MARDI 21 AVRIL 2015

À la recherche de nouveaux défis?Retrouvez nos pages Emploi chaque vendredi

Formation

La logistique a besoinde travailleurs qualifiés

Job d’avenir 18

Les mini-résolutions,ça vous change la vie

Pratique 15

Le narcissisme est undéfaut bien masculin

Psychologie 17

Une expérience professionnelleen marge de ses études est unatout majeur sur le marché del’emploi. Conscients de cette

réalité, des étudiants américainsont recours à des agences pourdécrocher des stages non rému-nérés à l’étranger. La prestation

et les frais se chiffrent en mil-liers de dollars. La plupart desétudiants contractent même unemprunt. PAGE 14

Stagiaire bénévole,unprivilègeonéreux

Aux États-Unis, des jeunes dépensent leurs économies ou contractent un emprunt pour étoffer leur curriculum vitæ.

Elena Friedberg étudiel’histoire et le français àl’Université du Michigan. Ellea fait un stage non rémunéréde deux mois dans une bouti-que de robes de mariée, dontelle est ravie. Sa fonctionconsistait à servir le café. Ellea versé 10 000 euros à uneagence américaine pour obte-nir ce poste, rapportait en fé-vrier dernier le «New YorkTimes». Le quotidien évoqueune tendance en plein essor.Des étudiants paient des so-ciétés afin de devenir stagiai-res dans des entreprises àl’étranger.

L’intérêt d’une telle démar-che est de se distinguer sur lemarché de l’emploi grâce à un

CV bien fourni. Les prestatai-res font les démarches pour laplace de travail, le logement,

le visa et des activités touristi-ques. Voyage et frais de bou-che sont à la charge desclients. Si certains disposentdu capital nécessaire(15 000 Américains en 2013),la plupart contractent un em-prunt (20 500 la même an-née). C’est le cas de DariusFrancis, étudiant de l’Illinois,qui a investi 15 500 eurosdans un stage de bénévole àl’Edinburgh Art Festival, enÉcosse, l’été dernier. Le gar-çon est content de son expé-rience, pour laquelle il a tou-ché une bourse universitaire.Sur le plan moral, ce nou-veau business fait tiquer cer-tains professeurs. Or, dans unpays où les stages les plus pri-sés (cinéma, mode) sont par-fois mis aux enchères par lesemployeurs eux-mêmes, iln’est pas sûr que leurs voixsoient entendues.

Prêts à casser leur tirelirepour décrocher un stageCARRIÈRE - Aux États-Unis, des étudiantspaient des agences pourqu’elles leur procurentune expérience enentreprise.

Une université cana-dienne dispense depuisjanvier un cours de so-ciologie nommé «Étudedu phénomène CristianoRonaldo». Son créateur,le professeur LuisAguiar, estime que «Ro-naldo fait très attentionà donner une image delui-même qui va au-delàdu foot. Et partout, lesgens sont captivés par lacombinaison de ses qua-lités techniques et deson allure».

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Ronaldo, vraiobjet d’étude

14 Formation MARDI 21 AVRIL 2015 / WWW.LESSENTIEL.LU

Le jeune débourse au moins9 690 euros, sans compter

le voyage à l’étrangeret la nourriture.

Référence en matière de recherche et d’innovation, le Luxembourg Institute of Science andTechnology (LIST) organise également des formations qualifiantes et diplômantes, ainsi quedes conférences professionnelles et scientifiques, dans ses domaines de recherche : matériaux,environnement et IT.

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08/05 ISO/IEC 27034 Introduction to Application Security Management

21/05 Approches juridiques des contrats logiciels, du développement au SLA

28/05 OPEN BIM : une approche collaborative entre architectes et ingénieurs

15/06 FedISA certification for the management of digitisation and electronicarchiving projects

16/06 NAVISWORKS - Formation de base

24/09 Simulation 4D de la construction de bâtiment

29/09 Applications iPhone ou iPad : de l’idée à la création d’un premier prototype papier

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Plus d’infos sur : LIST.lu/event

CONTACTLuxembourg Institute of Science and Technology (LIST)

LIST Training Centre | Tel. : (+352) 275 888 - 1 | Fax : (+352) 275 885 | training@list.lu

MARDI 21 AVRIL 2015 / WWW.LESSENTIEL.LU Formation 15

«Prendre une décision estune activité psychologiquecoûteuse. Plus nous en pre-nons, plus notre volontés’épuise». Ces mots sont ceuxde Caroline Arnold. Cettefemme d’affaires américaine,qui travaille désormais pourune grande banque d’investis-sement après avoir introduitl’action Google en Bourse, atout de la «power girl». Pour-tant, comme elle le narre dansun nouveau livre, «Mini-réso-lutions pour grands change-ments» (éd. JC Lattès), elle aeu du mal à adopter certaineshabitudes, comme ranger son

bureau ou arriver à l’heure àses rendez-vous.

Pour comprendre pourquoiil lui était si difficile d’y par-venir, elle s’est mise à éplu-cher de nombreuses étudesportant sur les résolutions. Saconclusion est que pourcontrecarrer des schémas ré-currents, il faut y aller parpetites étapes: les mini-réso-lutions. Un exemple? Plutôtque de vouloir sur un coup detête se rendre au boulot àvélo, mieux vaut dans un pre-mier temps se limiter aux lun-dis. Puis rajouter undeuxième jour et ainsi desuite afin d’éviter d’être minépar la pluie et la flemme.

Mais qu’entend précisémentCaroline Arnold par mini-ré-solution? Il s’agit d’une pro-messe facile à effet immédiat,avec un objet limité et qui estexplicite.

Avancer à pas de géantavec des mini-résolutions

PRATIQUE - La femmed’affaires américaineCaroline Arnold a publiéun livre. Elle nous ditcomment changer sesmauvaises habitudes.

Pour le changement, il faut commencer modestement, estimel’auteur de «Mini-résolutions pour grands changements».

EMPLOI - Développer de nou-velles compétences ou se re-mettre en question: voilà deuxraisons qui poussent certainssalariés à changer d’emploifréquemment. Mais attentionà ne pas trop avoir la bou-geotte! Selon une étude me-née pour Robert Half, leadermondial du recrutement spé-cialisé, zapper régulièrementd’un job à l’autre reste rédhi-bitoire aux yeux d’une majo-rité de directeurs administra-tifs et financiers.Pour 88 % d’entre eux, il suffitd’avoir changé trois fois deposte en dix ans pour êtreconsidéré comme un «job zap-per». Une position qui ne tientpas forcément compte deschangements de mentalité desjeunes, qui ne construisentplus leur carrière commeleurs aînés.

Les«jobzappers»repérés

• FORMATION CONTINUE • RECHERCHE APPLIQUÉE • OUTILS PÉDAGOGIQUES

Formationspratiqueset prochesdu terrain !

Pol WAGNER,Directeur de l’IUIL

“ “L’IUIL soutient l’économieluxembourgeoise en développant lescompétences sociales et techniquesdes entreprises au travers de leurscollaborateurs.

NOS PROCHAINES FORMATIONS

• Schulung für Weiterbildungsverantwortliche• Formation en soins pharmaceutiques :

module complémentaire sur la prise encharge de la personne âgée

• Manager un hôpital à l’heure européenne

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16 Formation MARDI 21 AVRIL 2015 / WWW.LESSENTIEL.LU

L’homme aime hiérarchiserses semblables en fonction deleur activité professionnelle.Dans l’inconscient collectif, ilexiste des métiers dépréciéset d’autres valorisés. L’échellede mesure tient au contextesocioculturel, mais aussi à deseffets de mode auxquels la té-lévision et le cinéma prennentpart. Pourtant, il arrive par-fois que l’idéal se fracasse surl’âpreté de la réalité. C’est ensubstance le propos de Rhy-mer Rigby, chroniqueur au«Telegraph». Il a récemmentdébusqué quels jobs, au-jourd’hui, sont largement sur-évalués. Voici les principaux.

Il y a d’abord le rédacteurde guides de voyage. Visiterles plus beaux sites du mondegratuitement, c’est excitant.Mais cela ne rapporte pasbeaucoup. Et s’il souhaite em-pocher davantage, il devra li-

miter ses déplacements. Et là,toute la magie du job dispa-raît! Par ailleurs, les voyagesde presse seraient vite en-nuyeux. Ils se font en groupeavec des inconnus que l’onn’apprécie pas forcément.

Vient ensuite le cuisinier.Les programmes comme«MasterChef» vendent durêve, mais la facture peut serévéler salée. En réalité, letravail est fastidieux et malpayé, comme le décrit le cuisi-nier Anthony Bourdain dansson livre «Kitchen Confiden-tial». Et les chances d’accéderà des établissements réputéssont maigres.

Enfin, il y a le directeur ar-tistique dans une agence pu-blicitaire. Le secteur estconsidéré comme cool et cene sont pas les personnagesde la série «Mad Men» qui di-ront le contraire. Pourtant, lapublicité a beaucoup souffertfinancièrement et ses heuresde gloire sont derrière elle.Selon une étude du site Ca-reerCast.com, il s’agiraitmême de l’emploi le plus sur-évalué en 2014.

L’envers du décor des jobsde rêve n’est pas si roseSOCIÉTÉ - On parle demétiers en or, mais il arriveque ce ne soit qu’uneapparence. Zoom surquelques gros imposteurs.

Le publicitaire de «MadMen» est un héros. La réalité est différente.

Décoder lesposturesEXPRESSI0N -Le corps a sonpropre langage,qui contredit

parfois notre parole. Lorsd’un entretien d’embaucheou d’une conférence, appre-nez à choisir les attitudesadéquates pour dominer lasituation.«Savoir parler en public avec soncorps», éd. J’ai Lu. 10,55 euros.

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Questions enpagailleTEST - À quelpoint suis-je in-telligent? Puis-jemanager desgens? Peut-on

compter sur moi? Ce livrepropose 62 tests pour se re-mettre en question. Carmieux se connaître, c’est laclé pour progresser.«Testez-vous pour mieux vousconnaître», Leduc.s Editions.20 euros.

Coin lecture

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MARDI 21 AVRIL 2015 / WWW.LESSENTIEL.LU Formation 17

Les hommes seraient plusenclins au narcissisme que lesfemmes, selon une recherchepubliée dans la revue «Psy-chological Bulletin». «Ce traitde caractère est lié à différen-tes dysfonctions mentales del’individu, dont l’incapacité demaintenir des relations dura-bles avec les autres, l’agressi-vité et des comportementsnon éthiques», explique EmilyGrijalva, professeur adjoint deressources humaines à l’Uni-versité de Buffalo, principalauteur de cette étude.

Les chercheurs ont déter-miné que la plus grande diffé-rence est basée sur l’idée que

tout est dû: les hommes ontplus tendance que les femmesà revendiquer certains privilè-ges. La seconde différenceconcerne la volonté d’autoritéet de domination. «Comparati-

vement aux femmes, les hom-mes montrent davantage d’as-surance et de désir de pou-voir», souligne Emily Grijalva.

Selon les scientifiques, lefait qu’il y ait toujours beau-

coup moins de femmes occu-pant des postes de directionpourrait en partie résulter dela disparité entre les stéréoty-pes sur la féminité et le rôlede dirigeant.

Le narcissisme, un trait decaractère plutôtmasculinÉTUDE - Les hommesmontreraient plus unevolonté de pouvoir etd’autosatisfaction queles femmes.

«Les hommes montrent davantage d’assurance et de désir de pouvoir», souligne la recherche.

TOKYO - L’hôtel Henn-na, quiouvrira ses portes cet été dansun parc d’attractions, serad’un genre nouveau. Son per-sonnel sera composé de ro-bots humanoïdes. Ces cy-borgs, développés par l’Uni-versité d’Osaka, seront poly-glottes: ils accueilleront lesclients en quatre langues,dont l’anglais. À noter que dixhumains seront aussi présentspour s’assurer que tout fonc-tionne bien et intervenir siune tâche ne peut pas être ac-complie par un humanoïde.

Check-inbientôtfait par un robot

Les robots attendent les hôtes.

Construis ton avenir !

Des infos, des conseils,des jeux et des cadeaux !Pour tout savoir sur les métiers et les formationsde la construction, suis-nous sur les réseaux sociaux.

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18 Formation MARDI 21 AVRIL 2015 / WWW.LESSENTIEL.LU

Le secteur de la logistiquemanque de chefs d'équipe. Etles formations disponiblesdans le pays ne sont pas en-core en adéquation avec le ni-veau de développement at-tendu dans le secteur. «CFLMultimodal va quadrupler sescapacités avec l'Eurohub, etl'aéroport de Luxembourg vaencore grandir», illustre Char-les Gosselin, manager en inté-rim du Cluster for Logistics.Actuellement, le secteur em-

ploie plus de 13 000 person-nes, dans 800 entreprises. Ilreprésente 4 % du PIB dupays. Problème, «plus de95 %» du personnel d'enca-drement est recruté à l'étran-

ger, faute de profils disponi-bles dans le pays. Le lance-ment d'un diplôme de techni-cien en logistique, à partir dela rentrée 2015, aux lycéestechniques de Bonnevoie et

de Lallange devrait pallierune partie de ce besoin enformation. «Mais cela ne suf-fira pas. Nous sommes en dis-cussion avec le ministère del'Enseignement supérieur

pour lancer un BTS dans lesprochaines années, voire unmaster», révèle Charles Gos-selin. L'objectif est clair, dis-poser d'une main-d'œuvrequalifiée manquante sur lemarché luxembourgeois.Au Grand-Duché, seul le

Luxembourg Institute ofScience and Technology(LIST) propose un master enmanagement de la chaîne lo-gistique, au prix de 7 800 eu-ros les deux ans, en plus desfrais d'inscription à l'Univer-sité de Lorraine, partenaire dela formation.«Pour réussir dans la logisti-

que, il faut maîtriser l'infor-matique, les mathématiqueset connaître les réglementa-tions douanières et sanitaires.Dans ce milieu, l'anglais estindispensable», conclut Char-les Gosselin.Thomas Holzer

La logistique a besoin demain-d'œuvre qualifiéeLUXEMBOURG - Lepays ne compte pasassez de formationsorientées logistique.

Le secteur de la logistique emploie plus de 13 000 personnes.

Christian Boiron, patron desLaboratoires Boiron, leadermondial de l’homéopathie.

LA POSITION

«Il faut toujoursassocier les salariésauxévolutions. Carrienn’est pire quedevouloir faire lebonheur des gensmalgré eux»

LUXEMBOURG - La Chambredes salariés, sise 13, rue deBragance, à Luxembourg, ac-cueille une séance d’informa-tion sur les aides à la forma-tion pour particuliers, le mer-credi 29 avril, de 18 h 30 à20 h. La participation est gra-tuite et on peut déjà s’inscrire.www.infpc.lu/inscription

Toutsur lesaidesà la formation

LUXEMBOURG LIFELONG LEARNING CENTER : CENTRE DE FORMATION POUR ADULTES

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des Entreprises• Master Marketing et Communication des Entreprises• Master Banque, Finance, Assurance, parcours Fonds et Gestion Privée• Master Financial Analysis and Strategy (English)• Master Gestion des Ressources Humaines et Relations du Travail• Double diplôme : Master Logistique et Master Achat International• Licence Sciences de Gestion• Licence Gestion Comptable, parcours Contrôle de Gestion• Licence Gestion Comptable et Financière des PME-PMI• Licence Management des Organisations Métiers de la Comptabilité :

Comptabilité et Paie• Diplôme d’Université Techniques de Relaxation et Sophrologie• Diplôme d’Université Gestion de l’Égalité, de la Non-Discrimination

et de la Diversité

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FORMATIONS SPÉCIALISÉES• Diplôme d’Études Spécialisées Gestion Financière• Diplôme d’Études Spécialisées Gestion de Patrimoine• Diplôme d’Études Spécialisées Risk Management• Diplôme d’Études Spécialisées Management et Développement

(Coaching) des Hommes• Diplôme d’Études Spécialisées Ingénierie Financière• DES International Treasury Management (English)• Certificat Contrôle Interne / Certified Internal Control Specialist (CICS)• Certificat de Compétence Management de la Santé, du Bien-Être

et du Développement Durable au Travail pour les TPE/PME• Formation pour Délégués à la Sécurité• Formation Droit Appliqué pour Salariés des Services Juridiques

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Avec plus de 17 000 employés fin2014 dans le secteur des technologiesde l'information et communication(ICT), presque le double d'il y adix ans, «le monde du digital va en-core croître au Luxembourg», affirmeJean Diederich, président de l'Asso-ciation des professionnels de la so-ciété de l’information (APSI). Avec denouvelles perspectives d'embauche.

Fini le cloisonnement, les recruteursmisent désormais sur la bicompé-tence. «Le digital n'est plus un freinpour les entreprises. Donc on recher-che des gens avec deux compétences:business et ICT par exemple».

Dans tous les cas, la polyvalence estappréciée. «Mieux vaut être bon dansles deux domaines qu'excellent dansun, sans aucun talent dans le second».

La relation client, le reporting ban-caire, la justice fiscale ou la gestiondes risques sont des métiers qui re-quièrent des compétences digitales.

Le principal handicap au Luxem-bourg reste la formation, «pas facile àtrouver». En dehors des formations eninformatique, «certains cursus en éco-nomie de gestion ou juridique» déve-loppent des orientations numériques.«Un bac +2 peut suffire», termine-t-il.Jonathan Vaucher

L'ICT prône labicompétenceLUXEMBOURG - 4,5 % dessalariés du pays travaillent dansle secteur de l'ICT, mais le digitaltouche bien plus de métiers.

Jean Diederich, président de l'APSI.

Formation 19

Rendez-vous le 22 septembrepour notre prochaincahier Formation!

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Portes ouverteset « Fréijorsmaart »Samedi, 9 mai 2015

de 8h30 à 12h30• Présentation du nouveau BTS« Dessinateur et constructeur sur métal »

• Présentation de la nouvelle division du« Technicien en logistique »

• Présentation de la section « Sciences sociales » du régimetechnique

• Présentation du projet TIM (7e-9e PROCI)• Visites guidées et Démonstrations dans les ateliers• Vente de produits préparés par les élèves de lasection gastronomique

Pour plus d’informations : www.ltb.luTél.: 40 39 45 205/206

119, rue du CimetièreL-1338 Luxembourg

Informations sur l’offre scolaire :• Enseignement secondaire technique 7e – 9e PROCI• Régime préparatoire 7e – 9e

• Régime techniqueDivisions :• Technique générale• Professions de santé et professions sociales• Administrative et commerciale

• Régime professionnel : Diplôme de technicien (DT)• Technicien administratif et commercial• Technicien en logistique

• Régime professionnel : Diplôme d’aptitudeprofessionnelle (DAP)• Agent administratif et commercial• Agent de voyage• Auxiliaire de vie• Conseiller en vente• Electronicien en énergie / Electricien• Gestionnaire qualifié en logistique• Mécanicien d’usinage, industriel et de maintenance• Métiers de l’alimentation• Métiers de la mode• Serrurier

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