.sirlverala le mercredi on le samedi matin.

t Mille to

U s a g e s lo can x t.

terrain battante,

forêtqùetit nous devons cette superbe fête. I; danseur» et daBsensess’on donnent âc» u r- r S L , _ „ - „ 5i.Nous venons d admirer nn mervdlleuz a n - r joié. ' ' ' I .fl Ermenonville.

1 “•» “ " - " i t o " » ! * C b c ,tance il nous ail été donné d’assister. |i ÎP® R0t9E»W.4an? U fiécor-chatoyant. En-

On ne saurait assez remereiw les àrcben de I '" à t à Repf beiHAs, Rn teu d’artifice est tiré Pont, le Conseil mnaiclpal, les Compagoles et Sa- | :W l’Oise, dejant une foule considérable. . . X . . . . . . --------- ! . . -- ----------------- ------------------- I ,. j g p - j g g g g g j u t | g g g J g J g

’viére et sur. lez hauteurs environnantes. 'Le bal d» hàit commence aussitôt et dure

jusqu’à trois heures du matin avec un en­train endiablé...

Pour condluré, répétons que la parade de dimanche dérnier fut absolument réussie et

I que cette jôuràée comptera dans le( annales de Pontetdhhs les fastes de la Fédération

; des Archers de l’Ile- de-France.Nous devons féliciter sans restriction tous

les orpnisateurs de cette belle féle : M. te 1 Paris, au gymnase Voltaire, l’exàmen pour connétable Gustave Lefebvre et ses collabo- I l’obtention du brevet de moniteur de gym- nteurs:. MM. Bourron, Decroze, Merlette, J nastiqne; 35 candidats prenaient part au- DetoMayj^de la 4'» Compagnie d’arc; MM. ' ------ "v...-, j . , p

M'i* Vassenr, au nom des jeunes filles de Verbmie, prend ensuite la parole :

Discours des Jeunes Filles de Verberie, prononcé par Vasseur.

Mesdemoisslies,C’est poarroas un honnsnr, «n même temps

qu’one grande joie, de venir remettre entre vos m û u le Boaq tet proTincial de la roide dite de -Verbarie, qo» nous avons nous-mêmes reça en 1901 de la Compagnie d’arc de Béthisy-Saint- Piarre.

SI les fleurs et les frnits qui composent ce Bou­quet rappslent, par l’uni,n ds leurs vailétés, l'harmome de leurs ceulea’’s et l'égalité de leur ensamb'e, les priaeip-,s frale'rials en honneur dans- Us Compag lies d’arc, ils sont aussi, poar nous, les imbtèmes de l’amité et ds l’aÂction que neus so-nmes heureutes d'offrir à nos chères ompag’.ès.de Pont Sainte-Maxence.. Vanillez, MesdemeiselUs, accepter ce Bouquet,

que nous vous offroni encore comme témoi­gnage des bonnes relatio-'S qui ont toejburs existé entre Verberi, et Pant-Sainte-Maxence. Il sera po _r vous un pré-sienx souvenir de la fête Printanière de ce jior et en même temat qnll vous rappellera votre gracieuse jeunesse et le ptintemps de votre via, il vous fera penser aussi ayos am-as -.ii V rberie, commi ellts-mêmas conserveront toujours un agréable souven'fde vous et de îOîie cha.m®nt accueil.■ Puis M. Gustave Lefebvre, coaaétablo de

Pont-Sainte-âlaxence, prononce le discours snivaat :

Discours d', H. G. Lefebvre, ionnétable des deux Compagnies d’are

.de Pont-Sainte-Uaxence.■i '• , - Jfademo'selte,

Boi q'ùe votre e-muétible vient de nous dire ;< fi-jeous galants avant tont », il me pardonnera 4- riioudre i vous la jH’emiè’e .'Tous aviez bien rai :oiri èn nous apportant os bouquet, de nous dbè.qisyoti comptez sur les sympatM*» des |e 3«s fiiiw'de Po;t. Croy z le Ww, MMdemol-

La Paradt.La messe terminée, 1e cortège se reformé

dans te même ordre pour 1e retour. A ce moment viennent s’y joindre tes membres du conseil supérieur de te Fédéraiiou des Compagnies d’arc de l’Ile-de-France : MM. Jay, président; Cordier, capitaine de la Compagnie de Fontainebleau, vice-prési­dent; Delacroix, capitainndelai'* Compa­gnie d’Aubervilliers, secrétaire-général; Si­ebel, Irésorier; Lemaire, secrétaire de la Compagnie de La .Chapelte-en-Serval, et Mercier, d’Ulysse, membres. On remarque aussi M. Cabaret, de Ciayes(Seine-et-Marne), champion de France.

Parmi les drapeaux, on se désigne celui de Fontainebleau, qui date de 4 698.

Le cortège parcourt l’itinéraire suivant : la gare, le faubourg du Nord, te pont, la rue de la Ville, la rue Cavillé, la Montagne, la rue Neuve, la route de Creil, la Croix Per- rochée, la rue de Cury, la place de l’Eglise, la place du Marché-aux-Toiles, et la place d’Armes. Là on se sépare; les bouquets sont déposés à l’église et chacun s’emprèsse de chercher un coin libre dans les restaurants littéraleménihondés. Tant bien qne-mal, on se casa, et la promenade et le grand air ayant a’guisé l ’appétit, on fait honneur aux - déjeuners sommaires, mais bien préparés par les excellents maitre-queux dé 1 endroit.

Disons ici que grâce aux excellentes dis­positions prises par le connétable et ses collaborateurs, 1e programmé a été exécuté ayec une ezactitade et dans un. ordre par­faits. A une heure et quart, la première par­tie de la fête.était terminée.

Le Soue-Prèfet 1Vers une heure. Ml le Sous-Préfet dé

Senlis, qui n’avait pas cru devoir assister aux cérémonies dnmatin, arrive en voiinre et s’arrête à la mairie où il est reçu par le conseil municipal en présence de MM. Cn- vinot, sénateur, M. Nësl, député, et M. Cor- bon, conseiller d’arrondissement. Des allo­cutions sont échangées entré 1e sons-préfet et 1e maire de Pont-Sainte-Maxencé. '

Tout 1e groupe se dirige ensaite de com­pagnie vers la salle du banquet, qui a lieu sous une ç ’ande tente dressée place du Mar­ché, au milieu des bruyantes baraques d’une foira spécialement autorisée pour la circons­tance.

La Banquet.Contrairement à l’usage, la presse n’avait

pas été conviée an banquet. Nous avons donc dû nous renseigner près de tiers pour savoir ce qui s’y était passé.

La table, Inous a-t-on dit, était présidéé par H. Gustave Lefebvre, connétable, ayant a Sa droite : MM. Boncomont, sons-préfet; Cuvinot, sénsUenr ; Noël et ElaudricoBrt,d^

ciétés, «t tons les habitants de cette ville char­mante et hospitalière, de tont os qn’lls ont fait ponr préparér àrlenrs hôtes la plus aimable ré^ eepUoo.

Ces belles solennités du Bouquet prbvinrial n’ont cessé de jouir, dans nos répons du Nord et de nie-ds-Prance d’une pandé et légifitee.popn- iarité. Nos villes, nos bonrgs les plus importants semblent rivaliser ds zèle et tiennent à recevoir et à transmettre tOnf J tonr, comme le fiambean da la vie dont parle le poète -sntiqne, le boüqnet syraboliqne, emblème de 1» Chevalerie.

Messieurs les Chevaliers de l’Arc, vons êtes è- beaucoup d’égards nne- élite parmi nous. Hom­mes dû présent, fiers et reconnaissants des con­quêtes de ia civilisation moderne, confiants dans les destinées et les progrès démôeratiqaes de l’avenir, vons êtes en même temps des Français fidèlement attachée *ux nobles sonvenirs et aux généreuses traditions dn passé.

Après des siècles de grandedr et d’exploits mi­litaires où, dans des mites béfoïquas et san­glantes, leors ancêtres ont pria nne part glo­rieuse à notre afffanohissemént y national, vos Compagnies sont deveiines, à.l’époqne moderne, de Lbres sociétés d’exarzifse physique. et de sport, destinées à développer le; feonUés'A’énei- gie, d’agilité et d’adresse; mau 'Vous avez con- servédans vos-Statnta et entretenu surtout dans vos cœnrs, èommé la fiahune dans la laïupe dn sanctuaire, le culte du dêvoir,'de-lafidéiitéet dé rbonneur.. Ces nobles sentiments sont l’àine même du

patriot'ismp. Anssi, votre institntion vénérab-e est-elle à nos yeux inséparable de l’idée de pa­trie . Tons 'VOUS faites glo'xe d’être, dans la plus h an ta aoceptioB de ce mot,;ds vrais patriote», et 0 es t ponr cela que vont avez nos sympathies profonies.

Quant à vons tous. Messieurs, — et en vons parlant je m’adresse à. tous nps concitoyens qui ont pris part à cétta fêté, — croyez que nous n’onbiierons pas ces hsnres cbanmhtés passées au milieu de vous.

Et, en terminant, je vous propose de lever vos verres à la prospérité ds Poni-Sainta^Maxenoe,

Lk RàvEiL DE SenIis. — La Société de tir et de gymnastique le Réveil a exécuté di- '] manche dèrnier son tir d'application au stand de Précy-sur-Oise; 48 tireurs y ont pris part. Les meilleurs résultats, parmi les gymnastes, ont été obtenus par Richez (Lu­cien), Rigault et Leblond; parmi les vété­rans, par Baudequin (Pascal) et Maille (Au- gusié). Souhaitons que tes résultats de cette séance de tir soient profitables pour le Concours de Mérn, 1e lundi de Pentecôte. 4«juin.

Pendant cette même journée avait lieu à

Barhiot, Robquin, Rogeret et Céler, de te 8*;. M. Dabàrie et teus les commissaires qui se sont multipliés ponr atteindre au plein succès, et yipont parvenus.

Nous féhoitons aussi les conseillers muni­cipaux, les commerqints et les particuliers

h du concours émprossé apporté par eux tant sous forfiie de souscription qu’en ' donnant par iéués 'décorations un aspect enchànteur àleur jolid'viliè.

Gricë à toutes les bonnèé volohiés rén-' ni«,y on;, peut dirè saiis crainte d’être démenfiè ; < La ville de Pont-Ste-Maxénce a bien mérité de la Chevalerie 1 »

■ " ' ■ ' ■' G.'v;.. '

CHaONigOE ItamilTALEL e s a s s i s e s d e l ’O ise .

Les prochaines assises de l’Oise, pour 1e 8* trimestre de 4903, s’ouvriront à Beauvais le lundi 8 juin, à onze heures du matin. Elles séront présidées par M. Muucourier- Bsauregard, conseiller à la Cour d’appel

_________ d’Amiens, assisté de MM. Picquet, juge au. _ - viUs de Terberie, qui tribunal civil de Beauvais, et Fabignon, juge

noas a la», il y a un an, à pareille époque, un I stippléànt au même siège.•WAflAMS I a AAfVWAaeteK* A - | ^

de son Conseil municmal, de ses Sociétés et de tous ses hibitanti.' è U - -

concours. Le Réveil de Senlis présentait 1e gymnaste Boullet, qui a subi avec succès cet examen qui lui donne dreit au titre de mo­niteur.

Sou brevet lui sera remis officiellement à la distribution des récompenses du Concours deMéru.

Nous adressons à M. Boullet, én cette oc­casion, nos sincères félicitations.

I l ' - ' - > M .: Le Puus Tiphaine .—E l exécution d’une délibération-récente du Conseil municipal, le puits Tipbaine vient d’être rebouché et son emplacement rendu à la circulation des voitures.

Ce puiis était très ancien. Il n’est peut- être pas hors dO propos de rappeler qu’il fut approfondi à diverses reprises, notam­ment au mois d’août 4544. Il était appelé à cette époque 1e puits de Faigues ou Stifaine.

Encore un vieux souvenir de notre ville qui disparaît devant les exigences de la vie moderne. II était du reste plus gênant que l'uneiix et son utilité n’était plus justifiés depuis l’excellente orgauisation du service des eaux qui dessert Senlis.

accntil dont nous conserverons le souvenir ; à l’Aroheria ffanpaise, dont le drapeau est notre drapeau natiouai; au Chef de l’Etat, que nous enmmops de teus nos respeets ; à la Prince et à la République.

ces paroles sOnt accueillies par d’unani­mes et chalenreux applaudissements.- Carias d’sssai. — Tlragè au so rtDès le début de la journée, le tir avait'i

commencé par l’épreuve des «irtes d’essai du jeu du Bouquet provincial : elles ont été gagnées à te butteû’atuque par M. âtffin, de 1a 8* Compagnie de Saint-Maximin| à la butte maîtresse par M. Pécbenx Jutes, de te Compagnie de Villers-Saint Frambourg.

A trois héurès, pendant que; s’achève-1e banquet, tes capitaines se-réunissent à l’Hô-- tel-de Ville pour l’assemblée prévue piàr le règlement. La commission des 'capitaines- cbaigée de régler les différends qui pour- ràiehtr surgir à l’occasion du prix ési ainsi composée : MM. Rudàux, dé Verherie ; Du- chauffont', de Fteurines'; Rouhart, dè Grànd- fresnoy; Dumpàt, de. Verneuil; Jules-Le- févre, delà 4” Compagnie de Compiègne;Lefebvre, connétable dePontr Bonnon etBarbiot, capitaines dés deux CompagnlM de _

tire riep n x .. . . I Dans rarcbitecture :Ce tirage donne les résultau suivant» ; M. Bernier, n d à Clerment : üneruéde 1 Rsmy. 3 YlHars-Coùerêts fl'ri.3 vaiors-cot. I Beauvtisj.M. Chàmird, né à Moûtateirè :

Leié m s u id a ts té lé g r a p h iq u e s »M. Bérard, sous-secrétaire d’Etat des pos­

tes, vient de décider que les établissements de facteuf-recetreur pourvus d’un appareil télégraphique ou situés dans nne aggloméT ration siège d’un bureau télégraphiquei par­ticiperont à. l ’émission et an paiement des mandats'télégrsphiques, jusqn'Aconcurrenee | d’un màximum de 4 00 frania par titre.

Cette décision sera appliquée ineessam- m ent - .

L m S q c i é t é s .de. g j 'm n z is fJq u e .Le- Journal officiel, publie nn décret re-

conntiissant ' comme établissement d'otiliiô pubnqne llUàten: dés Sociétés dé gymnasU- qué déJfrançé, dont'lé'siège.ést à Paris.

- - 'J ' y .. » . . ' yI ^ s : 4 i i r ^ s tè s <dé j ’0 S ad o u j

Entré autres noms, nous recueillons<parmi cette demartistesiqui ont expoiè un Salon :

Dans la sculpture :M^Bejlet-Bàûrsiér, née .à Crtîl : Médail­

lon' Inarbre'j' Mi' Eêçm Gréhér,..hè à 'Bea'û- v w .: te itort4u,.çhefét le portrait d ^m i A t ' . * M V à n l V â.V tM V A ia ' 'vmA A .

Aoression. — Dans la soirée du 40 mai, plusieurs jeunes gens passaient ruéRooge- maiiie en se bousculaot, lorsque l’un d’eux, le nommé M., se sentit frappé d’un coup de couteau dans 1e dos. Il avait été biessé par le nommé L., volontairement ou Involontai­rement, c’est ce que l’eaduéte établira.

Le nommé L., auteur de cette agression, a été arrêté et mis à la disposition du Parquet. Quant au biessé, son état est aussi satisfai­sant qoe possible.

— —s-------*----------- -L e 1 " C o n c e r t

:--:At>il»'Sbifie4éUniuHetstet Suivant nn usage déjà ancien, 1a Société

musicale a n il décidé d’inàügurér te série de ses Cônéerts' d'été pour la clôiure de la ' fête de SMn.t-.Rienl.'Là Sôlenhilé qui attirait, ee.même joiir,à Pont, .pu grand nombra des habitants de là région fit ajonrnerlé tirage de la tombola, : -r- Si cépendant nous tenons à dire quelques mots-de la rénnjonj 'e’e s t ’qu’e-'le. nous a donné la graG,d.e satisfaction de constater

Amiens (Franes-ArcherS). 81 Gasrblg’iy. 33 An- SSîlv Mpassy-la-Neut. 84 Rlenx. 35 Oga«s.

„ S'î'2S*f*y- ^ Soisîons. 38 Hiramont. 39M 31 Vsnoiennes.31 Tiholoy. 33 Nesle. 34 Gouvieax (1"). 36 Novon

(S ). 36 Rpb»rval. 37 Lianconit H 38 l î î? csmps. 39Rollot a;-). 40 Paris (Maine). 41 Jon- onlères. .43 Libarlière. 48 Oancourt. 44 Gtineso; 45 Eroiir. 46 Ivbrs. 47 Berhenil-sur-^sne Bo 4 8 Cnise U-Motte. 49 Margny-lss CompiègnÀ 60Ff08ai*8.

: Projet do'Musée: Dans la gravure et la lithographie :H. Dsblois, né à Fleurintt; M. Robida,

né à Compiègne : Le vieux p ra t dé Compiè­gne et l’abbaye de Sainl-Corneillé ; M»« Sailly, née à Beauvais.

Dans l’art décoratif :Mj.Geergoà Bastard, né AAndezdlto. Rétrospéciiveinent; jetons aussi ;un cbnp'

d œil SOT la Sodétè NatiOnale,’-et rmnènto- ' ronsi^comme peintre» : M. Pteiré làgàrde, et sa route de Retbondes : à M. ’Gaztevé:'!

jS - d’enw iue dan» te '

aepàsser touche à sa fin, ia So.ç.Mftd é u s ic m e »,, tOnjqUte ; ' ygr&be ' à l’excéllènt ' 0p ri t ' t o corps 'qài a soüténii les exécutants et àûssi, piiur upe grande part, a.n zèle et au tact de son-;Sous-chèf; M.-Rontiaez, en état de sefaire éo------------ -----------plaudir.

Malgré le» deuils siiccèsSifs qui l’ont frap-Êéé dans tepersanDe to ses chefs éminents

[M. Sigoard .et Méisteri ntelgré lé topàrt dé Senus; de plusiènr» to ses méilleura'ins- trumentistés; malgré' des absences acriden- telles réduisant encore son contingent, l ’au­dition àlaqnellenens avonsassistèdimaoche a élé, peutma dire, sans exagération ni ff t- terie, absolument parfaite.

Nous n’ayons pas l’intention d’écrire ici' nn compte-rendu critique, du pragramme, de cpmplimeuter Certàms'p'apitres, ni de constater .les vides.qu’il rèf»Boir«unblér au plus vite; mais nous tenons, animoment pi^ Après àyoir rempli un tetèrim presque permancmt'dè troh-annéss, M. Ronstauxtà remettre, au nouveau chef dioisi. Mi Hotti ziàox, ' le .bû5»n’ de direcUto,' à adriisser a Doire conçitpÿçn no» félicw litei pour U', pattrlse donf il a fàlt preiiTe dans toitoà les - àirconstaoces oû te BQcléte,a..ètè àr" ’ làjwdiür*»' ■ '

- . est à la disposition à*nos lecteiOT, qui pourront se le proenn dans -les bureaux dn Courrier de l'o k i Pow ie recevoir franco par te poste, il snffll dadrasser 0,60 centimes en timbres-postii M. Henn Clauchis, administrateur. « T— * ' -■!(On trouvera désormais les cours 4ii

marché de Senlis dans 1e Bulletin en.* merctal, au bas de la 4* page.)

FAITS LOCAUX!£T R i G l O I A ü I

Arrondissent de Seiils.ACY-EN-nULTIEN

La compagnie des sapeurs-pompiers d’An.ï en-Maltien prendra part, 1e mois prochtii,i AU CoDCouTs dô pompes de Gonesse.

BARGNYDimanche 3 mai, à deux heures de l’aprèi-È*

miffi, ia Compagnie d’arc de Bargny a pro'li cédé au tirage de l’oiseau. A la sixiëuià halte, celui-u. est tombé sons la flèche dil chevalier Frémont (Elisée), quifut prociaiiiii roi poM 1a seconde fois. *

A l’issue de 1a partie de jardin, où L » vieux » roulèrent les t jeunes >, eut liei* la nomination des chefs pour l’année 49031' Ont été élus à runanimite :: MM. Piémont (Elisée), roi.

Délorme (Jules), capitaine.Delahaye (Affied), hsnt.-ports-drapua. Reœy (Léon), sergaat.Prémont, greffier.

CRAMANTLe jeune Bartholomexv, qui a fait dimaH'i

che ses débuts snr Etna, gagnant du prix è j Conrbevoie au Bois de Boulogne, est le ffli- de G. Bartbolomew, ancien entraîneur dij i’écurie de Chamant; il n’a pas encore at­teint sa treizième année, il' peut monter 1 moins de cO kVôs.

Son père avait, comme lui, débuté une victoire le 30 mai 4878, à Chantiiir, sur un cheval du baron de Rothschild, le propos de cette victoire, nous trouvons dits I le Sporlsman (Sport) du 4«juin 4878 lu'i lignes suivantes : e

« Dans te prix de Vinenil, réservé am, jockeys d’extrême poids léger, Jeunioii avait fait partir deux d» ses’chevaui w., Derby, Mourle et Boulouf, qui se parla-' - geaitnt la faveur publique. Ils ont été bauui. par Le Marquis, qui doit bien leur être inlé-S rieur de dix livres dans une épreuve onii-l naire. Panni ces gamins de 80 livfes, dOs-l reux de bien faire, la victoire est restée n i pins sage et nous nous plaisons à féh'citeril en cette circonstance, 1e dernier rejetoa dt I

'temoiabreiise .djnaztie'des Barthoiomev. lé;. Souhaitons àu jeune vainqueur de di-in

manche.les brillants succès de son père.- CHANTILLY"

Parmi les noms des lauréate de l’Exposi-ï lion nationale et internationale du Palais di| Travail, à Paris, en avril 4903, nous rsle-l vons celui de M. J. Jouet, maréchal-ferraBlI à Chantilly,-qui a obtenu nne mèdaffie d’Mf pour 1a parfaite exécntien-de sa ferrure. }

Nous lui adressons tonte» ne» félieitatioas |Vi, ÇBEILConseil m unicipal.

Le Conseil s’est réoni, à boit heurts M dnài| du soir, sons la présidence de M. Oagué, main-i Tons les conseillers étaient présents, à llezNel tion de M. Caniier, absenà excusé. f

H est procédé i h nomination d'nn stciétain-l An premier tour de seriitin, MM. Simon et XM’I chez obtiennent diacan 7 voix, M, Carinii6,é|M. Bernard 1. M, Sunoa est élu an denziètel tonr à mains levées. I

— Incident. — Il donne lecture' du prceb-l verbal de la dernière séance. M. Aara deBuàèl la parele; ii se plaint de ceqne ie proeèe-vslidl De relate pas sa protestation an snim dutotedil crédit de 200 inncs destiné aux nobmclMiil tlbetaer dans les ténUies d'asristanee.nédieil*|Sratcite distribuées au coma de l’année ÛOL amande anssi que ia répmiae que tel a frite ■* I

maire, soit égaiemant consignée aupraeèe-vt^ I On se soavieat que M. Avy dU ; e jU s, BM < Taré et Lequesnt ae vomout teurtgleair * p*!»: ff y awt prcots.toiNiieuà If*Cette dtruteie 'PhiSù», maiWoMweryà i sûr, et qne eelafqnt la proaoièi-qi'ddepuis, M. Adty en itoem sT -cès-verbal. LtimTré pro|- pàs eenn les pnmoi^Mr r m ripoite;Ji dit que se s__

■tr - - - 7 - . ' ■» ' ■* » -

isanouz i'mgéniciir I des tramwjj

— maire 'do ^ Mme Bu

iprésentant lient une pr

3 aist-Sl ÿ ü trais 4

es: Le ■» Ii soit préie pbiir 1 Hôti

.Jdit de ll.fi soie 4JIOO . '^T7 000If« maire t i600 Iran ponrM. temps.pon . uol cslni-ci à U disposi mettra an (

M A IItR

pins’

I crédit de] id'occasia M. Anbrÿl

évenir, rem I M. Bagué is à ses an jst activaiaent] et profite to

gant a avec e i M. Anbryi

_ irbal ponr d ((Testiafiatet

I qui noos va Granos. • M. . Doreuse ; iL l ble M. Belau

s la polies I s’engage i

I . dernier se i I maire déda 'ibscs, n’ayau licipale. e r y dit M. Ba ürscequ’üsj nnot £sÀi- I

runtneand'c

iqasla i

Idirsc

f Conseil sa i sur tes dei

46 mai-.I soir, sàile..| t de te Répn

|ie'-par te ciiilia; policé dàL

YolutlonnaireqcpsoT ra : tiatisffls hn

tion snr I ) Poq vota I noi avons-] ded ix l _

ppression du érienrs.

. - .e e tie iti irMigion, la pei

TS applicati 1 dans les i

; 80 cen B« sont ad

1 dn c Ch Aueltement .

a tlàtoh toapE. |Reari)cherchi

achetai! I l'argent dan ttron,' ayant' i Iqui avau fonn lè, fit appré f i pour ce fait.1

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u S id e ic e «e M. Anry. ïUe « déoiaé V » ioùto siptfiatls corps de«rde J a ^ s s i n

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i l«mlssibn » égat0in8i t ': d d ^ w # 48'^**# l*® ® '''

de l’éehï(*üd«ie;setwt iw aaiffin.

leeBW,'4’«B® te«»;4e M SfflMcM» 4*- »i)ettŸei®c;Mr d«n»n- î ^ f SSne mnail», d® 180 frafrt poor

■ S tamatdnel, el naê wame,«eS^#nc» Efthaoia poaap» real*® ®® *** *P ** lacen- 11« CoBssil accepta.

I w r e t t s M C Ç ^ ^ A ^ a » iS a ^ w o f f i î t T i . a ^ J e sfeangerW a u soiet decette ^

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BaiÛortéur M imSeckoA dramatigu«*é 11^. IWHiKT î, - , - s o i .iOMO'iflf a n '.^SimporteuribJaSeefülnmtitictle: M. Lam-

6e«;iç , V., , ^ - .' M ëppqUtur:jifM Seeiion déi pHntürerM ;

Petit.' 'ii-i.ii '4 ^, ...........,“f: d tep p ia r(iu r-d e 'd u Section di'pM tograpl^'r'

-M. Brâ98iiiÿ.'< •■ îChefa-onitestn :■■.= •''' ’

" «-«(iaîsf^M W B aré cbBixd'da preadrA dei j« iû e i^ [I^JgtpiMÏSeB.^" 1^4 ______

'Jtoaiêi.- . ■ —Une sortie dn Cercÿ' & BmenonflUe .est

décidée pour le d im a ^ e t i jain-. iNons jh> Tiendrons nltériaareiisqtciKc'MtteJiM^a^'i^ _ ComniiiDicatiefti^ie laite an (â in itllraae lettre de'IT lÉaaaèa-iIafi^iW '«gnpnr^

A Hessieni^^Mli^g^^’d ^ ^ ^ ^ ' Ceigft AidistttM ds Crépr, —

d^ttiidnr.:^ - jU;: . Vf.- .-5 G.”Pai riioia « ff'a«'f»iü| iabraieri m'tprds’'BBé j

aWne^de^eüiq |m in,;|U ,ttonT«,:.B^^’Mir . . . . . ^ ■TOttiS''60ïiine,jnéfw»--

# 0 ^ 8 'gftétèTé'Id^^l U 'I* mai, J’arais été

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: desjsalttmbaDjiuesi .daûsèBrs,de#ocdo(et.ifttth.es .clowas qui nous diTertissentUiaot

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. iiOt ^loffs, .« to - . Ci! ; .. A f 4 ’ l .jmefliaüe- matiéi-e A mettra «g'

Mlasif cest^ dé lit la i^ ra t i iü s ^ S ^

nn® lettre du secrétaire; aant coBBa}ir« qn’en il Cercle Artisdÿie tanr'' noamé, tdtétMtion,, J'aAAét'ûjoi

'uaammedé^^

ra ïp p 5 ria demande de M. Gfd^f *« P»; £ L somms d® 28 .CUetin blanc centre 5 oui, la demand® deTT.

gnt, jeae pnis, dans tel ^oonstanses. aetoellét', 1 an. montent où je Tiena|lde qdiitar merlbùètfoiis ' #:diieM t»dtme AsseçMionqnti’i ^ ^ ^ latv-rvanir. et prendre nitt d annaumiéTeni;^!; dans le de diremioBi d’ane àntni «arrevri de dois in’abdaiir et réÉér dans le raac ..PgqnHte|Tmoi>;.iB»(ida«, MMsterl

snpi^itomMdiniédlM II ition des ro^ ' - —'" ‘ “

'la-Ibte&d'esiistiBeibfflél^le^ I?•“ ■ nt!< s-i'-n^v -i ,osJ-2uiaé|'aireS'-diTmas. • ' )« <îPi,;'';..;c!r

iO. - .sur ia vois fm x iti ,iicui

l e iùndf Iremniaii^ATtHr^Br l« ra v ^ it

î ® jflfure, ^ « n r i t

n!h^VHititjdiBBàB'.rïpi£ ('

iche

terrible.;

® iflae^i IM®»-;-.

;oTgê%

iN d é de détruire uneléJ..idTà^ï P^dWfhehdiyétettfiiiiée d’u n o f is m ^ e mi^ I. m is »! lonr^miit ajiciôJiiée, r i d S 'M &

rrap^en t''tlë% & iolKot demie ÏS^-.fdié ' i râ ira l " -

''sapenenriienreis loisi et dei maishini

•i%'estiqpuEUes m a iiâ^ ih tii J l’6miidFGapiA.les loarces ^oonlnntrnnrnonfc.'

-----

i ^ m e ^ n

~<iVi

princttl . . ., seemn aux sapeun-pompim ayant au

nns 35 an» deitrvtces et 6S Céa, eomme précéiemmeat, pt et Bille tonoheroat nne somme w-60 francs

• Ctsmûnon des iramwtyt.;-r. La imposi»■ de t'ineéniéor en chef s s tr« ^ é o àJa cota# Hion des tramways pour en frfre nn rapporU. Le maire doâne lecture d ^ aW® paaséeni I, et Mme Bniot d’nne part, et Im d antre représentant la TiBè .de Crol. Jt. et^ltin

k)t cèdent nne partie-de Isnr jardin contre nne lie de Saint-Eïremond. Lemnr mitoyen sera stinit àiâ frais dé la VUl® ; 1® coût pn wa.de

i franei te maire pmpose qn nn crédit do i S m i t préSïé s i r l ’artiole 18 (achat de

iJier pbiir i%étel-de-ville). i crédit de 11.200 francs sera affecté'à cet A soit 4.200 francs, reiiqnat de IMOiee i/pins 7 000 francs restant a l’art. 18.■ L® maire demande aii Coliseil de voter tmht d® 800 francs Encore? dit Ik Delan*L ... pour M. lattillot, de façon à lui dOonar s dis temps pour chercher nn empioi, moyea-

qnol cëlni'Oi restera nn csrtain laps de js à là disposition dn nqnvaan secrétaire r le mettre an cenrant et loi doimer tons rea* niments nécessaires. Le Conseil adopte à

üté.> buidmt, — Le maire demande an Consdl i «tir on crédit de 280 francs i l'effet d’acheter anneau d'occasion i;onr le service de l’abat- , car M. Anbry, cnitivatenr, a retiré le sien,I prévenir, remarqne amèrement le maire, n® M. Dngné sait parfois dire des choses

,J)les è ses amis, 11 remarque qne le2* «d-, it s’est activamant oocnpé da chercher on ton*

et profita de l’occasion pour là:re rtmor rgsnt > avec c dUlgent >. Hais cevenoas an an; H. Anbry a retiré le sien parce qa'iïn

ès-verbal pour défant de plaqna Ini avait été I: I C'est la fauta de la police, dit qaeiquim ;^ alla qui Loos vaut cette dépease imprévaa 150 francs. i M. Labelle dit qaa la police est I rigoarenie; H. Domist est aussi dac«tevis. iffabie H. Delannay déclare sentanciense- t ■ qns la oolici ne travalils pas bien ». Une isslon s'engage eatre le maire et M. On-

k; ce dernier se dlsllngoa par son acharne- jt. Le maire déclare qnil ne pent rien è cet Ida choies, n’ayant ancnne antorilé sur la po- |mnoicipaie. c Hais les commerçants s'en ^ent. dit H. Domats. — Les emmergants «et dire ce gu’ils veulent, répond le maire; fnsi Bira neai,. » La discussion sa dot sur DOIS.I La Conseil sa réunit an comité secret pour |éier snr las demandes des soutiens ds fa-

._ . -r. dH li^iBtiiiirnnlaniHttifuënuÉlÉBln n!ip tinV ofrM c^••r68S8BBs-« J09WDP9 ŒB6, T008’-8V68e A*'-1 <ü(inAifctfc' tt*Amt mtaAiiaùf A* k/ia

diphis plnrsieiifs-ann^ «Hiéniveo lant d».|.ancrés et de bonne oenfriteniité; r ,. . ..i >i I TénfllH agréer, Hessidak, Ikmaranee démen sentiments tont dévoués. - ■sa t.a .

BAtimaBoW.;-'.1« Contilé à^ ris ^ té de cette lettrcr,’iM hi

l ‘d'une rdiÉlon^titèr

qiüïé4*r.fàafin

inces..laJ

mrsBétfilté:.. bUf i , ^ '6787, qniiniûjd:.

OÎ^v-TfllePii

ns'dima soldés

eastiidtmiier ajee

^ r a s l s ttterie snr demi^pBrus n U ti- im ^ t& avec un centr» cok H.L l u iheimi’P d é ^ T h U » ,

üre , éconter^Hu

im n

rienre.

Demain jendi, 1 i connut; .<r sbiedempt le permet, — le Sport Vileeipédiqueéu. Ya-fj

'fo isfen nne sortie d Vienx Mènhn, enx&nit de hr ^Société. Réunion un siège «ociel d héuf héiires du matin.

seelrThéâtre-

Dimandie jprochain, 17 courant, l’è lente troupe duéiiin dàinera nne reptü tetion avec le prograihme iniTant : :

1' Le Phoque, comédie en 1 acte, de..6n|M^DâDCOUrta-

s*. Ut Petite Uarquite, eomédià'en 3’Mtu',‘de HsUhM et Wdiif,- a» l’Académie françiiM.

3* K em vautdoueenr, oomédie-en l'hcfi.'Réduction de 50 O/d eux mmnbree dit j

< Cercle artistiqne » et de la c Jeunesse de Crèpÿ.é Y

Dans leur demièré réonien, lu Vétérans ont décidé d’inangnrer le monnmieint (le la place Gtembetta le dimanche 81 juin,.

C’est: par erreur que l’Rcdo a annoncé pptir atienrd^ini mercredi nne conférence

M, Ghüllard, avocat d Paris, dans la salle da la « Jrânesse de Crépÿ. >

Cette conférence, qui lieu anjourd’hui, a été remise d une date nltérienre.

:dcittateriùr% ,AOnonÿi-jygj raienff^sûi au101

jàrfntüvariéa déiaiUérenifiidÈntèdtiritn- fa t o&um e jnsqu'd sqitrliéore».âB matin. Il n ’yjentihenrenseinent ,aucan aqcident de. personne»,O'i’f ô i m î ta t i iÀ 'i Q i

PO tllM «J|ITE«M XEIICE c

' . V ê n ^ « id i .d a ite r ,W iu te ttd e i^ ^ itùit eoiûinife de-P râ tS ira peRt-afkab noBttiné’ Audi», dgP de 7 ang^a.iBé.'a^Er’ lu r j^ ie n r s parties du" i p i p i ^ l ^ iféu pejBdaBt.,que abwniéèjipiir htite nteqontamtgon,; .

Le fén ayant pris d.»e»'TiÛeB»iit«, le pào- vre petit se tentant brdlé'quvrit la porte

gonri^ppeier sa mére; immMietemen^see ahits ne-&réntpiùsqn’hh hnisfer pàTsidie

du courant d air qui se prodtdsit.In doctenr,Ganrouluflftriihspoirt^^uu

gence ù l’hOpital, après avoir consâüté'Mui état alarmant. -

Malgré h tl^ v ité des blentireii o tîfû fé - sespére pas de le sauver.

M

XgCXi

Hier, ù deux benres et demie, a en lieu l’enterrément civil d’nne énfant de 5 ans, flile de .H..Dapnis, conseiller municipal à Crépy.' (iuelqaes enfrints de l’école materneile commnnale y assistaient, conduits par deux maîtresses.

Plusieurs conseillers m uni^aux, parmi lesquels HH. Gailet, Néry, Vincent, tail­leur, Vincent, restaurateur, Vassal, Tbnez, Debeanpnis, Bertrand.

Les bom m ; aident des fleurs d’imnior- ' telles i leur boutonnière et les femmes 'è leur corsage.

EMEVILLE

: SAINT-FJRmNr •. » . . I r ^ A in f f i r d è Portugal a quitté l’bd:[evait en effet avoir (. terBristol lundi matin, è 9 b. iO, en «»nip.. mm,.a i nn . ,1. . . I gnje du comto ot do Ut comtesio dé PlguaSo

et s'est reoduq^U la gare dnJEfordj>&^a]le,à été reçue par M. de Souzs Rosé, ministre de Portugal h: Parfeief les bants fonetioiinrira» de la Compagnlè.dii Jiofd.

.,^4». __ A i^àieni’pas ____eJos'géants blonds

itd’iixtrqsiqn,! et, d’éhï^

, .-.Jfti prejqM’île aniiori<llin''é.Mais les,tm?ul^^.'Æfiels a v a n ç â t^ tod-

o ù lé i^ ib M -

f ans dureiÿ s is^ c ^ e r potv se soustraire lextemainatiop. Us se tenièrlSÎ^ÜlIii

lig9MM7ànËdes*brâ dup»}|»utf j les bméS- j n M è r e n t . à i l O i i r i n o d e e ï s’y rtm üûèrw t. i f S Æ I Tant que dorait le jo u r , ils j 'r e s t i f â à ' v i S î ’ l tnp“ >‘ q'*«udii6alSié'ft nuit, a s en.Itfrv -s.eiaii I to œ k et, é ç p ra n td e faIots,en terre, i t t

.â a à ’M é n f ^ ’-landè' 'd ItLî-'^ârsnâte 4 « i daims et; dès-‘lf ttte s , ■' 'C^iAieai duin^^cette'. existencér insup-

portabiei de"tôùte;ûnè>tnicfel :On .‘ne ie sait. Mais biœVèt I b ’ Gaètê eitâréBtà Scdèfmilre à leiu’ qpr.'O^aatriàs ti% & bet­tes, les B«}g^!iH^mMâs,:Aem vers la mer, rencontrèrent les iGaâs.qm ■vouluri^-lèur banw -Ià ' rqiite. Qes'Sa- taiU iurteh ib iés-s^éiti^^èittA l^ ^ ê b , d ^ à ampUis.par le meryeiUècii;cliinat de-

Içs nouyeaçuç conquérants, ils contour­nèrent la cète et ràginèrent lé 'SÜS, tOa. iovirs poursuivis. Une partie;passa en ÿérieb d ’anfrfeq, fratw b^ les Alpes, d nuç’es encore, sà iu là conduite d e Sigo-.

Un dèéiwagtmibaldns dé Rixo imparte- ayât é ld a tM é^ tn d n

lèàveole et H. de

envah ira it là:Grèce^ détruisant tout-sûr ,»on pMsagé, et notam inentîle "céabre temple.de iJeiphea.

L arrièregarde de cette formiidableAson atrivéed ia gàfe du tübaffllyi la I

reineaèîereM à iiar lè dnc dà’CHtSiriLBt I ?*™“ .®®“? ?**i9*®^^JS“ *sd“ *“ d-estde m A lt là aukqi&llés- & donnèrent letir

nom (Auvergne •

sant é la Coulj detO b. 08. comte et là céamise Souza Resa.

uedi 16 mai 1903, i huit beves et ) du soir, salle de l'hOtel dn Lion-d’Ar-

, rue de la République, 106, conférence liqus par le citoyen Albert Faton, ex- kt de la police de la ville de Greil, socia- J-révolutionnaire.

OBJET DE LA CONFifiENCB :I Lb socialisnia haminitaira.Bisssrution but les colonies c® que l’oq vota et ce qn® l’on écrit, rourquoi ayons-nous des eolomes ?La loi de dix henres «t ses applications. Suppression dn chSmage; les Allaimed. sont supénenrs.la famille et 1* etruggle for life.La religion, la pensée-libre, la franc-msçon- i_et leurs applications divirses.

pam dans les mairies, it.’ée : 20 centimes,

dames sont admises.

Il patron du « Chemin de fer circulaire » t actuellement place Caroot. envoya . matin son employé Roussel iGustave- e^Heuri) chercher20 litres de pétrole :1 11 <in® 10 litres et mit laî de 1 argent dans sa poche.I pttroa, ayant des doutes, alla chez l i ' ^ f et, a’étant

puis longtemps, Lantier (Joseph) exer- Êier camarade

remarquant que D. ni?,“ nn peu conrt, émit quei-?ri k P®® ridicnlésàce snj'et; D., irô, exhala ses rancœurs dans nn mot,. î in??‘ ^®*e profondément U ntier;.1 tni lança un coup de poing à la joue

I a porté plainte contre Lantier.

océi-veibii pour ivresse a été dresséV nn émigrant italien du nom de Brnza,

pssage à Creil dimàncbé dernier; contreie>i étant en état

^f.eendage, dormait étendu snr nne pette de la salle d'attente de 3* classe ;V Jacquot (G iorges),’rencontré (ians la «e samedi iTre comme la P oU ^e en-

1!®®"® Letonrneur (Charles), âgé de 16 tpprenti verrier, a porté p'ainte contre

1er Lonvart (Bugèn..), qui l’a frappé à ■ pied et à coups de poing.

CREPY-EN-VALoisyfiî iTîi® première communionpeu a Gfépy, cette année, le dimanche

taa’oÜ’®" î®*iBaire qui vient de se Um?- * Tuilenes. â Paris, H.

-T p S S rttW è« ,“"

Samedi dernier, le sieur Lejenne à dé­couvert, vers sept henres du soir, dans la forêt de Retz, territeirè d’Aramônt (Aisne), a environ deux cents mètres de son habita­tion, lien dit la Bouloye, ie corps du nommé: Bataille (Pierre-Ernest), âgé de 55 ans, ma- nouvrier, démeœûnt-A Emévülè, ^ d n . A ’

„ flls, ieldun de Gniseiî ___. On voiturejau. châteasde S à in ^ F H f^

Les (ienÿiv#,^ttddjÔdiw>étâênw a e e t sa< mç»igBgia;dncA1a l'dgcbnssékde Chartres, le dnc^ôt la' daeheuode'^uise,

de 3 b. 15, danetes'fflèmsraïutiDns an’a- vait eti ben lo ^ to s e tr - ': '

î ' . i t o É ü ï i ;À . : : AFétenafronale, le i^ l^ b è b à Ci, liindi 18

etfflaiw lièmai.Dimanche .17 : Jeu d’arc, partie amalsa-

m fe ’ït ’( & S e iï^ (^ ( i* 8 H c td » m i£ e 'A MAC*# L a m m a a a m m m A » ... I S _ , 7 r

r t è f W èlfàild ' Iiènâa|it l'bivér: et Au froid ’fèndamthl'été^A'tniqmodft.bBieanrl’écri- và|iibè‘le peintre, la cestnîiètet^'Inmeiitst^ tons csnx qtÿ trnailljsnt des doigts o n 4 es

.yén^ stbcèat les pieds sur des socles collec- qv^orniront jie la foibèfmôtüceàlà

, l^ iext^oralnàffé inventeur prétend no- ’âmibiBiit ap^quer à 'sonappanilnn traas- ^ttrm at^jM qvant pnximre unftfen]e-.tem:- , blement subtile, jml bètedmgwmiii»tion.desi 'pkims-et récbiwa.de8 qsgfb i^n leU eesi^ eii pdlàriâttiOniw^ire, et quWmtipoiàiqsis-^

.tiOA.Jl6ffftliT6e inAntaaÂoMhut lâm..àtiimeà^nk m w ^ l a plus dure, arnoint de'fiine^èvimtmiPle d iq i^ t en’ pditssièté.

'" . 'I b ^ ^ ^ ^ é é ^ is f iê , 'tô ) i t ést possible. .lÂ'ièliègrtqthlèhaBsfflnousk' j^ a v e . 'i;

L’mveiwinfera Mèntét (knn'slB'e'ÿàt’ kmain m predlidèifrn A^flfinbf

LCAbiènÂm parfe. rCUnë innecèiitepiai-c -sankrie l a ^ f ar nA farcqun » faüîiAe.tav.. qiibér; poini’tâii d’ip e iàçi^n fâcheiue.

ÜMe"aboteÉâe:onvréniw de tbéfUra;M..., âgée de57‘anè,' a ppidj^Ancees^énient: son mnil et SM .çp iq G m ii^ i iêh pauvre fonme, depuis plnslOurs années, vit dans

l’ unepeute chambm As ia rne de la Boétle, n’ayant ponr- cempaÿioB qn’nn petit ebloB p f iS a q th ^ ^ iê m e ^ M ia t ' : : -

Tpm iee jmi{s,,l’exHinvrense;va promener son tônios-, nt,' avant de Voitrw-chez eUe, elle se reposé W nu'banc dn bonièvàrd Malesfaerbesi

It*® M..i venait hieri. ctflnmé d’babltnde, l’asseoir sur sonbancf|vari;ttnj«iMJiomme

qui luâlf ion jôiùnàl se trouvait snr leméme siégé, mais du eOté oppOsé A lu veille dame.

C etted ié^ if^ nan tso in chien sur les ge­noux, lecaressaitenhùdisant : « QuiestHse qnialinéblsnsa m alireéséfi quand, à sa g itk ik ^ p ^ a ctitiA l'àiOmalréoondit :

-7 Hais, c’est moi..Hébétée, ahurie, l ’andenne ouvreuse con­

sidéra ta p é ' ..........................

les honoraires mifiens des,« artisteanama.. 4crbail.>-ilaaq les p r i& c ip a o x é tS K w s d ^ ^ e n t . - Um . éimyéregagneideSbOiMi '^8^iO ^.|psr mois; un clown qnelone betf entraîné tgéÿde'dé Il'OOé à 8.560’W S I

■ ® .d,apppintttmen a mejume^>cn»t pias qqe le 6âteméntd’m rffiiSre i Sur un autre! point encore, la jitead i ^ . mandh’à éirerectifiée : on noosidoiuie h» néralemebt les acrobates ''et

[. ^ modèles Bccimqilk de' t t ^ s l k tffîUs théologales et cai’dmaies ebkbinéés. ) io é d Iilté, R eu I w rabattre,, les ÿpersentbm r argent' àtmâ r à j S S S o r S

.... .... i . fecilemémtqu'llslegapw^ tJ rent le p to -'aouvent. vieux «v»"t'.Cftatrirt

i î 1 l®asableiilent misérablés,! jo v,-. ■ .

Forttmc Wuhpéc’ ap ^ M : r a p p ^ , dit une dépèebeW] a quelques; 4bois là é ‘

s» S3i»i-més de m em ». On :iiant'.ide déeenerisi

W , ie son buréau, cinmieënt milléTraocs en billets de banqi», uiàisûteae- ment.-grignotés par les souris,

G piUs de valeur pour ainsi d rA^îxboaiieSse qm-vivait misérablement, a la issé^ 'en e^^ prèa^ç fcmiilions dé ûUnéiii '

— Le f e u ù r G u ^

a été victime d anncoident extrsmniinaire!• JPendant p 'U nettoyair l’étabie « a va-

çb|é. çe 8 ^ s * a m n ia ; :f ébran le buteur «0sgn'con^qbeééd'SnW vàche: Lmcrins

-s’emmêiéfent et flrénf-' nœod “(ioaGait : la Tachodôant ds son cOtéi lé malheureux doj mestique fd t littéralement étrasgtéi

Qaandon vint ésuusbcoars on eut beau coeper les crins qui slétaient noués autour de sw çoa, etiui prodiguer des soins, ce fut Inutilei l'hsphjetie ôtmreomplèta^^-;*^^.;.

' ' 4 “

L A M Q O ELa jupe, c’est 1

ceux qui font la Mode e t de portent. Do veut, à tout prix.cpUyenu, lebanali le top

’ Suites,.', e

petite béte d’un œil hagard en bai-bUtiant^

Qn'est-ce^(|

nnlt TieUle guenon i reprit le

tu dis? Voilé qne tu

un chêne et ne donnant plus sigae dé vie, | a nenf henres erand 'hai Un sillon jaunâtre autour du cou marquait anstsa l'empreinte do la corde dont i l s’était Servi |

jeunes gens-, dames et flliettes; — Le soir, grand bal seuala tente,

ponr se pendre.' On attribue cet acte de désespoir à un mal

douloureux qui le faisait souffrir-horrible^ ment depuis quatre mois,

IVORtLe dimanche 3 mai, les archers dlvoirs

ont tiré, l’oiseau, à ia perché'.',' ’ .Dés huit heures; le tamkiiir raissemblait

Hardi 19 :■ A trois heures, Hram de la tombola ; nanbrenx lots (éO® lot, une pièce de 400 francs en or). '

Pendant les deux preiniers jonrs dé la fête; grand concert par des artistes do #ar ris, dans ta salle de bal deU, Oélye.

. unêjôîe ,twoce-l oecamm de se -venger Rê^leiiiB; I OrHUiB persécutcFiaéli SotrohiR les Eim^avtnimt rrluB» is

ces pettts naüm^qombattto à leuro j igr

■î^*S*®^*uir dés'.SeTOC^ 'rèndus rap-

Froîuia ces. deux 'n< ^ , qui se fondirent une dans l’autrn. v >;■La tradition populaire a cijnservë la

mémoire Taguo de-ces temnslointaüis;

TOW de ces peBts lpmmea couraHl la“^ 'î TM iéUio, TançtameéùviUn^’tf î b P ^ ttf« » ;? P ^ é t Aooûjroiibjlét^caui-aro.wi8 n a pas a autre- sottrceo • • • - I rinoRta par

eacore; dans- -beacuotip J colO*, H » H..; iS ça alors son

. non de les qui la éviter le

quélquN j d l l é ^ inédftw.'.'," malgré tout, n'est point changéi" “

Nous voyons en bien plus tnand n«wbrt les jnpes pllsçées que les l a p 5 â i iM 3 r Celles-ci passent au sécénd plàn float^hin- reusement que le godt les tn n sh ü ra è’nne façon aussi heurense que pràtiqae. ■

Voici éèmmeat se renouvellera , tma iiùie à godets pour devenir une «-tottense > v n - Uqne et jolie. Coupez le haut, ce qui la rae- courcto et.lui douera ramplèiH-'lifcéâêdiU

Ce qui tombe deviendral’empiéctoent que vous, ferez .rënib en é ' irif dentelés,^ Ondulés,'en pointé,-bl^ H

. . larlastu- pottt de savuneulr,

quimd « t éelnl de; rire strident, partant! ses Cétés, Ini fit retommw.ia tête.

CéitR le Jeune IwttUéiiien voiHn, qui; s’iÂuidoimut A cette hilârtté,. <

M*® H. comprit tont.- Le. jetpse homme éttdtTentrila p e et c’était: iO qiii.TéiMÛt de

chien.

ex i mbqnps^etqui ilebasj hcansede la

bord serailes plis qne vous.i seront très creux us lUjj^ur des godets.

La jupe soleil revient A ia medoe;Git«n» convipnt ie mieux du monde.aux étoffes lé- gévch vèlie, ]Qonsseyn» d û W é ,^ é t e ^ e , foulard, etc. On sO t comment' ce ûBssage s’obtlàit : 1, 011:, taille un carié d’é t^ T a H centré d n ^ e l im eiiiève un rond' qnf ïoUfLniiudKuàttogfc£éâBé»pliii«gifeî^ f r i lilir lé bas. R ierde plus coquet que"cr soiqile aiygqgéttont.'''.

„4'-i 1 .-' i fri-■ ki i i

gan». §ur;le tertre'<k;Biranafar,WtSieuiUçois, dès carriers ont mis']'î :io<ir'dj» pcUtee; ! p lu s iew , sàllés toini»cu% , maisdont la réguknté trsdiiBsalt la main d^êtreamtelligenfii. ’

.dÇnûère'tléconverte - de - Ce‘' gén'rê

M a iia e iw w x , .d’b â te LLe fendre tont ie long du dos et le mettre

(nUI hé. I dans,une mârinadé. le mité égoutter, forcir I lé'véntre de uflS de paihmjtoéo, débattrala ansuidt le blessé dans nne . ét-depeisit, te faire y ^ ie r 'a . sé n tfp ^ ttf i l

état ; tn^tra d’hiJtel. . ' ’ - - *

merragie très aboni On

pbaran’était heniesusaiBent pas jgrave.

Après cinq baltes, l'oiseau, quoique haut , perché, (ut abattu par M. Lefévre (Gustave) qui, malgré ses 57 ans, fit voir qu'il avait encore dn bon. Aussi chacun applaudit-il et félicita-t-il le roi.

L’après-midi, la Compagnie se réunissait de nouveau au jeu d’arc, peur faire ia partie de jardin, — partie qui d ira longtemps, chacuu y mettant toute soaàrdeur' et sa belle huineur.

'Le soir, on se sépara, heureux d'avoir passé nne aussi agréable journée.

MAREUIL-SÜR-OURCQDéraillement,sur la voie ferrés.

Le mardi 5 coniant, par sùite d'UUe i reur d'aiguilUge, la machine du tràiU4e marchaiidises 74 fiO.barilintdé Cfi^y â 41%. dn matin, a dérailûnh.gurë de Hargtjdl,

Il n'ÿ a eu aucun accident de personnes.Le relevage da cette kurde m a c b ^ n'a

été terminé qu’à 6 heures dn soir. . . .Aucun train de voyageurs n'a été re­

tardé ; seulement, ie .train 32àS5 a dd retour-. | ner de Harenil A Antilly machine en .ar­rière, . ,

Les dégâts matériels sont peu importants.

Il y a une quinzaine de jours, un hommé Nonlet, âgé de 39 ans, sans domiril», -a été arrêté dans un'débit de Mareuil, pour vol de poinmes de terre au préjudice de H. Donr- dain, rentier â Villeuoy. Au moment de senl arrestation, Nonlet était porteur de. huit < cravates > â lapins, ce qui n’est pas foit pour atténuer son cas,

nONTATAIRtLe D'Costes nous prie d’infernto ies'hà-

bitants de Uiintataire qu’il 'vacéihein iHi'ré-- vaccinera gratuitement, tous les jours, de 8 â i heures, en sou cabinet, jusqu’au 20 mai lesenfsot de moins d'un an, les adolescents i de *0 s 44 ans. et tes adultes.de 80 â 84 ans. j

Il èofflcA pour cela d’étre portéàrd’u U -

V A t ^ T é a ^ : ;

SOUVENIRS DE BRETAGNE ' '

K O R Ü G A N SPes fenêtres de mon-cabinet de tràvkü

à PlancqëL je.voyais se profiler devant moi la silhouette arrondie du fa t r è de BraniHer: Au pied, l'Arguenon.dérâule ses méandres à .traveftdè grandes pràir nés claires, piquées, ’bu printehips, d inmevères,'^ de bluets,! de pâquerèriëi

■ i ^ ---- — s e in t iê f « t o c ,m éguher. C’est le sentier qui.colïduft à la Bouëtardaye e t à Bonrséid, All a n t culminant du .ipamelon, ilaris là fonde éheriUe, le moulin du Tertre dreàsei ses grands b ra a d é c h a ^ s , sans ailes; immo­biles. Aucune vofle ne vient plus leur donner la vie depuis que - Mi CStoheril - a établi sur la rivière^ une meunerie mo­derne, A côté dû moulin, on voit unegrande croix'de bois,;^Bur iin càlviffie en n to e s ;'c'est-M“®deBéaée (là coüsinetS- roline des Mémoire* cTOutre-Tomhe) qui, au retour de l’énaigration, en 1804, à fiiit élever ce monument enexpiationd’un des erimes dé la.Révolùtion.

Dix-sept hommes on t été guillotinés là sans jugmnént .- - tr ç ^ nobles, deiix prê­tres, cinq artisans iet sept paysans; ils étaient suiqiectés d’être s u j e t s ! . . . Les bonnes grais iRi paÿs, quànil ils aperçoi- vënt cette croix, de loin, se'mghent èiinï- citentuh DepTofuridis.,.'

Ç'ést .1Ù.UÛSSS qué'lÇbÂ^àdbriandj

dont jhle:entendu"parier;'estparffculi& .T" ;;; _rement mtéreasantA au pomt dé vüë eth- J Pe plus en pfm^fort. — H n est brtit,'én nplogiqûe, M .4le Belizal (alors déoutë ‘ ce mofomt, qué: u'une nouvelle aiiRtétibh

Cétes-du-Eordj.et m o i t i ' ' ' ' ’ 'faisant'creuser, il .yun puis dans le ja i

'Moncontour,' y H é ^ y r j t ;

j^ ^ à ts , f a lo t s 4 e ' i œ m jlion p tüs 'hau t; là'plUpiu^’ étaient bien conservés; quelqùëff-tms même étaient mtacts;-.-: i . , i|

-ey^to^inoùàxientd 'ontre-inerriiatairâ-. lémént,-dt4uL âxe qu’ondit,. Jaisse^jiien I loin deriière elle le.Cercledefo élowt, a le ' Ibcpieg the Loep; : / î

Sons ce t i to : De plus forti,eB.pluaJort, qM it’adfoilleucsriton de nouveau piiimneie fameux pitre Nicole! s’ex'primà^àlusl au elé- - cladei-atos piwçkannoacer an'phfiiib se* ;

i . prtsligienxexereices,‘nn’iôijinàl donné ià|^'^Les Bretons de nos .jours, portent eii-il oçscri(qion decen* seosafiohüe) c r^ 'p a r i«r» J - 1— ,_.i- il — .io|^iije3xAiméricain . C’est un appareil Ij

' ' dà depx gEw'des rouer Juxtapdà& j j-------------------------------------------- aeià,.etqandéix'bicÿcûstopîàcési

r^pe, t^ e z les.paystos'sm jtoiit,''ae.'Mm 11!^! lAjaâteiMléneare font.mouvqfr:en;p^;[

aisément que. ce® cv-i W 9 ^ e jaifretn’avwà-1

l’est' rrtüHîrimer î'iébite pist^

•Os: j

, EPtSf; ■«6iue7frJUK,;;3IUiaâiMÉl

' êttàktviageauiRtstrtsI^ f ,

.d«;» A.34%eh(^;MtFi 'l!àplds'é($aibmiqiléMifr

§ los sil0nrieto,'-4to!;!ie érèÿlantjamais, tonti

'pié(^m terÆâà |wblév .’c.j dmemds.® Uffiod â SÂlNT-DEHlG^Mne),

‘i~i - . . '33,fb«iiirà!àrd(Earitot(i!f ...iso û i ■ lliii i)i r

■>dwiia

quii

, 4U““sm. aue.vnatW Bbriandnlacêi? & W ^.SPvne.dé passion entre "Vaiéda et JLudore dans ses Martyr». Le grandéCri-VAin A» la A U X?___

^ied de Jâ croix ré

écrivain ne le dît pàs'explicitementfi—__je superbe-que rondéconvre du '

I sa description. 4

craintif et comme le 1 $pàon.,,<:<>n

nantè, — Optreces.

certains t" “ pas rares' rement Jes légende r fêmiUes'su; A8e;iàlL tm adTrès brime, au plus,' les pikis '

5 araissaiti e fus très

aw it trenti nîliedéTài

Mais voii ^ ^ c^m ais

;TlUia miCa,-^toutes trois leur dévud

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H. Juda-Ktoital U saqi pdra, ni- giilint dmiurul^ à No|6 bw6s-

a . ^oM-Haorl-VarMl Uisaai flU, demsusat à Mogent-les-Yierges(OIsa); . IpmrsnlTaatjlawwj; , • . ibttdist,gnuiu» c

H. l^ r - lo g to e CoTOBAT, de-l t* A M * M Ï& Ê ^ ja o ^ a M comnosd dï■ - • " aToane Par- rédacteur et|ddtcêitaiTa d a e a U a rd a sU „ ^ aTM^ktôibra

labarges. I«rsaiw. Dairttra.

«tedS t’lM s owW ÏePbiiaiW tte r o ù flseaiaottÉalUB la fjiaaaostr AOpnialinssÉtsdao irt iptEmois <at

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d ite 'T iiM VÜ^léairle', 'i.000 tt, 1er; k M. PAiitta, 6, rasdïi CM '

ta b lé i^ C b i^ ÿ . ' ' V 1<

dlsetCoadray, et en oomaan-| j r x:»«?.«.tr«.«riBanrim »ao«. ramisj awme isamenie»simple k l’égard de “ • ***«• “ ® ^ * r â M î S S S ^ ' s e B ^meSodétéaponrobjot rsxploiïl . » a.„n. I taira, ltA iJnu liAMwl.,^ JSÎ7a rnâ tondV de oonunme de UNOI», bnlMer k Sanlis. |

ylas ta gros, spiritnenx et IjqiMiirs, |Mué k Hogent-Ies-Tiergss (Oise). I

Sa dotée est de dix annws, k par- \A . & E P 9 T U I &

rente de Crépy,ttr^da prstniar bai mU n « f «Ht e n o h è t« publiqtias '

la'sikgaaodal est fixé k Nogaat- na

* * L a s i g n a t t f f e sociales m m e t O u t i l la g e stnmt : I D E ! G ARRXE!&

IssAGB FOs, Counaar et C.H. Lssaga fils et H. Coadray, gé-

xants-responsables, anront tons deox la dgastora sociale, dont Us ne pov- ront taire usage goe Mur les besoins at affairés da u * c lM , et ee kpeine da 'UBUité des engagements pris et eoatraotéa, même k l’égard d« tiw , •I diMobtuon de b présente Société,

lentelbis, toal les engagements so-1

OmiM,Oid^Saia«, Ciiamlii daféP edWooen,

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la Société

Iioda da ir rauniiATv aotalrnLte dans ce w . I ««';;;,i^S51priiâiür da l’anmdlssar| k SuJls. ine pourra jamais « m l I , ________aUe du dettes perton-| _ I m . ■ m « » ' K 7 p H i m L

n a posa cim m i ans I d b .GH^A

Eapposgém ont au Com ptant

0» paittTo eiiiter Idans to «aimée. 3Qo| ^ LA CHÂPILlS-BrrSniTAt

S’adresser, pour mmbetpoBrtraitkr,k aotalra'

dPL.

responsable du dettes per^- de l’on ea l’anm du assedés,Bldaulbsantérienru k m ooasti' tntiy »-

Le ci4;tital seoUl est de état trente irilla.&aBes, apportés, savoir :

1* P u H..jLsnge fils, en espècu, pour ^ upkcu,tioarlO.OOO,franu: ,

y P u H- Luage père, en lonU da eoininerM, marehandisu et upè- ou, poar 110.000 fraau.

Bsax origUtanx dudit acte ont été déposés, l’an au Greffe du Tribunal de Commeroe da Sulis. le onze Hai mil neuf aent tnds: l’anm au Greffe de la Justice de Paix de CreU, le douze Mal mtt aeut cent mis.

Pour extrait : LE8A6E et CODDRAT.

Pour insertion____Signé ; SAUiTE-BECTE.

Etude de.H’ Ldnn BARAMOER!,eonunissûre-prisenr

da l’arrondissemeat*- Sanlis.

Etndu de

(te- B G U HOBAMO, IL eendé en droit, avoué k Senlis, rue Saint- Klam, n’ 10, snccu- seurdeH* Lsvixox;

Et de M' HEZIERE, no­taire k Betz.

À COUBTEUIL _________________

V E N T E M O B I L I È R E M a i s o n d e C a i h i f ^ g D ePour oanee dé|Urt giaa k SAD|t-LS(»A»,

de lEadame CBBIS1UK, kodtédalaMape.C irtoitnior» Coffrp-Fprt, I s ’adresser k Senlis, 7, me.daQiat^

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Idspon.Cour...FlOCllee4mai...4dem..

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du joui prto.

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du jouz pxêo.

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du Joui ptto.47.25 47.2547.25 47.2547.50 47 2647.50 47.2540.50 40.50

53.75 54.» 58.» 57.50 64.50 54.» 58.50 57.25 54 50 54.75 58.50 57.7555.75 55.76 56.75 66.25 -------------

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dsjout piMd. dujoui piSoid.Cour... 25 60 26 6Q|juil-aoûî. 26 .. 26 ..Proch.. 25 60 25 OOUd'oct... 8? 30 27 50

Marché calme snr.les sucres.Sdcees EtEFUiês dbponibles, les 100 Iriles,

4a»a l’usine (cours de dôtnre), 93 » k 98 50 (uônire précédente) 93 » k 93 50.

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Cour... 33 80 33 901juil-août. 33 80 33 90Proch.. 33 60 34 » |4 d ern ... 31 40 31 40

Farines, marché calme.Blés. — Poids nntittel : 75 k 77 kilos k l’heo-

lolitre, 100 kilos, paiement net comptant entrepôt.Seigles. — Poids natnrei : 67 k 69 kilos k

Thectolitre, 100 kilos net comptant.AvoniES. — Poids naturel : 45 k 47 kiles k

Thcctohtre, les 100 kilos net comptantiBLËS SEIGLES AVOINESCODES CODES CODES

du jour prie, dajosz prée* dnJmiE prie. 85al0 S5a35 1.776 17.75 16.50 16.40 24H0 25... 17.75 17.50 16.60 16.75 24.25 24.26 17... 18... 16.75 16.80

aem.. 22.76 22.75 16.5016J» MéOlMO Miràéealme snr le blé et soutenu sur le seigle. Marché sontsEU sur l’avoine.

Cour...Proch.,4buI...4dem..

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Brebb métisses...'........VeeuxS.-6t-M.etEnre.Enre-et-Loir et Loiret..Champénob...................Manceaux....................Divers...........................

i"1 44 1 40 1 251 902 20 1 44

f 8’1 30 1 161 25 1 061 15 1 061 60 1 202 .. 1 701 40 185. 95 02

. 90

1/2 XIL.. 43 à . 47< 40 . 46. 36 . 38. 57 . 60. 52 . 55. 47 . 50. 62 . 68. 62 . 68. 54 . 80. 54 . 68. 46 . 68

H a l l e s C e n t p a le s d e P a o d sdu 11 mai.

Cours ofUeiele des viandes.Qnantités vendues : 97.552.

Bœuf 31.233k. I Montoh ' 13.784k.Veau.'....;. 45.288 jPorc...

Boeuf.1/4 de derrière . ..ICikOo1/4 de devant.................... —Aloyau............................... —

— déhanché. —Trams.............................. —

8 247

1 . . k l 7 0 .6 0 .9 01 20 2 60 1 40 »801 . . 180

Teatt.E xtra....................le küel ” q u a lité ...,,.. —» - - -fr - ................ —4* — ........... — -Pans et euissob.. .......~ —1/4'de'devant.................... —1/4 dé derrière................. -

Mouton.1" qualité,. ........... .* ....le kllefr - ----------- -f r - ......................................... -4’ . . . . . . . . . . . . . . . . -Gigob......................i . . . . —Carrés parés ............. —Agnaatxs«iAt{«te. —Agneaux de lait ai tète d; f r e s s u r e . ' . . “ Chévm.. ........ “Pré salé : entiers ........’ —

— Mlottés . . . . . . t —Pore.

1" qualité le kilo2 * ' r r . ; e . . e é e . e s . . — T.

Poitrine salée,. . . . . . . . . . . —.— ' f r é l o h e . . . . —

Reins.........F ü s t t : . . . . . . . ............ . . i . . —jtm b o n s........ . . . . . . . . —

176 ISO 1 30 1,16 1 ..1 20 1 ..1 60

1 80 1 60 1 26 1 ..1 50 140 1 10

1 60 » 40 1 802 20

1 36 1 24,1 08 1 10 1 10 1 20 1 30 1 20

2 ..1 701 40

230 1 80 190

2 10 1 701 46 1 202 60 480 220

?;!§220280

146134 1 18 1 30 1 30 1 46 180 1 50

I f f lO a S M BËgABTBtE^

BreteuH/R-mai.Blé 23i..k23<50.'8eiglalSS0k . . . . . (frge

16 . . k 17 . . , Avcioe 16 50 k 17 . . , b tOS aex 100 kilos.,

Pain lekilo Ire qté.24ç.. 2e e ., Bsurrelékao 3 .V k2 20. Œnb b cen ts ..

klOfr. ' -G lie ^ o a tl, 9 inaL .Bie'l‘re'qùa|ite'33 . . . 2s 22,50, Ss 22,.-., Ssigt», 1 5 . 9rge, 15 . . ; Avoine, 15 . . aux

100 fcil'bs. - On celé Thectolitre : Bté, Irn -qualité 17 48,

2« 17 la 8e 16-72. «algie, 9 71, Orge, 8 70» Avoine, OiTSs ,

Pain, le kilo. Ire qualité 36 o.. 2e 31 o.

s is s 'S '^ îs ir 'ie,,6.fflsi.

Blé de, x3 . . ,a j ,t .«..«ejgle,. k Orfë, . . . . k Avoine, 1 6 .. k l7riBe8,.36 M k ,1 «..

Ciréwyt.OQsL Marche assez”bien approt^nné; vente fa ^ .

Blé, Irequ-alits, 24 . . . 2e23 50, 3e 23 . .. Seigia, 16 . . , Orge, 17 . . . AvoiU', Ira qualité,

1« 50,2a 14 60, Farine 36 . . , le tout aux 100 k. On cote Thectolitre : Blé, Ire qualité, 18 48,

2a 17 86. 3a 16 60. Seigi............... Orge............Avoine, Ire qualité, 6 97,2e 6 23.

Pain, le kilo. Ire quahté, 34 o., 2e 30 c. GrauadTUliei’s , 11 mai.Marche ordinaire : vente active.Blé, Ire qualité, 22 58. 2e 25 26, MéteU .

Seigle, Orge, 16 72, Avoine, 1rs qualité,16 82,2s 15 77, aux 100 kdes.

On cote Th-.ctoliire ; Blé 1rs qté 17 50 2e qté17 25. Méteii Seigle Orge 10 50.Avoine Ire q é 8 . . , 2e 7 50.

Pain b kiio Ire qté 84 c.; 2s 31 c.Banrre 2 80 k3 40 lé kilo (Eula le cent 8 50 k

. frB lo n y , 9 mal.Blé, 24 . . , Seigle, 16 . . , Orge, 16 60, Avoine,

16 . . , le tout aux 100 kilos.On cote Thectolitre : Blé, 13 . , , «aigle, 11 50,

Orge, 10 70, Avoine, 7 70.. Pain, le kilo, 1rs qualité, 36 e., 2a 33 c.

Beurre, le kilo. Ire quriita 3 50,2e 3 50, (Enfs, le cent, 8 50. ,

M éim . 8 mai;Bie, ira qté, 22 75- Méteii Seigle 15 25.

Olgi 16 25. Avoine 16 75 ie lont aux lOO kilos; FaiD,lekiio, lreq .e3 ie ., 2iS9. .Beurre, le kilo. 1rs qté S 30, 2a 3 . . .(Eats. leeeat, 8fr.N a y o n , 9 mai.

_______ - , ,,3 e 2 2 50.

17 ..J 2e 16 50. lûicets,’ lOOkUesi

Pain; le kilo. Ire qaalité»-32 c., 2s 28 e. Baurre, le kilo. Ire quahté, 3 -.., 2e 280.

(R'afs, leoent.8 , , ‘k .fr.

IH apché d e S en U e du 12 mai.

BéS.tOXATIOM . DES SEAIXS

frosent.(laquai.

- , ( 8* -

Seigle__A v o in e .y

Ma'1er * 1 :rdaéà edmwÉxa.ucan. rkMZ

24 26 78 18 90 Sans var.23 26 78 iT65 Id.22 25 72: 16 >e id.16 w 70 11 2 Id.17 »» 50 8 50 Id,16 •» 47 ? 7>U6 ■ lu -O

-prix du Pain jp lu c ... 0,37 bk.,Sans vér. dn l" an 15 mai. Bb-btafrc 0.S4 - U . .

rartne : les lÛO kilog., 36 f. Rtms vaY. ■ ' — — -

R IA R C H É Sdes Dipartmentt limitrophes.

A aoaalo (S.-Inf,), 9 mai. , ,Blé, Ire qtS 24 34,22 37, M 39. Méteil . . . . .

gcigle Orge 20 69. Avoine 18 33,2», 17 éS.On cota Thectolitre: Blé, Ira quaUté, 18 50,

2s 17 . , , MéteU Seigla,. . . . , Orge, 12 . .,Avoine, Ire qnalité, 8 26,2r 7 87.

Pain, le kilo. Ira qnauté, 35 c., 2a . . c., • C bA tean-X hlepry (Aime), 8 mai.Blé 26 . . a 25 50. SjiglslS .. k . . ...,Qrge

. . . . k . . --------1 9 .. k20 100 kilos.• Cffiaim:

B le lre

Scdnt-QaemNm (Aisne), 9 mal.Blé roux ireqlé 23 . .,2 e 21 ...S iW i J

O’g s .. . . . Avoine 15 . . k 1 6 ... Farine I 33 . . k 33 50, le tout aux 100 klios.

S o ia e e n s (Aisne), 9 mai.Blé Ire qté 2420, 2e 22 60. Seigto 16 D. i

Avoma choix Ire 1 6 25, haux 100 kUos.

'AVoinV’J ’’l7 '60 k 18 . . . Méteil Farines 34 . . k36 . . , b tout au

” *é M S eig le Ire qté 15 60,. ..Af vw A.A 1A .LvAinA2e®18 ^rgVIre qb 17‘." ,"2e*Ï6 .1 AvoinâIre qté 16 - . , 2e 15. Farine Ire qté 33 . . , 2e 32 . . , le tout aulOOk'los.

F e r e e - le e -B a iix (S.-Inf.), 7 mai.AtoS I, de 9 . ; k 9 50.'orge, de 10 . . k 10 60

Thectolitre. _ , . , f .Beurre, de 2 20 k 2 60 le ItU.(Eub. 6 50 k 7 fr. . . le cent, , , , —Bestiaux. — 115'veaux gras. Ire qté 1 90,

2e 1 60, 3e 1 40 la kiL 58 veaux maigres ds 2o » 35fr. Ik pièce, 35 porcs gras Ire qte i » , 2e 130 le kil. 30 porcs coureurs da 35 a W fr, la p ècs. 46 porcs laitons de Z2 k 28 fr. la pièce,

l ia o n (Aisne), 6 mal.BUotux^ 7.6. k 23 26, ■

Orge à,e» e.. ATO«el6 50 à •. .•i w lomàôz lûô kilos;

Orge 1650k 1 7 Avoine 16 50 k 1 7 .., le tout aux lOOkilos. ; _ „ ,

Pain le kib Irernié « e ; 2e 28 c. Beurre le kilos. . . k.. ;..(Eabt»donzaine. » • . fr .. . .

M oatdléU ep (Somme), 9 mai B lé S q .é 2 3 « 0 4 24 . . , !b 23A23 60..Srig!e

16 .. à 17 . . . Orge 15 k l6 . . . Kscomgeon 15 . . k l6 ...A v o u iè l4 .. k l7 ...Son 1 2 .. k 13 . , . Bemomage 14 ... k 15 . . . ,

Bsurrele demi kuo 140 k l 50. (Rufo le quar­teron 1|60 k 170.

N e o f s ^ t e l (Seine-Inférieure), 6 mal Bie2313a 23 76. Seigle . . . . a . . . . . Orge

19.40 k 2015. Avoine 16 . . 4 18 . . , le tout aux lOOkUos. _ « oo . u-.Pain Ire qté 41 e., 2e 33 e , 3e 28 c. le kUo.

(Eub, 6 K> 4 7 50 ie cent.RôsieiÉ (8;-I) ,8 mal.Biss 22 13. Avoines 17 80. Seigb 16 69.0 ge

18 50 Farines 34 60, le tout anx llO küos.R oste (Somme), 4 mû,^ 32 WA23 . . . Siigb 15 . , k 15 50. Orge

i 15 50 k IS ’vS Avoine 16 ;V k 15 50, b font anx ilDO kiiOÉ ■

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Chemina de 1er françab.Est actions .................... 910Lyon — .................... 1412Midi - . . ; ........... . U7ÜNord - .................... 1830.Oriéans — ................... 1485ouest' — .................. . 890Est bCligationa.. ; ............... 457LyOU . 'lAèee'««'eeeeeMidi — .................... ! t îNord — .................... 462Oriéans .................... 450Ouest — ... .' . . .' .. .7 . 450VlUs de Paris. — Oidigatloas.1865 4 V.............................. 5551869 3 V«............................. 4401871 3 V.............................. 4101875 4 V ................... . 5681876 4 ................. 5841898 8 V ,. ........................... 418(frédlt Foncier -- Obligations.Coaununaies 1879.................. 478Foncières 1879........... ........... 502Gommnnabs >880.................. soiF oneiètesl883................. 4e«

- 1885................. 476■inosd’ac.

De Beers............ .................. 554Fei'reira. . z.e R C ’

VaiearE-diveries.RnsMlEBS............ HB'dilRie T l B t o . . . . ......... a s s T i

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Vu par nous. Jiaire de la Ville de Senlis, pour légalisatioa de le slgoatore 4« apposée k l’article . ,i 1æ - - .....~m

i imprùuiirie Adiphiiàtixtive et (bmtnètdaie dé SÀlb;'Éeiiài cÉDisai BineteiM i yet'^'PlôOg qglfio)ti*de-Vjii9»

ï riez premier» qjit ( de Senlizte '

ON DU COD

LE

iTEàU Ti TràÈBtt 4% l’ttglafi ]

jw rjn . jai■oaitetooe ( F a i ^ ei

dites et |r n - s ix h T Uite hèt rS ordres t

eroya

r iP a rc e c t Henri, .jj

J Bien, maInelBeOié]vl*«- '